Mener un travail de formation sur le travail d enseignement : vers la construction d un dispositif innovant
|
|
- Brian St-Georges
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mener un travail de formation sur le travail d enseignement : vers la construction d un dispositif innovant CHALIES Sébastien, MCF, IUFM de Toulouse, France, sebastien.chalies@wanadoo.fr BERTONE Stéfano, MCF, IUFM de Nice, France, Stefano.Bertone@unice.fr FLAVIER Eric, MCF, IUFM de Strasbourg, France, eflavier@club-internet.fr Mots clés : Apprentissage et développement professionnel ; pratique réflexive ; conseil pédagogique ; dispositif de formation initiale Résumé Cette étude s inscrit dans le contexte actuel de rénovation de la formation initiale des enseignants cherchant à faire vivre le principe de l alternance entre les temps de formation théorique en IUFM, et plus précisément celui d analyse de pratique, et les temps de pratique professionnelle effective en établissement. Elle cherche, en ce sens, à présenter la structure d un dispositif innovant de formation permettant de valoriser la mise en œuvre d une triade professionnalisante entre enseignants novices, formateurs de terrain conseillers pédagogiques et formateurs universitaires. En s appuyant sur deux études de cas, elle précise les retombées de ce dispositif en terme de travail de formation sur le travail d enseignement et de travail de formation sur le travail de formation. Plus précisément, elle tend à situer l impact des pratiques réflexives de type entretien d autoconfrontation sur l apprentissage du métier et/ou le développement de l activité professionnelle. Problématique Une des missions attribuées aux Instituts Universitaires de Formation des Maîtres (IUFM) est d accompagner le développement professionnel des enseignants novices en faisant vivre le principe d une «formation professionnelle d adulte à caractère universitaire, basée sur l alternance» entre des temps de formation théorique et des stages en établissement (Rénovation de la formation initiale des enseignants Encart du BO du MEN n 15 11/04/2002). En insistant sur cette articulation entre les moments de pratique professionnelle et les moments d analyse et de réflexion, cette rénovation invite à un rapprochement des différents acteurs impliqués dans la formation : enseignants novices, formateurs de terrain conseillers pédagogiques et formateurs universitaires. L intérêt d un tel rapprochement en terme de formation professionnelle dépend néanmoins plus ou moins directement de l abandon de la modalité de relation «compétitive» et «institutionnelle» actuellement dominante entre les différents partenaires, au profit d une modalité plus «collaborative» et «fonctionnelle», c'est-à-dire d une triade professionnalisante «démocratique» (Veal & Rikard, 1998). Au-delà d une limitation des conflits qui naissent notamment d une «lutte de pouvoir» entre les formateurs de terrain et les formateurs universitaires, la construction d une telle triade nécessite une implication plus marquée, coopérative et complémentaire de l ensemble des formateurs dans le suivi de la pratique professionnelle des enseignants novices (Heikkinen & Mc Devitt, 1992). Cette étude présente un double objet. Elle se veut, d une part, présenter la structure d un dispositif de formation permettant de valoriser la mise en œuvre d une triade professionnalisante. Elle cherche, d autre part, à préciser à partir de deux résultats saillants les 1
2 retombées de ce dispositif en terme de travail de formation sur le travail d enseignement ou de travail de formation sur le travail de formation. Cadre théorique Cette étude s inscrit directement dans le «challenge» théorique que se sont fixés les membres du GRIFEN (ERTe - IUFM de Nice) en voulant considérer la professionnalisation entre (a) apprentissage en situation de formation et (b) développement en situation de travail au quotidien. (a). L apprentissage professionnel est considéré comme distinct mais aussi et surtout antérieur à un développement potentiel en situation de travail (Vygotski, 1933/1985). Il est, plus précisément, associé à une expérience à part entière servant d outil à l acteur pour contrôler a posteriori son développement au cours d autres expériences. Porteuse d interactions asymétriques entre un enseignant novice et un enseignant expert, les situations de formation sont le lieu privilégié de cet apprentissage professionnel pré-ordonnant le développement. Lors de ces situations de formation, l enseignant novice s engage, en effet, avec son formateur dans un processus d apprentissage par «imitation» (Vygotski, 1933/1985). Ils construisent alors par étayage des accords à propos d expériences «mètreétalon» (Williams, 2004) en engageant un débat critique autour des règles d action ou de métier qui les nomment (Wittgenstein, 2004). L apprentissage de ces règles «constitutives» du métier (Searle, 1995) n a finalement d autre sens pour l apprenant que : réaliser l expérience «mètre étalon» nommée par cette règle est une condition pour exercer ce métier représenté par ce formateur. Il faut donc convenir de ces règles pour appartenir à cette communauté de pratique. (b). Sans chercher à les différencier a priori des situations de formation support à l apprentissage, les situations de travail peuvent être considérées comme des situations de développement professionnel. Elles permettent, en effet, à l acteur de faire un usage de type auto-adressage de la règle apprise (Wittgenstein, 2004), nommant l expérience «mètre étalon» évoquée, pour juger de l expérience actuellement vécue. En ayant les moyens de porter un jugement professionnel sur cette dernière, du type cette expérience est en adéquation ou en inadéquation, «similaire» ou «différente» au regard de l expérience «mètre étalon» évoquée en formation, l enseignant novice peut s engager dans une action à présent. C est à l occasion de cette «migration» de la règle (Clot, 1999) au travers des jugements qui l incarnent que l enseignant tend à se développer professionnellement. Les usages différenciés des règles «mètre étalon» apprises permettent, en effet, progressivement d en enrichir la signification en y ajoutant de nouveaux contextes d utilisation et de nouveaux usages. Cadre méthodologique Participants et contextualisation Un enseignant stagiaire PLC2-EPS (ES), son conseiller pédagogique (CP) et un formateur universitaire (F) ont été volontaires pour participer à cette étude. Cette dernière a été réalisée lors du troisième trimestre de l année scolaire dans un collège de la périphérie toulousaine. L ES et son CP étaient engagés dans un cycle de Badminton avec leurs élèves de quatrième (14-15 ans). Procédure Cette étude a été réalisée à partir de la mise en oeuvre d un dispositif de formation innovant construit sur la base de résultats de recherches menées antérieurement, précisant notamment que la formation est d autant plus valorisée que les acteurs impliqués dans la formation professionnelle, et plus particulièrement les ES et leurs CP, interagissent autour d objets professionnels communément partagés (Chaliès, Ria, Bertone, Trohel & Durand, 2004). Ce dispositif ordonne, en cinq temps successifs, le travail de formation de type 2
3 entretien de conseil pédagogique et le travail d enseignement soutenant le développement professionnel des enseignants novices. Temps 1 Travail de formation : Lors d un entretien, l ES et le CP ont tout d abord cherché à repérer une difficulté d apprentissage rencontrée communément par leurs élèves. Lors de cette étude, les enseignants ont porté leur attention sur une difficulté relative à la capacité des élèves à «prendre l initiative dans l échange pour le rompre à leur avantage» 1 ; Temps 2 Travail d enseignement : L ES et CP ont ensuite essayé de répondre successivement à la difficulté retenue avec leurs propres élèves. L ES a réalisé dans un premier temps une leçon sous l observation de son CP, puis les rôles ont été inversés ; Temps 3 Travail de formation : A l issue de ces deux leçons, l ES et son CP ont réalisé un entretien de conseil pédagogique décomposé en trois temps. Lors des deux premiers temps, l entretien portait successivement sur la leçon de l ES observée par le CP puis sur la leçon du CP observée par l ES. Lors du dernier temps, l ES et le CP ont cherché à co-construire la leçon suivante ; Temps 4 Travail d enseignement : L ES et le CP ont ensuite mis en œuvre cette leçon en co-intervenant auprès des élèves de l ES Temps 5 Travail de formation : L ES et le CP ont enfin réalisé un bilan de cette leçon en co-intervention. Recueil des données Des données d observation (observation participante et enregistrements audio vidéo) ont été recueillies lors des cinq temps du dispositif. A l issue de chacun de ces temps, l ES et le CP étaient, d autre part, invités à réaliser séparément avec le formateur universitaire (F) un entretien d autoconfrontation à propos de leurs actions lors du travail d enseignement ou du travail de formation. Ces entretiens d autoconfrontation (ES F ou CP F) ont été considérés comme un travail de formation pour les enseignants. Leur finalité était, en effet, non pas l interprétation des situations visionnées par les acteurs mais plutôt le développement de cette interprétation. Traitement des données (a). Retranscription : La description précise du travail d enseignement et la retranscription verbatim des entretiens de conseil ou d autoconfrontation correspondants ont été dans un premier temps réalisées. (b). Découpage : L ensemble du corpus a ensuite été découpé en unités d interaction au cours desquelles les acteurs conservaient un même objet d interlocution. Ce dernier a été défini à partir de la nature des jugements portés par les acteurs à propos de leurs actions ou des actions d autrui. (c). Analyse : Au sein de chacune des unités d interaction identifiées, l usage des règles constitutives de métier par les acteurs a été analysé. En ce sens, les jugements portés par les acteurs mais aussi et surtout leur étayage lors des entretiens d autoconfrontation ont été identifiés. L étayage a été, pour ce faire, associé à l ensemble des éléments évoqués par le locuteur pour expliquer («parce que») au chercheur la façon de s y prendre pour utiliser, comme il peut lui-même le faire, la règle comme outil de jugement. Incité par des entretiens mener sur le mode de la controverse, cet étayage demandait aux acteurs de se rendre compte de leur activité pour en rendre compte à autrui et finalement les accompagnait dans leur développement. Outre les jugements portés et leur étayage, les actions possibles envisagées par les acteurs lors des situations d interlocution ont aussi été identifiées (Illustration 1). 1 Nous reprenons ici la formulation des enseignants. 3
4 Illustration 1 : Autoconfrontation de l enseignant stagiaire (ES) par le formateur universitaire (F) suite à une leçon de badminton animée en co-intervention avec le conseiller pédagogique (CP). Entretien d autoconfrontation ES-F ES : Bon ben là il est beaucoup plus efficace dans la formulation des consignes quoi parce que je suis sûr, je pense que je pense que là euh sur euh sur les deux phrases qu il vient de dire euh tout le monde a compris alors que sur ce que j ai pu faire euh ça m étonnerait que la moitié ait pu, ait pu saisir finalement. F : C est quoi qui te permet de dire ça là? Enfin je veux dire euh, ça, ça pour moi c est difficile à saisir, c est pour ça que ES : Ah, euh, ouais, je le sens quoi, euh, je pfff Je sais pas comment dire là. Ca se voit, enfin parce que (2a) ils ont fait une démonstration de toute façon, c est clair, ils ont fait la démonstration après que j ai parlé et de l autre (élève) il fait n importe quoi, il tape tout le temps, l autre il remet pas, il frappe pas et euh [parce que] (1a) juste après cette formulation, en deux phrases «toi tu fais ça, toi tu fais ça» et hop c est bon F : En même temps, il dit exactement la même chose que toi! ES : Ouais, mais il le dit mieux. Il le dit [parce que] (1b) C est plus compact. F : C est plus compact? J aimerai que tu rentres dans C est ça que j aimerai comprendre ES : C est plus compact quoi. [parce que] (1c) C est plus lié euh c est, c est euh ben [parce que] (1d) y a pas d hésitation euh [parce que] (1e) c est clair euh c est F : Ca, ça te Pas d hésitation ça c est important pour toi? ES : Ouais pour moi c est très important ouais. [parce que] (1e) C est clair, [parce que] (1f) c est un flux il, il joue tout sur le sur le moment quoi. Il va lui dire euh «toi tu fais» enfin je sais plus ce qu il dit «tu fais la frappe comme ci, comme ça et quand toi, toi, euh, tu lèves là et puis après bon» enfin, je me rappelle plus bien. F : Hum, hum ES: Et il va, [parce que] (1f) il va tout dire d un trait quoi et finalement ça rentre beaucoup mieux C est plus simple à intégrer pour eux. Analyse Jugement (1) porté sur action du CP Jugement (2) porté sur son action Demande d Etayage à propos du jugement Etayage Jugement (2) : parce que (a) que (1a) Controverse que (1b) Demande d Etayage à propos du jugement que (1c), (1d) et (1e) Demande d Etayage à propos du jugement que (1e) et (1f) Accord que (1f) L étayage aboutit finalement à la formulation de la règle constitutive de métier [Etre efficace dans la formulation des consignes / vaut pour présenter les consignes de façon compacte c est à dire plus claire, liée, sans hésitation 4
5 Résultats et sous la forme d un flux / ce qui obtient pour résultat que les élèves les intègrent beaucoup mieux] Cas 1 : Le travail de formation de type entretien d autoconfrontation sur le travail d enseignement Le travail d enseignement sélectionné et exploité comme objet de formation correspond au Temps 4 du dispositif proposé. Lors de ce temps, l ES et le CP co-interviennent auprès des élèves de l ES pour mettre en œuvre la leçon co-construite préalablement (Temps 3 du dispositif de formation). L objet d interlocution sélectionné et analysé correspond plus précisément à la phase introductive de cette leçon intitulée «la prise en main de la classe» par les acteurs. Lors de cette phase, les élèves de la classe sont assis en demi-cercle face à l ES. Adossé au mur, ce dernier énumère un à un les prénoms des élèves en regardant alternativement son cahier et la classe. Les mains dans les poches, le CP effectue des allersretours au devant du groupe classe. Il regarde en direction des élèves. Le travail de formation mené par le F au cours de l entretien d autoconfrontation vise dans un premier temps à faire porter des jugements professionnels à l ES sur l action de cointervention en cours de diffusion. Lors de ce travail, l ES interprète la situation de «prise en main de la classe». ES : Ouais voilà en fait c est euh C est parce que euh, d entrée je sens que d entrée Je sens en fait que là Olivier (CP), il pèse là beaucoup plus dans la séance. F : Attends, c est-à-dire? ES : D entrée il pèse beaucoup plus sur le groupe L ES utilise, en ce sens, le concept «peser sur» pour juger positivement l action observée. Sans pouvoir en dire plus pour autant, il «sent» que le CP fait d entrée plus que lui («beaucoup plus») par rapport à ce qu il nomme «peser sur le groupe». F : Mais quand tu dis «il pèse» Enfin moi je ES : Ben il met une pression. Enfin il met une pression sur le groupe qu il n y a pas d habitude. En prenant appui sur ce jugement de départ, le F incite l ES à étayer son jugement («mais quand tu dis «il pèse» enfin moi je»). Il incite ainsi l ES à s expliquer sur la façon dont il s y prend pour utiliser le concept «peser sur» comme outil de jugement de l action menée par son CP. L ES propose alors la description de son usage de cet outil. Il s engage dans un étayage à propos de son usage de la règle «peser sur» pour juger l action observée : le CP «pèse sur le groupe» parce qu il «met une pression». F : C est à dire? ES : Ca se sent quoi, ça se sent. F : Tu le vois à quoi ça? ES : Je le vois au comportement des élèves. F : Par exemple si tu devais un peu expliciter là, c est quoi qui? Enfin je veux dire tu euh Tu euh, le comportement des élèves là c est quoi, c est euh? ES : Ben globalement ils sont, ils sont, ils sont plus calmes mais tu sens qu ils sont euh Ils sont pas forcément plus attentifs. Ils sont plus calmes mais tu sens qu ils sont euh, plus méfiants quoi. Tu vois tu sens que Ils sont assis comme ça mais qu ils 5
6 F : Ouais, d accord! F : Attends plus calmes, pas forcément plus attentifs C est-à-dire? ES : Ouais c est à dire euh, ils ne sont pas passionnés par ce qui se passe. Pour accompagner la construction de cet étayage, le F se positionne par l intermédiaire de ses relances («c est à dire?» ; «tu le vois à quoi ça?» ; «le comportement des élèves là c est quoi?» ) comme celui qui se prépare à juger seul (c est à dire à utiliser la règle, le concept pour interpréter) de la même façon que le fait l ES avec lui. Incité par cette demande, l ES propose alors une explication quant à son exploitation de la règle constitutive «peser sur» vaut pour «mettre la pression». En ce sens, il livre un indice («je le vois au comportement des élèves») qui sert d emblème à le règle et l étaye. Le F donne alors son accord («ouais, d accord!») sur l étayage construit par l ES : «peser sur le groupe classe» vaut pour «mettre la pression» ce qui obtient pour résultat que les élèves sont «calmes mais pas passionnés, attentifs mais méfiants». ES : Mais là c est vraiment de la gestion de groupe pure quoi. C est à dire euh discipline quoi! Suite à l obtention de cet accord, l ES formalise finalement le contenu de la règle qu il utilise pour juger l action du CP: «gérer le groupe» et «la discipline» correctement / vaut pour «peser sur» les élèves et leur «mettre la pression» / ce qui obtient le résultat suivant que les élèves sont «calmes» mais «pas passionnés», «attentifs» mais «méfiants». F : Mais c est quelque chose que tu sens dès que ça commence, c est à dire euh ES : Ouais, ouais. Dès que je, dès que je Là je sens qu il pèse et plus ça va pendant l appel et on le voit parce que, parce qu il se déplace justement et c est pour ça que euh qu il arrive bien à peser Parce qu il va dessus, il euh Outre l aboutissement de l étayage construit par l ES à la formalisation de la règle constitutive qu il utilise pour juger, ce temps de formation permet aussi à ce dernier d envisager à son propre compte les actions menées par le CP («c est pour ça») pour «gérer le groupe» et la «discipline» correctement. L ES juge ainsi positivement («il arrive bien à») les actions de «se déplacer» et «aller dessus». Ne réalisant pas ordinairement ces actions («le CP met une pression sur le groupe qu il n y a pas d habitude»), l ES les envisage finalement à son propre compte pour à son tour mieux «gérer le groupe» et la «discipline». Cas 2 : Le travail de formation de type entretien d autoconfrontation sur le travail de formation de type entretien de conseil pédagogique L extrait d entretien de conseil pédagogique sélectionné et exploité comme objet de formation correspond à la dernière phase du Temps 3 du dispositif proposé. Lors de cette phase, l ES et le CP co-construisent la leçon qu ils auront à mettre en œuvre en cointervention la semaine suivante. L objet d interlocution sélectionné et analysé correspond plus précisément à la construction de la situation d apprentissage ayant pour objectif de permettre aux élèves de «prendre l initiative dans l échange aménagé pour le rompre à leur avantage». La structure de la situation vient d être définie. L ES et le CP cherchent à formaliser les consignes à délivrer au élèves pour les accompagner dans leur réalisation. 6
7 Extrait d entretien de conseil pédagogique correspondant CP : Alors après on fait quoi? On fait euh...service... ES : Service... un échange... CP : Ouais... et celui [élève] qui a servi lève le volant. ES : Voilà, celui qui a servi, CP : Lève le volant et l autre [élève] essaie de conclure. Le receveur essaie de conclure à la deuxième frappe... ES : Ouais... {prend des notes} CP : Donc je sers, classique, plutôt long, l autre [élève] renvoie plutôt long et là celui qui a servi doit et et on matérialise la zone au sol et si l'autre laisse tomber au sol et qu il est pas bon, il marque le point comme s il avait attaqué {mime gestuellement toute sa description}. ES : Voilà ouais. CP : Et il faut que ça soit dans une zone courte, et de cette zone courte l autre [élève] il doit essayer de conclure. ES : Ouais, ouais. CP : Et on fait cinq services chacun, on alterne? ES : Ouais on fait ça, ouais. CP : Ouais, et après on le passe sur le...on passe sur euh...ta situation, et sur ta situation, on bonifie le point gagnant au sol. ES : Hum CP : Où qu'il soit. Lors de l entretien d autoconfrontation, le F incite l ES à porter des jugements professionnels sur l action de co-préparation de la leçon en cours de diffusion. Lors de ce travail de formation, l ES s engage dans une interprétation de la situation visionnée. ES : Bon là je l écoute là il il organise tout ça Là, il est déjà il a déjà la situation en tête quoi même il dit : «là, je sers» enfin là, il a tout donné quoi. L ES utilise le concept «organise tout» pour juger positivement l action du CP et en propose un étayage. Il s engage, en effet, dans une explication de la façon dont il faut utiliser «organise tout» pour interpréter l action observée et l accompagne d un exemple. Ainsi, le CP «organise tout (de la situation)» lorsque «il a tout donné (des consignes)» comme par exemple «là, je sers». F : Mais il est toujours dans l argumentation là pour toi? Enfin, toi euh, tu me dis plus euh, il argumente ES : Oui, oui, pour moi là pour moi il prend du crédit quoi, par rapport à ce qu il dit F : Ouais! ES : Donc j adhère d autant plus euh et Il construit la séance directement là! Afin de forcer l activité d étayage de l ES et par-là même accentuer son développement professionnel, le F place ce dernier face à une controverse à propos de ses jugements antérieurs («le CP justifie le pourquoi de cette situation») et en cours («le CP organise toute la situation»). L ES ne semble, toutefois, pas comprendre l intervention du F en ce sens. Il poursuit l étayage et nomme par le concept «construire la séance», l action du CP qui consiste à «organiser tout». Finalement, la règle mobilisée par l ES se voit formalisée : «Construire la séance» / vaut pour «organiser tout (de la situation)» / vaut pour «donner toutes les consignes» comme par exemple «là, je sers». 7
8 ES : Et là je et là, je suis en train de penser que là il est en train de dire euh, dans sa tête quand il prépare la situation euh, il formule déjà la consigne qu il va donner aux élèves en fait. Outre l aboutissement de l étayage à la formalisation de la règle constitutive que l ES utilise pour juger, ce temps de formation permet aussi à ce dernier d envisager à son propre compte («je suis en train de penser que là il est en train») l action de «formuler les consignes à délivrer aux élèves dès la préparation» menée par le CP pour «construire la séance» efficacement. F : Tu peux revenir sur ça? Donc là qu est ce qu il fait pour toi? ES : Ben pour moi euh il est en train de dérouler la situation là déjà F : Dérouler, c est à dire? ES : Euh en fait il prépare en fait il dans sa façon de préparer F : Ouais! ES : Il gagne du temps et surtout il est il rate rien, il oublie rien sur le une fois sur le terrain. Toujours dans une volonté de formation, le F incite l ES à dépasser le simple jugement positif porté sur l action du CP («formuler les consignes à délivrer aux élèves dès la préparation») et à le justifier. L ES s engage alors dans une explication du pourquoi d un tel jugement. Il utilise pour ce faire le concept «dérouler la situation» pour juger l action du CP qu il nomme «préparer la situation». Incité par les relances du F («dérouler, c est à dire?»), l ES propose des indices («il gagne du temps», «il rate rien», «il oublie rien») pour juger de l efficacité de cette action. Finalement, le contenu de la règle utilisée par l ES pour juger de l action du CP se voit formalisé : «préparer la situation» / vaut pour «dérouler la situation» / vaut pour «formuler les consignes à délivrer aux élèves dès la préparation» / ce qui obtient comme résultat de «gagner du temps» et de «ne rien oublié (consignes) une fois sur le terrain». ES : Parce qu en la préparant, il va, bon euh on va faire on va les mettre deux par terrain et puis on va faire euh, travailler la rupture et il va plus loin que ça il dit «je sers, l autre renvoie» et là il est déjà en train de parler aux élèves. F : Hum, hum ES : Comme s il parlait aux élèves déjà! F : Donc toi ta posture à ce moment là? ES : Ah là, je tilte là! Outre la formalisation de cette règle constitutive, ce temps de formation permet aussi à l ES d envisager à son propre compte les actions menées par le CP pour «construire la séance» et «préparer la situation» correctement. L ES juge ainsi positivement les actions de «dérouler la situation» et de «se placer déjà (dès la préparation) en train de parler (présenter les consignes) aux élèves». Ne réalisant pas ordinairement ces actions («là, je tilte là!»), l ES les envisage finalement à son propre compte pour à son tour mieux construire ses séances. Discussion Ces deux études de cas permettent de situer la pratique réflexive d entretien d autoconfrontation (ES F ou CP F) comme un véritable travail de formation pour les enseignants. Toutefois, les résultats préalablement présentés restent encore difficilement exploitables dans notre volonté d éclairer l impact des pratiques réflexives sur l apprentissage du métier et/ou le développement de l activité professionnelle. Ils peuvent être, en effet, doublement interprétés. Le temps de formation de type entretien d autoconfrontation peut 8
9 être, d une part, considéré comme un moment d apprentissage du métier. L ES y construit des règles constitutives à partir de l observation des actions d un expert qu il envisage à son propre compte pour à son tour agir efficacement. Le temps de formation de type entretien d autoconfrontation peut être, d autre part, considéré comme un moment de développement forcé des concepts exploités par l ES pour juger des actions observée. Il est ainsi possible de considérer que l apprentissage de ces différents concepts a eu lieu en amont lors d un travail d enseignement ou d un travail de formation de type entretien de conseil pédagogique. L ES aurait, en ce sens, appris lorsqu il a vu le CP faire ce qu il a fait et qu il l a retenu à son propre compte «se préparant à faire seul» ces différentes actions. Outre la nécessité de compléter le travail engagé, cette étude permet plus globalement de préciser la structure d un dispositif innovant de formation permettant de valoriser la mise en œuvre d une triade professionnalisante et par-là même de faire vivre le principe d une «formation professionnelle d adulte à caractère universitaire, basée sur l alternance». Bibliographie CHALIES, S., RIA, L., BERTONE, S., TROHEL, J & DURAND, M. (2004) Interactions between preservice and cooperating teachers and knowledge construction during postlesson interviews. Teaching and Teacher Education, 20(8), CLOT, Y. (1999) La fonction psychologique du travail, Paris: PUF. HEIKKINEN, H.W. & Mc DEVITT, T.W. (1992) Classroom teachers as agents of reform in university teacher preparation programs. Journal of Teacher Education, 43(4), VEAL, M.L. & RIKARD, L. (1998) Cooperating teacher s perspectives on the student teaching triad. Journal of Teacher Education, 49(2), VYGOTSKI, L.S. (1985) Pensée et langage, Paris : Terrains / Editions Sociales. SEARLE, J.R. (1995) The construction of social reality, New York : The Free Press. WILLIAMS, M. (2002) Tout est-il interprétation? In C. CHAUVIRE & A. OGIEN (Eds.), La régularité, (pp ), Paris : EHESS. WITTGENSTEIN, L. (2004) De la certitude, Paris : Gallimard. 9
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude
Plus en détailI/ CONSEILS PRATIQUES
D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailMon mémento Page 3. 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4. 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4. 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5
«STAJ PRATIC BAFA» KIT PEDAGOGIQUE «STAJ PRATIC BAFA» MEMENTO ANIMATEUR Sommaire : Mon mémento Page 3 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5
Plus en détailCirconscription de. Valence d Agen
Circonscription de Valence d Agen Pourquoi ce guide? Depuis des décennies, le sujet des devoirs à la maison est discuté dans et hors de l école. Nous avons souhaité faire le point sur ce sujet afin de
Plus en détail14 Adopter une attitude professionnelle
14 Adopter une attitude professionnelle Pour mener à bien votre projet et instaurer des relations constructives le groupe doit adopter une attitude professionnelle et se montrer : 1. Mobilisé tous les
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détailUne école au Togo, épisode 1/4
Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur
Plus en détailKerberos mis en scène
Sébastien Gambs Autour de l authentification : cours 5 1 Kerberos mis en scène Sébastien Gambs (d après un cours de Frédéric Tronel) sgambs@irisa.fr 12 janvier 2015 Sébastien Gambs Autour de l authentification
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailFrançois Gremion Katja Vanini De Carlo. 5 Les besoins en matière de formation continue
François Gremion Katja Vanini De Carlo 5 Les besoins en matière de formation continue 105 Le développement professionnel de l enseignant ne se termine pas avec l obtention de son diplôme. Il est donc intéressant
Plus en détailLes p'tites femmes de Paris
Les p'tites femmes de Paris De Géraldine Feuillien D'après une idée de Stéphanie Bouquerel Episode 2: Ménage à trois 1 APPARTEMENT DE - BUREAU- INT - JOUR 1 Mais enfin Julien! Qu est ce qui t as pris de
Plus en détailJe veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant. Texte de la comédie musicale. Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques
Je veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant Texte de la comédie musicale Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques Les Serruriers Magiques 2013 2 Sommaire Intentions, adaptations, Droits
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailNOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège...
NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège......... SOMMAIRE Avant le stage Le cahier de stage. 2 Conseil au stagiaire. 3 Fiche d identité de l élève
Plus en détailOrganisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale
Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Dossiers de suivi de stage - Rapport intermédiaire de Mission A rendre courant février (date précisée sur le site et sur
Plus en détailExemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH
Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux
Plus en détailENTRE LES MURS : L entrée en classe
ENTRE LES MURS : L entrée en classe Réalisation : Laurent Cantet Production : Haut et Court Genre : comédie dramatique Adaptation du livre «Entre les murs» de François Bégaudeau, éditions Gallimard 2006.
Plus en détailOrganiser des groupes de travail en autonomie
Organiser des groupes de travail en autonomie Frédérique MIRGALET Conseillère pédagogique L enseignant travaille avec un groupe de niveau de classe et le reste des élèves travaille en autonomie. Il s agira
Plus en détailOrganiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu :
Organiser l espace dans une classe de maternelle : I - Les textes officiels : Quelques idées «L aménagement des salles de classe doit offrir de multiples occasions d expériences sensorielles et motrices.
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailPOSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?
N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,
Plus en détailUn atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes
Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la
Plus en détail«Stage découverte» Une semaine en entreprise Le livret Bienvenue chez XXXX
«Stage découverte» Une semaine en entreprise Le livret Bienvenue chez XXXX Le stagiaire : Le maître de stage : Le correspondant Ressources Humaines : Dates du stage : Inclure ici le logo de Sommaire -
Plus en détailMASTER Mention MEEF. «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE
MASTER Mention MEEF «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE Nouveau master mis en place à compter de septembre 2013 pour les M1. Pour le
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailAVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur.
AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailÀ propos d exercice. fiche pédagogique 1/5. Le français dans le monde n 395. FDLM N 395 Fiche d autoformation FdlM
fiche pédagogique FDLM N 395 Fiche d autoformation FdlM Par Paola Bertocchini et Edvige Costanzo Public : Futurs enseignants en formation initiale et enseignants en formation continue Objectifs Prendre
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailQUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE
QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit
Plus en détailFORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014
FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles
Plus en détailLa transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio
Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie
Plus en détailJe me prépare pour mon plan de transition
Depuis que tu es en route vers ton avenir tu as identifié plusieurs rêves. Tous ces rêves ne peuvent pas être réalisés en même temps. Pour t aider à choisir, prends le temps de te préparer à ta rencontre
Plus en détailLe graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle
Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs
Plus en détailLECTURE CRITIQUE. Accompagner les enseignants et formateurs dans la conception d une formation en ligne
LECTURE CRITIQUE Accompagner les enseignants et formateurs dans la conception d une formation en ligne Christian Ernst E-learning. Conception et mise en œuvre d un enseignement en ligne Guide pratique
Plus en détailRéférentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique
Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailUne stratégie d enseignement de la pensée critique
Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation
Plus en détailCheckliste pour une interview radio Auteur: Ulrike Werner / traduit par Lars Jung et Aurore Visée
Checkliste pour une interview radio Auteur: Ulrike Werner / traduit par Lars Jung et Aurore Visée Lors d une interview radio, incite ton interlocuteur à répondre de manière intéressante. Il faut savoir
Plus en détailMEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004
MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004 Salut! Est-ce que tu as un bon copain? Un meilleur ami? Est-ce que tu peux parler avec lui ou avec elle de tout? Est-ce
Plus en détailEditorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique?
Formation et pratiques d enseignement en questions Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique? Abdel-Jalil AKKARI 1, (HEP-BEJUNE) et Sylvain RUDAZ (IFMES) Elément structurel des nouvelles
Plus en détailDossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème
Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailGuide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé
Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailUNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU
Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris
Plus en détailLe Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs
Guide du formateur Atelier 1 Objectifs Obtenir un premier contact avec le groupe; présenter la formation Jeune Leader; transmettre des connaissances de base en leadership; définir le modèle de leader du
Plus en détailStages Erasmus à l étranger
BROCHURE ERASMUS PARTIE 1 GENERALITES FEVRIER 2012 Stages Erasmus à l étranger HAUTE ECOLE GALILEE ISSIG Institut Supérieur de Soins Infirmiers Galilée TABLE DES MATIERES Avant-propos : - Prends le large
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailAider les élèves qui en ont le plus besoin. Animation pédagogique 17 septembre 2008
Aider les élèves qui en ont le plus besoin Animation pédagogique 17 septembre 2008 Un facteur de réussite scolaire : les capacités métacognitives de l élève Wang M.-C. (1990) Qu est-ce que la métacognition?
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE
LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE Spécialité: Gestion Clientèle Particuliers Arrêté d habilitation : 20090979 REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 2013-2015 VU la loi 84-52 du 26 janvier
Plus en détailAN-ANG, EN-ENG, IN-ING, ONG
Séance 1 LES SONS ET LES TONS DU CHINOIS Je vais travailler sur les finales AN-ANG, EN-ENG, IN-ING et ONG. Si tu as déjà travaillé le cours de niveau 1, cette révision te sera utile et importante. AN-ANG,
Plus en détailDiscours introductif du directeur du département. Mesdames Messieurs les professeurs, Mesdames Messieurs, Cher collègues, cher étudiants
CP du 18 février 2013 Etaient présents: voir feuille de présence ci jointe Discours introductif du directeur du département. Mesdames Messieurs les professeurs, Mesdames Messieurs, Cher collègues, cher
Plus en détailQuestionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005)
Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005) Ces résultats correspondent à 18 questionnaires parmi les 26 stagiaires du groupe Amiens. Le total des réponses ne fait pas toujours
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailPour un usage plus sûr du téléphone portable
Pour un usage plus sûr du téléphone portable On commence tout juste à en parler : l utilisation du portable comporte des risques pour la santé. Pour tenter de les réduire, le Criirem (Centre de recherche
Plus en détailActes du congrès de l Actualité de la recherche en éducation et en formation (AREF), Université de Genève, septembre 2010
EXEMPLE D ARTICULATION ENTRE RECHERCHE ET FORMATION UN DISPOSITIF DE FORMATION PAR L ANALYSE DE LEURS PRATIQUES A PARTIR D EXTRAITS DE VIDÉOS DES PROFESSEURS DE MATHÉMATIQUES DU SECOND DEGRÉ Philippe Le
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailLouise, elle est folle
Leslie Kaplan Louise, elle est folle suivi de Renversement contre une civilisation du cliché la ligne Copi-Buñuel-Beckett P.O.L 33, rue Saint-André-des-Arts, Paris 6 e pour Élise et Fred tu m as trahie
Plus en détailGRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE
GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale
Plus en détailEcole erber. Dossier de Presse. Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole Kerber. Une école indépendante, laïque et gratuite
Dossier de Presse,,,, Une école indépendante, laïque et gratuite Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole K Une nouvelle chance pour des enfants de pouvoir apprendre dans les meilleures conditions. Ecole
Plus en détailFélicitations X pour ton sérieux et ton implication dans ton travail. Tes résultats sont excellents et ceci dans tous les domaines étudiés.
Trimestre 1 X a fait énormément de progrès tout au long du trimestre et je ne peux que la féliciter. Il/elle s investit beaucoup en classe en participant activement. Les résultats en français/maths ont
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailRentrée 2015. Charte du restaurant scolaire
Rentrée 2015 Charte du restaurant scolaire Délibération du conseil municipal du 22 mai 2014 Mairie de Marcy L étoile Préambule Merci de bien vouloir prendre connaissance en famille, avec vos enfants, du
Plus en détailMaster Métiers de l enseignement scolaire. Mémoire professionnel de deuxième année UTILISER ET COMPRENDRE L ORDINATEUR EN MÊME TEMPS :
IUFM de Bonneville Année universitaire 2012-2013 Master Métiers de l enseignement scolaire Mémoire professionnel de deuxième année UTILISER ET COMPRENDRE L ORDINATEUR EN MÊME TEMPS : L apprentissage dans
Plus en détailChez les réparateurs de zém
Chez les réparateurs de zém Thèmes Questions de société, vie quotidienne Concept Le webdocumentaire Indépendances africaines, documentaire conçu spécifiquement pour le web, offre un voyage dans 16 pays
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailPROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL
Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailL approche actionnelle dans l enseignement des langues Douze articles pour mieux comprendre et faire le point
L approche actionnelle dans l enseignement des langues Douze articles pour mieux comprendre et faire le point Editions Maison des Langues, Paris SOMMAIRE Avant-propos 7 Première partie Regards croisés
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailMaster Audiovisuel, communication et arts du spectacle
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Audiovisuel, communication et arts du spectacle Université Toulouse II - Jean Jaurès - UT2J Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes
Plus en détailDossier d autorisation à mettre en oeuvre le C2i2e
Extrait du Dossier d autorisation à mettre en oeuvre le C2i2e déposé auprès de la Mission Numérique pour l'enseignement Supérieur par l Institut Catholique de Paris (ICP) - Mars 2011 Au cours du semestre,
Plus en détailUN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE
N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de
Plus en détailDOSSIER de présentation
Projet d Habitat Participatif intergénérationnel et écologique DOSSIER de présentation 2015 Sommaire Mots d Ecoravissants Présentation d Ecoravie Donnez du sens à votre argent Chiffres et dates Contact
Plus en détailDocument à l attention de l enseignant Grande section
ÉCOLE : CLASSE : Numéro confidentiel de saisie : Document à l attention de l enseignant Grande section Passation 1 Évaluations «prévention de l illettrisme» - 31-2010-2011 Présentation générale Dans le
Plus en détailLe retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité?
L éducation physique à l école : Le retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité? Avril 2009 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailPrésentation du programme de danse Questions-réponses
Présentation du programme de danse Questions-réponses Description du programme Le DEC préuniversitaire en Danse du Cégep de Rimouski offre une formation collégiale préparatoire à la poursuite d études
Plus en détail«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience
«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés
Plus en détailMON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1
Nom : Prénom :.. MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Récapitulatif pour la validation du Diplôme National du Brevet (Attestation du Niveau A2 en Langue Vivante) : ACTIVITES
Plus en détailRecueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm
Recueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm - Contenu de la formation à l'iufm Quels contenus vous ont servi pendant ces
Plus en détailVAGINISME. Quelques pistes pour avancer?
VAGINISME Quelques pistes pour avancer? Vaginisme Pendant longtemps, pénétration vaginale quasi impossible car trop douloureuse : brûlures. Et même pas de nom pour ça. Un jour : un mot. VAGINISME. Vaginisme
Plus en détailCéline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages
Céline Nicolas Cantagrel C EPS Grande Section / Gérer et faciliter la continuité des apprentissages GS Quelques pistes par rapport à l équipe pédagogique : renforcer les liens, clarifier les paramètres
Plus en détailActivité collaborative en ligne. Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé
Activité collaborative en ligne Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé Objectifs et contexte Construire un cours de management d'équipe et communication MASTER 1 Management du Social et de la Santé Dispositif à
Plus en détailEnseignement des habiletés sociales au secondaire
1 Enseignement des habiletés sociales au secondaire Groupe 1 : Habiletés sociales de base Habileté 1 : Se présenter Par Sandra Beaulac Fiche de planification Habileté sociale : SE PRÉSENTER Type d atelier
Plus en détailINTRANET: Pédagogie générale
INTRANET: Pédagogie générale Les objectifs généraux : trois axes fondamentaux et trois types d activités associées. Les outils : A. Le cahier d ordinateur. B. Le projet de classe. C. Les projets personnels.
Plus en détailL analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4
FICHES TECHNIQUES La carrière de l'enseignant : comment durer dans le métier? Comment optimiser les ressources des professeurs expérimentés? Usure, adaptation, épreuves et ressources.... 3 L analyse des
Plus en détailPRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS
PROFESSEUR DES ÉCOLES PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS Éric SEGOUIN Denis BASCANS Une méthode et un outil d aide à la conception et à la programmation de séquences d enseignement pour l école primaire
Plus en détailutiliser un Macintosh dans la classe
utiliser un Macintosh dans la classe Philippe DESSUS Pascal MARQUET Le Macintosh Les dessins Les textes Les nombres Préparer et gérer sa classe Évaluer des logiciels SOMMAIRE AVANT-PROPOS...5 Les grandes
Plus en détailPoèmes. Même si tu perds, persévère. Par Maude-Lanui Baillargeon 2 e secondaire. Même si tu perds Tu n es pas un perdant pour autant Persévère
Poèmes École : Polyvalente de Normandin Commission scolaire : Du Pays des Bleuets Même si tu perds, persévère Par Maude-Lanui Baillargeon Même si tu perds Tu n es pas un perdant pour autant Persévère Ne
Plus en détailRapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Rapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Nom du professeur principal
RAPPORT DE STAGE 3 ème Quels conseils méthodologiques pour la réalisation de votre rapport Voilà des conseils et des questions pour vous aider dans la réalisation de votre rapport. Ils vous sont proposés
Plus en détailROULER A L ECOLE MATERNELLE
Construire une Unité d Apprentissage en EPS ROULER A L ECOLE MATERNELLE Dossier réalisé par l équipe des CPC EPS des circonscriptions de Châlons-en-Champagne Anne GANTELET, Bernard FLORION et Pascal LOCUTY
Plus en détail«La pomme qui voulait voyager»
«La pomme qui voulait voyager» Création d'une suite d histoire à partir d une séquence d'images Type d outil : Démarche d apprentissage en contagion et en construction de langage (Savoir Parler). Auteurs
Plus en détail