ANALYSE CIRCUIT DM Conférence des Pharmaciens de Bretagne
|
|
- Martial Latour
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ANALYSE CIRCUIT DM Conférence des Pharmaciens de Bretagne Jeudi 21 juin 2012
2 GENESE DU TRAVAIL (1) EUROPHARMAT 1999 : Guide pour la réalisation d un Manuel Qualité d un service pharmaceutique des dispositifs médicaux 2006 ; Journées Europharmat à Biarritz Session sur analyse des risques et DM Le risque intrinsèque du DM Approche incontournable du marquage CE pour l industriel Eléments d instruction du dossier de MV Le risque «flux» du DM Approche utile pour l établissement du Santé TRACABLITE (3 mois avant le décret)
3 GENESE DU TRAVAIL (2) 2010 ; Journées Europharmat de Toulouse Décision d élaboration d un guide d ANALYSE DE RISQUE DU CIRCUIT DES DISPOSITIFS MEDICAUX Réalisé sur 5 séminaires de 2,5 jours + 1 séminaires de 1 jour Participation de 24 membres de la Commission Techniques Europharmat Au total : 135 j/homme en «présentiel» 15 jours hommes de mise en forme Travail encore en cours
4 METHODOLOGIE (1) Analyse des risques à priori (1) = Analyse Préliminaire des Risques (APR) Démarche méthodique (Desroches A, Baudrin D, Dadoun M : L analyse préliminaires des risques : principes et pratiques Ed Lavoisier 2009) 1. Analyse du processus 2. Identification des situations dangereuses 3. Recherche de solutions 4. Maîtrise de risques
5 METHODOLOGIE (2) Analyse des risques à priori (2) Terminologie utilisée Situation dangereuse : présence d un danger ou d une menace dans le processus = défaillance Mesure de l occurrence = vraisemblance d une situation ou d un événement redouté Evaluation de la gravité des conséquences en terme de dommage NF EN ISO FD ISO Guide 73:2009
6 T1 : ANALYSE DU PROCESSUS (1) Processus = ensemble d activités ayant une finalité commune Ces activités sont liées à des acteurs des outils, des moyens des contraintes
7 T1 : ANALYSE DU PROCESSUS Besoin exprimé (2) Analyse de la demande Achat Commande Retour fournisseur 12 étapes distinguées * en PUI * 4 +1en US * 1 +/- sous traitée Réception DM en stock? Oui Mise en stock Délivrance Livraison - Transport Non Réception Mise en stock Retour DM utilisé/implanté
8 Ex : ANALYSE DE LA DEMANDE Analyse de la demande = sous-processus : 3 étapes Besoin d un DM Expression de la demande Service de soins Réception de la demande Analyse et traitement PUI Demande «traitée»
9 T2 : IDENTIFICATION DES SITUATIONS DANGEREUSES «Brain storming» Problème de langage : distinction entre Danger (facteur de risque) Evénement dangereux Risque Conséquences, dommages
10 T3 : ANALYSE DES CAUSES (1) Pour chaque cause, il faut déterminer Les causes amorces, immédiates Les causes profondes (racines) Outil utilisé = Ishikawa (5M : Matériel, Main d œuvre, Matière, Méthode, Milieu)
11 Ex : ANALYSE DE LA DEMANDE F. risque Patien t Matière Matériel Pann e SIH Support demande Inconnu e Procédure référenceme nt Inadapté e Main d oeuvre Oubli Charge de travail Méthode Nouveau personnel Méconnaissan ce Marché Urgenc e Contraintes économiques Nombre de DM Milieu Référenceme nt du DM
12 T3 : ANALYSE DES CAUSES (2) Identification Risque initial Evaluatio n Risque résiduel Evaluatio n Gestion
13 T4 : HIERARCHISATION (1) Echelle de score de gravité
14 T4 : HIERARCHISATION (2) Echelle de score de vraisemblance
15 T4 : HIERARCHISATION (3) Etablissement d une matrice de criticité
16 T5 : MAITRISE DES RISQUES (1) 1. Propositions de solutions Réduction des risques Action sur la vraisemblance (on diminue la probabilité d apparition) = Prévention Action sur la gravité = Protection 2. Identification des acteurs Internes ou externes à l EdS, à la PUI 3. Quantification de l effort à produire
17 T5 : MAITRISE DES RISQUES (2) 4. Evaluation de la criticité définitive Cible : plus de C3 Cible moyenne : atteindre C2 Cible haute : passer la majorité en C1
18 RESULTATS Tableau final réalisé Poursuite du travail par proposition de fiches action Proposition de l ANAP de reprise du travail pour diffusion et mise en forme du même type que pour le circuit du médicament
Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailQuels échanges et pourquoi? Pour faire évoluer dans le temps vers quelle structure de pilotage?
La GMAO et la GTB Les outils de pilotage et de diagnostic de la maintenance, de l exploitation des installations techniques Quels échanges et pourquoi? Pour faire évoluer dans le temps vers quelle structure
Plus en détailCircuit du médicament informatisé
Circuit du médicament informatisé Points de vigilance axe technique SOMMAIRE... 1 FICHE N 1- DISPONIBILITE ET PERFORMANCE... 2 FICHE N 2- ENVIRONNEMENT DE TEST... 4 FICHE N 3- VERSIONNING... 5 FICHE N
Plus en détailLa cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE
La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE Définitions Successivement la cartographie a été: L'Art de dresser les
Plus en détailRéférentiels d Interopérabilité
INFORMATION HOSPITALIERE STANDARDISEE Formation Maîtrise d Ouvrage Hospitalière Informatisation du circuit du médicament & des dispositifs médicaux Référentiels d Interopérabilité 7 ème édition : 14 janvier
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailHACCP Évolutions réglementaires et normatives
MADRPM / CEPR Rabat 30 octobre 2007 HACCP Évolutions réglementaires et normatives Une logique de maîtrise But : maîtrise de la sécurité sanitaire des aliments Système HACCP : «Analyse des dangers, points
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailUN POINT DU VUE SUR LES DIFFICULTÉS RENCONTRÉES DANS L USAGE DE L HACCP
UN POINT DU VUE SUR LES DIFFICULTÉS RENCONTRÉES DANS L USAGE DE L HACCP «!Groupe de Réflexion sur l Analyse des Dangers en Alimentaire!» www.reseau-case.com/haccp présenté par Gilles TIXIER 2004 - dernière
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailComment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys
Comment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys Sommaire Keonys, votre partenaire PLM Le S.A.V avec Cepheus Group Conclusion Q & A 2 Conseil & intégration
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détailCoordination Ville Hôpital
Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailSupport méthodologique pour la mise en place d un Système de Gestion de la Sécurité
Support méthodologique pour la mise en place d un Système de Gestion de la Sécurité Rapport intermédiaire DRA-08 Opération 1 Direction des Risques Accidentels Décembre 2001 Support méthodologique pour
Plus en détailSéminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007
BTS technico- Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007 BTS technico- Présentation des nouvelles épreuves : E3 Environnement économique et juridique E4 Négociation technico-e
Plus en détailPRESENTATION MEHARI: Process Reference Model MEHARI. Version Modification Date Author V00_00 23.02.2006 CSI
MEHARI DOCUMENT HISTORY Version Modification Date Author V00_00 23.02.2006 CSI V00_01 DIFFUSION Organisation Name Diffusion mode CLUSSIL GT ANARISK Membres présents Electronique PRM_Mehari_v0 Page 1 sur
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailETUDE SERDALAB SOMMAIRE «GED ET GESTION DE CONTENU : MARCHE, BESOINS ET TENDANCES 2009-2010»
ETUDE SERDALAB SOMMAIRE «GED ET GESTION DE CONTENU : MARCHE, BESOINS ET TENDANCES 2009-2010» PARUTION DECEMBRE 2009 SOMMAIRE...3 PRESENTATION DE L APROGED...7 REMERCIEMENTS...8 INTRODUCTION...9 METHODOLOGIE
Plus en détailMise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane
Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001 SARRAMAGNAN Viviane Master II Économie et Gestion de l Environnement Année universitaire 2008/2009 Sommaire Présentation
Plus en détailCertification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse
Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Jeudi 9 avril 2015 1 Sommaire Présentation de la Maison de santé Marie Galène La démarche de certification ISO 9001 à Marie Galène Pourquoi cette
Plus en détailGI.BI.DI. BENELUX NV. Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos
Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos Installateur: (Nom, adresse, téléphone) GUIDE UNAC N. 4 POUR LA MOTORISATION DE PORTES SECTIONNELLES POUR GARAGES CONFORMEMENT A LA DIRECTIVE MACHINES 98/37/CE
Plus en détailMenaces et sécurité préventive
HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Menaces et sécurité préventive Matinales Sécurité Informatique 18
Plus en détailII 2G EEx ia IIC T6. Mode de protection
Informations générales Selon la directive 94/9/CE, un appareil destiné à être utilisé en zone à atmosphère explosible ne doit être mis sur le marché que s il satisfait aux caractéristiques définies dans
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détailCAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES
PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES Les activités sont à développer lors de la réalisation d un ouvrage ou d une installation simple ACTIVITES : 1) Préparation / Organisation 1- Prendre connaissance du
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailSécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies
Sécurité des machines CE neuves Grille de détection d anomalies ED 4450 Document uniquement téléchargeable sur www.inrs.fr Afin de ne pas exposer les opérateurs à des risques d accident ou de maladie professionnelle,
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailMobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité
Mobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité Journées Innovation Recherche BSPPP Matthieu LAURAS (EMAC), Cdt Florent COURREGES (SDIS81) matthieu.lauras@mines-albi.fr, florent.courreges@sdis81.fr
Plus en détailTraiter les appels à la permanence téléphonique d assistance. Résumé. Destinataires. Suivi des modifications
Objectif Nom fichier Lieu de stockage Créateur Résumé Mettre en place une organisation efficace des permanences téléphoniques 110307_TraiterAppelsTelephoniques_v0.0.0.doc S:\OPERATIONNEL\03_COLLEGES\03_2_Colleges_publics\14_E
Plus en détailAuditabilité des SI et Sécurité
Auditabilité des SI et Sécurité Principes et cas pratique Géraldine GICQUEL ggicquel@chi-poissy-st-germain.fr Rémi TILLY remi.tilly@gcsdsisif.fr SOMMAIRE 1 2 3 4 Les leviers d amélioration de la SSI Les
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailLa réglementation sur les Fermetures Automatiques de bâtiments
La réglementation sur les Fermetures Automatiques de bâtiments Securiparc 11 Bis rue de la Frébardière 35510 Cesson Sévigné Tel: 02 99 631 629 Fax: 02 99 631 673 La nouvelle réglementation sur les Fermetures
Plus en détailFormation professionnelle dans les métiers de l industrie au Nigéria. Graines d Espérance
Formation professionnelle dans les métiers de l industrie au Nigéria Graines d Espérance Origine du programme au Liban CHIFFRES CLES Formations courtes 1 centre équipé 136 bénéficiaires Jumelages Formations
Plus en détailLogiciel d aide à l évaluation des risques professionnels
Logiciel d aide à l évaluation des risques professionnels SARL au capital de 8.000-5 bis, rue du Pont de Lattes - 34070 MONTPELLIER Tél. 09 52 84 08 22 / Fax. 01 34 29 61 83 SIRET : 449 269 208 00020 Site
Plus en détailCe document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.
Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,
Plus en détailIdentification et analyse des ruptures de flux en pratique
Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité
Plus en détailOUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE
OUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE À quoi sert cet outil? Les musées obtiennent une image instantanée de la situation actuelle de leur réserve et bénéficient d un diagnostic préliminaire.
Plus en détailGénie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5
Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailAuditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon
Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailPréparer un état de l art
Préparer un état de l art Khalil DRIRA LAAS-CNRS, Toulouse Unité de recherche ReDCAD École Nationale d ingénieurs de Sfax Étude de l état de l art? Une étude ciblée, approfondie et critique des travaux
Plus en détailTremplins de la Qualité. Tome 2
Tome 2 CET OUVRAGE EST UN GUIDE D INTERPRETATION DE LA NORME NF EN ISO 9001 VERSION 2000 AVANTPROPOS Ce guide d aide à la rédaction du Manuel de Management de la Qualité a été rédigé par la Fédération
Plus en détailAvis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»
Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant
Plus en détailL évaluation des risques professionnels
LE POINT DES CONNAISSANCES SUR ED 5018 L employeur a l obligation d assurer la sécurité et de protéger la santé de ses salariés. Il dispose pour ce faire d un des principes de prévention énoncé dans le
Plus en détailTECHNIQUES DE DISTRIBUTION
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION TECHNIQUES
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailQu est-ce qu un système d Information? 1
Qu est-ce qu un système d Information? 1 Une définition du système d information «Tout moyen dont le fonctionnement fait appel à l électricité et qui est destiné à élaborer, traiter, stocker, acheminer,
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec
Plus en détailFORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014
FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailCQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification Designation du métier ou des composantes du métier en lien
Plus en détailtouristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs
Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation
Plus en détailLEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005
LEXIQUE DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr NF EN ISO 9000 octobre 2005 DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) - GENERAL ISO
Plus en détailLES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL
LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner
Plus en détailL analyse de risques avec MEHARI
L analyse de risques avec MEHARI Conférence Clusif : MEHARI 2010 Marc Touboul - marc.touboul@bull.net Responsable du Pôle Conseil Organisation SSI Bull, 2010 agenda Bull Pôle Conseil SSI Un exemple de
Plus en détailL Assurance Qualité DOSSIER L ASSURANCE QUALITE
DOSSIER L ASSURANCE QUALITE L Assurance Qualité DOSSIER N D4-2-GW0301 Satisfaction.fr 164 ter rue d Aguesseau 92100 Boulogne Billancourt 01.48.25.76.76 http://www.satisfaction.fr/ Page 1 Définition Normalisée.
Plus en détailTUV Certification Maroc
Page 1 sur 7 Formation : Référence : Durée : Formation enregistrée IRCA Auditeur / Responsable d audit ISO 27001 :2005 IR07 5 jours TÜV Rheinland Akademie Page 2 sur 7 OBJECTIFS DE LA FORMATION Rappeler
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détail5èmes Rencontres du tourisme en Maurienne Mercredi 5 novembre 2014 St Michel de Maurienne
5èmes Rencontres du tourisme en Maurienne Mercredi 5 novembre 2014 St Michel de Maurienne Comment Val Thorens, à travers la mise en place d un écosystème numérique & humain, favorise le service et l expérience
Plus en détail«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament»
«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» Prestations proposées par M. (Réactualisation 2010) Á moduler selon vos besoins 1 Contexte/Enjeux/Objectifs : La sécurisation du circuit
Plus en détailSEMINAIRE DE L IFE. Un système de management environnemental basé sur ISO 14001. Presenté par Manoj Vaghjee
SEMINAIRE DE L IFE Un système de management environnemental basé sur ISO 14001 Presenté par Manoj Vaghjee Qu est-ce que l Environnement? INTRODUCTION - ISO 14001 Pourquoi le management environnemental?
Plus en détailQuelle place pour l'adaptation et le financement dans l'accord post 2020? Alpha Oumar Kaloga Chargé de Mission CC &Development 14.04.
Quelle place pour l'adaptation et le financement dans l'accord post 2020? Position du Groupe Africain Alpha Oumar Kaloga Chargé de Mission CC &Development 14.04.2015 Contexte... Emission actuelle nous
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailMEAD : temps réel et tolérance aux pannes pour CORBA
MEAD : un intergiciel temps-réel et tolérant aux pannes pour CORBA Master 2 Informatique Recherche Université de Marne-la-Vallée Vendredi 3 mars 2006 Plan 1 Introduction 2 Solutions existantes 3 Concilier
Plus en détailSécurité des machines Modes de fonctionnement protections neutralisées
Sécurité des machines Modes de fonctionnement protections neutralisées L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS est un
Plus en détailBrevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE
Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE l ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE Direction de l enseignement supérieur Service des contrats et
Plus en détailPharmacie, L équipe. Sommaire
Pharmacie, L équipe Jean-Luc Le Moal Docteur en pharmacie, diplômé en économie et gestion des systèmes de santé (CNAM). Rejoint le CNEH en 1999 après des fonctions au CH de Quimper et au CHU de Nantes.
Plus en détailLES DIFFERENTS SYSTEMES DE MARQUAGE DES INSTRUMENTS. Atelier n 2
LES DIFFERENTS SYSTEMES DE MARQUAGE DES INSTRUMENTS Atelier n 2 UNITES DE SOINS MCJ PRE-DESINFECTION Transport UTILISATION Dossier médical informatisé du patient Logiciel de traçabilité du processus de
Plus en détailDU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES*
R. GESTION DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* Le Groupe de travail des politiques de coopération en matière de et de normalisation: Reconnaissant que l atténuation du risque qui peut avoir une incidence
Plus en détailQualité et gestion des risques
formation 2007 Qualité et gestion des risques Qualité et certification HAS Démarche qualité Qualité et certification ISO Qualité en imagerie Qualité au laboratoire Management des risques Risques spécifiques
Plus en détailGUIDE DE TRAITEMENT DES RECLAMATIONS CLIENT
REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier toutes les entreprises qui ont bien voulu nous faire part de leurs témoignages. Nous remercions le CERVIA pour nous avoir fourni des contacts indispensables à l établissement
Plus en détailCONNAISSANCES DE GESTION DE BASE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION CONNAISSANCES
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailMV Consulting. ITIL & IS02700x. Club - 27001- Toulouse Sébastien Rabaud Michel Viala. Michel Viala
MV Consulting Michel Viala ITIL & IS02700x Club - 27001- Toulouse Sébastien Rabaud Michel Viala ITIL & ISO2700x : Présentation Intervenants Michel VIALA : Consultant ITIL confronté à la prise en compte
Plus en détailCULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes
CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et
Plus en détailPôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover
Page 1 Innover en mécanique Page 2 Rencontre Solutions Energie Entreprises Lille le 20 mai 2014 Atelier : «Audit énergétique obligatoire : quelles sont les entreprises concernées?» Eric SENECHAL-CETIM
Plus en détailTUV Certification Maroc
Page 1 sur 8 Formation : Référence : Durée : Formation enregistrée IRCA Auditeur / Responsable d audit ISO 22000 :2005 Q02 5 jours Date : Du 12 au 16 Octobre 2009 Lieu : HOTEL BARCELO à Casablanca TÜV
Plus en détailFORMATIONS QUALIFIANTES ET DIPLOMANTES EN MICROFINANCE
GROUP WEST AFRICA MICROFINANCE CONSULTING COMPANY CONSULTING CIFOMBE CIFOMCI ARIMANE -ONG FORMATIONS QUALIFIANTES ET DIPLOMANTES EN MICROFINANCE CENTRES INTERNATIONAUX DE FORMATION EN MICROFINANCE CIFOMBE
Plus en détailMAQUETTE M2 PRO ILTS 2013-2014
UFR ETUDES INTERCULTURELLES DE LANGS APPLIQES Département Professionnalisation Dip : MTLBAP 109 Et : MTLB1P MAQTTE M2 PRO ILTS 2013-2014 Une 1 au choix 1 Parcours IL et deux langues modalités de contrôle
Plus en détailHarmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers
Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Christian Hoarau, Professeur a l'institut d'administration des entreprises de Paris La
Plus en détailAnaXagora LMS v3.0. Guide d utilisation
AnaXagora LMS v3.0 Guide d utilisation Sommaire 1. PRESENTATION DE LA PLATE-FORME D APPRENTISSAGE ANAXAGORA...3 2. ARCHITECTURE FONCTIONNELLE...5 3. L APPRENTISSAGE...6 3.1. L ESPACE DE TRAVAIL...6 3.1.1.
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailManagement des risques
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES Management des risques acteurs de la santé, du social et du médico-social «Enfin un assureur qui m accompagne dans la gestion des risques» Édito La mission de Sham
Plus en détailARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics
ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics DEFINITION D UNE NORME UNE NORME EST UN DOCUMENT : *ETABLI PAR CONSENSUS ET APPROUVE
Plus en détailJEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1
JEAN-LUC VIRUÉGA Traçabilité Outils, méthodes et pratiques, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 2 à l assurance qualité Après la définition de la traçabilité dans la métrologie, on peut remarquer que le domaine
Plus en détailANNEXE 1 DEFINITIONS DES NIVEAUX DE QUALIFICATION DES EMPLOIS
ANNEXE 1 DEFINITIONS DES NIVEAUX DE QUALIFICATION DES EMPLOIS DEFINITIONS DES NIVEAUX DE QUALIFICATION DES EMPLOIS Employés et cadres Contenu des activités (en terme de technicité, animation, gestion-communication,
Plus en détailFORMATION ECLAIRAGE PUBLIC
FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF
Plus en détailBILAN DES ACTIVITES DE L AMPI 2014-2015 Yamoussoukro, Côte d Ivoire 24 juillet 2015. The African Mobile Phone Financials Services Policy Inititive
BILAN DES ACTIVITES DE L AMPI 2014-2015 Yamoussoukro, Côte d Ivoire 24 juillet 2015 Sommaire 1. ACTIVITES REALISEES SUR LA PERIODE DE FEVRIER 2014 A JUILLET 2015 2. CHANTIERS EN COURS 3. DEFIS 4. PERSPECTIVES
Plus en détailFORMATION ETUDE D IMPACT ENVIRONNEMENTAL(EIE)
FORMATION ETUDE D IMPACT ENVIRONNEMENTAL(EIE) 1 Collar Corporation - Collar Academia, Siège Sociale. Riviera Palmeraie rue de la pharmacie du Bonheur. Bureau annexe Yopougon Maroc PROGRAMME DE LA FORMATION
Plus en détailDDO/D2OM/DPMI Séminaire ACORS SMI Septembre 2014. Quitter sommaire préc. suiv.
1 Séquence 1 : La continuité dans nos démarches centrées sur nos clients L engagement du directeur général Historique des démarches Présentation du référentiel SMI Séquence 2 : Les outils du SMI Le référentiel
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détail