PROJET DE LOI DE FINANCES PORTANT BUDGET DE L ETAT POUR L ANNEE 2017
|
|
- Dominique Desmarais
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MINISTERE AUPRES DU PREMIER MINISTRE, CHARGE DU BUDGET ET DU PORTEFEUILLE DE L ETAT PROJET DE LOI DE FINANCES PORTANT BUDGET DE L ETAT POUR L ANNEE 2017
2 EXPOSE DES MOTIFS Conformément à l article 80 de la Constitution, le Gouvernement saisit l Assemblée Nationale du projet de Loi de Finances dès l ouverture de la session d octobre. En application de cette disposition, le présent projet de Loi de Finances pour l année 2017 a été élaboré pour permettre au Gouvernement de poursuivre la mise en œuvre de sa politique de développement économique et sociale déclinée dans le Plan National de Développement (PND) L élaboration du projet de budget pour l'année 2017 intervient dans un environnement socio-politique favorable, soutenu par les actions de consolidation de la paix et de la cohésion nationale. Au plan économique, la mise en œuvre satisfaisante du Plan National de Développement (PND) a permis à la Côte d'ivoire de réaliser une croissance moyenne de son Produit Intérieur Brut de 9% sur la période, devenant ainsi l'un des pays à forte croissance dans le monde. Cet élan de croissance est soutenu par l'impulsion de l'investissement public et privé, dont le taux global a doublé sur la période , passant de 9% du PIB à 20% avec pour résultat, la réduction significative de l impact de plusieurs années de crise. Pour consolider ces acquis, le Gouvernement a élaboré le PND qui vise entre autres, le maintien de la stabilité du cadre macroéconomique, la diversification et la transformation structurelle de l'économie ainsi qu une meilleure répartition des fruits de la croissance. La mise en œuvre de ce plan devrait permettre d'assurer une croissance soutenue et de faire de la Côte d'ivoire un pays émergent à l'horizon 2020, conformément à la vision du Chef de l'etat. Le succès du Groupe Consultatif tenu à Paris les 17 et 18 mai 2016, traduit la forte adhésion des investisseurs pour le financement de ce nouveau PND, à travers les intentions de financement des partenaires économiques et financiers et l'intérêt manifesté par le secteur privé. Dans ce contexte et tenant compte de la poursuite des réformes structurelles, le taux de croissance du PIB est projeté en 2017 à 8,9%, en relation avec le dynamisme de l'ensemble des secteurs d'activité, notamment tertiaire (+12,5%) et secondaire (+8,9%). En effet, le secteur secondaire évoluerait de 8,9% en relation notamment avec la bonne progression de l énergie (+8,9%), des BTP (+24,5%), des autres industries manufacturières (+9,4%) et de l extraction minière (+2,2%) en liaison principalement avec l optimisation de la capacité des installations de production d énergie, la poursuite des projets d investissements publics et privés dans les Bâtiments et Travaux Publics ainsi que l augmentation de la production de pétrole brut et de l or. De même, le secteur tertiaire devrait connaître une croissance de 12,5% avec une contribution de toutes ses composantes grâce au bénéfice tiré de l évolution favorable du secteur secondaire. En effet, le transport enregistrerait une augmentation de 12% liée au 1
3 renforcement du parc automobile, à l amélioration de la fluidité routière ainsi qu au dynamisme des échanges extérieurs. Par ailleurs, l activité commerciale évoluerait de 11,8% sous l effet principal du commerce intérieur. Quant aux télécommunications, elles augmenteraient de 9,8% et les autres services de 14,2%. Quant au secteur primaire, il enregistrerait une progression de 6,1% imputable principalement à l agriculture vivrière et l élevage (+7,9%), à l agriculture d exportation (+3,5%), et aux ressources halieutiques (+2%). S inscrivant dans ce contexte économique favorable, le projet de budget 2017 devrait contribuer prioritairement à l'accroissement de l'offre de services de base de qualité, à l'amélioration du système éducatif devant former des compétences adaptées aux besoins de l'économie, au renforcement du système de santé accessible aux plus vulnérables et enfin, à la baisse des prix des denrées de première nécessité. Les infrastructures socio-économiques de base à fort impact sur le bien-être de la population ainsi que les investissements dans le secteur de l énergie, véritables catalyseurs du développement industriel, ont une place de choix dans ce projet de budget. En outre, compte tenu des nouvelles menaces liées au terrorisme, une attention particulière est accordée aux questions de défense et de sécurité, dont les grandes orientations sont définies dans les lois de programmation militaire et de sécurité. Les principales hypothèses de base de ce projet de budget sont : la consolidation de la croissance mondiale avec un taux de 3,4% contre 3% estimé en 2016; un taux de croissance du PIB de la Côte d Ivoire prévu à 8,9% en 2017 ; la bonne évolution du commerce extérieur avec un accroissement de 6,2% en 2017 contre 5,5% sur la période ; et une augmentation substantielle du volume de mise à la consommation des produits pétroliers (+8% pour le gasoil et +16,1% pour le super carburant). Sur la base de ces hypothèses, le projet de budget 2017 s équilibre en ressources et en charges à FCFA, en hausse de 5,4% par rapport au budget révisé Les prévisions de recettes fiscales fixées à FCFA reposent sur les efforts de productivité des services de recouvrement, le renforcement du contrôle fiscal et un meilleur encadrement des exonérations. Ces prévisions induisent un taux de pression fiscale de 16,8%. 2
4 Au titre du financement sur les marchés monétaire et financier régional et international, il est prévu une mobilisation de FCFA. Les concours des partenaires extérieurs de FCFA sont constitués de FCFA d appuis budgétaires, FCFA d emprunts-projets et FCFA de dons-projets. Les charges du projet de budget 2017 font ressortir une hausse du service de la dette publique notamment extérieure et un accroissement des charges de personnel. Les charges de personnel d un niveau de FCFA, augmentent de FCFA par rapport à Cette augmentation est liée principalement à la prise en compte de l impact financier des recrutements nouveaux ( agents dont dans le secteur éducation-formation) et des avancements de grade. Les dépenses d investissement sur ressources intérieures du Trésor intégrant les dépenses au titre du Fonds d Investissement en Milieu Rural (FIMR) et du Fonds d Entretien Routier (FER) sont prévues à FCFA dont FCFA affectés aux opérations des Collectivités Territoriales et FCFA de financement des projets dans le cadre du C2D. Le financement des projets sur ressources extérieures est prévu à FCFA dont FCFA au titre des emprunts et FCFA sur les dons. Le projet de budget 2017 reflète les grands objectifs du PND dont la finalité est de bâtir un pays moderne et prospère. Les priorités de ce projet de budget demeurent le financement des secteurs de l éducation, de la santé, de la sécurité ainsi que du développement des infrastructures socio-économiques de base, conformément aux grandes orientations stratégiques du Gouvernement. Pour atteindre les objectifs déclinés dans ce projet de budget, l exécution budgétaire sera encadrée par des mesures visant l optimisation du potentiel de recouvrement des régies financières, le renforcement de la discipline budgétaire et une bonne capacité d absorption des crédits d investissement. A cet effet, il est important qu un accent particulier soit mis sur les mesures d amélioration du système de passation des marchés publics et d accompagnement de l exécution du budget en général. 3
5 PROJET DE LOI PORTANT BUDGET DE L ETAT POUR L ANNEE 2017 L ASSEMBLEE NATIONALE a adopté, LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE promulgue la loi dont la teneur suit : Article premier : Equilibre Première partie : Equilibre financier du Budget de l Etat Le projet de budget de l Etat pour l année 2017, s équilibre en ressources et en charges à FCFA, après le transfert ou la consolidation des ressources des Comptes Spéciaux du Trésor, d un montant de FCFA, soit FCFA de ressources transférées des comptes de prêts rétrocédés au Budget Général et FCFA de ressources des comptes d affectation spéciale consolidées au Budget Général. 4
6 Deuxième partie : Ressources et charges du Budget de l Etat Article 2 : Dispositions relatives aux ressources Pour l exécution de son programme de Gouvernement, le Président de la République est autorisé au titre de l année 2017: à percevoir les impôts directs et indirects, droits, taxes et redevances au profit de l Etat, des Collectivités Territoriales et autres organismes publics, selon les textes en vigueur et sous réserve des modifications portées dans l annexe fiscale à la présente loi ; à effectuer tous les tirages d emprunts destinés au financement des investissements et à mobiliser les appuis budgétaires, dans le cadre des accords ou conventions passés avec les bailleurs de fonds et dans la limite du plafond énuméré ci-dessous ; à mobiliser et affecter les dons-projets et les dons-programmes, conformément à l intention exprimée par les donateurs ; et de manière générale, à procéder sur les marchés monétaire et financier à toutes les opérations requises pour la gestion de la trésorerie de l Etat. Les ressources du Budget Général pour l année 2017, s élèvent à la somme de FCFA après transfert des ressources des comptes de prêts rétrocédés au Budget Général pour un montant de FCFA. Les ressources du projet de budget de l Etat au titre de l année 2017, s élèvent à la somme de FCFA, après le transfert des ressources des Comptes de prêts rétrocédés d un montant de FCFA au Budget Général et la consolidation avec les ressources des Comptes d affectation spéciale du Trésor pour FCFA. 5
7 Les ressources du projet de budget de l Etat pour l année 2017 se répartissent comme suit : Nature des ressources Titre 0 Ressources du Budget Général Titre 4 Ressources des Comptes Spéciaux du Trésor (CST) à transférer au Budget Général Montants en francs CFA Ressources consolidées du budget de l'etat I. RESSOURCES DU BUDGET GENERAL Recettes intérieures Recettes fiscales Recettes non fiscales Prise de participation et privatisation Recettes des Comptes de prêts rétrocédés à recevoir en transfert Autres ressources sur marché financier Recettes extérieures Recettes extérieures sur projets Emprunts-projets Dons-projets Recettes extérieures d'appui budgétaire Emprunts-programmes Dons-programmes II. RESSOURCES DES COMPTES SPECIAUX DU TRESOR Recettes des Comptes de prêts rétrocédés Recettes des Comptes d affectation spéciale III. Correction pour double comptabilisation des recettes des Comptes de prêts pour transfert au Budget Général TOTAL RESSOURCES DU BUDGET DE L'ETAT Après consolidation 6
8 Article 3 : Dispositions relatives aux charges : Autorisations d Engagement Dans le cadre de l exécution du budget de l Etat pour l année 2017, le Président de la République dispose d autorisations d engagement qui s élèvent à la somme de FCFA, y compris FCFA de dépenses sur les ressources reçues des Comptes de prêts rétrocédés au Budget Général et FCFA de dépenses des Comptes d affectation spéciale du Trésor. 7
9 Les autorisations d engagement se répartissent comme suit : Nature des charges (Autorisations d Engagement) I. DEPENSES DU BUDGET GENERAL (y/c dépenses sur transfert de ressources reçues des Comptes de prêts rétrocédés) Charges inscrites au Budget Général Charges inscrites aux Comptes Spéciaux du Trésor (CST) Montants en francs CFA Charges consolidées du budget de l'etat Titre 1 : Dette publique Dette Intérieure Dette Extérieure Titre 2 : Dépenses ordinaires Dépenses de personnel Frais d'abonnement Autres dépenses ordinaires Titre 3 : Dépenses d'investissement Sur financement intérieur Sur financement extérieur Emprunts-projets Dons-projets II. DEPENSES DES COMPTES SPECIAUX DU TRESOR Dépenses sur transferts de ressources des Comptes de Prêts rétrocédés au Budget Général Dépenses sur ressources des Comptes d affectation spéciale III. Correction pour double comptabilisation de dépenses sur transferts de ressources au Budget Général TOTAL DEPENSES DU BUDGET DE L'ETAT Après consolidation 8
10 Article 4 : Dispositions relatives aux charges : Crédits de paiement Dans le cadre de l exécution du budget de l Etat pour l année 2017, le Président de la République dispose des crédits de paiement qui s élèvent à la somme de FCFA, y compris FCFA de dépenses sur les ressources reçues des comptes de prêts rétrocédés au Budget Général et FCFA de dépenses exécutées dans les Comptes d affectation spéciale du Trésor. 9
11 Les crédits de paiement se répartissent comme suit : Nature des charges (Crédits de paiement) I. DEPENSES DU BUDGET GENERAL (y/c dépenses sur transfert de ressources reçues des Comptes de prêts rétrocédés) Charges inscrites au Budget Général Charges inscrites aux Comptes Spéciaux du Trésor (CST) Montants en francs CFA Charges consolidées du budget de l'etat Titre 1 : Dette publique Dette Intérieure Dette Extérieure Titre 2 : Dépenses ordinaires Dépenses de personnel Frais d'abonnement Autres dépenses ordinaires Titre 3 : Dépenses d'investissement Sur financement intérieur Sur financement extérieur Emprunts-projets Dons-projets II. DEPENSES DES COMPTES SPECIAUX DU TRESOR Dépenses sur transferts de ressources des Comptes de Prêts rétrocédés au Budget Général Dépenses sur ressources des Comptes d affectation spéciale III. Correction pour double comptabilisation de dépenses sur transferts de ressources au Budget Général TOTAL DEPENSES DU BUDGET DE L'ETAT Après consolidation 10
12 Article 5 : Dispositions relatives au financement des dépenses d investissement (Titre 3) Les crédits de paiement autorisés au titre des dépenses d investissement sont fixés à FCFA, financés à hauteur de FCFA sur ressources du Trésor et FCFA sur financements extérieurs. Troisième partie : Dispositions concernant les Comptes Spéciaux du Trésor Article 6 : Comptes de prêts rétrocédés par l Etat Au titre du projet de budget 2017, sont ouverts les Comptes de prêts rétrocédés suivants : Code Budgétaire Libellé Structures Prêts Rétrocédés par l Etat Société Internationale de Plantations et de Finances en CI (SIPEF-CI) Prêts Rétrocédés par l Etat Maison du Mali Prêts Rétrocédés par l Etat Fonds National de 'Eau (FNE) Prêts Rétrocédés par l Etat SICOGI Prêts Rétrocédés par l Etat CI-Energies Prêts Rétrocédés par l Etat Agence Nationale du Service Universel des Télécommunication (ANSUT) Chacun de ces comptes retrace : en recettes, le remboursement par les tiers emprunteurs, des prêts que l Etat leur a rétrocédés, après que celui-ci ait préalablement et directement emprunté auprès des bailleurs de fonds, en vue de cette rétrocession. Eventuellement, 11
13 figure aussi en recettes, le report d un solde excédentaire de la gestion précédente ou un transfert en provenance du Budget Général ; en dépenses, le montant du reversement aux tiers emprunteurs, des prêts que l Etat a directement contractés auprès des bailleurs de fonds. Eventuellement, figure aussi en dépenses, le report d un solde déficitaire de la gestion précédente ou un transfert effectué au profit du Budget Général, en couverture totale ou partielle du remboursement de la dette contractée directement par l Etat en vue de cette rétrocession. Les engagements et les ordonnancements de dépenses sur ces comptes sont soumis au caractère limitatif des autorisations d engagement et des crédits de paiement ouverts en loi de finances. 12
14 Article 7 : Comptes d affectation spéciale Au titre du projet de budget 2017, il est ouvert les comptes d affectation spéciale suivants : Code Budgétaire Libellé Structures Programme d'investissement FIMR Conseil Café-cacao Fonds d'entretien Routier (FER) Fonds d'entretien Routier Prélèvements communautaires UEMOA (PCS-PCC) UEMOA/CEDEAO Contrôle des Marchandises à l'importation WEBB FONTAINE Dépenses des Collectivités sur recettes affectées Collectivités Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP) FDFP Fonds Interprofessionnel pour la Recherche et le Conseil Agricole FIRCA Fonds de la Culture / Taxe pour la Promotion de la Culture. Fonds de la Culture Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP / Taxe de Publicité) FSDP Redevance RTI RTI Développement du Sport / Taxe sur le Tabac Fédérations sportives Fond National de lutte contre le SIDA (FNLS) FNLS Programme National de Lutte contre le Tabagisme, Alcoolisme et les autres Addictions (PNLTAT) PNLTAT Fonds de Solidarité pour le Développement / Contribution de Solidarité sur les Billets d'avion FSD Fonds de Financement des Programmes de Salubrité Urbaine FFPSU Assainissement et Drainage / ONAD ONAD TVA sur secteur électricité Secteur Electricité Taxes sur les Télécommunications Régie auprès du Ministère en charge des télécommunications Agence Nationale du Service Universel des Télécommunication Agence Nationale du Service Universel des Télécommunication / Taxe pour le Développement des Nouvelles Technologies en Zones Rurales Fonds d'investissement Agricole (2QC) Conseil Café-cacao Dépenses secteur café cacao sur recettes affectées Conseil Café-cacao Côte d'ivoire Tourisme / Taxe d'embarquement sur les Titres de Transports Aériens Côte d'ivoire Tourisme Fonds de Développement Touristique / Taxe pour le Développement du Tourisme Fonds de Développement Touristique Taxe Spécifique Unique au profit de la SIR SIR 13
15 Chacun de ces comptes retrace : en recettes, les patentes, les impôts fonciers, l impôt synthétique, les vignettes et autres taxes collectées au profit des collectivités et diverses structures étatiques. Figurent également en recettes, les taxes collectées et affectées à l'uemoa et à la CEDEAO au titre du Prélèvement Communautaire de Solidarité et du Prélèvement Communautaire de la CEDEAO, conformément aux accords inter-etats ; en dépenses, les montants correspondant au transfert de ces ressources aux structures étatiques et aux organisations sous régionales bénéficiaires. Les engagements et les ordonnancements de dépenses sur ces comptes sont soumis au caractère limitatif des autorisations d engagement et des crédits de paiement ouverts en loi de finances. 14
16 Quatrième partie : Dispositions particulières Article 8 : Dispositions relatives aux autres engagements de l Etat Le plafond des avals ou garanties susceptibles d être accordés par l Etat est fixé, pour l année 2017, à FCFA. L encours total des prêts et avances susceptibles d être accordés par l Etat ne pourra, pour l année 2017, être supérieur à FCFA. Article 9 : Dispositions relatives aux Etablissements Publics Nationaux La contribution de l Etat au fonctionnement et à l investissement des Etablissements Publics Nationaux est incluse dans les dépenses des Titres 2 et 3 du Budget Général. Conformément à la loi n du 02 juillet 1998 en son article 21, le budget complet des Etablissements Publics Nationaux est annexé à la présente Loi de finances. Article 10 : Dispositions relatives au transfert de crédits aux Collectivités Territoriales Les crédits de paiement accordés aux Collectivités Territoriales que sont les Communes, les Conseils Régionaux et les Districts, en application de la loi n du 7 juillet 2003 portant répartition et transfert de compétences de l Etat aux Collectivités Territoriales, sont fixés à FCFA dont FCFA pour la subvention au fonctionnement de leurs services y compris les charges de personnel et FCFA pour la mise en œuvre de leurs programmes d investissement. 15
17 Article 11 : Dispositions concernant la mise à disposition des crédits de paiement La notification de la mise à disposition initiale des crédits de paiement est réalisée dans les conditions fixées par l article 40 du décret n du 16 décembre 1998, portant réforme des circuits et des procédures d exécution des dépenses et des recettes du Budget Général, des Comptes Spéciaux du Trésor et mise en œuvre du Système Intégré de Gestion des Finances Publiques. Article 12 : Législation par ordonnance Le Président de la République est autorisé à prendre par ordonnances, pendant la gestion 2017, pour l exécution de son programme en matière économique et financière, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi. Ces ordonnances doivent être soumises à la ratification de l Assemblée Nationale, au plus tard avant la fin de la deuxième session ordinaire de l année Article 13 : Publication La présente loi sera publiée au Journal Officiel de la République de Côte d Ivoire et exécutée comme Loi de l Etat. Fait à Abidjan, le Alassane OUATTARA 16
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailRapport financier - Exercice 2013
Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers
Plus en détailCote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise
19 AVRIL 2012 SON EXCELLENCE MONSIEUR CHARLES KOFFI DIBY, MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Cote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise Séminaire «Marchés de la Prochaine Génération», JP Morgan
Plus en détailLE FONDS NATIONAL DE GARANTIE
LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE Le fonds National de Garantie a été institué par la loi n 100 du 31 décembre 1981 portant loi de Finances pour la gestion 1982, article 73 tel que modifié par l article 66
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailBordereau de renseignements OG B.I.C. Millésime 2015
LE MANS LAVAL ALENCON Siège social 1 rue de la Paix Parc d activités du Londreau 126-128 rue de la Mariette CS 60506 BP 230 - Cerisé 72000 LE MANS 53005 LAVAL CEDEX 61007 ALENCON CEDEX Tel : 02 43 86 36
Plus en détailCARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN :
Niamey, le Affaire suivie par : Kamayé Amadou CARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN : Le système fiscal nigérien est fondamentalement déclaratif. Il est constitué d impôts de diverses natures que
Plus en détailORDONNANCES. 19 Joumada Ethania 1426 26 juillet 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 52 3
JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 52 3 ORDONNANCES Ordonnance n 05-05 du 18 Joumada Ethania 1426 correspondant au 25 juillet 2005 portant loi de finances complémentaire pour 2005. Le Président
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailPatrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao
Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailOFFICE TOGOLAIS DES RECETTES Commissariat Général REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberté Patrie
OFFICE TOGOLAIS DES RECETTES.. Commissariat Général. Commissariat des Services Généraux REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberté Patrie Sollicitation publique de manifestations d intérêt AMI N 01/2014/CG/CSG/DRHFP
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détailCIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements
Paris le, Le ministre de l'intérieur, le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie et la ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailDéclaration Mensuelle des Impôts
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES IMPOTS Déclaration Mensuelle des Impôts Code acte (1) Mois Année N de registre de commerce Identifiant fiscal Identifiant T. V. A. Code
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailRESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI
RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13 Impression : 23/04/13 RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATON ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailPrésenté par F. Breitzer MOUNZEO. Jeudi 30 mai 2013, 15h45 16h15 (30 mn)
Présenté par F. Breitzer MOUNZEO Jeudi 30 mai 2013, 15h45 16h15 (30 mn) 1 Sommaire Introduction au système fiscal congolais Première partie: Dispositif juridique Chapitre I : Structure du système fiscal
Plus en détailRAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009
RAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009 I. Environnement économique 2009 SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti) 31 625 Taux de croissance de l'économie 3,00% II. Environnement Institutionnel
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailPlan National de Développement CONGO 2012-2016
REPUBLIQUE DU CONGO Unité * Travail * Progrès --------------- MINISTERE DE L ECONOMIE, DU PLAN, DE L AMMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L INTEGRATION MINISTERE DES FINANCES, DU BUDGET ET DU PORTEFEUILLE
Plus en détailLe budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES
Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2015 s inscrit dans un contexte économique et social contraint. Face à cette situation,
Plus en détailDIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 9 FEVRIER 2012 6 E-4-12
DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 9 FEVRIER 2012 6 E-4-12 COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTEE DES ENTREPRISES. CONDITIONS GENERALES D APPLICATION. (C.G.I., art. 1586 ter à 1586 nonies)
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailUn Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!
Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailFINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS. CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE»
FINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE» Intervenant : Jean-Jacques LANTONNET Expert Tarification AT-MP Direction des Risques Professionnels Caisse
Plus en détailProjet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Article liminaire La prévision de solde structurel et de solde effectif de l ensemble des administrations publiques pour 2014
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailLES FONDS LIES AU SECTEUR DES ASSURANCES. Création d'un Fonds de Garantie des Assurés
LES FONDS LIES AU SECTEUR DES ASSURANCES Création d'un Fonds de Garantie des Assurés Loi n 2000-98 du 31 décembre 2000 portant loi de finances pour l année 2001 (1). Article 35 Est crée un fonds intitulé
Plus en détailRAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014
RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailPOINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012
POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012 Philippe BOUCHARDEAU Nelly ARGOUD Adjoint de direction Adil 26 Stagiaire Elève avocate Adil 26 1 Rappels sur L ADIL 26 Les trois missions
Plus en détailLes temps forts de l année 2000. Les grandes masses budgétaires 1995-2000. Les résultats de la politique financière. La dette régionale et le bilan
S O M M A I R E Les temps forts de l année 2000 Les grandes masses budgétaires 1995-2000 L équilibre financier 2000 et les dépenses par secteurs d intervention Les résultats de la politique financière
Plus en détailArticle L52-4 Article L52-5 Article L52-6
Article L52-4 Tout candidat à une élection désigne un mandataire au plus tard à la date à laquelle sa candidature est enregistrée. Ce mandataire peut être une association de financement électoral, ou une
Plus en détailAffectation pour 2010
CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE CP 10-364 Soutien à l activité de microcredit pour la creation d entreprise en Ile-de-France Convention triennale 2008-2010 avec l ADIE Convention biennale 2009-2010 avec
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES GUIDE DES MAROCAINS RESIDANT A L'ETRANGER EN MATIERE DE CHANGE. Juillet 2012 www.oc.gov.ma
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES GUIDE DES MAROCAINS RESIDANT A L'ETRANGER EN MATIERE DE CHANGE Juillet 2012 www.oc.gov.ma S O M M A I R E INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------3
Plus en détailTABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE
PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL
Plus en détailMISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC
MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailCOMMUNICATION SUR LES REFORMES D AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES, FOCUS DOING BUSINESS
Réf.: 25_2014/SEA/120514 COMMUNICATION SUR LES REFORMES D AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES, FOCUS DOING BUSINESS +usiness 2015 Pour une Règlementation SMART de l Environnement des Affaires
Plus en détail- Recettes du Titre I 19 020 200 000 Dinars - Recettes du Titre II 8 052 000 000 Dinars - Recettes des fonds spéciaux du Trésor 952 800 000 Dinars
Loi n 2013-54 du 30 décembre 2013, portant loi de finances pour l année 2014 (1). Au nom du peuple, L assemblée nationale constituante ayant adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont
Plus en détailRoyaume du Maroc المرجع :
المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements
Plus en détailLa gestion du compte de l État
FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique
Plus en détailLe budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES
Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec
Plus en détailPROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER
PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres
Plus en détailRégime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20)
Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) I. Définition des entreprises totalement exportatrices (art 10) : L article 10 du code d incitation aux investissements a défini les entreprises
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailFINANCEMENT DE LA STRATEGIE LIEE AU VIH: L EXEMPLE DU REGIME OBLIGATOIRE D ASSURANCE MALADIE AU GABON. Par la Direction Générale de la CNAMGS
FINANCEMENT DE LA STRATEGIE LIEE AU VIH: L EXEMPLE DU REGIME OBLIGATOIRE D ASSURANCE MALADIE AU GABON Par la Direction Générale de la CNAMGS Introduction Dans le souci d améliorer l accès aux soins de
Plus en détailNomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein
Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet
Plus en détailDéclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995)
Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995) Légende: Première déclaration d'assurance relative aux activités relevant du budget général. Depuis l'entrée en
Plus en détailDECRET DE CREATION DE AGENCE NATIONALE DE L ENVIRONNEMENT (ANDE)
DECRET DE CREATION DE AGENCE NATIONALE DE L ENVIRONNEMENT (ANDE) Décret n 97-393 du 9 juillet 1997 portant création et organisation d un établissement public à caractère administratif dénomme Agence Nationale
Plus en détailIMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS ET IMPÔT SUR LE REVENU DES PERSONNES PHYSIQUES
13. Système fiscal Le système fiscal tchèque, décrit ci-après en conformité avec la législation tchèque en vigueur, peut être modifié par un traité destiné à éviter la double imposition. Le système fiscal
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailLEVET COMMUNE DE LEVET
LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailLoi n 2006-19 du 30 juin 2006 relative aux archives et aux documents administratifs 1 EXPOSE DES MOTIFS
Loi n 2006-19 du 30 juin 2006 relative aux archives et aux documents administratifs 1 EXPOSE DES MOTIFS La loi n 81-02 du 2 février 1981 relative aux archives constituait une avancée significative au moment
Plus en détailLOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS
LOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS Article premier. - Constitue un prêt consenti à un taux d'intérêt excessif, tout prêt conventionnel consenti à un taux d'intérêt effectif
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailN 115 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1966-1967 PROJET DE LOI ADOPTÉ PAR LE SÉNAT. portant réforme du régime relatif
PROJET DE LOI adopté le 25 mai 1967 N 115 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1966-1967 PROJET DE ADOPTÉ PAR LE SÉNAT LOI portant réforme du régime relatif aux droits de port et de navigation. Le Sénat
Plus en détailVous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion.
Le Président REF. : N 1027 Poitiers, le 29 décembre 2006 Rod2-1 RECOMMANDE AVEC A.R. Monsieur le Maire, Le rapport d observations définitives sur la gestion de la commune de Saint-Sauveur-d Aunis, arrêté
Plus en détailPROJET DE LOI. NOR : MAEJ1231044L/Bleue-1 ----- ÉTUDE D IMPACT
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des affaires étrangères PROJET DE LOI autorisant l approbation de l avenant à la convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailLa Retenue à la source obligatoire en Tunisie : Article 52 du Code de l IS et de l IRPP (à jour jusqu à la Loi de finances 2008)
La Retenue à la source obligatoire en Tunisie : Article 52 du Code de l IS et de l IRPP (à jour jusqu à la Loi de finances 2008) Objet Article Dispositions Taux Principe 52-I Règle générale Hôtels Bureaux
Plus en détailLes moyens de règlement des dépenses publiques et les moyens d'encaissement des recettes publiques
Les moyens de règlement des dépenses publiques et les moyens d'encaissement des recettes publiques L arrêté du 24 décembre 2012, publié au JORF n 0301 du 27 décembre 2012 texte 13, portant application
Plus en détailPERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010
PERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010 VULNERABILITE DES COMPTES COURANTS DANS LE CONTEXTE DE LA CRISE FINANCIERE INTERNATIONALE TABLE DES MATIERES
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détail[LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] Abidjan, le 02 Février 2015. MUGEFCI - TOURE Laciné. MUTREPCI - SERY Jean-Pierre
Abidjan, le 02 Février 2015 MUGEFCI - TOURE Laciné MUTREPCI - SERY Jean-Pierre PASS - HUCHET Jean-Philippe [LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] 1 Des mutuelles pour participer à la réussite
Plus en détailLes emprunts assortis d une ligne de trésorerie (crédits revolving)
Comité national de fiabilité des comptes locaux Les emprunts assortis d une ligne de trésorerie (crédits revolving) Écritures budgétaires et comptables Caractéristiques des crédits revolving Ils sont connus
Plus en détailLa construction du budget communal. 25 avril 2015
La construction du budget communal 25 avril 2015 Le budget : un acte fondamental, très encadré Un acte de prévision et d autorisation Prévoit chaque année les recettes et dépenses de la commune Autorise
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailCOMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E. Orientations budgétaires 2010
COMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E Orientations budgétaires 2010 Conseil Communautaire du 1 ER Mars 2010 3 - FINANCES Débat d orientations budgétaires 2010 Notre communauté, créée il y a maintenant plus
Plus en détailconseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.
conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page
Plus en détail- Septième partie : Financement 669.609.000 Dinars Au nom du peuple,
Loi n 2006-85 du 25 décembre 2006, portant loi de finances pour l année 2007 (1). - Septième partie : Financement public 669.609.000 Dinars Au nom du peuple, - Huitième partie : Dépenses de La chambre
Plus en détailChapitre IV. La certification des comptes
Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine
Plus en détailTABLEAU RÉCAPITULATIF DES RÉFORMES 2014 ET TEXTES Y AFFÉRENTS FOCUS DOING BUSINESS 2015
TABLEAU RÉCAPITULATIF DES RÉFORMES 2014 ET TEXTES Y AFFÉRENTS FOCUS DOING BUSINESS 2015 No. LIBELLE DE LA REFORME DESCRIPTION DE LA REFORME NATURE DU DOCUMENT DATE DE MISE EN VIGUEUR Indicateur 1 : Création
Plus en détailDébats et Prospectives
Débats et Prospectives CONSOLIDATION DE LA TVA : UNE PREMIERE ETAPE VERS LE «GROUPE TVA» Très tôt dans le droit communautaire de la TVA est apparue la notion de «groupe», consistant à considérer comme
Plus en détailPARLEMENT WALLON SESSION 2007-2008 4 DÉCEMBRE 2007 PROJET DE DÉCRET
681 (2007-2008) N 2 681 (2007-2008) N 2 PARLEMENT WALLON SESSION 2007-2008 4 DÉCEMBRE 2007 PROJET DE DÉCRET visant à instaurer un fonds budgétaire en matière de financement du Système intégré de gestion
Plus en détail