Suivi de la nidification des anatidés sur les étangs latéraux
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- Camille Meloche
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1 RESERVE NATIONALE DE CHASSE ET DE FAUNE SAUVAGE DU LAC DU DER ET DES ETANGS D OUTINES ET D ARRIGNY Suivi de la nidification des anatidés sur les étangs latéraux Fuligule milouin femelle et son poussin photo : Fabrice CROSET Suivi et rédaction : LPO Champagne-Ardenne Suivi : Pierre Carlin ; Yves Maupoix ; Pascal Renard ; Fredéric Schwab ; (ONCFS) ; Julien Soufflot et Bernard Théveny (LPO Champagne-Ardenne) La gestion de la RNCFS bénéficie d un partenariat entre l ONCFS et la LPO Champagne-Ardenne et du soutien financier de :
2 1. INTRODUCTION La reproduction de l avifaune est une étape essentielle dans le cycle annuel d une réserve. La capacité d un milieu à produire des jeunes est notamment un bon indicateur des ressources disponibles et de la quiétude existante. Ce suivi est réalisé en application du plan de gestion spécifique aux étangs d Outines et d Arrigny, (Se02 : suivi de la nidification des anatidés, rallidés et podicipédidés). Il s agit d estimer en premier lieu le nombre de couples reproducteurs potentiels, puis de suivre la nidification. 2. MATERIEL ET METHODE Estimation du nombre de couples reproducteurs Le suivi de la nidification sur les étangs des Landres, du Grand Coulon et de la Forêt a débuté par un recensement des anatidés présents sur le site au printemps entre le 8 avril et le 13 mai. Six comptages ont été réalisés pour estimer le nombre de couples reproducteurs. Suivi de la nidification Le suivi a débuté le 19 mai et s est achevé le 16 juillet. Durant cette période, chaque étang a été inventorié 9 fois, soit 18 séances d observation. Une séance dure 2 heures, dans la matinée. Dans la mesure du possible, les trois ou quatre postes d affûts répartis sur chaque étang ont été occupés simultanément de façon à visualiser l ensemble du plan d eau et éviter ainsi les doubles comptages. Les observateurs étaient équipés de talkiewalkies de manière à rester en contact et limiter les doublons directement sur le terrain. Le protocole est semblable à celui des années précédentes, mis à part que les séances d observation des étangs du Grand Coulon et de la Forêt étaient cumulées sur une même matinée, comme cela avait déjà été fait en Les séances commençaient à 7h du matin et finissaient donc à 9h sur l'étang des Landres, et autour de 11h30 pour le suivi cumulé des deux autres étangs. Pour ces derniers, l ordre de passage alternait d une semaine sur l autre afin qu'ils bénéficient tous deux d'un effort de prospection identique. La taille de chaque nichée, l âge des poussins et leur localisation sont notés de manière à assurer leur différenciation et à essayer de suivre l évolution des différentes nichées d une séance à l autre.
3 Ainsi, les comptages permettent une estimation des couples reproducteurs potentiels et une estimation de la réussite avec l observation de familles présentes sur les 3 étangs. 3. RESULTATS Suivi général de la nidification La reproduction 2015 sur les trois étangs est au minimum de 495 nichées individualisées, pour 8 espèces suivies (cf. tableau 1). En 2014, le nombre de nichées atteignait seulement 286 ; on assiste à une augmentation importante qui concerne quasiment toutes les espèces hormis le Canard chipeau et le Fuligule morillon. Les anatidés représentent 127 données, soit 27 % (très proche de la valeur obtenue en 2014) parmi lesquelles on trouve 72 % de données concernant les canards de surface et 28 % pour les canards plongeurs. D un point de vue numérique, l étang de la Forêt fournit un plus grand nombre de données mais on remarque une certaine disparité entre les étangs et selon les espèces. L'étang du Grand Coulon accueille souvent les effectifs les plus bas, hormis pour le Fuligule morillon et le Grèbe huppé. Quant à l'étang des Landres, sa superficie étant largement supérieure aux deux autres étangs, la densité de nichée qu'il accueille y est en réalité plus faible. Il faudrait aussi pouvoir tenir compte de la couverture visuelle des étangs. L'étang de la Forêt est des trois, celui qui bénéficie probablement de la meilleure couverture, étant donné sa petite taille et la répartition équitable des postes d'observation, tandis que le Grand Coulon et les Landres, plus étirés, conservent des zones éloignées des observatoires où le comptage est moins exhaustif. Enfin, la surface de l'étang des Landres est quasi entièrement couverte de nénuphars, ce qui diminue la visibilité et rend le repérage des nichées plus difficile. En dehors des anatidés, on remarque une forte disparité du nombre de nichées chez le Grèbe huppé avec seulement 5 nichées répertoriées sur les Landres contre 18 au Grand Coulon et 33 à l'étang de la Forêt. Landres Grand Coulon La Forêt total Canard colvert Canard chipeau Fuligule morillon Fuligule milouin Cygne tuberculé Foulque macroule Grèbe huppé Grèbe castagneux total Tableau 1. Nombre de nichées observées par étang du 19 mai au 16 juillet 2015 Les surfaces des différentes pièces d eau n étant pas équivalentes, il était intéressant de comparer ces données en termes de densité intersites. Densité de nichées observées
4 La densité calculée ici correspond au nombre de nichées individualisées, rapporté à la surface totale de l étang sur lequel elles sont observées. Toutes espèces Tous anatidés Canards de surface Canards plongeurs Landres (118 ha) 1,36 0,47 0,30 0,14 Grand Coulon (59 ha) 2,02 0,37 0,24 0,08 La Forêt (63 ha) 2,84 0,79 0,48 0,21 Tableau 2. Densité de nichées observées par étang en 2015 Des trois étangs d Outines et d Arrigny, c est l étang de la Forêt (63 ha) qui, comme en 2014, accueille la plus grande densité de nichées à tous niveaux pour cette saison. L étang des Landres (118 ha) affiche la densité la plus basse si l'on compare l'ensemble des espèces. Cependant, la densité de nichées d'anatidés est plus élevée aux Landres qu'au Grand Coulon, ce dernier hébergeant les plus faibles densités. Figure 1. Comparaison intersites des densités de nichées observées en 2014 Tableau 3: Productivité ou nombre de poussins par nichée Landres Grand Coulon La Forêt total Canard colvert 7,6 6,9 7,3 7,3 Canard chipeau 3, ,2 Fuligule morillon 8, ,5 Fuligule milouin 5,7 4,7 5,2 Cygne tuberculé 5 4,5 4,4 4,5 L'évaluation de la productivité ne prend en compte que les nichées âgées de 5 à 8 jours. Les observations de nichées découvertes alors que les poussins étaient plus âgés n apparaissent pas dans cet estimation en raison du faible taux de survie observé entre l'éclosion et l'envol. La taille des nichées intègre donc seulement les pertes néonatales qui
5 ont eu cours entre l éclosion et l observation. Les valeurs observées pour les deux espèces de canards de surface se situent dans la normalité et correspondent à une productivité normale (cf. tableau 3) la taille moyenne des quelques nichées de Canards chipeaux est légèrement en dessous de celles observées les années précédentes. Après la très mauvaise reproduction constatée en 2014, les tailles de nichées des canards plongeurs ont retrouvé une valeur normale, tant pour le Fuligule milouin que morillon. L'échantillonnage étant plus conséquent qu'en 2014, on obtient une meilleure homogénéité entre les étangs. Pression d observation Le temps consacré au suivi de la reproduction en 2015 est de 213 heures réparties de façon moins égalitaires sur les trois étangs que les années précédentes. En 2012, 129 heures avaient été effectuées dans les mêmes conditions, en 2013, 123,5 heures et en heures. La pression d observation en terme de temps passé est donc supérieure en 2015 (cf. tableau 4). Cette importante augmentation est due à la participation d'un stagiaire sur presque l'ensemble des suivis, ce qui a permis d'ajouter un poste en simultané sur certains étangs au lieu de partagé le temps de recherche sur deux points proches comme il était fait auparavant, ou d'organiser des binomes sur les points d'observation qui le méritait. C'est également ce qui explique l'écart de temps comptabilisé entre les différents étangs. L'allongement du temps d'observation cumulé peut créer un biais en augmentant le nombre de nichées détectées en 2015 par rapport aux autres années. C'est toutefois davantage la surface d'observation couverte que le temps passé qui favoriserait ici la détection des nichées. Vu le nombre de nichées de Foulques macroules, de Grèbes huppés, de Grèbes castagneux et de Canards colverts, qui est 2 fois et demi plus élevé, la pression d'observation n'explique pas à elle seule cette augmentation. temps passé (en heures) Etangs d'outines et d'arrigny Landres Grand Coulon La Forêt , , Tableau 4. Pression d observation pour le suivi de la reproduction sur les étangs Le protocole adopté pour l évaluation de la reproduction des anatidés et des grèbes sur la réserve des étangs d Outines et d Arrigny est relativement chronophage. Une analyse avait été réalisée suite à la saison 2014 pour mieux cerner le temps nécessaire à la découverte des différentes nichées lors d une séance d observation. L heure de chaque donnée étant renseigné, il est possible d évaluer la durée moyenne entre le début de la séance d observation et la découverte de chaque nichée. Reconduite en 2015, cette analyse montre que les résultats ne sont pas exactement comparable d'une année sur l'autre. En 2014, près de 40% des données avaient été recueillies au cours du premier quart d heure d observation et 60 % durant la première demi-heure (cf. tableau 5). En 2015, ces valeurs tombent respectivement à 32% et 51 %. Après une heure d observation, plus de 80% des nichées vues au cours deux heures de recherche étaient repérées en 2014 tandis qu'en 2015, seulement 74%. Ces écarts trouvent peut être leur explication dans la meilleure reproduction de la plupart des espèces, laissant moins de temps à l'observateur. Cette analyse montre aussi que le protocole basé sur des séance d une durée de deux heures, censé permettre une approche de l exhaustivité, semble encore insuffisant.
6 Données recueillies par quart d'heure (2014) Données recueillies par quart d'heure (2015) durée (min) nombre de contacts % d'observations par tranches de 1/4 d'h % cumulé d'observations durée (min) nombre de contacts % % cumulé d'observation d'observation s par s tranches de 1/4 d'h ,1% 39,1% ,0% 32,0% ,4% 60,5% ,7% 50,7% ,8% 75,3% ,5% 64,2% ,3% 82,5% ,2% 74,3% ,7% 90,2% ,8% 83,1% ,2% 94,4% ,8% 88,9% ,2% 97,6% ,7% 94,5% ,4% 100,0% ,5% 100,0% Total ,0% Total ,0% Tableau 5. Comparaison de la proportion d observations recueillies 2014 / 2015 Comparaison avec les saisons antérieures La comparaison des densités de nichées des différentes espèces pour chaque étang avec les trois années précédentes (cf. figure 3) indique une progression de l'ensemble des espèces sur la réserve, plus marquée sur l'étang de la Forêt. On retrouve la même tendance sur l'ensemble des anatidés : une augmentation du nombre de nichées sur les Landres et l'étangs de la Forêt et une stabilisation sur le Grand Coulon après une baisse marquée entre 2013 et Les canards de surface suivent le même schéma : augmentation forte sur l'étang de la Forêt, légère sur les Landres mais une diminution sur le Grand Coulon. Chez les canards plongeurs, la densité de nichées augmente nettement après l'épisode catastrophique de Il faut tenir compte du fait que le petit nombre de nichées chez les Fuligules milouin et morillon produit dans l'analyse de très fortes variations. La Foulque macroule est en forte hausse sur l'ensemble de la réserve depuis 2 ans. Avec un minimum de près de 300 nichées individualisées, et bien que ce décompte rassemble les 1ères et secondes pontes, c'est de loin l'espèce la plus abondante. Le Grèbe huppé est lui aussi en augmentation générale par rapport aux deux précédentes années, exepté pour l'étang des Landres où le nombre de nichées à fortement chuté. On remarque que les fluctuations d'un étang à l'autre sont très accentuées chez cette espèce. Enfin, le Grèbe castagneux affiche une légère hausse malgré la faiblesse des effectifs. Ce dernier est beaucoup plus discret, se trouvant souvent dans les ceintures végétales des bordures, où il offre une détectabilité très aléatoire. On remarque une tendance inverse pour le castagneux entre les effectifs recencés sur le Grand Coulon (forte hausse jusqu'en 2014 puis diminution accusée) et l'étang de la Forêt (importante baisse jusqu'en 2014 largement compensée en 2015).
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8 Figure 3. Comparaison intersites de l'évolution des densités de nichées des différentes espèces Si on s intéresse au groupe des anatidés plus particulièrement suivi sur la réserve, et malgré une pression d observation non connue en 2010 et 2011, la comparaison du nombre de nichées individualisées ces 4 dernières saisons (cf. figure 4) indique une forte augmentation pour le Canard colvert depuis 2014 après une certaine stablité les 4 années précédentes, une reproduction moyenne chez le Canard chipeau. Les deux fuligules ont bénéficié également d'une très bonne reproduction comparé aux quatres années de référence, le milouin affichant en 2015 le chiffre le plus élevé. Figure 4. Comparaison des nichées individualisées pour 4 espèces d'anatidés sur les étangs d'outines et d'arrigny sur la période
9 Détail des résultats spécifique chez les anatidés Dans les paragraphes ci-après les estimations respectives seront données pour les 3 étangs et entre parenthèse au format suivant (Landres/Grand Coulon/la Forêt). Une fourchette minimum et maximum est exprimée concernant le nombre de nichée comptabilisées pour chaque espèces, ce qui n'est pas le cas dans les estimations des paragraphes précédents où le parti a été pris de considéré seulement le nombre minimum. 3.a. Canard colvert (Anas platyrhynchos) La formation des couples se déroule dès février, il est alors difficile d estimer le potentiel nicheur. Début avril, on compte 20 couples cantonnés (8/7/5) et 15 le 15 avril (0/8/7) puis encore 6 le 22 avril (2/4/0). Les premières nichées ne sont pas observées avant le 9 mai sur l étang du Grand Coulon. Les éclosions se sont déroulées entre la première décade d avril et la deuxième décade de juin. Le pic d éclosions, comme en 2014, se situe dans la deuxième décade de mai. Figure 5. Evolution des éclosions de canard colvert (Anas platyrhynchos) sur les étangs d après l observation des familles (N=62 ) L évaluation du nombre de nichées est difficile étant donné leur mobilité sur les étangs et l instabilité de l effectif de chacune ; on observe une diminution naturelle du nombre de poussins en raison de la prédation et d autres facteurs de mortalité. Certaines nichées accueillent même des canetons issues d autres couvées (parfois d une espèce différente) Cette évaluation est donc forcément sous-évaluée. Leur nombre a été estimé en recoupant les informations recueillies chaque semaine, pour finalement aboutir à une fourchette allant de 63 à 104 nichées (Landres 26 à 49 ; Grand Coulon : 12 à 20 ; la Forêt : 25 à 35). La taille des nichées a été évaluée en ne prenant en compte que celles vues pour la première fois lorsque les canetons avaient moins de 7 jrs. On obtient, sur 42 nichées prises en compte, une taille moyenne des nichées de 7,3 poussins, soit une valeur quasiment identique à celle de 2014.
10 3.b. Canard chipeau (Anas strepera) Entre 18 et 39 couples cantonnés sont observés courant avril. La première famille est contactée le 20 mai sur l étang des Landres. Le pic des éclosions, d après les observations, se situerait la première décade de juin, comme en 2013 et Pour rappel, en 2010, le pic se situait vers la deuxième décade de juin, illustration d une saison précoce pour cette espèce. Figure 6. Evolution des éclosions de canard chipeau (Anas strepera) sur les étangs d après l observation des familles (N=16) Entre 16 et 22 familles ont été estimées (Landres 9 à 12 ; Grand Coulon : 2 à 4 ; la Forêt : 5 à 6). La taille moyenne des nichées de moins de 7 jours (n = 7) diminue par rapport à 2014 et c. Fuligule milouin (Aythya ferina) Une petite centaine de Fuligules milouins sont dénombrés sur les étangs courant avril. Il s agit pour la plupart de migrateurs en halte car peu de couples cantonnés seront observés (entre 3 et 9 selon les dates). Le nombre de nichées est estimé entre 21 et 26, l'effectif le plus important depuis le début de ce suivi en Elles sont répartis sur les 3 étangs contrairement à 2014 où seule les Landres accueillait des nichés : (Landres 9 à 10 ; Grand Coulon : 1 ; la Forêt : 11 à 15). La première famille est observée le 18 mai sur les Landres. Sur la base de nos données, la taille des pontes observées est comparable aux autres années avec 5,2 poussins. Le pic d éclosions se situe dans la première décade de juin.
11 Figure 7. Evolution des éclosions de Fuligule milouin (Aythya ferina) sur les étangs d après l observation des familles (N=23) 3.d. Fuligule morillon (Aythya fuligula) Une bonne centaine d'individus sont recensés en avril sur l'ensemble des étangs. A l'instar du Fuligule milouin, il s'agit en majorité de migrateurs en halte, la phénologie de l'espèce étant naturellement tardive. 14 à 29 couples individualisés seront pourtant notés au fil du mois d'avril. La reproduction pour cette espèce connaît un meilleur succès en En effet, avec 14 nichées, le nombre de familles observées égale 2013 qui était l année au plus fort effectif. La première nichée est observée le 24 juin pour une éclosion estimée au 17 juin, les plus tardives ont éclos début juillet et il est possible que d'autres nichées échappent aux prospections qui s'arrêtent mi-juillet alors que le Fuligule morillon peut nicher très tard en saison. La majorité des éclosions est rassemblée sur la première décade du mois de juin. La taille des nichées est élevée, elle atteint seulement 9,5 poussins par nichée entreprise, dont au moins deux comptant 11 poussins.
12 Figure 8. Evolution des éclosions de Fuligule morillon (Aythya fuligula) sur les étangs d après l observation des familles (N=17) 4. BILAN DE LA REPRODUCTION EN 2015 Il est toujours délicat de qualifier une saison de reproduction, surtout lorsque la méthodologie est basée sur des preuves certaines de nidification, à savoir, les canes suivies de poussins. Il est difficile d estimer le potentiel de nicheurs, avec la présence de nombreux individus en migration, mais cet indice est souvent à la base d estimation de nombreux sites. D où un décalage important entre le nombre de couples potentiels, les couples cantonnés et les familles observées. Notre bilan présente donc le succès reproducteur des étangs mais sans pouvoir le relier au nombre totale de tentatives. Ce rapport ne présente que des résultats partiels mais certains. En outre, la répétition du même protocole chaque année autorise une comparaison assez fiable des effectifs et de la productivité, fournissant par là même un aperçu de l'évolution des différentes espèces et de l'état de santé de leur population. La diminution de la pression d observation vers la fin juillet qui correspond à une diminution du personnel présent sur la RNCFS, reste un des points critique. Cela compromet le suivi, surtout pour les Canards plongeurs, les Grèbes huppés ou les Foulques macroules, qui peuvent se reproduire tardivement et en cas d échec avoir des pontes de remplacement jusqu à la mi-août. On retiendra pour l'année 2015 une hausse globale des effectifs d'anatidés, de grèbes et surtout de Foulques macroules dont l'effectif a presque été multiplié par 5 depuis Au niveau des différents plans d'eau de la réserve, la disparité de l'un à l'autre se répète. L'étang de la Forêt continue d'accueillir les plus fortes densités et progresse encore par rapport à Le Grand Coulon héberge toujours davantage de nichées que les Landres, encore qu'il convient de préciser que cela ne concerne pas les anatidés, dont la densité est passée en dessous de celle calculée au Landres. Pourtant, cet étang était celui qui accueillait en 2013 les plus fortes densités toutes espèces confondues. On retrouve un schéma similaire à 2012 avec l'étang de la Forêt en tête, suivi du Grand Coulon puis enfin celui des Landres, ce dernier étant toujours le moins productif (sauf pour les anatidés en 2015 où il dépasse le Grand Coulon). Ces variations proviennent forcément des facteurs
13 environnementaux, étant donné que la pression d'observation est sensiblement égale de l'un à l'autre. Tout au plus, la visibilité selon les angles de vue où la densité des ceintures végétales pourrait expliquer en partie le manque de données sur certains secteurs. Les ressources en nourriture doivent jouer un rôle de premier plan dans ces disparités, mais qu'en est-il de la végétation aquatique (très différente sur chaque étang) de l'épaisseur des roselières, du stock piscicole, de la prédation? Autant d'éléments qui méritent d'être analysés afin de mieux adapter la gestion de la réserve naturelle.
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