LES SOINS ONCOLOGIQUES DE SUPPORT. Gilles Nallet Coordonnateur Régional du Réseau Oncolie Formation IDE 2011
|
|
- Christian Noël
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES SOINS ONCOLOGIQUES DE SUPPORT Gilles Nallet Coordonnateur Régional du Réseau Oncolie Formation IDE 2011
2 DEFINITION DES SOINS DE SUPPORT Définition inspirée du «supportive care» et donnée en 1990 par la MASCC (Multinational Association of Supportive Care in Cancer) «The total medical, nursing and psychosocial help which the patients need besides the specific treatment.» «L ensemble des soins et soutiens nécessaire aux personnes malades, parallèlement aux traitements spécifiques, lorsqu il y en a, tout au long des maladies graves» Réf. Circulaire DHOS/SDO/2001/101 du 22 février 2005 relative à l'organisation des soins en Cancérologie
3 Les malades plaident pour une prise en charge globale Livre blanc des malades du cancer Les malades plaident pour une prise en charge globale Réseau des malades Plan cancer Mesure 42 Soins de support Mesure 40 Dispositif d annonce
4 Nutrition Art thérapie Musicothérapie Évaluation de la douleur Bénévoles Médecin traitant Soutien psychologique Oncopédiatres Oncogériatres Rééducation Réadaptation fonctionnelle PERSONNE SOIGNÉE PROCHES Spécialistes -Chirurgie - Prothèses - Orthopédie Accompagnement social Psycho- Oncologues Accompagnement spirituel Equipes soignantes Proximologie Soins palliatifs Socioesthétique ERI
5 Les soins de support ne sont pas une nouvelle spécialité «Le médecin cancérologue n existe plus Le médecin de soins de support n existera pas» Cancer = maladie chronique Approche globale Continuité des soins : projet curatif ou palliatif Organisation et coordination des compétences
6 SOINS DE SUPPORT : La réalité CE QU ILS SONT : Une coordination de compétences impliquées dans les SOS Une mutualisation de moyens CE QU ILS NE SONT PAS : Une nouvelle spécialité
7 CONTINUITE ET GLOBALITE DES SOINS EN CURATIF PERIODE CURATIVE PERIODE de SURVEILLANCE Espoir de guérison Rémission Guérison avec ou sans séquelle SOINS ONCOLOGIQUES SPECIFIQUES OU PAS DE SOINS SOINS ONCOLOGIQUES DE SUPPORT Diagnostic de cancer Fin des traitements à visée curative Entrée en phase de guérison
8 CONTINUITE ET GLOBALITE DES SOINS EN PALLIATIF PERIODE CURATIVE PERIODE PALLIATIVE Espoir de guérison Phase palliative initiale Phase palliative terminale SOINS ONCOLOGIQUES SPECIFIQUES SOINS ONCOLOGIQUES DE SUPPORT A G O N I E Diagnostic de cancer Diagnostic d évolution locale incurable ou de première métastase Diagnostic d entrée en phase terminale Décès d après Oncologie 2004 ; 6:7-15
9 Les soins de support répondent à des besoins Circulaire mars 2005 Des besoins qui concernent principalement la prise en compte de : la douleur, la fatigue, les problèmes nutritionnels, les troubles digestifs, les troubles respiratoires et génitourinaires, les troubles moteurs et les handicaps, les problèmes odontologiques, les difficultés sociales, la souffrance psychique, les perturbations de l image corporelle et l accompagnement de fin de vie des patients ainsi que de leur entourage.
10 Évaluation UNE ORGANISATION ESSENTIELLE Lisibilité & Traçabilité SOINS DE SUPPORT Coordination Continuité Pluriprofessionnalité Interdisciplinarité
11 MISSIONS DES SOS Organisation, Coordination & Fonctionnalité des Soins Oncologiques de Support (SOS) au sein des établissements Coordination, Mission de recours et d expertise Soutien aux équipes et aux professionnels de santé Animation Formation Recherche
12 EVALUATION DES BESOINS EN SOS DISPOSITIF D ANNONCE Temps médical Un temps d accompagnement soignant Un temps d évaluation des besoins en SOS : accès à l équipe des soins de support Un temps d articulation avec la médecine de ville A CHAQUE ETAPE DU PARCOURS DU PATIENT COMMENT? Expression de ses besoins par demande spontanée du patient ou de ses proches à destination d un professionnel, Entretiens (colloque singulier, consultation infirmière d annonce, consultation manipulateur de radiothérapie), Questionnaires d auto évaluation et d hétéro évaluation, Grilles d évaluations, Cahier de suivi Staffs pluri disciplinaires
13 COORDINATION INTERNE : SPECIFICITES Permettre une centralisation des informations et en assurer la diffusion. Être en capacité d évaluer les recueils de besoins et la pertinence d appel aux équipes transversales. Etre un interlocuteur privilégié entre les équipes. Connaitre le fonctionnement des équipes transversales, des annuaires et des structures hospitalières Assurer une traçabilité des actions engagées et de leurs résultats. Etre en capacité d anticiper les sorties problématiques d hospitalisation et assurer la collaboration entre les équipes internes et celles du domicile Savoir entretenir des relations avec les patients (lien téléphonique) et les soignants du domicile dans un souci de non abandon et de cohérence des soins.
14 COORDINATION INTERNE : FONCTIONNEMENT Cette coordination est dépendante des réalités du terrain et ne peut être effective dans tous les services, chacun devra donc ainsi trouver le meilleur fonctionnement selon sa typologie. La procédure la plus performante est la centralisation consensuelle des besoins recensés au cours de staffs cliniques pluri professionnels dans un continuum de prise en charge. Cette coordination doit être organisée, connue de tous et assurer un retour des actions entreprises auprès de l équipe, sinon risque de morcellement du patient et de juxtaposition d actions sans cohérence. Les règles de fonctionnement doivent être écrites dans un cahier des charges Nécessité en amont de travailler sur des recueils de besoins élaborés en équipe selon la typologie des patients.
15 PERSPECTIVES Deux axes majeurs sont à travailler : L Après cancer, L intégration des informations UTILES utilisées par les acteurs des soins de support au DMP. De plus en novembre 2010, l INCa et l ASIP ont publié «le Cadre national Dossier Communicant de Cancérologie (DCC) et Dossier Médical Personnel (DMP)» qui définit les conditions de mises en œuvre du DCC en tant que service du DMP. Cela facilitera la coordination des soins entre professionnels de santé à toutes les phases (du diagnostic à l après cancer en passant par les phases aigües du traitement). Un relais concret est un facteur clé de la réussite de cette coordination.
16 OUTILS D EVALUATION Ces outils sont à adapter et à personnaliser en fonction de vos spécificités : Etat des lieux de ce qui existe déjà au sein de la structure, Liste des compétences de recours extérieures à la structure ( + annuaire régional des ressources) Fiches de recueils adaptés et personnalisés, au moyen d autoévaluations et d hétéro évaluations : Outils de liaison / transmission avec le médecin traitant, les autres structures de prise en charge, les équipes de proximité : Les supports écrits de compte-rendu (grille de recueil) de consultation d annonce, médicale et para médicale, le PPS, le Dossier Communicant de Cancérologie (DCC), le Dossier médical Personnel (DMP), les fiches de transmission ide, courrier médical de sortie, cahier ou classeur de liaison
17 EVALUATION DES ACTIVITÉS ET DU FONCTIONNEMENT L objectif est triple : Evaluer l accessibilité aux soins de support en vérifiant que toute personne malade et son entourage ont accès au bon moment aux informations et aux compétences impliquées dans les soins de support, Evaluer la qualité du service rendu au patient en vérifiant l adaptation et l adéquation de la réponse à la demande. Evaluer les activités et le fonctionnement en définissant, par composante ressource, des indicateurs en fonction des spécificités, comme le nombre d actes, de consultations, le temps moyen passé par patient, le nombre de prises en charge, la durée
18 Intégration de cette évaluation dans : EVALUATION DES ACTIVITÉS ET DU FONCTIONNEMENT La Démarche qualité : définition en commun avec les acteurs en SOS d une méthodologie générale (objectifs, moyens, calendrier, modes de réalisation et de diffusion de l évaluation) avec détermination d outils adaptés qualitatifs et quantitatifs afin d évaluer la situation actuelle et la situation attendue (cible) La Démarche d accréditation et de certification des établissements Les Démarches d évaluation des pratiques professionnelles (EPP) (individuelles ou institutionnelles) : Etudes de dossiers, revues de morbi-mortalité
19 EVALUATION DES ACTIVITÉS ET DU FONCTIONNEMENT L évaluation du dispositif s effectue à 3 niveaux : Par les usagers : audits de satisfaction, questionnaires sur l information, l accessibilité, la qualité du service rendu Par les professionnels libéraux et les équipes cliniques Par la coordination des SOS ou le responsable qualité, et selon les structures, par le 3C : rapport annuel d activités, décliné selon l activité générale des missions. Les indicateurs : De charge en soins De qualité de prise en charge De formation De recherche
20 EVALUATION DES ACTIVITÉS ET DU FONCTIONNEMENT Parmi les moyens d évaluation, il conviendra que chacun choisisse les indicateurs les plus pertinents pour sa structure. Il parait essentiel d organiser une restitution au minimum annuelle des indicateurs de suivi et des résultats des démarches d évaluation en interne et d assurer une communication en externe.
21 OUTILS D EVALUATION Ces outils sont à adapter et à personnaliser en fonction de vos spécificités : Etat des lieux de ce qui existe déjà au sein de la structure, Liste des compétences de recours extérieures à la structure ( + annuaire régional des ressources) Fiches de recueils adaptés et personnalisés, au moyen d autoévaluations et d hétéro évaluations : Outils de liaison / transmission avec le médecin traitant, les autres structures de prise en charge, les équipes de proximité : Les supports écrits de compte-rendu (grille de recueil) de consultation d annonce, médicale et para médicale, le PPS, le Dossier Communicant de Cancérologie (DCC), le Dossier médical Personnel (DMP), les fiches de transmission ide, courrier médical de sortie, cahier ou classeur de liaison
22 OUTILS DE FONCTIONNALITÉ Outils institutionnels, indicateurs d activité par composante ressource, ex : nombre de soutien psychologiques réalisés, nombre de prise en charge en rééducation fonctionnelle, nombre d interventions du service social, nombre d interventions de l équipe référente en soins palliatifs, interventions de la diététicienne, Outils d évaluation de la coordination des SOS (pluridisciplinarité de la prise en charge, circuit de l information, régulation, traçabilité, évaluation des besoins du patient, supports de communication et d information ) Outils évaluant la charge en soins, SSIPS, Outils d évaluation du dispositif et de l accès aux soins de support - par le patient et son entourage : audits, questionnaires de satisfaction - par les équipes de recours : questionnaires, rencontres - par les équipes cliniques et les professionnels libéraux : questionnaires de plusvalue, de satisfaction, rencontres Indicateurs d activité de formation, Indicateurs d activité dans le domaine de la recherche.
23 CONCLUSION La généralisation de la démarche d anticipation par le recours aux équipes spécialisées de soins de support plus systématique et plus précoce permettra aussi l appropriation du projet de soin par tous les acteurs impliqués : patient, proches et professionnels. Ces préconisations ne peuvent se réaliser que par un travail commun, c est tout l enjeu de la transversalité entre professionnels de santé.
24 «Le progrès n est que l accomplissement des utopies» Oscar Wilde
25 TEXTES OFFICIELS Rapport Marie DE HENNEZEL Conférence de consensus ANAES sur «l Accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches» - PARIS, Janvier 2004 Loi Leonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie.
26 TEXTES OFFICIELS Circulaire DHOS du 19 février 2002 relative à l organisation des soins et de l accompagnement à domicile et en établissement Circulaire DHOS : «Guide de Bonnes Pratiques d une Démarche Palliative en établissements» dans le cadre du programme de développement des soins palliatifs (juin 2004) Circulaire du 25 mars 2008 relative à l'organisation des soins palliatifs
27 RÉFÉRENCE 13 La fin de vie. PRATIQUE EXIGIBLE PRIORITAIRE Critère 13.a Prise en charge et droits des patients en fin de vie. PEP La loi de juin 1999 et la loi du 22 avril 2005 relatives aux droits des malades et à la fin de vie ont consacré le droit de toute personne malade dont l état le requiert, d accéder à des soins palliatifs et à un accompagnement. La loi du 22 avril 2005 fait aussi obligation aux professionnels de santé de ne pas faire subir aux patients d obstination déraisonnable par la poursuite d actes qui «apparaissent inutiles, disproportionnés ou n ayant d autre effet que le seul maintien artificiel de la vie». Elle impose aux équipes soignantes de respecter la volonté d un patient de refuser tout traitement et organise les procédures permettant une limitation ou un arrêt des traitements. Il s agit d un axe important de la politique des établissements de santé qui doivent mettre en place des organisations destinées à permettre le respect de ce droit et la prise en compte des nouveaux enjeux de santé publique et éthiques liés notamment à l augmentation du nombre de personnes âgées et de celles vivant avec une maladie, un handicap ou une perte d autonomie ainsi que des situations interpellant l éthique médicale (par exemple : enjeux liés à la mise en œuvre de certains traitements permettant d allonger la survie, décisions en fin de vie chez les personnes inconscientes ou incapables d autodétermination). Le développement des soins palliatifs nécessite une approche transversale de disciplines médicales, des différents lieux de soins et de vie ainsi qu une organisation du travail en réseau et coopérations. L accompagnement est une démarche dynamique et participative. Il justifie la mise en place de dispositifs d écoute, de concertation, d analyse, de négociation qui favorisent une évaluation constante et évolutive des options envisagées. La qualité de l accueil, de l information, de la communication et des relations qui s établissent contribue à l anticipation nécessaire des prises de décisions. La circulaire du 25 mars 2008 relative à l organisation des soins palliatifs (DHOS/02/2008/99) précise à nouveau les fondements de la démarche palliative : - «évaluation des besoins et mise en œuvre de projets de soins personnalisés ; - réalisation d un projet de prise en charge des patients et des proches ; - mise en place de réunions pluriprofessionnelles de discussion de cas de malades ; - soutien des soignants en particulier en situation de crise ; - mise en place de formations multidisciplinaires et pluriprofessionnelles au sein des unités de soins».
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»
CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailLe dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009
Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailPatients atteints de maladie grave ou en fin de vie
Document réservé aux professionnels de santé - État des connaissances - Mai 2009 Repères pour votre pratique Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie Soins palliatifs et accompagnement Les progrès
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailPlan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer
Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer Préface 3 Cancer : le Plan de mobilisation nationale 5 Les mesures du Plan Cancer 15 Les chiffres du cancer 43 1 Jean-François Mattei Ministre
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailLE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS
T R A N S P O R T S LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS R O U T I E R S Votre interlocuteur : Nicolas SAINT-ETIENNE Conseiller Mutualiste Entreprises Tél : 03 84 45
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailCharte de la Société suisse de la sclérose en plaques
Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailCécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc.
Direction québécoise de cancérologie Les pratiques exemplaires en cancérologie Session d information aux nouveaux patients recevant de la chimiothérapie (version abrégée) 30 novembre 2012 Cécile Bergeron,
Plus en détailLe métier de Coordinateur de Soins en Oncologie
Rencontre (inter)professionnelle Le métier de Coordinateur de Soins en Oncologie Vendredi 15 mars 2013 Diamant Center Boulevard Auguste Reyers 80 1030 Bruxelles Cette journée d information est organisée
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailDossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP)
Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Cadre national Octobre 2010 Mesure 18 : Personnaliser la prise en charge des malades et renforcer le rôle du médecin traitant
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailDEMARCHE QUALITE. Référentiel B. L Acteur Nautique
DEMARCHE QUALITE Référentiel B Grille d auto-évaluation de L Acteur Nautique FSN AFNOR Juillet 2004 Nom de l Acteur Nautique : de la Station Nautique :.. EXIGENCES GENERALES TRANSMISSION DE L INFORMATION
Plus en détailPrise en charge de la précarité chez des personnes atteintes de cancer
Prise en charge de la précarité chez des personnes atteintes de cancer Date : 06/12/2012 Copyright AFSOS, version de (travail ou validée) du 5 janvier 2011 1 1 Le groupe Coordination Martine GARDEMBAS-PAIN
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailTransport 100 % Médicaments pris en charge à 65 % et à 30 % par le RO Médicaments pris en charge à 15 %
Complémentaire santé 2014 Décerné à pour sa gamme aprévactive Formule Mini + Remboursement Régime Obligatoire + Module Médecine de ville M1 Consultations, visites, actes de chirurgie en cabinet médical,
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailAssociation «La vie entre les mains»
Association «La vie entre les mains» 2011 Rapport d activité des soins esthétiques Année 2011 «L Association la vie entre les Mains» Oeuvre à l Institut Claudius Regaud, Centre Régional de lutte contre
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailProgramme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1
Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée
Plus en détailNOTRE HÔPITAL S ENGAGE. Au-delà du soin, vous comprendre. Au-delà du soin, vous comprendre
NOTRE HÔPITAL Au-delà du soin, vous comprendre S ENGAGE 4, rue Kléber 3, rue Barbès 92300 Levallois-Perret Tél. : 01 47 59 59 59 www.ihfb.org Au-delà du soin, vous comprendre UNE NOUVELLE IMAGE DE NOUVELLES
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailLa Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique
+ La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #
Plus en détailContrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats
Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailCertification V2014. Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé. Juillet 2013 ACC01-F203-A
Certification V2014 Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé Juillet 2013 ACC01-F203-A Sommaire 1. Les enjeux et les ambitions : une démarche plus
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailFMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36
FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailUne offre de lecture numérique sur liseuses et Smartphones pour les patients de l Assistance Publique-Hôpitaux de Paris
Une offre de lecture numérique sur liseuses et Smartphones pour les patients de l Assistance Publique-Hôpitaux de Paris IFLA 2014 23 août 2014 Claudie GUERIN L Assistance Publique-Hôpitaux de Paris c est
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailFaciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau
Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau de soins palliatifs du Québec, Montréal Julia Sohi
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailOrganisation - Organisatie. Avantages - Voordelen. Mutualité socialiste du Centre, Charleroi et Soignies 317
Organisation Organisatie Mutualité socialiste du Centre, Charleroi et Soignies 317 Avenue des Alliés 2 6000 CHARLEROI Tél. : (071) 50 77 77 Fax : (071) 50 77 99 Acupuncture Avantages Voordelen Activité
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailLe Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011
Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation Juin 2011 1 Sommaire Présentation institutionnelle... 3 Un projet stratégique : le projet d établissement... 5 Un hôpital certifié par la Haute
Plus en détailEtat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France
Etat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France Impact de l universitarisation sur la recherche en soins infirmiers et son autonomie Catherine BARGIBANT- CHRU de LILLE Introduction 1. Enracinement
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailLa responsabilité des infirmiers et des établissements de santé
La responsabilité des infirmiers et des établissements de santé I. Généralités Notion de responsabilité : Seules les personnes sont juridiquement responsables : o Personnes physiques (particuliers, professionnels)
Plus en détailse nourrir soutien aide traitement de la douleur entourage harmonie corps ne pas rester seul orientation oncologie
soutien Les soins de support Pour mieux vivre les effets du cancer écoute besoins traitement de la douleur conseil oncologie ne pas rester seul orientation aide entourage se nourrir corps harmonie accompagnement
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailQuelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?
Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par
Plus en détailCompétences en soins infirmiers à domicile. Version 1.0 Mars 2010
Compétences en soins infirmiers à domicile Version 1.0 Mars 2010 Infirmières et infirmiers en santé communautaire du Canada est une association bénévole d infirmières et infirmiers en santé communautaire
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailVersion définitive approuvée après enquête publique
Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de
Plus en détail