MAÎTRISER LA REPRODUCTION DE SON TROUPEAU

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1 MAÎTRISER LA REPRODUCTION DE SON TROUPEAU Les problèmes de reproduction sont une des causes principales des réformes de chèvres laitières. D après une étude réalisée auprès de 70 élevages dans le cadre du réseau d élevage caprin Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire, plus de 20% des chèvres réformées le sont pour des raisons d infécondité. Si le taux de réussite à l IA est de 65% en moyenne, il varie dans les élevages de 35 à 85%. Ces difficultés de reproduction ont des conséquences sur le plan économique, vente de lait à une période moins favorable au prix, difficultés à approvisionner sa clientèle en fromages Mais aussi sur le plan du travail, les périodes de mises bas s allongent, se décalent et peuvent entrer en concurrence avec d autres travaux de l exploitation. Les causes possibles sont nombreuses et peuvent se cumuler. Tout cela ne rend pas facile l approche de la reproduction du troupeau. A partir des méthodes et des outils existants, une démarche d appui homogène pour l analyse de la reproduction des chèvres vous est proposée dans ce document. Cet appui comporte deux étapes : Un diagnostic qui démarre par une mise à plat de la problématique de l éleveur (Quelle est sa perception de la situation, est il ou non satisfait?quelles difficultés rencontre t-il? Quelles en sont les conséquences? ), se poursuit par un état des lieux qui quantifie et analyse les résultats obtenus dans l élevage et se conclut par une synthèse qui met en évidence les points forts et les points à améliorer, Un plan d action qui fait des propositions concrètes d amélioration des pratiques Il s accompagne de la mise à disposition de références utiles à l analyse du sujet. DEFINITION Le diagnostic Il a pour but d identifier les pratiques d élevage responsables des difficultés rencontrées et de les hiérarchiser. Il est réalisé par le technicien, avec l éleveur. Après avoir bien cerné la problématique de l éleveur, il démarre par un état des lieux qui quantifie et analyse les résultats obtenus dans l élevage et se conclut par une synthèse qui met en évidence les points forts et les points à améliorer. Pour réaliser un diagnostic précis, il est souvent nécessaire de collecter des renseignements dans l élevage, de réaliser des calculs complémentaires et d avoir recours à des référentiels locaux ou nationaux. Le plan d action La formulation de conseils à l éleveur est l aboutissement de la démarche. Après avoir rappelé la situation de l exploitation, le plan d action précise le (ou les) objectif (s) fixés avec l éleveur et décrit les mesures prioritaires à mettre en œuvre ; leurs modalités d application et de suivi doivent être claires et précises, et tenir compte des possibilités de réalisation pratique dans l élevage. Ces mesures peuvent être à court ou long terme, simples ou remettant en cause des pratiques voire des éléments du système de production. Elles peuvent alors déboucher sur des études de projet.

2 Diagnostic : état des lieux et analyse Elevage N élevage Adresse Date de réalisation Nom du conseiller Période étudiée Autres participants Appréciation générale sur la reproduction du troupeau Vos périodes de mises bas sont elles en conformité avec vos objectifs? Etes vous satisfaits des résultats de fertilité de votre troupeau? Si vous n êtes pas totalement satisfait, quelles difficultés rencontrez vous? Quelles en sont les conséquences?

3 Etat des lieux Résultats de l élevage Commentaires % chèvres avec mises bas désaisonnées % chevrettes avec mises bas désaisonnées % réussite à l IA (par lot) % réussite à l IA+retour (par lot) % chèvres vides % chevrettes vides % pseudogestations Les chèvres à problème sont plutôt des chèvres qui : mettent bas à la même période ont le même rang de lactation (primipares ou multipares) ont des niveaux de production comparables ont eu des problèmes avant ou après la mise bas n ont rien en commun

4 Les références utiles Les fiches du «Groupe Reproduction Caprin» disponibles sur le site de l INRA, Guide des bonnes pratiques de l insémination artificielle, à se procurer auprès de Capgènes Contacts Document rédigé par : Nicole BOSSIS - Institut de l Elevage et Cécile PANDROT - Contrôle Laitier de la Drôme Avec la participation de : Coralie BLONDEAU - COPAVENIR, Stéphanie BRIAND - CAPGENES, Bertrand BLUET - Chambre d Agriculture de l Indre Charles DROUOT - Chambre d Agriculture de la Dordogne, Vincent LICTEVOUT - Touraine Avenir Lait, Bernard POUPIN - Contrôle Laitier de la Vendée, Christine ROBERT - EDE-Contrôle Laitier de l Aveyron, Hervé THOMAS - COPAVENIR. avec la participation financière de FranceAgriMer

5 Analyse Conduite du désaisonnement Conduite du traitement lumineux défectueux - Trop ou pas assez de jours longs ou jours courts - Mauvais horaires de l éclairage artificiel - Jours courts perturbés par un éclairage artificiel involontaire - Utilisation d implants de mélatonine sans éclairage artificiel - Absence de traitement des chevrettes ou des boucs - Des halogènes, des zones d ombre, un éclairage insuffisant (< 200 lux au niveau des yeux) Mauvais choix des femelles à éponger Bonne conduite du traitement lumineux - 90 jours longs + 60 jours courts - Eclairage artificiel de 6h à 9h + 22h à 24h - Jours courts naturels pour des saillies en avril et mai puis par des implants de mélatonine en juin et juillet - Traitement identique de tous les animaux - Néons propres, bien disposés et en nombre suffisant Echographie pour repérage des pseudogestantes

6 Analyse Conduite de l IA Mise à la reproduction trop précoce après la mise bas Mauvais choix des femelles à inséminer Protocole de traitement hormonal de synchronisation défectueux Repérage défectueux des chaleurs Mauvaise organisation des chantiers (synchro + IA) Perturbations par la mise à la reproduction d autres chèvres Ecart mise bas IA au delà de 180 jours - Echographier pour le repérage des pseudogestantes - Inséminer des chèvres de moins de 5 ans n ayant pas été synchronisées plus de 2 fois - Ecarter les chèvres en longue lactation et les chèvres ayant eu des problèmes de reproduction (échec IA, avortement, poche d eau, ) - Eviter d inséminer des chèvres ayant des niveaux de lait trop élevés à la saillie ou des chevrettes - Stockage des produits au frais pour les hormones à injecter, à l abri de la lumière et de l humidité pour les éponges - Utiliser des produits dont la date de péremption n est pas dépassée - Respecter les dosages et les délais pour la pose et le retrait de l éponge ainsi que pour les injections d hormones - Pour la bonne réalisation des chantiers : une seringue par produit, femelles identifiées après traitement, cohérence nombre femelles et quantité produit utilisé en fin de chantier Repérage des femelles en chaleur 30 heures après le retrait des éponges, boucs en nombre suffisant et actifs sexuellement Nombre d intervenants suffisant, déroulement des opérations dans le calme, contention des animaux adaptée, intervention rapide Boucs introduits dans les lots en saillie naturelle au moins 48h après le lot d IA, IA prêtes avant les SN

7 Analyse Conduite des chèvres aux saillies Opérations perturbantes dans le mois qui précède et dans le mois qui suit les saillies A éviter autour des saillies - Modification des lots - Curage - Vaccinations, déparasitages et autres traitements - Taille des onglons Alimentation et état corporel Excès azoté Etat corporel à la reproduction excessif ou insuffisant Etat corporel à la mise bas insuffisant Complémentation en concentré adapté : niveau d énergie suffisant Reprise d état corporel aux saillies Troubles nutritionnels et métaboliques Déficit minéral et vitaminique l

8 Analyse Conduite des boucs Proximité des boucs avant les saillies Pas de préparation des boucs Trop peu de boucs Effet bouc : ni vue, ni ouïe, ni odeur pendant 60 jours Boucs actifs sexuellement : même traitement photopériodique que les chèvres + leur apporter quelques chèvres de réforme à saillir pour les «réveiller» En mise bas de saison, prévoir un bouc adulte pour 30 à 50 chèvres en monte libre En mise bas dessaisonnée prévoir un bouc adulte pour 20 à 30 chèvres en monte libre Prévoir 5 à 6 saillies par jour en monte en main Prévoir de bonnes conditions de logement et une alimentation équilibrée Pratiques à la mise bas Infections utérines non spécifiques Limiter le nombre d interventions à la mise bas, intervenir uniquement en cas de besoin Hygiène des mains et du matériel de mise bas Chèvrerie propre et paillée Sanitaire Infections utérines spécifiques Parasitisme Moins de 10 % de non délivrance Moins de 10 % de métrites, surveillance des chèvres ayant eu des mise bas difficiles et/ou une non délivrance Déclaration systématique, recherche (Fièvre Q, Chlamydiose ) et vaccination Suivi et gestion du parasitisme

9 Plan d action La reproduction du troupeau Les problèmes de reproduction se caractérisent par : Les chèvres à problèmes sont plutôt des chèvres qui : Points forts à préserver Points faibles à améliorer 1/ 1/ 2/ 2/ 3/ 3/ Objectif (s) fixés et incidences/economie, temps de travail

10 Les mesures à mettre en œuvre Domaines d application Actions à mettre en place Comment? (qui?, avec quels moyens? ) Calendrier de mise en œuvre

11 Suivi/Bilan de l appui technique Réalisé le par Evolution de la reproduction de l élevage Conditions d application des mesures (ce qui a été fait, ce qui a bien marché, ce qui reste à faire)

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