MÉCANISME DE CAPACITÉ FRANÇAIS CONTEXTE ET ENJEUX DU GÉRALD VIGNAL. nce.com. MÉCANISME DE CAPACITÉ FRANÇAIS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MÉCANISME DE CAPACITÉ FRANÇAIS CONTEXTE ET ENJEUX DU GÉRALD VIGNAL. nce.com. MÉCANISME DE CAPACITÉ FRANÇAIS"

Transcription

1 1 LE MÉC CANISME DE CAPACITÉ FRANÇAIS CONTEXTE ET ENJEUX DU GÉRALD VIGNAL MÉCANISME DE CAPACITÉ nce.com

2 Contexte et enjeux du mécanisme de capacité MÉCANISME DE CAPACITÉFRANÇAIS

3 Cadre réglementaire de mise en œuvre du mécanisme Loi NOME Rapport RTE architecture du mécanisme Décret Règles CRE RTE Implémentation du mécanisme de capacité Publication de la CRE sur prix et volumes d échanges Publication de RTE sur prévision besoin global Première année de livraison Concertation CURTE Concertation avec les acteurs

4 Cadre réglementaire e qu il faut retenir Contrats Concertation et approbation T Règles Proposées le 9 avril 2014 En attente d approbation Ministre Décret 14 décembre 2012 Loi Nome 7 décembre 2010

5 Le mécanisme de capacité accompagne la transition énergétique Inciter à la maîtrise de la pointe de consommation Réduire la pointe électriquee (+33% en dix ans) Développer les effacements de consommation, dans un contexte de développement de l intermittence Eolien PV Maîtriser l économie du dispositif Signaux économiques pertinents pour garantir la sécurité d alimentation Coûts pour les consommateurs maîtrisés Assurer la sécurité d alimentation selon le niveau de sécurité d alimentation déterminé par les pouvoirs publics

6 Propositions de RTE pour les règles du mécanisme de capacité MÉCANISME DE CAPACITÉFRANÇAIS

7 Concertation sur les règles T1 T2 T3 T Janv Févr Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Dec Janv Élaboration du projet de Règles (Paramètres, schéma d ensemble et spécification) Projet Rapport de Règles Rapport V0 V0 Soumission à la CRE et au Ministre CAM du 10/04 Point intermédiaire de synthèse et de coordination sur l avancée des travaux CAM du 11/07 Synthèse des travaux de la concertation Consultation projet de règles Le projet de Règles est le point de sortie d un long processus de concertation avec les acteurs (22 réunions de travail, 76 contributions écrites, 52 présentations, 1 outil de simulation mis à disposition) Finalisation des règles CAM du 18/12 Synthèse des évolutions suite aux retours acteurs Rapport Règles Rapport V0 V0 Instruction CRE Processus d approbation Avis CRE Approbation pa Ministre

8 Architecture générale du mécanisme de capacité Critère de sécurité d approvisionnement défini par le ministère (Espérance de défaillance = 3h) Obligation portant sur les fournisseurs d'acquérir des garanties de capacité pour couvrir la consommation de leurs clients à la pointe. Engagement de la part des exploitants de capacité à rendre leurs capacités disponibles pendant les périodes de pointe. En échange, ils reçoivent des garanties de capacité qu ils pourront valoriser. Obligation des fournisseurss Méthode de calcul de l obligation Demande de garanties Critère de sécurité d approvisionnement Marché de capacité Marché de capacités Marché de capacités Capacités Certification Offre de garanties Engagement sur une disponibilité Le prix de la capacité reflète le coût de la sécurité d approvisionnement pour chaque année de livraison

9 Articulation de l obligation des fournisseurs et la certification des capacités Principe général Le risque de défaillance, principe clef du mécanisme Obligation Renvoie à la contribution au risque de défaillance Certification Reflète la contribution à la réduction du risque de défaillance Application La sécurité d approvisionnement repose principalement, en France, sur la capacité à passer les vagues de froid

10 Obligation des fournisseurs Principe général L obligation des fournisseurs reflète leur contribution au risque de défaillance Solution technique L obligation des fournisseurs est basée sur une vague de froid de référence : à partir des consommations réalisées durant les pointes de consommation hivernales (PP1) ramenées à une T extrême représentative du risque contre lequel le système cherche à se couvrir (T à 1/10) multipliée par un coefficient de sécurité intégrant la contribution des interconnexions prise en compte implicitement lors du démarrage du mécanisme

11 Période de pointe de l obligation (PP1) L obligation de capacité doit refléter la contribution au risque défaillance de le risque de défaillance existe lors des périodes de pointe La consommationn à la pointe est représentative du risque généré Signalement de PP1 Visibilité donnée aux acteurs Nouveau levier opérationnel de gestion de l équilibre offre-demande à la main de RTE Plages horaires [07h00 ; 15h00[ et [18h00 ; 20h00[ des jours signalés par RTE Les jo ours signalés ne sont pas fixés avant la période de livraison mais ils appartiennent toujours aux jours ouvrés des mois de novembre à mars diminuée des vacances scolaires de Noël Les jours PP1 sont signalées par RTE en J-1 à 10h30 sur la base d un critère consommation Le volume de jours PP1 varie entre 10 et 15. Principe de non discrimination entre effacement certifié et réduction de l obligation PP1 doit être ciblée Les actions de gestion de maîtrise de la pointe seront concentrées sur les heures PP1 1

12 Principe de certification des capacités Niveau de capacité certifié Niveau de capacité effectif A partir de 4 années avant la période de livraison Année de livraison Niveau de Capacité certifié calculé sur la base des déclarations des exploitants qui peuvent les ajuster via le rééquilibrage Niveau de Capacité effectif calculé sur la base de la disponibilité réelle et mesurée Rééquilibrages possibles Règlement des écarts 1

13 Certification des capacités Principe général La certification d une capacité reflète sa contribution à la sécurité d approvisionnement Solution technique La certification est basée sur la contribution d une capacité à la réduction de la défaillance durant les périodes de tension hivernales : Prise en compte de la disponibilité réelle durant les périodes de tension hivernale (PP2) Prise en compte des contraintes de stock en cohérence avec le paysage de défaillance (coefficient K) Mise en place d un dispositif de rééquilibrage capacité offrant de la souplesse aux exploitants de 1

14 Période de pointe côté certification (PP2) La certification est basée sur la contribution à la réduction risque de défaillance du La disponibilité doit être contrôlée sur les réelles heures de tension du système Non discrimination entre effacement certifié et réduction de l obligation Un critère sur l activation est plus contraignant qu un critère sur la disponibilité PP2 > PP1 Signalement de PP2 Permet une intégration des périodes de tension et pas seulement pointe Nouveau levier opérationnel de gestion de l équilibre offre-demande à la main de RTE Plages horaires [07h00 ; 15h00[ et [18h00 ; 20h00[ des jours signalés par RTE Inclusion de PP1 dans PP2 Les jours PP2 sont signalées en J-1 au plus tard à 19h (jours PP2 hors PP1) Le signal est fondé majoritairement sur un critère consommation et intègre des éléments sur la tension prévisionnelle du système Le volume de jours PP2 varie entre 10 et 25 avec un maximum de 25% sur novembre + mars Un choix de PP2 court permet de révéler la valeur des effacements sans préjudice pour les capacités de production 1

15 Règlements financiers La couverture effective des engagements des acteurs repose sur les incitations économiques véhiculées par les règlements financiers auxquels ils sont exposés Les règlements financiers correspondent à des règlements des écarts, symétriques côté obligation et certification Le prix de règlement des écarts ren nvoie à un prix de référence marché (avec incitation à privilégier le marché) ou à un prix administré si la sécurité d approvisionnement est menacée Sécurité d approvisionnement menacée (écart global < écart limite) Sécurité d approvisionnement non menacée (écart global écart limite) Prix de règlement des écarts négatifs Padmin (1+K) x Prm Prix de règlement des écarts positifs (1-K) x Prm (1-K) x Prm Padmin : prix administré ; Prm : prix référence marché ; K : coefficient d incitation (0,1) 1

16 Transparence du mécanisme Dispositions de transparence permettant un bon fonctionnement du mécanisme 2 registres à caractère public gérés par RTE Registre des capacités certifiées Registre des actions de maitrise de la consommation à la pointe Toutes les capacités doivent être certifiées Publications d informations détaillées sur le volume de capacités certifiées, les disponibilités prévisionnelles ainsi que les niveaux effectifs des années échues Toutes les mesures prises par les fournisseurs en vue de réduire la consommation à la pointe doivent être déclarées RTE publiera annuellement des prévisions sur le volume de garanties nécessaires à la couverture de la somme des obligations Publications de la CRE sur les prix et les volumes échangés sur la base des données tracées dans le registre des garanties de capacité géré par RTE Le mécanisme de capacité est un outil de transparence pour tous les acteurs sur le niveau de sécurité d approvisionnement du système électrique 1

17 Temporalité du mécanisme 4 ans Année de livraison Certification des capacités Certification des nouvelles capacités (y compris effacements) Rééquilibrages Vérification par RTE de la disponibilité des capacités (PP2) Règlement des écar (capacités certifiée non disponibles) Marché de capacité à terme (possibles) sessions de marché organisé Développement d actions de maitrise de la pointe Evaluation du besoin en garanties Calcul par RTE de l obligation des fournisseurs (PP1) Règlement financi (montant détenu insuffisant) 1

18 Mise en œuvre opérationnel du mécanisme Publication du besoin lobal de capacité Bilan Prévisionnel 01/11 ébut de certification par RTE CERTIFICATION Actualisation du besoin global de capacité 15/09 Première année de livraison : Les échéances de la certification : o Démarrage certification au 1 er novembre 2014 (pour toutes les capacités) o Certification production existante jusqu au 15 Sept 2015 o Certification des nouvelles capacités de production et des effacements jusqu au 31 août 2016 Certification de la production existante LIVRAISON CERTIFICATION Certification des effacement et des capacité en projet 31/08 1

19 La future organisation du marché électrique français Assurer l adéquation de capacité avec un mécanisme de capacité POUVOIRS PUBLICS RTE ACTEURS DE MARCHÉ Critère de sécurité d alimentation Politique Énergétique Alertes Études sur l adéquation de capacités (Bilan Prévisionnel) Critère d obligation Capacités Signal de prix de la capacité Marchés de capacité Consommation Signal de prix de l énergie Marché de l énergie Points clefs Une obligation de capacité pour les fournisseurs à travers un critère dynamique prenant en compte la thermo-sensibilité de la consommation Des engagements de disponibilité pour toutes les capacités vérifiés par des contrôles sur le marché et physique Une intégration des capacités d effacement de consommation Une incitation pour les fournisseurs à maitriser leur consommation lors des périodes de pointe Possibilité d appel d offres Nouveau! Le mécanisme de capacité est un outil pour accompagner la transition énergétique, qui va évoluer progressivement d un vision centrée sur la pointe nationale à une approche intégrant la flexibilité nécessaire au système dans un contexte de développement des énergies intermittentes 1

20 Merci de votre attention. 1

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique MECANISME DE CAPACITE Guide pratique SOMMAIRE 1 Principes... 4 2 Les acteurs du mécanisme... 5 2.1 Les acteurs obligés... 5 2.2 Les exploitants de capacité... 5 2.3 Le Responsable de périmètre de certification...

Plus en détail

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015 Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis

Plus en détail

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH 20 Décembre 2005 Evaluation de la mise en œuvre CRM & FH Objectif des travaux Evaluer la mise en œuvre de la formation de type CRM pour PNT, PNC,

Plus en détail

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une

Plus en détail

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise

Plus en détail

In t r o d u c t i o n

In t r o d u c t i o n In t r o d u c t i o n Qu allez-vous trouver dans ce livre? Ce livre présente une méthode en six étapes pour élaborer votre plan de formation. Son objectif est de vous permettre de concevoir un plan qui

Plus en détail

DESS INGENIERIE FINANCIERE

DESS INGENIERIE FINANCIERE DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options

Plus en détail

Agence de communication digitale

Agence de communication digitale Agence de communication digitale Spécialisé en création et stratégie digitale, Adveris regroupe tous les métiers interactifs au service des entreprises et des marques. Confidentiel 0 Une parfaite maîtrise

Plus en détail

Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité de l Ontario

Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité de l Ontario 333, rue Bay Bureau 1250 Toronto ON M5H 2R2 416 927-1641 téléphone 416 927-0541 télécopieur Note de service Destinataire : Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité

Plus en détail

formations Le Guide de FORMATIONS 1er semestre 2015 DÉVELOPPEZ VOTRE ACTIVITÉ PAR L ENRICHISSEMENT DE VOS COMPÉTENCES COMMERÇANTES + D INFO

formations Le Guide de FORMATIONS 1er semestre 2015 DÉVELOPPEZ VOTRE ACTIVITÉ PAR L ENRICHISSEMENT DE VOS COMPÉTENCES COMMERÇANTES + D INFO FORMATIONS Le Guide de formations 1er semestre 2015 DÉVELOPPEZ VOTRE ACTIVITÉ PAR L ENRICHISSEMENT DE VOS COMPÉTENCES COMMERÇANTES + D INFO Contactez Wilfried contact@doddy.fr 07 77 28 18 39 "Les espèces

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail

DOCUMENTS : LES RAPPORTS LOCATIFS

DOCUMENTS : LES RAPPORTS LOCATIFS DOCUMENTS : LES RAPPORTS LOCATIFS la fin du bail : renouveler le bail, quitter le logement le loyer : fixation, augmentation, paiement du loyer un bail écrit pour quoi faire? Un contrat écrit clarifie

Plus en détail

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux

Plus en détail

12 mois pour un budget

12 mois pour un budget 12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser

Plus en détail

LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011

LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 SOMMAIRE 01. Les enjeux du marché de électricité 02. L ouverture du marché de l électricité en Europe 03. Le

Plus en détail

EOLE TRADING INTEGRALE

EOLE TRADING INTEGRALE EOLE TRADING INTEGRALE Formation 100% en ligne Coaching Live d un an Accès à nos outils exclusifs 1- PRESENTATION Eole Trading Intégrale est une formation d une année composée en 3 phases. Elle est accessible

Plus en détail

CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO

CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO Stéphane GUILLET Né le 24/09/1973 Nationalité : FR 62219 LONGUENESSE FRANCE stephane.guillet@hotmail.fr tel : +33 (0)6 83 73 62 50 CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO Membre de l ISAP Nord : http://www.federation-isap.com

Plus en détail

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements Monitoring de la performance acoustique d un d revêtement phonoabsorbant en milieu urbain François Aballéa, Pierre-Jean René a Olivier Schalbetter, Lucien Pignat b Daniel Vaucher de la Croix, Fabien Lassablière

Plus en détail

OCTOBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 CALENDRIER SCOLAIRE 2015-2016 2016-2017

OCTOBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 CALENDRIER SCOLAIRE 2015-2016 2016-2017 SEPTEMBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 OCTOBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28

Plus en détail

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Bilan du marché organisé du gaz. 8 mars 2012

Bilan du marché organisé du gaz. 8 mars 2012 Bilan du marché organisé du gaz 8 mars 2012 Bilan du marché organisé du gaz Modèle de marché Références de prix Membres Liquidité Panorama européen Service Système Equilibrage Couplage Afgaz 8 mars 2012

Plus en détail

CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO

CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO Stéphane GUILLET Né le 24/09/1973 Nationalité : FR 62219 LONGUENESSE FRANCE stephane.guillet@hotmail.fr tel : +33 (0)6 83 73 62 50 CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO Membre de l ISAP Nord : http://www.federation-isap.com

Plus en détail

1/ La place du référencement dans la gestion de trafic sur un site web

1/ La place du référencement dans la gestion de trafic sur un site web Rapport réalisée par JULIEN GUYOT, société Au Cœur de la Toile LA GESTION DE TRAFIC DES SITES EN LIGNE Thème : La place du référencement dans la gestion de trafic d un site. 2003-2004 Société Au Cœur de

Plus en détail

Guinée - Epidémie de la Maladie à virus Ebola Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 07 Juin 2015

Guinée - Epidémie de la Maladie à virus Ebola Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 07 Juin 2015 Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 7 Juin 215 I. Points saillants Deux (2) nouveaux cas confirmés ont été notifié ce jour dans les préfectures de Forécariah et de Kindia

Plus en détail

Diplôme Fédéral de Web Project Manager

Diplôme Fédéral de Web Project Manager 2015/2016 Diplôme Fédéral de Web Project Manager Formation supérieure 1 SAWI garantie d excellence Facteurs déterminants permettant de choisir une formation auprès du SAWI / Plus de 40 ans d expérience

Plus en détail

II. LE PRINCIPE DE LA BASE

II. LE PRINCIPE DE LA BASE II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas

Plus en détail

CAHIER DE TEXTE TECHNOLOGIE 6

CAHIER DE TEXTE TECHNOLOGIE 6 CAHIER DE TEXTE TECHNOLOGIE 6 Attention, les classes n'ont pas exactement le même emploi du temps. De plus, tout le travail n'est pas obligatoire car il faut avoir un ordinateur avec Internet à la maison.

Plus en détail

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex

Plus en détail

Effectifs et taux de réponse par discipline

Effectifs et taux de réponse par discipline observatoire régional #36 Synthèse régionale août 2013 à Master mixte Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2012 des diplômés de Master mixte promotion 2010 349 diplômés de M2 mixte en 2010 sur 399 interrogés

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE

LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE Thomas VILLARD Directeur de projets Systèmes Electriques Intelligents Anne CHATILLON Chef de projets Ville Durable Sommaire

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

Négociateur Technico - Commercial

Négociateur Technico - Commercial Négociateur Technico - Commercial La formation NTC par For Action Négociateur Technico Commercial Validation d un titre professionnel Niveau III (Bac +2) Prospecter, Présenter, Négocier une solution technique

Plus en détail

DUREE DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE PRINCIPE DE L ANNUALISATION

DUREE DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE PRINCIPE DE L ANNUALISATION Circulaire n 2014-6 du 02 juillet 2014 Maison des Communes - 4 rue Marie Laurencin 03400 YZEURE Téléphone 04 70 48 21 00 Télécopie 04 70 44 85 61 DUREE DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

Plus en détail

Rapport d Activité N 5 - Avril 2011

Rapport d Activité N 5 - Avril 2011 Infogérance et sécurité Virtualisation IP 6 le service modulaire IP Plug and Play pour les points de ventes Rapport d Activité N 5 - Avril 2011 Ce document a pour objectif de vous permettre d apprécier

Plus en détail

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise

Plus en détail

Article 133 : MAIRIE DU BOULOU

Article 133 : MAIRIE DU BOULOU Article 133 : MAIRIE DU BOULOU Article 133 : Liste des Marchés conclus en 2013 en application de l'arrêté du 26 décembre 2007 modifié par l'arrêté du 10 mars 2009 MARCHES DE TRAVAUX T R A N C H E D E 1

Plus en détail

Les parents d élèves et L ENT

Les parents d élèves et L ENT MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ACADEMIE DE CRETEIL COLLEGE LE PARC Les parents d élèves et L ENT Collège Le Parc Aulnay sous bois Un établissement scolaire de centre ville réparti sur 3 sites accueillant

Plus en détail

LBPoker. Barrière BarrierePoker.fr est un site de poker en ligne agréé par l Arjel sous le numéro 0023-PO-2010-07-26

LBPoker. Barrière BarrierePoker.fr est un site de poker en ligne agréé par l Arjel sous le numéro 0023-PO-2010-07-26 SAISON 2012 LBPoker. Barrière BarrierePoker.fr est un site de poker en ligne agréé par l Arjel sous le numéro 0023-PO-2010-07-26 CASINO BARRIERE DE CASSIS PROGRAMME TOURNOIS RÉGULIERS TEXAS HOLD'EM POKER

Plus en détail

L ADIL Vous Informe. Le prêt relais

L ADIL Vous Informe. Le prêt relais ADIL des Hauts de Seine L ADIL Vous Informe Le prêt relais Sur un marché immobilier qui tend à se réguler, faire coïncider la date de vente avec celle de l achat d un bien devient difficile. De nombreux

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

GROUPE TRIGONE INFORMATIQUE. Axway. Séminaire Trigone - Axway Jeudi 28 Mai 2015. Cercle National des Armées - Paris 8ème

GROUPE TRIGONE INFORMATIQUE. Axway. Séminaire Trigone - Axway Jeudi 28 Mai 2015. Cercle National des Armées - Paris 8ème GROUPE TRIGONE INFORMATIQUE Axway Séminaire Trigone - Axway Jeudi 28 Mai 2015 Cercle National des Armées - Paris 8ème Comment piloter votre Production Informatique avec une vraie vision métier? ou l alignement

Plus en détail

La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France

La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France en 12 diapos 1 La Bibliothèque nationale de France Missions Collecte du dépôt légal (livres, revues et Internet français) Valorisation

Plus en détail

TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE

TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs

Plus en détail

Délibération. 1. Contexte

Délibération. 1. Contexte Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 9 juillet 2014 portant approbation du modèle de contrat d accès au réseau public de transport d électricité pour les clients «consommateurs»

Plus en détail

Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014. Grand sondage régional. Étude quantitative. 25 mars 2014

Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014. Grand sondage régional. Étude quantitative. 25 mars 2014 Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014 Grand sondage régional Étude quantitative 25 mars 2014 Méthodologie MÉTHODOLOGIE SONDAGE INTERNET Un sondage Internet réalisé auprès du grand public

Plus en détail

Le Comité Consultatif du Secteur Financier. L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF

Le Comité Consultatif du Secteur Financier. L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF Le Comité Consultatif du Secteur Financier L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF Lucien Bernadine Secrétariat général du Comité consultatif du secteur financier Vendredi 21 mars

Plus en détail

ERDF prend le virage technologique des Smart Grids

ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film

Plus en détail

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 25 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Mai 2015 Sommaire 1 - La méthodologie 2 - Les résultats de l étude A B C - L impact du contexte économique

Plus en détail

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne

Plus en détail

Comment Elaborer un Plan d Action

Comment Elaborer un Plan d Action Comment Elaborer un Plan d Action Tenant compte du temps et des ressources limités des responsables de mise en œuvre de programmes, les outils de la série Straight to the Point (Droit au But) de Pathfinder

Plus en détail

Une démarche ACE Lean Six Sigma dans l IT

Une démarche ACE Lean Six Sigma dans l IT Une démarche ACE Lean Six Sigma dans l IT ENST 27/06/20 Technologies & Processus / Information Technology & Processes (ITP) BNP PARIBAS Hugo HEITZ «Supporting your business is our business» SIG Juin 20

Plus en détail

La notion d accident de trajet

La notion d accident de trajet La notion d accident de trajet Article juridique publié le 06/02/2015, vu 1161 fois, Auteur : Maître Joan DRAY La notion d accident de trajet est distincte de celle d accident du travail et bénéficie d

Plus en détail

PARCOURS FORMATION VEILLE TECHNOLOGIQUE. Formations LYNKS Veille Janvier 2013

PARCOURS FORMATION VEILLE TECHNOLOGIQUE. Formations LYNKS Veille Janvier 2013 PARCOURS FORMATION VEILLE TECHNOLOGIQUE Formations LYNKS Veille Janvier 2013 Parcours formation «Veille technologique» Ce programme de formation a été spécialement imaginé par LYNKS Veille pour optimiser

Plus en détail

La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité

La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité Alexis DIRER LEO, Université d Orléans Co-écrit avec Rim Ennajar-Sayadi Journée

Plus en détail

LES FINANCES COMMUNAUTAIRES. Le fonctionnement financier d une communauté de communes. Les ressources fiscales votées par l assemblée chaque année

LES FINANCES COMMUNAUTAIRES. Le fonctionnement financier d une communauté de communes. Les ressources fiscales votées par l assemblée chaque année 1 LES FINANCES COMMUNAUTAIRES Le fonctionnement financier d une communauté de communes Le cycle budgétaire de la collectivité est le même que pour une commune, il est rythmé par la prise de nombreuses

Plus en détail

PASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur les composants Shibboleth Service Provider v2.5.1 et Identity Provider v2.3.

PASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur les composants Shibboleth Service Provider v2.5.1 et Identity Provider v2.3. PREM IE R M IN IS T R E Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale Agence nationale de la sécurité des systèmes d information PASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur

Plus en détail

L assistance à maîtrise des projets logistiques risqués

L assistance à maîtrise des projets logistiques risqués L assistance à maîtrise des projets logistiques risqués Congrès Eurolog 21 juin 2006 Michel Fender Professeur Ecole nationale des ponts et chaussées Président Département Management Industriel, ENPC Co-directeur

Plus en détail

6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013

6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013 6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION 1 Réunion d informati on 6 mars 2013 CONTEXTE 2012 PIB 0,0 % CROISSANCE IT +0,7 % SAAS +30 % SOURCE INSEE 2012 +2,7% 0,0% 2012 2012 2010 2011 2012 +3,8% +1,6% +7,0% +2,0%

Plus en détail

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME pour Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME -Vague 8 - Le 20 janvier 2011 0 Note méthodologique Etude réalisée pour : KPMG et CGPME Echantillon : Echantillon de 402 dirigeants d entreprise,

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

FINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session)

FINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session) Octobre à juillet FINANCE, COMPTABILITE Intitulé Objectifs principaux (programme détaillé sur demande) Dates - Les principales fonctions statistiques, financières, de recherche Excel appliqué à la gestion

Plus en détail

UFR Lettres et Langues à l université de Lorraine

UFR Lettres et Langues à l université de Lorraine UFR Lettres et Langues à l université de Lorraine S inscrire en master mention Langues et cultures étrangères Spécialité études franco allemandes : communication et coopération transfrontalières Domaines

Plus en détail

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée 1/13 Dans le cadre des dispositions issues du code du travail, il est établi une synthèse du plan d actions. I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée Salaires annuels moyens de

Plus en détail

Avancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015

Avancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 Avancement du projet de création de l institut national de formation Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 2013-2014 2015 1 er janv. 2016 Etat des lieux Création de l institut Définition organisation

Plus en détail

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Solvabilité 2, une réforme en 3 piliers Les objectifs : Définir un cadre harmonisé imposant

Plus en détail

24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10

24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Agenda 1. Fiche d'identité de Solucom 2. Marché et activité du 1 er semestre 2010/11 3. Résultats semestriels 2010/11 4. Les ressources humaines, un enjeu

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Les estimateurs de marché optimaux de la performance de l immobilier de bureaux en France

Les estimateurs de marché optimaux de la performance de l immobilier de bureaux en France ÉTUDE RÉALISÉE PAR PIERRE SCHOEFFLER, SENIOR ADVISOR, IEIF Les estimateurs de marché optimaux de la performance de l immobilier de bureaux en France Février 2012 La recherche Les estimateurs de marché

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Comptabilité, contrôle, audit de l Université d Evry-Val-d Essonne - UEVE Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

Dématérialisation du courrier: à éviter

Dématérialisation du courrier: à éviter Dématérialisation du courrier: idées reçues et pièges à éviter Jean-Marc Rietsch Expert en archivage électronique Chargé de cours à Mines ParisTech Président de FEDISA (Fédération Européenne de l ILM du

Plus en détail

Présentation du projet Smart Electric Lyon

Présentation du projet Smart Electric Lyon . Présentation du projet Smart Electric Lyon 4/03/2014 EDF Les réseaux électriques deviendraient-ils intelligents? Décembre 2012 2 Consommation par marché et usages 2/3 pour le spécifique (Éclairage et

Plus en détail

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,

Plus en détail

Annuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB(

Annuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB( Annuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB( FICHEDEPRESENTATIOND UNPROGRAMMEDE SCIENCESPARTICIPATIVES Afin de caractériser et présenter les programmes de sciences participatives

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droit des affaires européen et comparé de l Université du Littoral Côte d Opale - ULCO Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014

Plus en détail

LISTE DE TOUS LES CONTRATS

LISTE DE TOUS LES CONTRATS LISTE DE TOUS LES CONTRATS COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 25 000 $ ou COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 2 000 $ CONCLUS AVEC UN MÊME COCONTRACTANT LORSQUE L ENSEMBLE DE CES CONTRATS COMPORTE UNE DÉPENSE

Plus en détail

Bienvenue. au Collège Montmorency. Présentation destinée aux nouveaux admis

Bienvenue. au Collège Montmorency. Présentation destinée aux nouveaux admis Bienvenue au Collège Montmorency Présentation destinée aux nouveaux admis Document mis à jour le 3 avril 2015 Conditions d admission au collégial Conditions minimales pour être admis au cégep : Diplôme

Plus en détail

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com Conférence téléphonique mercredi 6 octobre 2010 11 heures 223, rue Saint honoré 75001 PARIS Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com THEMES DE LA CONFERENCE TELEPHONIQUE 1 ère

Plus en détail

GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA

GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA Présenté par Mame Marie Sow SAKHO SEMINAIRE CONSUMAF 4,5 et 6 décembre 2006 1 SOMMAIRE CONTEXTE MARCHE DES TITRES PUBLICS : OBJECTIFS VISES LES DIFFERENTS TITRES

Plus en détail

Programme de formation 2014-2015

Programme de formation 2014-2015 Programme de formation 2014-2015 INTER INTRA SUR MESURE SOMMAIRE Conditions et Modalités d inscriptions 2 Calendrier 2014-2015 3 Description des formations 4-10 o Bases de la photométrie et de l éclairagisme

Plus en détail

UFR Lettres et Langues à l université de Lorraine

UFR Lettres et Langues à l université de Lorraine UFR Lettres et Langues à l université de Lorraine S inscrire en master mention Langues étrangères appliquées Spécialité langues étrangères et affaires internationales Option 1 : trois langues vivantes

Plus en détail

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier. Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage

Plus en détail

Service Municipal d Accueil Postscolaire

Service Municipal d Accueil Postscolaire Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr

Plus en détail

Aides à Domicile. Projet de prévention pour les. 10 juin 2010. Journée de la Santé au Travail Agen

Aides à Domicile. Projet de prévention pour les. 10 juin 2010. Journée de la Santé au Travail Agen Comité Interentreprises pour la Santé au Travail de Lot-et-Garonne Projet de prévention pour les Aides à Domicile 10 juin 2010 Journée de la Santé au Travail Agen 1 Plan de l'exposé Avant-propos sur cette

Plus en détail

Cagec Gestion. La lettre de l'entreprise culturelle

Cagec Gestion. La lettre de l'entreprise culturelle Cagec Gestion. Revue N Date Dossier Cagec gestion 71 janv-98 conservation et archivage des Cagec gestion 82 janv-99 Artistes étranger, formuliare E101 et paiement des cotisations Cagec gestion 83 févr-99

Plus en détail

CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS,

CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS, CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS, ( Le système ÉLECTRIQUE français Le nouveau groupe de production qui serait implanté à Flamanville s inscrit dans l ensemble du système électrique français dont

Plus en détail

Faire avancer la performance des entreprises

Faire avancer la performance des entreprises Faire avancer toutes les envies d entreprendre CCI Formation Continue Entreprises 1 er semestre 2015 Faire avancer la performance des entreprises + de 160 formations pour passer du savoir à l action www.formation-entreprise.com

Plus en détail

Résultats annuels 2012

Résultats annuels 2012 www.gfi.fr Résultats annuels 2012 1 Disclaimer Disclaimer Cette présentation peut contenir des informations de nature prospective relatives à la situation financière, aux résultats, aux métiers, à la stratégie

Plus en détail

Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France

Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France Les nouveaux enjeux et défis du marché immobilier Chaire Ivanhoé Cambridge ESG UQÀM Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France 1

Plus en détail

DUN-LE-PALESTEL DUN-LE-PALESTEL. Généralité de Moulins, sénéchaussée de Guéret

DUN-LE-PALESTEL DUN-LE-PALESTEL. Généralité de Moulins, sénéchaussée de Guéret Généralité de Moulins, sénéchaussée de Guéret 1 BAUGY Michel 1872 1873 CULLERRE Stanislas 1844 1861 DELAFONT 1601 1664 DELAFONT 1703 1726 DELAFONT Claude 1727 1774 DELAFONT Claude 1765 1774 DELAFONT Antoine

Plus en détail

Expérimentation sur la valorisation des effacements de consommation sur les marchés de l'énergie (dispositif "NEBEF 1")

Expérimentation sur la valorisation des effacements de consommation sur les marchés de l'énergie (dispositif NEBEF 1) Expérimentation sur la valorisation des effacements de consommation sur les marchés de l'énergie (dispositif "NEBEF 1") 16 octobre 2013 Expérimentation sur la valorisation des effacements de consommation

Plus en détail

Gestion des accès, fédération d identités. Olivier Salaün - RENATER

Gestion des accès, fédération d identités. Olivier Salaün - RENATER Gestion des accès, fédération d identités Olivier Salaün - RENATER La fédération d'identités? mécanisme standardisé de délégation d'authentification pour l'accès à des ressources numériques (web) très

Plus en détail

Observatoire de la performance des PME-ETI

Observatoire de la performance des PME-ETI Observatoire de la performance des PME-ETI 46 ème édition Avril 2015 OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris. Charles-Henri d Auvigny, Matthieu Cassan, Emmanuel Kahn & pour Méthodologie Méthodologie

Plus en détail

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT

Plus en détail