Communication dans les organisations
|
|
- Charlotte Simon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Communication dans les organisations C O U R S 4 HISTORIQUE ET THÉORIES DES ORGANISATIONS (SUITE) ET LES STRUCTURES DES ORGANISATIONS Évolution de la conception de l organisation Vers Mécaniste Classique Visions Organique Relations humaines Systémique Systèmes de flux Approche systémique Théorie des systèmes Karl Ludwig von Bertalanffy Autrichien 1926 PhD en biologie de l Université de Vienne 1941 professeur à Vienne, plus tard à Ottawa et Edmonton 1950 publie The General System Theory où sont définis les principes d un courant philosophique et scientifique très important aussi appelé la science de la totalité, ou la science holistique 1
2 La théorie des systèmes et la cybernétique CYBERNÉTIQUE Ensemble des théories et processus qui s intéressent aux systèmes autorégulés à ses interactions internes (composantes du système) et externes (environnement) afin d en comprendre le comportement global. Systémique quelques grands principes Le système doit être compris de façon globale ou holistique. Un système (organisation) est une unité en interaction. Le tout (organisation) est plus grand que la somme des parties. Les éléments qui composent le système (organisation) sont interdépendants. Vision systémique Organisation est un système ouvert composé de sous-systèmes et évoluant dans un supra système (société). Ne se suffisant pas à lui-même, il y a processus d échange avec l environnement. Nécessité de mécanismes d adaptation, d équilibre et de changement souvent en réaction à l environnement. Explication du fonctionnement de l entreprise en fonction du comportement de ses différentes composantes. Absence de règles universelles, plutôt une prise en compte de facteurs circonstanciels et contingents. Structures et mécanismes de différenciation soumis aux exigences de l environnement. 2
3 Caractéristiques de la communication dans l organisation systémique Flexibilité Direction Initiative Quantité Variable Variable Sollicitée Variable Approche systémique Théorie des flux Henry Mintzberg Né à Montréal Maîtrise et doctorat à la Sloan School of Management du MIT (EU), et diplôme de génie mécanique à l'université McGill. Doctorat honoris causa de 6 universités : Venise, Lund, Lausanne, Montréal, Genève et Simon Fraser. Actuellement professeur à l'université McGill et à l'institut européen d'administration des affaires (INSEAD) de Fontainebleau (France). Intérêts et recherches: formes d'organisation, mécanisme de formation des stratégies, nature et styles du travail de gestion. A écrit près d une dizaine de livre dont The Structuring of Organizations (1979) et près de 100 articles scientifiques. Vision des systèmes de flux Mintzberg Cinq parties (composantes) forment l organisation: le centre opérationnel, le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, la technostructure et les fonctions logistiques. Les parties sont liées entre elles par différents flux (forces organisatrices) : d autorité, de matériel, d information, de constellation de travaux et de processus de décisions. La structure de l organisation se forme suivant la prédominance d une composante sur les autres donnant lieu à 5 structures de base. 3
4 Composantes Sommet stratégique Services technocratiques Ligne hiérarchique Services fonctionnels Centre opérationnel Fonctions dans les composantes Conseil administration Présidence Comité directeur Sommet stratégique Planification stratégique Comptabilité Vp Vp Contrôle opér. mark. Formation Recherche opérationnelle Ordonnancement de production Employés divers Directeurs resp.rég. d usine des ventes Chefs resp.district d ateliers des ventes Ligne hiérarchique Conseil juridique Relations publiques R & D Paie Réception Restaurant d entreprise Services technocratiques Centre opérationnel Services fonctionnels Acheteurs Opérateurs Assembleurs Vendeurs Expéditeurs sur machines Caractéristiques du sommet stratégique Veille à l exécution de la mission Efficacité Supervision directe Relations avec l environnement global Développement de la stratégie à long terme Responsabilité première Vision abstraite et à long terme 4
5 Fonctions dans les composantes Conseil administration Présidence Comité directeur Sommet stratégique Planification stratégique Comptabilité Vp Vp Contrôle opér. mark. Formation Recherche opérationnelle Ordonnancement de production Employés divers Directeurs resp.rég. d usine des ventes Chefs resp.district d ateliers des ventes Ligne hiérarchique Conseil juridique Relations publiques R & D Paie Réception Restaurant d entreprise Services technocratiques Centre opérationnel Services fonctionnels Acheteurs Opérateurs Assembleurs Vendeurs Expéditeurs sur machines du centre opérationnel Responsable de la production des biens et services de l organisation Acquisition des intrants Fabrication Distribution des biens et services Assure fonctions de support à la production (maintenance des machines, tenue des stocks, etc.) Vision concrète et axée sur le court terme Fonctions dans les composantes Conseil administration Présidence Comité directeur Sommet stratégique Planification stratégique Comptabilité Vp Vp Contrôle opér. mark. Formation Recherche opérationnelle Ordonnancement de production Employés divers Directeurs resp.rég. d usine des ventes Chefs d ateliers resp.district des ventes Ligne hiérarchique Conseil juridique Relations publiques R & D Paie Réception Restaurant d entreprise Services technocratiques Centre opérationnel Services fonctionnels Acheteurs Opérateurs Assembleurs Vendeurs Expéditeurs sur machines 5
6 de la ligne hiérarchique Coordination entre le sommet stratégique et la base Contrôle Cueillette et transmission de l information Relations avec les autres unités et environnement immédiat de l organisation Vision relativement concrète et axée sur le moyen/court terme Fonctions dans les composantes Conseil administration Présidence Comité directeur Sommet stratégique Planification stratégique Comptabilité Vp Vp Contrôle opér. mark. Formation Recherche opérationnelle Ordonnancement de production Employés divers Directeurs resp.rég. d usine des ventes Chefs resp.district d ateliers des ventes Ligne hiérarchique Conseil juridique Relations publiques R & D Paie Réception Restaurant d entreprise Services technocratiques Centre opérationnel Services fonctionnels Acheteurs Opérateurs Assembleurs Vendeurs Expéditeurs sur machines de la technostructure Agit sur le travail des autres Dissociée du flux direct de travail Responsable de la conception des procédures de standardisation Standardisation du travail (étude des temps et mouvements, etc.), du personnel (recrutement, formation, etc.), de la planification (contrôle, vérification comptable, etc.) 6
7 Fonctions dans les composantes Conseil administration Présidence Comité directeur Sommet stratégique Planification stratégique Comptabilité Vp Vp Contrôle opér. mark. Formation Recherche opérationnelle Ordonnancement de production Employés divers Directeurs resp.rég. d usine des ventes Chefs resp.district d ateliers des ventes Ligne hiérarchique Conseil juridique Relations publiques R & D Paie Réception Restaurant d entreprise Services technocratiques Centre opérationnel Services fonctionnels Acheteurs Opérateurs Assembleurs Vendeurs Expéditeurs sur machines des services fonctionnels Support indirect à la mission de base Fonctions «extérieures» aux activités de production Structure et gestion indépendantes du centre opérationnel Vision des systèmes de flux Mintzberg Cinq parties (composantes) forment l organisation: le centre opérationnel, le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, la technostructure et les fonctions logistiques Les parties sont liées entre elles par différents flux (forces organisatrices): d autorité, de matériel, d information, de constellation de travaux et de processus de décisions. La structure de l organisation se forme suivant la prédominance d une composante sur les autres donnant lieu à 5 structures de base. 7
8 Flux d influence D autorité formelle Manifeste dans l organigramme Régulés Travail opérationnel (matières premières) Informations formelles de contrôle et fonctionnelles De communication informelle S ajoutent ou contournent les flux réguliers Peuvent créer des processus de décision indépendants De constellation de travaux Groupe d individus travaillant sur un projet précis et ponctuel Processus de décision ad hoc Processus de décision non programmé, non régulé Possiblement composé des 4 autres flux Flux d autorité formelle Flux régulés 8
9 Flux de communication informelle Flux de constellation de travaux Flux d un processus de décision ad hoc a 6b
10 Vision des systèmes de flux Mintzberg Cinq parties (composantes) forment l organisation: le centre opérationnel, le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, la technostructure et les fonctions logistiques Les parties sont liées entre elles par différents flux (forces organisatrices): d autorité, de matériel, d information, de constellation de travaux et de processus de décisions. La structure de l organisation se forme suivant la prédominance d une composante sur les autres donnant lieu à 5 structures de base. Prédominance d une partie qui influence la structure Partie clef de l organisation Sommet stratégique Flux dominant Autorité formelle Information informelle Processus décision: Mécanisme principal de coordination Supervision directe Structure Structure simple Technostructure Autorité formelle Régulés Processus décision: Standardisation des procédés de travail Bureaucratie mécaniste Centre opérationnel Communication informelle Processus décision: Standardisation des qualifications Bureaucratie professionnelle Ligne hiérarchique Autorité formelle Régulé Processus différencié Standardisation des productions Divisionnaire Fonctions de support Communication informelle Constellation Processus complexe Ajustement mutuel Adhocratie La théorie de la contingence permet de faire un diagnostic de la structure organisationnelle ; de déterminer le type de structure adaptée à partir des besoins de l'entreprise ; de connaître la configuration d'une organisation afin de gérer efficacement les changements organisationnels. Source : 10
11 Les facteurs de contingence L âge de l entreprise La taille de l entreprise Le système technique L environnement Le pouvoir Structure simple, (entrepreneuriale, missionnaire) Forme pyramidale Structure simple (entrepreneuriale) Organisme de petite taille Peu de niveaux Pouvoir concentré vers le haut Chef charismatique Flexible Survie aléatoire 11
12 Facteurs de contingence. structure simple Jeunesse Petite taille Système technique non sophistiqué Environnement simple et dynamique, peut-être hostile Besoin de pouvoir de la direction Structure démodée Structure par fonctions (bureaucratie mécaniste, bureaucratie professionnelle) Direction Finances R&D Marketing Production Ressources humaines Approvisionnement Structure par fonctions (professions) Évite le dédoublement d expertise. Favorise le développement du professionnalisme dans une même fonction. Permet une meilleure communication dans une même fonction. Risque de myopie fonctionnelle au détriment des objectifs globaux. Permet les économies d échelle. 12
13 Facteurs de contingence structure par fonctions Organisation âgée Grande taille Bureaucratie mécaniste Système technique régulateur non automatisé Environnement simple et stable Obsession du contrôle (peut être externe) Structure démodée Facteurs de contingence structure par fonctions Bureaucratie professionnelle Système technique non sophistiqué Environnement complexe et stable Structure à la mode Structure par divisions Zone 2 Zone 1 Finances Marketing Ressources Production humaines Direction Finances centrales R&D Zone 3 Zone 4 13
14 Structure par divisions (divisionnelle, divisionnaire) Divisée sur une base de : produit, gamme de produits, clientèle, zone géographique Décentralisation du pouvoir Rapidité de réaction Favorise entrepreneurship par division Risque de perte de contrôle de la direction Difficulté de coordination Duplication de compétences coûteuse Peu propice aux synergies entre activités Facteurs de contingence structure par division Organisation âgée Grande taille Environnement composé de marchés diversifiés Besoin de pouvoir des cadres Structure à la mode Structure matricielle Zone 1 Zone 2 Zone 3 Fonctions centrales Projet 1 Projet 2 Projet 3 Personnel Production et logistique Achats Marketing 14
15 Structure matricielle (organique, innovatrice, horizontale, adhocratie) Facilite coordination par projet. Favorise entrepreneurship et créativité par projet. Processus décisionnel peut être lourd (axé sur le compromis). Risque d indécision Double ligne hiérarchique favorise conflits de pouvoir et luttes d influence. Risque de rétention de l information. Facteurs de contingence. structure matricielle Jeunesse Petite taille Système technique sophistiqué (peut être automatisé) Environnement complexe, dynamique Structure à la mode Structure en réseau Partenaire H Partenaire A Partenaire B Partenaire G Partenaire C Partenaire F Zone 3 Partenaire E Partenaire D Zone 4 15
16 Structure en réseau Facilite l accès aux marchés étrangers. Permet des économies de coûts. Adaptation souple au terrain Capacité de mettre en œuvre simultanément, en plusieurs endroits, un ensemble d actions. Grande importance de l information Risque de fuite de l information Dépendance relative sur les partenaires, alors que les partenaires sont indépendants. Selon Guillemet Eldin Mintzberg Pyramidale Entrepreneurial Missionnaire Mécaniste Professionnelle Structure simple Horizontale Structure par fonctions Structure simple Bureaucratie mécaniste Bureaucratie professionnelle Divisionnalisée Structure par division Divisionnaire Innovatrice Matricielle Organique Horizontale En réseaux Adhocratie Facteurs d influence Nature de l activité (de la tâche) Niveau de précision de la tâche Aspect routinier de la tâche Présence de facteurs d incertitude Niveau de différenciation des tâches Taille de l organisation Grande = mécanistique, petite = organique 16
17 Facteurs d influence (suite) Sophistication technologique des procédés de production Niveau de mécanisation de la tâche Aspect identité vs morcellement de la tâche Risques (personnels, environnementaux, etc.) Autonomie ou nécessité d interactions Besoins et niveaux de contrôle Possibilité de standardisation des procédés, des tâches (performance, comportement) Taille de l organisation, des unités Coût du contrôle Autonomie ou nécessité de contrôle Facteurs d influence (suite) Stratégies, orientations antérieures Présence, nature et importance des luttes de pouvoir Présence, nature et importance des conflits Culture de l organisation Importance et capacité d innovation Importance et traitement de l information Environnement Travail 1 Introduction /7.5 Description de l organisation étudiée (total 20 points) Historique /5 L historique doit être bref et pertinent Identification de la mission et des valeurs ou /5 objectifs de l organisation L étudiant identifie la mission de l organisation L étudiant identifie les valeurs ou les objectifs mis de l avant par l organisation Description des produits ou services offerts /5 L étudiant décrit de façon sommaire le type de produits/services offert par l organisation Description de la structure du marché et de la /5 concurrence L étudiant explique le nombre/type de clients de l organisation L étudiant explique le type de concurrence à laquelle fait face l organisation 17
18 Travail 1(suite) Présentation de la structure générale de l organisation (total 40 points) Identification de la structure générale /15 L étudiant identifie clairement, avec les termes appropriés, la structure générale et argumente son choix Identification des éléments de la structure /15 L étudiant identifie avec les termes utilisés par Mintzberg, les différents éléments de la structure Illustration des liens d autorité par l organigramme /10 L organigramme doit se trouver dans le travail ou en annexe Travail 1(suite) Présentation de la fonction de la communication dans l organisation (total 25 points) Identification de la structure /15 L étudiant identifie clairement si la communication est centralisée ou non et la façon dont celle-ci est structurée au sein de l organisation Identification des principaux acteurs /10 L étudiant identifie le personnel attitré à la fonction de communication et les liens d autorité qui les unissent Conclusion /7.5 18
Dès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division
Plus en détailGestion médicalem. Novembre Décembre 2006. L. Conrad Pelletier MD, MBA 1. L. Conrad Pelletier MD, MBA
Gestion médicalem Habiletés à développer 2è journée e de formation pour médecins m gestionnaires L. Conrad Pelletier MD, MBA Novembre Décembre 2006 L. Conrad Pelletier MD, MBA 1 Plan de présentation 1.
Plus en détailLE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE?
Sara Jouven A l attention de : Amélie Goncalves Monsieur Berland Xavier Capronnier LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE? DESS Contrôle de Gestion Sociale Année
Plus en détailManagement par les processus Retour sur Investissement. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE
Management par les processus Retour sur Investissement Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Programme Cours Module Type de Cours Duree Planning Objectifs et définitions du "Management par le process" CM 1.5
Plus en détailManagement Chapitre 3 Diriger et décider
I) Les décisions et les processus décisionnels A) La notion de décision Diriger une entreprise c est avant tout exercer un pouvoir décisionnel. Décider c est transformer une information en action. C est
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailManagement par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE
Management par les processus Introduction et définitions Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Le fonctionnement du cours Cours ou TD tous les vendredi après-midi Pause de 10 mn Téléphone éteint La presentation
Plus en détailL'entreprise derrière l'organigramme
L'entreprise derrière l'organigramme Du TGV à l'agv : dépasser l'entreprise hiérarchique pour aboutir à l'entreprise communautaire Rafaël STOFER Manager Entreprise Content Management Logica Management
Plus en détailUDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE
UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16
Plus en détailGROUPE SYNERGIE PME INC. 800, boul. René-Lévesque O., #161, Stn B, Montréal, QC, H3B 3J5 Tél. : 514.805.8448
GROUPE SYNERGIE PME INC. Société spécialisée en développement des affaires AUGMENTATION DES VENTES 800, boul. René-Lévesque O., #161, Stn B, Montréal, QC, H3B 3J5 Tél. : 514.805.8448 AUGMENTATION DES VENTES
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LES INSTANCES PARLEMENTAIRES CHARGEES DE LA SANTE DE LA MERE, DU NOUVEAU-NE ET DE L ENFANT
QUESTIONNAIRE SUR LES INSTANCES PARLEMENTAIRES CHARGEES DE LA SANTE DE LA MERE, DU NOUVEAU-NE ET DE L ENFANT Pour répondre aux demandes des parlements, des organisations internationales, des journalistes
Plus en détailGUIDE DU TUTEUR ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC. Management des Unités Commerciales. Stage de 1ère année
GUIDE DU TUTEUR Ce guide est complété par le tuteur durant la première année de BTS. Une copie doit être fournie au professeur et à l étudiant ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC Management des Unités Commerciales
Plus en détailEtude Benchmarking 2010 sur les formations existantes apparentées au métier de Business Developer en Innovation
Un programme animé par Systematic et copiloté par Systematic, Opticsvalley et le réseau des Chambres de Commerce et d Industrie Paris-Ile-de-France Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes
Plus en détailEnseignement supérieur et Formation continue en Chine
Enseignement supérieur et Formation continue en Chine Enjeux Est / Ouest Défis à relever et position française Michel PANET Consultant international mpanet@wanadoo.fr Professeur vacataire en Masters :
Plus en détailCadre et Structures Organiques
1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et
Plus en détailLa recherche universitaire en sécurité routière
La recherche universitaire en sécurité routière François Bellavance, PhD Professeur, HEC Montréal Directeur Laboratoire sur la sécurité des transports Centre de recherche sur les transports (CRT) Centre
Plus en détailManagement des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique
Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche
Plus en détailLe concept. Des prestations «chic à prix mini» proposées dans des espaces Beauté Bien Être
Le concept Des prestations «chic à prix mini» proposées dans des espaces Beauté Bien Être 1 Séduction, Evasion et Performance sont réunis dans un cadre haut de gamme pour accueillir aussi bien les femmes
Plus en détailPROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS
PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise
Plus en détailESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES
ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES JOSEPH A. SCHUMPETER (1883-1950) SCHUMPETER EST NE EN AUTRICHE A TRIECH,. IL FAIT DE BRILLANTES ETUDES OU IL COTOIE L ELITE UNIVERSITAIRE AUTRICHIENNE,
Plus en détailBusiness Process Change:
Business Process Change: A Study of Methodologies, Techniques, and Tools par: W. Kettinger, J. Teng & S. Guha 1 Plan de la présentation Situer l article Relever son contenu Apprécier l article Appliquer
Plus en détailVotre implantation à l étranger
Votre implantation à l étranger Afin de déterminer la forme de présence la plus adaptée à la commercialisation de vos produits et de vos services, un choix est nécessaire entre quelques grandes options
Plus en détailCHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES.
CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. I. L organisation en réseau. A. Définition. Un réseau est un ensemble organisé d unités commerciales (UC) liées par des intérêts
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailPrésentation de la gamme Basware et de notre vision du B2B Cloud
Présentation de la gamme Basware et de notre vision du B2B Cloud Matthieu Reynier VP Sales Basware SAS Basware Experience Club Utilisateur Collaborer. Innover. Réussir. Australia Denmark Finland France
Plus en détailLes outils classiques de diagnostic stratégique
Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation
Plus en détailLa relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.
Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client
Plus en détailMesurer et piloter la performance
Mesurer et piloter la performance Nicolas Berland Professeur à l Université Paris-Dauphine E-book Source : www.management.free.fr Nicolas Berland Professeur de contrôle de gestion Université Paris-Dauphine
Plus en détailCliquez sur une image pour l'agrandir
Cliquez sur une image pour l'agrandir LA VIDEO SURVEILLANCE À LA PORTÉE DE TOUS LES BUDGETS ET EN RÉPONSE À TOUTES LES EXIGENCES La vidéo-surveillance à la portée de tous les budgets et en réponse à toute
Plus en détailMise en œuvre du PGI dans les enseignements tertiaires
Stage académique Mise en œuvre du PGI dans les enseignements tertiaires Nord Franche-Comté Lycée du Grand Chênois - 24 mars / 6 avril 2011 pascal.parisot@ac-besancon.fr Le PGI dans les enseignements tertiaires
Plus en détailMaster Administration des Entreprises. Gestion des organisations
IAE de Poitiers Institut d Administration des Entreprises de Poitiers Université Senghor Alexandrie (Egypte) Master en Administration des Entreprises Gestion des organisations Ouvrage de référence proposé
Plus en détailRÉFÉRENTIEL BTS TRANSPORT ET PRESTATIONS LOGISTIQUES
RÉFÉRENTIEL BTS TRANSPORT ET PRESTATIONS LOGISTIQUES INSTITUT NEMO 36/38 avenue Pierre Brossolette 92240 MALAKOFF Tel : 01 79 41 13 40 Fax : 01 49 85 00 04 n VERT : 0800 80 40 22 Nouveau référentiel applicable
Plus en détailRESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT
RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT Titre enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles de niveau II délivré par Université Catholique de l Ouest IPLV (J.O du
Plus en détailProposition de correction pour l épreuve de STG Communication et gestion des ressources humaines
Proposition de correction pour l épreuve de STG Communication et gestion des ressources humaines DOSSIER 1 1-1 Communication globale: L image que l organisation donne d elle-même doit être conforme à la
Plus en détailCRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS
CRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS La réforme 28 est particulièrement incitative à l embauche de jeunes docteurs. Deux des nouvelles dispositions de la réforme 28 du crédit d impôt recherche (CIR)
Plus en détailSECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES
SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES Manuel Murgia Page 1 19/08/2006 LES FONDEMENTS DU MANAGEMENT
Plus en détailDossier 2 : Une approche théorique des organisations
Management des organisations et stratégies Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Ce dossier ne prétend pas exposer de manière exhaustive l ensemble des théories qui ont réfléchi les problématiques
Plus en détail1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations
1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Comment définir la théorie des organisations? Avec la seconde révolution industrielle, de grandes entreprises industrielles émergent,
Plus en détailMarketing. Les différentes sous-familles et leurs missions. Marketing stratégique et études (02A) Marketing opérationnel (02B)
02 Marketing Cette famille rassemble des métiers dont la finalité est de contribuer à l attractivité de l offre de l entreprise, par la conception de stratégies, de produits ou d actions valorisant son
Plus en détailINTRODUCTION A LA GESTION DE LA RELATION CLIENT
INTRODUCTION A LA GESTION DE LA RELATION CLIENT La Gestion de la Relation Client (GRC) correspond à l'expression anglaise Customer Relationship Management (CRM). «La GRC est l'ensemble des outils et techniques
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détailFILIÈRE SCIENCES SOCIALES, COMMERCE ET ADMINISTRATION & FILIÈRE SCIENCES NATURELLES
FILIÈRE SCIENCES SOCIALES, COMMERCE ET ADMINISTRATION & FILIÈRE SCIENCES NATURELLES Diplômes de la filière Sciences sociales, Commerce et Administration Diplômes professionnels de base Diplôme de base
Plus en détailDe l évaluation individuelle à la performance organisationnelle : Surfer sur les notes!
De l évaluation individuelle à la performance organisationnelle : Surfer sur les notes! Luc Mélotte Administrateur Plan de la présentation Stratégie d entreprise et Performance Stratégie RH et Performance
Plus en détailFORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015
FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013
La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document
Plus en détailPROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE
Direction générale de l enseignement supérieur PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE «assistant de gestion PME-PMI». «assistant
Plus en détailSPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE
SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE Finance, Contrôle des Organisations Cette spécialisation se fonde sur la nécessité de prendre des décisions et/ou d organiser les différents processus au cœur de
Plus en détailL'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES
L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES «Il n existe pas de tâches humbles dans une entreprise car toutes concourent à sa réussite» F. Mantione Liminaire : Cette présentation à caractère introductif
Plus en détail25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)
-coopération 25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) 1 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de la Cour peut avoir sur la capacité de la Cour à mener à bien
Plus en détailRéforme monétaire: par où commencer?
Réforme monétaire: par où commencer? Troisième université d automne de l économie autrichienne 4-6 Octobre 2013, Troyes Nikolay Gertchev Chargé de cours à l'ichec Brussels Management School Plan de l'exposé
Plus en détailDéveloppement d un réseau de prospection TUNIS, 29-30 - 31 Janvier 2003 Paola Morris, Ceipiemonte
Développement d un réseau de prospection TUNIS, 29-30 - 31 Janvier 2003 Paola Morris, Ceipiemonte 1 1. Le contexte international et les investissements à l étranger 2 Les dévelopements récents Plus de
Plus en détailPROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans
PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans DESCRIPTION Faire le choix d un cursus en 3 ans c est opter pour une formation qui permet à l étudiant de découvrir le monde de l entreprise afin
Plus en détailVue d ensemble. Initiatives des données. Gestion de la trésorerie. Gestion du risque. Gestion des fournisseurs 2 >>
Access MD Online Vue d ensemble Access MD Online fournit aux organisations un accès en temps réel à leurs programmes de carte commerciale au sein d un environnement sécurisé, n importe où et n importe
Plus en détailUniversite de Beijing Jiaotong Brochure de l étudiant international
3. Hébergement: Varie selon les campus disponibles Surface de la chambre (m2) Bâtiment Bâtiment No.1 Bâtiment No.4 Bâtiment No.14 Jiayuan Bock C, chambre Standard Jiayuan Bloc C, chambre Supérieur Long
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailManagement Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.
Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés
Plus en détailREPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES
REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL
Plus en détailFormation Conseil - Recrutement
Gobbelsrode 42, 3220 HOLSBEEK. Tél: 016/62.35.22 info@amvr.be www.amvr.be Formation Conseil - Recrutement Formation Points de départ : Notre objectif principal est de contribuer au succès de votre entreprise.
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailGestion Electronique d'informations et de Documents pour l'entreprise
Gestion Electronique d'informations et de Documents pour l'entreprise DocuWare en quelques mots Une remarquable success story 24 ans d existence Plus de 10 000 clients 500 intégrateurs certifiés Utilisé
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailNomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70
Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 70 70 ACTIVITÉS DES SIÈGES SOCIAUX ; CONSEIL DE GESTION Cette division comprend le conseil et l'assistance à des entreprises et autres organisations
Plus en détailNotions fondamentales
Gestion de projet Notions fondamentales Versions récentes du cours pdf, ppt, vidéo disponibles ici : management de projet Image : domaine public (source) 1 Avant de commencer Introduction Objectifs Plan
Plus en détailTransformation IT de l entreprise BPM ET APPROCHE MÉTIER
Transformation IT de l entreprise BPM ET APPROCHE MÉTIER L amélioration des processus métiers se traduit par des gains tangibles. Le BPM est devenu une pièce angulaire du système d information des organisations.
Plus en détailIndustrial Phd Progam
Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailSavoir fidéliser ses clients
Savoir fidéliser ses clients le programme partie 1 Les enjeux de fidélisation partie 2 La relation client : un levier de fidélisation Partie 3 Gérer sa base de données clients Partie 4 Les outils pour
Plus en détailDu marketing dans ma PME!
Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle
Plus en détailCBBC Canadian Business & Biodiversity Council
CBBC Canadian Business & Biodiversity Council Centre de la Science de la Biodiversité du Québec 72 chercheurs et 350 étudiants en thèse distribués sur un réseau de 8 partenaires universitaires et 2 institutions.
Plus en détailDiagnostic CRM en 2 parties. Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Quels sont vos besoins?
Diagnostic CRM en 2 parties Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Quels sont vos besoins? Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Perspective courte durée. L important c est la vente L approche
Plus en détailStratégie Tier 2 : Quels avantages pour votre entreprise?
Stratégie Tier 2 : Quels avantages pour votre entreprise? Les décideurs ont beaucoup à gagner de l intégration des données de gestion externes et internes, afin d assurer la disponibilité des informations
Plus en détailATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique NIAMEY 12 et 13 juillet 2012 Cellule
Plus en détailDu rapport des contrôleurs de gestion au pouvoir
Master 2 Contrôle de gestion Année 2008/2009 Bénédicte Lécuyer Mémoire de fin d études Sous la direction de M.Danziger Du rapport des contrôleurs de gestion au pouvoir Version non confidentielle Du rapport
Plus en détailListe des propositions :
Liste des propositions : Enseignants Propositions Hamid SKOURI Thèmes pour mémoires de licence : - Thème 1- Les entreprises familiales à Fès : management, gouvernance et challenges. (Etude de cas). - Thème
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE AU MARKETING
INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING 1. La notion de marché 2. La définition du Marketing et du Marketing - Mix 3. Les fonctions de l entreprise 4. La stratégie push ( fonction de production ) 5. La stratégie
Plus en détailAccompagner le changement à grande échelle. ) Par la formation
Accompagner le changement à grande échelle ) Par la formation L ANFA et L ESSCA ) Association Nationale pour la Formation Automobile : )) Mandaté par les partenaires sociaux pour mettre en œuvre la politique
Plus en détailUniversités et Programmes Recommandés
Bourses Nationales d Études en Mastère au Canada Appel à Candidature 2014-2015 Universités et Programmes Recommandés 2 Bourses Nationales d Études au Canada, 2014-2015 Préambule Le tableau suivant spécifie
Plus en détailEducation, visions d'un monde
Education, visions d'un monde 29th August 2012 La Fondation s inte_resse de pre_s a_ l e_conomie et a_ son fonctionnement sur le long terme. Nous nous attachons a_ analyser et comprendre la transition
Plus en détailSCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING
MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING www.univ-littoral.fr PRESENTATION ET OBJECTIFS DE LA FORMATION Pour leur conduite de leurs entreprises
Plus en détailL'intelligence d'affaires: la statistique dans nos vies de consommateurs
L'intelligence d'affaires: la statistique dans nos vies de consommateurs Jean-François Plante, HEC Montréal Marc Fredette, HEC Montréal Congrès de l ACFAS, Université Laval, 6 mai 2013 Intelligence d affaires
Plus en détailUn logiciel pour sécuriser le futur de mon entreprise? Je veux l avoir!
Un logiciel pour sécuriser le futur de mon entreprise? Je veux l avoir! En compétition chaque minute compte. Bref aperçu de vos avantages Avec Kartosoft nous mettons à votre disposition un outil permettant
Plus en détail1 INFORMATION - INFORMATIQUE. 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management
p.1 1 INFORMATION - INFORMATIQUE 10 Sciences cognitives aspects fondamentaux 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management 110 Intelligence économique veille économique, stratégique,
Plus en détailArmand Paré, MBA. 2966 Hertel, Sherbrooke, QC, J1L 1E1 Courrier électronique: alpare@videotron.ca Téléphone et Fax. (819) 564-8109
2966 Hertel, Sherbrooke, QC, J1L 1E1 Courrier électronique: alpare@videotron.ca Téléphone et Fax. (819) 564-8109 Citoyenneté: État civil: Langues parlées et écrites: Canadienne Marié Français et Anglais
Plus en détailDigital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014
Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014 Initiative «Digital Lëtzebuerg» Pour la définition, l élaboration et la mise en œuvre d une stratégie numérique globale pour le Luxembourg 1.
Plus en détailcoaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur
coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des
Plus en détailINTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION
INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,
Plus en détaileframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires
eframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires TIME WINDOW DRIVEN REPORTING POUR DES ANALYSES ET DES RAPPORTS COMPLETS ET EXACTS, À TEMPS TOUT LE TEMPS www.secondfloor.com eframe pour optimiser
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailTableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication
Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre
Plus en détailLe Bureau de projet Étude de cas
Le Bureau de projet Étude de cas Présentée à Monique Aubry dans le cadre du cours MGP 702E Bureaux de projet et performance organisationnelle Automne 2004 Université du Québec à Montréal Par Philippe Bélanger
Plus en détailProgramme Pédagogique National du DUT «Gestion administrative et commerciale» Présentation de la formation
Programme Pédagogique National du DUT «Gestion administrative et commerciale» Présentation de la formation 2 1. Introduction La spécialité Gestion Administrative et Commerciale, d abord créée à titre expérimental
Plus en détailL ostéopathie au service des professionnels
L ostéopathie au service des professionnels Parce que la performance de votre entreprise passe avant tout par la santé de vos collaborateurs info@proosteo.fr Les Troubles Musculo-Squelettiques Les TMS
Plus en détailPas d installations ou d équipement particuliers.
COURS MAM1010 : Niveau : Préalable : Description : Paramètres : MARKÉTING ET GESTION Débutant Aucun L élève acquiert des notions de base en gestion et en markéting et donne des indications sur les meilleures
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN
Plus en détail1. Contexte et justification
Termes de Référence pour l assistance technique à la Cellule de Gestion des Projets et des Marchés Publics du Ministère de la Santé Publique en République Démocratique du Congo 1. Contexte et justification
Plus en détailC est à l occasion de la conférence
Les ERP sous contraintes C est à l occasion de la conférence de presse organisée le 30 août dernier en partenariat avec les organisateurs des salons Solutions qui auront lieu au Cnit du 4 au 6 octobre
Plus en détailOn doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont
On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont nombreuses : service production, R&D, service approvisionnement,
Plus en détail