La Tectonique Archéenne. DEQUAIRE Tristan MASSON Olivier NATIVEL Thierry

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La Tectonique Archéenne. DEQUAIRE Tristan MASSON Olivier NATIVEL Thierry"

Transcription

1 La Tectonique Archéenne DEQUAIRE Tristan MASSON Olivier NATIVEL Thierry

2 Introduction - Croûte continentale non recyclée dans le manteau (faible densité) - Témoins de croûte continentale âgée de 4Ga Enregistrement de l'histoire de la Terre - 4,6 Ga : Naissance de la Terre - 4,0 Ga : Age des plus anciennes roches connues (Gneiss d'acasta) - 2,5 Ga : Dynamique terrestre devient semblable à celle actuelle - 0,5 Ga : Apparition et prolifération des êtres vivants susceptibles d'être fossilisés

3 Introduction Tableau des plus anciens âges crustaux : - Zircons de Jack Hill : témoins de la présence d'une croûte continentale il y a 4,404 Ga

4 Introduction Répartition géographique des roches d'âge Archéen : - Domaine vaste - Répartition sur tous les continents D'après Condie (1981) et Goodwin (1991)

5 Introduction - Différenciation Noyau-Manteau : 100 Ma - Différenciation Manteau-Croûte : 70 à 75% à l'archéen Modèles de croissance crustale :

6 Problématiques L'étude de l'archéen est possible grâce à : - Échantillons archéens sur une vaste partie de la surface du globe terrestre - 75% de la croûte primitive formée lors de cette période - Quelle est la composition de cette croûte primitive? - Quelle en est sa source? - Comment s'est-elle formée? - Quelles étaient les activités tectoniques de la planète à l'archéen?

7 Plan I. Composition et genèse de la croûte - Composition de la croûte - Source de la croûte - Mécanismes de genèse de la croûte II. Évolution et dynamique de la croûte - La spécificité archéenne - Les mouvements verticaux : le phénomène de sagduction - Les mouvements horizontaux : une tectonique des plaque archéenne?

8 Composition et genèse de la croûte 1. Composition de la croûte : comparaison avec la croûte continentale moderne CC primitive - Tonalite - Trondhjémites - Granodiorites TTG CC moderne - Granite - Granodiorite Gneiss Péninsulaire (TTG) de Gurur (3,3 Ga)

9 Composition et genèse de la croûte 1. Composition de la croûte : comparaison avec la croûte continentale moderne Affleurement de granites Photo des gneiss gris d'amitsôq (3,82 Ga) Composition modale Q-A-P

10 Composition et genèse de la croûte 1. Composition de la croûte : comparaison avec la croûte continentale moderne CC primitive : - Pas de termes peu différencié (riche en Ca) - Riche en Na CC moderne : - suite calco-alcaline Triangles K-Na-Ca

11 Composition et genèse de la croûte 1. Composition de la croûte : comparaison avec la croûte continentale moderne - TTG plus pauvres en Rb, Th, U, K et en Terres rares lourdes (Sm, Tb, Yb) que la CC moderne Composition normée au manteau primitif des TTG comparée à celle de la CC moderne

12 Composition et genèse de la croûte 1. Composition de la croûte : comparaison avec la croûte continentale moderne - Cette différence implique des sources et des mécanismes de genèses différents Compilation des rapports (La/Yb)N et des teneurs en YbN des TTG et de la CC moderne

13 Composition et genèse de la croûte 2. Source de la croûte - (87Sr/86Sr)i ~ 0,702 - єnd ~ 0 Valeurs proches de celles du manteau archéen TTG ne proviennent pas d'une ancienne CC

14 Composition et genèse de la croûte 2. Source de la croûte - 2 sources potentielles : Manteau Amphibolite (basalte métamorphisé)

15 Composition et genèse de la croûte 3. Mécanismes de genèse de la croûte continentale Diagramme Pression vs Température et coupes schématiques dans des zones de subduction

16 Composition et genèse de la croûte 3. Mécanismes de genèse de la croûte continentale - Cas de la CC moderne : - CC moderne extraite du manteau dans les zones de subduction - CO altérée et riche en eau descend dans le manteau (refroidissement pendant 60 Ma) - Tmanteau diminue - Déshydratation de la CO avant sa fonte - Réintroduction de la CO dans le manteau - Remontée des fluides par densité et hydratation du coin du manteau - Fusion du coin du manteau La CC moderne est engendrée par la fusion du coin du manteau dont la composition a été modifiée par les fluides issus de la déshydratation de la CO subductée

17 Composition et genèse de la croûte 3. Mécanismes de genèse de la croûte continentale - Cas de la CC primitive : - Fusion du manteau engendre une CO basaltique - CO se transforme en amphibolite à grenat - amphibolite à grenat atteint sa température de fusion avant sa déshydratation - Fusion de la CO à basse température - Magma type TTG La CC primitive provient de la fusion de la CO transformée en amphibolite à grenat.

18 Composition et genèse de la croûte 3. Mécanismes de genèse de la croûte continentale - Cas exceptionnels de TTG actuels : - CO jeune (chaude) - Subduction chaude - TTG - ex : Patagonie Carte schématique du sud Chili

19 Composition et genèse de la croûte Résumé CC primitive : - Composition : TTG - Extraite du manteau par un mécanisme en 3 étapes :

20 Évolution et dynamique de la croûte 1. La spécificité archéenne - T du manteau archéen supérieure de 100 à 200 C par rapport à celui actuel - Potentiel thermique : chaleur résiduelle due à l'accrétion de la Terre - Chaleur de la différenciation noyau-manteau - Chaleur de la désintégration des isotopes radioactifs

21 Évolution et dynamique de la croûte 1. La spécificité archéenne Roches abondantes à l'archéen : - Komatiites : - Lave ultrabasique - Texture spinifex - Taux de fusion élevé (~50%) - Température de mise en place : 1600 à 1650 C - Formation à grande profondeur - Densité : 3,3 - BIF (Banded Iron Formation) : - Riche en fer - Fer oxydé par l'action bactérienne - Densité élevée (>3)

22 Évolution et dynamique de la croûte 2. Les mouvements verticaux : Le phénomène de sagduction - Structure en dôme et en bassin (visible à toutes les échelles) Craton archéen du Pilbara en Australie

23 Évolution et dynamique de la croûte 2. Les mouvements verticaux : Le phénomène de sagduction - Tectonique gravitaire - gradient inverse de densité - Disparition de la tectonique verticale à la limite Archéen-Protérozoïque (2,5 Ga) Refroidissement de la Terre - «Quasi komatites» à l'île de Gorgone (Pacifique) d'âge Crétacé Modèle de sagduction (Gorman et al. 1978)

24 Évolution et dynamique de la croûte 3. Une tectonique des plaque archéenne? - Nombreuses controverses : - Différents facteurs : - Prédominance et omniprésence de la tectonique verticale - Absence de relique de CO archéenne Absence de tectonique des plaques archéenne - Analyses récentes : - présence de structures chevauchantes dans tous les terrains archéens - structures en générale plus anciennes que la sagduction d'où un masquage Tectonique horizontale

25 Évolution et dynamique de la croûte 3. Une tectonique des plaque archéenne? - Structures collisionnelles : - Existence de plaques rigides - Déplacement de ces plaques + - Présence «d'ophiolites» Tectonique des plaques à l'archéen Carte géologique schématique et carte structurale de la partie occidentale des terrains archéens du bouclier baltique (Blais et al. 1997)

26 Évolution et dynamique de la croûte 4. Modalités de la tectonique des plaques archéenne - Plus de chaleur a évacuer à l'archéen que de nos jours - Évacuation de la chaleur par convection principalement comme de nos jours - Volume de la Terre primitive = volume de la Terre actuelle - Plus grande longueur de ride (Hargraves 1986) - Plaques tectoniques plus petites et plus véloces - Age moyen de la CO archéenne : 10 Ma Subduction de la CO archéenne plus rapide Grands volumes de TTG

27 Conclusion - Croûte continentale la plus vieille : 4,4 Ga - CC primitive = TTG - Présence de mouvements horizontaux conduisant à la genèse des TTG - Plaques tectoniques archéennes plus petites et plus véloces - 2 régimes tectoniques coexistaient avant 2,5 Ga : - En bordure de plaque : tectonique horizontale - Dans la partie centrale : tectonique gravitaire Refroidissement progressif de la Terre : - TTG Granodiorite & Granite - Disparition des komatiites - Tectonique (verticale + horizontale) Tectonique (seulement horizontale) Recyclage de la croûte continentale irréversible (évolution vers une composition granitique)...

28 Ouverture L'étude de l'archéen permet : - Une meilleur connaissance en géologie - Favorise le progrès dans les recherches de l'apparition de la Vie sur Terre (exobiologie) Tectonique horizontale Création de relief + Émersion des continents Milieu aqueux (océans, lacs, mers) Conditions physiques et chimiques de duplication des molécules organiques (exigences nécessaires au développement de la Vie)

29 Sources Références bibliographiques : - L'Environnement de la Terre Primitive de M. Gargaud, D. Despois et J-P. Parisot - Le Soleil, la Terre, la Vie : la quête des origines de M. Gargaud, P. López-García, T. Montmerle - Géochimie : géodynamique et cycles de A. Jambon Sites internet : - Et un grand merci à Hervé Martin et a Kent C. Condie pour leur aide précieuse

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan : Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang)

[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [2] La quantité de mouvement et le moment angulaire [3] Calcul de l énergie de liaison des nucléons dans le noyau d un élément [4] Les

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1. Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Documents sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole

Documents sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents

Plus en détail

Commission juridique et technique

Commission juridique et technique Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003

Plus en détail

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez

Plus en détail

L océan, un Eldorado pour les ressources du futur?

L océan, un Eldorado pour les ressources du futur? Les ressources minérales du futur sont-elles au fond des mers? «Il existe au fond des mers des mines de zinc, de fer, d argent, d or, dont l exploitation serait très certainement praticable.» Jules Verne

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.

Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

L ENERGIE CORRECTION

L ENERGIE CORRECTION Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Construisons en aluminium pour les générations futures

Construisons en aluminium pour les générations futures Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

AGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var Tel : 04.93.07.00.66 bij@agasc.fr www.agasc.fr. Word: Les tableaux.

AGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var Tel : 04.93.07.00.66 bij@agasc.fr www.agasc.fr. Word: Les tableaux. Word: Les tableaux Introduction 6 ième partie Il est préférable par moments de présenter de l'information sous forme de tableau. Les instructions qui suivent démontrent comment créer un tableau et comment

Plus en détail

UTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES

UTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES Fiche sujet-candidat Les géologues s interrogent sur la chronologie de mise en place de deux granites du Massif Central. On cherche à savoir si une méthode de radiochronologie permettrait de déterminer

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Que savons-nous de notre planète?

Que savons-nous de notre planète? Que savons-nous de notre planète? par Jacques Deferne et Nora Engel Née en même temps que le Soleil de la contraction d'un immense nuage d'hydrogène, d'hélium et de poussière, la Terre est la seule planète

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION

Plus en détail

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

PÉTROLOGIE ET METALLOGÉNIE D INDICES DE NI-CU DE LA SUITE PLUTONIQUE DE «DE LA BLACHE», PROVINCE DE GRENVILLE, QUÉBEC

PÉTROLOGIE ET METALLOGÉNIE D INDICES DE NI-CU DE LA SUITE PLUTONIQUE DE «DE LA BLACHE», PROVINCE DE GRENVILLE, QUÉBEC MATHIEU LAPORTE-SAUMURE PÉTROLOGIE ET METALLOGÉNIE D INDICES DE NI-CU DE LA SUITE PLUTONIQUE DE «DE LA BLACHE», PROVINCE DE GRENVILLE, QUÉBEC Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l'université

Plus en détail

Le concept Sunoptimo. L énergie solaire : Gratuite, inépuisable et naturelle

Le concept Sunoptimo. L énergie solaire : Gratuite, inépuisable et naturelle www.sunoptimo.com Le concept Sunoptimo Sunoptimo est concepteur/fabricant de solutions solaires thermiques basées sur le principe du drainback (auto-vidange). Cette technologie permet d éviter la surchauffe

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Comment économiser de l électricité dans le bloc traite?

Comment économiser de l électricité dans le bloc traite? Comment économiser de l électricité dans le bloc traite? La consommation électrique du bloc traite représente 20 % en moyenne de la consommation énergétique totale d une exploitation laitière. Le tank

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

THE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226.

THE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226. CEA-R 2419 - BUTAYE Michel ISOLEMENT D'UN TRACEUR POUR L'ANALYSE RAJDIOCHIMIQUE DU RADIUM 226. 223 Sommaire.- Ce rapport décrit une méthode d'isolement du Ra à partir d'un minerai d'uranium et son utilisation

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

FRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical

FRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical FRnOG, 25/01/2013 Marilyn, un datacenter vertical www.celeste.fr Marilyn, un datacenter vertical Pourquoi un datacenter? Pourquoi l air? Pourquoi vertical? Qui est CELESTE? CELESTE est fournisseur d accès

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

Les voies de l éco-conception

Les voies de l éco-conception Les voies de l éco-conception Les voies de l éco - conception De ce domaine très vaste, qui embrasse tout le CYCLE DE VIE du produit «navire», nous allons extraire quelques problématiques relatives à la

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et

Plus en détail

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La

Plus en détail

Panorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2

Panorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2 Panorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2 81 eme congrès de l'acfas Le BRGM: service géologique français Le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) est l'établissement

Plus en détail

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus

Plus en détail

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen

Plus en détail

Représenter un pays : la carte de France

Représenter un pays : la carte de France séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Optimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches

Optimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches Optimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches Par Neil Rasmussen Livre blanc n 44 Révision n 1 Résumé de l étude L espace vertical inutilisé dans les racks à cadre

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

INSTITUT DE PHYSIQUE DU GLOBE DE PARIS UNIVERSITE PARIS DIDEROT (SORBONNE PARIS CITE) ECOLE NORMALE SUPERIEURE

INSTITUT DE PHYSIQUE DU GLOBE DE PARIS UNIVERSITE PARIS DIDEROT (SORBONNE PARIS CITE) ECOLE NORMALE SUPERIEURE INSTITUT DE PHYSIQUE DU GLOBE DE PARIS UNIVERSITE PARIS DIDEROT (SORBONNE PARIS CITE) ECOLE NORMALE SUPERIEURE ECOLE DOCTORALE DES SCIENCES DE LA TERRE HISTOIRE DES IDEES EN GEOSCIENCES Un SEMINAIRE D'HISTOIRE

Plus en détail

REPUBLIQUE DE LA COTE D IVOIRE ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS IDENTIFICATION DES ZONES POTENTIELLEMENT FAVORABLES

REPUBLIQUE DE LA COTE D IVOIRE ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS IDENTIFICATION DES ZONES POTENTIELLEMENT FAVORABLES REPUBLIQUE DE LA COTE D IVOIRE ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS IDENTIFICATION DES ZONES POTENTIELLEMENT FAVORABLES Etude réalisée avec la coordination de la UFR-STRM Laboratoire de Télédétection

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION POUR EU-RAMPS

MANUEL D INSTALLATION POUR EU-RAMPS Avertissement : Dans ce manuel d installation, le mot rampe est utilisé pour les modules inclinés et le mot plateforme pour les modules horizontaux. Généralités Commencer l installation par le point culminant

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

Calcul Haute Performance & Données

Calcul Haute Performance & Données Calcul Haute Performance & Données Plan de l exposé CALMIP : news Evolution Matérielle Evolution des systèmes de calcul (CALMIP) Evolution Applicative Modélisation et Calcul haute performance Calcul haute

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès

Plus en détail

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main 2 Le développement durable au cœur de la stratégie d ASSA ABLOY de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de

Plus en détail

Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces

Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Henkel Votre partenaire en solutions de réparation des surfaces Grâce à de nombreuses années d expérience dans

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

L Ecole et observatoire des sciences de la Terre

L Ecole et observatoire des sciences de la Terre L Ecole et observatoire des sciences de la Terre Michel GRANET LabEx G-EAU-THERMIE PROFONDE JOURNÉE DE LANCEMENT 14 Juin 2012 Un peu d histoire des sciences de la Terre à Strasbourg Quelques dates clés

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE

AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE Ne laissez pas vos tickets reçus vous coûter du temps et de l argent Un livre blanc NCR Vos applications d impression thermique direct ne

Plus en détail

RUBIS. Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée. www.magnumgs.fr

RUBIS. Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée. www.magnumgs.fr RUS Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée www.magnumgs.fr Producteurs d'eau chaude instantanés RUS Le système intégré de production d'eau chaude sanitaire instantané permet, à

Plus en détail

RELAIS STATIQUE. Tension commutée

RELAIS STATIQUE. Tension commutée RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé

Plus en détail

Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes?

Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Témoignage de Hervé MAGNIER Aéroports de Paris Membre du CRIP Groupe de travail Data center Un environnement technique peu

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»

Plus en détail

A) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil.

A) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil. INTRODUCTION : Un enfant qui naît aujourd hui verra s éteindre une part importante de nos ressources énergétiques naturelles. Aujourd hui 87% de notre énergie provient de ressources non renouvelables (Charbon,

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

L énergie dans notre quotidien

L énergie dans notre quotidien 4 5 6 7 8 L énergie dans notre quotidien QUE SAIS-TU SUR L ÉNERGIE? Sur ton cahier de sciences, essaie de répondre par VRAI ou FAUX aux phrases ou expressions qui suivent. A. 1. Nous utilisons de plus

Plus en détail

Application des technologies de pointe pour la durabilité et autosuffisance des populations isolées

Application des technologies de pointe pour la durabilité et autosuffisance des populations isolées Application des technologies de pointe pour la durabilité et autosuffisance des populations isolées 28 octobre 2014 Catalin Harnagea, Riad Nechache, Jennifer Macleod, and Federico Rosei Institut National

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail