2007 / Crise économique et pouvoir d achat immobilier des ménages : quels enseignements?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2007 / Crise économique et pouvoir d achat immobilier des ménages : quels enseignements?"

Transcription

1 2007 / 2012 Crise économique et pouvoir d achat immobilier des ménages : quels enseignements? Une étude issue du partenariat Chaire Ville et Immobilier entre l Université Paris-Dauphine et le Crédit Foncier Septembre 2013

2 Cette étude a été conduite sous la direction de : - Kevin Beaubrun-Diant pour l Université Paris-Dauphine ; - Nicolas Pécourt pour le Crédit Foncier.

3 Synthèse Créé par l Université Paris-Dauphine et le Crédit Foncier, le baromètre Capacim mesure chaque trimestre dans trente villes françaises le pourcentage de ménages en capacité d acheter un bien immobilier adapté à leurs besoins. La méthodologie retenue en fait un des baromètres immobiliers les plus pertinents du marché. Capacim repose sur une analyse approfondie et une mise en perspective de l offre et de la demande. La demande est notamment qualifiée en fonction de la structure des ménages (les besoins d un célibataire ne sont pas ceux d une famille avec trois enfants), des revenus et du patrimoine, puis analysée ville par ville par rapport aux prix des différents types de biens correspondants aux besoins des ménages. A partir des données issues de Capacim, le Crédit Foncier et l Université Paris-Dauphine ont réalisé une étude consacrée à l évolution de la capacité d achat immobilier des ménages au cours des six dernières années de crise (2007 à 2012). 1- Cette étude souligne une des caractéristiques majeures de l immobilier en France : la très forte disparité de la capacité d achat immobilier d une ville à une autre. Cette hétérogénéité territoriale est double : elle est celle des prix de l immobilier mais également celle de la demande. Deux métropoles régionales aux prix immobiliers comparables peuvent afficher une capacité d achat immobilier différente en fonction des spécificités de leurs populations (revenu, composition des ménages notamment). Fin 2012 : six ménages sur dix (61,7%), en moyenne, sont en capacité d acheter un bien immobilier correspondant à leurs besoins dans une des dix métropoles de Province étudiées par Capacim ; un ménage sur deux (54,7%), en moyenne, est en capacité d acheter un bien immobilier correspondant à ses besoins dans une des dix-neuf villes d Ile-de-France (hors Paris) étudiées par Capacim ; un ménage sur trois (34,1%) est en capacité d acheter un bien immobilier correspondant à ses besoins à Paris. Au-delà de ces moyennes, le baromètre Capacim évolue de façon significative ville par ville : en Ile-de-France de 28% à Neuilly-sur-Seine à 71% à Evry ; en Province de 46% à Marseille à à Rennes (données à fin 2012). Ces disparités s observent également dans les évolutions enregistrées de 2007 à En Ile-de-France au cours des six dernières années, les évolutions de pouvoir d achat immobilier les plus significatives s observent : à la hausse : à Palaiseau (+6,8%), Cergy (+4,7%) et Evry (+4,5%) ; à la baisse: à Neuilly-sur-Seine (-19,2%), Paris (-17,6%) et Boulogne-Billancourt (-12,4%). Lorsqu en Province, les évolutions les plus significatives s observent : à la hausse: à Toulouse (+6,0%), Lyon (+4,9%) et Nancy (+3,4%) ; à la baisse: à Rouen (-1,3%), Bordeaux (-4,9%) et Marseille (-14,9%). 2- La période d observation de cette étude (2007 / 2012) correspond à celle de la crise qui a pénalisé de façon constante la solvabilité des ménages. Ceci ne signifie pas pour autant que l évolution de la capacité d achat immobilier des ménages au cours des six dernières années ait été linéaire. Les mouvements contrastés enregistrés sur les prix immobiliers et sur les taux d intérêt ont en effet eu un impact plus important sur le pouvoir d achat immobilier que l évolution des revenus ou du patrimoine des ménages. En six ans quatre périodes distinctes peuvent ainsi être distinguées au gré des mouvements enregistrés sur les prix immobiliers et les taux d intérêt de crédit. 3- La progression des prix de l immobilier a favorisé ceux qui étaient déjà propriétaires et dont le patrimoine a ainsi mécaniquement progressé. Face à un projet d acquisition, ceux qui sont déjà propriétaires sont nettement avantagés. En moyenne, la capacité d achat immobilier des «secundo-accédants» (88% en Province ; 85% en Ile-de-France hors Paris) est désormais trois fois supérieure à celle des «primo-accédants» (27% en Province ; 29% en Ile-de-France hors Paris). Certaines villes ne semblent plus accessibles à ceux qui se lancent pour la première fois dans l acquisition de leur résidence principale. 4- Enfin la capacité d achat immobilier des futurs acquéreurs dépend fortement de leur âge. C est à nouveau à Paris que les écarts générationnels sont les plus importants : moins d un ménage sur cinq (18%) âgé entre 25 et 45 ans et résidant en Ile-de-France est en mesure d acheter un bien immobilier correspondant à ses besoins dans la capitale française contre 47% pour les 45 / 60 ans et 55 % pour les plus de 60 ans. Cet écart générationnel est moins significatif en Province. Les villes les plus accessibles pour les 25 / 45 ans sont Nancy (Capacim y est égal à 71,0%), Strasbourg (66,7%), Rennes (63,2%) et Toulouse (60,9%). Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 2 Septembre 2013

4 Sommaire Page 2 : SYNTHÈSE Page 3 : SOMMAIRE Page 4 : INTRODUCTION Page 5 : PRINCIPAUX ENSEIGNEMENTS 1) La capacité d achat immobilier des ménages est très inégale d une ville à une autre (page 6) 2) De fortes disparités d évolution selon les villes (page 8) 3) De fortes disparités d évolution selon les périodes entre 2007 et 2012 (page 11) 4) De fortes disparités d évolution selon le statut d occupation (page13) 5) De fortes disparités d évolution selon les classes d âge (page 16) Page 17 : ANNEXES : CAPACIM VILLE PAR VILLE À : - Paris (page 18), - en Ile-de-France : Argenteuil (page 18), Bobigny (19), Boulogne-Billancourt (19), Cergy (20), Créteil (20), Enghien (21), Evry (21), Fontainebleau (22), Issy-les-Moulineaux (22), Massy (23), Meaux (23), Nanterre (24), Neuilly (24), Palaiseau (25), Saint-Denis (25), Saint-Germain-en-Laye (26), Saint-Mandé (26), Versailles (27), Vincennes (27), - en Province : Bordeaux (29), Lille (29), Lyon (30), Marseille (30), Nancy (31), Nantes (31), Rennes (32), Rouen (32), Strasbourg (33), Toulouse (33). Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 3 Septembre 2013

5 Les prix immobiliers en France ont connu une forte croissance depuis les années Cette phase de croissance a été soutenue jusqu en 2008, date à laquelle les prix dans certaines villes ont marqué le pas. Depuis cette date, l économie française a connu un fort ralentissement économique qui s est ensuite transformé en une crise économique persistante. Ces évolutions conjoncturelles ont été accompagnées d'évolutions contrastées des taux du crédit à l habitat. Sur le front de l emploi, la tendance est claire : les ménages français subissent une exposition croissante au risque de chômage. En outre, le ralentissement significatif de l activité a considérablement pesé sur la valorisation du patrimoine des ménages (souvent déterminant dans les décisions d acquisition d un bien immobilier) et sur l évolution des revenus du travail. Dans ce contexte, quelles ont été les conséquences sur la capacité immobilière des ménages français? La situation s est-elle vraiment détériorée? Y-a-t-il des spécificités locales? L effet est-il identique sur tous les ménages? Ou au contraire, y-a-t-il des profils plus durement touchés? Les caractéristiques des ménages jouent-elles également un rôle dans les écarts de pouvoir d achat? Cette étude propose de revenir sur six années (2007 à 2012, soit 24 trimestres) d observation de la capacité d achat en matière immobilière des ménages français afin d en caractériser les principaux facteurs et d en analyser les fondements. Rappel méthodologique : Le baromètre Capacim -CAPacité d AChat Immobilier- mesure chaque trimestre le pouvoir d achat immobilier des ménages. Il mesure la capacité des ménages à acquérir un bien immobilier correspondant à leurs besoins (c'est-à-dire à leur structure familiale) dans une commune donnée. Il concerne Paris, 19 communes franciliennes et 10 villes de Province sur le marché de l ancien (appartements). Réalisé en partenariat avec le Crédit Foncier par la chaire Ville et Immobilier de la Fondation de l Université Paris- Dauphine, le baromètre Capacim est un des indicateurs les plus complets de l évolution de la capacité d achat immobilier des ménages en France. Il intègre en effet différents facteurs, dont l évolution du taux de chômage, du revenu des ménages, des taux d intérêt de crédit et des prix de l immobilier. Les sources de données utilisées sont : la base mensuelle de la Banque de France sur les crédits aux ménages résidents, les enquêtes de l INSEE, les bases BIEN et PERVAL. Le profil des ménages est construit à partir des enquêtes emploi (construction des revenus) et patrimoine de l INSEE (construction des patrimoines). Ces deux enquêtes sont rapprochées par des techniques d imputation par structure de ménages. Les capacités d achat mesurées portent sur les logements anciens (appartements). La capacité de chaque ménage est évaluée en fonction de sa situation sur le marché du travail (CDI, CDD, fonction publique, stagiaire, chômage) qui détermine son éligibilité à l accès à un prêt principal. Les revenus (salariaux ou autres) du ménage et le niveau des taux de crédit immobiliers déterminent sa capacité de remboursement, tandis que son patrimoine financier (actions, obligations, produits d épargne bancaire) et immobilier détermine son apport personnel. L analyse tient compte des coûts associés à l acquisition d un bien immobilier (tels que les frais de notaire). Les capacités d achat sont évaluées individuellement sur la base de crédits immobiliers à taux fixes sur une durée de 18 ans. L ensemble des moyens de financement (prêt principal, prêt à taux zéro, apport personnel) et des coûts (frais, assurances, droits de mutation) sont pris en compte. Les prix individuels du parc de logement (appartements) de chaque commune sont alors comparés aux capacités d achat individuelles des ménages localisés dans la région correspondante. Pour chaque ménage, le nombre d occupants détermine le type de bien immobilier adéquat. La confrontation du montant maximum empruntable à la valeur nominale du bien «idéal» permet de conclure à l aptitude du ménage à l acquérir. Les ménages locataires (primo-accédants) et propriétaires (secondo-accédants) sont distingués. Les capacités d achat mesurées dans la suite de cette étude portent sur une période d'observation de 24 trimestres allant 1 er trimestre 2007 au 4 ème trimestre Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 4 Septembre 2013

6 PRINCIPAUX ENSEIGNEMENTS Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 5 Septembre 2013

7 Chapitre 1 La capacité d achat immobilier des ménages est très inégale d une ville à une autre Premier enseignement, et avant d étudier les évolutions observées au cours des six dernières années (2007 à 2012), il existe de très fortes disparités de pouvoir d achat immobilier des ménages sur le territoire français. Ainsi fin 2012, on observe de forts écarts : - six ménages sur dix (61,7%) en moyenne étaient en capacité d acheter un bien immobilier correspondant à leurs besoins dans une des dix métropoles de Province étudiées par le baromètre Capacim ; - un peu plus d un ménage sur deux (54,7%) en moyenne était en capacité d acheter un bien immobilier correspondant à ses besoins dans une des dix-neuf villes d Ile-de-France (hors Paris) étudiées par le baromètre Capacim ; - un ménage sur trois (34,1%) était en capacité d acheter un bien immobilier correspondant à ses besoins à Paris. 54,7% 61,7% Capacim 4 trimestre ,1% Paris Moyenne Ile-de-France (horsparis) Moyenne Province Cette disparité de pouvoir d achat immobilier s observe également à l intérieur de l Ile-de-France comme parmi les grandes villes de Province. Fin 2012, le baromètre Capacim évoluait : - en Ile-de-France de 28,0% à Neuilly-sur-Seine à 70,5% à Evry ; - en Province de 46,0% à Marseille à 70,0% à Rennes. (voir graphiques ci-après). Capacim 4 trimestre 2012 en Ile-de-France 56.3% 56.4% 58.5% 60.6% 61.9% 64.2% 65.2% 66.3% 67.2% 67.4% 69.9% 70.5% 34.1% 36.3% 38.6% 41.2% 42.8% 43.5% 44.7% 28.0% Neuilly/Seine Paris Saint-Mandé Boulogne Bill. Vincennes St-Germain-en-Laye Issy-les-Moulineaux Versailles Nanterre Enghien Créteil Massy Palaiseau Fontainebleau Cergy Saint-Denis Meaux Argenteuil Bobigny Evry Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 6 Septembre 2013

8 Capacim 4 trimestre 2012 en Province 52.2% 56.4% 60.9% 64.0% 65.2% 65.4% 66.9% 69.9% 70.0% 46.0% Marseille Lille Lyon Bordeaux Rouen Toulouse Nantes Strasbourg Nancy Rennes Comme cela sera développé au cours de cette étude, Capacim évolue également fortement selon l âge et le statut vis-à-vis de l accession à la propriété (primo ou secundo-accédant). Capacim 4 trimestre 2012 selon l âge 76.0% 67.6% 57.5% 49.0% 47.2% 63.6% 54.8% 66.3% Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Capacim 4 trimestre 2012 selon le statut vis-à-vis de l'accession à la propriété 63.9% 85.0% 87.7% Primo accédant Moyenne Province 29.2% 27.4% Secundo accédant 18.1% 8.6% 25/45 ans 45/60 ans <60 ans Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province De façon globale, le baromètre Capacim est resté stable au niveau national au cours des six dernières années (2007 / 2012). Mais cette apparente stabilité cache en réalité de fortes disparités au niveau spatial (selon la commune), temporel (selon le trimestre) et individuel (selon le profil de ménage considéré). Quatre axes d'analyse sont successivement adoptés dans la suite et révèlent de fortes disparités d'évolution selon : - les communes (chapitre 2) ; - les périodes (chapitre 3) ; - le statut vis-à-vis de l accession : primo ou secundo-accédant (chapitre 4) ; - les classes d âge (chapitre 5). Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 7 Septembre 2013

9 Chapitre 2 A l échelle nationale (hors Paris), la réduction de la capacité d achat immobilier des ménages a été très modérée au cours des six dernières années (2007 à 2012) en dépit de la crise : - en Ile-de-France (moyenne sur 19 villes étudiées, hors Paris), l évolution est égale à -1,5% ; - en Province (moyenne sur 10 villes étudiées), l évolution, égale à -0,3% sur six ans, est quasiment étale. En revanche : - il existe tant en Ile-de-France qu en Province, de fortes disparités ville par ville ; - au cours des six dernières années, la capacité d achat immobilier à Paris a très fortement baissé, évoluant de 41,4% au 1er trimestre 2007 à 34,1% au 4ème trimestre 2012, soit une baisse de près de 18%. 1 trimestre trimestre 2012 Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 41,4% 55,5% 61,9% 34,1% 54,7% 61,7% -17,6% -1,5% -0,3% 2.1 En Ile-de-France : En Ile-de-France, en moyenne (hors Paris), la capacité d achat immobilier des ménages a baissé entre 2007 et 2012 de 1,5%, soit une décrue limitée en six ans. Le fait marquant est la forte hétérogénéité des évolutions constatées ville par ville en Ile-de- France. Les plus fortes évolutions s observent : - à la hausse : à Palaiseau (+6,8%), Cergy (+4,7%), Evry (+4,5%) et Massy (+4,4%) ; - à la baisse : à Neuilly (-19,2%), Paris (-17,6%), Boulogne Billancourt (-12,4%) et Saint Mandé (-11,9%). Ces évolutions en six ans ont accru les écarts déjà existants entre communes, loin de produire un effet de rattrapage entre elles ; ainsi : - les quatre communes d Ile-de-France où la capacité d achat immobilier a le plus progressé au cours des six dernières années (Palaiseau, Cergy, Evry, et Massy) comptaient déjà dans les villes les plus accessibles en 2007 ; - les quatre communes d Ile-de-France où la capacité d achat immobilier a le plus diminué (Neuilly, Paris, Boulogne Billancourt et Saint Mandé) sont les quatre dernières communes du classement en 2007 comme en 2012! Le classement des villes reste quasiment inchangé en Ile-de-France : Le groupe des cinq communes d Ile-de-France (parmi les villes étudiées par Capacim) les plus accessibles reste inchangé : - Evry ravit la 1ère place à Bobigny qui désormais se classe en seconde position ; - Argenteuil, Meaux et Saint-Denis occupent respectivement les 3ème, 4ème et 5ème places de ce classement en 2007 comme en Meaux (66,5%) (67,4%) (68,6%) (66,7%) (66,3%) Meaux (67,2%) (69,9%) (70,5%) (67,4%) (66,3%) Capacim au 1 er trimestre 2007 Capacim au 4 ème trimestre 2012 Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 8 Septembre 2013

10 Dans le bas du tableau, les communes d Ile-de-France les moins accessibles restent identiques. Il s agit pour les cinq dernières de Neuilly (28,0%), Paris (34,1%), Saint-Mandé (36,3%), Boulogne Billancourt (38,6%) et Vincennes (41,2%). Classement des villes d Ile-de-France étudiées par le baromètre Capacim : COMMUNE Capacim 2007-T1 Capacim 2012-T4 Evolution Rang 2007-T1 Rang 2012-T4 Evry 67,4% 70,5% 4,5% 2 1 Bobigny 68,6% 69,9% 1,8% 1 2 Argenteuil 66,7% 67,4% 1,1% 3 3 Meaux 66,5% 67,2% 1,0% 4 4 Saint-Denis 66,3% 66,3% -0,1% 5 5 Cergy 62,3% 65,2% 4,7% 7 6 Fontainebleau 63,7% 64,2% 0,8% 6 7 Palaiseau 58,0% 61,9% 6,8% 9 8 Massy 58,1% 60,6% 4,4% 8 9 Créteil 56,6% 58,5% 3,3% Enghien 57,3% 56,4% -1,6% Nanterre 54,6% 56,3% 3,1% Versailles 48,6% 44,7% -8,1% Issy-les-Moulineaux 47,4% 43,5% -8,3% Saint-Germain-en-Laye 47,3% 42,8% -9,5% Vincennes 46,1% 41,2% -10,6% Boulogne-Billancourt 44,1% 38,6% -12,4% Saint-Mandé 41,1% 36,3% -11,9% Paris 41,4% 34,1% -17,6% Neuilly 34,7% 28,0% -19,2% En Province : En Province, en moyenne, la capacité d achat immobilier des ménages est restée stable au cours des six dernières années, avec une baisse très légère de 0,3%. Les plus fortes évolutions s observent : - à la hausse : à Toulouse (+6,0%), Lyon (+4,9%) et Nancy (+3,4%) ; - à la baisse : à Rouen (-1,3%), Bordeaux (-4,9%) et Marseille (-14,9%). Contrairement au phénomène observé en Ile-de-France, ces évolutions sont indépendantes du classement des villes en fonction de la capacité d achat immobilier initiale en Elles ne tendent pas forcément à accroitre les différences observées d une métropole régionale à une autre. Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 9 Septembre 2013

11 Le classement des villes reste quasiment inchangé en Province entre 2007 et 2012 : De 2007 à 2012, le groupe des cinq communes de Province (parmi les villes étudiées par le baromètre Capacim) les plus abordables reste inchangé : - Rennes, Nancy, Strasbourg et Nantes conservent respectivement leurs 1ère, 2ème, 3ème et 4ème places ; - Toulouse se hisse au 5ème rang détrônant Rouen qui passe à la 6ème place. Nantes (65,4%) Nancy (67,5%) Rennes (69,3%) Strasbourg (65,9%) Rouen (64,8%) Nantes (65,4%) Nancy (69,9%) Rennes (70,0%) Strasbourg (66,9%) Toulouse (65,2%) Capacim au 1 er trimestre 2007 Capacim au 4 ème trimestre 2012 Dans le bas du tableau, le trio de communes de Province les moins accessibles reste le même : il s agit de Marseille (46,0%), Lille (52,2%) et Lyon (56,4%). On notera les différences significatives de pouvoir d achat immobilier entre Province et Ile-de-France. Ainsi, fin 2012, la dernière ville (Marseille) du classement de Province affiche une capacité d achat immobilier égale à 46,0%, alors que Versailles qui présente une capacité d achat immobilier similaire (44,7%) est positionnée au 13ème rang (sur 20 villes) du classement d Ile-de-France. Classement des villes de Province étudiées par le baromètre Capacim : COMMUNE Capacim 2007-T1 Capacim 2012-T4 Evolution Rang 2007-T1 Rang 2012-T4 Rennes 69,3% 70,0% 1,1% 1 1 Nancy 67,5% 69,9% 3,4% 2 2 Strasbourg 65,9% 66,9% 1,4% 3 3 Nantes 65,4% 65,4% 0,0% 4 4 Toulouse 61,6% 65,2% 6,0% 7 5 Rouen 64,8% 64,0% -1,3% 5 6 Bordeaux 64,1% 60,9% - 4,9% 6 7 Lyon 53,8% 56,4% 4,9% 8 8 Lille 52,6% 52,2% -0,7% 10 9 Marseille 53,7% 46,0% - 14,2% 9 10 Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 10 Septembre 2013

12 Chapitre 3 L'apparente stabilité qui s'affiche au global sur la période d'observation de six années (l'évolution est égale à -1,5% en Ile-de-France hors Paris et à -0,3% en Province) cache de réelles disparités d'évolution selon les périodes entre 2007 et Ainsi après une première phase de baisse jusqu'au troisième trimestre 2008, a succédé une courte période de hausse jusqu'à fin Fin 2009, on observe une tendance générale à la baisse qui ne s'est interrompue que début % 55% 45% 35% Paris Moy IdF hors Paris Moy Province 1ère période Du 1er trimestre 2007 au 3ème trimestre 2008, le baromètre Capacim évolue en baisse : - à Paris de 10% ; - en moyenne en Ile-de-France de 4% ; - en moyenne en Province de 1%. Au cours de cette période, la capacité d achat immobilier des ménages, notamment franciliens, a en particulier été érodée par la forte croissance des prix de l ancien. En effet, 2007 voit s achever un cycle haussier de plusieurs années. La tendance des taux de crédit à l habitat a fortement contribué à cette érosion : ils progressent de façon marquée sur la période considérée. Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 1 trim trim ,4% 37,5% 55,5% 53,6% 61,9% 61,3% Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 11 Septembre 2013

13 2ème période Du 3ème trimestre 2008 au 3ème trimestre 2009, la baisse précédemment observée est compensée, voire dépassée permettant à Capacim d atteindre des records au 3ème trimestre 2009, trimestre le plus élevé de la période d observation de cette étude (2007 à 2012). Ainsi Capacim évolue en hausse : - à Paris de 10% ; - en moyenne en Ile-de-France de 8% ; - en moyenne en Province de 3%. Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 3 trim trim ,5% 41,2% 53,6% 57,7% 61,3% 63,4% A la faveur du fort ralentissement du rythme de croissance des prix locaux, et en dépit de l entrée en crise, on observe paradoxalement au cours de cette période une nette amélioration du pouvoir d achat immobilier. Ce résultat peut paraître surprenant car il intervient dans un contexte de hausse du taux de chômage et de faible croissance des salaires. Ce mouvement est renforcé par la rupture de tendance observée dans l évolution des taux de crédit à l habitat : à la différence de la période précédente, les taux amorcent une tendance à la baisse. La combinaison de la baisse des prix (d ampleur variable selon les villes) associée à celle des taux des crédits immobiliers contribue au redressement de la capacité d achat immobilier sur la période. 3ème période Une nouvelle baisse est observée à partir du 3ème trimestre 2009 ; elle se poursuit jusqu au 1er trimestre L indicateur Capacim tombe alors à des niveaux inférieurs à ceux du début de la période d observation. Du 3ème trimestre 2009 au 1er trimestre 2012, Capacim évolue en baisse : - à Paris de ; - en moyenne en Ile-de-France de 8% ; - en moyenne en Province de 4%. 3 trim trim 2012 Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 41,2% 57,7% 63,4% 33,0% 53,2% 60,9% A partir du 3ème trimestre, les prix dans l'ancien repartent à la hausse. 4ème période En 2012, l indicateur Capacim progresse à nouveau : - à Paris de 3% ; - en moyenne en Ile-de-France de 3% ; - en moyenne en Province de 1%. Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 1 trim trim ,0% 34,1% 53,2% 54,7% 60,9% 61,7% Les récentes mesures montrent que ce mouvement haussier de la capacité d achat immobilier des ménages se poursuit début Une telle tendance peut paraître paradoxale dans un contexte macro-économique morose. Elle est notamment attribuée à une baisse historique des taux d'intérêt. La crise économique a provoqué une instabilité croissante du pouvoir d achat en matière immobilière. Ces évolutions immobilières générales peuvent par ailleurs être très contrastées d une commune à une autre. Ce qui renforce la nécessité d une analyse de plus en plus localisée des mouvements immobiliers. Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 12 Septembre 2013

14 Chapitre 4 Pour rappel, un primo-accédant est une personne qui achète un logement destiné à son propre usage pour la première fois, un secundo-accédant pour la 2ème au moins. Le statut du ménage vis-à-vis de l'accession est un déterminant majeur du pouvoir d'achat immobilier. L écart significatif et persistant qui existe entre primo et secundo-accédants est un phénomène régulièrement mis en évidence par le baromètre Capacim. 4.1 Les primo-accédants : - Si la capacité d achat immobilier des primo-accédants reste en moyenne identique (29,2%) dans les 19 villes d Ile-de-France (hors Paris) étudiées, elle tend à : - baisser très légèrement en moyenne dans les dix villes de Province prises en compte dans l étude : la baisse est de 1% ; - s effondrer à Paris avec une baisse de 42% ; fin 2012, seuls 8,6% des ménages «primo-accédants» de la région Ile-de-France étaient en capacité d acheter à Paris un bien correspondant à leurs besoins. 29.2% 29.2% 27.7% 27.4% 1er trim % 8.6% 4e trim 2012 Paris Moyenne Ile-de-France (sans Paris) Moyenne Province Le groupe des cinq villes d Ile-de-France les plus accessibles pour les primo-accédants (Evry, Bobigny, Argenteuil, Meaux et Saint-Denis) reste identique entre 2007 et 2012, même si le rang dans ce groupe peut changer au cours des six dernières années.c est à Palaiseau (+21%), Meaux (+14%) et Cergy (+13%) que l évolution du Capacim est la plus forte au cours des six dernières années. En Province, les métropoles les plus accueillantes pour les primo-accédants sont Nancy, Strasbourg, Toulouse, Rennes et Rouen. C est à Toulouse (+21%) et Nancy (+11 %) que les évolutions sont les plus fortes. Meaux (48,7%) Evry (49,8%) (44,3%) (43,3%) Toulouse (33,9%) au 4 au 4 Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 13 Septembre 2013

15 Capacim 87.5% 85.0% 88.7% 87.7% 4.2 Les secundo-accédants : De 2007 à 2012, la capacité d achat immobilier des secundoaccédants est en baisse : - de 1% dans les dix villes de Province prises en compte dans l étude ; - de 3% dans les dix-neuf villes d Ile-de-France étudiées ; - de 13% à Paris. 73.3% 63.9% Les secundo-accédants ont mieux résisté que les primoaccédants à la flambée des prix à Paris, notamment grâce à l'évolution favorable de leur capacité d'apport personnel. Paris Moyenne Ile-de-France (sans Paris) Moyenne Province 4.3 Ecart entre primo et secundo-accédants : 1er trim e trim 2012 Il est surtout intéressant d observer ville par ville, en Ile-de-France plus particulièrement, l écart entre la capacité d achat immobilier des primo-accédants et celle des secundo-accédants. On observe ainsi entre primo-accédant et secundo-accédant un coefficient multiplicateur égal à : - 10,5 à Neuilly ; - 1,9 à Evry (voir graphes ci-dessous). Cet écart tend à s accroître fortement au cours des six dernières années en particulier à Paris (de 4,9 à 7,4), à Neuilly (de 7,3 à 10,5) et Boulogne Billancourt (de 4,7 à 6,1). Coefficient multiplicateur entre primo et secundo-accédants : COMMUNE Ecart 1er trim 2007 Ecart 4e trim 2012 Neuilly x 7,3 x 10,5 Paris x 4,9 x 7,4 Saint-Mandé x 5,3 x 6,6 Boulogne-Billancourt x 4,7 x 6,1 Vincennes x 4,4 x 5,2 Saint-Germain-en-Laye x 4,4 x 5,0 Issy-les-Moulineaux x 4,3 x 4,8 Versailles x 4,0 x 4,4 Nanterre x 3,4 x 3,2 Créteil x 3,5 x 3,1 Enghien x 2,9 x 3,0 Massy x 3,2 x 2,8 Palaiseau x 3,2 x 2,7 Cergy x 2,6 x 2,3 Fontainebleau x 2,3 x 2,3 Saint-Denis x 2,2 x 2,2 Meaux x 2,2 x 2,2 Argenteuil x 2,2 x 2,2 Bobigny x 2,0 x 2,0 Evry x 2,1 x 1,9 Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 14 Septembre 2013

16 Capacim : COMMUNE Neuilly Paris Saint-Mandé Boulogne-Billancourt Vincennes Saint-Germain-en-Laye Issy-les-Moulineaux Versailles Nanterre Créteil Enghien Massy Palaiseau Cergy Fontainebleau Saint-Denis Meaux Argenteuil Bobigny Evry 1er trim e trim ,0% 5,2% 14,9% 8,6% 13,9% 10,1% 16,5% 11,5% 18,0% 14,0% 18,7% 15,0% 18,9% 15,8% 20,6% 17,3% 25,9% 28,3% 26,4% 29,6% 30,7% 29,2% 28,7% 32,9% 29,0% 35,0% 36,1% 40,7% 40,1% 40,4% 43,8% 43,3% 43,1% 44,0% 43,5% 44,3% 47,0% 48,7% 44,6% 49,8% Capacim : COMMUNE Neuilly Paris Saint-Mandé Boulogne-Billancourt Vincennes Saint-Germain-en-Laye Issy-les-Moulineaux Versailles Nanterre Créteil Enghien Massy Palaiseau Cergy Fontainebleau Saint-Denis Meaux Argenteuil Bobigny Evry 1er trim e trim ,3% 54,5% 73,3% 63,9% 73,7% 66,7% 77,0% 70,3% 79,6% 73,0% 81,5% 75,2% 81,4% 75,7% 82,2% 76,7% 89,0% 89,4% 92,6% 92,4% 89,4% 88,4% 93,1% 93,5% 92,7% 93,8% 94,2% 94,8% 92,8% 93,0% 94,5% 94,2% 95,6% 95,5% 95,6% 95,5% 95,9% 96,0% 95,9% 96,3% Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 15 Septembre 2013

17 Chapitre 5 Il existe de très fortes différences entre les générations. Capacim distingue trois populations précises : celles des 25 / 45 ans, des 45 / 60 ans et des plus de 60 ans. 57.9% 57.5% 5.1 Les 25 / 45 ans : 28.0% 18.1% 50.1% 49.0% 1er trim 2007 La capacité d achat immobilier des 25/45 ans évolue peu en Ile-de-France, à l exception notamment de Neuilly (-39%), Paris (-35%) et Boulogne Billancourt (-26%). En Province, les trois villes les plus accessibles pour les 25 / 45 ans sont : Nancy (71,0%), Strasbourg (66,7%) et Rennes (63,2%). 4e trim 2012 Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 5.2 Les 45 / 60 ans : 68.7% 67.6% 76.7% 76.0% La capacité d achat immobilier des 45/60 ans évolue peu en Ile-de-France, à l exception notable de Neuilly (-16%), Paris (-15%) et Boulogne Billancourt (-10%). En Province, les trois villes les plus accessibles pour les 45 / 60 ans sont : Rennes (83,5%), Nancy (82,2%) et Nantes (81,8%). 55.8% 47.2% 1er trim e trim % 54.8% 65.2% 63.6% 67.1% 66.3% 1er trim e trim 2012 Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province 5.3 Les plus de 60 ans : Paris Moyenne Ile-de-France (hors Paris) Moyenne Province La capacité d achat immobilier des plus de 60 ans évolue peu en Ile-de-France, à l exception de Neuilly (-13%), Paris (-8%) et Boulogne Billancourt (-7%). En Province, les trois villes les plus accessibles pour les plus de 60 ans sont : Rennes (74,9%), Toulouse (74,4%) et Rouen (70,1%). La capacité d'achat immobilier des seniors affiche une plus grande stabilité car ils sont moins affectés par la conjoncture économique. Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 16 Septembre 2013

18 Annexe 1 : CAPACIM VILLE PAR VILLE EN ILE-DE-FRANCE Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 17 Septembre 2013

19 Paris (34,1 %) évolué de -17,6 % à Paris passant de 41,4 % début 2007 à 34,1 % fin ,4% 41,6 % 34,1 % 32,8 % 14,9 % 73,3 % 28,0 % 55,8 % 59,4 % 8,6 % 39,5 % 32,4 % 63,9 % 18,1 % 47,2 % 22,6 % 66,9 % 32,9 % 17,4 % 59,2 % 25,1 % 54,8 % 41,4 % 34,1 % Argenteuil (67,4 %) 66,7 % 64,5 % 72,0 % 67,4 % évolué de +1,1 % à Argenteuil passant de 66,7 % début 2007 à 67,4 % fin ,4 % 95,6 % 68,8 % 78,3 % 69,3 % 44,3% 61,8 % 59,5 % 95,5 % 68,8, % 78,2 % 41,8 % 82,7 % 70,9 % 41,1 % 83,8 % 75,8 % 69,0 % 66,7 % 67,4 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 18 Septembre 2013

20 Bobigny (69,9 %) 68,6 % 71,2 % 66,5 % 69,9 % évolué de +1,8 % à Bobigny passant de 68,6 % début 2007 à 69,9 % fin ,0 % 95,9 % 70,7 % 80,4 % 69,7 % 48,7 % 96,0 % 72,2 % 80,4 % 69,8 % 62,8 % 47,4 % 85,6 % 71,9 % 68,6 % 62,0 % 45,5 % 86,3 % 77,5 % 69,9 % Boulogne-Billancourt (38,6 %) 44,1 % 44,5 % 35,9 % 38,6 % évolué de -12,4 % à Boulogne-Billancourt passant de 44,1 % début 2007 à 38,6 % fin ,5 % 77,0 % 31,3 % 59,3 % 60,7 % 11,5 % 70,3 % 23,3 % 53,4 % 57,5 % 40,9 % 24,2 % 67,4 % 39,0 % 44,1 % 35,4 % 19,7 % 63,1 % 32,8 % 38,6 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 19 Septembre 2013

21 Cergy (65,2 %) 62,3 % 60,1 % 66,6 % 65,2 % évolué de +4,7 % à Cergy passant de 62,3 % début 2007 à 65,2 % fin ,1 % 94,2 % 61,6 % 74,2 % 67,4 % 40,7 % 94,8 % 65,7 % 76,2 % 68,2 % 58,1 % 35,2 % 76,3 % 67,9 % 62,3 % 58,0 % 37,5 % 80,9 % 73,8 % 65,2 % Créteil (58,5 %) 56,6 % 55,2 % 60,7 % 58,5 % évolué de +3,3 % à Créteil passant de 56,6 % début 2007 à 58,5 % fin ,4 % 92,6 % 52,4 % 70,0 % 65,6 % 29,6 % 92,4 % 55,3 % 71,8 % 65,3 % 45,5 % 34,0 % 75,2 % 66,0 % 56,6 % 46,3 % 35,2 % 78,0 % 69,3 % 58,5 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 20 Septembre 2013

22 Enghien (56,3 %) 57,3 % 52,8 % 59,3 % 56,4 % évolué de -1,6 % à Enghien passant de 57,3 % début 2007 à 56,4 % fin ,7 % 29,2 % 56,2 % 52,4 % 89,4 % 88,4 % 31,9 % 31,2 % 53,1 % 69,8 % 51,0 % 69,5 % 73,0 % 57,2 % 75,4 % 57,5 % 66,4 % 65,5 % 57,3 % 56,4 % Evry (70,5 %) 67,4 % 65,5 % 72,1 % 70,5 % évolué de +4,5 % à Evry passant de 67,4 % début 2007 à 70,5 % fin ,6 % 95,9 % 69,0 % 78,9 % 69,6 % 49,8 % 96,3 % 73,4 % 81,2 % 69,5 % 60,7 % 43,0 % 82,8 % 74,0 % 67,4 % 61,2 % 45,9 % 85,4 % 81,1 % 70,5 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 21 Septembre 2013

23 Fontainebleau (64,2 %) 63,7 % 59,3 % 66,6 % 64,2 % évolué de +0,8 % à Fontainebleau passant de 63,7 % début 2007 à 64,2 % fin ,1 % 92,8 % 62,8 % 75,3 % 68,5 % 40,4 % 93,0 % 62,9 % 75,7 % 68,3 % 61,8 % 38,0 % 81,1 % 63,4 % 63,7 % 59,5 % 38,9 % 83,0 % 66,5 % 64,2 % Issy-les-Moulineaux (43,5 %) 47,4 % 49,5 % 43,5 % évolué de -8,3 % à Issy-les- Moulineaux passant de 47,4 % début 2007 à 43,5 % fin ,2 % 18,8 % 81,4 % 36,1 % 62,4 % 62,9 % 15,8 % 75,7 % 30,8 % 58,7 % 59,4 % 44,5 % 25,9 % 68,4 % 44,5 % 47,4 % 40,3 % 22,0 % 65,7 % 40,2 % 43,5 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 22 Septembre 2013

24 Massy (60,6 %) 58,1 % 56,3 % 63,6 % 60,6 % évolué de +4,4 % à Massy passant de 58,1 % début 2007 à 60,6 % fin ,7 % 93,1 % 55,1 % 70,8 % 66,1 % 32,9 % 93,5 % 58,8 % 73,3 % 66,0 % 49,6 % 33,9 % 74,7 % 66,3 % 58,1 % 50,4 % 36,1 % 78,2 % 70,7 % 60,6 % Meaux (67,2 %) 66,5% 64,9 % 68,9 % 67,2 % évolué de +1,0 % à Meaux passant de 66,5 % début 2007 à 67,2 % fin ,1 % 95,6 % 67,8 % 77,9 % 69,2 % 44,0 % 95,5 % 68,4 % 78,2 % 69,0 % 60,8 % 41,4 % 82,4 % 71,9 % 66,5 % 58,8 % 40,8 % 83,4 % 76,4 % 67,2 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 23 Septembre 2013

25 Nanterre (56,3 %) 54,6% 59,6 % 52,2 % 56,3 % évolué de +3,1 % à Nanterre passant de 54,6 % début 2007 à 56,3 % fin ,9 % 89,0 % 48,7 % 68,1 % 65,6 % 28,3 % 89,4 % 51,0 % 69,8 % 65,1 % 48,5 % 31,5 % 74,1 % 57,2 % 54,6 % 49,2 % 32,0 % 77,5 % 59,6 % 56,3 % Neuilly (28,0 %) évolué de -19,2 % à Neuilly passant de 34,7 % début 2007 à 28,0 % fin ,7% 33,8 % 26,4 % 28,0 % 9,0 % 65,3 % 18,6 % 48,5 % 55,3 % 5,2 % 54,5 % 11,4 % 41,0 % 48,0 % 34,9 % 15,7 % 56,0 % 26,9 % 34,7 % 27,7 % 11,4 % 48,9 % 20,4 % 28,0 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 24 Septembre 2013

26 Palaiseau (61,9 %) 58,0% 57,9 % 65,2 % 61,9 % évolué de +6,8 % à Palaiseau passant de 58,0 % début 2007 à 61,9 % fin ,0 % 92,7 % 54,6 % 70,9 % 66,3 % 35,0 % 93,8 % 60,7 % 74,2 % 66,8 % 50,5 % 33,6 % 74,4 % 65,1 % 58,0 % 52,6 % 36,3 % 79,3 % 71,3 % 61,9 % Saint-Denis (66,3 %) 66,3% 64,2 % 70,3 % 66,3 % De façon globale, Capacim s est stabilisé à Saint-Denis entre 2007 et ,8 % 94,5 % 66,8 % 78,4 % 69,2 % 43,3 % 94,2 % 66,6 % 77,2 % 68,8 % 63,0 % 42,8 % 83,8 % 67,0 % 66,3 % 60,5 % 40,9 % 84,2 % 70,6 % 66,3 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 25 Septembre 2013

27 Saint-Germain-en-Laye (42,8 %) 47,3% 48,9 % 42,0 % 42,8 % évolué de -9,5 % à Saint- Germain-en-Laye passant de 47,3 % début 2007 à 42,8 % fin ,7 % 81,5 % 36,1 % 62,3 % 62,8 % 15,0 % 75,2 % 29,7 % 58,2 % 59,1 % 44,1 % 26,2 % 68,3 % 44,6 % 47,3 % 39,4 % 21,8 % 64,8 % 39,8 % 42,8 % Saint-Mandé (36,3 %) 41,1% 45,1 % 36,3 % évolué de -11,9 % à Saint- Mandé passant de 41,1 % début 2007 à 36,3 % fin ,5 % 13,9 % 73,7 % 26,9 % 56,2 % 59,4 % 10,1 % 66,7 % 20,9 % 50,8 % 55,0 % 40,4 % 20,9 % 61,8 % 35,4 % 41,1 % 35,5 % 15,9 % 57,4 % 30,5 % 36,3 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 26 Septembre 2013

28 Versailles (44,7 %) 48,6% 53,3 % 44,7 % évolué de -8,1 % à Versailles passant de 48,6 % début 2007 à 44,7 % fin ,0 % 20,6 % 82,2 % 38,3 % 63,1 % 63,5 % 17,3 % 76,7 % 32,8 % 59,5 % 60,1 % 45,8 % 27,8 % 70,5 % 44,6 % 48,6 % 41,0 % 23,9 % 68,3 % 40,5 % 44,7 % Vincennes (41,2 %) 46,1% 47,9 % évolué de -10,6 % à Vincennes passant de 46,1 % début 2007 à 41,2 % fin ,2 % 38,0 % 18,0 % 14,0 % 42,7 % 38,3 % 79,6 % 73,0 % 25,5 % 20,8 % 34,3 % 61,1 % 27,3 % 56,3 % 68,8 % 42,1 % 64,8 % 36,3 % 62,1 % 58,4 % 46,1 % 41,2 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 27 Septembre 2013

29 Annexe 2 : CAPACIM VILLE PAR VILLE EN PROVINCE Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 28 Septembre 2013

30 Bordeaux (60,9 %) 64,1% 66,0 % 60,9 % évolué de -4,9 % à Bordeaux passant de 64,1 % début 2007 à 60,9 % fin ,6 % 22,9 % 54,3 % 45,6 % 90,4 % 88,6 % 30,8 % 31,3 % 60,9 % 79,7 % 55,7 % 76,8 % 79,2 % 73,4 % 78,4 % 76,8 % 69,5 % 67,2 % 64,1 % 60,9 % Lille (52,2 %) 52,6% 55,1 % 52,2 % évolué de -0,7 % à Lille passant de 52,6 % début 2007 à 52,2 % fin ,8 % 17,5 % 15,5 % 42,1 % 39,3 % 82,9 % 82,8 % 22,5 % 22,5 % 48,5 % 68,2 % 46,3 % 67,1 % 69,0 % 59,9 % 69,7 % 61,4 % 58,6 % 58,8 % 52,6 % 52,2 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 29 Septembre 2013

31 Lyon (56,4 %) 53,8 % 50,6 % 59,2 % 56,4 % évolué de +4,9 % à Lyon passant de 53,8 % début 2007 à 56,4 % fin ,4 % 24,5 % 44,7 % 42,8 % 84,4 % 86,4 % 20,5 % 23,9 % 47,0 % 70,7 % 51,8 % 71,4 % 73,9 % 59,7 % 78,4 % 68,0 % 59,6 % 60,4 % 53,8 % 56,4 % Marseille (46,0 %) 53,7% 58,0 % 46,0 % évolué de -14,2 % à Marseille passant de 53,7 % début 2007 à 46,0 % fin ,8 % 24,4 % 15,7 % 50,2 % 30,5 % 82,5 % 75,0 % 25,2 % 21,3 % 47,6 % 67,9 % 38,1 % 60,5 % 72,0 % 54,5 % 68,1 % 59,1 % 58,9 % 51,6 % 53,7 % 46,0 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 30 Septembre 2013

32 Nancy (69,9 %) 67,5% 66,0 % 71,1 % 69,9 % évolué de +3,4 % à Nancy passant de 67,5 % début 2007 à 69,9 % fin ,0 % 40,9 % 53,2 % 54,7 % 92,3 % 92,8 % 47,2 % 44,0 % 67,5 % 80,5 % 71,0 % 82,2 % 84,4 % 73,6 % 85,0 % 81,8 % 68,5 % 69,1 % 67,5 % 69,9 % Nantes (65,4 %) 65,4% 63,9 % 69,0 % 65,4 % De façon globale, Capacim s est stabilisé à Nantes entre 2007 et ,9 % 25,9 % 50,6 % 48,7 % 90,3 % 90,0 % 30,7 % 30,3 % 61,3 % 82,5 % 60,9 % 81,8 % 80,9 % 75,0 % 81,3 % 77,4 % 68,9 % 68,9 % 65,4 % 65,4 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 31 Septembre 2013

33 Rennes (70,0 %) 69,3% 68,5 % 74,7 % 70,0 % évolué de +1,1 % à Rennes passant de 69,3 % début 2007 à 70,0 % fin ,6 % 29,9 % 52,4 % 52,2 % 88,3 % 87,9 % 36,7 % 36,0 % 63,2 % 82,7 % 75,7 % 63,2 % 83,5 % 74,9 % 82,8 % 84,5 % 78,9 % 81,4 % 69,3 % 70,0 % Rouen (64,0 %) 64,8% 61,5 % 68,1 % 64,0 % évolué de -1,3 % à Rouen passant de 64,8 % début 2007 à 64,0 % fin ,2 % 27,7 % 49,8 % 45,2 % 93,4 % 92,5 % 33,9 % 29,6 % 60,9 % 78,0 % 59,0 % 76,8 % 81,9 % 72,7 % 81,5 % 77,1 % 71,0 % 70,1 % 64,8 % 64,0 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 32 Septembre 2013

34 Strasbourg (66,9 %) 65,9% 63,5 % 67,9 % 66,9 % évolué de +1,4 % à Strasbourg passant de 65,9 % début 2007 à 66,9 % fin ,0 % 37,1 % 57,3 % 56,6 % 89,5 % 89,5 % 29,1 % 28,9 % 65,6 % 80,3 % 66,7 % 80,4 % 78,7 % 71,7 % 79,4 % 75,4 % 67,6 % 67,7 % 65,9 % 66,9 % Toulouse (65,2 %) 61,6% 61,5 % 66,9 % 65,2 % évolué de +6,0 % à Toulouse passant de 61,6 % début 2007 à 65,2 % fin ,0 % 33,9 % 53,7 % 53,0 % 90,0 % 91,0 % 30,5 % 37,7 % 56,4 % 77,0 % 73,3 % 62,6 % 79,4 % 74,4 % 76,8 % 80,6 % 67,4 % 76,7 % 61,6 % 65,2 % Crédit Foncier / Université Paris-Dauphine Page 33 Septembre 2013

35 Contacts Presse Crédit Foncier Nicolas Pécourt Directeur Communication externe et RSE Tél. : nicolas.pecourt@creditfoncier.fr Kayoum Seraly Responsable Relations Presse Tél. : kayoum.seraly@creditfoncier.fr Contacts Presse Université Paris-Dauphine Armelle de Kerros Directrice de la communication Tél : armelle.dekerros@dauphine.fr Florent Got Responsable Relations Presse Tél. : florent.got@dauphine.fr

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015 Marchés immobiliers en régions Marseille 9 avril 2015 Le tour de France de l immobilier par le Crédit Foncier Plan de la présentation Le baromètre Crédit Foncier/CSA sur le moral des professionnels de

Plus en détail

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse

Plus en détail

L année immobilière 2014

L année immobilière 2014 www. creditfoncier. com L année immobilière 2014 vue par le Crédit Foncier MARS 2015 synthèse Lors de sa traditionnelle conférence annuelle Les Marchés Immobiliers le 5 février 2015, le Crédit Foncier

Plus en détail

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS

Plus en détail

Le marché immobilier en France

Le marché immobilier en France Le marché immobilier en France Immobilier d entreprise, logement, immobilier de loisirs Notaires de Paris www.paris.notaires.fr Juin 2013 1 L immobilier d entreprise dans le GRAND PARIS 2 L immobilier

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective

Plus en détail

Mesure du surendettement en Europe

Mesure du surendettement en Europe Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

Evolution des risques sur les crédits à l habitat

Evolution des risques sur les crédits à l habitat Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

Conférence de presse : les marchés immobiliers à mi-année. Bruno Deletré, Directeur Général du Crédit Foncier

Conférence de presse : les marchés immobiliers à mi-année. Bruno Deletré, Directeur Général du Crédit Foncier Conférence de presse : les marchés immobiliers à mi-année Bruno Deletré, Directeur Général du Crédit Foncier 8 juillet 2015 Un environnement immobilier plus favorable qu en 2014 2 59 % des professionnels

Plus en détail

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

4 CHIFFRES À RETENIR

4 CHIFFRES À RETENIR Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

Les dépenses et la dette des ménages

Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages

Plus en détail

2011/12/27. Click to edit Master subtitle style

2011/12/27. Click to edit Master subtitle style 2011/12/27 Click to edit Master subtitle style 1993 Rémy Sax, crée la SARL PATRIMOINE CONSULTANT à Nancy, avec l'ambition de devenir un acteur majeur régional de la gestion de Patrimoine. Il s'adjoint

Plus en détail

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 Dares Analyses OCTObre 2012 N 068 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 En 2011, sur 22,3 millions de

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

observatoire des emplois d avenir

observatoire des emplois d avenir observatoire des emplois d avenir 4 ème vague Emplois d avenir et zones urbaines sensibles (ZUS) L Association des Maires de Grandes Villes de France a activement participé à la montée en puissance des

Plus en détail

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE

Plus en détail

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect? 92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire

Plus en détail

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Formation préventive et accompagnement psychologique des agents 51 11 46 / 01 53 33 11 46 victimologie@sncf.fr BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Permanence Téléphonique Prise

Plus en détail

Interpréter correctement l évolution de la part salariale.

Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un

Plus en détail

Chapitre 8. Estimation de la valeur d un bien immobilier

Chapitre 8. Estimation de la valeur d un bien immobilier Chapitre 8 Estimation de la valeur d un bien immobilier L estimation de la valeur d un bien immobilier est utile notamment : 1. aux acheteurs et vendeurs potentiels ; 2. aux institutions de crédit, puisque

Plus en détail

L accession sociale à la propriété. Une étude du Crédit Foncier

L accession sociale à la propriété. Une étude du Crédit Foncier L accession sociale à la propriété Une étude du Crédit Foncier SYNTHÈSE L encouragement de l accession à la propriété des ménages aux revenus modestes constitue depuis plusieurs décennies une priorité

Plus en détail

FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016

FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016 Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne

Plus en détail

Garanties bancaires Assurances de prêts Montant de l emprunt Taux d endettement

Garanties bancaires Assurances de prêts Montant de l emprunt Taux d endettement A l'attention de Septembre 2008 Garanties bancaires Assurances de prêts Montant de l emprunt Taux d endettement Au sujet de la garantie prise par la banque : Voici les caractéristiques et le coût des différents

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION

ENQUÊTE DE SATISFACTION Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter

Plus en détail

COMMENTAIRE. Services économiques TD

COMMENTAIRE. Services économiques TD COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants

Plus en détail

B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors

B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors DOSSIER DE PRESSE B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors Sommaire Page 2 : Le Prix B2V en quelques dates Page 3 : Un prix destiné à encourager l innovation sociale en matière d accompagnement du

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Le marché immobilier en France

Le marché immobilier en France Le marché immobilier en France Immobilier d entreprise, logement, immobilier de loisirs Jean-Claude GINISTY Notaire à Paris Juin 2013 1 L immobilier d entreprise dans le GRAND PARIS 2 L immobilier d entreprise

Plus en détail

Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier

Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Luxembourg, le 21 avril 211 Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Dans la mesure où le Service Central de la Statistique et des Etudes Economiques (STATEC) n'est pas encore à

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme

L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme IREDU-CNRS Ministère de la Culture et de la Communication Délégation aux Arts plastiques Magali Danner Gilles Galodé L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme Enquête

Plus en détail

LISTE DES ECOLES PERMETTANT UN RECLASSEMENT DANS LE 3 ème GRADE D INGENIEUR DE LA FILIERE TECHNIQUE

LISTE DES ECOLES PERMETTANT UN RECLASSEMENT DANS LE 3 ème GRADE D INGENIEUR DE LA FILIERE TECHNIQUE Direction générale des services ----- Nouméa, le 22 octobre 2009 Direction des ressources humaines et de la fonction publique de Nouvelle-Calédonie ----- Service des affaires juridiques, des études et

Plus en détail

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 n 65 juin 2014 Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 Observatoire n 4 Contact : Gilles Poupard 02 97 12 06 31 Sommaire Rappel de la démarche 5 Principaux résultats 2013 7 1. Le marché des

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

Crédit hypothécaire : croissance durable

Crédit hypothécaire : croissance durable Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été

Plus en détail

CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION

CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION «Multiplier les points de vue pour voir la situation sous le meilleur angle». Au contact de ses clients Crédit Foncier Immobilier s est forgé la conviction que ses

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier

Plus en détail

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE 201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE

Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Valorisez votre patrimoine avec de l immobilier d entreprise de qualité en investissant dans la SCPI Edissimmo - Durée recommandée : 8 ans Augmentation de capital ouverte

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Diplômes et insertion professionnelle

Diplômes et insertion professionnelle Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les

Plus en détail

Diplôme d expertise comptable (DEC)

Diplôme d expertise comptable (DEC) Futurexpert.com Février 2015 Le Master Comptabilité Contrôle Audit (CCA) Une filière universitaire d excellence pour accéder aux métiers de l expertise comptable, du conseil, de l audit, de la gestion

Plus en détail

LOCAUX COMMERCIAUX - LOCATION - CESSION - VENTE - FONDS DE COMMERCE

LOCAUX COMMERCIAUX - LOCATION - CESSION - VENTE - FONDS DE COMMERCE P a r t e n a i r e d e v o t r e d é v e l o p p e m e n t «immo-locaux est une société de conseil spécialisée dans l'immobilier commercial : locaux commerciaux, location, cession, vente, fonds de commerce

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014

Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014 FM 14/08/14 Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014 Article L1153-5 L employeur prend toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de harcèlement sexuel, d

Plus en détail

SCPI Fructipierre EN BREF

SCPI Fructipierre EN BREF SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Le patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine

Plus en détail

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire

Plus en détail

5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*

5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence

Plus en détail

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique Valorisation des patrimoines Conseil et accompagnement stratégique Dans un contexte d évolutions continues des règlementations et de recherche d optimisation, loin des grands programmes de constructions

Plus en détail

Enquête 2013 auprès de la Génération 2010 Face à la crise, le fossé se creuse entre niveaux de diplôme

Enquête 2013 auprès de la Génération 2010 Face à la crise, le fossé se creuse entre niveaux de diplôme Bref ducéreq n 319 mars 201 Enquête 2013 auprès de la Génération 2010 Face à la crise, le fossé se creuse entre niveaux de diplôme En 2013, trois ans après leur sortie du système éducatif, 22 % des jeunes

Plus en détail

Revenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)

Revenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%) Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail

Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 2015

Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 2015 Trimestriel n 42 Octobre 214 Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 21 Le marché résidentiel continue à se corriger lentement. La baisse reste modérée, beaucoup plus que dans la plupart des

Plus en détail

Les métiers de la banque et des assurances

Les métiers de la banque et des assurances 18 juin 2015 Les métiers de la banque et des assurances Auteure : Itto BEN HADDOU-MOUSSET 1. Un secteur en mutation depuis les années 1980 L Ile-de-France est la région qui abrite les effectifs bancaires

Plus en détail

Point marché de l immobilier d entreprise

Point marché de l immobilier d entreprise Point marché de l immobilier d entreprise 9 octobre 2014 Espace la Cartoucherie Le Moniteur Bilan du 3 ème trimestre 2014 Le marché de bureaux au 3 ème trimestre 2014 3 385 m² loués par Cegedim sur Green

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES 22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009

Plus en détail

FONDS MUTUEL DE GARANTIE DES MILITAIRES (FMGM)

FONDS MUTUEL DE GARANTIE DES MILITAIRES (FMGM) Le soussigné (organisme prêteur) Agence Code banque Nom du gestionnaire du dossier Fonction Code guichet Téléphone fixe mobile fax e-mail : sollicite la garantie du Fonds Mutuel de Garantie des Militaires

Plus en détail

L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode

L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de

Plus en détail

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,

Plus en détail

Bilan du programme 2013 avec les Missions Locales

Bilan du programme 2013 avec les Missions Locales Bilan du programme 2013 avec les Missions Locales Solenn RAVALEC, Association Nationales des Directeurs de Missions Locales Dominique VILLENEUVE, La Banque Postale Paris, 18 & 19 juin 2014 Sommaire Le

Plus en détail

TP 2 - M2204 FISCALITÉ DES PERSONNES PHYSIQUES

TP 2 - M2204 FISCALITÉ DES PERSONNES PHYSIQUES TP 2 - M2204 FISCALITÉ DES PERSONNES PHYSIQUES EXERCICE 1 TRAITEMENTS ET SALAIRES M. PACCOLINI a été embauché fin septembre N comme chauffeur livreur routier dans la SA DARCO Transports. Son patron lui

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

Paris, un parc immobilier

Paris, un parc immobilier Malakoff Clichy Saint-Ouen Saint- Paris, un parc immobilier Denis dynamique support et vecteur des évolutions de population et d emploi Aubervilliers AVRIL 2013 Directrice de la publication : Dominique

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014

Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014 Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le

Plus en détail

L INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France?

L INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France? L INSEE EN BREF L Insee en bref N 4 Septembre 2012 La mesure du chômage par l Insee Combien y a t il de chômeurs en France? Quelle définition des chômeurs retient l Insee? Comment l Insee mesure t il le

Plus en détail

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES DOSSIER DE PRESSE 17 AOÛT 2015 COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES Cout de la vie étudiante selon les villes universitaires CONTACT PRESSE Pauline Collet 06 88 27 92 59 pcollet@unef.fr

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

Demande de Prêt Habitat Bonifié

Demande de Prêt Habitat Bonifié Demande de Prêt Habitat Bonifié Concernant l'adhérent CNG-MG NOM Prénom : : Numéro d'adhérent : PRET SOLLICITE Montant : Durée : ans Partenariat entre la CNG-MG et la Banque Française Mutualiste Page 1

Plus en détail