Les fibromes utérins : L ampleur du problème. Une demande grandissante de conservation utérine. L émergence de nouveaux traitements.
|
|
- Maxime Jobin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EMBOLISATIONS PRE-OPERATOIRES DANS LES FIBROMYOMES TRES VOLUMINEUX DE LA FEMME JEUNE Suivi à moyen long terme (33 patients) N. Butori, N. Méjean, B. Guiu, R. Loffroy, L. Mezzetta, L. Filipuzzi, L.Vadanici, N. Vignon, B. Abualsaud, P. Sagot, JP. Cercueil, D. Krausé. Département de Radiologie et Imagerie Médicale Diagnostique et Thérapeutique Pôle Gynécologie Obstétrique CHU Dijon Le Bocage
2 Données Cliniques Actuelles (1) Les fibromes utérins : L ampleur du problème. 30 à 40 % des femmes de plus de 30 ans, 20 à 50 % symptomatiques hystérectomies t pratiquées chaque année en France. Une demande grandissante de conservation utérine L émergence de nouveaux traitements.
3 Données Cliniques Actuelles (2) Le traitement conservateur des myomes utérins : 1 - La myomectomie chirurgicale : Patientes symptomatiques, refusant l hystérectomie ou ayant un désir de grossesse. Efficace +++ (surtout si clampage des artères utérines). 2 inconvénients majeurs : - Chirurgie hémorragique, - Adhérences Le choix de la coelioscopie : Nombre < 3 et taille < 9 cm, difficulté technique supérieure Avantages : - Risque hémorragique, - Morbidité post-opératoire (douleurs, durée d hospitalisation), - Adhérences, - Intérêt esthétique.
4 Données Cliniques Actuelles (3) Le traitement conservateur des myomes utérins : 2 L embolisation des artères utérines (EAU). Traitement définitif des myomes utérins ( cible : plexus artériel périmyomateux). Alternative à la myomectomie : Utérus polymyomateux, risque opératoire élevé, refus de chirurgie. Très efficace. Limites et inconvénients : syndrome post-embolisation, infection, impact mal connu sur la fertilité
5 Objectifs (1) MYOMECTOMIE EAU Volume des myomes HEMORRAGIE INFECTION ADERENCES DOULEURS
6 Objectifs (2) 1) Evaluer l efficacité de l EAU dans la prévention de l hémorragie opératoire, lors des myomectomies «à risque» : grande taille de myomes, caractère multiple de la myomectomie. 2 ) Suivi des patients à long terme : efficacité et tolérance du traitement, IRM pelviennes (suivi), grossesses (fertilité).
7 Le but de notre étude Déterminer l apport de l EAU préopératoire é lors des myomectomies «à risque»
8 Matériels et Méthodes Etude rétrospective concernant 33 patientes, traitées entre 2000 et Critères d inclusion : un ou plusieurs fibromes avec au moins une lésion volumineuse (diamètre > 50 mm) gêne fonctionnelle et/ou infertilité désir de conserver l utérus Concertation multidisciplinaire: Choix d un traitement combiné (EAU puis myomectomie) = Traitement conservateur le plus sûr
9 Présentations cliniques (33 patientes) Age 36 ans (25-45) Plainte ou motif de consultation Symptômes compressifs 13 (33,4) Ménorragies 13 (33,4) Douleurs pelviennes 8 (22,4) Anémie 5 (15,1) Infertilité 8 (22,4) Aucun symptôme (infertilité isolée) 4 (12,1)
10 Caractéristiques des myomes Nombre de fibromes N = 1 21 (63,7) N = 2 ou 3 8 (24,4) N > 3 4 (12,1) Diamètre du fibrome dominant 90 mm ( mm) Localisation Interstitielle 18 (54,5) Sous-séreuse 15 (45,5)
11 Embolisations pré-opératoires des artères utérines Angiographie sélective : But : la dévascularisation des fibromes, sans risque d ischémie pour l utérus et les ovaires. Réseau vasculaire péri-myomateux Anastomose utéro-ovarienne ovarienne Embolisation : Bilatérale Gelitaspon Occlusion des vaisseaux myomateux reperméabilisation des «cibles» involontaires Traitement antalgique
12 Les Myomectomies laparotomie / cœlioscopie selon : la taille, le nombre, la localisation des myomes les antécédents de la patiente l expérience de l opérateur Délai embolisation - chirurgie : Entre 24 et 72 heures puis < 6 heures
13 Les différents items retenus
14 Données opératoires et risque hémorragique Taux d hémoglobine avant et 48 heures après la chirurgie Nécessité d une transfusion Voie d abord, nombre et taille des myomes retirés, durée opératoire Impression du chirurgien (CRO) Suivi à court et moyen terme : étude des dossiers médicaux Complications précoces (survenant pendant l hospitalisation) Ré-interventions sur l utérus Hystéroscopie diagnostique à 3 mois Suivi à long terme : questionnaire d Avril 2009 Evolution des symptômes et complications Période de convalescence Niveau global de satisfaction Grossesse Suivi en IRM : Double relecture des examens disponibles IRM préopératoire IRM réalisée au cours de l été 2009
15 Résultats opératoires (1) Technique chirurgicale Laparotomie 25 (75%) Cœlioscopie 8 (25%) Durée opératoire 108 ± 50 min Laparotomie 95 min ( ) Cœlioscopie 150 min ( ) Nombre de myomes opérés 3 ± 2,1 Laparotomie 3,4 ( 1 11 ) Cœlioscopie 1,2 ( 1 2 ) Estimation de l hémorragie Pertes sanguines opératoires 147 ± 249 ml Taux d Hb avant chirurgie 12,9 ± 1,3 g/dl Taux d Hb 48h après 11,4 ± 1,2 g/dl Variation du taux d Hb 1,7 ± 1,1 ( 0,1 4,3 )
16 Résultats opératoires (2) Aucune transfusion nécessaire Aucune hystérectomie Dissection exsangue et suture facilitée
17 Suivi à court et moyen terme 4 complications mineures 3 épisodes fébriles une infection urinaire basse 2casderéinterventions ré-interventions : A 6 mois : résection hystéroscopique de 4 myomes sous-muqueux A 8 mois : évacuation d un hématome de la loge de myomectomie et adhésiolyse Hystéroscopie diagnostique à 3 mois : 11 patientes désirant une grossesse 3 cas de synéchies utérines
18 Suivi à long terme Questionnaire envoyé aux 33 patientes en Avril réponses
19 Questionnaire concernant l évaluation d une procédure combinée de traitement des fibromes utérins : la myomectomie chirurgicale précédée de l embolisation des artères utérines I Avant l intervention : 1 ) Quels étaient vos symptômes? Si vous aviez plusieurs symptômes, merci de les «hiérarchiser» des règles trop abondantes, ou des saignements en dehors des règles des douleurs abdominales des symptômes urinaires (mictions trop fréquentes) une constipation une sensation de pesanteur pelvienne le traitement vous a été proposé pour augmenter vos chances d être enceinte II Après l intervention : 2 ) Combien de temps vous a-t-il fallu pour : a) revenir à vos activités quotidiennes? moins d 1 semaine 1 à 3 semaines 1 à 2 mois 3 mois ou plus b) reprendre votre activité professionnelle? moins d 1 semaine 1 à 3 semaines 1 à 2 mois 3 mois ou plus 3 ) Avez-vous conservé des règles régulières? Oui Non Si oui : Sont-elles restées ou devenues trop abondantes? Oui Non Si non : a) Etes-vous toujours réglée? Oui Non b) Vos règles ont-elles cessé dans l année suivant l intervention? Oui Non c) Avez-vous bénéficié d un traitement hormonal régulier? Oui Non 4 ) Sur une échelle de 1 à 5, comment coteriez-vous l évolution de vos symptômes, dans les premiers mois suivant l intervention? 5: très favorable 4: plutôt favorable 3: pas de changement 2: plutôt moyenne 1: mauvaise 5 ) Comment vos symptômes ont-ils évolué ensuite (au-delà des 2 à 3 premiers mois)? L amélioration a été progressive, sur plusieurs semaines ou mois. Après une phase initiale d amélioration, votre état est resté stable. Après une phase d amélioration, vos symptômes sont réapparus. Votre état ne s est jamais amélioré. Aucune de ces propositions ne convient. 6 ) Est-il apparu d autres symptômes que ceux que vous présentiez avant l intervention? Oui Non Si oui, lesquels : des règles trop abondantes, ou des saignements en dehors des règles des douleurs abdominales des symptômes urinaires (mictions trop fréquentes) une constipation une sensation de pesanteur pelvienne 7 ) Avez-vous reçu l un des médicaments suivants: - Decapeptyl ou Enantone (analogue de la Gn-RH): Oui Non - Tardyferon : Oui Non 8 ) Avez-vous subi une ou plusieurs des interventions gynécologiques suivantes, depuis votre intervention? - Une ablation de l utérus: Oui Non Vous ne savez pas - Une ablation de fibrome: Oui Non Vous ne savez pas - Un traitement de synéchies utérines: Oui Non Vous ne savez pas 9 ) Envisagiez-vous une grossesse dans les quelques premières années suivant l intervention? Oui Non Si oui : a) Avez-vous réellement essayé d être enceinte? Oui Non b) Avez-vous eu recours à une aide médicale à la procréation? Oui Non 10 ) Avez-vous été enceinte depuis l intervention? Oui Non
20 Si oui : a) Combien de temps après l intervention? b) Comment s est déroulée votre grossesse? Sans problème, votre enfant est né à terme Votre enfant est né prématurément (mois : ) Vous avez fait une fausse couche au 1 er trimestre Vous avez fait une fausse couche après le 1 er trimestre c) Comment s est déroulé l accouchement? Vous avez accouché par voie naturelle Vous avez bénéficié d une césarienne d) Y a-t-il eu un problème avec le placenta au moment de l accouchement? Oui Non Vous ne savez pas 11 ) Sur une échelle de 1 à 4, quel est finalement votre niveau de satisfaction globale? Vous êtes : 4: très satisfaite 3: plutôt satisfaite 2: plutôt insatisfaite 1: très insatisfaite 12 ) Conseilleriez-vous ce traitement à vos amies ou sœurs? Oui Non Professeur Denis KRAUSE Professeur Paul SAGOT Chef de service Chef de service Département de Radiologie Service de Gynécologie - Obstétrique Imagerie Médicale Diagnostique et Thérapeutique Médecine fœtale et stérilité conjugale CHU - Le Bocage Dijon CHU - Le Bocage - Dijon
21 Résultats Cliniques (a) Plainte n 1 ou motif de prise en charge N %(N/25) Ménorragies 8 32 Effet de masse 5 20 Douleur 4 16 Infertilité 3 12 Découverte fortuite 3 12 Non répondu 2 8 Evolution initiale des symptômes Très favorable Plutôt favorable 8 32 Moyenne 1 4 Mauvaise 0 0 Non répondu 3 12 Reprise des activités quotidiennes 1 à 3 semaines à 2 mois 14 56
22 Résultats Cliniques (b) Mode évolutif Amélioration progressive (sur plusieurs mois) Amélioration initiale puis état stable 9 36 Amélioration insuffisante er cas : ménorragies chez une patiente avec un utérus polymyomateux 2 ème cas : douleur pelvienne chez une patiente avec une endométriose Aucune modification 3 12
23 Résultats Cliniques (c) Cycles menstruels Règles régulières Règles irrégulières 1 4 Aménorrhée 3 12 Grossesses Désir de grossesse Réelle tentative après l intervention 9 36 Recours à une PMA 4 16 Réussite 2 8 Ces 2 patientes ont mené à terme 2 grossesses non compliquées.
24 Suivi en IRM (1) Protocole Spin écho rapide (TSE) T2 dans les 3 plans de l espace Séquences 3D écho de gradient T1 fat-sat, dynamiques (Dotarem ) à 30, 60 et 90 sec. Séquence TSE T1 transversal à 3 min Examens IRM préopératoire IRM à 6 à 12 mois du traitement IRM réalisée au cours de l été 2009 Analyse Nombre, taille et rehaussement des myomes Corrélation avec les données opératoires Pas d évolution des petits myomes non opérés, par contre apparition de fibromes «de novo».
25 Suivi en IRM (2) Nombre de patientes suivies en IRM 23 Délai moyen du suivi 52 mois Résultats Aucun myome 12 Myomes initiaux dévascularisés 6 Myomes initiaux vascularisés 1 Myomes apparus 4
26 Femme de 38 ans : Pesanteur pelvienne et cystites à répétition Myome sous-séreux pédiculé antérieur de 90 mm Autre myome interstitiel de 25 mm
27 Angiographie première Angiographie après embolisation
28 Dissection exsangue du myome sous-séreux Suture du myomètre
29 IRM à 16 mois du traitement combiné : Dévascularisation du myome interstitiel postérieur laissé in situ
30 Discussion Influence globale de l EAU sur les conditions opératoires de la myomectomie
31 Influence de l EAU sur le saignement opératoire (1) Pertes sanguines = 147 ml - Variation du taux d Hb = 1,7 g/dl Analyse de la littérature : Ravina JH et al. [Value of preoperative embolization of uterine fibroma: report of a multicenter series of 31 cases]. Contracept Fertil Sex 1995 Ngeh N et al. Pre-myomectomy uterine artery embolisation minimises operative blood loss. Bjog 2004 Dumousset E et al. Preoperative uterine artery embolization (PUAE) before uterine fibroid myomectomy. Cardiovasc Intervent Radiol 2008 Ustunsoz B et al. Is uterine artery embolization i prior to myomectomy for giant fibroids id helpful? l? Diagn Interv Radiol 2007 Taille moyenne = 14 cm ; pertes sanguines = 250 ml (EAU) / 690 ml (sans EAU) Autre méthode de déplétion utérine : la ligature chirurgicale des artères utérines (LCAU) : Liu WM et al. Combining the uterine depletion procedure and myomectomy may be useful for treating symptomatic fibroids. Fertil Steril 2004 Alborzi S et al. A comparison of combined laparoscopic uterine artery ligation and myomectomy versus laparoscopic myomectomy in treatment of symptomatic myoma. Fertil Steril 2009 L EAU prévient le saignement opératoire et constitue une alternative à la LCAU en cas de fibromes très volumineux, compromettant l accès chirurgical aux artères utérines.
32 Influence de l EAU sur le saignement opératoire (2) 6/7 : l EAU a permis une dé-vascularisation définitive des petits myomes non opérés. Propriétés du Curaspon matériel résorbable Occlusion vasculaire transitoire En grande quantité Occlusion définitivei i Particularités de la vascularisation des myomes «préférentielle» «terminale» Le Curaspon s accumule dans les vaisseaux myomateux et les occlut définitivement.
33 Influence de l EAU sur la stratégie opératoire (3) Exérèse chirurgicale des myomes les plus volumineux alors que les petites lésions seront traitées par l embolisation li i Moins d incisions du myomètre moins d adhérences
34 Influence de l EAU sur la stratégie opératoire (4) Amélioration des conditions opératoires Choix de la coelioscopie i Neutralisation des petits fibromes Exérèse des myomes les plus volumineux
35 Influence de l EAU sur le résultat opératoire (5) Stress opératoire Transfusion Hystérectomie Morbidité post-opératoireopératoire Récurrence Fertilité?
36 Influence de l EAU sur le résultat opératoire (6) Amélioration de la fertilité : 1. Conservation de l utérus 2. Optimisation de la reconstruction utérine Suture utérine de qualité Dissection facilitée prévention des lésions muqueuses? Incisions limitées prévention des adhérences? Effets délétères observés : Mara M, et al. Midterm clinical and first reproductive results of a randomized controlled trial CVIR 2008 Moins de grossesses et plus d avortements Goldberg J, et al. Pregnancy outcomes after treatment for fibromyomata... Am J Obstet Gynecol 2004 Risque de prématurité et de malprésentation Chrisman HB, et al. The impact of uterine fibroid embolization on resumption of menses and ovarian function.jvir 2000 Insuffisance ovarienne dans 15 % des cas (âge > 45 ans)
37 Faiblesse de la technique combinée Irradiation Dose moyenne absorbée : 23,200 cgy/cm2 Diminuer le temps d exposition : Surcoût Ponction fémorale bilatérale Fluoroscopie pulsée Economie des transfusions Durée d hospitalisation plus courte? L utérus n a pas de prix
38 Limites et perspectives Etude rétrospéctive, à propos d une technique Comparer de façon prospective les différentes techniques utilisées en cas de myomectomies à risque hémorragique élevé. Effectif faible Suivi à moyen et long terme. Un traitement de l infertilité? Quels myomes opérer et quels myomes dévasculariser?
19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailCet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée
PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailNotre actualité. A. MBARGA Présidente de FIF
Newsletter 13/- Novembre 2012 Notre actualité Les Journées Françaises de Radiologie se sont tenues au mois d'octobre au Palais des congrès de Paris. Dans la matinée du 21 octobre une conférence a été consacrée
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailFormation chirurgicale des internes DES de Gynécologie-Obstétrique
Diplôme InterUniversitaire de Pédagogie Médicale 2010-2011 Formation chirurgicale des internes DES de Gynécologie-Obstétrique Afchine FAZEL, Praticien Hospitalier, Gynécologie et Obstétrique, Hôpital Lariboisière.
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailEmbolisation des artères utérines
Embolisation des artères utérines Avertissement Ces renseignements ont été préparés par L Hôpital d Ottawa et ne visent pas à remplacer les conseils d un fournisseur de soins de santé qualifié. Veuillez
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:
ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailCésarienne pour toutes
Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailDirective clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire
DIRECTIVES CLINIQUES DE LA SOGC N o 169, décembre 2005 Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire CO-PRÉSIDENTES Guylaine Lefebvre, MD, FRCSC, Ottawa (Ont.) Odette Pinsonneault, MD, FRCSC,
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailJFM. 7èmes journées franco-marocaines de. Gynécologie, Obstétrique et Fertilité. Marrakech. 17, 18 et 19 mai 2012. www.lesjfm.com
JFM 2012 7èmes journées franco-marocaines de Gynécologie, Obstétrique et Fertilité Marrakech 17, 18 et 19 mai 2012 Président des 7 èmes jfm : Pr. Léon Boubli (Marseille) Coordination scientifique et organisation
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailLES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques
LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détail8 èmes journées franco-marocaines
Journées franco-marocaines de gynécologie obstétrique et fertilité 2014 8 èmes journées franco-marocaines Gynécologie, Obstétrique et fertilité Président d honneur Professeur Patrick Madelenat Marrakech
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailGUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération
GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les
Plus en détailChirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique
traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailE x t rait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétri q u e
CNGOF_MAJ_TITRES.qxp 17/12/09 17:26 Page 1 (1,1) COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur J. L a n s a c E x t rait des Mises à jour en Gynécologie
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailMigraines, céphalées et statut hormonal
Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE INGUINALE EN AMBULATOIRE
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détail