LA VIRTUALISATION POUR LES PME: PASSEZ À LA VITESSE SUPÉRIEURE

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1 Stratecast FROST & SULLIVAN 50 ans de croissance, d'innovation et de leadership LA VIRTUALISATION POUR LES PME: PASSEZ À LA VITESSE SUPÉRIEURE Une note d'information sponsorisée par IBM FÉVRIER

2 Stratecast Frost & Sullivan LA VIRTUALISATION POUR LES PME : PASSEZ A LA VITESSE SUPERIEURE INTRODUCTION Cela signifie-t-il que les avantages de la virtualisation sont sur le point d'amorcer un crescendo et que les responsables informatiques vont se précipiter sur la prochaine vague d'efficacité et de flexibilité? Loin s'en faut. La virtualisation, qui consiste à extraire la dimension logique de la dimension physique, est un outil exceptionnel dans la quête de l'informatique pour accroître la rentabilité et la flexibilité à partir des serveurs physiques et des infrastructures de centres informatiques existants. Avant l'arrivée de la virtualisation, une relation statique reliait une instance unique du système d'exploitation et ses applications à un serveur dédié. Lorsque le système d'exploitation et la charge applicative (c'est-à-dire la demande en ressources serveur) était constante, le taux d'utilisation du serveur pouvait être optimisé, de sorte à minimiser les ressources matérielles dormantes ou inutilisées. Par ailleurs, la consommation d'énergie et le refroidissement du serveur étaient efficaces, du fait que l'alimentation d'un serveur actif entraîne peu de gaspillage. Toutefois, le taux d'utilisation par les applicatifs est rarement constant. La plupart des entreprises sont confrontées à une fluctuation des besoins au cours de la journée ou de la semaine et selon la période de l'année, bien souvent de manière inattendue. Par conséquent, sans virtualisation, le taux d'utilisation moyen des serveurs reste faible. Quant aux serveurs opérationnels, mais inactifs, ils sont synonymes de gaspillage d'énergie et de refroidissement. La virtualisation de serveurs renverse cette réaction en chaîne. Grâce à la virtualisation, un hyperviseur peut créer dynamiquement plusieurs instances logicielles isolées ( machines virtuelles ou MV ) sur un même serveur. Cette abstraction permet à plusieurs charges de travail de partager simultanément les ressources du serveur. L'imbrication des fluctuations de plusieurs charges de travail améliore les taux d'utilisation de manière considérable et permanente. Par ailleurs, il est possible d'inverser temporairement la prolifération de serveurs. Compte tenu des avantages inhérents que présente la virtualisation de serveurs, il n'est pas surprenant que cette technologie suscite un vif engouement. Selon un échantillon de décideurs informatiques de moyennes et grandes entreprises interrogés aux Etats-Unis en 2011, l'utilisation de la virtualisation atteint plus de 70 %. 1 Par ailleurs, le pourcentage de serveurs virtualisés est déjà élevé et ne cesse d'augmenter. 34 % des personnes interrogées ont déclaré qu'au moins 50 % de leurs serveurs étaient virtualisés, et 62 % prévoyaient la virtualisation d'au moins la moitié de leurs serveurs d'ici cinq ans. Il est important d'observer que ces tendances ne sont pas spécifiques aux Etats-Unis. Selon une étude mondiale commissionnée par IBM et menée auprès de PME, 67 % des entreprises interrogées ont déclaré avoir déjà amorcé un projet de virtualisation ou planifient la mise en œuvre d'un projet de virtualisation en Cela signifie-t-il que les avantages de la virtualisation sont sur le point d'amorcer un crescendo et que les responsables informatiques vont se précipiter sur la prochaine vague, source d'efficacité et de flexibilité? Loin s'en faut. La virtualisation offre des avantages à d'autres niveaux, en particulier auprès du nombre croissant de PME dont les priorités stratégiques évoluent face au client, aux objectifs, à l'innovation et à la croissance du chiffre d'affaires. 3 1 Etude Frost & Sullivan menée au second trimestre Etude menée par KS&R, Inc. auprès de décideurs informatiques et commerciaux de moyennes entreprises fin Les résultats de l'étude sont résumés dans le document Inside the Midmarket: A 2011 Perspective disponible à l'adresse ibm.com/ businesscenter/cpe/download0/212133/inside_the_midmarket Global_Report.pdf. 3 Selon l'étude de KS&R, chacune de ces priorités stratégiques s'est intensifiée entre 2009 et Février Stratecast. Tous droits réservés.

3 Virtualisation pour les PME Le défi consiste à acquérir une connaissance de ce plus vaste ensemble d'outils de virtualisation et à savoir comment votre PME peut en tirer profit. POURQUOI ADOPTER LA VIRTUALISATION DE SERVEURS? Un projet informatique, quel qu'il soit, n'est envisagé que lorsqu'il y a un besoin et des moyens pour répondre à ce besoin. C'est le cas des enjeux qui attendent l'informatique face à l'évolution des centres informatiques. Les moyennes entreprises sont les premières concernées : nombre d'entre elles ne possèdent pas de centre informatique sophistiqué ni de techniciens spécialisés dont l'unique responsabilité consiste à veiller sur ce centre informatique. A la place, elles disposent souvent d'une salle standard mise en service pour héberger leur infrastructure de serveurs et de stockage. Par ailleurs, elles n'ont pas les moyens de s'agrandir et sont contraintes de travailler dans leur espace restreint. De plus, l'effectif réduit qui supervise cette salle est également chargé de l'ensemble des tâches informatiques de l'entreprise, par exemple de la gestion des postes de travail, de la surveillance et de la gestion des applications métier stratégiques et de l'orientation des développements technologiques informatiques pour faire avancer les plans stratégiques de l'entreprise. Il s'agit d'un rôle immense et complexe, comme le confirme une étude de Frost & Sullivan qui met en lumière les nombreux défis récurrents à relever en matière de centres informatiques. A moins que les PME ne concentrent leurs efforts pour trouver des façons d'améliorer leur efficacité, et donc leur rentabilité, l'étau de la concurrence se resserrera immanquablement. Accroître la capacité : les besoins informatiques et de stockage n'évoluent que dans un sens. Ils augmentent. Tenter d'accroître la capacité est une tâche particulièrement audacieuse lorsque l'espace au sol du centre informatique est limité et surtout, lorsque la capacité d'alimentation est restreinte. Améliorer l'efficacité en augmentant la rapidité, la flexibilité et la fiabilité : les moyennes entreprises sont prises dans un étau de concurrence. D'un côté, les plus petites entreprises sont à leurs trousses et de l'autre, les grandes entreprises redirigent leurs ressources pour protéger leur territoire. A moins que les PME ne concentrent leurs efforts pour trouver des façons d'améliorer leur efficacité, et donc leur rentabilité, l'étau de la concurrence se resserrera immanquablement. Améliorer la rentabilité des ressources technologiques et humaines : les douloureux ajustements qui ont du être réalisés lors du récent ralentissement économique ne vont pas s'inverser de sitôt. Même si le contexte économique général évolue favorablement, les entreprises chercheront dans un premier temps à rétablir la rentabilité avant de créer des postes ou d'accroître les budgets. Par conséquent, les organisations informatiques des PME, qui, pour la plupart, doivent supporter les mêmes services internes qu'une grande entreprise, devront faire plus avec des ressources qui n'auront pas évolué. Par ailleurs, toute augmentation des dépenses ne pourra s'effectuer qu'à la condition d'une perspective de bénéfice financier à court terme Stratecast. Tous droits réservés. Février

4 Stratecast Frost & Sullivan Défis des centres informatiques Croissance des besoins en stockage de données Rester en phase avec les nouvelles technologies Vieillissement et inefficacité des serveurs et équipements 40% 45% 43% Lenteur/performances peu satisfaisantes des applications 35% Réduction au minimum des arrêts machine/accroissement de la disponibilité des applications Réduction du budget d'investissement 29% 28% Mettre à disposition d'applications aux d'utilisateurs distants 20% Aussi avantageuse soit-elle, la virtualisation est comme la plupart des solutions informatiques : c'est une technologie qui ne peut atteindre son plein potentiel que si elle est gérée efficacement, intégrée avec des technologies complémentaires et étendue intelligemment à d'autres domaines de besoins métier. N=301 Bien qu'elle représente un défi de taille, la virtualisation de serveurs est une technologie unique, en cela qu'elle est capable de répondre simultanément à de nombreuses problématiques. En extrayant les charges de travail logiques (c'est-à-dire le système d'exploitation et les applications) des serveurs physiques, et en créant et supprimant des charges de travail selon les variations des besoins, la virtualisation de serveurs offre de nombreux avantages aux services informatiques : Accroissement du taux d'utilisation des serveurs (davantage de charges de travail par serveur) Accélération de la réponse aux besoins informatiques par rapport au cycle de provisionnement plus lent des serveurs physiques dédiés Extension des ressources existantes du centre informatique sans accroître ni l'espace au sol, ni la consommation d'énergie DAVANTAGE D'OPPORTUNITES A VENIR 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% 40% 45% 50% % des entreprises interrogées Source : Frost & Sullivan Aussi avantageuse soit-elle, la virtualisation ressemble à la plupart des solutions informatiques : c'est une technologie qui ne peut atteindre son plein potentiel (efficacité, flexibilité pour répondre aux besoins en évolution de l'entreprise et contribution à l'innovation) que si elle est gérée efficacement, intégrée avec des technologies complémentaires et étendue intelligemment à d'autres domaines de besoins métier. Voici des moyens concrets de libérer le plein potentiel d'avantages qu'offre la virtualisation. Dimensionnement de la gestion pour répondre à l'avalanche de nouveaux applicatifs : tout comme l'elargissement des voies de circulation dans les villes à forte densité de trafic, où les nouvelles files sont rapidement encombrées par de nouveaux véhicules, le surplus de capacité obtenu grâce à la virtualisation est rapidement absorbé. Par conséquent, l'informatique a substitué une problématique (la gestion 4 Février Stratecast. Tous droits réservés.

5 Virtualisation pour les PME d'un nombre croissant de serveurs physiques) à une autre : gérer un déluge de charges de travail virtuelles. A moins que des mesures prescriptives ne soient prises pour gérer l'environnement virtuel, cette problématique de gestion peut rapidement dégénérer en véritable cauchemar. Concrètement, les charges de travail virtuelles nécessitent une efficacité de gestion encore plus rapide, plus précise et à plus grande échelle qu'avec des serveurs physiques. Cela implique les capacités suivantes : Visibilité en temps réel sur les performances de chaque charge de travail et capacité d'alerte avant que les problèmes n'aient le moindre impact sur le service Réaffectation des charges de travail et rapidité de provisionnement pour contourner les problèmes de performances, garantir la haute disponibilité et accroître le taux d'utilisation à l'échelle du système Planification de la capacité en fonction des tendances d'utilisation réelle Suppression des marges de dépenses et affectation des dépenses confirmées aux utilisateurs des charges de travail. La virtualisation accroît certes la rentabilité grâce à la mise en commun des ressources physiques. Mais ce faisant, elle obscurcit le lien entre l'utilisateur et le coût des ressources. Or, l'efficacité des décisions métier exige la répartition précise des coûts parmi les organisations d'utilisateurs, ce qui nécessite impérativement la mise en œuvre des activités continues suivantes : Rassemblement et compilation des données de consommation de ressources au niveau des charges de travail et facturation aux utilisateurs Evaluation du stock et des droits de licence logiciels afin d'identifier les excédents de souscriptions et les utilisations non prises en compte Automatisation des processus de routine et identification des opportunités de normalisation des images de machines virtuelles au sein de et parmi les utilisateurs des services Ajustement des processus de gestion du stockage et des données : comme elle contribue à un déferlement de charges de travail virtuelles à la demande, la virtualisation entraîne l'accroissement exponentiel du volume de données. Par ailleurs, les règles et processus de gestion des données et du stockage conçus pour les environnements physiques doivent être réajustés à l'environnement virtuel. Cet ajustement soulève de nombreuses questions : Comme elle contribue à un déferlement de charges de travail virtuelles à la demande, la virtualisation entraîne l'accroissement exponentiel du volume de données. Les données sont-elles protégées de manière adaptée lors de leur utilisation, de leur transit parmi les charges de travail virtuelles, lorsqu'elles sont stockées et lorsqu'elles sont inactives? Les règles d'accès et d'identité existantes restent-elles appliquées et quelles modifications doivent être apportées à ces règles? Les audits sur les réglementations de confidentialité des données seront-ils supportés? Les procédures de sauvegarde, récupération, rétention et destruction de données sont-elles suivies et comment doivent-elles être mises à jour au vu de la croissance du volume de données? 2012 Stratecast. Tous droits réservés. Février

6 Stratecast Frost & Sullivan La conception et l'application d'un plan de mise à niveau dédié notamment aux serveurs créés explicitement et exclusivement pour supporter la virtualisation permet non seulement d'étendre l'espace du centre informatique, mais offre également des avantages supplémentaires en termes d'efficacité énergétique. Etant donné que les charges de travail virtuelles s'accroissent en nombre et en création de données, il va de soi que l'approche informatique du stockage doit adopter une démarche d'évolutivité instantanée et de haute densité propres à la virtualisation de serveurs. Le stockage risquerait sinon de former un goulot d'étranglement coûteux. Migration de serveurs de pré-virtualisation vers des serveurs optimisés pour la virtualisation : comme nous l'avons vu, la densité des charges de travail virtuelles accroît la rentabilité au niveau des serveurs physiques existants et permet de supporter davantage d'opérations métier dans l'espace du centre informatique. Toutefois, au fil du temps, un nouveau seuil de capacité va être expérimenté. A l'instar des ordinateurs de bureau et de l'électronique grand public qui évoluent en permanence pour mieux supporter des applications de plus en plus sophistiquées, les serveurs sont optimisés pour la virtualisation. La conception et l'application d'un plan de modernisation vers des serveurs créés explicitement et exclusivement pour supporter la virtualisation permet non seulement de gagner de l'espace dans la salle machine, mais offre également des avantages supplémentaires en termes d'efficacité énergétique (consommation réduite par charge de travail et moins d'émissions de chaleur). Au-delà de la virtualisation de serveurs : le concept même de virtualisation (extraire la dimension logique de la dimension physique) ne se limite pas à la virtualisation de serveurs. La virtualisation peut s'appliquer à d'autres domaines informatiques, chacun apportant son lot d'avantages. Virtualisation du stockage : étant donné que les charges de travail virtuelles s'accroissent en nombre et en création de données, il va de soi que l'approche informatique du stockage doit adopter les attributs à la demande, d'évolutivité instantanée et de haute densité propres à la virtualisation de serveurs. Le stockage risquerait sinon de former un goulot d'étranglement coûteux. Comme la virtualisation de serveurs, la virtualisation du stockage, lorsqu'elle est conçue et gérée efficacement, peut apporter des avantages métier dans de nombreux domaines, dont : centralisation des objets, synchronisation et contrôle des versions de fichiers, collaboration électronique, automatisation du provisionnement du stockage et du placement des données, alignement des coûts de stockage sur les priorités de performances et support de l'analyse stratégique. Selon l'étude menée par KS&R, l'analyse stratégique fait partie des mises en œuvre de projets informatiques prioritaires des moyennes entreprises. 70 % des entreprises interrogées ont mis en route ou prévoient de mettre en route un projet stratégique d'analyse des données. La gestion de l'information et de la relation client (projets basés sur de vastes ensembles de données et des capacités informatiques hautement évolutives) figurent également en tête des priorités en matière de projets. Virtualisation des postes de travail : la virtualisation des postes de travail constitue une voie complémentaire de la marche vers la virtualisation. La virtualisation des postes de travail consiste à créer, gérer et exécuter plusieurs postes de travail d'utilisateurs finaux sur un serveur, au lieu de les faire fonctionner individuellement sur l'appareil de chaque utilisateur. Concrètement, le poste de travail «vit» sur le serveur, et l'appareil de l'utilisateur final (ordinateur portable, ordinateur de bureau, équipement informatique léger ou tablette) joue le rôle d'interface et de mécanisme d'affichage. La virtualisation des postes de travail présente plusieurs avantages à la fois pour les services informatiques et pour les utilisateurs finaux. Les postes de travail virtualisés sur serveur offrent aux services informatiques le contrôle uniforme dont ils ont besoin pour ne plus dépenser en appels aux services de support pour l'entretien et la réparation des ordinateurs personnels classiques. Avec la virtualisation des postes de travail, l'appareil de l'utilisateur final n'a pas les mêmes exigences de traitement qu'un ordinateur classique. 6 Février Stratecast. Tous droits réservés.

7 Virtualisation pour les PME Les services informatiques peuvent donc commencer à remplacer les ordinateurs de bureau et portables de l'entreprise par des équipements informatiques légers moins coûteux, qui nécessitent moins de maintenance et qui consomment moins d'électricité. Quant aux utilisateurs finaux, ils conservent le même environnement de poste de travail, tout en ayant la possibilité d'accéder à leur poste de travail personnalisé à partir de plusieurs appareils. Lorsqu'un utilisateur final passe d'un appareil à l'autre, il bénéficie d'un flux de travail transparent, la dernière session du poste de travail (qui comprend ses fichiers personnels) étant stockée sur le serveur. Avec les avancées dont la virtualisation de serveurs a bénéficié ces trois dernières années, chaque entreprise devrait évaluer la virtualisation de serveurs pour l'informatique et la gestion des postes de travail. Virtualisation des réseaux : avec la virtualisation, l'adaptabilité des réseaux de communication est plus essentielle que jamais. Tandis que la virtualisation se généralise, les flux de communication se rapprochent conceptuellement du Web. L'emplacement physique des charges de travail est sélectionné en temps réel, peut être transféré d'un serveur physique à l'autre au sein d'une même session et peut être disséminé parmi plusieurs périphériques informatiques et de stockage, au service de l'efficacité des ressources et des performances. Qu'elle ait lieu dans une salle de serveurs ou dans un centre informatique ultra-perfectionné, la communication serveur-serveur et serveur-stockage s'accroît avec la virtualisation. La virtualisation des postes de travail sur serveur amplifie le trafic des réseaux locaux et étendus, du fait que l'utilisateur final accède à son poste de travail par l'intermédiaire d'un réseau. Les performances des charges de travail (réactivité, résilience, etc.) sont essentielles pour assurer le contrôle et la gestion dans ce réseau dynamique de flux de communication. D'autres attributs peuvent par ailleurs être gérés. La rentabilité dans le cadre de l'utilisation de réseaux est également réalisable si les réseaux sont conçus selon les mêmes príncipes d'adaptabilité que les autres formes de virtualisation. Tandis que la virtualisation s'enracine, les flux de communication ressemble de plus en plus aux flux de type Web. L'emplacement physique des charges de travail est sélectionné en temps réel, peut être transféré d'un serveur physique à l'autre au sein d'une même session et peut être disséminé parmi plusieurs périphériques informatiques et de stockage. FAIRE AVANCER LA VIRTUALISATION Le succès repose sur la connaissance. Toutefois, détenir un atout du succès dans une discipline informatique en rapide évolution est mission impossible pour la plupart des PME. C'est particulièrement le cas lorsqu'il faut faire plus avec moins et lorsque la virtualisation de serveurs de base n'exploite que quelques-uns des avantages potentiels de la virtualisation, comme nous l'avons souligné précédemment. L'approche privilégiée consiste à travailler en partenariat avec un fournisseur compétent. C'est ce que confirment différentes études. L'étude menée par KS&R auprès de moyennes entreprises du monde entier révèle que 70 % des entreprises interrogées recherchent une relation consultative plutôt que purement transactionnelle avec leur principal fournisseur informatique. Cette position est également justifiée par les obstacles à l'exécution, c'est-à-dire la difficulté d'acquérir et de mettre en œuvre des solutions, l'incapacité à implémenter la technologie avec les ressources et l'infrastructure existantes et le manque de compétences et de ressources. Plus important encore, 88 % des moyennes entreprises interrogées aux Etats-Unis en 2011 par Frost & Sullivan rechercheront une assistance externe pour développer et mettre en œuvre une stratégie cloud, qui comprend la virtualisation au niveau des centres informatiques privés. Un partenariat n'est donc pas seulement avantageux, il est capital. C'est pourquoi il est impératif de choisir le bon partenaire. Face à un choix de partenaires très vaste, nous recommandons de réduire la palette de candidats aux fournisseurs qui : Parmi les moyennes entreprises interrogées dans le monde entier, 70 % ont indiqué rechercher une relation consultative plutôt que purement transactionnelle avec leur principal fournisseur informatique Stratecast. Tous droits réservés. Février

8 Stratecast Frost & Sullivan Peu importe à quel point les entreprises entrent dans ce parcours de quatre étapes (consolider les ressources, gérer les charges de travail, automatiser le processus et optimiser la diffusion). IBM est prêt à aider les PME. Conçoivent la virtualisation en tant que processus d'évolution visant à contribuir aux résultats de l'entreprise Comprennent que ce processus ne débute pas au même point et varie en termes de calendrier et de jalons selon l'entreprise Supportent un environnement hétérogène constitué d'une infrastructure physique et virtuelle, d'installations de cloud privé et public et de composants informatiques, réseau et de stockage basés sur des normes et neutres vis-à-vis de tout fournisseur spécifique Placent la gestion, le moteur de l'efficacité et des opérations courantes au centre de chaque projet de virtualisation Ont élaboré et améliorent en permanence une suite étoffée et intégrée de produits matériels et logiciels conçus pour optimiser les avantages de la virtualisation Proposent des options de financement d'évolutivité à investissement progressif pour aider les entreprises à franchir les barrières budgétaires et à aligner les coûts sur les avantages attendus Possèdent de l'expérience et sont connus pour appliquer cette expérience à chacun de leurs projets IBM, UN VERITABLE PARTENAIRE VERS LA VIRTUALISATION IBM est l'exemple parfait d'adhérence aux étapes nécessaires sur la route de la virtualisation. Peu importe à quel point les entreprises entrent dans ce parcours en quatre étapes (consolider les ressources, gérer les charges de travail, automatiser le processus et optimiser la diffusion). IBM est prêt à agir. Par ailleurs, la communauté des revendeurs IBM et des SSIIs favorise d'étroites relations stratégiques avec les entreprises, quels que soient leur envergure et leur secteur d'activité. Consolider les ressources : la consolidation de la puissance informatique sur un nombre réduit de serveurs, point de départ naturel de la plupart des entreprises, supporte l'objectif métier qui vise à réduire les coûts en termes de dépenses d'investissement et de coûts d'exploitation permanents. Les économies sur les coûts sont directes : moins de matériel à acheter, à configurer et à gérer, et pas d'extension du centre informatique. IBM peut aider les entreprises qui commencent ou qui migrent vers la virtualisation de serveurs à atteindre un meilleur taux d'utilisation et une meilleure rentabilité grâce à la migration vers des systèmes IBM conçus pour la virtualisation. Bien adaptés aux PME, les serveurs IBM Power Systems équipés de la technologie IBM PowerVM et les serveurs IBM Enterprise X-Architecture dotés de processeurs x86, séparément ou ensemble, concrétisent parfaitement cet objectif. En coulisse, IBM Global Technology Services a développé des outils d'analyse qui modélisent les charges de travail et les résultats afin de déterminer l'approche optimale pour virtualiser les infrastructures. Grâce à ces outils et méthodologies, IBM a permis à ses clients d'atteindre des taux de virtualisation de serveurs de l'ordre de 60 à 70 %, de réduire de moitié le temps de mise en oeuvre des serveurs virtualisés, d'éliminer jusqu'à 50 % des besoins en espace au sol et des coûts associés aux locaux et de générer un retour sur investissement en 6 à 18 mois. En ajoutant par ailleurs, les services de virtualisation du stockage IBM accompagnent les clients vers des niveaux plus élevés de réactivité et d'utilisation de l'infrastructure de stockage et les aident à réduire les coûts et la complexité parmi leurs diverses plates-formes de stockage hétérogènes. L'analyse sophistiquée permet par ailleurs d'automatiser le mouvement des données, ce qui améliore la rentabilité opérationnelle et réduit les risques. 8 Février Stratecast. Tous droits réservés.

9 Virtualisation pour les PME Correctement mise en œuvre, la virtualisation du stockage peut apporter des avantages aussi considérables que la virtualisation de serveurs : jusqu'à 25 % de réduction des besoins en capacité de stockage et jusqu'à 300 % d'accroissement des taux d'utilisation de l'infrastructure de stockage. IBM Global Financing peut accompagner cette transition pour aider les clients IBM à acquérir au bon moment la technologie dont ils ont besoin, et à échelonner les paiements en fonction des bénéfices de leur entreprise. Gérer les charges de travail : comme nous l'avons vu précédemment, la virtualisation contribue à consolider les dispositifs physiques, ce qui freine les coûts et accroît l'efficacité. Mais elle contribue également indirectement à l'accroissement massif des charges de travail et du volume de données, ce qui peut constituer un défi considérable en matière de gestion. Si cette problématique n'est pas résolue efficacement, une partie des gains de rentabilité issus de la consolidation des ressources physiques sera réduite à néant en raison de la gestion maladroite et inadéquate des charges de travail. IBM propose trois produits : IBM Systems Director, IBM Maximo Asset Management Essentials et IBM Tivoli, conçus pour unifier et simplifier la gestion des environnements physiques et virtuels. IBM Systems Director fournit l'interface unifiée essentielle pour coordonner les tâches d'administration parmi les serveurs et le stockage dans les environnements physiques et virtualisés. IBM Maximo Asset Management Essentials offre aux PME des fonctions d'optimisation des actifs similaires à celles des grandes entreprises. Enfin, IBM Tivoli Monitoring consolide les objectifs de gestion des charges de travail corrélés dans une seule et même solution (gestion et planification de la capacité et identification/isolement des problèmes de performances) parmi les environnements physiques et virtualisés. Peu d'entreprises déclarent ou même aspirent à 100 % de virtualisation. C'est pourquoi l'importance de la gestion unifiée des charges de travail parmi les environnements de serveur et de stockage physiques et virtuels ne doit pas être négligée. Automatiser le processus : cette phase du parcours vers la virtualisation vise à automatiser la diffusion des applications et services dans l'entreprise, quels que soient la plate-forme et les systèmes d'exploitation. Outre les économies réalisées sur les coûts grâce à la prise de décisions concernant l'optimisation des ressources plus rapide par rapport au processus manuel, les erreurs humaines de configuration peuvent être éliminées. Par ailleurs, le monitoring standard qui accompagne l'automatisation répond directement aux exigences réglementaires. Pour atteindre cet objectif, les liens entre les règles et priorités métier et les opérations informatiques doivent impliquer un niveau élevé d'automatisation de processus. Les logiciels IBM Tivoli (IBM Tivoli Monitoring, Tivoli Endpoint Manager et Tivoli Provisioning Manager) font partie des produits IBM qui automatisent la diffusion de services. Parmi les autres produits, figurent notamment IBM Tivoli Live Monitoring Services et TSM FastBack for Storwize V7000. A cette étape et aux étapes précédentes du parcours vers la virtualisation, ils peuvent inclure divers produits IBM. IBM ou les partenaires certifiés de l'entreprise collaborent avec chaque client pour trouver l'association optimale de produits IBM qui permettra de répondre au mieux aux aspirations métier du client. Optimiser la diffusion : avec la diffusion optimisée, la communauté d'utilisateurs est équipée pour fonctionner en libre-service. Grâce à ce modèle, le personnel informatique peut se concentrer sur les tâches liées aux projets stratégiques de l'entreprise, en étant libéré des tâches ordinaires. Pour concrétiser la diffusion optimisée, l'informatique doit assembler et automatiser la technologie pour fournir des services et ressources de la manière la plus rentable et la plus fiable possible. A leur tour, les utilisateurs de l'entreprise définissent leurs besoins, de sorte que les services et ressources dont ils ont besoin sont provisionnés de manière automatique et transparente. La gamme de services cloud d'ibm en constante évolution formera la base de services optimisés. La virtualisation contribue non seulement à consolider les dispositifs physiques, ce qui freine les coûts et accroît l'efficacité, mais elle contribue également indirectement à l'accroissement massif des charges de travail et du volume de données, ce qui peut constituer un défi considérable en matière de gestion Stratecast. Tous droits réservés. Février

10 Stratecast Frost & Sullivan Les PME ne doivent pas attendre de disposer de toutes les garanties sur les applications étendues de la virtualisation dans d'autres domaines liés à l'informatique (stockage, postes de travail, réseaux). Elles doivent aller de l'avant en se fixant des objectifs. Stratecast Le dernier La virtualisation a connu une évolution rapide, des premières expérimentations à la généralisation dans les serveurs de nombreuses PME. Toutefois, les PME ne doivent pas attendre d'avoir toutes les preuves sur les avantages plus étendus de la virtualisation dans d'autres domaines liés à l'informatique (stockage, postes de travail, réseaux). Elles doivent aller de l'avant en se fixant des objectifs. Mais cela ne va pas sans risques. D'une part, il n'existe pas de chemin universel adapté à toutes les entreprises pour fondre la virtualisation dans les opérations informatiques de sorte à optimiser ses avantages. Le parcours vers la virtualisation est unique pour chaque entreprise. D'autre part, la virtualisation doit être tarifée et packagée pour les PME. Bien que les objectifs des moyennes entreprises soient similaires à ceux des grandes entreprises concurrentes, leurs ressources internes et leurs moyens de financement sont moins abondants. Nous recommandons de choisir un partenaire fort d'une expérience éprouvée des mises en œuvre de la virtualisation dans un éventail de secteurs, qui propose des produits de virtualisation qui ne soient pas de pâles versions des produits destinés aux grandes entreprises, mais conçus explicitement pour les implémentations et les budgets des PME et enfin, qui dispose d'une communauté de partenaires certifiés prêts à fournir l'assistance à l'échelle du cycle de vie. IBM répond à l'ensemble de ces critères. Michael Suby Vice-président de la recherche Stratecast Frost & Sullivan msuby@frost.com 10 Février Stratecast. Tous droits réservés.

11 Silicon Valley 331 E. Evelyn Ave., Suite 100 Mountain View, CA 94041, USA Tél : Télécopie : Londres 4, Grosvenor Gardens, London SWIW ODH, Royaume-Uni Tel : 44(0) Télécopie : 44(0) San Antonio 7550 West Interstate 10, Suite 400 San Antonio, Texas , USA Tél : Télécopie : GoFrost myfrost@frost.com A PROPOS DE STRATECAST Stratecast collabore avec nos clients à l'élaboration de décisions intelligentes sur les marchés de l'information et des communications hypercompétitifs et en rapide croissance. S'appuyant sur un ensemble de missions de conseil personnalisées et d'études en souscription pragmatiques, Stratecast apporte des connaissances et perspectives issues d'années d'expérience sur le terrain dans un secteur où les clients sont des collaborateurs. Les partenaires d'aujourd'hui sont les concurrents de demain, et l'agilité et l'innovation sont essentielles à la réussite. Contactez votre chargé de compte Stratecast afin de bénéficier de notre expérience pour atteindre vos objectifs de croissance. A PROPOS DE FROST & SULLIVAN Frost & Sullivan, cabinet de conseil en stratégie, aide ses clients à accélérer leur croissance. Les équipes de recherche, de conseil pour la croissance et le développement (TEAM Research, Growth Consulting and Growth Team Membership ) du groupe aident les clients à créer une culture de la croissance qui génère, évalue et met en œuvre des stratégies de croissance efficaces. Frost & Sullivan tire profit de plus de 50 ans de partenariat avec les entreprises du classement Global 1000, les sociétés émergentes et la communauté des groupes d'investissement, et dispose de plus de 40 bureaux sur six continents. Pour plus d'informations sur les services de partenariat pour la croissance de Frost & Sullivan, consultez le site Auckland Bangkok Pékin Bangalore Bogota Buenos Aires Le Cap Chennai Colombo Delhi / NCR Dhaka Dubaï Francfort Hong Kong Istanbul Jakarta Calcutta Kuala Lumpur Londres Mexico City Milan Moscou Bombay Manhattan Oxford Paris Rockville Centre San Antonio São Paulo Séoul Shanghai Silicon Valley Singapour Sophia Antipolis Sydney Taipei Tel-Aviv Tokyo Toronto Varsovie Washington, DC SML12345USEN-00