Vaccination méningococcique
|
|
- Georgette Lessard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vaccination méningococcique Emmanuel Grimprel Université Pierre & Marie Curie Paris 6, France CHU Armand-Trousseau, Paris, France DESC Maladies Infectieuses 2014 Conflits d intérêt potentiels déclarés 1. GSK : non 2. Sanofi-Pasteur-MSD : non 3. Baxter : non 4. Pfizer (ex.wyeth) : coordonnateur/investigateur / essai clinique phase III / PNC-13 (15/4/06 30/4/09) 5. Novartis : non
2 Classification des méningocoques Exemple B 14, [P1.7,16] ST32 Sérogroupe B : capsule polysaccharidique, Agglutination sur lame Sérotype 14 : protéine de membrane externe de classe 2/3 (PorB), Elisa Sous-type [P1.7,16] : protéine de membrane externe de classe 1 (PorA), Elisa Régions variables VR1 et VR2 : 1.7 et 16 Génotype complexes clonaux ST32 : MLST Académie de Médecine 2010
3 Distribution mondiale des différents sérogroupes de méningocoque S.A. Halperin et al. / Vaccine 30S (2012) B26 B36
4 Épidémiologie des IIM : France En France, l incidence globale des IIM a diminué régulièrement depuis le dernier pic de 2003, passant de 1,6 / en 2003 à 0,9 / en 2010) (incidence corrigée pour la sous-notification). B et C prédominent : 64% et 28% des cas sur les 25 dernières années (395 et 84 cas déclarés en 2011). W135 circule à minima, cas sporadiques (14 cas déclarés en 2011). Y circule à bas bruit mais a récemment augmenté : 8% des IIM (soit 45 cas en 2011). Le sérogroupe A est exceptionnellement retrouvé au cours d IIM en France. Source InVS
5 Vaccins méningococciques disponibles en France Vaccins polyosidiques conjugués Monovalents C : Meningitec ; Menjugate-Kit ; Neisvac Tétravalents ACWY : Menveo et Nimenrix Vaccins polyosidiques non conjugués Bivalent : Vaccin polyosidique A+C Vaccin protéique Bexsero
6 Réponse immunologique aux vaccins conjugués et non conjugués Polyosides capsulaires : Ag thymo-indépendants faiblement immunogènes chez les nourrissons : réponse primaire peu intense et de courte durée, pas d immunité mémoire => pas d effet rappel Polyosidiques conjugués s opposent point par point. Par ailleurs :! les vaccinations itératives augmentent le ratio IgG/IgM et élèvent les taux d IgG1 et 2! la conjugaison protéique permet d augmenter la maturation d'avidité des anticorps après la vaccination primaire et le rappel.
7 Vaccina&on MenC conjuguée : expérience Européenne IIMC Angleterre + Galles, 1999 Schéma à 3 doses < 1 an Extension jusqu à 18 ans Rapidité de mise en place (1 an) Taux de couverture élevé (>90% < 1 an ; 85% entre 2 et 18 ans) IIMC Hollande, 2002 Schéma à 1 dose > 1 an Extension jusqu à 19 ans Rapidité de mise en place (2 ans) Taux de couverture élevé (94%)
8 Leçons &rées de ces expériences Importance d une mise en place rapide et massive (CV élevée) Cible incluant tous les groupes à haute incidence (nourrissons, ados et jeunes adultes) Effet de protec&on de groupe obtenu Durée de protec&on limitée car repose sur la présente d an&corps bactéricides Auckland JID 2006 Tro_er Clin Vaccine Immunol 2008 Maiden J Infect Dis 2008 de Greeff Pediatr Infect Dis J 2006
9 Critères immunologiques de protection des vaccins méningococciques Activité bactéricide du sérum (SBA) en présence de complément humain (h) ou animal (r = lapin) Expérience du Royaume Uni Vaccins polyosidiques conjugués Titres corrélés avec la protection hsba 1:4 rsba 1:8 Académie Na&onale de Pharmacie 2010
10 Corréla&on rsba et protec&on Balmer P, Borrow R. Expert Rev Vaccines 2004
11 Incidence des IIM C en Europe avant et après mise en place d une vaccina&on généralisée Source : I Parent du Chatelet, InVS
12 Incidence des IIM C en Europe en 1999 et 2006 en l absence de mise en place d une vaccina&on généralisée Source : I Parent du Chatelet, InVS
13 Émergence de nouveaux phénotypes en France Les souches du sérogroupe C présentent une diversité phénotypique. Les souches appartenant au complexe clonal ST-11 sont les plus pathogènes et les plus virulentes Le sérotype C:2a est le sérotype le plus fréquemment identifié à partir des cas d IIM C en France Ces souches appartiennent le plus souvent au complexe clonal pathogène ST-11. Elles ont été à l origine du pic d IIM C de Source MK Taha CNR Neisseria
14 Implantation en France du phénotype/génotype C:2a :P1.7,1 Appartient au complexe clonal ST-11 mortalité élevée, décalage dans les tranches d âge les plus élevées et implication fréquente dans des cas groupés Remplace progressivement le phénotype / génotype majoritaire actuel C:2a:P1.5,2 (et dérivés) La proportion de C:2a :P1.7,1 est passée progressivement de 1,1% avant 2005 à 24% en 2008 Source Mk Taha CNR Neisseria
15 La stratégie proposée en France Vaccina&on systéma&que à 1 dose des nourrissons à par&r de 12 mois Durant la mise en place de ce_e stratégie et en a_endant la mise en place d une immunité de groupe, l extension de ce_e vaccina&on jusqu à l âge de 24 ans révolus avec le même schéma à 1 dose Réévalua&on au plus tard dans 5 ans de ce_e stratégie et notamment de la nécessité d un rappel à l adolescence Haut conseil de la santé publique. Avis rela&f à la vaccina&on par le vaccin méningococcique conjugué de sérogroupe C. Séances du 24 avril et du 26 juin
16 Les vaccins méningococciques conjugués C MENINGITEC : protéine CRM 197 de la toxine de Corynebacterium diphteriae laboratoire Wyeth Pharmaceu&cals MENJUGATE /MENJUGATE KIT : protéine CRM 197 de la toxine de Corynebacterium diphteriae laboratoire Novar&s Vaccines and Diagnos&cs NEISVAC : protéine de la toxine tétanique Laboratoire Baxter Source : I Morer, AFSSAPS
17 Vaccin Nimenrix (GSK) Tétravalent ACYW135 (5, 5, 5, 5 µg) Conjugué protéine tétanique Pas d adjuvant AMM Europe : 20 avril 2012 «Immunisa&on ac&ve des sujets à par&r de 12 mois contre les maladies méningococciques invasives dues aux Neisseria meningi5dis des groupes A, C, W135 et Y»
18 Vaccin Menveo (Novar6s Vaccines & Diagnos6cs) Tétravalent ACYW135 (10, 5, 5, 5 µg) Conjugué protéine diphtérique CRM 197 Pas d adjuvant AMM Europe : 15 mars 2010 : «immunisa&on ac&ve des adolescents (âgés de plus de 11 ans) et les adultes à risque d exposi&on à Neisseiria meningi5dis des sérogroupes A, C, W135 et Y, pour prévenir la maladie invasive» Extension AMM : 24 avril 2012 «2-10 ans»
19 Popula&ons à risque d IIM d autres Sujets exposés sérogroupes que le C De façon transitoire contacts d un cas d infec&on invasive à méningocoque A, Y, ou W 135, voyage en zone d endémie à méningocoque A, Y, ou W 135, pèlerinage de La Mecque (Hadj ou Umrah), De façon durable (ensemble des sérogroupes) personnel des laboratoires travaillant sur le méningocoque déficit géné&que (ou acquis) en frac&ons terminales du complément, en properdine, ou d asplénie anatomique ou fonc&onnelle
20 Deux ques&ons résiduelles Le phénomène d interférence immune La durée de protec&on
21 Hyporéac&vité immunologique (ou tolérance immunitaire) Incapacité de l'individu à développer, après une dose rappel de vaccina&on, une réponse immunitaire d'une amplitude égale ou supérieure à la réponse qui a été induite après la primo- vaccina&on. Phénomène observé après des doses répétées de certains vaccins polyosidiques, dirigés notamment contre le méningocoque du sérogroupe C (quel que soit l âge du sujet vacciné). Ce phénomène est par&culièrement observé lors des vaccina&ons répétées avec des intervalles rapprochés (< 1an).
22 Hyporéac&vité immunologique (ou tolérance immunitaire) Le mécanisme invoqué n est pas univoque et ferait intervenir : longue persistance du polyoside capsulaire purifié (en par&culier après une dose importante ; différencia&on finale des cellules B mémoires (acquise par le vaccin conjugué) en plasmocytes sans possibilité de remplacer ces cellules mémoires. Pas d implica&on clinique démontrée, Risque théorique de suscep&bilité accrue aux infec&ons invasives à méningocoque (IIM) en par&culier lorsque l'exposi&on récurrente aux bactéries pathogènes est plus probable (Grade C).
23 Moins bonne réponse secondaire bactéricide au MenCC en cas de priming avec PS
24 Durée de protec&on variable selon l âge de la vaccina&on Trotter Clin Vaccine Immunol 2008
25 Délais de revaccina&on chez un sujet ayant reçu antérieurement un vaccin méningococcique Équilibre «instable» entre une durée de protec&on mal connue mais limitée et le risque d hyporéac&vité. Vaccina&on par un conjugué tétravalent ACYW: Après conjugué monovalent C = aucun délai ; Après non conjugué tétravalent = trois ans, Après non conjugué A+C = 3 ans, sauf nécessité impéra&ve et urgente d élargir la protec&on aux sérogroupes Y et W = aucun délai minimum Vaccina&on par un conjugué monovalent C: Après non conjugué tétravalent ou bivalent A+C = trois ans.
26 Vaccina&ons méningococcique conjuguée Données récentes américaines Vaccina&on conjuguée tétravalente (Menactra ) Recommandée en 2005 chez l adolescent ( 11 à 13 ans). Durée de protec&on présumée de 10 ans Couvre l ensemble de la période à risque Données récentes Baisse de l immunité vaccinale après 5 ans Effec&veness serait réduite entre 2 et 5 ans (90% - >50%) Absence d immunité de groupe Nouvelle recommanda&on ACIP octobre 2010 Main&en de la vaccina&on des adolescents (11-13 ans) Rappel à ans
27 Quid du vaccin polyosidique conjugué A? (MenAfriVac ou PsA-TT pour polysaccharidetetanus toxoid conjugate) Licence fin 2009, 0.5 $ par dose. Excellente immunogénicité comparée au polyosidique A+C (titres AC x 20). Vaccination introduite en Afrique en 2010 : Bénin, Burkina- Faso, Cameroun, Tchad, Ghana, Mali, Niger, Nigéria, Sénégal, et Soudan. Meningitis Vaccine Project : vaccination de masse (100 millions de vaccinés en décembre 2012). Schéma à 1 dose (1-29 ans). Source: MK Taha
28 Introduc6on of the meningi6s A conjugate vaccine Sénegal Mali Niger Tchad Soudan BF Nigéria Cameroun Source: MK Taha
29 1.8 millions de vaccinés, 3 régions comparées aux autres régions non vaccinées. Schéma à 1 dose (1-29 ans). Incidence des IIM tous sérotypes confondus : 2.5/ vs. 43,6 (réduction 94%) Portage : Réduction 98%
30 Serogroup distribu&on (%) Caugant et al.. PLoS One 2012, 7(9), e A W X Y Source: MK Taha
31 Changing epidemiology in Africa: Serogroup X Epidemic of group A meningococci in the Maradi region, A:4:P1.9, CFR 5.1% Epidemic of group X meningococci in Niamey X:NT: P1.5 (ST- 181), CFR 12.2% NmX in Niger, Kenya, in Uganda, Ghana, Togo and Burkina Faso in since 2006 January - March 2010 in Niger : 49% W135, 47% A but 4% X (in Niger) Boisier et al., 2007; Materu et al., 2007 Njanpop-Lafourcade et al., 2008
32 Vaccina&on méningococcique B
33
34 Feavers I. Vaccine 27S (2009) B42 B50
35 J. Holst et al. / Vaccine 27S (2009) B3 B12
36 Feavers IM, Vaccine 2009
37 J. Holst et al. / Vaccine 27S (2009) B3 B12
38
39 Caron F. et al. Lancet Infect Dis Apr 11. [Epub ahead of print]
40 Vaccins protéiques «universels»? Une (ou plusieurs) protéine(s) commune(s) aux souches virulentes circulantes ou ayant peu de variations génomiques Exprimées suffisamment à la surface des bactéries Induisant la synthèse d anticorps fonctionnels bactéricides in vivo
41 Bexsero Concept novateur (vaccinologie reverse) Répond à une impasse thérapeu&que (polyoside B) Nature protéique : court- circuite les sérogroupes capsulaires / voca&on universelle? Évalué à ce jour pour les IIM B
42 Vaccin méningococcique protéique Composant fhbp (Factor H binding protein = GNA 1870 ou rlp 2086) fusionnée avec 1 protéine accessoire GNA 2091 NadA (Neisserial Adhesin A = GNA 1994) fusionné avec GNA 1030 NHBA (Neisserial Heparin Binding An&gen = GNA 2132) Bexsero Quan6té / dose 0,5 ml Fonc6on 50 mg Inhibe voie alterne du complément (immunité innée) 50 mg Promoteur d adhésion et d invasion cellulaire 50 mg Évasion / lyse du complément et survie bactérienne Vaccin OMV rmenb (NZ) 25 mg Effet immunomodulateur Protec&on étendue (PorA) Al(OH)3 1,5 mg Adjuvant
43 Couverture théorique des souches Françaises B : MATS appliqué à un panel de 1052 souches invasives (juillet juin 2008 Pays N souches testées Couverture IC 95% France % 63-93% Couverture (%) es&mée des souches, par an&gène France Vogel et al. Lancet Infect Dis 2013
44 Spécificités du développement des vaccins Men B protéiques Pas d étude d efficacité dans le dossier d AMM (incidence basse des IIM B). Vaccins évalués sur : la tolérance ; et l immunogénicité. Nécessité de démontrer a priori une protec&on poten&elle des an&gènes vaccinaux vis- à- vis des souches invasives circulantes.
45 Données de tolérance (AMM) 8 études, 6427 sujets nourrissons à par&r de 2 mois (N=4843) ; adolescents (N=1503) ; adultes (N=81). Tolérance locale et systémique acceptable Effets indésirables les plus fréquents sensibilité et érythème local, fièvre et irritabilité évolu&on prévisible, se résolvant généralement le lendemain de la vaccina&on. Réactogénicité augmentée en co- administra&on NomFichier=hcspr _vaccmeningocoqueBBexsero.pdf
46 Tolérance post AMM Absence de signal : Periodic Safety Update Report (PSUR) Post marke&ng surveillance / u&lisa&on dans quelques pays vaccinés (mai 2014)
47 Immunogénicité - AMM Nourrisson : Réponse élevée (% hsba 1:5 et MGT) pour tous les an&gènes vaccinaux. Baisse significa&ve des &tres et des MGT 12 mois après la dernière dose de PV mais effet rappel dans la seconde année de vie. Adolescent : Réponse élevée (% hsba 1:5 et MGT) pour tous les an&gènes vaccinaux. Schémas plus lourds qu avec les vaccins polyosidiques conjugués
48 AMM 14 janvier 2013 : «immunisa5on ac5ve des sujets à par5r de l'âge de 2 mois contre l'infec5on invasive méningococcique causée par Neisseria meningi5dis de groupe B». Tranche d'âge Primovaccination Intervalles entre les doses de primovaccination Nourrissons de 2 à 5 mois Nourrissons non vaccinés de 6 à 11 mois Enfants non vaccinés de 12 à 23 mois Enfants de 2 à 10 ans Adolescents (à partir de 11 ans) et adultes Trois doses de 0,5 ml chacune, avec une 1ère dose administrée à l âge de 2 mois Deux doses de 0,5 ml chacune Deux doses de 0,5 ml chacune Deux doses de 0,5 ml chacune Deux doses de 0,5 ml chacune Rappel 1 mois minimum Une dose entre 12 et 23 mois 2 mois minimum Une dose au cours de la deuxième année avec un intervalle d'au moins 2 mois entre la primovaccination et la dose de rappel 2 mois minimum Une dose avec un intervalle de 12 à 23 mois entre la primovaccination et la dose de rappel 2 mois minimum Besoin non établi 1 mois minimum Besoin non établi h_p://ec.europa.eu/health/documents/community- register/2013/ /anx_125155_fr.pdf
49 Deux questions Efficacité sur les autres sérogroupes : A, C, W, Y? Aucune donnée n est actuellement disponible sur la couverture théorique des autres sérogroupes, en particulier le C. Efficacité sur le portage? Et développement d une immunité de groupe? Une seule étude disponible. Aucun effet significatif sur l acquisition de souches de portage tous sérogroupes confondus. Réduction cumulative du portage / vaccinés 24,2 % [IC95% : 7,8 37,6] : totalité des sérogroupes (B, C, W et Y) Aucune démonstration de diminution du portage n est apportée pour les seules souches de sérogroupe B.
50 Arguments retenus en défaveur d une vaccina&on universelle en France Absence actuelle de données d efficacité clinique. Absence actuelle de données démontrant un effet du vaccin sur le portage (immunité de groupe). Intérêt à vacciner le nourrisson (incidence) durée de séroprotec&on limitée schéma lourd à 3-4 doses, intercalé / tolérance Rapport coût- efficacité défavorable (durée de protec&on et portage) Incer&tudes actuelles sur une efficacité sur les IIM de sérogroupe non B (stratégie globale) NomFichier=hcspa _vaccmeningocoqueBBexsero.pdf
51 HCSP : indica&ons ciblées Personnes à risque élevé de contracter une IIM la vaccina&on tétravalente conjuguée ACYW reste recommandée Situa&ons épidémiologiques par&culières grappe de cas : au moins 2 cas dans une même collec&vité ou un même groupe social (critères InVS de délai et d iden&fica&on des souches) ; situa&on épidémique : si la souche est qualifiée de «couverte» par le vaccin Bexsero (CNR) ; foyer d hyperendémie : (critères InVS) Pas de recommanda&on autour des cas sporadiques
52 Vaccina&on autour des IIM B sporadiques 35 cas (36 %) sont survenus en France entre 1998 et 2012 dans un délai supérieur à 10 jours après la date d hospitalisa&on du cas index. Hypothèses : efficacité vaccinale de 50 % après 1 dose (données d immunogénicité un mois après 1 dose disponibles chez l adolescent 11 ans mais absence de données à 10 jours après une dose et chez l enfant) délai de 10 jours après l administra&on du vaccin aux sujets contacts d un cas index, Couverture des souches par le vaccin de 85 %. Environ 15 cas secondaires auraient pu être évités par une vaccina6on Bexsero des sujets contacts en 15 ans soit 1 cas par an en moyenne sujets à vacciner chaque année.
53
54
55
56 PublishedonlineFebruary14, /S (13)
57
58
59
60 Sujets exposés à Bexsero Sujets ayant reçu au moins une dose (au 15 juillet 2014) Chiffres monde Evaluation faite dans les 18 pays où Bexsero est commercialisé sujets vaccinés ( doses vendues) Au 15 juillet 2014 : 368 Effets Indésirables spontanés 53 EIG 30 EIG et suspectés reliés La plupart (réactogénicité) sont attendus et décrits dans le RCP. 60
61 Expérience Québecoise Entre le 5 mai et le 17 juin 2014 Région du Saguenay Lac-Saint-Jean enfants et ado (< 20 ANS) vaccinés (77%!!!) 4500 < 2 ans ans Surveillance active des EI pour un quart d entre eux, et passive pour le reste
62 Fièvre Réactogénicité attendue chez le nourrisson mais : Tolérance améliorée par les antalgiques. Quelle différence avec le bon vieux Tetracoq?
63 Absentéisme Non négligeable : rapporté par 12 % des adolescents et 9 % des adultes. Les problèmes de santé validés les plus fréquents étaient des malaises généraux ayant duré 4 jours ou plus (114), des réactions locales ayant duré 4 jours ou plus (79), des problèmes respiratoires (13), des problèmes cutanés d allure allergique (8) ou non (2) et des arthralgies (5). Prophylaxie par antalgiques moins fréquente et plus rétardée que pour le nourrisson chez l adolescent et l adulte.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailMISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE
RELEVÉ DES MALADIES TRANSMISSIBLES AU CANADA RMTC JANVIER 213 VOLUME 39 DCC-1 ISSN 1481-8531 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR
Plus en détailLe vaccin conjugué quadrivalent MCV-
Maladies transmissibles Mise à jour des recommandations de vaccination contre les méningocoques: introduction d un vaccin quadrivalent conjugué Août 2011 Le vaccin conjugué quadrivalent MCV- ACWY (Menveo
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT NIMENRIX. Vaccin polysaccharidique conjugué contre le méningocoque des groupes A, C, W-135 et Y
MONOGRAPHIE DE PRODUIT NIMENRIX Vaccin polysaccharidique conjugué contre le méningocoque des groupes A, C, W-135 et Y Poudre et diluant pour solution injectable Agent d immunisation active GlaxoSmithKline
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailMinistère du travail, de l emploi et de la santé
Secrétariat d Etat à la santé Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction générale de la Santé Sous -direction Prévention des risques infectieux Bureau Risques infectieux et politique vaccinale
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailÉvaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique conjugué au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC
Évaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique conjugué au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Rapport Évaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailRISQUE DE MALADIE INVASIVE À MÉNINGOCOQUE CHEZ LES TRAVAILLEURS
AVIS SCIENTIFIQUE RISQUE DE MALADIE INVASIVE À MÉNINGOCOQUE CHEZ LES TRAVAILLEURS DU RÉSEAU DE L ÉDUCATION ET PLUS SPÉCIFIQUEMENT CHEZ LES TRAVAILLEUSES ENCEINTES SEPTEMBRE 2002 AUTEURS Pierre Deshaies
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailQuelles Vaccina,ons en santé au travail? Actualités. DIU- IST Mardi 14 avril 2015 ACMS Dr Arthur Fournier
Quelles Vaccina,ons en santé au travail? Actualités DIU- IST Mardi 14 avril 2015 ACMS Dr Arthur Fournier Plan 1. Cadre réglementaire 2. Bases ra:onnelles de la vaccina:on 3. Vaccina:ons recommandées en
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailPrévention des infections après splénectomie
Prévention des infections après splénectomie JOURNEES EN TRAUMATOLOGIE Tristan Ferry Introduction Incidence des asplénies en France 6000 à 9000 nouveaux patients splenectomisés/an Population globale estimée
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailVaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques
Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Collection Avis et Rapports Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Rapport 2012 Haut Conseil
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMONOGRAPHIE MENINGITEC MD. Vaccin conjugué contre le méningocoque du sérogroupe C (protéine diphtérique CRM 197 )
MONOGRAPHIE MENINGITEC MD Vaccin conjugué contre le méningocoque du sérogroupe C (protéine diphtérique CRM 197 ) Suspension Pour injection intramusculaire Classe thérapeutique Agent d'immunisation active
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE
ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ET ENVIRONNEMENT Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris Reconnue d utilité
Plus en détailVaccinations. Actualités et perspectives
Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailSimplification du calendrier vaccinal. Collection Avis et Rapports
Simplification du calendrier vaccinal Collection Avis et Rapports Simplification du calendrier vaccinal Rapport 21 décembre 2012 Ce rapport a été adopté par la Commission spécialisée Maladies transmissibles
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailPROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014
PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailÉpidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux
Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Docteur Marie-Josèphe JEAN-PASTOR Centre Régional Pharmacovigilance Marseille-Provence-Corse Hôpital Sainte Marguerite AP-HM Tél :
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailAnticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne
Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Pr Gilles EDAN, Dr Emmanuelle LEPAGE, Morgane PIHAN (Interne), Virginie OLIVE, (Attaché de recherche clinique), Neurologie,
Plus en détailManifestations cliniques après la vaccination
7.1 Introduction Les produits immunisants modernes sont efficaces et sécuritaires. Cependant, aucun vaccin ne protège la totalité des personnes que l on vaccine, et tous les vaccins peuvent occasionner
Plus en détailContacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 -
50 QUESTIONS SUR LES VACCINS Contacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 - vpautre@leem.org 1 Les vaccins,
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailUne déclaration du comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de
Une déclaration du comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) Re avec le vaccin polysaccharidique 23-valent contre le pneumocoque (Pneu-P-23) PROMOUVOIR ET PROTÉGER LA
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailEvaluation de la Dissémination du Niger. d amélioration des soins obstétricaux et
URC/HCI : PROTOCOLE DE RECHERCHE ET D EVALUATION Evaluation de la Dissémination du Niger au Mali des meilleures pratiques de la mise en œuvre du collaboratif d amélioration des soins obstétricaux et néonataux
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailMÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE DES MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES. Réunion n 8 du 14 Février 2012.
Agence nationale du médicament vétérinaire BP 90203-35302 Fougères cedex Téléphone : 02 99 94 78 78 - Télécopie : 02 99 94 78 64 MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE
Plus en détail6.1 Généralités. Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins. 6.1.1 Prévention de la maladie. 6.1.2 Vaccination et autres précautions
Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins CHAPitre 6 Maladies évitables par la vaccination et vaccins 6.1 Généralités La vaccination consiste à administrer un vaccin pour provoquer une
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détail