Le niveau de connaissance de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale est le plus faible parmi les jeunes Canadiens

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1 Le niveau de connaissance de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale est le plus faible parmi les jeunes Canadiens Par contre, le niveau de connaissance de la guerre en Afghanistan est le plus élevé chez les jeunes Canadiens Date de diffusion publique : Lundi, 8 novembre, 2010, 6 :00 HAE Ipsos-Reid est le leader canadien des études marketing et le principal fournisseur de sondages d'opinion au pays. Présent dans huit villes, Ipsos-Reid emploie plus de 300 professionnels et agents de collecte de données au Canada. La société possède le réseau de centre d'appels le plus étendu du Canada et a accès au plus vaste groupe pré-recruté de ménages et d'internautes. Les bureaux d'enquête de marché et d'affaires publiques d'ipsos-reid peuvent compter sur les solides connaissances spécialisées de ses consultants pour offrir un ensemble d'outils de recherche de premier plan au Canada, notamment le Rapport de tendance Ipsos, principale source d'opinion publique au pays, qui permet à la clientèle d'avoir accès à des renseignements utiles et pertinents. Ipsos-Reid fait partie d'ipsos, l'un des principaux groupes mondiaux d'études marketing par enquêtes. Pour en savoir davantage, visitez le Pour consulter d'autres communiqués de presse, visitez la page

2 Le niveau de connaissance de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale est le plus faible parmi les jeunes Canadiens Par contre, le niveau de connaissance de la guerre en Afghanistan est le plus élevé chez les jeunes Canadiens Toronto, ON Alors que les Canadiens se préparent à observer le jour du Souvenir, les résultats d un nouveau sondage Ipsos-Reid, mené pour le compte de l Institut Historica-Dominion, révèlent que le niveau de connaissance de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale est plus faible parmi les jeunes Canadiens que parmi les Canadiens d'âge moyen ou d'âge mûr. Canadiens sont plus sensibilisés sur la question de l Afghanistan. Par contre, les jeunes Lors d un questionnaire éclair comportant une série de trois questions sur chacun des conflits, soit la Première Guerre mondiale, la Deuxième Guerre mondiale et la guerre en Afghanistan, les Canadiens ont obtenu une note moyenne de 64 % sur les questions liées à la Grande Guerre, 63 % sur les questions liées la Deuxième Guerre mondiale et, 69 % sur les questions liées à l Afghanistan. Sur les questions liées à la Première Guerre mondiale, les Canadiens de 55 ans et plus ont obtenu une moyenne de 72 %, ce qui se compare à une moyenne de 61 % parmi les 35 à 54 ans et de 59 % parmi les 18 à 34 ans. Les résultats sont similaires sur les questions liées à la Deuxième Guerre mondiale ; la moyenne parmi les Canadiens plus âgés est de 71 %, ce qui se compare à 61 % parmi les Canadiens d âge moyen et à 57 % parmi les jeunes adultes. Par contre, les jeunes Canadiens semblent plus sensibilisés que leurs concitoyens plus âgés sur la guerre actuelle en Afghanistan ; la moyenne obtenue parmi les 18 à 34 ans est de 72 %, ce qui se compare à une moyenne de 69 % parmi les Canadiens d âge moyen et de 66 % parmi les 55 ans et plus

3 Les données révèlent aussi une différence marquée entre les sexes ; les hommes obtiennent une moyenne plus élevée que les femmes sur les questions liées à la Première Guerre mondiale (70 % vs. 58 %) et à la Deuxième Guerre mondiale (70 % vs. 56 %). La différence est moins marquée sur les questions liées à l Afghanistan (71 % vs. 68 %). La Première Guerre mondiale La plupart (71 %) des Canadiens savent que le Canada est entré en guerre en 1914 lors de la Première Guerre mondiale mais un certain nombre croit qu il est entré en guerre en 1918 (16 %), en 1929 (7 %) ou en 1910 (5 %). De plus, tandis que la majorité (62 %) sait que la crête de Vimy est le nom d une bataille décisive qui a eu lieu le 9 avril 1917 et que le Canada a participé à ce point tournant de la Première guerre mondiale, certains répondants croyaient que ce point tournant était Dieppe (23 %), Passchendaele (13 %) ou Batoche (2 %). Six Canadiens sur dix (59 %) savent que le Canada est entré en guerre avant les États-Unis lors de la Première Guerre mondiale par contre, quatre sur dix (41 %) croient que les États-Unis ont été les premiers à entrer en guerre. Les femmes sont à égalité (50 % / 50 %) sur la question à savoir lequel des deux pays, le Canada ou les États-Unis, a été le premier à entrer en guerre et les jeunes Canadiens manifestent tout autant de confusion sur la question ; 51 % croient que le Canada a été le premier tandis que 49 % croient que ce sont les États-Unis qui ont été les premiers à entrer en guerre lors de la Première Guerre mondiale. La Deuxième Guerre mondiale Sept sur dix (71 %) Canadiens savent que le Canada est entré en guerre en 1939 lors de la Deuxième Guerre mondiale mais certains répondants croient que le Canada est entré en guerre en 1945 (19 %), 1929 (7 %) ou en 1949 (2 %). Six sur dix (62 %) identifient correctement la plage Juno comme étant le nom de code de la plage prise par les soldats canadiens le 6 juin 1944 le jour J - mais certains - 2 -

4 répondants croient que le nom de code de cette plage est Omaha (21 %), Daytona (11 %) ou la plage Sword (5 %). Seulement 56 % des Canadiens savent que l entrée en guerre du Canada a précédé celle des États- Unis tandis que 44 % croient que ce sont les États-Unis qui ont été les premiers à entrer en guerre lors de la Deuxième Guerre mondiale. Par contre, la majorité (52 %) des Canadiens entre 18 et 34 ans croit que les États-Unis sont entrés en guerre avant le Canada lors de la Deuxième Guerre mondiale et, la majorité des femmes abondent dans le même sens (53 %). Afghanistan Seulement quatre sur dix (38 %) Canadiens savent que le Canada est entré en guerre en Afghanistan en 2001 tandis qu une proportion presqu égale (32 %) croit que son entrée en guerre a eu lieu en Certains répondants croient que la Canada est entré en guerre en 2005 (18 %) ou 1999 (11 %). À l encontre des résultats sur les questions liées à la Première et Deuxième Guerre mondiale, les jeunes Canadiens sont plus susceptibles (45 %) que les Canadiens d âge moyen (39 %) ou d âge mûr (32 %) de savoir que le Canada est entré en guerre en Par contre, la plupart (83 %) des Canadiens sont au courant que les Forces canadiennes ont renouvelé la mission de combat à Kandahar en Quelques répondants croient que le nom de la région en question est Kabul (9 %), Kuwait (7 %) ou Kananaskis (1 %). La plupart (86 %) des Canadiens savent aussi que les États-Unis d Amérique sont entrés en guerre en Afghanistan avant le Canada, tandis que 14 % croient que le Canada a été le premier à entrer en guerre. Encore une fois, les jeunes Canadiens (90 %) sont plus susceptibles que les Canadiens d âge moyen (85 %) et d âge mûr (83 %) de savoir que les États-Unis sont entrés en guerre en Afghanistan avant le Canada - 3 -

5 Rendre honneur à nos anciens combattants et à nos soldats Alors que 22 % des Canadiens, toutes catégories confondues, projettent assister à une cérémonie officielle du jour du Souvenir le 11 novembre, les résultats du sondage de cette année révèlent aussi que les jeunes Canadiens, eux, sont beaucoup moins susceptibles d assister à une cérémonie que les Canadiens plus âgés. En fait, les Canadiens de 55 ans et plus sont les plus enclins (33 %) à indiquer qu ils participeront à une cérémonie tandis que les 35 à 54 ans (20 %) et les 18 à 34 ans (14 %) sont moins enclins à indiquer qu ils assisteront à une cérémonie. Comparons ces résultats à ceux des années précédentes ; cette année, 22 % ont l intention d assister à une cérémonie, c est une hausse par rapport à l année dernière (20 %) et aux résultats de 2008 (16 %). Mais les Canadiens ne sont pas susceptibles à parts égales de participer à une cérémonie officielle du jour du Souvenir cette année : Les hommes (25 %) sont plus susceptibles que les femmes (20 %) d indiquer leur intention d assister à une cérémonie officielle le 11 novembre. Les résidents du Canada atlantique sont plus susceptibles (38 %) d indiquer qu ils assisteront à une cérémonie officielle cette année, suivis des résidents de la Saskatchewan et ceux du Manitoba (32 %), de la Colombie-Britannique (27 %), de l Ontario (25 %), de l Alberta (20 %) et du Québec (10 %). Sans tenir compte de leur présence à une cérémonie officielle, les trois quarts (75 %) indiquent qu ils respecteront deux minutes de silence à 11h00, le 11, tel que proposé par l Institut Historica-Dominion. Certains Canadiens sont plus enclins que d autres à observer deux minutes de silence, à 11h00 : Les Canadiens plus âgés sont de loin plus susceptibles (85 %) que les Canadiens d âge moyen (76 %) ou les jeunes Canadiens (62 %) d indiquer qu ils observeront deux minutes de silence. Les femmes (78 %) sont plus susceptibles que les hommes (71 %) d indiquer qu elles observeront deux minutes de silence

6 Les résidents de l Ontario (85 %), de l Alberta (84 %), de la Saskatchewan et du Manitoba (83 %) sont les plus susceptibles d indiquer qu ils observeront deux minutes de silence, suivis des résidents de la Colombie-Britannique (78 %) et du Canada atlantique (77 %). À peine la majorité (51 %) des Québécois en fera autant. Ces résultats sont tirés d un sondage mené par Ipsos Reid pour le compte de l Institut Historica-Dominion du 1 er au 5 novembre Ce sondage a été effectué auprès de 1,015 Canadiens d âge adulte inscrits au panel en ligne Ipsos. Les résultats ont été pondérés pour équilibrer les disparités démographiques et assurer que la composition de l échantillonnage reflète celles de la population adulte selon les données du recensement. Ces échantillons produisent des résultats qui sont censé représenter un échantillon de probabilité. Un sondage de cette envergure à échantillon non pondéré et à taux de réponse de 100 pour cent aurait une marge d erreur estimée de +/- 3.1 points de pourcentage, 19 fois sur 20, dans le cas où on aurait sondé toute la population adulte du Canada. Tous les sondages d échantillon sont sous réserve d autres sources d erreur, incluant mais sans en être limitées aux erreurs de couverture et aux erreurs de mesure Pour en savoir plus sur ce communiqué de presse, veuillez contacter : John Wright Vice-président principal Ipsos Reid Affaires publiques (416) Chantal Gagnon Relations avec les médias L Institut Historica-Dominion (416) x: 238 (416) cgagnon@historica-dominion.ca Pour tous les résultats sous forme de tableau, veuillez visiter notre site web au Les communiqués de presse sont disponibles au :