Les tendances de la pollution atmosphérique en Ile-de-France
|
|
- Stéphanie Bureau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 N 7 - s u r v e i l l a n c e d e l a q u a l i t é d e l a i r e n i l e - d e - f r a n c e Les tendances de la pollution atmosphérique en Ile-de-France La pollution de l air en Ile-de-France s aggrave-t-elle ou au contraire s améliore-t-elle avec le temps qui passe? A cette question au centre des préoccupations environnementales de chacun des franciliens, il serait trop simple de répondre globalement par oui ou par non. Force est de constater que la situation est très contrastée d un polluant à l autre et que si plusieurs polluants d antan ne menacent plus guère la région, d autres, en revanche, ont fait une entrée plus récente à l avant-scène de la pollution et conservent un rôle prépondérant dans la qualité de l air que nous respirons. Seul un bilan polluant par polluant peut permettre d évaluer objectivement l évolution de la qualité de l air en Ilede-France. Certains indicateurs de pollution comme le dioxyde de soufre ou les Fumées Noires sont mesurés depuis plus de quarante ans, d autres le sont en continu depuis seulement une dizaine d années. Désormais, les données du passé sont suffisantes pour évaluer le comportement à moyen et long terme de toute une palette d indicateurs de pollution, palette destinée à s enrichir avec l amélioration conjointe des techniques de mesure et de la connaissance des effets sur la santé et l environnement de nouvelles substances ainsi que le renforcement des règlementations nationale et européenne. Le dioxyde de soufre : une diminution incontestable des niveaux Evolution de la pollution soufrée hivernale à Paris intra-muros. Le dioxyde de soufre constitue un excellent indicateur des sources de combustion du fuel et du charbon. A ce titre, les grandes sources d émission de cet indicateur sont les centrales thermiques, les centres de production de chauffage et les grosses installations de combustion de l industrie. Les secteurs tertiaire et résidentiel (chauffage individuel ou collectif) constitue le deuxième type d émetteurs, alors que les transports ne constituent qu une faible part des émissions totales, pour la plupart du fait du trafic diesel. La diminution sensible du taux de soufre dans le gasoil à partir du 1 er octobre 1996 (0,05 % au lieu de 0,2 %) a contribué à diminuer encore davantage la part du secteur transport dans les émissions de dioxyde de soufre. Les émissions de dioxyde de soufre sont surtout concentrées en période de chauffe en hiver. De grands progrès ont été réalisés notamment dans les années 70 sur les émissions industrielles et/ou liées à la production de chauffage. La diminution sensible de l industrialisation de la région, l utilisation de l énergie nucléaire pour la production d électricité au détriment des centrales thermiques, et
2 la prise de mesures techniques et réglementaires, ont eu pour effet de nettement diminuer les émissions de SO 2. On observe ainsi une diminution des niveaux moyens hivernaux d un facteur 10 depuis les années 50. Depuis quelques années, les niveaux moyens hivernaux sont assez stables, et compris entre 20 et 30 µg/m 3. Les particules fines : un monde de diversité Dans la grande famille des particules, on peut distinguer par analyses des petites et des grosses, des blanches et des noires, des organiques et des minérales, des produites par les activités humaines (combustions industrielles, phénomène d usure et de frottements la taille, la composition physico-chimique et l origine. La population des particules est on ne peut plus hétérogène. Historiquement, les particules fines sont mesurées depuis le début des années 50 par la méthode des Fumées Noires qui se fonde sur la noirceur du dépôt de poussières recueillies lors du passage de l air échantillonné à travers un papier filtre. Cette méthode de mesure prend en compte les particules de couleur noire (carbonées) de diamètre inférieur ou égal à 4-5 µm environ issues de combustion incomplète avec l inconvénient majeur de donner des résultats en différé (de l ordre d une quinzaine de jours). Cette méthode sert à compléter des séries historiques de mesures et ainsi à faire ressortir l évolution de la qualité de l air dans le temps. Tendances sur le long terme : le suivi des Fumées Noires Il y a bien moins de poussières, toutes catégories confondues, dans l atmosphère de l Ile-de-France, aujourd - hui qu il y a 50 ans. Depuis les années 50, on assiste à une diminution par un facteur 3 à 4 des teneurs moyennes hivernales en fumées noires sur les sites de pollution urbaine de fond non influencés directement par le trafic automobile. La diminution est de l ordre de 65 % pour les dix dernières années. Ceci s explique en grande partie par les progrès réalisés dans les années 70 en Ile-de- France, sur les émissions de polluants des industries et des chauffages. Toutefois, on a assisté sur les dernières années à une légère remontée des niveaux (non confirmée en 1998). L explication de ce phénomène pourrait, entre autres, être la hausse du trafic des véhicules particuliers diesel et des véhicules utilitaires légers en Ilede-France qui n est pas complètement contrebalancée par la diminution des facteurs unitaires d émissions de particules provenant des véhicules les plus récents. Le dioxyde d azote : niveaux toujours élevés Evolution de la pollution particulaire hivernale à Paris intra-muros, hiver 98/99 inclus. des chaussées et des pneus, particules issues directement des véhicules, poussières de chantiers, acides condensés résultats de réactions chimiques entre polluants gazeux et humidité de l air) et des naturelles (vent de poussières, pollens, bactéries, aérosols marins, cendres volcaniques...). Les particules industrielles peuvent être grosses ou fines, noires (combustion du charbon) ou blanches (cimenteries), les particules fines peuvent être liées ou non aux conditions climatiques (réactions photochimiques estivales, pollens printaniers), en fait de multiples combinaisons sont possibles entre Depuis, des méthodes de mesure prenant en compte à la fois la taille, la masse, et permettant la mesure en temps réel, se sont développées (mesure des particules de diamètre inférieur à 10 µm (PM10, sur la base desquelles sont établies les normes d un grand nombre de pays) et de celles de diamètre inférieur à 2,5 µm (PM2.5, de plus en plus utilisées dans la plupart des pays européens). Ces nouvelles méthodes de mesure sont en place depuis peu de temps et ne permettent pas encore d affiner l évolution historique mise en évidence par la mesure des Fumées Noires. Parmi les différents oxydes d azote qui existent dans l atmosphère, le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO 2 ) sont les plus présents dans les mécanismes de pollution atmosphérique en milieu urbain. Les oxydes d azote sont principalement émis sous la forme de monoxyde d azote NO. Ce polluant se forme par combinaison de l azote N 2 et de l oxygène O 2 de l air lors de combustion à hautes températures. Il est ensuite rapidement oxydé en dioxyde d azote NO 2 par d autres oxydants de l air tels que l oxygène O 2 ou l ozone O 3. Le NO 2 peut alors être considéré comme un polluant secondaire. Les principales sources anthropiques de NOx sont liées aux véhicules à moteurs thermiques ainsi qu aux sources fixes de combustion telles que les
3 Evolution des moyennes saisonnières pour le dioxyde d azote (NO2) et les oxydes d azote (NOx) sur les stations urbaines de l agglomération. centrales thermiques de production électrique, les installations de chauffage ou encore les usines d incinération. En Ile-de-France, un inventaire des émissions (Inventaire du CITEPA paru en avril 1998) montre que 66 % des oxydes d azote émis proviennent du trafic routier. De façon générale, dans l air ambiant des grandes villes, le dioxyde d azote est considéré comme un bon indicateur de pollution issue des transports. Ce polluant est également considéré comme un précurseur de l ozone, ce qui explique qu il soit mesuré sur certaines stations rurales régionales. La figure ci-dessus représentent l évolution annuelle du dioxyde d azote et des oxydes d azote NOx de 1992 à 1998 pour l été et l hiver. La période estivale s étend d avril à septembre et la période hivernale d octobre à mars. En observant les fluctuations des moyennes sur cette période, on note qu aucune tendance ne se dégage en ce qui concerne le dioxyde d azote, alors que l on observe une baisse des NOx. Cette légère baisse des NOx correspond à l amélioration des émissions des véhicules récents équipés de pots catalytiques, mais l intensité du trafic compense en partie cette évolution. En revanche, il est actuellement impossible de dire si les niveaux de dioxyde d azote dans l air ambiant francilien sont en diminution ou en augmentation. Cette stabilité s explique par la production chimique de dioxyde d azote (oxydation du monoxyde d azote par l ozone de fond). L été 1998 apparaît toutefois comme l été le moins «pollué» depuis L ozone : des épisodes d été plus longs et intenses L ozone est présent dans la basse atmosphère à un niveau de base induit par le bilan de l ozone naturel et de l ozone résultant des activités humaines, ce qui explique que ce niveau de fond augmente de 2 % par an environ. L ozone est également produit dans l atmosphère par photochimie. Oxydes d azote et hydrocarbures (polluants primaires) combinés avec un fort ensoleillement produisent de l ozone en été avec une température supérieure à 25 C. Cette formation prend plusieurs heures. En zone urbaine, les masses d air chargées en polluants primaires se déplacent au fur et à mesure que la photochimie s active et les concentrations d ozone augmentent. Ainsi, il est fréquent de relever sous le vent de l agglomération, des niveaux d ozone plus importants en zone rurale ou en zone périurbaine qu au centre de l agglomération. De plus, l ozone ainsi Moyennes des valeurs horaires entre 13h et 20h en agglomération parisienne et en zone rurale pour les étés de 1992 à 1998.
4 formé en zone rurale n est pas détruit en l absence de NO (absence de trafic routier), contrairement à celui formé en zone urbaine. Les réactions de formation de l ozone étant initiées par le rayonnement solaire, on retrouve les niveaux d ozone les plus élevés en période estivale. Il est difficile d étudier les évolutions à long terme des niveaux d ozone en Ile-de-France. En effet, d une part, les mesures ne sont effectuées que depuis quelques années, le recul n est donc pas suffisant, d autre part, les niveaux d ozone observés sont fortement liés aux conditions météorologiques. Des étés plus ou moins ensoleillés conduisent à des concentrations d ozone différentes. aussi dans une moindre mesure des installations fixes de combustion : c est en effet un produit de la combustion incomplète et rapide des combustibles et carburants. Il est émis essentiellement par les moteurs de voiture à essence. Indicateur type des émissions automobiles, ce polluant présente des niveaux ambiants à la limite du seuil de détection des appareils de mesure en situation de fond. C est pour cette raison qu il ne se mesure avec intérêt quasiment qu en situation de forte proximité au trafic automobile. Il est alors un bon indicateur des conditions de trafic (congestion, fluidité ) et de l évolution de la structure du parc automobile (part des véhicules diesel et essence). - le fait que de plus en plus de véhicules soient équipés de pots catalytiques qui émettent, une fois chauds, de l ordre de 70 à 90 % moins de CO qu un véhicule essence classique ; - l augmentation de la part relative de véhicules diesel dans le parc (faibles émetteurs de CO) ; - l amélioration dans le domaine de la qualité des carburants et du réglage des véhicules. Cette décroissance tend toutefois à se stabiliser sur le site de mesure des Champs-Élysées depuis 1996, là encore l augmentation du trafic compense une part des progrès réalisés sur les émissions des véhicules neufs. La figure précédente présente les moyennes des valeurs horaires en agglomération parisienne et en zone rurale pour les étés 1992 à 1998, entre 13h et 20h au plus fort de l ensoleillement et de la température. On observe des maxima pour les deux derniers étés 1997 et 1998 sur les stations de l agglomération. Une certaine tendance à l augmentation des niveaux s observe depuis En zone rurale, aucune tendance ne se dégage vraiment depuis 1993, en dehors des fluctuations climatiques. Pour l année 1998, les niveaux d ozone les plus élevés ont été observés entre le 8 et le 11 août où le seuil d information de la population (180 µg/m 3 en moyenne horaire) a été déclenché chaque jour au cours de cette période. Aucun événement de cette ampleur n avait été observé au cours des années précédentes. Le monoxyde de carbone: une baisse régulière des niveaux à proximité du trafic routier Le monoxyde de carbone (CO) est un polluant qui provient majoritairement du transport routier mais Evolution des teneurs moyennes annuelles en monoxyde de carbone sur deux sites trafic. La figure ci-dessus montre l évolution des teneurs relevées sur la Place Victor Basch, dont la représentativité en terme d exposition est proche de celle de l automobiliste à l intérieur de sa voiture, dans des conditions de circulation souvent encombrées ; et l avenue des Champs-Elysées dont cette même représentativité se rapproche de celle d un piéton se promenant sur le trottoir d une grande avenue parisienne assez dégagée. On constate que les valeurs sont décroissantes sur les deux sites, de façon plus marquée sur la station de la place Victor Basch. Plusieurs hypothèses peuvent expliquer ce phénomène : Le benzène, tête de liste des Composés Organiques Volatils (COV) Les COV regroupent de nombreuses espèces parmi lesquelles des hydrocarbures volatils (alcanes, alcènes, aromatiques), des composés carbonylés (aldéhydes et cétones)... En milieu urbain, les COV émis dans l atmosphère proviennent des gaz d échappement des véhicules, de l évaporation des carburants automobiles mais aussi des combustibles liquides (gaz naturel, - carburants industriels), d activités industriellesvariées(usage de solvants...).
5 moyenne annuelle est régulièrement dépassé depuis 5 ans. Le plomb : un succès sans précédent Evolution des moyennes annuelles de Benzène sur 3 types de sites de 1994 à Les composés aromatiques monocycliques (HAM) et en particulier le benzène, le toluène, l éthylbenzène, les xylènes (m+p xylène, o xylène) et le 1,2,4 triméthylbenzène (124 tmb) constituent une famille importante des composés organiques volatils (COV) présents dans les atmosphères urbaines. Dans la plupart des milieux urbains, les HAM représenteraient jusqu à 30 % des hydrocarbures non méthaniques qui concourent avec les oxydes d azote à la formation des photo-oxydants dans l air ambiant. En ville, en été ce sont principalement les véhicules essence qui sont responsables des niveaux de contamination de l air, de par les imbrûlés produits à la sortie de l échappement et de par les phénomènes d évaporation au niveau de différents organes du véhicule (réservoir, carburateur...). Le stockage et la distribution des produits pétroliers, ainsi que certains processus industriels, contribuent aussi à la contamination ambiante. Parmi ces polluants celui qui est le plus connu et aussi le plus mesuré est le benzène. Plusieurs hypothèses peuvent être formulées pour expliquer ce phénomène : introduction progressive de véhicules à essence équipés de pots catalytiques qui émettent moins d hydrocarbures qu un véhicule essence non catalysé, augmentation de la part de véhicules diesel (faible émetteur de benzène) dans le parc, amélioration de la qualité des carburants. Il faut toutefois se garder de toute conclusion hâtive, l historique sur lequel nous nous basons étant encore assez court. Sur les sites urbains de fond, les moyennes annuelles en benzène pour 1998 sont de l ordre de 4 µg/m 3. Sur les sites trafic, ces teneurs sont voisines de 8 µg/m 3 rue de Dantzig (rue de moyenne circulation) et sont légèrement inférieures à 25 µg/m 3 place Victor Basch (carrefour à forte circulation). Malgré la baisse enregistrée, l objectif de qualité de 2 µg/m 3 en Le plomb dans l atmosphère provient principalement de la combustion des additifs au plomb contenus dans l essence. Avec la baisse de la teneur du plomb dans l essence et l utilisation de plus en plus généralisée de l essence sans plomb, ce polluant perd aujourd hui de sa pertinence en tant qu indicateur de la pollution automobile. L objectif de qualité de 0,5 µg/m 3 en moyenne annuelle est respecté depuis six années consécutives. Toutefois, son suivi dans l atmosphère reste indispensable afin de contrôler le respect des critères de qualité de l air en région parisienne. La figure suivante montre l évolution des teneurs en plomb relevées sur les sites trafic de l avenue des Champs- Elysées et de la place Victor Basch depuis On constate que depuis le début des années 1990, les teneurs n ont cessé de décroître en relation avec la diminution des teneurs de l essence plombée (0,15 g/l depuis 1989) et la diffusion de plus en plus notable de l essence sans plomb. Depuis 1994, les teneurs en plomb tendent à se stabiliser à un niveau relativement bas (entre 0,15 et 0,3 µg/m 3 ) en raison d un usage maintenant bien établi des carburants non plombés (SP98, SP95 et gazole) sur la région. La figure ci-dessus montre l évolution depuis 1994 des moyennes annuelles en benzène sur trois types de sites différents de l agglomération parisienne. Il apparaît une légère décroissance des teneurs sur les sites urbains de fond et une décroissance plus marquée sur les sites trafic (proximité automobile) que sont la place Victor Basch et la rue de Dantzig. Evolution des des teneurs en Plomb sur 2 sites trafic de 1994 à 1998.
6 Critères nationaux de qualité de l air d après le décret du 6 mai 1998 (relatif à la surveillance de la qualité de l air et de ses effets sur la santé et sur l environnement, aux objectifs de qualité de l air, aux seuils d alerte et aux valeurs limites). SO 2 Valeurs limites : 250 µg/m 3 en moyenne journalière à ne pas dépasser plus de 7 jours par an (percentile 98). La moitié des niveaux journaliers doit être inférieurs à 80 µg/m 3 (médiane annuelle). La moitié des niveaux journaliers d hiver (1 er octobre - 31 mars) doit être inférieure à 130 µg/m 3 (médiane hivernale). Objectifs de qualité : La moyenne journalière doit se situer entre 100 et 150 µg/m 3. CO La moyenne annuelle doit se situer entre 40 et 60 µg/m 3. Niveau d information du public : 300 µg/m 3 en moyenne horaire. Niveau d alerte : 600 µg/m 3 en moyenne horaire. NO 2 Valeur limite : 200 µg/m 3 en moyenne horaire à ne pas dépasser plus de 175 heures par an (percentile 98) Objectifs de qualité : Le niveau moyen horaire de 135 µg/m 3 ne doit pas être dépassé plus de 175 heures par an (percentile 98). La moitié des niveaux journaliers doit être inférieure à 50 µg/m 3 (médiane annuelle). Niveau d information du public : 200 µg/m 3 en moyenne horaire. Niveau d alerte : 400 µg/m 3 en moyenne horaire. Benzène La moyenne annuelle (année civile) doit être inférieure à 2 µg/m 3. PS O3 Seuils de protection de la végétation : 65 µg/m 3 en moyenne sur 24 heures. 200 µg/m 3 en moyenne sur 1 heure. Seuil de protection de la santé : 110 µg/m 3 en moyenne sur 8 heures. Niveau d information du public : 180 µg/m 3 en moyenne horaire. Niveau d alerte : 360 µg/m 3 en moyenne horaire. Fumées noires Valeurs limites : 250 µg/m 3 en moyenne journalière à ne pas dépasser plus de 7 jours par an (percentile 98). La moitié des niveaux journaliers doit être inférieure à 80 µg/m 3 (médiane annuelle). La moitié des niveaux journaliers d hiver (1 er octobre - 31 mars) doit être inférieure à 130 µg/m 3 (médiane hivernale). Objectifs de qualité : La moyenne journalière doit se situer entre 100 et 150 µg/m 3. La moyenne annuelle doit se situer entre 40 et 60 µg/m 3. Particules fines (diamètre inférieur ou égal à 10 micromètre) La moyenne annuelle doit être inférieure à 30 µg/m 3. La moyenne sur 8 heures doit être inférieure à µg/m 3. Plomb Valeur limite : 2 µg/m 3 en moyenne annuelle (année civile). La moyenne annuelle (année civile) doit être inférieure à 0,5 µg/m 3. Les objectifs de qualité et les valeurs limites définis dans ce décret sont pour la plupart identiques aux valeurs guides et aux valeurs limites des directives européennes. Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France 7, rue Crillon Paris Minitel 3615 AIRPARIF* - Internet Directeur de la publication:michel Elbel Rédactrices:Martine Boissavy-Vinau & Fabienne César Service communication: *
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détail1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km
CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailPrise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.
Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailActiv Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air!
Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air! Qualité de l air intérieur : les enjeux Aldéhydes, benzène, allergènes toutes les dernières études (1) le confirment : la concentration
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailLA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE
LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailU N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques
U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques par 78310 Maurepas michel.meallet@orange.fr RÉSUMÉ Pourquoi se poser des questions sur les voitures
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailEvolution de la fiscalité des carburants
Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailPourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux?
Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Les faits nous interpellent! En 1950 il y avait 50 millions de véhicules sur terre En 2009 : il y a 800 millions de véhicules
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailGPL CARBURANT PRIMAGAZ : UNE SOLUTION PROPRE ET ECONOMIQUE A REDECOUVRIR
Automobile Economie et écologie GPL CARBURANT PRIMAGAZ : UNE SOLUTION PROPRE ET ECONOMIQUE A REDECOUVRIR Objet : Pour répondre à la hausse ininterrompue des prix des carburants traditionnels (+ 26.5% de
Plus en détailLa voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailInventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal
Rapport Final: Inventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal Préparé pour: Transports Canada Région du Québec Preparé par: SNC-Lavalin Environnement Inc. Le 31 mars,
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailL énergie. chapitre 3
L énergie Jusqu'à présent dans notre société, c est surtout la dimension économique de l énergie qui a eu la priorité, négligeant la dimension environnementale. L utilisation rationnelle de l énergie (en
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailLe Conseil Municipal,
MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailLa conduire, l entretenir, la changer pour consommer et polluer moins. la voiture
La conduire, l entretenir, la changer pour consommer et polluer moins la voiture L E S T R A N S P O R T S SOMMAIRE La conduire, l entretenir, la changer pour consommer et polluer moins la voiture Consommateur,
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailLe changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.
FAQ - Professionnels Thématiques Votre projet Equipements Le marché de l'énergie La société Votre projet Le gaz peut-il être coupé si je change de fournisseur? Non! Le gestionnaire de réseau assure la
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES RECOMMANDATIONS D APPLICATION INTRODUCTION HISTORIQUE, AVANTAGES TECHNOLOGIQUES, ET BÉNÉFICES DU POLYURÉTHANE HYGRORÉACTIF À UN COMPOSANT.
Plus en détail*"&# +',-./! -! " #$$%&'$## '( '$## ) *! " '%+,&,( '-. #/,(0 )0 ) 1 0 5%6'7'0 5%6'7-0 5%6'760 5%6'7+0 5%6'7%0 5%6'7(0
!"#$##%$&&$%&"#$'(#)$ *"&# +',-./! - '$#$0''$#$"&#$&$*1##'#"'$"&#$"'")$# $$,$"'$2! " #$$%&'$## '( '$## ) *! " '%+,&,( '-. #/,(0 )0 ) 1 ) 2 ) 3 '%+ 4 3 0 5%6'7'0 5%6'7-0 5%6'760 5%6'7+0 5%6'7%0 5%6'7(0
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détail] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés
> N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était
Plus en détailRencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailPropulsions alternatives
Propulsions alternatives Huit formes de propulsion alternative existent aujourd hui à côté des moteurs à essence et au diesel classiques. Nous les passons en revue ici avec à chaque fois une définition,
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailLA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE
LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LIVRET D'ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE Passer de citoyen témoin à citoyen acteur en intégrant la préservation de l environnement au quotidien, c est utile et c est possible
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détail