Insuffisance rénale chronique: Une vie normale est-elle possible en 2012?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Insuffisance rénale chronique: Une vie normale est-elle possible en 2012?"

Transcription

1 Dossier de presse Insuffisance rénale chronique: Une vie normale est-elle possible en 2012? Conférence de presse 28 mars 2012 Contacts presse Presse-Papiers Catherine Gros Sophie Matos Tel.: / 1

2 Sommaire Communiqué de presse Dossier de presse L Insuffisance Rénale Chronique, un enjeu de santé publique... 5 Rappel physiopathologique : les reins et l insuffisance rénale chronique... 5 Rappel épidémiologique... 6 Enjeux économiques... 6 Un objectif de santé publique... 7 Observatoire ORACLE : 10 ans de progrès dans la prise en charge... 7 Vivre avec une IRC : évolution de la prise en charge des patients à chaque étape de la maladie... 8 Le temps de l annonce... 8 Des patients impliqués et moteurs du changement... 9 Les associations de patients en néphrologie La FNAIR RENALOO Roche accompagne les patients depuis plus de 20 ans

3 Communiqué de presse L insuffisance rénale chronique (IRC) est une maladie silencieuse qui touche près de 2 millions de Français dont ayant atteint le stade terminal de la maladie 1. Actuellement, dans l hexagone, personnes environ sont régulièrement dialysées et vivent grâce à une greffe rénale 2. Le traitement des maladies rénales représente 2 % des dépenses totales de l'assurance Maladie. Celle-ci a estimé le coût total de la prise en charge de l'irc terminale à plus de 4 milliards d euros par an, dont plus des trois quarts concernent la prise en charge en hémodialyse 3. On prévoit par ailleurs que ces dépenses vont augmenter, en raison du vieillissement de la population et de l augmentation de la prévalence du diabète et de l'hypertension artérielle, principales causes d'insuffisance rénale 4. Ainsi, les enjeux pour les acteurs de la prise en charge de cette pathologie sont de taille : dépister le plus tôt possible les patients à risque pour retarder l évolution de la maladie, donc le passage au stade terminal de l IRC (qui nécessite un traitement de suppléance - dialyse ou greffe) et améliorer leur qualité de vie, tout en maîtrisant les coûts qui y sont liés. En 1998, une étude menée par la SOFRES à la demande de Roche a permis de faire une première photographie du parcours du patient insuffisant rénal, de la première consultation en néphrologie à la première séance de dialyse. L étude ORACLE (Observatoire Roche Avant la Consultation de néphrologie) menée sur le même principe 10 ans plus tard par le service ICAR de l hôpital de la Pitié-Salpêtrière avec le soutien de Roche a permis d actualiser cette photographie. Ces données sont à ce jour la principale source d information sur le parcours du patient insuffisant rénal chronique et permettent d apprécier 10 ans d évolution de la prise en charge de l IRC et de dresser un premier bilan sur les progrès accomplis et les points qui restent à améliorer. Présentés depuis peu à la communauté des néphrologues, les résultats d ORACLE sont très encourageants puisqu ils montrent que d importants progrès ont été réalisés en 10 ans. Les patients sont pris en charge plus précocement. La proportion de patients dépistés à un stade avancé de la maladie est passée de 73% en 1998 à 52,4% en Ce résultat est d autant plus intéressant qu à un stade précoce de la maladie, les chances de limiter l évolution de la maladie sont meilleures. En corollaire, la période qui précède l entrée en dialyse a augmenté de plus d un an (passant de 3 à 4,1 ans), soit une avancée considérable au regard du coût humain et financier que représente une année de dialyse (respectivement 160 séances de dialyse Euros). 1 Fondation du Rein sur - page consultée le Registre Rein L insuffisance rénale chronique : situation actuelle et enjeux - Assurance Maladie 9 mars 2010 p.7 4 Agence de la Biomédecine La maladie rénale chronique, un risque pour bon nombre de vos patients décembre

4 Malgré ces progrès indiscutables, la proportion de patients dialysés en urgence n a pas diminué : près d un patient sur trois 5. Comme le souligne le Pr Maurice Laville, Néphrologue chef de service à l Hôpital Edouard Herriot (Lyon) et Président de la Société Française de Néphrologie : «le dépistage et la mise en relation précoces avec le néphrologue vont permettre une prise en charge adaptée, donc de ralentir la progression de la maladie. Ainsi, il est possible de préserver plus longtemps la fonction rénale et la qualité de vie du patient. C est un élément essentiel pour le pronostic.» Informer et écouter, c est soigner La fonction rénale est intimement liée à l état de santé général du patient et elle est dégradée dans près d un cas sur deux suite à une hypertension artérielle ou à un diabète 6. Aussi, la prise en charge optimale de la maladie rénale repose sur une approche globale et doit souvent s accompagner d une remise en question du mode de vie. La prise en charge doit donc impérativement comporter une information et une écoute toute particulière. Le patient est auteur de sa santé et sa participation aux choix le concernant est cruciale pour une meilleure adhésion au traitement. «Pour protéger sa fonction rénale et préserver sa qualité de vie, le patient doit commencer par changer son mode de vie, dans la majorité des cas, et lui seul peut le faire» explique le Pr Deray, chef du service de Néphrologie à l hôpital de la Pitié-Salpêtrière. «Il faut lui donner le maximum d informations, pour qu il comprenne bien ce qu est l insuffisance rénale chronique dès l annonce. Cette dernière est d ailleurs un choc. Très souvent, les patients ne connaissent pas bien le rôle des reins. Ils apprennent, en même temps que la défaillance de ceux-ci, que toute leur vie va désormais être régie par un combat pour maintenir leur fonction rénale, avec, en perspective à plus ou moins long terme, la dialyse ou la transplantation». 5 Le parcours du patient insuffisant rénal chronique - Livre des Actes Séminaires Universitaires de Néphrologie XXVIIIème série 2012 pages 64-67, disponible sur 6 Agence de la Biomédecine La maladie rénale chronique, un risque pour bon nombre de vos patients décembre

5 Dossier de presse Maladie longtemps silencieuse, souvent méconnue, l insuffisance rénale chronique touche près de 2 millions de Français 7 et porte avec elle le spectre de la dialyse, de la transplantation ( patients en France 8 ). Pourtant, de nombreux progrès ont été réalisés ces vingt dernières années, et l on sait aujourd hui qu on peut vivre longtemps dans de meilleures conditions avec une maladie rénale. Par ailleurs, les enjeux pour la société sont de taille : garantir l accès et la qualité des soins à l ensemble des patients, préserver la qualité de vie, tout en maîtrisant les coûts qui dépassent aujourd hui les 4 milliards d euros par an. Pour faire face à ces enjeux, il est indispensable que le dépistage puis la prise en charge par le néphrologue se fassent le plus tôt possible. Le rôle des soignants est d aider la personne concernée à adapter ses comportements à sa pathologie, sans pour autant renoncer aux projets, à la vie de famille, aux bonheurs C est une véritable alliance thérapeutique qui doit se mettre en place entre médecin et patient. Le spécialiste de l organe malade doit avoir une approche globale et humaniste qui se traduit par de l écoute, du soutien, de l empathie, mais aussi par la transmission de toute l information nécessaire à la bonne compréhension de la maladie et des traitements. Le patient peut alors participer au choix du traitement. L Insuffisance Rénale Chronique, un enjeu de santé publique Rappel physiopathologique : les reins et l insuffisance rénale chronique Les reins sont des organes vitaux, aussi indispensables que le cœur. Ils assurent plusieurs fonctions essentielles 9 : Régulation des quantités d eau dans l organisme Régulation des quantités de sel, potassium et autres minéraux Régulation du milieu intérieur (élimination des acides en excès provenant de l alimentation) Elimination des produits toxiques de l organisme Intervention dans la production et la sécrétion d hormones Définition de l insuffisance rénale chronique L insuffisance rénale chronique a été définie par la Haute Autorité de Santé en : elle est secondaire à une maladie rénale et correspond à une diminution permanente de la fonction rénale ; l insuffisance rénale est dite chronique lorsqu elle est présente depuis au moins 3 mois et est irréversible 11. En pratique, lorsque les deux reins ne fonctionnent plus correctement, l organisme est petit à petit empoisonné par les déchets qui ne sont plus éliminés. Dans bien des cas, la maladie progresse silencieusement pendant un grand nombre d années. Les personnes touchées peuvent rester en bonne santé apparente avec 7 Fondation du Rein sur - page consultée le Fondation du Rein sur - page consultée le L.I.E.N. Vivre avec une maladie du rein T. 1 «La maladie rénale chronique», sous la direction du Pr M. Olmer (p ) 10 ANAES / Service des recommandations et références professionnelles / Septembre 2002 Diagnostic de l insuffisance rénale chronique chez l adulte pages 6 & 8 11 Renaloo page consultée le

6 des reins fonctionnant de 10 à 20 % de leur capacité normale. Ce n est qu à un stade très avancé que l insuffisance rénale provoque certains symptômes révélateurs de la maladie 1 : une grande fatigue ; des troubles digestifs : perte d'appétit, dégoût pour les viandes, nausées, vomissements ; amaigrissement ; des crampes, des impatiences dans les jambes surtout la nuit ; des démangeaisons parfois intenses... ; des troubles du sommeil. On parle d insuffisance rénale chronique terminale lorsque la perte de la fonction rénale est telle que la vie du patient est en danger, et qu il doit être traité à vie, soit par dialyse, soit en bénéficiant d une greffe de rein. Rappel épidémiologique Les maladies du rein constituent un problème de santé publique majeur. En effet, près de deux millions de personnes en France sont atteints d'une maladie rénale 12. Or, l aggravation de la maladie va conduire certains de ces patients à la dialyse ou à la greffe. En effet, en 2009, 9700 personnes sont arrivées au stade terminal de leur insuffisance rénale et ont démarré un traitement de suppléance : 300 ont bénéficié d une greffe préemptive et 9400 ont été pris en charge en dialyse (Registre REIN 2009). Actuellement, dans l hexagone, personnes sont régulièrement dialysées et vivent grâce à une greffe rénale 13. Enjeux économiques Le traitement des maladies rénales représente 2 % des dépenses totales de l'assurance Maladie 14. Celle-ci a ainsi estimé le coût total de la prise en charge de l'irc terminale en 2007 à plus de 4 milliards d euros, dont plus des trois quarts concernent la prise en charge en hémodialyse 15. On prévoit par ailleurs que ces dépenses vont rapidement augmenter, notamment en raison du vieillissement de la population et de l augmentation de la prévalence du diabète et de l hypertension, principales causes d'insuffisance rénale 16, qui touchent de plus en plus de personnes en France Fondation du Rein sur - page consultée le Registre Rein L insuffisance rénale chronique : situation actuelle et enjeux - Assurance Maladie 9 mars 2010 p.7 15 L insuffisance rénale chronique : situation actuelle et enjeux - Assurance Maladie 9 mars 2010 p.7 16 Agence de la Biomédecine La maladie rénale chronique, un risque pour bon nombre de vos patients décembre 2010 (p.1) 17 Le diabète : être accompagné pour mieux agir CNAM novembre 2011, p page consultée le

7 Un objectif de santé publique Du fait de ses répercussions, à la fois au plan humain et au plan financier, la stabilisation de l'incidence de l'insuffisance rénale chronique ainsi que l'amélioration de la qualité de vie des patients ont été retenues comme les objectifs à atteindre parmi ceux énumérés dans la Loi du 9 août 2004 relative à la santé publique 19. Pour atteindre ces objectifs, l Agence de Biomédecine recommande le dépistage ciblé de la maladie rénale chronique chez les patients à risque, pour éviter ou retarder le passage au stade terminal de l IRC (qui nécessite un traitement de suppléance - dialyse ou greffe), et diminuer les complications associées, notamment cardiovasculaires. L agence précise également les éléments qui doivent conduire le médecin généraliste à adresser son patient au néphrologue pour un avis spécialisé et/ou un suivi partagé 20. Comme le souligne le Pr Maurice Laville, néphrologue à l hôpital Edouard Herriot (Lyon) et Président de la Société de Néphrologie : «le dépistage et la mise en relation précoces avec le néphrologue vont permettre de mettre en place une prise en charge adaptée, donc de ralentir la progression de la maladie et ainsi préserver le plus longtemps possible la fonction rénale du patient et sa qualité de vie. C est un élément essentiel pour le pronostic final.» Observatoire ORACLE : 10 ans de progrès dans la prise en charge En 1998, une étude menée par la SOFRES à la demande de Roche a permis de faire une première photographie du parcours du patient insuffisant rénal, de la première consultation en néphrologie à la première séance de dialyse. L étude ORACLE (Observatoire Roche Avant la Consultation de néphrologie) menée sur le même principe 10 ans plus tard par le service ICAR de l hôpital de la Pitié-Salpêtrière avec le soutien de Roche a permis d actualiser cette photographie. Ces données sont à ce jour la principale source d information sur le parcours du patient insuffisant rénal chronique et permettent d apprécier 10 ans d évolution de la prise en charge de l IRC et de dresser un premier bilan sur les progrès accomplis et les points qui restent à améliorer. Présentés depuis peu à la communauté des néphrologues, les résultats d ORACLE sont très encourageants puisqu ils montrent une amélioration significative de la prise en charge des patients. Les patients sont pris en charge plus précocement. La proportion de patients dépistés à un stade avancé de la maladie est passée à 73% en 1998 à 52,4% en Ce résultat est d autant plus intéressant qu à un stade précoce de la maladie, les chances de limiter l évolution de la maladie sont meilleures. En corollaire, la période qui précède l entrée en dialyse a augmenté de plus d un an (passant de 3 à 4,1 ans), soit une avancée considérable au regard du coût humain et financier que représente une année de dialyse (respectivement 160 séances de dialyse Euros). Malgré ces progrès indiscutables, la proportion de patients dialysés en urgence n a pas diminué : près d un patient sur trois Ministère de la Santé - Plan pour l amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques avril 2007 p.3 20 Agence de la Biomédecine La maladie rénale chronique, un risque pour bon nombre de vos patients décembre 2010 (p.1) 21 Le parcours du patient insuffisant rénal chronique - Livre des Actes Séminaires Universitaires de Néphrologie XXVIIIème série 2012 pages 64-67, disponible sur 7

8 En résumé L insuffisance rénale chronique est une maladie silencieuse et méconnue dont les symptômes n apparaissent qu à un stade avancé. La prise en charge tardive de l IRC implique souvent un pronostic défavorable car au stade terminal de la maladie, la mise en place d un traitement de suppléance (dialyse ou greffe) est la seule issue. A ce stade, la maladie a des répercussions importantes à la fois sur la qualité de vie des patients et sur le plan économique. Le dépistage et la prise en charge précoces de l insuffisance rénale chronique permettent de ralentir la progression de la maladie et de mettre en place des traitements conservateurs dont l objectif est de préserver la fonction rénale le plus longtemps possible, et donc la qualité de vie des patients. Le patient est acteur de sa santé ; sa participation aux choix le concernant est cruciale pour une meilleure adhésion au traitement. Vivre avec une IRC : évolution de la prise en charge des patients à chaque étape de la maladie Le temps de l annonce L annonce initiale de la maladie rénale est un choc. «Même si cette maladie fait moins peur qu une maladie cardiaque, de par l absence relative de symptômes, le spectre de la dialyse se profile derrière cette annonce» explique le Pr Gilbert Deray, chef du service de Néphrologie à l hôpital de la Pitié Salpêtrière. «D autant que très souvent, les patients ne connaissent pas bien le rôle des reins 22. Ils apprennent, en même temps que la défaillance de ceux-ci, que toute leur vie va désormais être régie par un combat pour maintenir leur fonction rénale, avec, en perspective à plus ou moins long terme, la dialyse ou la transplantation. La consultation d Internet, avec des sources d information de qualité variable, achève de les plonger dans l angoisse», précise le Pr Deray. Or «quelle que soit la maladie chronique dont on est atteint, il faut conserver à tout prix une vie normale», insiste le Pr Deray. «La vie du patient ne peut pas et ne doit pas se résumer à son dosage de créatinine. On sait aujourd hui que son implication est capitale pour la suite de la prise en charge et que plus il sera impliqué, plus sa qualité de vie sera améliorée.» 22 Caillé Y, Deray G, Isnard Bagnis C. Les Français connaissent mal leurs reins... Résultats d'une enquête sur les maladies rénales réalisée auprès du grand public. Nephrol Therap 2007;3:

9 Des patients impliqués et moteurs du changement Dès lors, une véritable alliance thérapeutique doit se nouer entre le praticien et le patient. La fonction rénale est un indicateur de l état de santé général du patient, sujet, dans plus d un cas sur deux à une hypertension artérielle ou à un diabète 23. Ainsi, la prise en charge optimale de la maladie rénale passe par une approche globale et la participation active du patient ; elle ne se limite pas à traiter l organe malade. «Pour protéger sa fonction rénale et préserver sa qualité de vie, le patient doit commencer par changer son mode de vie, dans la majorité des cas, et lui seul peut le faire» explique le Pr Deray. «Il faut lui donner le maximum d informations, pour qu il comprenne bien ce qu est l insuffisance rénale chronique dès l annonce. L annonce de la maladie rénale est d ailleurs un choc. Très souvent, les patients ne connaissent pas bien le rôle des reins. Ils apprennent, en même temps que la défaillance de ceux-ci, que toute leur vie va désormais être régie par un combat pour maintenir leur fonction rénale, avec, en perspective à plus ou moins long terme, la dialyse ou la transplantation». Ce changement d habitudes et d hygiène de vie va permettre au patient de retrouver peu à peu une meilleure forme, de perdre du poids, de retrouver une qualité de sommeil et de profiter à nouveau des plaisirs du quotidien. Autre situation, celles des maladies rénales génétiques, comme la polykystose rénale. «Des jeunes de 18 ans viennent me voir, inquiets, alors que leur fonction rénale est parfaitement normale. Le message est le même : vivez normalement, ayez une bonne hygiène de vie, faites un suivi régulier.la médecine va vite, n arrêtez pas de vivre à cause de la maladie, ajoute le Pr Deray. En résumé Le rôle du patient dans sa prise en charge est essentiel : son attitude peut radicalement modifier l évolution de la maladie et ses répercussions sur sa qualité de vie. La maladie rénale est sérieuse, mais on peut très bien vivre avec, dans de bonnes conditions, pendant longtemps. 23 Agence de la Biomédecine La maladie rénale chronique, un risque pour bon nombre de vos patients décembre 2010 (p.1) 9

10 Les associations de patients en néphrologie La FNAIR La Fédération Nationale d'aide aux Insuffisants Rénaux se bat pour améliorer les soins et la vie de tous les jours des personnes atteintes d'insuffisance rénale, mais aussi pour tenter de diminuer, grâce à des actions visant à promouvoir la prévention et la recherche sur les maladies rénales, le nombre des personnes astreintes aux lourds traitements de l'insuffisance rénale terminale. La FNAIR est présente sur l ensemble du territoire nationale grâce à 24 antennes régionales, y compris dans les Départements d Outre-Mer. Ce maillage territorial lui permet d être au plus près des besoins des patients sur le terrain. Chaque insuffisant rénal peut ainsi se rendre dans une antenne à proximité de son domicile et y trouver de l information médicale, mais aussi de l écoute, du soutien et de l entraide. A l occasion des prochaines élections nationales, la FNAIR a adressé un plaidoyer aux différents candidats à l élection présidentielle. Ce plaidoyer comporte cinq propositions issues des remontées faites par les antennes régionales. Plus d informations sur RENALOO Renaloo est née en 2002, de l initiative personnelle d une patiente, qui entendait témoigner et partager son expérience, tout en palliant le manque d informations disponibles sur le web autour des pathologies rénales. Renaloo est aujourd hui la première communauté web francophone de patients et de proches dédiée à l insuffisance rénale. C est aussi une association de patients et de proches de patients particulièrement engagée dans le domaine de la démocratie sanitaire, dont l objectif est l amélioration de la qualité de la prise en charge et de la vie des malades. C est ainsi qu à son initiative vont se tenir en 2013 les premiers Etats Généraux du Rein (EGR). Ceux-ci ont pour objectif de réaliser un état des lieux consensuel sur l insuffisance rénale, la dialyse et la greffe, en vue d améliorer la prise en charge et l accompagnement des patients. Cette démarche sera menée conjointement par l ensemble des acteurs concernés professionnels de santé de toutes catégories, autres soignants et intervenants de l environnement du soin, établissements, experts en santé publique et économie de la santé, institutionnels, industriels et, bien sûr, les patients, leurs proches et leurs associations. Les Etats Généraux du Rein suivront une méthodologie en cinq étapes, d avril 2012 à mai 2013, date à laquelle le rapport officiel sera présenté à l occasion d un colloque. Plus d informations sur 10

11 Roche accompagne les patients depuis plus de 20 ans Au-delà des traitements de l'anémie du patient souffrant d insuffisance rénale chronique et du rejet de la greffe, Roche met à disposition un antiviral qui prévient l infection à cytomégalovirus, fréquemment associée aux transplantations. Roche s implique aussi dans la recherche et accompagne les associations de patients dans leurs actions (Renaloo, FNAIR, Trans-Forme). Afin d améliorer le suivi des transplantations, la division Diagnostics a développé un test de suivi de l efficacité des immunosuppresseurs par monitoring de l un des marqueurs de l immunosuppression : l acide mycophénolique (MPA). Connaître le parcours du patient avant l arrivée en dialyse La prise en charge des patients entre la première consultation en néphrologie et l entrée en dialyse a progressé mais peut encore être améliorée, afin de retarder au maximum le moment de l entrée en dialyse. L étude menée pour Roche en 1998 par la Sofres puis l observatoire ORACLE réalisé en 2009 par le service ICAR de la Pitié-Salpêtrière avec le soutien de Roche apportent un éclairage inédit sur cette phase dite de «pré-dialyse». A propos de Roche en France En France, le groupe Roche est présent via ses deux activités : la pharmacie (Roche SAS) et le diagnostic (Roche Diagnostics France). Roche SAS développe et commercialise des traitements dans des pathologies où les besoins médicaux ne sont pas encore satisfaits. En 2011, plus de patients ont bénéficié de ces avancées dans les cancers, la polyarthrite rhumatoïde, les hépatites virales En matière de Recherche & Développement, Roche est convaincu que la réunion des expertises des chercheurs du public et du privé est indispensable. En juin 2011, Roche a ainsi créé le 1 er institut dédié à la recherche partenariale en France. Exemples de partenariats scientifiques en cours : Avec l Université Paris Descartes : élucider les mécanismes à l origine de la progression des maladies rénales ; Avec l IHU de cardio-métabolisme et nutrition (Pitié Salpétrière) : mieux comprendre les mécanismes de l apparition et de la régression du diabète de type 2 chez les patients obèses ayant recours à la chirurgie bariatrique. A propos du groupe Roche Roche, dont le siège est à Bâle, Suisse, figure parmi les leaders de l industrie pharmaceutique et diagnostique axée sur la recherche. Numéro un mondial des biotechnologies, Roche produit des médicaments cliniquement différenciés pour le traitement des cancers, des maladies virales et inflammatoires ainsi que des maladies du métabolisme et du système nerveux central. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise pionnière dans la gestion du diabète. Sa stratégie de médecine personnalisée vise à mettre à disposition des médicaments et des outils diagnostiques permettant d améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. En 2011, Roche, qui comptait plus de employés dans le monde, a consacré à la R&D plus de 8 milliards de francs suisses. Pour de plus amples informations, consulter le site internet du groupe à l adresse : 11

12 Bibliographie L.I.E.N. Vivre avec une maladie du rein T. 1 «La maladie rénale chronique», sous la direction du Pr M. Olmer ANAES / Service des recommandations et références professionnelles / Septembre 2002 Diagnostic de l insuffisance rénale chronique chez l adulte pages 6 & 8 Renaloo page consultée le Fondation du Rein sur - page consultée le Registre Rein 2010 L insuffisance rénale chronique : situation actuelle et enjeux - Assurance Maladie 9 mars 2010 p.7 Agence de la Biomédecine La maladie rénale chronique, un risque pour bon nombre de vos patients décembre 2010 Le diabète : être accompagné pour mieux agir CNAM novembre 2011, p page consultée le Ministère de la Santé - Plan pour l amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques avril 2007 p.3 N Janus, L Juillard, M Isnard, Y Berland, J Ortiz, G Janin, P Nicoud, M Touam, T Hannedouche, P Vanhille, F Butel, M Laville - Parcours du patient insuffisant rénal en France. Résultats préliminaires de l'étude ORACLE Néphrologie et Thérapeutique Volume 7, Issue 5, P 401 & présentation de l étude réalisée lors du congrès de la SFD Bruxelles A845-4BB2-818C-B ED92/publication.htm Le parcours du patient insuffisant rénal chronique - Livre des Actes Séminaires Universitaires de Néphrologie XXXVIIIème série 2012 pages 64-67, disponible sur Caillé Y, Deray G, Isnard Bagnis C. Les Français connaissent mal leurs reins... Résultats d'une enquête sur les maladies rénales réalisée auprès du grand public. Nephrol Therap 2007;3:55-9. Isnard Bagnis C. Maladie Rénale Chronique, les erreurs à ne pas commettre. La revue du Praticien vol 62 janvier 2012 Agence de la Biomédecine sur - page consultée le

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions

Plus en détail

Diatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile

Diatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

Bouger, c est bon pour la santé!

Bouger, c est bon pour la santé! Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous

Plus en détail

Dr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014

Dr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014 Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Guide à l intention des patients et des familles. Le don d un rein. www.nshealth.ca

Guide à l intention des patients et des familles. Le don d un rein. www.nshealth.ca Guide à l intention des patients et des familles 2015 Le don d un rein www.nshealth.ca Le don d un rein Programme de transplantation rénale avec donneur vivant Il n y a jamais assez de dons de reins pour

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE. matière d assurance maladie

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE. matière d assurance maladie REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Présentation des réformes en cours en Algérie en matière d assurance maladie 2011 1 PRESENTATION

Plus en détail

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va

Plus en détail

MISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 septembre 2015

MISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 septembre 2015 SAVE THE DATE! MISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 2015 BioPharm America est le plus grand événement de partenariats

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

L éducation thérapeutique des patients

L éducation thérapeutique des patients Claude Dreux (a), Fabienne Blanchet (b) (a) Président du Cespharm (Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française) Ordre national des Pharmaciens Membre des Académies nationales de médecine

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

PROJET DE TÉLÉMEDECINE

PROJET DE TÉLÉMEDECINE PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel

Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)

Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent

Plus en détail

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi

Plus en détail

DON D ORGANES Donneur ou pas

DON D ORGANES Donneur ou pas Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par la loi de bioéthique du 6

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches. Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence!

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence! Quand il fait CHAUD POUR MOURIR Prudence! Comment la chaleur affecte-t-elle la santé? L été, le soleil et le beau temps sont sources de nombreux plaisirs Par contre, lorsque la chaleur est trop intense,

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

«UN REIN C EST PAS RIEN»

«UN REIN C EST PAS RIEN» Nom de l en?té déposante : ICOM agence Agence conseil : ICOM Annonceur : La Fédéra7on Na7onale d Aide aux Insuffisants Rénaux Midi- Pyrénées en partenariat avec la Clinique néphrologique Saint- Exupéry

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

CERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR

CERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

La vie écrit les questions Nous cherchons les réponses

La vie écrit les questions Nous cherchons les réponses La vie écrit les questions Nous cherchons les réponses La vie écrit les questions. 1 Qu est-ce qui m aidera? L espoir est-il permis? Quand est-ce que les autres s en apercevront? C est long six mois? Faut-il

Plus en détail

L INSUFFISANCE CARDIAQUE

L INSUFFISANCE CARDIAQUE L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore

Plus en détail

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées 3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme

Plus en détail

Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc

Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc B.Ramdani Président du coneil consultatif de Transplantation d'organes et de tissus humains benyounsramdani@gmail.com 1 INTRODUCTION

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Assurance-maladie complémentaire (LCA)

Assurance-maladie complémentaire (LCA) CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail