DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE 17 NOVEMBRE 2010 PROJET DE COMMUNAUTÉ HOSPITALIÈRE DE TERRITOIRE DES LANDES
|
|
- Adam Garon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Page 1 sur 23 DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE 17 NOVEMBRE 2010 PROJET DE COMMUNAUTÉ HOSPITALIÈRE DE TERRITOIRE DES LANDES
2 Page 2 sur 23 SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE... 3 FICHE N 1 PRÉSENTATION DU CENTRE HOSPITALIER DE M ONT-DE-MARSAN... 4 FICHE N 2 PRÉSENTATION DU CENTRE HOSPITALIER DE D AX... 6 FICHE N 3 - LA NOTION DE C.H.T ET LA DÉMARCHE EN CO URS Qu est ce qu une communauté hospitalière de territoire? Pourquoi créer une C.H.T entre Dax et Mont-de-Marsan? Quel est l état d avancement de la démarche?... 9 FICHE N 4 - LA COOPÉRATION EN CARDIOLOGIE FICHE N 5 - LA COOPÉRATION EN NEUROLOGIE FICHE N 6 - LA COOPÉRATION EN PSYCHIATRIE ANNEXE 1 DONNÉES CHIFFRÉES 2009 DU CENTRE HOSPITALIER DE MONT-DE-MARSAN. 14 ANNEXE 2 COMPOSITION DES PÔLES AU CENTRE HOSPITALIER DE MONT-DE-MARSAN.. 17 ANNEXE 3 DONNÉES CHIFFRÉES 2009 DU CENTRE HOSPITALIER DE DAX ANNEXE 4 BASSIN DE RECRUTEMENT CUMULÉ DES DEUX ÉTABLISSEMENTS ANNEXE 5 DISPOSITIF POUR L OFFRE DE SOINS EN PSYCHIATRIE DANS LE DÉPARTEMENT DES LANDES... 22
3 Page 3 sur 23 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Les centres hospitaliers de Dax et de Mont-de-Marsan ont décidé de s engager, ensemble, dans un projet de création d une communauté hospitalière de territoire 1. Ce projet, initié en octobre 2009 par les directions des deux établissements, a été officiellement approuvé par délibération de leur conseil d administration respectif en décembre Les deux instances se sont prononcées favorablement à l unanimité pour la création d une C.H.T landaise. Cette démarche bénéficie du soutien de l Agence Régionale de Santé d Aquitaine. Ce soutien se traduit en particulier par un accompagnement financier sur la base de crédits nationaux 2, destiné à réaliser les études préalables à la formalisation d un projet définitif. Cette C.H.T apparaît comme l évolution naturelle et logique du dispositif de coopération déjà existant entre les deux établissements : Le syndicat interhospitalier des Landes 3. À terme, la C.H.T viendra donc prendre le relais du SIHL en approfondissant les liens établis dans ce cadre depuis Cette démarche passe avant tout par l élaboration d un projet médical commun pour le territoire des Landes. Les actions concrètes, engagées dans certaines disciplines se traduisent, aujourd'hui, sous forme de conventions. Les disciplines concernées sont : La psychiatrie La cardiologie La neurologie Elles seront reprises ensuite dans le cadre de la future C.H.T. 1 C.H.T 2 Fonds de modernisation des établissements publics et privés de santé : F.M.E.S.P.P 3 SIHL
4 Page 4 sur 23 FICHE N 1 PRÉSENTATION DU CENTRE HOSPITALIER DE MONT-DE-MARSAN Le Centre Hospitalier est issu de la fusion au 1 er janvier 2000 du Centre Hospitalier général et de l Établissement Public Spécialisé de psychiatrie. Il dispose d une capacité de lits et places répartis dans 6 pôles cliniques dont la composition figure en annexe. Le centre hospitalier de Mont-de-Marsan propose une offre de soins spécialisée dans les grandes disciplines médicales et chirurgicales : Médecine interne, cardiologie, gastroentérologie, pneumologie, neurologie, pédiatrie, néphrologie, oncologie Chirurgie vasculaire artérielle, digestive, urologique, O.R.L, orthopédie et traumatologie, gynécologie. L établissement dispose d une maternité de niveau 2 labellisée «amie des bébés» depuis 2006 et d un service de néonatalogie doté de lits de soins intensifs. La prise en charge de l urgence se fait par : Le Service D Aide Médicale Urgente des Landes (Centre 15), dont le siège est au centre hospitalier de Mont-de-Marsan, Le service d accueil des urgences, 10 lits d hospitalisation de très courte durée, Deux équipes de SMUR 4 basées à Mont-de-Marsan Le pôle de psychiatrie propose une offre de soins : En hospitalisation complète et partielle de jour et de nuit, pour adultes et adolescents, En consultations, En structure alternative à l hospitalisation (hôpitaux de jour, C.A.T.T.P, appartements thérapeutiques ) Le plateau technique de l établissement est composé : D un laboratoire effectuant les actes de biochimie, hématologie, bactériologie, virologie, immunologie et parasitologie, D un laboratoire d anatomopathologie, D un service d imagerie médicale doté d équipements de radiologie conventionnelle, d échographie et de doppler, d un scanner, d un appareil d I.R.M et prochainement d un 2 ème I.R.M 5 Le centre hospitalier de Mont-de-Marsan réunit toutes les composantes de la filière de gériatrie : Des consultations d évaluation gérontologique et des consultations mémoire Une unité de court séjour gériatrique de 12 lits Une équipe mobile de gériatrie Des soins de suite et de réadaptation Des unités de soins de longue durée De l hébergement en EHPAD 6 Une unité de court séjour gérontopsychiatrique Une équipe mobile de gérontopsychiatrie 4 Service mobile d urgence et de réanimation 5 Autorisation administrative délivrée par l A.R.S en octobre Établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes
5 Page 5 sur 23 Le bassin de recrutement des patients du Centre Hospitalier de Mont-de-Marsan comprend environ habitants et s étend principalement sur la partie Nord et Est du département avec une incursion dans le département du Gers. Elle est représentée ci-dessous :
6 Page 6 sur 23 FICHE N 2 PRÉSENTATION DU CENTRE HOSPITALIER DE DAX Le Centre Hospitalier de Dax-Côte d Argent est un établissement public de santé implanté sur six sites : L Hôpital Vincent de Paul, boulevard Yves du Manoir, dans le quartier nord-est de la ville (activité de Court Séjour et unité d hospitalisation de psychiatrie générale), L Hôpital Thermal qui abrite au centre ville l activité thermale, les activités de psychiatrie adulte et infanto-juvénile, et l Institut f de Formation en Soins Infirmiers, Le Centre de Gériatrie Moyen Séjour, Long Séjour et EHPAD situé au Sud Ouest de la ville, Le Centre d Action Médico-Social Précoce polyvalent implanté dans la Z.A.C. de l Adour, L EHPAD «les Albizzias»-située en centre-ville, La Maison d Accueil Spécialisé «l Arcolan», établissement pour autistes adultes situé à Magescq (40). Le Centre Hospitalier de Dax-Côte d Argent est le seul établissement public du territoire de santé intermédiaire, et à ce titre offre une gamme complète de prestations de soins pour la population du territoire, dans un contexte de faible densité de l offre de soins privée et de croissance démographique importante. Les spécialités couvertes sont réparties dans les groupes d activités soumises à autorisation, aux termes de l article R du Code de la Santé Publique, suivantes : Médecine : médecine interne, infectiologie, cardiologie, hépato-gastro-entérologie, endocrinologie-diabétologie, neurologie, pédiatrie, anesthésie réanimation Chirurgie : chirurgie orthopédique et traumatologie, chirurgie viscérale et digestive, chirurgie vasculaire, ophtalmologie Gynécologie-obstétrique, néonatalogie (dans le cadre du Syndicat Inter-Hospitalier des Landes) Psychiatrie Soins de suite et de réadaptation Soins de longue durée Médecine d urgence Réanimation Traitement du cancer : oncologie-radiothérapie ; chirurgie carcinologique digestive, mammaire, gynécologique. Il comprend par ailleurs, au titre des équipements matériels lourds mentionnés à l article R du Code de la Santé Publique : 2 Appareils accélérateurs de particules 2 Scanographes à utilisation médicale Appareil d angiographie numérisée Appareil d imagerie par résonance magnétique Outre ces équipements lourds autorisés, le plateau technique comprend 8 salles de bloc opératoire, 2 salles d explorations endoscopiques, un laboratoire de biologie polyvalente et d anatomo-pathologie.
7 Page 7 sur 23 Sa capacité est de 900 lits et places, répartis en 8 pôles d activités cliniques et médico-techniques : Pôle SMUR-Urgences-Réanimation Pôle Femme Mère-Enfant Pôle Médecines-Vasculaire Pôle Médecines-Cancérologie Pôle Bloc-Anesthésie-Chirurgie Pôle d Activités Gériatriques Pôle Psychiatrie Pôle Transversal Le bassin de recrutement des patients du Centre Hospitalier de Dax comprend environ habitants et s étend principalement sur la partie Ouest du Département. Elle est représentée cidessous : Les principales données d activité sont présentées dans la plaquette des chiffres clés 2009 présentée en annexe.
8 Page 8 sur 23 FICHE N 3 - LA NOTION DE C.H.T ET LA DÉMARCHE EN COURS 3.1 Qu est ce qu une communauté hospitalière de territoire? Le rapprochement des hôpitaux est un thème récurrent des réformes hospitalières successives. La démarche a été engagée avec la loi du 31 décembre 1970 qui a créé les syndicats interhospitaliers, dont l objectif était de mettre en commun des équipements et des services. La loi Hôpital Patients Santé Territoires 7 du 21 juillet 2009 crée les Communautés Hospitalières de Territoire 8. Ce nouvel outil de coopération vise à encourager le rapprochement des établissements publics de santé pour «développer des complémentarités autour d un projet pertinent en terme d activités médicales, de taille des établissements et de flux de population» 9. Un projet de C.H.T doit donc se développer autour : D une stratégie médicale partagée D une logique de spécialisation et de complémentarité La mise en œuvre des C.H.T poursuit un triple objectif : Améliorer l adéquation de l offre et de la demande de soins, sur un territoire donné, et adapter la taille des établissements dans une logique de performance, Assurer une offre graduée, en partant du constat que chaque établissement ne peut désormais assumer l intégralité des missions d un établissement de santé (permanence des soins, recherche, prise en charge de la personne âgée, chirurgie, réanimation, prise en charge de la précarité ) Offrir aux établissements de santé des solutions intégrées de gestion, pour développer des stratégies communes et mutualiser les moyens, afin de les optimiser. Concrètement, la création d une C.H.T se traduira par la signature d une convention entre les établissements membres. Cette convention comporte des thèmes obligatoires et en particulier : Un projet médical commun Des modalités de coopération en terme de gestion et de mise en commun des ressources 3.2 Pourquoi créer une C.H.T entre Dax et Mont-de- Marsan? Cette orientation apparaît comme l évolution naturelle et logique du processus de coopération existant entre les deux établissements sous la forme d un syndicat inter hospitalier, forme juridique désormais désuète. Ce rapprochement est une condition pour maintenir, voire développer des disciplines médicales, chirurgicales ou d investigation de haut niveau supposant à la fois des investissements lourds et un effectif médical adapté. La C.H.T pourra s étendre à d autres domaines tels que la logistique, la gestion ou encore le système d information. Les deux établissements se sont donc engagés à créer une communauté hospitalière de territoire sur le modèle de l intercommunalité à laquelle seront confiées progressivement les compétences et la gestion des activités à vocation départementale. 7 H.P.S.T 8 C.H.T 9 Rapport du sénateur Gérard LARCHER
9 Page 9 sur Quel est l état d avancement de la démarche? Un cabinet d étude a été sélectionné au mois d août dernier pour accompagner les deux établissements dans la définition d un projet médical commun et dans l identification des axes de coopération dans les domaines non médicaux (administration, logistique, système d information). Une restitution de l état des lieux réalisé par ce cabinet aura lieu le 24 novembre prochain, à l attention des communautés médicales et des représentants des personnels non médicaux des deux établissements. Parallèlement, les deux établissements poursuivent les actions déjà engagées à l échelle du département dans certaines disciplines : La psychiatrie, avec la création de la fédération interhospitalière de psychiatrie des Landes La neurologie, avec l organisation d une prise en charge coordonnée, entre les deux unités neurovasculaires du département, des patients victimes d un accident vasculaire cérébral 10, La cardiologie, avec la mise en place d une complémentarité départementale des plateaux techniques de chaque établissement : o La coronarographie et l angioplastie à Mont-de-Marsan o La rythmologie à Dax. Dans ces trois disciplines, les deux établissements ont établi des conventions destinées à formaliser les actions existantes. 10 A.V.C
10 Page 10 sur 23 FICHE N 4 - LA COOPÉRATION EN CARDIOLOGIE Problématique La prise en charge des affectations cardiaques (infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, troubles du rythme cardiaque ) constitue une priorité régionale de santé publique. Chaque service de cardiologie pris isolément ne peut à lui seul couvrir efficacement l ensemble de l activité diagnostique et thérapeutique de leur population respective. En cas de fonctionnement isolé voire concurrentiel de chaque établissement, le seuil d activité de chaque service resterait à la limite des seuils en deçà duquel leur maintien pourrait être remis en cause au vu de l évolution des normes en la matière, à la fois : o En raison des caractéristiques démographiques du département des Landes et de sa o faible densité en particulier, En raison de la proximité de plateaux techniques de cardiologie au sud de la région Aquitaine (Bayonne et Pau) Une logique de complémentarité doit donc s établir dans le fonctionnement des deux services de cardiologie. Le centre hospitalier de Mont-de-Marsan pratique la coronarographie diagnostique et est autorisé à mettre en place une activité d angioplastie pour l infarctus du myocarde au stade aigu, qui démarrera concrètement au mois de janvier Le service de cardiologie de Dax confie l ensemble de ses examens diagnostiques et thérapeutiques de coronarographie à des établissements de Bayonne. Un nombre important de patients est orienté par le SAMU des Landes vers des établissements bordelais pour pratiquer ces examens. Le centre hospitalier de Dax est spécialisé dans l activité de stimulation cardiaque et d exploration électrophysiologique. Un certain nombre de patients des Landes sont aujourd hui orientés vers d autres structures régionales. Intérêt pour les patients Les patients nécessitent tous, en plus d un interrogatoire et d un examen clinique, les mêmes examens paracliniques de base. Tous ces examens doivent impérativement pouvoir être réalisés partout. Dans certains cas, d autres examens plus spécialisés sont nécessaires. Ceux-ci devront être réalisés dans l avenir entre les deux établissements selon un partage accepté de part et d autre, en fonction des compétences médicales et des équipements existants, ou à venir. Cette organisation permettra aux patients d être pris en charge selon une logique de proximité et de ne plus avoir à se déplacer sur Pau, Bayonne ou Bordeaux, sauf si l acte à pratiquer ou l urgence le justifient. Caractéristiques Chacun des deux services de la fédération assurera : L hospitalisation des patients qui lui sont adressés Les explorations courantes La pose et le suivi des stimulateurs cardiaques simple et double chambre Chaque centre développera des compétences et des techniques particulières dans des domaines d activités déterminés et en particulier : Le service de cardiologie de Dax assurera les techniques spécialisées d électrophysiologie et de stimulations cardiaques. Le service de cardiologie de Mont-de-Marsan assurera les coronarographies et les angioplasties.
11 Page 11 sur 23 Un cadre juridique clair permettra de structurer solidement cette collaboration. Les équipes médicales des deux services de cardiologie ont décidé de rapprocher leurs activités au sein d une fédération médicale interhospitalière.
12 Page 12 sur 23 FICHE N 5 - LA COOPÉRATION EN NEUROLOGIE Dans le domaine de la neurologie, les Centres hospitaliers de Dax et de Mont de Marsan ont, dès le courant de l année 2009, travaillé de concert afin de proposer aux patients landais un dispositif coordonné de prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (A.V.C). L enjeu en terme de santé publique est d importance. L A.V.C figure parmi les 3 premières causes de mortalité en France, et constitue la 1 ère cause de handicap acquis. Il touche personnes par an en France, plus de 700 dans les Landes. Dans les situations d A.V.C, plusieurs facteurs contribuent à l amélioration des conditions de prise en charge : La rapidité en cas d alerte L existence d unités neurovasculaires (U.N.V) dédiées à la prise en charge des patients victimes d A.V.C Une rééducation personnalisée La prévention et l éducation du public L accord défini entre les 2 établissements hospitaliers publics des Landes porte sur chacun de ces leviers d amélioration : Chaque Centre Hospitalier a sollicité l accord des autorités sanitaires pour la création d une UNV sur chaque site. o Ces UNV, fonctionnelles 24h/24, sont chacune adossées à un plateau radiologique comprenant une IRM. Elles comportent des lits de soins intensifs permettant la surveillance des patients instables. Leur fonctionnement repose sur des équipes pluridisciplinaires spécifiquement formées, composées de neurologues, d infirmières et d aides soignantes, mais aussi de professionnels spécialisés tels que kinésithérapeutes, ergothérapeutes, orthophonistes, neuropsychologues. Dans l objectif de garantir la rapidité de la prise en charge, un dispositif coordonné associant les deux centres hospitaliers et le Centre 15 : o Permet d adresser les patients suspects d A.V.C vers l U.N.V la plus proche. Toutefois, en cas d indisponibilité de lits de soins intensifs neurovasculaires dans l établissement le plus proche, et lorsque son état le permet, un transfert du patient vers le site partenaire garantit les meilleures conditions d accueil et de prise en charge. o Permet d harmoniser les conditions de prise en charge en urgence par le recours à des protocoles conformes aux recommandations de bonne pratique o Permet enfin de mobiliser en quelques minutes un neurologue d astreinte pour chaque site hospitalier La rééducation, initiée au plus tôt au sein de chaque UNV, sera poursuivie dans des services spécialisés situés dans la zone la plus proche du lieu de résidence du patient. o Les CH Dax et de Mont de Marsan ont prévu d organiser le transfert des patients vers le site hospitalier répondant le mieux à ce critère de proximité. En ce qui concerne enfin la prévention et l éducation du public, les deux centres hospitaliers se sont engagés à organiser conjointement toutes les actions de sensibilisation, d information et de formation utiles à l optimisation de la prise en charge des accidents neurovasculaires.
13 Page 13 sur 23 FICHE N 6 - LA COOPÉRATION EN PSYCHIATRIE Problématique Le département des Landes est organisé en quatre secteurs de psychiatrie adultes et deux intersecteurs de pédopsychiatrie. Le Centre Hospitalier de Mont de Marsan dessert un bassin de population correspondant à 2/3 du département pour la psychiatrie générale (3 secteurs) et à 50 % pour la psychiatrie infanto juvénile (un secteur). L offre de soins assurée par le centre hospitalier de Dax correspond à un secteur de psychiatrie générale (pour 1/3 de la population du département) et un secteur de psychiatrie infanto juvénile (pour 50 % du département). Chacun des deux établissements a une histoire singulière en matière de psychiatrie, une culture différente et sa propre offre de soins sur ses secteurs. L offre de soins en psychiatrie pleinement intégrée au projet de chacun des établissements n était pas (ou peu) jusque là appréhendée au niveau départemental, et des difficultés étaient soulignées par les acteurs de soins tant pour l hospitalisation complète que pour les dispositifs en amont et en aval. Les deux établissements ont en conséquence travaillé pendant toute l année 2009 pour aboutir à un projet médical psychiatrique à l échelle du territoire de santé, s appuyant sur deux offres de soins complémentaires et développant des structures adaptées aux besoins (en nombre, en volume et en localisation). Intérêt pour les patients L intérêt pour les patients, c est une meilleure réponse aux besoins de soins de proximité. Les principaux objectifs du projet permettent de : Garantir aux Landais une égale accessibilité aux différentes structures de prise en charge en bénéficiant du même niveau et de la même qualité de soins en tous points du territoire, Mieux articuler les moyens hospitaliers et ambulatoires sur l ensemble du département, y compris l aval de l hospitalisation, Renforcer l efficience du dispositif d accueil et d urgence afin d assurer aux usagers un diagnostic précoce et une orientation adéquate (hospitalisation soins somatiques secteur social soins ambulatoires médecine de ville) Augmenter le nombre et la diversité de structures extrahospitalières (secteur de Dax, y compris Sud du département) Caractéristiques Le nombre de lits d hospitalisation (231 pour les deux établissements) reste inchangé. Tous les patients ayant besoin d une hospitalisation sont hospitalisés au Centre Hospitalier de Mont de Marsan. Les patients relevant du secteur de Dax, dès la fin de leur hospitalisation sont pris en charge grâce aux moyens du secteur dacquois : hospitalisation en séjour prolongé à Dax (unité de 15 lits) ou suivi en hôpital de jour ou en soins ambulatoires (consultations). Le Centre Hospitalier de Dax conforte considérablement son offre de soins par La création d un Centre d Accueil et de Consultation (CAC) situé au service des urgences, La création d appartements thérapeutiques, La création d un CATTP à Dax, La création d un CMP et d un hôpital de jour sur Saint Vincent de Tyrosse La reconnaissance du fonctionnement d un CATTP en pédopsychiatrie à Dax (Cf. annexe dispositif pour l offre de soins en psychiatrie dans le département des Landes)
14 Page 14 sur 23 ANNEXE 1 DONNÉES CHIFFRÉES 2009 DU CENTRE HOSPITALIER DE MONT-DE-MARSAN
15 Page 15 sur 23
16 Page 16 sur 23
17 Page 17 sur 23 ANNEXE 2 COMPOSITION DES PÔLES AU CENTRE HOSPITALIER DE MONT-DE-MARSAN
18 Page 18 sur 23 ANNEXE 3 DONNÉES CHIFFRÉES 2009 DU CENTRE HOSPITALIER DE DAX
19 Page 19 sur 23
20 Page 20 sur 23
21 Page 21 sur 23 ANNEXE 4 BASSIN DE RECRUTEMENT CUMULÉ DES DEUX ÉTABLISSEMENTS Le bassin de recrutement cumulé des deux établissements représente environ habitants, avec une zone de chevauchement de près de habitants.
22 Page 22 sur 23 ANNEXE 5 DISPOSITIF POUR L OFFRE DE SOINS EN PSYCHIATRIE DANS LE DÉPARTEMENT DES LANDES 1. Situation initiale pour l hospitalisation complète de psychiatrie 1.1 A Mont-de-Marsan 1.2 A Dax
23 Page 23 sur Situation finale pour l hospitalisation complète de psychiatrie
CRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailprojet d établissement
projet d établissement Juin 2010 2010-2014 Synthèse générale du projet d établissement C est dans le contexte nouveau créé, d une part, par la loi HPST qui doit permettre de mettre en place une offre de
Plus en détailAccès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent
Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 4. I Les méthodes et principes... 8
Sommaire INTRODUCTION... 4 I Les méthodes et principes... 8 II Le Centre Hospitalier dans son territoire de santé Constats Objectifs régionaux et perspectives... 11 II 1 Caractéristiques démographiques...
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailConférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur...
1 Sommaire 1 > Relever les défis de la santé du futur... 3 Assurer les missions de santé publique du territoire... 3 Une tradition séculaire en santé publique... 3 Une réponse à la hauteur des besoins
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailVOLUME 1 LES ORIENTATIONS DU PROJET MEDICAL
DEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE C.H.U. DE FORT DE FRANCE VOLUME 1 LES ORIENTATIONS DU PROJET MEDICAL 91, rue du Faubourg Saint Honoré 75 008 PARIS Tel. 01.55.19..82.73 E mail : econseilsante@free.fr C.H.U.
Plus en détailCentres de santé. lien. créent du. Les Etablissements MGEN. Quand les soins. Kinésithérapie. Services. Accessibles. Innovation.
Services Pas d avance de frais Qualité des soins Médecine spécialisée Accessibles Innovation Mutualiste Kinésithérapie Animateurs Médecine générale Centres de santé Les Etablissements MGEN Quand les soins
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailProgramme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers
Programme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers Fidèle à sa tradition humaniste de partage et d ouverture, la faculté de médecine Paris Diderot propose des programmes d accueil aux
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailProgramme régional de télémédecine
e-santé Programme régional de télémédecine 2012 > Consultation réglementaire www.sante.midi-pyrenees.fr PRT > Programme régional Télémédecine Contexte p. 4 Les actions du premier Programme régional de
Plus en détailPROJET MEDICAL 2012-2016
PROJET MEDICAL 2012-2016 SOMMAIRE INTRODUCTION :...4 I. Le contexte départemental...4 II. La zone d attractivité du CHAC...9 1. UNE STRATEGIE MEDICALE DYNAMIQUE, POUR CONSOLIDER ET DEVELOPPER NOS ACTIVITES...14
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailRAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)
RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE :
DÉPARTEMENT DE MÉDECINE INTERNE La Chaux-de-Fonds Rue de Chasseral 20 2300 La Chaux-de-Fonds tél. 032 967 27 28 / 032 967 27 32 fax 032 967 27 29 PD Dr D. Genné, méd.-chef de service Dr H. Zender, méd.-chef
Plus en détailParticipation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux
Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux HAS réunion des gestionnaires d Organismes agréés 25 novembre 2013 Participation à l Assurance
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailJURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé
La loi du 13 août 2004 relative à l Assurance Maladie a instauré la possibilité d une prise en charge partielle de l assurance de responsabilité civile professionnelle (RCP) par la CPAM, pour les médecins
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détail2èmes Journées Avenir
2èmes Journées Avenir Atelier Découverte D en Télé-rhumatologieT Lyon 25 septembre 2010 Pr Louis Lareng * Pr Arnaud Constantin * Dr Monique Savoldelli * * Travaux du GIP Réseau Télémédecine et es@nté Midi-Pyrénées
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailL'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle
L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle Dossier mis à jour le 9 juillet 2013 Les médecins spécialistes libéraux exerçant en établissement de santé peuvent, sous
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailLivret d accueil patient
Livret d accueil patient Sommaire Mot du directeur 03 Notre histoire 04 Nos missions 06 Nos valeurs 07 Le Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph 08 L équipe hospitalière Identification du personnel 10 Assistantes
Plus en détailCahier des Clauses Particulières Procédure adaptée établie en application de l article 28 et 30 du code des marchés Publics
Direction des Ressources Matérielles PRESTATION DE MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL MEDICAL INTERIMAIRE POUR LE GROUPEMENT DE COMMANDES DES ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANTE DE GUINGAMP, PAIMPOL ET LANNION-TRESTEL
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailUne nouvelle ère du soin. Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE
Une nouvelle ère du soin Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE ÉDITO Principal acteur dans l offre de soins de la région, le Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse est
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE
ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE L assurance santé internationale à la carte. Tous les risques de santé. Quelque soit votre pays d origine ou de résidence. Couverture de soins partout dans le
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailLivret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)
Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»
Plus en détailCentre Hospitalier. Livret d accueil. du patient. Pontoise. Un hôpital de référence proche de vous!
Centre Hospitalier Pontoise Livret d accueil du patient Un hôpital de référence proche de vous! SOMMAIRE. Edito. p. 3 Le Centre Hospitalier René-Dubos. p. 5 Votre admission. p. 15 Vos droits. p. 19 Vos
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailI.R.U.S.S.A. UNIVERSITÉ CHAMPAGNE-ARDENNE INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTÉ
I.R.U.S.S.A. UNIVERSITÉ CHAMPAGNE-ARDENNE INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTÉ I.F.C.S.- C.H.R.U. REIMS Mémoire de fin d études Linda LAMBERT Sous la direction de Monsieur MAUUARIN Jérémy Ingénieur
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailLe projet médical 2013-2017
t n e m e s s i l b 7 a 1 t é 0 2 d t 3 e 1 j 20 Pro i L 1 e r v cal i d é tm Proje sécurité alité e soins u q t Proje Projet d Le projet médical 2013-2017 L ambition collective du projet du centre hospitalier
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détaillv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16
P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailSONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE
SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailPACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX
PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX Une garantie de paiement (entente préalable) peut être requise pour certaines prestations comme indiqué par un «1» ou un «2» dans le tableau ci-dessous.
Plus en détail5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin. Une mutuelle dédiée aux médecins et à leur famille
Complémentaire santé NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Complémentaire santé + 5 raisons de choisir la
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailA111, A112, A113, A121, A124, A131, A132, A134, A141, A143, A221, A223, A232, A311, A312, A321, A323, A331, A419
BTS Services informatiques aux organisations Session 2013 E4 Conception et maintenance de solutions informatiques Coefficient 4 DESCRIPTION D UNE SITUATION PROFESSIONNELLE (fournie par l étudiant) Épreuve
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailRECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables
1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA
Plus en détailNUMÉRIQUEMENT VÔTRE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU MONDE MÉDICAL
NUMÉRIQUEMENT VÔTRE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU MONDE MÉDICAL DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2013 1 SOMMAIRE I. UNE TECHNOLOGIE À LA POINTE DE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU CORPS
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détailEditorial de Madame Martine AUBRY, Présidente du Conseil de Surveillance du CHRU de Lille
le projet d établissement 2012-2016 du chru de lille Editorial de Madame Martine AUBRY, Présidente du Conseil de Surveillance du CHRU de Lille Le Projet d Etablissement 2012-2016 engage la communauté des
Plus en détailLes services de soins et d accompagnement mutualistes de la Mutualité Française Doubs
Les services de soins et d accompagnement mutualistes de la Mutualité Française Doubs Equiper Appareiller Accompagner Soigner Prévenir Protéger La MUTUALITÉ FRANÇAISE en quelques mots Un acteur majeur
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailDe nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine
Dossier thématique P. Simon Président de l Association nationale de télémédecine (ANTEL), Paris. De nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine New organizations and healthcare management
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailRecommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques
RECOMMANDATIONS Recommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques Qu elles soient coro n a i res, hémodynamiques, rythmiques ou de toute a u t re
Plus en détailANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413
ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE page 1 Sécurité Sociale I - HONORAIRES MEDICAUX Consultations et visites de généralistes et spécialistes Actes de chirurgie en cabinet Actes techniques médicaux (endoscopie,
Plus en détailLes professions. de santé. à mayotte et à la réunion. au 1er janvier 2012. N 6 Juillet 2012
N 6 Juillet 2012 Les professions de santé à mayotte et à la réunion au 1er janvier 2012 Service Etudes et Statistiques Direction de la Stratégie et de la Performance Agence de Santé Océan Indien 1 Directeur
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailGarantie Harmonie Santé Partenaires. Régime général. www.harmonie-mutuelle.fr
Garantie Harmonie Santé Partenaires Régime général www.harmonie-mutuelle.fr Votre santé mérite toute notre attention Les avantages de Harmonie Santé Partenaires Le partenariat conclu entre notre mutuelle
Plus en détailLe Rôle de la Télémédicine en Allemagne Une Vue d Ensemble
Le Rôle de la Télémédicine en Allemagne Une Vue d Ensemble Novembre 2011 Prof. Dr. H. J. Brauns Président, Deutsche Gesellschaft für Telemedizin (Association Allemande de Télémédicine) Senior Partner,
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailCahier des charges des charges National pour l informatisation des services d urgences
Cahier des charges des charges National pour l informatisation des services d urgences Version 1.1 Diffusion Restreinte (document de travail) Pour validation Générale (validé) X Remerciements au Groupe
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailPublicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé
Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus
Plus en détailGARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE
Étudiants NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants 5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin Une
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détail