Traitement à l eau chaude des. Ecole d Ingénieurs de Changins

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Traitement à l eau chaude des. Ecole d Ingénieurs de Changins"

Transcription

1 Traitement à l eau chaude des bois et plants de vigne Journée de formation continue du SSSH Martigny - 10 mars 2009 Philippe DUPRAZ, Prof. de Viticulture Ecole d Ingénieurs de Changins 1

2 Plan de l exposé 1. La multiplication de la vigne 2. Particules et organismes pathogènes transmis lors de la multiplication végétative de la vigne 3. Utilisation de la chaleur pour éliminer i les pathogènes Thermothérapie 3. 2 Traitement à l eau chaude (TEC) 4. Pi Principes i de lutte contre les jaunisses à phytoplasme 5. TEC : conséquences précautions, contrôles, suivi, i 2

3 1. La multiplication li de la vigne La vigne est principalement multipliée par voie végétative ét ti : bouturage et greffage La voie sexuée n est utilisée que pour la création de nouvelles variétés La voie végétative a aussi des conséquences négatives : = la multiplication et la transmission de pathogènes : viroïdes et virus phytoplasmes bactéries 3 champignons

4 2. Particules et organismes pathogènes transmis lors de la multiplication végétative de la vigne 2. 1 Viroïdes et virus > 30 viroses identifiées Pertes économiques importantes : pertes de rendement pertes de qualité coût de la lutte contre les vecteurs 4 coût du renouvellement des cultures

5 2. 1 Viroïdes et virus Exemple : Complexe du «Court noué de la vigne» «Nepovirus», > 10 sérotypes identifiés 5 Feuille de Chardonnay saine Feuille de Chardonnay virosée

6 2. 1 Viroïdes et virus Exemple : Complexe du «Court noué de la vigne» 6 Feuilles de Chasselas virosées Grappes de Garanoir millerandées

7 2. 1 Viroïdes et virus Exemple : Complexe de l «Enroulement de la vigne» Pinot noir feuillage virosé Pinot noir feuillage sain 7

8 2. 1 Viroïdes et virus Exemple : Complexe de l «Enroulement de la vigne» Pinot noir feuille virosée «Closterovirus», > 10 sérotypes identifiés 8

9 2. 2 Phytoplasmes Exemple : Complexe des «Jaunisses de la vigne» 2 affections dont les symptômes sont identiques : «Bois Noir» (BN) «Flavescence dorée» (FD) FD = épidémique, maladie de quarantaine!! 9

10 Symptômes de Jaunisses de la vigne cépage Aligoté cépage Chardonnay 10 Source des illustrations : Service de l agriculture de l Etat de Genève (

11 Symptômes de Jaunisses de la vigne cépage Pinot noir cépage Gamaret 11 Source des illustrations : Service de l agriculture de l Etat de Genève (

12 2. 3 Autres pathogènes Bactéries : «Maladie de Pierce» (USA) «Broussin»(A» (Agrobactérium b i tumefaciens) ) Champignons : «Excoriose» «Esca» (> 60 champignons!) 12 «Eutypiose»

13 3. Utilisation de la chaleur pour éliminer les pathogènes Remarque préliminaire : La chaleur n est pas utilisée dans le cadre de la lutte contre : les bactéries les champignons 3.1 Thermothérapie Principe : la plante (en pot) est mise en croissance dans des conditions particulières : 38 C, 60% HR 13 dans ces conditions, la multiplication des cellules végétales est plus rapide que celle des particules virales

14 3. Utilisation de la chaleur pour éliminer les pathogènes Thermothérapiehé Principe (suite) : après env. 2 mois, une extrémité de croissance est prélevée et bouturée (départ d une nouvelle lignée saine) les plantes initiales sont toujours inféctées ( curatif) effets secondaires (vigueur, modifications phénotypiques) 14 cette méthode est de plus en plus délaissée au profit du μ-greffage d apex (in-vitro)

15 3. Utilisation de la chaleur pour éliminer les pathogènes 3.2 Traitement à l eau chaude (TEC) Principe : les particules de phytoplasme sont plus sensibles à la chaleur que les cellules végétales. Trempage des bois de vigne dans un bain d eau chaude (50 C), durant 45 minutes Dans ces conditions, les phytoplasmes sont dénaturés. é = opération délicate : la limite de sensibilité thermique de la vigne est proche de celle des phytoplasmes (voir schéma) 15

16 Plages de traitements t efficaces pour guérir les bois de la Flavescence dorée (Caudwell, 1990) Source des illustrations : Brochure : «Jaunisses de la Vigne», groupe de travail ENTAV, France,

17 4. Principes de lutte contre les jaunisses à phytoplasme 1. Quarantaine (FD), précautions à l import 2. Destruction des plantes malades 3. Lutte contre les insectes vecteurs : traitement insecticide régional obligatoire Sélection de plantes saines, mais durée d incubation et latence :????????? mois,?? années? Traitement à l eau chaude = sécurité!!

18 5. TEC : conséquences précautions, suivi, Conséquences possibles du TEC : retards de croissance mortalité de bois faibles, épuisés ou blessés Précautions: qualité de conservation (1-3 C, 98% HR) acclimatation (avant et après TEC) 18 éviter les fongicides désinfectants

19 5. TEC : conséquences précautions, suivi, Matériel traité : sarments greffons sarments porte-greffes jeunes plants de vigne 19

20 5. TEC : conséquences précautions, suivi, Conditionnement et stockage des plants de vigne : 20

21 5. TEC : conséquences précautions, suivi, Quand effectuer le TEC? : Année X Année X calendrier Stockage des plants en chambre froide? Chute des feuilles, Arrachage de la pépinière OK??X Plantation de la vigne 21

22 22 Source des illustrations : Chambre d Agriculture de Saône et Loire Mâcon- France

23 23 Source des illustrations : Chambre d Agriculture de Saône et Loire Mâcon- France

24 24 Source des illustrations : Chambre d Agriculture de Saône et Loire Mâcon- France

25 25 Source des illustrations : Chambre d Agriculture de Saône et Loire Mâcon- France

26 26 Source des illustrations : Chambre d Agriculture de Saône et Loire Mâcon- France

27 27 Source des illustrations : Chambre d Agriculture de Saône et Loire Mâcon- France

28 5. TEC : conséquences précautions, suivi, Contrôle des températures : Thermostats et affichage digital de la machine Data-logger type «Hot dog» 2 sondes placées dans le panier de traitement 28

29 Durée effective à 50 C: 30 minutes Durée du trempage : 45 minutes 29 Source des illustrations : Ph. Dupraz, données du travail de diplôme HES Œnologie, Mme H. Ponnaz, 2008

30 30 Source des illustrations : Ph. Dupraz, données du travail de diplôme HES Œnologie, Mme H. Ponnaz, 2008

31 31 Traitement à l eau chaude des bois et plants de vigne

32 Merci pour votre attention ti! 32

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique

La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique Mai 2014 Document rédigé par Nicolas Constant Josquin Lernould dans le cadre de leur mission d animation du sous-groupe «Flavescence dorée»

Plus en détail

BANC D ETALONNAGE EN TEMPERATURE

BANC D ETALONNAGE EN TEMPERATURE BANC D ETALONNAGE EN TEMPERATURE Nicolas Lavenant¹, Martine Ollitrault², Yannick Hamon³, Nicolas Gilliet³, Yannick Fauvel ³, Mickael Faucheux ³ ¹ CNRS/ Université UMR6118 Géosciences (Beaulieu Université

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle

Plus en détail

Votre Prestataire. Nom : CRM. Activité : Elaboration de menus, fabrication, vente et livraison de repas pour. collectivités.

Votre Prestataire. Nom : CRM. Activité : Elaboration de menus, fabrication, vente et livraison de repas pour. collectivités. L esprit qualité De la gestion sur site aux repas livrés avec ou sans personnel, des repas quotidiens aux repas d affaires. CRM propose une large gamme de services. Concepteur, partenaire dans les projets

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

La métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart

La métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général

Plus en détail

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015 1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Thermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE

Thermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE MAKING MODERN LIVING POSSIBLE Fiche technique Thermostate, Type KP Les thermostats de type KP sont des commutateurs électriques unipolaires dont le fonctionnement est lié à la température (SPDT). Un thermostat

Plus en détail

MODE D EMPLOI FRITEUSE FP4F

MODE D EMPLOI FRITEUSE FP4F MODE D EMPLOI FRITEUSE FP4F CARTE DE GARANTIE Chère cliente, cher client, Nos produits sont soumis à des contrôles de qualité rigoureux. Si malgré ces contrôles, votre appareil ne fonctionne pas correctement,

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO

LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO Peu importe le domaine d activité, les entreprises les plus florissantes

Plus en détail

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES !"#!$# #"%&&&&' 1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES DEMANDES... 5 1.5.1. Du lundi au vendredi

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments. Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30

La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments. Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30 La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30 Plan de présentation Cadre légal Types et catégories de permis

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

Formations au centre ou sur site : . Travailler avec les produits de la mer La Méthode HACCP et le guide des bonnes pratiques

Formations au centre ou sur site : . Travailler avec les produits de la mer La Méthode HACCP et le guide des bonnes pratiques «Centre de formation des métiers de bouche» «Atelier conseils» Professionnels de la restauration - Amateurs & Passionnés Un nouveau concept de formation aux métiers de bouche Recevoir deviendra pour vous,

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Le Casino de Montréal & les installations à multiples compresseurs

Le Casino de Montréal & les installations à multiples compresseurs 2014-12-02 Le Casino de Montréal & les installations à multiples compresseurs Luc Simard, ing. M.Sc Directeur de département, Réfrigération-Plomberie-Chauffage Refroidissement WSP Canada 2 Contenu de la

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

Modalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014

Modalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014 Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher

Plus en détail

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Bulletin d information

Bulletin d information Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A. De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel).

CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A. De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel). CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel). Le réservoir galvanisé augmente l espérance de vie du chauffe-eau.

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de

Plus en détail

Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010

Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010 Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR LI214x FR 704776/00 10/2010 Contenu 1 Remarque préliminaire 3 1.1 Symboles utilisés 3 2 Consignes de sécurité 3 3 Fonctionnement et caractéristiques 4 3.1 Application

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre <5mm peu de dégâts

Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre <5mm peu de dégâts 1. 2 CHAPITRE 2 : PROTECTION DES CULTURES CONTRE LES ACCIDENTS CLIMATIQUES 2.1 Grêle Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

le coupage de vins en Valais

le coupage de vins en Valais Grand Conseil Commission de gestion Grosser Rat COMMISSION DE GESTION DU GRAND CONSEIL Rapport sur le coupage de vins en Valais Session de juin 2014 Commission de gestion 2/11 SOMMAIRE Page 1. INTRODUCTION...

Plus en détail

Typ REA 120 Lit REA 200 Lit REA 300 Lit Capacité 120 l 200 l 300 l Dimensions Cuve (HxBxT)

Typ REA 120 Lit REA 200 Lit REA 300 Lit Capacité 120 l 200 l 300 l Dimensions Cuve (HxBxT) Chaudière industrielle REA Standard - Entièrement en acier chrome nickel avec bain à l huile thermique - Robinet de purge - Aditec-display digital programmateur électronique de temps et de température

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

THESE DOCTEUR EN BIOLOGIE. BASES MOLECULAIRES DE LA VARIATION CLONALE CHEZ LA VIGNE (Vitis vinifera L.)

THESE DOCTEUR EN BIOLOGIE. BASES MOLECULAIRES DE LA VARIATION CLONALE CHEZ LA VIGNE (Vitis vinifera L.) MONTPELLIER SUPAGRO Centre International d'etudes Supérieures en Sciences Agronomiques THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR EN BIOLOGIE ECOLE DOCTORALE SIBAGHE Systèmes Intégrés en Biologie, Agronomie,

Plus en détail

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 O N I T A R RESTAU E V I T C COLLE FORMATIONS Ain mon Département, Introduction La réglementation européenne impose à tout personnel travaillant

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

SYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...

SYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements

Plus en détail

Fiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT

Fiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT Fiche commerciale Pompes à chaleur Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010 bi-bloc MT INNOVATION 2010 Communiqué de presse Arcoa Nouvelle gamme de pompes à chaleur bi-bloc Des

Plus en détail

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients

Plus en détail

Est-elle bonne à boire?

Est-elle bonne à boire? Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent

Plus en détail

REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana

REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana CONTEXTE 2 INTRODUCTION... 2 I. QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS... 2 I.1. Qu est ce que les archives?... 2 I.2. Pourquoi archiver?... 2 I.3.

Plus en détail

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat

Plus en détail

WWW.PROSENSOR.COM NOUVEAU SITE INTERNET S O N D E À C O M P O S T

WWW.PROSENSOR.COM NOUVEAU SITE INTERNET S O N D E À C O M P O S T Le ministère de l écologie a par arrêté du 22 avril 2008, fixé les règles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de compostage ( NOR : DEVP0810090A). Cet arrêté stipule que la température

Plus en détail

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

MODÈLE C Électronique

MODÈLE C Électronique MODÈLE C Électronique MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.880.5012 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER

Plus en détail

Lombricompost. «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante»

Lombricompost. «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante» Lombricompost 1 «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante» Table des matières 1-Définition 3 2. Les différents types d engrais utilisés par les agriculteurs 3 21. Engrais d ordure de la ville 3 22.

Plus en détail

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment

Plus en détail

2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010

2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010 SOLUTIONS D EAU CHAUDE SANITAIRE En 2010, le marché de l ECS en France représente 2 195 257 ballons ECS de différentes technologies. Dans ce marché global qui était en baisse de 1,8 %, les solutions ENR

Plus en détail

Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016

Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Classe de 6 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petit) Classe de 5 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petits) Classe de 4 ème

Plus en détail

ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0

ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 Nouvelle solution eau chaude solaire auto-vidangeable estampillée NF CESI et Bleu Ciel

Plus en détail

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons Cas Florette Durée de préparation : 1 h 25 Durée de passage 30 min Coefficient 6 Session Juin 2013 sujet SITUATION

Plus en détail

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude. Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude

Plus en détail

Echafaudages Caractéristiques générales

Echafaudages Caractéristiques générales Echafaudages Caractéristiques générales Mise à jour Octobre 2009 Echafaudage multidirectionnel, multiniveaux 12 7 22 20 14 11 23 21 6 15 13 10 4 5 18 17 16 19 3 9 8 2 1 1 Cale-bois 2 Socle réglable 3 Poteau

Plus en détail

LE MOT DU PRESIDENT. «La technique pour le défi de la qualité»

LE MOT DU PRESIDENT. «La technique pour le défi de la qualité» LE MOT DU PRESIDENT Le Colloque Viticole et Œnologique Régional 2012, organisé par la Chambre d Agriculture de Loir-et-Cher aura pour thème cette année : «La technique pour le défi de la qualité» 2012

Plus en détail

APRES LE BAC S 2012-20133

APRES LE BAC S 2012-20133 APRES LE BAC S 2012-20133 2012-2013 Après le Bac ES acquérir une qualification professionnelle validée par un diplôme professionnel Quelle que soit la durée des études envisagées ne pas interrompre ses

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Catalogue formation 2015. Le réseau FREDON-FDGDON, un partenaire natur ellement expert pour vos besoins de formation

Catalogue formation 2015. Le réseau FREDON-FDGDON, un partenaire natur ellement expert pour vos besoins de formation Catalogue formation 2015 Le réseau FREDON-FDGDON, un partenaire natur ellement expert pour vos besoins de formation SOMMAIRE 2 Qui sommes-nous? 3 Informations générales 4 à 8 Inscription 4 Frais d inscription

Plus en détail

VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale

VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale VEGEPOLYS, pour qui? 4000 entreprises en région appartenant à 8 filières et représentant 25 000 emplois 420 Chercheurs et techniciens 250 Adhérents 2500

Plus en détail

RÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat

RÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte

Plus en détail

M 1412. Secrétariat du Grand Conseil

M 1412. Secrétariat du Grand Conseil Secrétariat du Grand Conseil M 1412 Proposition présentée par les députés: M mes et MM. Nelly Guichard, Luc Barthassat, Claude Blanc, Hubert Dethurens, Henri Duvillard, Pierre Marti, Etienne Membrez, Michel

Plus en détail

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres

Plus en détail

Programme de formation du 2 ème semestre 2014

Programme de formation du 2 ème semestre 2014 Programme de formation du 2 ème semestre 2014 Commerçants, Artisans, Agriculteurs Centre de Gestion Agréé de l Aisne 8, rue Milon de Martigny - BP 24-02002 LAON cedex Tel: 03 23 79 00 65 - Fax: 03 23 23

Plus en détail

Toitures vertes : bien commun ou bien privé?

Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs

touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation

Plus en détail

La culture de la vigne au Québec; Tout ce dont vous devez savoir.

La culture de la vigne au Québec; Tout ce dont vous devez savoir. La culture de la vigne au Québec; Tout ce dont vous devez savoir. Texte rédigé pour les Journées horticoles des Laurentides Par Larbi Zerouala, agronome Conseiller en horticulture 450-971-5110, poste 227

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

biocides : définitions d et frontières res réglementaires

biocides : définitions d et frontières res réglementaires Les produits Conférence «Biocides» MEDDTL - ANSES 10/04/2012 biocides : définitions d et frontières res réglementaires Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances

Plus en détail

Mesure DBO/de la diminution d oxygène. La demande biochimique en oxygène (DBO) Respiration/Réduction

Mesure DBO/de la diminution d oxygène. La demande biochimique en oxygène (DBO) Respiration/Réduction Mesure DBO/de la diminution d oxygène La demande biochimique en oxygène (DBO) Mesure DBO conforme à EN 1889 1 et 1889 2 et à des fins d autocontrôle La demande biochimique en oxygène est un paramètre important

Plus en détail

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit

Plus en détail

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET

Plus en détail

Comment? chez le particulier ou en collectivité

Comment? chez le particulier ou en collectivité Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER

Plus en détail