AGRICULTURE. 1. Constats et objectifs
|
|
- Eliane Beaudoin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AGRICULTURE 1. Constats et objectifs Quelques chiffres clés : En 30 ans, de 1980 à 2010, la part de l agriculture dans le PIB est passée de 1,1% à 0,5%. Le pays a perdu 63 % de ses exploitations. Le nombre de travailleurs actifs dans le secteur a quasiment été divisé par deux! Dans le même temps, la superficie moyenne par exploitation a plus que doublé, passant en Wallonie de 20,8 ha à 55,6 ha. Pourtant, le nombre de travailleurs agricoles par exploitation est loin d avoir évolué dans de mêmes proportions, passant de 1,6 à 1,9 en 30 ans. Les exploitations externalisent également plus, en recourant plus fréquemment à de la maind œuvre extérieure (20% contre 4% en 1980). Au niveau de la consommation des ménages, les dépenses pour certains produits «frais» (comme la viande) ont diminué de près de 50% depuis 1980, alors que celles portant sur des produits préparés augmentent de manière constante. Selon une étude menée par l Université de Cambridge, la Belgique serait le 3 ème pays du monde où l on mange le moins sainement, juste derrière l Arménie et la Hongrie! D après une autre étude de l OMS, c est en Belgique et en Bulgarie qu on trouvera le plus de femmes en surpoids d ici 2030, avec 89% des femmes de plus de 18 ans présentant un indice de masse corporel (IMC) supérieur à 25! Les exploitations bio en Wallonie ont connu un essor considérable, surtout depuis environ 10 ans : on passe ainsi de 37 exploitations bio pour 583ha en 1987 à 671 exploitations (32.330ha) en 2008 et enfin exploitations (57.500ha) en Le litre de lait payé actuellement aux producteurs wallons tourne en moyenne autour des 25 centimes alors que son coût de production, hors maind'œuvre, est estimé à 33 centimes! L agriculture est avant tout nourricière. Elle est fondamentale tant dans sa composante élevage que culture : elle conditionne l accès à une alimentation de qualité et en suffisance pour tous les êtres humains présents et à venir. C est pourquoi, pour le cdh, l agriculture reste d abord un secteur économique essentiel qui ne peut devenir l objet de spéculations de quelques grands conglomérats par l entremise de technologies, de l accaparement du foncier ou de la pression des industries agroalimentaires. L agriculture doit, au travers d un dialogue et d une concertation structurée, trouver toute sa place comme acteur respecté de la filière alimentaire. Le commerce international des produits agricoles doit en outre être encadré par des normes et par des règles spécifiques qui favorisent l autonomie, la souveraineté alimentaire de chaque région du monde et interdisent les spéculations financières meurtrières. Enfin, l agriculture doit vivre en symbiose avec la nature : elle est un acteur clé de l entretien et de la préservation de notre environnement naturel. Celuici conditionne la pérennité de l agriculture. Réinvestir dans l agriculteur signifie aussi défendre les travailleurs du secteur agricole. Ils ne représentent aujourd hui plus que 2,5 % de la population active. Une diminution forte du coût du travail doit permettre de stabiliser, voire recréer et dynamiser l emploi dans ce secteur, d assurer des revenus décents aux agriculteurs, et de favoriser, en aval 1
2 de la production agricole, la création de nouveaux emplois. A côté des marchés européens actuels, il faut encourager le développement de circuits courts (notamment par le biais des coopératives et à partir de normes de qualité propres et différenciées) et la diversification de l activité agricole qui permettent de renouer le contact entre les producteurs et les consommateurs au bénéfice des uns comme des autres. Il convient aussi de poursuivre les efforts pour accroître la valeur ajoutée de l industrie agroalimentaire en Fédération WallonieBruxelles, elle aussi génératrice de croissance et d emplois. Le cdh confirme à cet égard son adhésion à tous les objectifs de création de la politique agricole commune (PAC), à savoir : assurer un niveau de vie équitable à la population agricole, notamment par le relèvement du revenu individuel de ceux qui travaillent dans l agriculture ; accroître la productivité de l agriculture en développant le progrès technique ; stabiliser les marchés agricoles ; garantir la sécurité des approvisionnements ; assurer des prix raisonnables aux consommateurs. 2. Réalisations et engagements du cdh Dans la Déclaration de Politique Régionale wallonne, le gouvernement wallon s est engagé à assurer une production agricole en quantité et qualité suffisantes, à des prix abordables pour les consommateurs et rémunérateurs pour les producteurs. Le Gouvernement souhaite à cet égard avoir une attention particulière pour les agriculteurs. Le Gouvernement souhaite également favoriser la première installation et la transmission des entreprises agricoles. Quelques mesures : veiller à une rémunération juste et équitable des agriculteurs dans le cadre de l évolution des régimes d aides, ce qui implique de tenir compte notamment des contraintes spécifiques aux filières d élevage (aides couplées) et des réalités agrogéographiques (indemnités régions défavorisées) ; poursuivre la mise sur pied d un système plus équitable de redistribution des aides directes (PAC) et évaluer l impact de la réforme de ces aides ; soutenir la mise sur pied de groupements d employeurs agricoles au départ d expériences pilotes ; maintenir le cofinancement régional aux mesures incitatives ou compensatoires du deuxième pilier de la PAC décidé par le Gouvernement wallon ; intégrer dans le dispositif législatif wallon, le fonds des calamités agricoles transféré suite à la sixième réforme de l Etat en simplifiant ses règles d intervention, et en déterminant son mécanisme d alimentation ; favoriser les exploitations agricoles qui s orientent vers un renforcement de leur autonomie ou vers une économie de type circulaire à l échelle d un territoire restreint ; demander auprès des autorités fédérales le maintien des mesures de défiscalisation des aides compensatoires PAC ; poursuivre les réformes en matière de politique agricole pour que les jeunes ne doivent plus acheter de droits à produire ; 2
3 favoriser l installation de nouveaux agriculteurs et horticulteurs afin d assurer la relève générationnelle nécessaire en utilisant au maximum les possibilités accordées par l UE pour soutenir les jeunes qui s installent ; réorienter la recherche agronomique et la faire participer davantage à l activité des pôles de compétitivité dans une logique de décloisonnement et de partage d expertise avec les entreprises, les agriculteurs, les universités et autres centres de recherches pour permettre l émergence d innovations et de produits porteurs de valeur ajoutée et d emploi ; encourager les investissements partagés et les structures coopératives, par des incitants pour toutes les formes de mutualisation ; augmenter les débouchés pour les produits locaux auprès des administrations et collectivités publiques (cantines des écoles, hôpitaux, maisons de repos, etc.) ; augmenter le nombre de produits labellisés (AOPIGPSTG) et stimuler la production en assurant une promotion adéquate ; assurer une promotion valorisant la qualité de l agriculture wallonne et le travail des agriculteurs (agriculture liée au sol et sans OGM). A Bruxelles, le Gouvernement entend : ne plus utiliser de pesticides dans les lieux publics mais employer des alternatives non toxiques ou biodégradables de façon concertée ; protéger les espaces agricoles. Un principe de droit de préemption sera prévu au bénéfice de la Région lors de toute vente de terrain agricole afin d'y développer des projets d'agriculture urbaine, de potagers urbains ou de jardins partagés. 3. Les propositions du cdh Réguler les marchés des produits agricoles Il convient de mettre en œuvre des nouvelles règles européennes relatives aux organisations de marchés et de concurrence, notamment afin de faciliter le regroupement des producteurs ; ces organisations doivent être autorisées à définir ellesmêmes des capacités de production sur les moyens et long termes et à négocier collectivement des références de prix de vente avec un poids égal à celui de l agro- industrie. Reconnaître et protéger les ressources génétiques Organiser la reconnaissance du patrimoine génétique et son caractère de bien public, ce qui implique la tenue de registres et la préservation de ce patrimoine (cryobanque, vergers conservatoires, ) et encadrer strictement les droits privatifs sur la sélection des espèces et variétés et garantir l accessibilité à l ensemble des agriculteurs et particuliers des semences et races constituant un «bien public». Interdire les cultures OGM Le cdh plaide pour établir un moratoire sur toute nouvelle demande d autorisation d OGM à l échelle européenne, tant à l importation qu à la mise en culture. Aux niveaux belge et européen, il est nécessaire de modifier les règles de fonctionnement des 3
4 instances de contrôle des OGM, Comité de Biosécurité et EFSA (Agence fédérale européenne de sécurité alimentaire), pour y intégrer la prise en compte des principes de précaution, l impact économique et les enjeux éthiques des OGM. Enfin, pour Bruxelles et la Wallonie, nous souhaitons poursuivre la politique d interdiction des cultures OGM et le développement de filières alternatives pour une alimentation animale sans OGM. Renforcer le lien entre agriculture et alimentation Il faut poursuivre le plan stratégique Bio, mis en place en Wallonie, en renforçant le développement de la filière de valorisation des produits de l agriculture biologique (en activant les aides économiques prévues dans le 2ème pilier PAC) et instaurer une plus grande transparence de l origine des ingrédients composant les produits alimentaires (par exemple, l origine de la viande dans les plats préparés). Le cdh souhaite aussi la poursuite et le développement des campagnes de sensibilisation et d information, en particulier auprès des plus jeunes, comme les opérations «Lait à l école» ou «Fruits à l école» ou «bon app au camp». Encourager la production de haute qualité Nous souhaitons miser sur l encouragement, dans chaque secteur de production, de labels de qualité afin de développer des produits d excellence, capables de tirer vers le haut l ensemble de la production et de positionner nos produits agroalimentaires sur un rapport qualitéprix élevé ainsi que sur la poursuite du développement et de la promotion des labels «indication géographique protégée» (IGP) et «appellation d origine protégée» (AOP) en Wallonie et à Bruxelles (IGP blancbleubelge, ). Garantir un accès durable aux terres agricoles Il importe de faciliter l accès au foncier pour les jeunes qui s installent et la transmission du foncier aux jeunes repreneurs à l instar de la réduction des droits de succession à 0% et de faciliter les réorganisations foncières notamment en recourant aux nouveaux outils du remembrement (aménagement foncier rural). Assurer un revenu équitable aux agriculteurs, notamment pour la filière du lait Dans l attente de la mise en place de véritables écluses sociales et environnementales aux frontières de l Europe, maintenir les aides compensatoires directes aux agriculteurs telles que négociées pour le 1er pilier PAC, y compris les aides couplées au secteur bovin et ovin, en s opposant à toute politique de renationalisation dans les Etats membres. Amplifier et pérenniser le cofinancement régional aux mesures incitatives ou compensatoires du 2ème pilier de la PAC et pérenniser les mesures de défiscalisation des aides compensatoires PAC demandées et obtenues par les Régions auprès de l Autorité fédérale suite à la crise du lait. Un accord a été conclu avec les agriculteurs durant l été 2015 pour que la Région intervienne auprès des agriculteurs afin de compenser le déficit entre le coût de la production (maind œuvre comprise) et le prix de vente. 4
5 Soutenir les agriculteurs face aux risques et aux crises Orienter une partie importante des moyens affectés à la recherche agricole et au travail des facultés agronomiques à la prévention sur le terrain des risques sanitaires et climatiques ainsi qu à l adaptation des pratiques culturales et techniques d élevage. Prévoir un mécanisme permettant de réalimenter le Fonds des calamités agricoles (régionalisé dans le cadre de la 6ème réforme de l Etat) et faciliter la procédure administrative d intervention du Fonds en utilisant davantage les technologies disponibles. Promouvoir notre terroir Il faut que tous les acteurs publics assurent systématiquement la promotion des produits locaux ou équitables par le biais de leurs outils de communication et dans le cadre des actions et manifestations qu ils organisent, encouragent ou soutiennent. 4. Propositions émises dans le cadre d OPR Demander aux communes de louer un pourcentage de leurs terres aux jeunes agriculteurs : les jeunes agriculteurs ont parfois du mal à trouver des terres à cultiver à proximité de leur exploitation. Pour aider les jeunes agriculteurs, les communes leur loueraient une partie des zones agricoles dont elles disposent. Supprimer la TVA sur les produits alimentaires biologiques et/ou respectueux de l environnement : Actuellement un soda fabriqué à partir de produit chimique par une firme internationale est autant taxée qu'un jus de pomme bio produit par un petit producteur wallon. Supprimons la TVA sur les produits bio ou respectueux de l environnement (par exemple les émissions de CO2 et de particules fines qui vont surtout toucher les produits importés et moins les produits locaux) pour favoriser une agriculture durable et locale. Soutenir le développement de circuits courts : permettre aux consommateurs de plus facilement acheter des aliments produits à proximité, notamment en développant des sites coopératifs de vente en ligne (plusieurs producteurs par site), en créant des points de vente visibles (coopératives, partenariat avec enseignes privées, associations) et en mettant en place un label «produit dans ma commune». Soutenir les petites exploitations à taille «humaine» par la création d un cluster «fermes familiales» : le fonctionnement actuel des marchés favorise le développement de très grosses exploitations, aux dépens des exploitations familiales. Il est urgent d intervenir pour éviter la disparition des fermes à échelle humaine et l hégémonie de sociétés agricoles géantes telles que Monsanto. Il conviendrait de relancer une filière «fermes familiales», par la mise en réseaux des acteurs publics, associatifs et privés. Ce cluster serait chargé de développer un assortiment de solutions (techniques de production, partage des équipements, voire des terres, amélioration de la qualité de la production, coopération dans la vente des produits en ligne ou en point de vente, diversification des activités de la ferme, mutualisation des moyens pour accomplir les démarches administratives, 5
6 exportation ), de former ou d accompagner les agriculteurs et de jouer le rôle de partenaire des pouvoirs locaux concernés. 5. Quelques thèmes de conférence : Vivre mieux, manger mieux! La santé passe par une production agricole de qualité La filière bio en Wallonie : bilan et perspectives Estil encore possible aujourd hui d être agriculteur dans une petite exploitation? Les jeunes et le métier d agriculteur Le bail à ferme : quelle réforme envisager? Produits du terroir et exportation Le recours aux nouvelles technologies dans l agriculture : opportunités et risques L agriculture urbaine La crise du lait 6. Personnes de contact CEPESS : Jeremy Dagnies (dagnies@cepess.be) Cabinet Collin : José Renard (jose.renard@gov.wallonie.be ou sabine.deleener@gov.wallonie.be) ; Renaud Baiwir (renaud.baiwir@gov.wallonie.be); Jean-François Collin (jean-francois.collin@gov.wallonie.be) Cabinet Fremault : Stéphane Nicolas (snicolas@gov.brussels) Groupe cdh Parlement fédéral : Sophie Habay (habay@lecdh.be) Groupe cdh Parlement wallon : Laurent Marchal (laurent.marchal@lecdh-pw.be) Groupe cdh Parlement bruxellois : Magali Jeumont (mjeumont@parlbru.irisnet.be) 6
PAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailFormulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détail«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE
Proposition de réglementation spécifique de la production et de la commercialisation de produits agricoles et alimentaires traditionnels en Amérique latine ( ) - Propositions «Metate» - Marlen LEON GUZMAN
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailjanvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE
janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailEnergie - réseaux électriques intelligents transfrontaliers Cross-border Healthcare Networks
CONFERENCE-DEBAT CONFERENCE-DEBATE I. Présentations - Mutualiser les services en transfrontalier : l exemple de l énergie et de la santé I. Presentations - Mutualising public services: The example of Energy
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailProposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec
Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec «L agriculture du Québec mûre pour sa révolution tranquille» Rédaction : Union paysanne Dessins
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailObjet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu
Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous
Plus en détailLa filière de l élevage du cheval de trait dans son. contexte français et européen. Evolution et attentes
1 La filière de l élevage du cheval de trait dans son contexte français et européen. Evolution et attentes Septembre 2011 I. Contexte et structuration de la filière du cheval de trait en France a. Quelques
Plus en détailProjet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)
Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailSynthèse des mesures «environnement» proposées par Ségolène Royal
Ségolène Royal Candidate à l élection présidentielle Synthèse des mesures «environnement» proposées par Ségolène Royal 24 mars 2007 1. Lutter contre le changement climatique Dans le Pacte présidentiel
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailLOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004
LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004 CHAPITRE PREMIER - DEFINITION ET COMPOSITION DU DOMAINE FONCIER RURAL Section première
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailTreize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses
Treize mesures pour une agriculture écologique Document de position des Verts suisses Adopté par l assemblée des délégué-e-s du 19 septembre 2009 Selon l article 104 de la Constitution fédérale, l agriculture
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailPour en savoir plus : www.commercequitable.org
Des centaines de millions de personnes sur la planète travaillent dans des conditions extrêmement précaires et pour des salaires dérisoires pour cultiver ou fabriquer des matières premières et des biens,
Plus en détailréglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé
réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détail10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010
10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010 Mission Chanvre pour le Cluster Beaujolais Numéro de la communication : IES-2010-28
Plus en détailkit de création d une amap
kit de création d une amap sommaire L éthique des amap 1. Le concept des AMAP. Définition. Origine du concept. Les objectifs des AMAP. Les valeurs des AMAP 2. Les motivations et les engagements des producteurs
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES
SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS EN TUNISIE, ETATS DES LIEUX ET PERSPECTIVES Mr. Mohamed Chokri REJEB DG CTAA Le 25 septembre 2010 Yasmine Hammamet Plan Sécurité des aliments dans la politique nationale
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailLe Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises. Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus»
Le Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus» La compétitivité des exploitations agricoles et des filières agricoles et
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailPrésentation de la réforme de la PAC 2014-2020
Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA
Plus en détailAnalyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique
Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc
Plus en détailNotes méthodologiques
Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation
Plus en détailUNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A :
UNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A : Cette charte est le résultat de trois années de travaux de consultations nationales et locales menées en région Rhône-Alpes, visant à identifier et adapter les principes
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS
LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE les programmes européens LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT AU SERVICE DE LA STRATÉGIE EUROPE 2020 Stratégie
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailAfin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées :
D A MIXTE D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DU PAYS DE BRAY Contribution à l élaboration de la stratégie régionale du futur programme opérationnel et du futur programme de développement rural de la Haute-Normandie.
Plus en détailUne démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand
Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailRENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE
RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailFORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015
FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20
Plus en détailconseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.
conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détaill ancrage territorial et la mise en valeur du patrimoine Guide pratique Favoriser l approvisionnement local et de qualité en restauration collective
l ancrage territorial et la mise en valeur du patrimoine Guide pratique Favoriser l approvisionnement local et de qualité en restauration collective Édito La restauration collective est au cœur de notre
Plus en détailD où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto
D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailUniversita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale
Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus
Plus en détail