Définitions. La santé. Concepts de santé, bien être, maladie chronique (définition et caractéristiques), chronicité et 10/02/2011

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1 Concepts de santé, bien être, maladie chronique (définition et caractéristiques), chronicité et évolution. Cours IFSI Décembre 2010 A Nozères Service de Médecine Physique & Réadaptation C.H.U. Pellegrin Bordeaux EA Handicap et Système Nerveux Université de Bordeaux Définitions Qu est ce que la santé? Qu estceque la maladie? La santé 1

2 La santé Nombreuses définitions proposées, toutes se ramenant à 2 conceptions: La santé «absence de maladie» La santé «capacité de résistance à la maladie» La santé: absence de maladie ou d infirmité? La santé ne peut être définie comme l absence de maladies ou d infirmité, une personne amputéed unmembre, unmembre, aveugle ou sourdepeut être en bonne santé. La définition de la santé par l OMS en 1952: «La santé est un état de complet bien être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d infirmité.» La santé: capacité de résistance? Notre constitution biologique est stable: l homéostasie du milieu intérieur est la «condition de la vie libre des organismes évolués» (Claude Bernard) mais elle est soumise dans certaines limites et selon des rythmes à des variations passagères. La santé peut alors être définie comme la capacité de maintenir l état d équilibre physiologique et biologique toujours menacé de notre organisme, de s adapter continuellement aux variations extérieures, de résister aux agressions microbiennes, toxiques, traumatiques et de guérir après avoir été malade. 2

3 La maladie La maladie Inhérente à la vie Pas propre à l homme, atteint tout ce qui vit Si la santé est un état d équilibre physiologique i et biologique, i lamaladie ldi est la rupture de cet équilibre provoquée soit par une lésion soit par un trouble fonctionnel. La maladie chronique 3

4 Définition D après l OMS, une maladie chronique est un problème de santé qui nécessite une prise en charge durant plusieurs années. Définition très large Elles comprennent donc: maladies non transmissibles (SEP), les maladies transmissibles persistantes (VIH), certaines maladies mentales et les altérations anatomiques ou fonctionnelles. Contexte Augmentation de l espérance de vie, augmentation de la probabilité d exposition aux facteurs de risque de la maladie chronique et augmentation efficacité des thérapeutiques Augmentation très importante de son incidence (nombre de nouveaux cas d une pathologie survenu dans un intervalle temps le plus souvent par an) Augmentation de sa prévalence (nombre de cas existants à un moment donné) Classification Actuellement approche établie à partir d une classification par diagnostic et par appareil Classification internationale des maladies (CIM) de loms l OMS = par maladie oupar appareil (à l intérieur diagnostic) Mais cette approche n est pas la plus pertinente 4

5 Nouvelle définition Définition plus opérationnelle: Présence d un substratum organique, psychologique ou cognitif Ancienneté de 3 mois à 1 an Patients avec retentissement de leur maladie sur leur vie quotidienne: 1 limitation fonctionnelle, d activité ou de participation 1 dépendance vis à vis d un médicament, d un régime, d une technologie médicale, d un appareillage, d une assistance personnelle Besoin de soins médicaux ou paramédicaux, d aide psychologique, d éducation ou d adaptation De l annonce à l acceptation de la maladie chronique Comme pour le deuil, il y a un avant et un après l annonce Avant l annonce: on ne sait pas mais on ressent: symptômes, interrogation, temps de l errance diagnostique Après l annonce: on sait: refus, refoulement, acceptation voire de la sérénité Evolution Différents profils évolutifs de la maladie 5

6 Evolution Les soins progressent, la vie s allonge, mais la guérison reste hors de portée = le propre de la maladie chronique est de s installer dans la durée. Exemples de maladies chroniques Polyarthrite rhumatoïde (PR) Le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires chroniques Prévalence: 0.2 à 0.5 % Essentiellement féminine: sexe ratio est de 3 à 4 femmes pour 1 hommes Début à tout âge mais le plus souvent entre 40 et 50 ans. Maladie systémique: atteinte articulaire au premier plan mais nombreux organes affectés (système cardio vasculaire, appareil pleuropulmonaire ) 6

7 Polyarthrite rhumatoïde Étiologie inconnue (prédisposition génétique? Facteurs infectieux? Facteurs psychologiques?) Phase de début: problème de diagnostic différentiel (autres rhumatismes inflammatoires?) = phase d errance diagnostique Phase d état: diagnostic évident, problèmes thérapeutiques PR, phase de début 12 à 18 premiers mois de la maladie Polyarthrite symétrique distale prédominant aux membres supérieurs Douleurs articulaires i inflammatoire, i raideur articulaire, dérouillage matinal Syndrome inflammatoire biologique Bilan radiologique normal Absence de déformation articulaire PR, phase d état Après quelques années d évolution Manifestation de la maladie plus caractéristiques: Polyarthrite chronique Symétrique Destructrice et déformante Manifestations systémiques (cardiaques, pleuropulmonaires, neurologiques ) 7

8 PR, évolution Maladie évoluant par poussée Entrecoupées de rémissions plus ou moins complètes Grossesse induisant état de rémission suivi d une reprise évolutive très sévère en post partum Maladie grave, réduisant espérance de vie de 10 ans à cause de pathologies infectieuses secondaires aux traitements PR, évolution Changement du profil évolutif de la maladie Grâce aux progrès thérapeutiques: évolution plus lente de la phase d état Mldi Maladie moins déformante diminution des poussées stabilisation et rémission plus longues Limitations d activité de plus en plus minimes Moins de dépendance Sclérose en plaque (SEP) Maladie inflammatoire du système nerveux central Prévalence de 25 à 60 pour habitants en France Prédominance féminine (60% versus 40%) Début chez adulte jeune de 20 à 40 ans dans 70 % des cas Étiologie mal définie (facteurs environnementaux, génétiques?) Mode évolutif: rémittent par poussée, progressif, mixte) 8

9 SEP, phase de début Manifestations cliniques variées, habituellement monosymptomatique (errance diagnostique) Signes moteurs Atteinte oculaire isolée Troubles sensitifs Troubles de l équilibre SEP, phase d état Après quelques années d évolution, les différentes déficiences vont coexister soit lors de poussées, soit s aggravent progressivement et persistent entre les poussées SEP, mode d évolution Forme rémittente 85 %: évolution par poussées surtout au début de la maladie, installation en qq heures ou jours, en moyenne tous les 18 mois. Totalement régressive Après une 10aine d année d évolution, forme secondairement progressive 9

10 SEP, mode d évolution Forme progressive primaire: 15 % Majoration progressive des déficiences sans rémission SEP, pronostic Grâce aux progrès thérapeutiques, diminution de la fréquence des poussées ( diminution de 40%) ralentissement de la progression du handicap depuis quelques années VIH Virus de l immunodéficience humaine découvert en 1983 Infecte massivement le système immunitaire et détruit progressivement certaines cellules du système immunitaire (lymphocytes T CD4 +++) Responsable du SIDA 10

11 VIH, évolution La primo infection: phase suivant la contamination, réplication virus très importante, dissémination dans l organisme 50 % patients symptomatiques: syndrome pseudo grippal VIH, évolution Phase de latence clinique = l infection chronique Réponse immunitaire dirigée contre le virus mais pas suffisamment efficace pour l éliminer Maintien dans un premier temps de la réserve de lymphocytes, infection silencieuse Mais virus continue de se répliquer et réserve CD4 s épuise Introduction des traitements antirétroviraux +++ Changement profil de la maladie VIH, évolution Entrée dans le stade SIDA Système immunitaire trop affaibli pour lutter contre toutes autres agressions Infections opportunistes pouvant toucher tous les organes (infection pulmonaire grave, encéphalopathie, lymphome ) Grâce à l émergence des thérapeutiques antiretrovirales, diminution de ce stade SIDA 11

12 Évolution VIH, évolution Diminution de la mortalité Allongement de la durée de vie Allongement de la durée d exposition au VIH Émergence de nouvelles déficiences i et de limitations d activité (troubles de la marche, troubles cognitifs ) Modification de la prise en charge Conclusion Le profil évolutif des maladies chroniques change grâce aux progrès thérapeutiques Prise en charge différente S inscrivant sur la durée 12

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