Vacciner contre l'hépatite B : qui, pourquoi, comment? Le point en 2015
|
|
- Laure Martel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vacciner contre l'hépatite B : qui, pourquoi, comment? Le point en 2015 Prométhée 6 octobre 2015 O. Epaulard Infectiologie CHU de Grenoble
2 Vaccination anti-hbv : dispositions (étatiques ) perception (publiques ) réalisation (en pratique ) Prométhée 6 octobre 2015 O. Epaulard Infectiologie CHU de Grenoble
3 Morbidité-Mortalité en France hépatites B aiguës en DO annuelle depuis 10 ans Sous-déclaration Infection chronique (Meffre et al. J Med Virol. 2010; 82: ) Prévalence de l AgHBs : 0,65% [0,45-0,93], soit porteurs de l AgHBs (dont 55% l ignorent) Mortalité (Marcellin et al, J Hepatol 2008; 48: 200-7) 1327 décès attribués au VHB/an [ ] soit un taux de décès de 2,2 pour [0,8-3,7]
4 Dépistage en CDAG , 226 CDAG tests ; 0,85% de positifs InVS
5 %age des tests avec Ag HBs positif Dépistage en CDAG
6 InVS LaboHep 2013 Dépistage en LAM : taux de positif
7 InVS LaboHep 2013 Dépistage en LAM : taux de positif
8 Dépistage en LAM : tests positifs / habitants InVS LaboHep 2013
9 Hépatites aiguës B : expositions à risque (potentielles, dans les 6 mois antérieurs) 867 cas avec information sur exposition (97%) Sexuelle % Partenaire HBsAg % Plusieurs facteurs % Homo/ bisexualité % Multi partenaires % Aucun facteur % Voyage en pays haute endémicité % Soins invasifs % Familial % Tatouage, piercing % Séjour en institutions % Usager de drogues % Périnatal 3 0.3% 503/ 867 patients (58%) : auraient du être vaccinés Source : InVS, DO
10 La vaccination hépatite B en France Recommandée chez les professionnels de santé avec un schéma 4 doses et rappels/5 ans Obligatoire professionnels de santé et les étudiants en santé Dépistage HBs obligatoire au 6 ème mois de grossesse Remboursement du vaccin hexavalent Indications élargies à d'autres groupes à risque ème schéma à 3 doses est mis en place Généralisation à tous les nourrissons+rattrapage Campagnes de vaccination en classe de 6 ème Schéma unique et suspension des rappels
11 Années 90 : quelques chiffres 75-80% de vaccination des 6èmes 70 millions de doses de vaccins Vaccination du tiers de la population Couverture vaccinale des nourrissons <30% 1998 : suspension de la vaccination des nourrissons
12 Couverture (%) Couverture vaccinale hépatite B "3 doses" à 24 mois, , France Source: Certificats de santé du 24ème mois, Drees-InVS
13 Couverture vaccinale à 6 mois, à 24 mois
14 Couverture Estimation de la CV à partir de l Echantillon généraliste des bénéficiaires Couverture vaccinale hépatite B "1 dose" pour différentes cohortes de naissance, France 100,00% 90,00% 80,00% Mars 2008: remboursement du vaccin hexavalent 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% 10,00% 0,00% Âge en mois Source: CNAM-TS, InVS
15 Couverture vaccinale par région
16 Couverture vaccinale chez l enfant et l adolescent
17
18 Dispositions récentes Nourrissons Lente mais régulière progression de la CV entre 2004 et 2007 Impact très important du remboursement du vaccin hexavalent en mars 2008 Adolescents Pas de données sur une amélioration récente de la couverture Elargissement en 2009 de l âge du rattrapage jusqu à 15 ans avec 2 doses Adultes à risque Promotion de la vaccination des sujets à risque depuis 2005 (Repère pour votre pratique Prévention de l hépatite B, INPES) Intégration dans le plan Hépatite de l objectif d augmenter la couverture vaccinale contre le VHB
19 Nombre de cas Nombre de cas d hépatites B diagnostiquées par les médecins Sentinelles Promotion de la vaccination Années Source: Réseau Sentinelles- INSERM U707
20 Nombre de cas d hépatites B aiguës diagnostiquées (chiffres de la DO)
21 Nb d'hépatites B Impact de la vaccination sur les hépatites B professionnelles à l Assistance Publique de Paris de 1984 à Années Source: Service central de médecine du travail AP-HP, Dr Benketira
22 Nombre de transplantations pour hépatites B fulminantes - France, Cas Source: Registre Européen des greffes hépatiques (ELTR), Pr D Samuel
23 Estimation de l impact de la vaccination des adolescents de ans vaccinés entre 1994 et 2007 La vaccination des ans depuis 1994 évite chaque année plus de 1000 hépatites aigues, près de 3000 infections, plus de 100 à 300 infections chroniques et environ 5 hépatites fulminantes En cumulatif, elle a évité depuis 1994 environ 8000 hépatites aiguës, infections, 1000 à 2000 infections chroniques et 40 hépatites fulminantes Potentiel de doublement de l impact de la vaccination par une augmentation de la couverture
24
25 Recommandations actuelles population générale Tous les nourrissons à partir de 2 mois 3 injections mois Rattrapages pour tous les enfants entre 11 et 15 ans si non vaccinés 2 injections Séparées de 6 mois
26 Recommandations actuelles populations à risque enfants et adultes en institutions psychiatriques et en prison personnes ayant des relations sexuelles avec des partenaires multiples ; usagers de drogues par voie parentérale ; voyageurs / résidents dans les pays de moyenne ou de forte endemie personnes qui, dans le cadre d activités professionnelles ou bénévoles, sont susceptibles d être en contact direct avec des patients et/ou d être exposées au sang et autres produits biologiques (professionnels de santé libéraux, secouristes, gardiens de prison, éboueurs, égoutiers, policiers, thanatopracteurs, tatoueurs ) personnes susceptibles de recevoir des transfusions massives et/ou itératives ou des médicaments dérivés du sang (hémophiles, dialyses, insuffisants rénaux...) personnes candidates a une greffe d organe, de tissu ou de cellules ; personnes de l entourage d une personne infectée par le virus de l hépatite B ou d un porteur chronique de l antigène HBs (personnes vivant sous le même toit) ; partenaires sexuels d une personne infectée par le virus de l hépatite B ou d un porteur chronique de l antigène HBs.
27 Recommandations actuelles quels schémas? Enfants : 3 injections M0-M1-M6 EngerixB 10µg ou Genhevac B ou HBVaxPro5 Adolescents ans : 2 injections M0-M6 En l absence de risque important entre M0 et M6 EngerixB 20µg ou Genhevac B Sinon, schéma en 3 injections M0-M1-M6 EngerixB 10µg ou Genhevac B ou HBVaxPro5 À partir de 16 ans : 3 injections M0-M1-M6 Genhevac B ou EngerixB 20 µg
28 Schémas «rapides» Chez l adulte immunocompétent Induction d une protection en moins d un mois Nécessite toujours un rappel à 1an J0-J7-J21, rappel à 1 an (Engérix B20) J0-J10-J21, rappel à 1 an (GenheVac B)
29 Un contrôle de l immunité après vaccination est recommandé (après l injection de M6/12) pour : Les personnes qui, dans le cadre d activités professionnelles ou bénévoles, sont susceptibles d être en contact direct avec des patients et/ou d être exposées au sang et autres produits biologiques ; Les personnes susceptibles de recevoir des transfusions massives et/ou itératives ou des médicaments dérivés du sang (hémophiles, dialysés, insuffisants rénaux...) ; Les personnes candidates à une greffe ; Les partenaires sexuels d une personne infectée par le VHB ; Les personnes immunodéprimées.
30
31 Personnels de santé : circulaire de janvier 2014 Abroge celle de 2007 Ne tient pas compte en 1 er lieu de la réalisation du vaccin, mais du taux d anticorps L âge de la vaccination n apparait pas décisionnel
32 Obligation vaccinale
33
34 Pour les professionnels de santé
35
36
37 Recommandations actuelles facteurs de mauvaise réponse > 30 ans chez l homme et > 40 ans chez la femme Surpoids Tabagisme consommation excessive d alcool Diabète insuffisance rénale Cirrhose Déficit immunitaire (transplantation, infection par le VIH, traitements immunosuppresseurs)
38 Schémas intensifs (4 injections et/ou 40µg pour les adultes) Dialysés, insuffisance rénale sévère 4 doses 40µg M0-M1-M2-M6 Cirrhose 4 doses 40µg M0-M1-M2-M6 Immunodéprimés 4 doses à 40µg pour les TOS M0-M1-M2-M6 4 doses à 20µg pour les GCSH M0-M1-M2-M6 Chimiothérapie : non, schéma normal PVVIH 4 doses à 40µg M0-M1-M2-M6 Quand CD4>200/mm 3 et CV indétectable
39 En l absence d anticorps après les injections S assurer que la recherche d AgHBs a été faite Refaire une injection Contrôler les Ac 4-8 semaines après Refaire une injection si négativité Etc Au max : 6 injections en tout 25-50% répondent après 4 doses % répondent après 6 doses
40
41 Information du non répondeur Le soignant non-répondeur doit être informé statut de non-répondeur à la vaccination risque de contamination par le VHB lors d un AES importance du respect des précautions universelles Prise en charge impérative en cas d AES Recherche en urgence du statut VHB de la source Immunoglobulines spécifiques si patient AgHBs + ou inconnu
42 Perceptions du vaccin
43 Résultats du baromètres santé médecins 2009 Évolution des opinions sur la vaccination contre l hépatite B (%) 1993 (n=494) 1994 (n=1013) 1998 (n=2073) 2003 (n=2057) 2009 (n=2083) Pour les nourrissons Très favorable / plutôt favorable Plutôt pas et pas du tout favorable Nsp Pour les adolescents Très favorable / plutôt favorable Plutôt pas et pas du tout favorable Nsp Pour les adultes à risque Très favorable / plutôt favorable Plutôt pas et pas du tout favorable Nsp
44 Résultats de l enquête Nicolle 2006 «Grand public» - Inpes / InVS Opinion concernant la vaccination hépatite B des différentes cibles Nourrissons Préadolescents Tout à fait justifiée 31,4 37,8 Plutôt justifiée 23,3 35,4 Plutôt pas justifiée 22,0 13,7 Pas du tout justifiée 14,6 7,2 Ne se prononce pas 8,7 5,9 Sujets à risque 94,7
45 THÈSE DOCTORAT DE MÉDECINE GÉNÉRALE COUVERTURE VACCINALE CONTRE L HÉPATITE B DE LA POPULATION CONSULTANT AU CDAG DE GRENOBLE Connaissances, perceptions et attitudes vis-à-vis de l hépatite B et de sa vaccination. Lauranne MOYROUD 16 Juin 2014
46 POPULATION: 735 INCLUS Population source: patients ayant consulté au CDAG du 1 er Mars au 13 Juin patients Inclusion selon le remplissage des questionnaires 735 patients inclus 11 patients exclus 390 patients n'ayant pas complété de questionnaire Prélèvements 705 patients ayant eu un prélèvement sanguin 30 patients n'ayant pas eu de prélèvement. Figure 2: diagramme de flux de la population d'étude. CDAG Grenoble, marsjuin 2013.
47 DESCRIPTION DE LA POPULATION Moyenne d âge: 27,9 ans Sex ratio: 3H/2F Nationalité: 87,5% de nationalité française 6,7% de nationalité de pays d Afrique sub-saharienne Niveau socio-économique: 71,8% études supérieures 42,2% étudiants 16,8% cadre ou profession supérieure 8,1% sans emploi 81,6% domicile individuel. 96% avec une couverture sociale
48 COUVERTURES VACCINALES (CV) CV déclarée par les patients: 45,2% (n = 332 / 735) CV certifiée par la lecture des carnets de vaccination: 56,6% (n = 119/341) ayant reçu au moins 3 doses CV objectivée par sérologie: 55,4% (n = 372/672) avec Ac anti-hbs 10 UI/l 5,95% (n = 40/ 672) avec Ac anti-hbs entre 2 et 9 UI/l
49 Effectifs en nombre COUVERTURE VACCINALE SELON LES ÂGES Ac anti HBs < 2 UI/l Ac anti HBs entre 2 et 9 UI/l Ac anti HBs 10 UI/l Ages
50 Effectifs en pourcentage CV DE DIFFÉRENTES CLASSES D ÂGE 70,0% 60,0% 50,0% 40,0% 30,0% 20,0% Ac anti HBs < 2 UI/l Ac anti HBs entre 2 et 9 UI/l Ac anti HBs 10 UI/l 10,0% 0,0% < 25 ans ans > 32 ans Classes d'âge CV des patients de ans: 69,1% (132/191) CV du reste de la population : 49,9% (240/481) p < 0,01
51 Effectifs (en nombre de patients) TAUX D AC ANTI-HBS SELON L ANNÉE DE LA DERNIÈRE INJECTION (patients ayant reçu 3 doses de vaccin) Ac anti HBs 10 UI/l Ac anti HBs entre 2 et 9 UI/l Ac anti HBs < 2 UI/l Année de la dernière injection reçue
52 PERCEPTION DU RISQUE 175 patients / 735 se pensaient à risque (23,9%) 270 patients se pensaient non à risque (36,9%) 287 patients ne savaient pas (39,2%) Parmi les patients évalués comme à risque par l équipe du CDAG: 32,1% se pensaient eux-mêmes à risque 30,1% ne se pensaient pas à risque 37,8% ne savaient pas dans quelle catégorie se situer
53 Effectif en pourcentage CV EN FONCTION DE LA PERCEPTION DU RISQUE 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% Ac anti-hbs < 2 UI/l Ac anti-hbs [2-9] UI/l Ac anti-hbs 10 UI/l 10,00% 0,00% Patients pensant être à risque (n= 155) Patients pensant ne pas être à risque (n = 251) Patients ne sachant pas dans quelle catégorie se classer (n = 264) Ac anti-hbs < 2 UI/l 41,29% 31,08% 44,70% Ac anti-hbs [2-9] UI/l 4,52% 6,77% 5,68% Ac anti-hbs 10 UI/l 54,19% 62,15% 49,62% Absence de différence statistiquement significative p = 0,64
54 Effectifs en pourcentage CV EN FONCTION DU RISQUE EVALUE PAR L EQUIPE DU CDAG 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% Ac anti-hbs < 2 UI/l Ac anti-hbs entre 2 et 9 UI/l Ac anti HBs 10 UI/l 10,00% 0,00% Absence de risque Présence de risque (n=446) (n=219) Ac anti-hbs < 2 UI/l 39,24% 36,99% Ac anti-hbs entre 2 et 9 UI/l 5,83% 5,94% Ac anti HBs 10 UI/l 54,93% 57,08% Evaluation du niveau de risque par les médecins du CDAG Absence de différence statistiquement significative p = 0,99
55 CONNAISSANCE DE L HÉPATITE B Maladie grave pour 80,9% des patients Maladie pouvant être mortelle pour 63,3% Maladie pouvant toucher tout le monde pour 89% Maladie sexuellement transmissible pour 81% En revanche: 48% ne savaient pas que l hépatite B touchait le foie. 70% ne savaient pas que l hépatite B pouvait être responsable de cancer du foie 47% citaient le préservatif comme moyen de protection 36% citaient le vaccin comme moyen de protection
56 Totalement Plutôt Plutôt pas Pas Ne sait pas d accord d accord d accord d accord du tout Les vaccins sont importants pour la santé / ,53% 40,25% 2,90% 0,55% 2,77% Ça ne sert à rien de se faire vacciner quand on 0,42% 1,67% 26,50% 64,71% 6,69% est adulte / 717 Les vaccins sont sûrs / ,17% 49,58% 17,55% 5,01% 17,69% Les vaccins sont efficaces / ,06% 63,32% 7,39% 0,84% 13,39% Les vaccins servent à se protéger soi-même / 719 Les vaccins servent à protéger les autres / 719 Les vaccins sont dangereux / 718 On ne nous dit pas tout sur les vaccins / 719 Les vaccins ne servent à rien / ,72% 53,27% 3,76% 1,81% 4,45% ,29% 50,90% 5,84% 5,42% 6,54% ,25% 9,19% 45,68% 22,28% 21,59% ,05% 39,50% 18,22% 8,34% 19,89% ,28% 0,84% 26,18% 63,37% 9,33%
57 Le vaccin contre l hépatite B est un vaccin sûr /730 Ce vaccin protège contre le cancer du foie / 727 Le vaccin contre l hépatite B est dangereux / 726 Le vaccin contre l hépatite B est efficace / 727 Totalement d accord Plutôt d accord Plutôt pas d accord Pas d accord du tout Ne sait pas ,01% 34,66% 13,56% 3,29% 35,48% ,89% 6,33% 12,10% 19,39% 59,28% ,20% 11,85% 25,62% 16,12% 44,21% ,58% 44,84% 5,09% 0,69% 34,80% Ce vaccin est inutile/ ,07% 3,58% 21,35% 44,90% 28,10% On ne connait encore pas bien ce vaccin / 727 6,60% 19,94% 15,41% 13,07% 44,98%
58 Motifs de non-vaccination MOTIFS DE NON VACCINATION CONTRE L HEPATITE B Méfiance envers ce vaccin Vaccination jamais proposée Vous ne saviez pas que ce vaccin existait Parents non d accord Vous ne vous sentez pas concerné Autre 0,00% 5,00% 10,00% 15,00% 20,00% 25,00% 30,00% Effectifs en pourcentage Proposition de vaccination gratuite au CDAG: - Principal motif de refus vaccinal: Peur des effets secondaires (61%) - 59,5% souhaitent en parler à leur MT avant de prendre une décision.
59 Médecins vaccinateurs MÉDECINS VACCINATEURS Médecin traitant Médecin scolaire Médecin du travail Centre de vaccination CDAG Autre 0,00% 10,00% 20,00% 30,00% 40,00% 50,00% 60,00% 70,00% Effectif en pourcentage
60 Surveillance de l association vaccin anti-hbv et affections démyélinisantes (France) CRPV de Strasbourg Juin décembre 2010 : 1650 notifications Délai > 1 an dans 50% des cas, > 5 ans dans 20% Sur 37 millions de personnes vaccinées 3,8 cas pour personnes vaccinées 0,48 pour les enfants Épidémiologie française de la SEP : Prévalence 75 pour Incidence : 4,1 à 8,2 pour : 11 survenues notifiées 0 à 0,3 pour vaccinations
61 Surveillance de l association vaccin anti-hbv et (depuis 1981) SLA (CRPV de Strasbourg) 61 cas Maladies auto-immunes (CRPV de Nancy) 117 LED, 126 PR, 67 thyroïdites Délai hétérogène entre vaccination et survenue Atteintes hématologiques (CRPV de Brest) 100 thrombopénies 19 aplasies 12 leucémies
62 SEP et vaccin HBV Depuis 1999 : plus de 10 études Vaccin et déclenchement de SEP Vaccin et rechute/poussée de SEP Toutes négatives sauf une De méthodologie critiquée
63 Sturkenboom et al, 1999, Pharmacoepidemiology and Drug Safety 360 SEP, 140 autres démyélinisations 6 sujets-contrôles par cas Risque d épisode de démyélinisation 1,6 fois plus élevé dans les 12 mois suivant le vaccin Non significatif (IC 0,6 4)
64 Caisses d AM,USA Zipp 1999, Nat Med
65 Colombie Britannique : pas de vaccination 9 cas de SEP sur sujets : vaccination des ans adolescents (11-17 ans) vaccinés sur cas de SEP
66
67 Touze et al, Neuroepidemiol 2002 Fourrier et al, Pharmacoepidemiol Drug Safety cas de maladie démyélinisante, 355 contrôles Risque dans les 2 mois suivant une vaccination : 1,8 (non significatif : IC 0,7 à 4,6) 1,4 en ne prenant que les vaccinations certifiées Si critères diagnostiques de SEP plus précis 2 (non significatif : IC 0,8 à 5,4)
68
69 Hernan 2004, Neurology 163 cas et 1604 contrôles 11/163 des cas avaient été vaccinés (6,7%) Contre 39/1604 des contrôles (2,4%) Odd ratio : 3,1 (IC 1,5 à 6,3) pour le vaccin anti- HBV Non observé avec les vaccins anti-grippal et antitétanique
70 Mikaellof 2009, Neurology 349 enfants avec SEP, 2941 contrôles Taux de vaccination anti-hbv : 24,4% et 27,3% Odd-ratio : 0,74 (non significatif)
71
72
73 Conclusions de la CNPV, 2011
74 Conclusions de l AFSSAPS
75
76 En conclusion Un vaccin très immunogène Pas de rappel à distance hors cas particuliers Un vaccin efficace Cibles : nourrisson, adolescent, pop. à risque Un vaccin sûr Un vaccin simple Toute une population à reconquérir
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailRECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE. Stratégies de dépistage biologique des hépatites virales B et C. Argumentaire
RECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE Stratégies de biologique des hépatites virales B et C Argumentaire Mars 2011 L argumentaire scientifique de cette évaluation en santé publique est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailHépatite. ses causes ses conséquences sa prévention
Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailNovembre 2006. Dépistage anonyme et gratuit du VIH Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale
Novembre 2006 Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale sommaire Introduction p. 2 Matériel et méthode p. 3 Résultats p. 5 1 Participation p. 5 1.1 Participation des
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détail47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique
L A L E T T R E D ' I N F O R M A T I O N D U S Y S T E M E D E S U R V E I L L A N C E D U V H C E N P R O V E N C E - A L P E S - C Ô T E D ' A Z U R S U R V E I L L A N C E V H C N 8 Surveillance continue
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailInstructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :
Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détaill hépatite b Une maladie qui peut être grave.
l hépatite b Une maladie qui peut être grave. Sommaire Qu est-ce que l hépatite B? L hépatite B est-elle fréquente? Comment attrape-t-on l hépatite B? Comment savoir si l on est atteint d une hépatite
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailLa Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH
La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège
Plus en détailHépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients
DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailStratégie de dépistage des Hépatites virales B et C Apport des tests rapides. Dr. LAGATHU Gisèle Laboratoire de Virologie CHU Pontchaillou
Stratégie de dépistage des Hépatites virales B et C Apport des tests rapides Dr. LAGATHU Gisèle Laboratoire de Virologie CHU Pontchaillou Journée du 13 décembre 2012 Virus de l Hépatite B Historique Blumberg
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailAudition publique. Vaccination contre le virus de l hépatite B et sclérose en plaques : état des lieux. (Paris 9 novembre 2004)
Audition publique Vaccination contre le virus de l hépatite B et sclérose en plaques : état des lieux (Paris 9 novembre 2004) Rapport d orientation de la commission d audition (finalisé et rendu public
Plus en détailFirst do no harm Hippocrates (470 360 BC)
PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Modalités de réalisation des tests de dépistage CONCLUSIONS Octobre 2008 1 Les recommandations et synthèse de cette évaluation
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détaill'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015
ANNONCE PRESSE Un donneur pour chaque patient en attente d'une greffe de moelle osseuse, de la chimère à la réalité grâce à la révolution de la greffe haplo mismatch Marseille, le 26 mai 2015. L'Institut
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailHépatite B. Risques, prévention et traitement. Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem. European Liver Patients Association
Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem Hépatite B Risques, prévention et traitement European Liver Patients Association F. De Renesselaan, 57 B - 3800 Sint-Truiden, Belgium email: contact@elpa-info.org Chère patiente,
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN...
LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... DÉCEMBRE 2010 CATIE est la source canadienne de renseignements à jour et impartiaux sur
Plus en détailRubrique SNIIRAM dans Statistiques et publications/ameli.fr
Rubrique SNIIRAM dans Statistiques et publications/ameli.fr Contenu Finalités du SNIIRAM... 2 Structure du SNIIRAM... 3 Comment est constitué le SNIIRAM?... 3 Comment sont restituées les données du SNIIRAM?...
Plus en détail