La personne âgée, paradigme de la vulnérabilité? Agata ZIELINSKI

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1 La personne âgée, paradigme de la vulnérabilité? Agata ZIELINSKI P r o f e s s e u r e a g r é g é e d e p h i l o s o p h i e F a c u l t é d e M é d e c i n e d e N a n c y B é n é v o l e à l a M a i s o n M é d i c a l e J e a n n e G a r n i e r ( P a r i s )

2 GOYA Deux vieux mangeant une soupe ( )

3 Le regard, une responsabilité Le regard en 2 temps: La 1 ère réaction ne nous appartient pas. La 2 ème relève de notre volonté (responsabilité). Définition de l éthique Ce qui arrive. La situation. Malgré nous (cf. Levinas). Ce que l on en fait. L éthique, des questions: Comment regardons-nous? Et maintenant, qu est-ce qu on fait? Comment faire pour bien faire?

4 Les représentations de la vieillesse oambivalences: o Sagesse Respect. o Expérience de la vie. o Pouvoir symbolique (transmission, connaissance des généalogies ) o Accomplissement. o Naufrage Crainte. o La vieillesse en 3D: o Dépendance o Démence o Déchéance o Trompe-l œil? Envie?

5 Les représentations de la vieillesse o La personne âgée est-elle mon semblable? o Ce qui en nous résiste. o Quelle reconnaissance de l humain dans cette personne rendue méconnaissable (parfois aussi à ses propres yeux)? o Le visage: «La nudité du visage est dénuement. Reconnaître autrui, c est reconnaître une faim» (Levinas). o Surgissement. o Singularité. o Expression. o Vulnérabilité. o Plus l autre se présente comme vulnérable, plus je suis responsable de l humanité en lui, et entre nous.

6 Fragilité versus vulnérabilité Vulnérabilité: être exposé à Fait partie de la condition humaine. Fragilité: inhérente à son objet. Associée au handicap, à ce appartient à l identité. Ce qui nous est difficile dans le regard sur le grand âge: le constat du passage de la vulnérabilité à la fragilité. De l éventualité des pertes à leur réalité. Ce qui n était que contingent devient inhérent. La vulnérabilité se fige en fragilité Caractère irrémédiable.

7 Le miroir difficile Sénescence: temporalité de la perte, des privations. Miroir grossissant de notre «non toute puissance». Orientation du temps: être vers la mort (Heidegger). Proximité avec les morts, proximité avec la mort. Rétrécissement du champ des possibles. Miroir de notre «non immortalité».

8 Hans BALDUNG Les trois âges de la vie (1510)

9 Encore le regard Vulnérabilité et responsabilité: Autrui dans sa fragilité m apparaît exposé à la violence et à la dégradation. Je me trouve exposé à autrui (cf. Levinas). L attention, un aspect du soin. une attitude éthique. Sur fond d interdépendance (ne pas confondre dépendance et perte d autonomie: capacité à vouloir). Ouvrir des possibles. Pertes: attention aux capacités. Proximité de la mort: attention à la puissance de vie.

10 L attention aux capacités Pour que la vieillesse ne se réduise pas au bilan des incapacités repérer, valoriser, solliciter les capacités, en être témoin. Cf. Ricœur: Identité: répondre à la question Qui suis-je? répondre à la manière dont on a traversé le temps. Pouvoir faire (introduire du neuf). Pouvoir raconter (élaborer un sens à l existence). Pouvoir se reconnaître responsable.

11 L attention aux capacités Quid lorsque la mémoire, la conscience de soi défaillent? Attention à la sensibilité: Sens, corps. Affects, émotions. Enjeux: maintenir l estime de soi (le sentiment de dignité). Dimension relationnelle des capacités.

12 L attention à la puissance de vie La «puissance du vieillir» (Fr.Villa), soubassement des capacités. Mourir n est pas la conséquence de vieillir. La mort résulte de l impossibilité de continuer à vieillir = arrêt du vieillissement et non son produit. Attention à la puissance de vie (cf. conatus, Spinoza): reste présente au-delà des pertes, de la confusion

13 L attention à la puissance de vie Vieillir: capacité de rester en vie en étant traversé par la tension interne entre vie et mort. Cf. Blanchot: celui qui n a «jamais dit à la vie: Tais-toi! Et jamais à la mort: Va-t-en!». Cf. le rêve. Cf. les expériences limites. Capacité de résistance à l anéantissement: appartenance à l espèce humaine (cf. R.Antelme). Appel à reconnaître en l autre un semblable, pour qu il se reconnaisse comme humain. Être simplement un humain à côté d un humain.

14 À quoi nous convoque la grande vulnérabilité? Ricœur: «Vivant jusqu à la mort». «Pour les personnes âgées, dans fin de vie, il y a vie» (titre d un article de Libération, ) Levinas: «Finitude finissante, mais vie qui n est pas encore arrêtée dans l immobilité du masque mortuaire» (AE 145). Paradigme de notre relation aux plus vulnérables: Attention à ce qui de la vie s exprime encore. Maintenir la relation. Maintenir l humain.

15 Paul KLEE Senecio (Vieil homme), 1922

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