Utilisation du T-LiDAR pour analyser la structure de la couronne d arbres de grandes dimensions et application à la foresterie urbaine
|
|
- Suzanne Alain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Utilisation du T-LiDAR pour analyser la structure de la couronne d arbres de grandes dimensions et application à la foresterie urbaine Bastien Lecigne, Sylvain Delagrange, Olivier Taugourdeau, Charles Nock et Christian Messier
2 Mise en contexte 2 Tailles de dégagement des lignes électriques Normes de dégagement Zone effectivement dégagée 3 m Sous forme de cycles
3 Hypothèses 3 Taille Volume exploré Cycles de taille Morphologie de la couronne Croissance
4 Échantillonage 4 10 Érables argentés (sans feuilles) 5 arbres taillés 3 temps 5 arbres témoins taille Avant taille Après taille T-1 T-2 Première année Après un an de croissance T-3 Après un an de croissance
5 Acquisition des données T-LiDAR 5 Trois scans LiDAR par arbre rue ligne électrique LiDAR terrestre ILRIS 3D Résolution 5 mm à la distance moyenne trottoirs
6 Algorithme de reconstruction 6 Figure tirée de Verrous et Lazarus 2000 Pypetree Développé par Christian Jauvin Algorithme de colonisation du nuage de points Ne fonctionne pas sur des arbres de grandes dimensions
7 Les limites des données LiDAR 7 Zones d occlusion Bruit Occlusion + bruit > distance entre deux branches
8 Les défis à relever 8 Nécessité de développer une nouvelle méthode non sensible au bruit et à l occlusion et / ou capable de supporter un fort prétraitement du nuage de points brut
9 La solution : les Voxels 9 Nuage de points brut Nuage de voxels «Le plus petit volume discret qui peut être décrit dans un objet 3D» (Fernbandez-Sara et al., 2012)
10 Avantages des Voxels 10 Permet de réaliser un fort nettoyage sans perte de description du nuage de points Permet de réduire l influence de l occlusion occlusions occlusions compensées Permet de supprimer des points correspondant à du bruit Harmonisation de la densité de points Peuvent être analysés en tant qu objets
11 Inconvénients des Voxels 11 Pas de possibilité d extraire la topologie des axes Lien difficile avec la biomasse On parlera de volume d espace exploré
12 Le package VoxR 12 Voxelisation de nuages de points 3D Analyse de la dispersion des voxels dans l espace 3D ou 2D Comparaisons entre deux scènes LiDAR (croissance / pertes de branches) Reconnaissance d objets distincts
13 Prétraitement des scans LiDAR Alignement des scans dans un même référentiel 2. Normalisation de l orientation spatiale Origine à la base de la couronne Z au zenith Y parallèle au conducteur 3. Harmonisation de la densité de points et nettoyage : conservation d un point dans une sphère de 2cm suppression des points isolés (5cm)
14 Algorithme de voxelisation 14 Basé sur l'arrondissement des coordonnées Rapide Comptabilise de nombre de points par voxel Choix de la résolution 1 m 0.2 m 0.1 m
15 Outils d analyse de la dispersion des voxels dans l espace 2D 15 Projection du nuage de voxels dans un plan
16 Outils d analyse de la dispersion des voxels dans l espace 2D 16 Nombre de points Nombre de voxels Ratio npts / nvox
17 Outils d analyse de la dispersion des voxels dans l espace 2D : indice de saturation de l espace 17 Potentiel voxels
18 Outils d analyse de la dispersion des voxels dans l espace 2D : indice de saturation de l espace 18 Témoins Densité Saturation Faibles saturations* Fortes saturations* Taillés * Coefficients de kurtose et symétrie
19 Outils d analyse de la dispersion des voxels dans l espace 3D 19 Calculs de la distance des voxels : Par rapport à un axe Par rapport à un point 1 Échelle des distances (%) 0
20 Calculs de distance de chaque voxel par rapport au centre de la couronne 20 Z Centre : moyenne des coordonnées des voxels X Y
21 Calcul de distance de chaque voxel par rapport au centre de la couronne 21 * * * * * * * * * * * * Extériorisation du matériel vers la périphérie chez les arbres taillés en comparaison aux arbres témoins * Différence significative (ANOVA),seuil = 0.05 Barres d erreur : erreur standard
22 Outils d analyse de la dispersion des voxels dans l espace 3D 22 Calcul de l angle des voxels par rapport à un axe : Sans projection Avec projection 180 Échelle Échelle 0
23 Calculs de l angle de chaque voxel avec l axe des Y Y Projection dans le plan xy 270 X
24 Calcul de l angle de chaque voxels avec l axe des Y 24 Mise en évidence d une couronne bilatérale
25 Calcul de l angle de chaque voxel avec l axe des Y 25 * ** * ** * * * Développement préférentiel vers le sud pour les arbres témoins Développement contraint vers l Est et l Ouest pour les arbres taillés * Différence significative (ANOVA),seuil = 0.05 Barres d erreur : erreur standard
26 Comparaison entre deux scènes LiDAR : algorithme de «soustraction» 26 Permet d isoler les voxels uniques à une des deux scènes LiDAR : analyse des pertes de branches et de la croissance
27 Comparaison entre deux scènes LiDAR : algorithme de «soustraction» 27 L algorithme recherche les voxels isolés de tout autre voxel dans une distance de recherche définie par l utilisateur dist = 0 cm dist = 5 cm dist = 10 cm dist = 15 cm
28 Quantification des pertes de branches et impact sur le volume totale d espace exploré 28 Les pertes de branches induites par la taille correspondent en moyenne à 12,79 ± 9,55 % du volume total exploré par l arbre Impact sur le volume de l arbre = = * * Indicateur : volume / DHP Pas de différence significative avant taille entre arbres taillés et témoins Après taille la différence est significative Suggère la compensation des pertes au cours d un cycle de taille * Différence significative (ANOVA),seuil = 0.05 Barres d erreur : erreur standard
29 Quantification de la croissance et impact sur le volume total d espace exploré 29
30 Quantification de la croissance et impact sur le volume total d espace exploré 30 Croissance (%) Témoins Taillés + 5,54 ± 1, ,72 ± 2,89 = = Impact sur le volume de l arbre * = = Pas de différence significative après une année de croissance entre arbres taillés et témoins * Augmentation significative du volume des arbres taillés Suggère la compensation des pertes après une année de croissance * Différence significative (ANOVA),seuil = 0.05 Barres d erreur : erreur standard
31 Localisation des pertes et de la croissance 31 Couplage des algorithmes de soustraction et de calcul de la distance au centre de la couronne Les pertes de branches sont principalement localisées dans le centre de la couronne La recroissance est principalement localisée en périphérie de la couronne pour les arbres non taillés ET taillés
32 Algorithme de reconnaissance d objets spatialement distincts 32 Permet d attribuer un identifiant unique à des objets non connectés entre eux (qui présentent une discontinuité du nuage de voxels) Les couleurs sont redondantes
33 Conclusion sur VoxR 33 Bonne habilité à mesurer des modifications à grande échelle de la structure des arbres. Les algorithmes sont pour la plupart applicables à différents contextes Plantation de peupliers
34 Modèle conceptuel de la réponse à la taille au cours d un cycle 34 taille taille Volume exploré / DHP témoins taillés centre périphérie avant taille C-0 C-1 C-2 C-3 C-4
35 Conclusion : effet de la taille 35 Taille Perte de volume ponctuelle Cycles de taille Volume exploré Couronne bilatérale Extériorisation du matériel densification Croissance plus rapide Morphologie de la couronne Croissance latérale Croissance Compensation des pertes
36 Projet verglas 36 Objectif : comprendre les facteurs qui influencent la pénétration du verglas dans la couronne Hypothèse : plus il y a de matériel au dessus d une branche moins elle reçoit de verglas
37 Quantification du matériel présent à l'aplomb 37 a 4 a =
38 Nombre de voxels à l aplomb en fonction de la position sur la branche 38 a = 30 + =
39 Nombre de voxels à l aplomb en fonction de la position sur la branche 39 a = 30
40 Nombre de voxels à l aplomb en fonction de la position sur la branche : arbres virtuels 40
41 Merci à tous!
L utilisation du lidar terrestre en foresterie. Richard Fournier Département de géomatique appliquée
L utilisation du lidar terrestre en foresterie Richard Fournier Département de géomatique appliquée Problématique Inventaire traditionnel : photographie aérienne imagerie satellitaire relevés manuels sur
Plus en détailAccélérer l agilité de votre site de e-commerce. Cas client
Accélérer l agilité de votre site de e-commerce Cas client L agilité «outillée» devient nécessaire au delà d un certain facteur de complexité (clients x produits) Elevé Nombre de produits vendus Faible
Plus en détailL analyse d images regroupe plusieurs disciplines que l on classe en deux catégories :
La vision nous permet de percevoir et d interpreter le monde qui nous entoure. La vision artificielle a pour but de reproduire certaines fonctionnalités de la vision humaine au travers de l analyse d images.
Plus en détailReconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR
Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Mickaël Bergem 25 juin 2014 Maillages et applications 1 Table des matières Introduction 3 1 La modélisation numérique de milieux urbains
Plus en détailAiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie
Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie ABDELILAH EL KHADIRY ABDELHAKIM BOURENNANE MARIE BREIL DUPUY FRÉDÉRIC RICHARDEAU
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailInitiation à Internet Médiathèque de Bussy Saint-Georges. Le Cloud
Le Cloud : Le Cloud : SOMMAIRE : I PRÉSENTATION DU SERVICE... PAGES 3-7 1.1 - Onedrive : Pour quoi faire?.. Page 3 1.2 - Définition de Wikipedia... Page 4 1.3 - Caractéristiques... Page 5 1.4 - Espace
Plus en détailTangibleData. Manipulation tangible et multitouch de bases de données
TangibleData Manipulation tangible et multitouch de bases de données Tangible Data est un environnement de manipulation et d exploration tangible de base de données pour extraire efficacement des informations
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détail4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années
Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailChristophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com
Systèmes d Information à Référence Spatiale Utilisation d un Estimateur de Régression avec des Données Landsat pour l Estimation de l Etendu et des Changements du Couvert Forestier du Gabon de 1990 à 2010
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailConception des systèmes répartis
Conception des systèmes répartis Principes et concepts Gérard Padiou Département Informatique et Mathématiques appliquées ENSEEIHT Octobre 2012 Gérard Padiou Conception des systèmes répartis 1 / 37 plan
Plus en détailLa visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment?
La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? Francis Felix Labo LSIS / Arts & Métiers Paritech (ENSAM) 2 Cours des Arts et Métiers 13100 Aix-en-Provence Thierry Henocque AIP-Primeca Dauphiné
Plus en détailexcellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts
excellence environnementale Des pratiques pour l'excellence environnementale en région Poitou-Charentes fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts A partir de l
Plus en détailpour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire
GUIDE PRATIQUE pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire Edition du 18 juin 2015 But Le présent guide pratique est un simple instrument de
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPrésentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée
Présentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée Responsable du Master Informatique : Marc Zipstein Responsable de
Plus en détailTraitement bas-niveau
Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.
Plus en détailTHÉÂTRE DU BEAUVAISIS
THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS Un peu d histoire Enquête publique : le cadre Le dossier Déroulement de l enquête Avis et conclusions du CE Après remise du rapport Octobre 2014 : où en est-on?
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013
IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailSéminaire Bâtiment Durable :
1 Séminaire Bâtiment Durable : Reconversion durable d immeubles de bureaux Bruxelles Environnement Focus 2 : Aspects techniques et architecturaux Anders BÖHLKE Program Manager de l Executive Master Immobilier
Plus en détailAnalyse Sémantique de Nuages de Points 3D et d Images dans les Milieux Urbains
Analyse Sémantique de Nuages de Points 3D et d Images dans les Milieux Urbains Andrés Felipe SERNA MORALES Directrice de thèse: Beatriz MARCOTEGUI ITURMENDI serna@cmm.ensmp.fr MINES ParisTech, Mathématiques
Plus en détailESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIÈR E
Fruits - Vol. 26, n 6, 1971-44 3 ESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIÈR E par, J.P. GAILLARD * ESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIER E par J.P. GAILLARD (IFAC ) Fruits, juin 1971,
Plus en détailExtraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales
Extraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales Bernard DOUSSET IRIT/ SIG, Université Paul Sabatier, 118 route de Narbonne, 31062 Toulouse cedex 04 dousset@irit.fr 1 Introduction
Plus en détailExemple de protocole d'accord Secteur privé.
Exemple de protocole d'accord Secteur privé. Ce document devra être adapté en fonction de la configuration de votre expérimentation et des modalités validées par la direction. Vu la décision de (nom de
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailM06/5/COMSC/SP1/FRE/TZ0/XX INFORMATIQUE NIVEAU MOYEN ÉPREUVE 1. Mardi 2 mai 2006 (après-midi) 1 heure 30 minutes INSTRUCTIONS DESTINÉES AUX CANDIDATS
IB INFORMATIQUE NIVEAU MOYEN ÉPREUVE 1 DIPLOMA PROGRAMME PROGRAMME DU DIPLÔME DU BI PROGRAMA DEL DIPLOMA DEL BI M06/5/COMSC/SP1/FRE/TZ0/XX 22067017 Mardi 2 mai 2006 (après-midi) 1 heure 30 minutes INSTRUCTIONS
Plus en détailLes modules SI5 et PPE2
Les modules SI5 et PPE2 Description de la ressource Propriétés Intitulé long Formation concernée Matière Présentation Les modules SI5 et PPE2 BTS SIO SI5 PPE2 Description Ce document présente une approche
Plus en détailCOMPTE DE RESULTAT PAR DESTINATION ET INFORMATION SECTORIELLE. Presentation de Mr. Christian MULLIEZ
COMPTE DE RESULTAT PAR DESTINATION ET INFORMATION SECTORIELLE Presentation de Mr. Christian MULLIEZ Plan Rappel des impacts IFRS : - sur le chiffre d affaires... 4 - sur le résultat d exploitation. 5 -
Plus en détailDossier Solution - Virtualisation CA arcserve Unified Data Protection
Dossier Solution - Virtualisation CA arcserve Unified Data Protection La virtualisation des serveurs et des postes de travail est devenue omniprésente dans la plupart des organisations, et pas seulement
Plus en détailCALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING
CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de
Plus en détailProjet du 5 octobre 2006. du [date] 2006. (Adaptation des fonds propres de base) Sommaire
Circ.-CFB 06/_ Adaptation des fonds propres de base Page 1 Circulaire de la Commission fédérale des banques : Détermination du capital réglementaire en cas d utilisation d un standard comptable international
Plus en détailIntroduction au datamining
Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des
Plus en détailRéalité virtuelle au service de la maintenance
Réalité virtuelle au service de la maintenance Christian Boucheny EDF R&D SINETICS Séminaire Cartographie d intérieur et d extérieur ENSMP 04/09/2013 Sommaire 1. Application 1 : ADRM Aide à la Décision
Plus en détailLimitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing
Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire
Plus en détailMonitoring THPE. Soutien au projet. Présentation du projet
Monitoring THPE Le projet Monitoring THPE a donné lieu à l un des premiers systèmes innovants de suivi des performances énergétiques et de confort des bâtiments. Informations générales Localisation : Région
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailMesure agnostique de la qualité des images.
Mesure agnostique de la qualité des images. Application en biométrie Christophe Charrier Université de Caen Basse-Normandie GREYC, UMR CNRS 6072 Caen, France 8 avril, 2013 C. Charrier NR-IQA 1 / 34 Sommaire
Plus en détailLE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES Principe : A partir d'un cahier des charges, concevoir de manière visuelle les différents liens qui existent entre les différentes données. Les différentes étapes de réalisation.
Plus en détailCirculaire 2015/1 «Comptabilité banques»
Foire aux questions (FAQ) Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques» (Dernière modification : 22 juillet 2015) 1. Comment faut-il traiter les provisions, constituées initialement pour des limites de crédit
Plus en détailTEPZZ 5 5 _9A_T EP 2 535 219 A1 (19) (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
(19) TEPZZ 5 5 _9A_T (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 19.12.2012 Bulletin 2012/51 (21) Numéro de dépôt: 12171697.1 (51) Int Cl.: B60L 5/20 (2006.01) B60L 5/42
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG
AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG SECTION IV - ÉTUDE PRÉPARATOIRE PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS EP4-SD-LI-02a «AN
Plus en détailCHAPITRE 6. Les comptes courants
CHAPITRE 6 Les comptes courants Le compte courant est un compte ouvert dans une banque dont toues les sommes du débit et du crédit sont productives d intérêt Terminologie Compte courant débiteur on parle
Plus en détailOBJET : GERER LES CESSIONS ET LES OPPOSITIONS DANS BFC
DOMAINE DEPENSE PROCESSUS REGLEMENT OBJET : GERER LES CESSIONS ET LES OPPOSITIONS DANS BFC date N de version Auteur Stade Novembre 2006 0 C.BRETELLE Transmis le 12 janvier 2007 DEFINITIONS ET PRINCIPALES
Plus en détailSynthèse d'images I. Venceslas BIRI IGM Université de Marne La
Synthèse d'images I Venceslas BIRI IGM Université de Marne La La synthèse d'images II. Rendu & Affichage 1. Introduction Venceslas BIRI IGM Université de Marne La Introduction Objectif Réaliser une image
Plus en détailMesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles
Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise
Plus en détailN. Paparoditis, Laboratoire MATIS
N. Paparoditis, Laboratoire MATIS Contexte: Diffusion de données et services locaux STEREOPOLIS II Un véhicule de numérisation mobile terrestre Lasers Caméras Système de navigation/positionnement STEREOPOLIS
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailModeling reality with the latest in 3D technology: Virtualisation. Aperçu
Rencontres art, science, technique & architecture (RASTA_02) De l acquisition à la restitution de données numériques 3D 31 octobre 2002 C2RMF-DMF 6 rue des Pyramides75 041 Paris Modeling reality with the
Plus en détailCLEAR CHANNEL MONITOR. L efficacité de vos campagnes en Publicité Extérieure analysée sous toutes leurs composantes
CLEAR CHANNEL MONITOR ou L efficacité de vos campagnes en Publicité Extérieure analysée sous toutes leurs composantes Mieux comprendre le média, réussir vos campagnes! Fort de partenaires référents dans
Plus en détailStatistique sur l encours des crédits
Statistique sur l encours des crédits COMMENTAIRES I. CARACTÉRISTIQUES DE L ENQUÊTE OBJET DE L ENQUÊTE L enquête englobe tous les crédits et limites accordés au secteur non bancaire. Les opérations sur
Plus en détailExercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :
Eercice a Développer les epressions suivantes : A-(-) - + B-0(3 ²+3-0) -0 3²+-0 3+00 B -30²-30+00 C-3(-) -3 + 3-3²+6 D-(-) + ² Eerciceb Parmi les epressions suivantes, lesquelles sont sous forme réduite?
Plus en détail7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex.
7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex.com NOTICE DB-30 Ce manuel de montage contient les éléments
Plus en détailEntrepôt de données 1. Introduction
Entrepôt de données 1 (data warehouse) Introduction 1 Présentation Le concept d entrepôt de données a été formalisé pour la première fois en 1990 par Bill Inmon. Il s agissait de constituer une base de
Plus en détailLes clients puissance cube
LETTRE CONVERGENCE Les clients puissance cube L intelligence artificielle au service du marketing des services N 28 To get there. Together. A PROPOS DE BEARINGPOINT BearingPoint est un cabinet de conseil
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailDéveloppements algorithmiques au LIAMA et àamap en vue de l'analyse d'une scène forestière
Développements algorithmiques au LIAMA et àamap en vue de l'analyse d'une scène forestière Principaux contributeurs: Zhang Xiaopeng (CASIA-NLPR-LIAMA Coordinateur Groupe Image) Li HongJun (CASIA-NLPR-LIAMA
Plus en détailValeurs de référence de l indice linéaire de pertes des réseaux d alimentation en eau potable
Valeurs de référence de l indice linéaire de pertes des réseaux d alimentation en eau potable Application dans le contexte du SAGE Nappes Profondes de Gironde Septembre 2009 Eddy Renaud Groupement de Bordeaux
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailde formation des prix
Le mécanisme m de formation des prix 1 URBANiS 24 janvier 2011 DEUX MARCHES FONCIERS URBAINS Zone AU «stricte» le droit des sols n est pas défini, il est négocié Zone AU indicée et zone U le droit des
Plus en détailRapport standard analyse des risques/stratégie d audit. Sommaire
Projet de mise en consultation du 9 septembre 2003 Circ.-CFB 0 / Annexe 1: Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit Les sociétés d audit
Plus en détaildonnées en connaissance et en actions?
1 Partie 2 : Présentation de la plateforme SPSS Modeler : Comment transformer vos données en connaissance et en actions? SPSS Modeler : l atelier de data mining Large gamme de techniques d analyse (algorithmes)
Plus en détailLes atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification
Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene
Plus en détailun module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr Présentation
un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr 12 mars 2009 Anne Ruas Annabelle Mas Julien Perret Présentation Plateforme open source d analyse et de simulation des évolutions
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailStratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d
Plus en détailLa sécurité des données hébergées dans le Cloud
Conférence IDC Cloud Computing 2012 La sécurité des données hébergées dans le Cloud 25/01/2012 Patrick CHAMBET Responsable du Centre de Sécurité C2S, Groupe Bouygues Planning Quelques rappels Vue simplifiée
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailPRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES
PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES étudiées par Interfimo Edition de janvier 2015 disponible sur www.interfimo.fr Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle,
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailLa nouvelle planification de l échantillonnage
La nouvelle planification de l échantillonnage Pierre-Arnaud Pendoli Division Sondages Plan de la présentation Rappel sur le Recensement de la population (RP) en continu Description de la base de sondage
Plus en détailLes données d un jeu sous Shadow Manager
Les données d un jeu sous Shadow Manager Sous Shadow Manager, les données d un jeu quelconque sont enregistrées dans un fichier de Jeu (à extension.sm5) qui contient : 1. Les Paramètres du scénario, qui
Plus en détailDRAVEIL élabore son PLU
DRAVEIL élabore son PLU Réunion publique de quartier DANTON -LA VILLA DOMAINE DE VILLIERS Plan Local d Urbanisme VILLE DE DRAVEIL 10 JUIN 2010 La ville dans son contexte Situation géographique 19kmausuddeParis
Plus en détailÉtude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France
Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Le 13 octobre 2014 Autorité des marchés financiers 17, place de la Bourse 75082 Paris cedex 02 Tél. : 01 53
Plus en détailMANUEL D INSTALLATION POUR EU-RAMPS
Avertissement : Dans ce manuel d installation, le mot rampe est utilisé pour les modules inclinés et le mot plateforme pour les modules horizontaux. Généralités Commencer l installation par le point culminant
Plus en détailL individualisation des frais de chauffage
L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailOptimisation des performances d échangeurs de chaleur.
Journée d étude SFT 16/03/2011 Echangeurs thermiques et multi-fonctionnels : enjeux, applications et axes de recherche Optimisation des performances d échangeurs de chaleur. École des Mines de DOUAI 941
Plus en détailNIKON METROLOGY I VISION BEYOND PRECISION. Focus 10 : logiciel de nuage de points Inspection par MMT et par scanning laser portable
NIKON METROLOGY I VISION BEYOND PRECISION Focus 10 : logiciel de nuage de points Inspection par MMT et par scanning laser portable Focus fluidifie le processus d inspection numérique Le logiciel Focus
Plus en détailCouplage d une base de données documentaire à une visualisation interactive 3D sur l Internet
Couplage d une base de données documentaire à une visualisation interactive 3D sur l Internet Romain Raffin, Jean-luc REY Aix-Marseille Université Plate-forme technologique PRISM Iut d Aix-Marseille romain.raffin[at]univ-amu.fr
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailSauvegarde collaborative entre pairs Ludovic Courtès LAAS-CNRS
Sauvegarde collaborative entre pairs 1 Sauvegarde collaborative entre pairs Ludovic Courtès LAAS-CNRS Sauvegarde collaborative entre pairs 2 Introduction Pourquoi pair à pair? Utilisation de ressources
Plus en détailGoodyear Les pneumatiques longue distance qui font économiser du carburant
Goodyear Les pneumatiques longue distance qui font économiser du carburant Marathon LHS II + Marathon LHD II + Marathon LHT II Goodyear Marathon LHS II + Directeur Le Marathon LHS II + possède un mélange
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailLe projet DRIAS : premières études et documents
Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services
Plus en détailpour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -
Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz
Plus en détailCompte-rendu Réunion générale. Grenoble, le 29 juin 2011 URBASIS
URBASIS Sismologie urbaine : évaluation de la vulnérabilité et des dommages sismiques par méthodes innovantes ANR09RISK009 URBASIS Compterendu Réunion générale Grenoble, le 29 juin 2011 Participants: J.
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailEléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.
Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure
Plus en détail