Température optimale Croissance optimale pour T comprise 25 C et 45 C. Destruction cellulaire si exposition prolongée à T 60 C

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1 Informations sur les légionelles et sur la légionellose Arrêt de la multiplication cellulaire si T < 5 C Température optimale Croissance optimale pour T comprise 25 C et 45 C Destruction cellulaire si exposition prolongée à T 60 C Eaux stagnantes Légionelles Milieux protecteurs et nourriciers : - films biologiques - rouille - tartre - amibes Surfaces à micro porosités et réseaux accidentés ph proche de 7 Adaptation et association de méthodologies de type HACCP et AMDEC

2 Informations sur les légionelles et sur la légionellose Légionelles pathogènes à des concentrations importantes 1000UFC/l Inhalation de gouttelettes microscopiques contaminées Facteurs favorisant * Virulence de la bactérie * Exposition prolongée ou répétée * Immunodépression Temps d incubation compris entre 2 et 10 jours * Tabagisme, toxicomanie, personnes âgées, diabétiques Légionellose, symptômes grippaux, pneumopathie aigüe Antibiothérapie, traitement par Erythomycine pendant 3 semaines Guérison sans séquelles Guérison avec séquelles Décés du malade entre 5% et 20% des cas Adaptation et association de méthodologies de type HACCP et AMDEC

3 Le 21/03/2003 -ESRF- L.Germain SOMMAIRE Introduction Informations sur les légionelles et sur la légionellose Choix d une démarche méthodologique Adaptation et application de la méthodologie Conclusion

4 ADAPTATION ET APPLICATION DE LA METHODOLOGIE 4) Détermination des points critiques. Etablir les limites entre l acceptable et l inacceptable. - Utilisation des résultats de l étude AMDEC - Visualisation des points critiques à partir d une grille d évaluation de la criticité 5) Maîtrise des points critiques. - Modification structurelle - Organisation de maintenance 6) Surveillance pour la maîtrise des points critiques. 7) Actions correctives en cas de déviation. Préventive ou curative selon le dépassement des critères 8) Elaboration d une procédure de vérification. Validation du plan d action 9) Archivage de toute la documentation relative à l étude. Tous les documents et procédures doivent être enregistrés, classés et facilement accessibles

5 CONCLUSION Les problèmes rencontrés lors du développement et l utilisation de la méthode peuvent susciter quelques commentaires: La démarche peut être, longue, fastidieuse et difficile à réaliser si les équipements sont trop complexes. Les estimations de la possibilité de contamination et de la gravité sont basées sur des valeurs subjectives, la classification s avère parfois délicate. La notion de fiabilité de fonctionnement des équipements n intervient pas car elle reste difficile à calculer et alourdirait considérablement la démarche. Il ne faut pas créer ou déplacer les risques. Il est parfois surprenant de constater des contaminations différentes dans des bâtiments de conception très voisine. La diminution des taux de légionelles est le résultat de la combinaison entre différentes actions, il est difficile de savoir laquelle a été prépondérante. Il faut être très prudent pour gérer une installation où il est possible de trouver des légionelles à des concentrations comprises entre 50 et 1000UFC/l. Ce taux est très difficile à contrôler.

6 ADAPTATION ET APPLICATION DE LA METHODOLOGIE ESTIMATION 4) Grille d évaluation de la criticité , 2, , 8, , , Zone critique GRAVITE Chiffres rouges : indice de repérage des équipements Chiffres Chiffres noirs noirs : évaluation du risque par association des niveaux d estimation et de gravité

7 CONCLUSION Les problèmes rencontrés lors du développement et l utilisation de la méthode peuvent susciter quelques commentaires: La démarche peut être, longue, fastidieuse et difficile à réaliser si les équipements sont trop complexes. Les estimations de la possibilité de contamination et de la gravité sont basées sur des valeurs subjectives. La notion de fiabilité de fonctionnement des équipements n est pas prise en compte. Il ne faut pas créer ou déplacer les risques. La diminution des taux de légionelles est le résultat de la combinaison entre différentes actions Il faut être très prudent pour gérer une installation où il est possible de trouver des légionelles à des concentrations comprises entre 50 et 1000UFC/l.

8 ADAPTATION ET APPLICATION DE LA METHODOLOGIE Respecter 9 étapes pour la mise en œuvre de la méthodologie 1) Constitution d une équipe de travail 2) Bien connaître les installations 3) Analyse et évaluation des risques 4) Détermination des points critiques. Etablir les limites entre l acceptable et l inacceptable 5) Maîtrise des points critiques 6) Surveillance pour la maîtrise des points critiques 7) Actions correctives en cas de déviation 8) Elaboration d une procédure de vérification 9) Archivage de toute la documentation relative à l étude

9 ADAPTATION ET APPLICATION DE LA METHODOLOGIE 1) Constitution d une équipe de travail. - Compétences variées et complémentaires - Fonctions variées et complémentaires - Responsabilités variées et complémentaires 2) Bien connaître les installations. - Recensement précis des installations - Mode de fonctionnement - Utilisation des équipements

10 CHOIX D UNE DEMARCHE METHODOLOGIQUE HAZARD ANALYSIS CRITICAL CONTROL POINT ANALYSE ANGERS POINTS CRITIQUES MAITRISE 4 missions: 1 Analyse de dangers 2 Maîtrise des points critiques 3 Surveillance des conditions d exécution 4 Vérification de l efficacité du système

11 CHOIX D UNE DEMARCHE METHODOLOGIQUE Pourquoi ce choix? Méthode qui a fait ses preuves Bien que conçue pour gérer les risques propres à la production alimentaire, cette méthode peut être utilisée pour d autres problèmes sanitaires Méthode structurée, simple et facile d utilisation Peut être combinée avec d autres outils méthodologiques

12 ADAPTATION ET APPLICATION DE LA METHODOLOGIE 6) Surveillance pour la maîtrise des points critiques Cette surveillance peut être réalisée à partir de différents contrôles Contrôle bactériologique spécifique aux légionelles Unité de Formation de Colonies par litre d eau Concentration normale Seuil d alerte Seuil d action [ L ] < 50 UFC / l 50 UFC / l [ L ] <1000 UFC/ l [ L ] 1000 UFC / l Contrôle de la température de l eau Température de production d eau chaude dans le chauffe eau Température de l eau à l arrivée du mitigeur Température de distribution d eau chaude après le mitigeur Température normale Seuil d alerte Seuil d action 70 C 65 T < 70 C < 65 C 60 C 55 T < 60 C < 55 C 55 C 50 T < 55 C < 50 C Contrôle de l équilibrage du réseau Variation de la température de l eau Différence acceptable Seuil d alerte Seuil d action T < 5 C 5 C Ä T < 10 C Ä T 10 C Surveillance par diverses analyses bactériologiques ou physico-chimiques ainsi que par contrôles visuels

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