L information du grand public sur l antibiorésistance comparée aux faits scientifiques

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1 L information du grand public sur l antibiorésistance comparée aux faits scientifiques Gilles Salvat Anses Directeur de la santé animale et du bien-être des animaux

2 Intérêt de la presse pour le sujet antibiorésistance Accru à partir de 2009/2010 pour la presse grand public (émergence gène NDM1) : Compréhension des enjeux graves de santé publique Gravité de la situation = intérêt du public Accru à partir de 2009/2010 pour la presse professionnelle : Quelques reportages télé à charge Prémices du plan écoantibio 2017 Montée de la résistance au C3G et fluoroquinolones signalée par la surveillance

3 Nombre de pages par articles dans la presse (d'oct 2013 à sept 2014) professionnelle (132 articles) et grand public (39 articles) 140 nb moyen de pages par article presse pro : nb moyen de pages par article presse grand public: nombre d'articles presse pro 60 nombre d'articles presse grand public total

4 Une place différente/un intérêt différent Moins de place pour le sujet dans la presse GP : Messages de ce fait parfois réducteurs Les trains qui arrivent à l heure n intéressent pas le lecteur! Messages avec souvent moins de contenu scientifique Le lecteur est moins formé Le journaliste n est pas un scientifique Plus de place pour le sujet dans la presse pro : Explication plus approfondie des phénomènes Réflexe de défense contre les «attaques» des grands médias. Sujet intéressant l image de leurs lecteurs Les trains qui arrivent à l heure «flattent» le lecteur! Message parfois «syndical» Plus de contenu scientifique dans les messages : Le lecteur est mieux formé Le journaliste est parfois un scientifique

5 Une place différente/un intérêt différent Ex récents : 4 novembre 2014 : l Anses annonce un niveau de consommation des AB dans les filières animales inférieur à celui de 1999 (début de la surveillance) et une baisse globale de la résistance (en ligne avec les objectifs d EcoAntibio 2017) : 19 articles dans la presse professionnelle Quasiment rien dans la presse GP. 6 novembre 2014 : l ANSM s'inquiète d'une hausse "préoccupante" de la consommation d'antibiotiques en France depuis 2010 alors qu'elle avait baissé auparavant de manière «significative» : plusieurs dizaines reprises de l information par la presse GP. Ne traduit pas un désintérêt pour la communication de l Anses! : sujet images 3D diffusé le 6 novembre 2014 : 240 retombées presse, tous media confondus, à J+2 après l envoi du CP retombées TV (TF1, France 2, France 3, France 5, M6, BFM TV etc.) - 31 retombées Radio (France info, France Inter, Europe 1, RTL, France Bleu etc.) - 22 retombées Presse écrite (dont Le Monde, Le Figaro, Le Parisien, Le Point, Métro, Ouest France etc.) retombées Internet (Le Monde.fr, Le Figaro santé.fr, Le Parisien.fr, The Huffingtonpost.fr etc.)

6 Des différences dans le traitement de l information

7

8 Deux manières d interpréter le même résultat Ce que dit «Que Choisir?» Commentaires 26% des pièces analysées contenaient des E. coli 61% des échantillons positifs contiennent des bactéries résistantes Contamination normale des viandes en général et des viandes de volailles en particulier. Soit 15,9% des échantillons totaux 23% des échantillons positifs contiennent des bactéries résistants aux antibiotiques critiques : fluoroquinolones et céphalosporines de 3 et 4 générations Risques de transmission de gènes de résistance par les E. coli résistants présents dans l aliment : soit 6% des échantillons totaux. Les résultats lus de cette façon sont inférieurs à ceux enregistrés lors de la surveillance de le résistance des E. coli pathogènes des volailles en 2012 : 14% de souches résistantes aux C3G C4G Une augmentation de la résistance au C3G C4G a été observée en filière volailles de 2007 à 2010 (3%, 6%, 12%, 24% ) mais Un changement des pratiques en 2010 s est traduit par une baisse à 22% en 2011 puis 14% en 2012.et 9,8% en 2013 (chiffres poulets) En dinde et canard en 2012 : 2% de souches résistantes aux C3 C4 G. 1 ) les risques directs faibles : cuisson 2 ) risques indirects contamination croisées mains ustensiles : hygiène domestique.

9 Le Risque de l amalgame

10 C. difficile : nosocomiale ERV : origine possible dans les productions animale dans les années 1990 mais entretenue à l hopital Salmonella Kentucky multirésistante : peu présente en France K. pneumoniae : transporteur de gènes en infections nosocomiales E. coli et graines germées : une bactérie d origine humaine ayant croisé des gènes bovins? Non traité aux antibiotiques.

11 Le Risque du message purement défensif, syndical

12 Article faisant suite à un reportage de M6 Uniquement sur la défensive Difficile de démentir à la télévision Déficit de communication de l élevage autour de ses (bonnes) pratiques Nécessaire réappropriation de la réalité de l élevage par le citoyen

13 Des messages positifs néamoins

14 Le Figaro 29 sept 2014 : un constat alarmant mais des solutions

15 Les initiatives des filières relayées par la presse GP et professionnelle

16 Les alternatives aux antibiotiques Le long chemin entre la découverte et la commercialisation n est pas précisé

17 Conclusions Les messages de la presse écrite sont le plus souvent équilibrés mais parfois alarmistes Ils participent à la prise de conscience des filières La télévision au contraire produit souvent des reportages à charge Au-delà des antibiotiques, c est l image générale des filières animales qui est altérée La communication sur l utilisation des antibiotiques vers le grand public est difficile même pour les filières peu consommatrices : «un peu c est encore trop» Risque de liguer les filières les unes contre les autres Hiatus entre la réalité des productions animales et leur perception par le consommateur (image d Epinal de la ruralité)

18 Conclusions Des avancés dans la communication : Loi d avenir Ecoantibio 2017 Des avancés dans les résultats : Consommation redescendue en dessous de son niveau de 1999 Baisse de la résistance globale des bactéries issues des filières animales y compris pour les antibiotiques critiques Chiffres des deux premières années d Ecoantibio 2017 en ligne avec les objectifs Une communication positive qui s affirme et se décline au sein des filières Une bonne surveillance pour une bonne mesure des progrès Des efforts à faire pour les carnivores domestiques trop peu présents dans la communication grand public Ne pas baisser la garde sinon : Risque en santé publique Risque de retour de bâton en terme de communication La communication : pas plus qu il n en faut!

19 Remerciements au service Presse de la DICODIS de l Anses pour son aide dans la préparation de la conférence

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