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1 Bonjour, La classe virtuelle va commencer à 19h00, en attendant, voici quelques consignes pour assurer son bon déroulement : En cliquant sur, vous pouvez : Demander la parole : Parler : Ne pas oublier d éteindre son micro à la fin de l intervention!! Écrire un message : taper votre message et touche «entrée» Répondre par oui ou par non : N oubliez pas de décocher!

2 Révisions Thème 1 La coordination des décisions économiques par l échange

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4 LE PRIX ET LES DÉCISIONS DES AGENTS ÉCONOMIQUES L intérêt des échanges : Les échanges permettent de bénéficier de l efficacité de la division du travail et de la spécialisation des individus selon leurs propres compétences. Les entreprises Les ménages - Vendent des biens et services. Marché des produits - Achètent des biens et services - engagent des travailleurs = Demandent du travail = Offrent un emploi. - Demandent des capitaux pour investir. Marché du travail Marché des capitaux - Offrent leur travail = Demandent un emploi - Demandent des capitaux ( Ex : crédits à la consommation) Offrent des capitaux Effectuent des placements.

5 LE PRIX ET LES DÉCISIONS DES AGENTS ÉCONOMIQUES L intérêt des échanges : Les échanges permettent de bénéficier de l efficacité de la division du travail et de la spécialisation des individus selon leurs propres compétences. Les entreprises Les ménages - Vendent des biens et services. Marché des produits - Achètent des biens et services - engagent des travailleurs = Demandent du travail = Offrent un emploi. - Demandent des capitaux pour investir. Marché du travail Marché des capitaux - Offrent leur travail = Demandent un emploi - Demandent des capitaux ( Ex : crédits à la consommation) Offrent des capitaux Effectuent des placements.

6 LA NOTION DE MARCHÉ Un marché est le lieu de la confrontation et de la conciliation de l offre et de la demande. Un marché est le lieu où se déterminent les quantités échangées et les prix de cession. Il existe une multitude de marchés : marché sur une place de la ville jusqu au marché virtuel par internet, marchés des matières premières, des changes, des capitaux, de l emploi Les marchés sont plus ou moins matérialisés / dématérialisés (sites de vente par internet - B2B, B2C, C2C, marché financier...).

7 LA NOTION DE MARCHÉ Un marché est le lieu de la confrontation et de la conciliation de l offre et de la demande. Un marché est le lieu où se déterminent les quantités échangées et les prix de cession. Il existe une multitude de marchés : marché sur une place de la ville jusqu au marché virtuel par internet, marchés des matières premières, des changes, des capitaux, de l emploi Les marchés sont plus ou moins matérialisés / dématérialisés (sites de vente par internet - B2B, B2C, C2C, marché financier...).

8 LE MODÈLE DE CONCURRENCE PURE ET PARFAITE Les conditions de la concurrence pure et parfaite Atomicité : Les acheteurs et les vendeurs sont très nombreux et de petite taille : aucun agent ne peut à lui seul influencer le prix. Homogénéité : Les produits échangés sont identiques et substituables les uns aux autres (cf. cahier des charges, labels ). Ils permettent de satisfaire le même besoin. Transparence : L'information des agents, en particulier sur la qualité des produits, est totale ( règles sur l'étiquetage, réglementation de la publicité ). Libre-entrée/sortie (= fluidité) : Il n'existe aucune barrière à l'entrée de nouvelles entreprises. L entrée et la sortie du marché se font sans obstacle. Mobilité des facteurs de production : Le déplacement d'une activité s'effectue sans délai ni coût que ce soit pour le facteur travail ou le facteur capital.

9 LE MODÈLE DE CONCURRENCE PURE ET PARFAITE Les conditions de la concurrence pure et parfaite Atomicité : Les acheteurs et les vendeurs sont très nombreux et de petite taille : aucun agent ne peut à lui seul influencer le prix. Homogénéité : Les produits échangés sont identiques et substituables les uns aux autres (cf. cahier des charges, labels ). Ils permettent de satisfaire le même besoin. Transparence : L'information des agents, en particulier sur la qualité des produits, est totale ( règles sur l'étiquetage, réglementation de la publicité ). Libre-entrée/sortie (= fluidité) : Il n'existe aucune barrière à l'entrée de nouvelles entreprises. L entrée et la sortie du marché se font sans obstacle. Mobilité des facteurs de production : Le déplacement d'une activité s'effectue sans délai ni coût que ce soit pour le facteur travail ou le facteur capital.

10 LE FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ REPOSE SUR UN CADRE INSTITUTIONNEL Les règles qui déterminent le cadre institutionnel ont pour objectifs : la garantie de bonne exécution des contrats l'accès à l information la confiance mutuelle des intervenants sur le marché. Le cadre institutionnel mis en place par les pouvoirs publics Les institutions juridiques : droit public / droit privé : droit des affaires, droit des sociétés, droit du travail, droit de la concurrence Ces institutions fixent les règles, traitent les litiges, et sanctionnent les comportements répréhensibles. Elles s'appuient sur des organismes spécialisés : Autorité de la concurrence, Autorité des marchés financiers qui formulent des interdictions, exercent des contrôles, et prononcent des sanctions. Les institutions financières fournissent les moyens de paiement et les ressources de financement, et exercent la régulation des marchés financiers. La Sécurité sociale prend en charge la mutualisation des risques que supportent les individus.

11 LE FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ REPOSE SUR UN CADRE INSTITUTIONNEL Les règles qui déterminent le cadre institutionnel ont pour objectifs : la garantie de bonne exécution des contrats l'accès à l information la confiance mutuelle des intervenants sur le marché. Le cadre institutionnel mis en place par les pouvoirs publics Les institutions juridiques : droit public / droit privé : droit des affaires, droit des sociétés, droit du travail, droit de la concurrence Ces institutions fixent les règles, traitent les litiges, et sanctionnent les comportements répréhensibles. Elles s'appuient sur des organismes spécialisés : Autorité de la concurrence, Autorité des marchés financiers qui formulent des interdictions, exercent des contrôles, et prononcent des sanctions. Les institutions financières fournissent les moyens de paiement et les ressources de financement, et exercent la régulation des marchés financiers. La Sécurité sociale prend en charge la mutualisation des risques que supportent les individus.

12 LE PRIX CONSTITUE LA VARIABLE D AJUSTEMENT DE L OFFRE ET DE LA DEMANDE Le prix permet de rendre compatibles les décisions d offrir et de demander formulées par les multiples agents économiques sur les différents marchés. Le prix permet de coordonner les multiples décisions économiques de consommation, de production, et d investissement. Le prix est un indicateur de rareté. Le prix permet de gérer la rareté.

13 LE PRIX CONSTITUE LA VARIABLE D AJUSTEMENT DE L OFFRE ET DE LA DEMANDE Le prix permet de rendre compatibles les décisions d offrir et de demander formulées par les multiples agents économiques sur les différents marchés. Le prix permet de coordonner les multiples décisions économiques de consommation, de production, et d investissement. Le prix est un indicateur de rareté. Le prix permet de gérer la rareté.

14 LES DÉTERMINANTS D UNE DÉCISION ÉCONOMIQUE Le prix n est pas la seule variable qui détermine la demande d un produit. La demande dépend aussi du revenu (contrainte budgétaire), et du prix des autres produits. Les effets d une variation de prix ou de revenu sur la demande se mesurent par l élasticité, qui est la mesure de la sensibilité de la demande à une variation de prix ou de revenu : Élasticité-prix = variation relative de la demande comparée à la variation relative de prix = ( D/D)/( P/P) Élasticité-revenu = variation relative de la demande comparée à la variation relative de revenu ( D/D)/( R/R) On peut calculer des élasticités croisées, donc l'effet de la variation du prix d'un bien sur la demande d'un autre bien (biens substituables ou complémentaires).

15 LES DÉTERMINANTS D UNE DÉCISION ÉCONOMIQUE Le prix n est pas la seule variable qui détermine la demande d un produit. La demande dépend aussi du revenu (contrainte budgétaire), et du prix des autres produits. Les effets d une variation de prix ou de revenu sur la demande se mesurent par l élasticité, qui est la mesure de la sensibilité de la demande à une variation de prix ou de revenu : Élasticité-prix = variation relative de la demande comparée à la variation relative de prix = ( D/D)/( P/P) Élasticité-revenu = variation relative de la demande comparée à la variation relative de revenu ( D/D)/( R/R) On peut calculer des élasticités croisées, donc l'effet de la variation du prix d'un bien sur la demande d'un autre bien (biens substituables ou complémentaires).

16 Une décision économique est une analyse «coût / avantage / risque» Une décision économique intègre les analyses de la situation et les anticipations des agents économiques face à l avenir : Les agents se trouvent exposés à des situations d arbitrages (achat ou location / achat au comptant ou à crédit / épargne ou consommation / maintien ou remplacement d'une machine-outil, investissement matériel ou embauche ) Les agents font des prévisions (en fonction de la situation du marché, de la hausse des prix ) Les agents prennent des risques (décisions stratégiques pour les entreprises ) Ces choix économiques concernent les trois marchés et donc concernent les investisseurs, les consommateurs, et les épargnants.

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29 LA MONNAIE DANS L ÉCHANGE Définition de la masse monétaire : M3 = quantité de monnaie en circulation dans une économie. Le classement se fait par ordre de liquidité décroissante : billets + pièces + dépôts à vue + livrets sans risques + titres négociables (SICAV, FCP )

30 LA MONNAIE DANS L ÉCHANGE Définition de la masse monétaire : M3 = quantité de monnaie en circulation dans une économie. Le classement se fait par ordre de liquidité décroissante : billets + pièces + dépôts à vue + livrets sans risques + titres négociables (SICAV, FCP )

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33 Les qualités attendues de la monnaie dans l échange Stabilité interne : la stabilité s'oppose à l'inflation. Stabilité externe : le pouvoir d'achat d'une devise doit être garanti. + La monnaie joue un rôle social et politique intégrateur. Le système monétaire est basé sur la notion de confiance.

34 Les qualités attendues de la monnaie dans l échange Stabilité interne : la stabilité s'oppose à l'inflation. Stabilité externe : le pouvoir d'achat d'une devise doit être garanti. + La monnaie joue un rôle social et politique intégrateur. Le système monétaire est basé sur la notion de confiance.

35 Les qualités attendues de la monnaie dans l échange Stabilité interne : la stabilité s'oppose à l'inflation. Stabilité externe : le pouvoir d'achat d'une devise doit être garanti. + La monnaie joue un rôle social et politique intégrateur. Le système monétaire est basé sur la notion de confiance. L importance de la monnaie L'évolution de la masse monétaire a des effets sur la croissance économique et sur le niveau général des prix.

36 Les qualités attendues de la monnaie dans l échange Stabilité interne : la stabilité s'oppose à l'inflation. Stabilité externe : le pouvoir d'achat d'une devise doit être garanti. + La monnaie joue un rôle social et politique intégrateur. Le système monétaire est basé sur la notion de confiance. L importance de la monnaie L'évolution de la masse monétaire a des effets sur la croissance économique et sur le niveau général des prix.

37 Les qualités attendues de la monnaie dans l échange Stabilité interne : la stabilité s'oppose à l'inflation. Stabilité externe : le pouvoir d'achat d'une devise doit être garanti. + La monnaie joue un rôle social et politique intégrateur. Le système monétaire est basé sur la notion de confiance. L importance de la monnaie L'évolution de la masse monétaire a des effets sur la croissance économique et sur le niveau général des prix. Les conséquences de l inflation L inflation perturbe les anticipations des agents, faussent leurs calculs : l information n est plus transparente, le grille de prix se déforme. L inflation induit une hausse des taux d intérêt puisque les prêteurs veulent se protéger. L inflation implique une perte du pouvoir d achat de la monnaie, en interne (si les revenus restent fixes) comme en externe (baisse de la compétitivité-prix des biens nationaux).

38 L ÉTAT ET LE FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ LA RÉGULATION Les fondements théoriques la théorie classique L État doit se limiter aux fonctions régaliennes (sécurité, justice, monnaie) la théorie keynésienne L État doit intervenir pour soutenir l activité la théorie de Musgrave L État a 3 fonctions : - Régulation de l activité = lutter contre les fluctuations conjoncturelles - Redistribution = répartition primaire --> répartition secondaire - Allocation des ressources = corriger ou suppléer les mécanismes de marché, en produisant des services publics, marchands ou non marchands.

39 L ÉTAT ET LE FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ LA RÉGULATION Les fondements théoriques la théorie classique L État doit se limiter aux fonctions régaliennes (sécurité, justice, monnaie) la théorie keynésienne L État doit intervenir pour soutenir l activité la théorie de Musgrave L État a 3 fonctions : - Régulation de l activité = lutter contre les fluctuations conjoncturelles - Redistribution = répartition primaire --> répartition secondaire - Allocation des ressources = corriger ou suppléer les mécanismes de marché, en produisant des services publics, marchands ou non marchands.

40 Les interventions de l État - L'État garantit le bon fonctionnement du marché. L État légifère pour interdire les monopoles, les abus de position dominante, les ententes sur les prix qui limitent la concurrence (condamnation de trois opérateurs de téléphonie mobile français en Orange, SFR et Bouygues, de fabricants de yaourts en 2015 ). - L État doit protéger les consommateurs, donc garantir des produits de bonne qualité et sans dangers.

41 - L'État est producteur : Il fournit des services non-marchands (entretien des routes, éclairage public, musées, ) Les services non-marchands peuvent relever de la responsabilité des administrations publiques centrales (justice, police, armée ) ou être assurés par les administrations locales comme la région, le département, et la commune (ramassage des ordures ménagères, transports publics )

42 - L'État est producteur : Il fournit des services non-marchands (entretien des routes, éclairage public, musées, ) Les services non-marchands peuvent relever de la responsabilité des administrations publiques centrales (justice, police, armée ) ou être assurés par les administrations locales comme la région, le département, et la commune (ramassage des ordures ménagères, transports publics )

43 - L'État est producteur : Il fournit des services non-marchands (entretien des routes, éclairage public, musées, ) Les services non-marchands peuvent relever de la responsabilité des administrations publiques centrales (justice, police, armée ) ou être assurés par les administrations locales comme la région, le département, et la commune (ramassage des ordures ménagères, transports publics ) - L État participe à la production marchande. Il est actionnaire de certains groupes (EDF, Aéroports de Paris, Renault).

44 - L'État est producteur : Il fournit des services non-marchands (entretien des routes, éclairage public, musées, ) Les services non-marchands peuvent relever de la responsabilité des administrations publiques centrales (justice, police, armée ) ou être assurés par les administrations locales comme la région, le département, et la commune (ramassage des ordures ménagères, transports publics ) - L État participe à la production marchande. Il est actionnaire de certains groupes (EDF, Aéroports de Paris, Renault).

45 - L'État est producteur : Il fournit des services non-marchands (entretien des routes, éclairage public, musées, ) Les services non-marchands peuvent relever de la responsabilité des administrations publiques centrales (justice, police, armée ) ou être assurés par les administrations locales comme la région, le département, et la commune (ramassage des ordures ménagères, transports publics ) - L État participe à la production marchande. Il est actionnaire de certains groupes (EDF, Aéroports de Paris, Renault). - L'État fixe certains prix (SNCF, autoroutes, énergie, médicaments ) - L'État prend en charge des biens publics : Il se substitue au marché en assurant lui-même la production et/ou le financement de biens publics. Il peut influencer les décisions des agents économiques en matière de production d externalités, par le biais de taxes (= mesures fiscales), par le biais de subventions (= mesures financières), par des mesures informatives ou incitatives (exemple : bonus-malus automobile). Il peut créer un marché ad hoc (exemple : marché des droits à polluer).

46 - L'État est producteur : Il fournit des services non-marchands (entretien des routes, éclairage public, musées, ) Les services non-marchands peuvent relever de la responsabilité des administrations publiques centrales (justice, police, armée ) ou être assurés par les administrations locales comme la région, le département, et la commune (ramassage des ordures ménagères, transports publics ) - L État participe à la production marchande. Il est actionnaire de certains groupes (EDF, Aéroports de Paris, Renault). - L'État fixe certains prix (SNCF, autoroutes, énergie, médicaments ) - L'État prend en charge des biens publics : Il se substitue au marché en assurant lui-même la production et/ou le financement de biens publics. Il peut influencer les décisions des agents économiques en matière de production d externalités, par le biais de taxes (= mesures fiscales), par le biais de subventions (= mesures financières), par des mesures informatives ou incitatives (exemple : bonus-malus automobile). Il peut créer un marché ad hoc (exemple : marché des droits à polluer).

47 Les objectifs LA RÉGULATION - Récapitulatif Les acteurs Les moyens Garantir les conditions de fonctionnement des marchés par un cadre institutionnel relatif aux règles de la concurrence ==> Établir des règles, contrôler, sanctionner ==> Instaurer un climat de confiance. - L État - Les autorités de régulation : Autorité de la concurrence, Autorité des marchés financiers - Les instances supranationales : institutions européennes et mondiales - Développer l information sur les marchés - Faire respecter la concurrence = réprimer les pratiques anticoncurrentielles comme les ententes et les abus de position dominante = corriger les dysfonctionnements de marché. - Corriger les défaillances du marché : Produire et financer des biens publics Internaliser les externalités par la réglementation ou la fiscalité

48 Les objectifs LA RÉGULATION - Récapitulatif Les acteurs Les moyens Garantir les conditions de fonctionnement des marchés par un cadre institutionnel relatif aux règles de la concurrence ==> Établir des règles, contrôler, sanctionner ==> Instaurer un climat de confiance. - L État - Les autorités de régulation : Autorité de la concurrence, Autorité des marchés financiers - Les instances supranationales : institutions européennes et mondiales - Développer l information sur les marchés - Faire respecter la concurrence = réprimer les pratiques anticoncurrentielles comme les ententes et les abus de position dominante = corriger les dysfonctionnements de marché. - Corriger les défaillances du marché : Produire et financer des biens publics Internaliser les externalités par la réglementation ou la fiscalité

49 Les objectifs LA RÉGULATION - Récapitulatif Les acteurs Les moyens Garantir les conditions de fonctionnement des marchés par un cadre institutionnel relatif aux règles de la concurrence ==> Établir des règles, contrôler, sanctionner ==> Instaurer un climat de confiance. - L État - Les autorités de régulation : Autorité de la concurrence, Autorité des marchés financiers - Les instances supranationales : institutions européennes et mondiales - Développer l information sur les marchés - Faire respecter la concurrence = réprimer les pratiques anticoncurrentielles comme les ententes et les abus de position dominante = corriger les dysfonctionnements de marché. - Corriger les défaillances du marché : Produire et financer des biens publics Internaliser les externalités par la réglementation ou la fiscalité

50 L OUVERTURE DES ÉCONOMIES Les outils d étude de l ouverture des économies Analyse de tableaux et de graphiques. Appréciation du degré d ouverture d une économie ou d un secteur. Analyse des flux internationaux de biens et services. Les notions fondamentales : - taux de degré d ouverture = [½ (X+M) / PIB] x taux de couverture = valeur X / valeur M - taux de pénétration = M / marché intérieur - termes de l échange = indice prix à X / indice prix M

51 L OUVERTURE DES ÉCONOMIES Les outils d étude de l ouverture des économies Analyse de tableaux et de graphiques. Appréciation du degré d ouverture d une économie ou d un secteur. Analyse des flux internationaux de biens et services. Les notions fondamentales : - taux de degré d ouverture = [½ (X+M) / PIB] x taux de couverture = valeur X / valeur M - taux de pénétration = M / marché intérieur - termes de l échange = indice prix à X / indice prix M

52 L OUVERTURE DES ÉCONOMIES Les outils d étude de l ouverture des économies Analyse de tableaux et de graphiques. Appréciation du degré d ouverture d une économie ou d un secteur. Analyse des flux internationaux de biens et services. Les notions fondamentales : - taux de degré d ouverture = [½ (X+M) / PIB] x taux de couverture = valeur X / valeur M - taux de pénétration = M / marché intérieur - termes de l échange = indice prix à X / indice prix M

53 LA BALANCE DES PAIEMENTS BALANCE DES TRANSACTIONS COURANTES Echanges de biens (marchandises = produits agricoles, produits manufacturés ) et de services (transports, assurances, grands travaux, services financiers ) Revenus du capital (IDE) ou du travail des agents non résidents COMPTE DE CAPITAL COMPTE FINANCIER Mouvements de capitaux = - Les IDE - Les achats et les ventes de titres. Transferts courants (dons publics ou privés) Les soldes des comptes de transactions courantes se traduisent en termes de capacité ou de besoin de financement de la Nation.

54 LA BALANCE DES PAIEMENTS BALANCE DES TRANSACTIONS COURANTES Echanges de biens (marchandises = produits agricoles, produits manufacturés ) et de services (transports, assurances, grands travaux, services financiers ) Revenus du capital (IDE) ou du travail des agents non résidents COMPTE DE CAPITAL COMPTE FINANCIER Mouvements de capitaux = - Les IDE - Les achats et les ventes de titres. Transferts courants (dons publics ou privés) Les soldes des comptes de transactions courantes se traduisent en termes de capacité ou de besoin de financement de la Nation.

55 LA BALANCE DES PAIEMENTS BALANCE DES TRANSACTIONS COURANTES Echanges de biens (marchandises = produits agricoles, produits manufacturés ) et de services (transports, assurances, grands travaux, services financiers ) Revenus du capital (IDE) ou du travail des agents non résidents COMPTE DE CAPITAL COMPTE FINANCIER Mouvements de capitaux = - Les IDE - Les achats et les ventes de titres. Transferts courants (dons publics ou privés) Les soldes des comptes de transactions courantes se traduisent en termes de capacité ou de besoin de financement de la Nation.

56 LES MÉCANISMES DE CHANGE Les échanges internationaux (biens, services, capitaux) nécessitent des échanges de devises.

57 LES MÉCANISMES DE CHANGE Les échanges internationaux (biens, services, capitaux) nécessitent des échanges de devises.

58 LES MÉCANISMES DE CHANGE Les échanges internationaux (biens, services, capitaux) nécessitent des échanges de devises. - Opérations de change = conversion d une monnaie en une autre monnaie. - Taux de change = prix d une monnaie exprimé en une autre monnaie. Ce prix varie en fonction de l offre et la demande sur le marché des changes. Le taux de change exerce une influence sur le comportement des agents dans leur choix de consommation ou d implantation à l étranger.

59 LES MÉCANISMES DE CHANGE Les échanges internationaux (biens, services, capitaux) nécessitent des échanges de devises. - Opérations de change = conversion d une monnaie en une autre monnaie. - Taux de change = prix d une monnaie exprimé en une autre monnaie. Ce prix varie en fonction de l offre et la demande sur le marché des changes. Le taux de change exerce une influence sur le comportement des agents dans leur choix de consommation ou d implantation à l étranger.

60 LES MÉCANISMES DE CHANGE Les échanges internationaux (biens, services, capitaux) nécessitent des échanges de devises. - Opérations de change = conversion d une monnaie en une autre monnaie. - Taux de change = prix d une monnaie exprimé en une autre monnaie. Ce prix varie en fonction de l offre et la demande sur le marché des changes. Le taux de change exerce une influence sur le comportement des agents dans leur choix de consommation ou d implantation à l étranger.

61 LES MÉCANISMES DE CHANGE Les échanges internationaux (biens, services, capitaux) nécessitent des échanges de devises. - Opérations de change = conversion d une monnaie en une autre monnaie. - Taux de change = prix d une monnaie exprimé en une autre monnaie. Ce prix varie en fonction de l offre et la demande sur le marché des changes. Le taux de change exerce une influence sur le comportement des agents dans leur choix de consommation ou d implantation à l étranger. Les effets du taux de change sur les décisions des producteurs et consommateurs dépendent : - de l élasticité de la demande par rapport au prix - de l importance de la compétitivité-prix ou hors-prix.

62 LE FONDEMENT DE L ÉCHANGE INTERNATIONAL L intérêt des coéchangistes S approvisionner en biens non disponibles sur le territoire national, ou dont la qualité et le coût sont différents de ceux des biens que l on trouve sur le territoire national. Le commerce inter-branche : complémentarité des économies et logique de spécialisation Le commerce intra-branche : logique de similitude

63 LE FONDEMENT DE L ÉCHANGE INTERNATIONAL L intérêt des coéchangistes S approvisionner en biens non disponibles sur le territoire national, ou dont la qualité et le coût sont différents de ceux des biens que l on trouve sur le territoire national. Le commerce inter-branche : complémentarité des économies et logique de spécialisation Le commerce intra-branche : logique de similitude Les fondements théoriques de l échange international - Ricardo : les avantages comparatifs - HOS : les dotations en facteurs de production - Krugman : Les échanges internationaux se développent surtout entre pays développés aux dotations en facteurs qui sont semblables, contrairement aux attentes de la théorie de HOS (Heckser-Ohlin-Samuelson) Le commerce intra-branche représente une part significative des pays développés, contrairement aux attentes des théories de Ricardo et HOS. Le commerce se fait avant tout par différenciation des produits.

64 LE FONDEMENT DE L ÉCHANGE INTERNATIONAL L intérêt des coéchangistes S approvisionner en biens non disponibles sur le territoire national, ou dont la qualité et le coût sont différents de ceux des biens que l on trouve sur le territoire national. Le commerce inter-branche : complémentarité des économies et logique de spécialisation Le commerce intra-branche : logique de similitude Les fondements théoriques de l échange international - Ricardo : les avantages comparatifs - HOS : les dotations en facteurs de production - Krugman : Les échanges internationaux se développent surtout entre pays développés aux dotations en facteurs qui sont semblables, contrairement aux attentes de la théorie de HOS (Heckser-Ohlin-Samuelson) Le commerce intra-branche représente une part significative des pays développés, contrairement aux attentes des théories de Ricardo et HOS. Le commerce se fait avant tout par différenciation des produits.

65 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL La DIT est la division du travail appliquée au commerce international. Les grandes tendances Les pays se spécialisent sur les produits où ils possèdent des avantages comparatifs, mais aussi par différenciation des produits. La DIT évolue : les économies des pays ne se spécialisent pas toujours par types de produits, mais la division du travail évolue vers une décomposition plus poussée de la chaine de valeur, appelée DIPP : Division Internationale du Processus Productif.

66 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL La DIT est la division du travail appliquée au commerce international. Les grandes tendances Les pays se spécialisent sur les produits où ils possèdent des avantages comparatifs, mais aussi par différenciation des produits. La DIT évolue : les économies des pays ne se spécialisent pas toujours par types de produits, mais la division du travail évolue vers une décomposition plus poussée de la chaine de valeur, appelée DIPP : Division Internationale du Processus Productif.

67 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL La DIT est la division du travail appliquée au commerce international. Les grandes tendances Les pays se spécialisent sur les produits où ils possèdent des avantages comparatifs, mais aussi par différenciation des produits. La DIT évolue : les économies des pays ne se spécialisent pas toujours par types de produits, mais la division du travail évolue vers une décomposition plus poussée de la chaine de valeur, appelée DIPP : Division Internationale du Processus Productif. Les flux mondiaux évoluent : Les exportations des pays du Sud sont de moins en moins constituées de matières premières et incorporent de plus de plus de produits manufacturés. Ceci correspond à l industrialisation des pays émergents tels que l'indonésie ou les BRIC. Cependant la compétition n'est pas généralisée : les pays émergents se spécialisent sur les produits à fort contenu de main d'œuvre, alors que les pays développés se spécialisent sur les produits à haute technologie : biotechnologies, nanotechnologies, aéronautique.

68 Merci pour votre attention Bon courage pour l économie et la fin de votre formation

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