Fiche : CARACTERISATION CYTOGENETIQUE ET MOLECULAIRE DES LEUCEMIES PROLYMPHOCYTAIRES B. Coordonnateurs : F Nguyen Khac, E Chapiro
|
|
- Simon Giroux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 Fiche : CARACTERISATION CYTOGENETIQUE ET MOLECULAIRE DES LEUCEMIES PROLYMPHOCYTAIRES B Coordonnateurs : F Nguyen Khac, E Chapiro CONTEXTE La leucémie prolymphocytaire B (LPL B) est une pathologie rare, initialement décrite comme une variante de la leucémie lymphoïde chronique (LLC). Elle est actuellement reconnue dans la classification OMS comme une entité clinico biologique distincte définie par un taux de prolymphocytes supérieur à 55% des lymphocytes circulants, avec une lymphocytose généralement élevée, une splénomégalie et peu ou pas d adénopathies. Le score de Matutes est < 3. Il existe des formes de novo et des formes secondaires à une hémopathie lymphoïde B (LLC ou autre). En raison de la rareté de la maladie, les études moléculaires et cytogénétiques des LPL B ne sont pas nombreuses, le plus souvent sous forme de petites séries ou de cas rapportés. Dans la base de données Mitelman, seuls 103 cas sont répertoriés à ce jour. Les caryotypes sont le plus souvent complexes. Aucune anomalie spécifique n a été mise en évidence mais plusieurs anomalies récurrentes ont été décrites : des translocations impliquant le gène MYC (8q24) et un locus des gènes des chaînes des immunoglobulines, des délétions et/ou des mutations du gène TP53, des délétions 11q22 (gène ATM) et des délétions 13q14. Les cas de LPL B avec translocation t(11;14)(q13;q32) et hyperexpression de la cycline D1, sont maintenant classés dans les lymphomes du manteau dans la classification OMS 2008 (formes leucémiques variantes). Les rares études du statut mutationnel des gènes IGHV sont discordantes. Cliniquement, l évolution est habituellement agressive, mais il a cependant été observé des formes indolentes avec des survies parfois très longues sans traitement. Il existe peu de données concernant les facteurs pronostiques : l âge avancé, l anémie et la présence de mutations/délétions du gène TP53 semblent être associés à un pronostic très défavorable. La LPL B est donc une entité rare, qui n a fait l objet que de petites séries, le plus souvent anciennes, avec des analyses génétiques limitées. Nous proposons de réaliser une étude cytogénétique et moléculaire d une large série de LPL B. BUTS Répertorier les anomalies cytogénétiques récurrentes Evaluer le statut mutationnel et le répertoire des gènes IGHV Rechercher la présence de mutations acquises par «whole exome sequencing» (fractions CD19+ (/CD5+) vs CD3+) Comparaison du profil mutationnel et transcriptionnel (RNA seq) avec les autres hémopathies B Etablir l ordre d apparition des mutations (fractions CD34+, CD14+ / colonies CD34+) Analyser l évolution clinique et établir les corrélations entre les anomalies cytogénétiques et moléculaires et l évolution de la maladie afin de dégager des facteurs pronostiques CRITERES D INCLUSION
2 2 Toutes les hémopathies malignes matures B pour lesquelles le diagnostic de LPL B a été retenu, au diagnostic et/ou au suivi, y compris celles avec une translocation t(11;14)(q13;q32). Sont également acceptées les LLC (ou autres hémopathies B) transformées (LPL B secondaires) à but de comparaison. Il faut avoir pour chaque patient soit une étude cytogénétique, soit du matériel congelé (ADN, cellules), les deux étant l idéal. Sont exclues les LLC «mixtes» avec taux de prolymphocytes élevés (<55% des lymphocytes circulants). CONTACTS Florence Nguyen Khac Unité de cytogénétique fonctionnelle Groupe Hospitalier Pitié Salpêtrière Charles Foix Service d'hématologie biologique, Bâtiment Pharmacie Bd de l'hôpital, Paris tel : / fax : mail : florence.nguyen khac@psl.aphp.fr RELECTURE CYTOLOGIQUE Karim Maloum (karim.maloum@psl.aphp.fr)/catherine Settegrana/Autre cytologiste d un autre laboratoire à déterminer Unité d Hématologie Cellulaire Groupe Hospitalier Pitié Salpêtrière Charles Foix Service d'hématologie biologique, Bâtiment Pharmacie Bd de l'hôpital, Paris tel : (K. Maloum) / (C. Settegrana)
3 3 IDENTIFICATION DU PATIENT NOM : 3 premières lettres du nom, 2 premières lettres du prénom : _ / Date de Naissance (JJ/MM/AA) : / / Sexe (M,F) : _ RENSEIGNEMENTS CLINICO BIOLOGIQUES Antécédents : Familial : hémopathie maligne (préciser) :... Personnel : Néoplasie associée (préciser) :... Exposition professionnelle à un agent mutagène (préciser) :... Traitement antérieur (radiothérapie, chimiothérapie, à préciser) :... Autre : Histoire de la maladie Localisations tumorales au moment du diagnostic : Date de l'examen (JJ/MM/AA) : / / Rate :... Adénopathies (préciser les territoires) :... Autres :... Chronologie des traitements Traitement de 1 ère ligne Type, :. Date de début, nombre de cures : Traitement de 2 ère ligne Type :. Date de début, nombre de cures :.. Traitement de 3ème ligne Type :. Date de début, nombre de cures :
4 4 Autres lignes de traitement : Décès (date) :. Dernières nouvelles du patient (date) :.. RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES INDISPENSABLES : Numération Formule Sanguine : s au moment du diagnostic : Prévoir une lame pour la relecture morphologique au moment du (ou des) caryotype(s) Immunophénotypage au diagnostic : Caryotype(s) : AUTRES Myélogramme, ponction ganglionnaire : fait : Biopsie médullaire / ganglionnaire / rate : fait : Statut mutationnel : fait : Immunoglobuline monoclonale : oui/non, type éventuel... MATERIEL CONGELE : Préciser les dates Culot de cytogénétique: oui non Cellules DMSO: oui non ADN: oui non ARN: oui non
5 5
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailcytogénétiques 11 8-10, 12, 13, ainsi qu à des travaux moléculaires 14, 15 16, les questions posées par l équipe
LES LYMPHOMES B DE LA ZONE MARGINALE: un nouveau modèle d oncogenèse lymphoïde? Depuis de nombreuses années, l équipe de recherche «Pathologie de Cellules Lymphoïdes» au sein de l UMR5239, en collaboration
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006
Université Pierre et Marie Curie Hématologie Niveau DCEM3 2006 Polycopié National Mise à jour : 22 juin 2006 2/120 Hématologie - Polycopié National 2006 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Chapitre 1 : Agranulocytose
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailSTAGE À L UNITÉ DE SOINS DES GREFFÉS (5CD)
STAGE À L UNITÉ DE SOINS DES GREFFÉS (5CD) An 1 (Clinique) An 2 (Clinique et Recherche) 3 (Recherche et Clinique) An Crédits : 6 Crédits : 6 Crédits : 3 Durée : 6 périodes Durée : 4 périodes Durée : 2
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détailStratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD
Édition canadienne Stratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD par Sandra Kurtin Initiative internationale de la MDS Foundation pour la défense des intérêts des patients en
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailComprendre les lymphomes non hodgkiniens
France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailCRYOPRÉSERVATION DE TISSUS, CELLULES ET LIQUIDES BIOLOGIQUES ISSUS DU SOIN
RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE CRYOPRÉSERVATION DE TISSUS, CELLULES ET LIQUIDES BIOLOGIQUES ISSUS DU SOIN RECOMMANDATIONS Septembre 2009 1 L argumentaire scientifique de cette évaluation est téléchargeable
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailHématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES
Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détail3 - Les SMD, notamment les SMD débutants, présentent souvent des difficultés de diagnostic pour le biologiste (cytologie).
1 Myélodysplasies (ou dysmyélopoïèses) Item n 161 :diagnostiquer une dysmyélopoïèse Les syndromes myélodysplasiques (SMD) sont des affections clonales des cellules souches hématopoïétiques, caractérisées
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailSAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE!
SAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE! SUIVEZ-NOUS SUR : BANQUE PUBLIQUE DE SANG DE CORDON DʼHÉMA-QUÉBEC Lire ce code avec un téléphone intelligent pour accéder à la page S inscrire à la banque de sang de
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailTOUJOURS P L U S D E R E C H E R C H E
é d i t o r i a l s o m m a i r e la l e t t r e3 TOUJOURS P L U S D E R E C H E R C H E POUR D E M E I L L E U R S T R A I T E M E N T S Télévie 2005... Par Arsène Burny PRÉSIDENT DE LA COMMISSION TÉLÉVIE
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailMANUEL D INFORMATION DESTINÉ AUX MALADES ADULTES ATTEINTS D UNE LEUCÉMIE LYMPHOBLASTIQUE AIGUË. Réseau européen des leucémies (European LeukemiaNet)
MANUEL D INFORMATION DESTINÉ AUX MALADES ADULTES ATTEINTS D UNE LEUCÉMIE LYMPHOBLASTIQUE AIGUË Réseau européen des leucémies (European Net) Groupe de travail n 6 «leucémie lymphoblastique aiguë (Workpackage
Plus en détailI- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détail