Communication orale sur les interventions de l UNICEF lors des récentes situations humanitaires
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- Violette Roberge
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1 31 janvier 2011 Fonds des Nations Unies pour l Enfance Conseil d'administration Première session ordinaire février 2011 Point 6 de l ordre du jour provisoire * Communication orale sur les interventions de l UNICEF lors des récentes situations humanitaires Note de synthèse Objectif 1. Le présent exposé présentera au Conseil d'administration, à sa demande, un aperçu de l action humanitaire de l UNICEF depuis la dernière synthèse qui lui a été présentée en juin Douze jours après le début de l année 2010, un séisme a ravagé Haïti, pays où les enfants vivaient déjà des situations difficiles. Pour contribuer à l intervention d urgence, l UNICEF a dû procéder à une mobilisation massive de ressources, une tâche rendue d autant plus difficile que l Organisation des Nations Unies avait elle-même été gravement touchée. Plus tard dans l année, en juillet, alors que des inondations submergeaient un cinquième du Pakistan, l UNICEF a monté une nouvelle intervention extraordinaire, à l échelle de toute l organisation, en puisant dans ses ressources partout dans le monde. 3. Face à ces deux événements historiques, ajoutés à d autres crises, l UNICEF a monté l opération humanitaire la plus importante et la plus compliquée depuis le tsunami de l océan Indien en L organisation tout entière a été mobilisée pour obtenir des résultats en faveur des enfants. L ampleur et la complexité de ces deux crises l ont également incité à une réflexion interne sur la façon d améliorer ses systèmes humanitaires et de répondre à ses engagements interinstitutions, afin de protéger les droits des enfants et des femmes dans les situations d urgence. 4. L action humanitaire a toujours été au cœur du mandat de l UNICEF, mais elle a figuré au premier plan de ses activités tout au long de Les crises qu il s agisse de conflits ou de catastrophes naturelles deviennent de plus en plus compliquées, leur impact et les problèmes qu elles font surgir sont considérables. Outre les séismes en * E/ICEF/2011/1.
2 Haïti, en Indonésie, au Chili et en Chine, la sécheresse et la malnutrition croissante au Niger et dans la région du Sahel, les inondations au Pakistan et le choléra en Haïti, la triste réalité est que les troubles civils n ont pas diminué, avec des crises prolongées en Somalie, en République démocratique du Congo et au Soudan et des conflits qui ont éclaté ou continué au Kirghizistan, aux Philippines et dans d autres pays. Fin 2010, l UNICEF a commencé à élaborer des plans d urgence multirégionaux afin de se préparer aux besoins humanitaires potentiels lors du référendum de janvier 2011 au Sud-Soudan. Le nombre total de personnes affectées par les crises de l an dernier est effarant : 21 millions rien qu en Haïti et au Pakistan 1, et comme par le passé, ce sont les plus vulnérables qui ont été le plus gravement touchés. 5. Les Principaux engagements pour les enfants dans l'action humanitaire, qui constituent la principale politique humanitaire de l'unicef, ont été remis à jour pour refléter l évolution du contexte dans lequel se déroule l aide humanitaire ainsi que les leçons apprises. L action humanitaire de l UNICEF s ancre à présent dans une préparation renforcée, un relèvement précoce et une réduction des risques de catastrophe. L UNICEF a également veillé à ce que son travail avec présences intégrées produise un effet de levier plus important pour améliorer les résultats en faveur des enfants sur le terrain. Il s est attaché à renforcer ses partenariats humanitaires avec un Accord de coopération au titre des programmes révisé qui oriente le travail considérable qu il accomplit en collaboration avec des organisations de la société civile. L UNICEF a organisé une consultation humanitaire mondiale auprès d organisations non gouvernementales et renforcé ses liens avec des partenaires clés afin d obtenir avec eux de meilleurs résultats en faveur des enfants. Plusieurs outils ont été créés pour le travail très spécifique que l organisation accomplit dans des environnements à haut risque, notamment des directives, une formation du personnel et des contributions aux initiatives interinstitutions visant à protéger les principes humanitaires. L UNICEF a également consacré des ressources importantes à l intégration des questions de parité des sexes dans l action humanitaire et dans les groupes sectoriels qu il dirige au plan mondial. 6. Les réalisations de 2010 ont mis en lumière le fait que l UNICEF doit mieux se préparer à répondre à une demande mondiale croissante, en particulier lors de crises de l ampleur et de la complexité de celles qu ont connues Haïti et le Pakistan. Le déploiement des renforts internes et externes a été de 998 membres du personnel au total (soit près de quatre fois plus que les 259 déployés pour tout 2009), et l organisation a restructuré son Unité dédiée aux ressources humaines en cas de crise après le séisme en Haïti et elle s efforce encore et toujours d assurer les déploiements requis sans affaiblir d autres bureaux de pays confrontés eux-mêmes à des crises humanitaires. Les contributions des donateurs ont dépassé un milliard de dollars 2010 arrivant ainsi en deuxième place après 2005, année dominée par les fonds destinés au tsunami mais plus de la moitié est allé à Haïti et au Pakistan, éclipsant en partie les besoins de nombreuses crises insuffisamment financées. Le rôle de chef de file de l UNICEF dans les groupes sectoriels a joué un rôle central dans la riposte interinstitutions en Haïti, au Pakistan et 1 Plus de 3 millions en Haïti, d après «Les enfants d Haïti : étapes marquantes et perspectives à l échéance de six mois», juillet 2010, UNICEF ; plus de 18 millions au Pakistan, d après Children in Pakistan, Every Child s Right Responding to the Floods in Pakistan, Décembre 2010, UNICEF. 2
3 dans d autres crises, mais il a aussi mis en lumière la nécessité de clarifier les responsabilités et les questions de financement questions que l UNICEF est en train d étudier en interne ainsi qu avec les partenaires des groupes et les donateurs. 7. Les cadres internationaux pour les graves violations des droits de l homme ont été renforcés de façon à insister sur la responsabilisation. L UNICEF joue toujours un rôle clé dans l agenda concernant les enfants et les conflits armés, notamment dans le mécanisme de surveillance et de communication de l information. Il a pour la première fois rassemblé les directeurs régionaux et des représentants de tous les bureaux de pays travaillant sur ce mécanisme et a convenu de mesures concrètes pour renforcer sa capacité à jouer ce rôle, qui s inscrit dans le cadre global de la protection de l enfance. 8. Enfin, l UNICEF s efforce de mieux intégrer ses activités humanitaires et de développement, afin de rectifier les vulnérabilités sous-jacentes et d aider à prévenir ou atténuer les souffrances. Des initiatives ont été lancées pour que les programmes de pays tiennent compte des risques, pour intégrer la réduction des risques de catastrophe et la consolidation de la paix et améliorer les approches concernant le développement des capacités. Haïti 9. Au cours des douze mois qui ont suivi le séisme du 12 janvier 2010 en Haïti, nous avons obtenu des résultats en faveur des enfants dans de nombreux domaines, mais des mesures urgentes restent nécessaires, de même que des activités de plaidoyer, pour que les enfants et les femmes d Haïti puissent jouir de tous leurs droits. Outre la coordination de plus de 430 partenaires dans les groupes sectoriels ayant trait à l éducation, à la nutrition, ou à l eau, l assainissement et l hygiène, ainsi que le sous-groupe dédié à la protection de l enfance, les programmes de l UNICEF ont fourni de l eau salubre à quelque personnes au plus fort de la réponse à la crise. Plus de enfants ont reçu du matériel pédagogique et 1,9 million d entre eux ont été vaccinés contre sept maladies évitables. L UNICEF continue de jouer un rôle vital dans la riposte au choléra via ses centres et unités de traitement et ses zones de réhydratation orale, tout en défendant une approche plus décentralisée. 10. Pourtant, la situation de nombreux déplacés est telle que le Gouvernement haïtien doit trouver une solution d urgence, en collaboration avec la communauté internationale. Même si leur nombre a diminué, enfants vivent toujours dans des camps, avec les risques accrus que cela entraîne de violence sexiste, de traite d êtres humains et de maltraitance. L UNICEF peut préparer un environnement plus favorable à un retour à la normale en passant de la fourniture directe de services dans les camps à la mise en place de services dans les quartiers d origine. Il peut faire appel, pour cela, à des innovations comme l assistance en espèces, par exemple, afin de faciliter l accès aux services lorsque les familles rentrent chez elles, ou d autres options si nécessaire. L UNICEF va mettre en place un programme pilote pour faciliter les retours et faire œuvre de plaidoyer et de coordination avec d autres pour réduire les goulots d étranglement politiques et financiers, dans le secteur du relèvement, qui retardent le retour des déplacés de 3
4 l intérieur : évacuation des débris, problèmes de droit foncier, reconstruction des maisons. Nous insisterons aussi pour que d autres mettent en place d autres expériences pilotes visant à accélérer les retours, plutôt que d attendre le plan ou les conditions idéales pour commencer le processus. Indonésie 11. Trois grandes catastrophes ont frappé l archipel fin 2010 : des crues soudaines en Papouasie occidentale, un séisme et un tsunami au Sumatra occidental et le volcan du Mont Merapi. Sous la conduite du Gouvernement et à l aide des mécanismes de coordination nationale comme ceux créés suite au tremblement de terre de Yogiakarta - -, l UNICEF a fourni une aide aux ménages pour protéger les enfants des maladies évitables, un accès à l eau salubre, à l assainissement et à l hygiène et des services de développement de la petite enfance. Il a également plaidé en faveur de l allaitement maternel suite aux déplacements provoqués par le volcan. Dans le cadre du relèvement suite au séisme de 2009 à Sumatra, l UNICEF a aussi collaboré avec les pouvoirs publics dans les domaines de l eau, de l éducation et des services de protection de l enfance, ainsi que la planification et la simulation des crises. Pakistan 12. Plus de 18 millions de personnes (un Pakistanais sur dix) ont été touchées par les inondations qui ont submergé une zone de la taille de l Angleterre, exacerbant les déplacements internes précédents. Les eaux ayant envahi les terres du nord au sud, la situation a évolué différemment dans les quatre provinces concernées, certains retournant dans leur communauté au nord souvent pour ne rien retrouver ou subir des chutes de neige alors que les inondations et les déplacements continuaient dans la province méridionale de Sindh. L intervention de l UNICEF a été globale et à grande échelle : l organisation a renforcé des programmes déjà importants et joué un rôle de chef de file dans la coordination des groupes sectoriels. 13. Pour remplir ses responsabilités en tant que chef de file des groupes sectoriels, l UNICEF a rapidement mis sur pied une structure de 60 personnes (coordonnateurs des groupes et gestionnaires de l information, au plan national et dans quatre provinces), pour un coût de 6,5 millions de dollars. En dépit d un engagement accru, il a été difficile de promouvoir la participation des partenaires au sein des groupes sectoriels et de faire rapport à ces groupes. La coordination des groupes continuant jusqu à la fin juillet 2011, notre priorité est de renforcer la coordination et le rôle des autorités locales pour atteindre les plus vulnérables. 14. Parmi les résultats obtenus par l UNICEF, citons : la livraison d eau propre à 3,5 millions de personnes et de services d assainissement et d hygiène à 1,9 million d individus ; l appui à agents de santé de sexe féminin (Lady Health Workers) qui fournissent des services sanitaires au niveau communautaire afin de toucher les femmes et les filles ; la vaccination de quelque 9 millions d enfants contre la rougeole et la polio ; l accès à l éducation pour enfants dans des espaces d apprentissage 4
5 temporaires et la mise en place d un environnement protecteur pour quelque enfants et femmes vulnérables dans des espaces amis des enfants. Les inondations ont aussi ouvert des points d entrée cruciaux pour aborder l éducation, la scolarisation (surtout celle des filles) et les systèmes de protection de l enfance. 15. Des obstacles demeurent au Pakistan, cependant. Ainsi, les inondations semblent avoir révélé des niveaux élevés de malnutrition infantile, aggravés par la crise. Les résultats de nouvelles enquêtes au Sindh indiquent des niveaux critiques de malnutrition chez les enfants touchés par les inondations. Des données du département de la Santé du Sindh pointent un taux général de malnutrition aiguë de 23,1 % chez les enfants âgés de 6 à 59 mois dans les zones inondées du nord de la province et de 21,2 % dans le sud, ce qui veut dire qu environ un enfant sur cinq souffre de malnutrition dans cette tranche d âge. L UNICEF et d autres partenaires du groupe sectoriel sur la nutrition collaborent avec le Gouvernement provincial du Sindh pour mettre en place une intervention vigoureuse qui sera axée sur la prise en charge et la prévention de la malnutrition aiguë pendant 18 mois. 5
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