Faire de l agriculture biologique un atout pour le développement agricole et rural en région Haute Normandie.
|
|
- Marianne Solange Champagne
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Faire de l agriculture biologique un atout pour le développement agricole et rural en région Haute Normandie. L agriculture biologique est en phase avec de nombreuses priorités et attentes apparaissant dans le bilan d étape de l élaboration du futur programme de développement rural de haute Normandie. Ces points sont détaillés dans les tableaux de propositions ci-dessous. En préalable et en cohérence avec le plan ambition bio 2017 nous souhaitons insister sur 2 mesures concrètes. Elles prennent tout leur sens dans le cadre de ce travail pour faire de l agriculture biologique un atout dans le développement agricole et rural : Prévoir une progressivité des MAEC, par laquelle les systèmes engagés en bio bénéficient d'une rémunération supérieure à celle de démarches environnementales moins abouties ; Majorer ou attribuer en priorité les aides aux investissements du 2ème pilier, lorsqu'elles sont mobilisées pour des dossiers s'inscrivant dans le projet agro-écologique, tout particulièrement pour les dossiers bios. Europe Propositions GRAB HN Priorités UE Domaines de priorité UE Priorités régionales Justification Objectifs Hauts- Normands Mesures mobilisables 1-Encourager le transfert de connaissances et l'innovation dans les secteurs de l'agriculture et de la foresterie et dans les zones rurales 1a - Favoriser l'innovation et la base de connaissances dans les zones rurales Améliorer les connaissances et participer à l évolution des mentalités vers des pratiques innovantes (prenant en compte l environnement et les enjeux climatiques) L agriculture biologique est une agriculture innovante : 1- Ses pratiques représentent un 1. Développer la sensibilisation et le transfert de connaissance concernant les techniques de l agriculture biologique par le moyen d aide au Art 15 (Suivi des fermes pilotes sur des thématiques telles que les huiles essentielles/ homéopathie en élevage, parasitisme réseau de fermes de démonstration) Art 16 (Conseil
2 aboutissement en conseil sur les termes de protection techniques biologique de l environnement, (encourager le elles doivent donc transfert de pratiques être diffusées au plus et de connaissances) grand nombre. C est pourquoi nous proposons que les mesures mobilisées prévoient un système de majoration des aides dans le cas du transfert de connaissances, du conseil aux agriculteurs sur les techniques et la production en agriculture biologique. 2. Créer de la documentation sur les traitements alternatifs et des références en élevage, en grandes cultures et en maraîchage. 3. Favoriser le transfert de connaissances entre agriculteurs, et avec les futurs agriculteurs (lycées agricoles) par le développement de réseaux de fermes de individualisé pour les agriculteurs sur l intérêt de la bio, aide majorée dans le cas de conseil sur les techniques et la production en AB) Art 36 démonstration. 1 b - Renforcer les liens entre l agriculture et la foresterie, la recherche et l innovation Relier les recherches scientifiques et les pratiques paysannes. 2- L agriculture biologique est en constante évolution et se perfectionne en menant des projets de co-construction entre la recherche/expérimen 1. Soutenir l expérimentation en agriculture biologique et l acquisition et partage des références (réduction des intrants, rotations des cultures, mesures des reliquats Art 36
3 tation (partenariat ITAB-INRA en 2013) et les savoir-faire paysans. azotés ) 2. Développer les réseaux, travail multipartenarial (ARVALIS- ITAB-INRA, Chambres d Agriculture, lycées agricoles, écoles d ingénieurs, organismes de formation) 1c Favoriser l'apprentissage tout au long de la vie et la formation professionnelle dans les secteurs de l'agriculture et de la foresterie 1. Développer la formation des agriculteurs aux techniques de l agriculture biologique. 2. Encourager l échange d expériences et des pratiques entre exploitants pour créer une dynamique propice à la mise en place des nouvelles pratiques (réseau de ferme, tours de plaine, groupes d échanges...) Art 15 Art 16 (aide majorée dans le cas de conseil sur les techniques et la production en AB) Art 36
4 2-Améliorer la compétitivité de tous les types d'agriculture et renforcer la viabilité des exploitations agricoles 2a Faciliter la restructuration des exploitations agricoles connaissant d importants problèmes Structurels - Besoin d une définition claire des «problèmes structurels» pour l accès aux mesures. Remarque concernant le Bilan d étape: - Enlever «le développement de la bio» dans les besoins, elle ne représente pas forcément une solution miracle pour les exploitations en difficulté. Celles-ci ayant au contraire besoin d une bonne sécurité financière pendant la période de conversion. Favoriser l autonomie des exploitations agricoles. D une manière générale, les exploitations en agriculture biologique sont plus résilientes et à haute valeur ajoutée : - Elles sont moins sensibles aux aléas des cours mondiaux. En effet, les productions biologiques sont d avantage intégrées dans des filières locales et dans une économie réelle et peu exportées. La valeur ajoutée reste dans la région. 70% des exploitations biologiques en Haute- Normandie pratiquent la vente directe (observatoire normand de la bio). - Les exploitations 1. Soutenir les initiatives à la diversification des exploitations agricoles (production et débouchés). 2. Apporter du conseil technique et économique aux exploitations en difficulté 3. Encourager les systèmes à faible consommation d intrants (avec une définition précise de ces systèmes) Remarque : Il est nécessaire de définir les conditions pour bénéficier des mesures (taux d endettement, part des charges de main d œuvre ). Art 16 (aide majorée dans le cas de conseil sur la production en AB) Art 18 (aide majorée dans le cas d investissements dans une exploitation en AB) Art 20 (aide majorée dans le cas d exploitations biologiques) Art 17 (aide à la certification) biologiques sont également plus diversifiées (3 sur 10, d après Agreste
5 primeur 284, juin 2012). 2b Faciliter le renouvellement des générations dans le secteur de l agriculture - Limiter les agrandissements - Maintenir et augmenter le nombre d exploitations et les surfaces en agriculture biologique. Les exploitations biologiques sont plus facilement transmissibles du fait que leur taille moyenne est inférieure à celle des exploitations conventionnelles environ 37ha contre 107ha (observatoire normand de la bio 2011) 63% des porteurs de projet «hors cadre familial» veulent s installer en agriculture biologique (étude HC des Jeunes agriculteurs et du mouvement rural des jeunesses chrétiennes) 1. Développer l accompagnement, la formation pour faciliter les transmissions. 2. Encourager les initiatives du type caféinstallation : sensibilisation des agriculteurs, accompagnement /éch anges / mises en relation des porteurs de projet 3. Soutenir les cédants dans le portage/montage des dossiers de transmission, avec une attention particulière pour les producteurs Art 20 (aide majorée dans le cas d exploitations biologiques) Art 16 (conseil adapté aux problématiques de transmission) Art 18 (aide majorée dans le cas d investissements dans une exploitation en AB) Art 17 (aide à la certification) Cela contribue à endiguer le phénomène bio. 4. Soutenir les installations hors cadre
6 d agrandissement des exploitations agricoles et de diminution du nombre d actifs agricoles. familial et les petites exploitations (plus nombreuses en bio). 3-Promouvoir l organisation de la chaîne alimentaire et la gestion des risques dans le secteur de l agriculture 3a Une meilleure intégration des producteurs primaires dans la chaîne alimentaire - Besoin d une définition claire des «produits de qualité» pour l accès aux mesures Tenir compte de la «vertu environnementale et sociale» des circuits d approvisionnement L ancrage local de l agriculture biologique réduit la dépendance aux centres de décision extérieurs. La diversification des exploitations en agriculture biologique limite la spécialisation régionale vers les productions exportatrices (grandes cultures) qui fragilisent d autres systèmes (élevage, maraîchage ) 1. Appuyer la mise en place des dynamiques collectives pour la transformation et/ou la commercialisation (prendre en compte l appui individuel). 2. Privilégier les démarches de qualité certifiées 3. Encourager les producteurs à s inscrire dans des démarches, avec signe Art 16 Art 17 Art 18 Art 20 Art 28 Art 36 (aides majorées pour le secteur biologique : production, transformation et commercialisation) Le manque de volumes produits localement induit un manque d industries de transformation et d artisans, incluant des produits biologiques locaux. Ceci génère une de qualité officiel, certifiées par un organisme certificateur (INAO) 4. Soutenir les structures d accompagnement et de conseil pour les
7 démarches avec signe perte de valorisation régionale (productions et consommation), ainsi qu une perte de compétitivité régionale, (marchés perdus et/ou non acquis -p. ex la restauration collective-, logistique coûteuse,...). de qualité officiel, certifiées par un organisme certificateur (INAO). 5. Développer les réseaux et les liens entre les différents acteurs de la de la chaîne alimentaire, notamment ceux de la filière biologique. 1. Encourager les pratiques préventives 3b le soutien à la gestion des risques au niveau des exploitations Favoriser la résilience des systèmes (face aux risques climatiques et aux aléas du marché) Les pratiques en agriculture biologique, du fait d une approche système favorise la conservation des écosystèmes et la résilience par rapport aux risques (climatiques, catastrophes naturelles). (diversification, extensification, faible densité, faible chargement, hygiène ) 2. Favoriser l autonomie des exploitations 3. Développer l agriculture biologique Art 16 Art 19 Art 20 Art 24 (agroforesterie) Nous ne souhaitons pas que les Art 37, 38, 39 soient mobilisables sur le deuxième pilier car nous considérons qu ils relèvent du premier pilier. (indépendance par rapport aux cours mondiaux)
8 4-Restaurer, préserver et renforcer les écosystèmes tributaires de l agriculture et de la foresterie 4a restaurer et préserver la biodiversité Prendre en compte la biodiversité sauvage et domestique, à différentes échelles (macro et microscopique, notamment les microorganismes du sol) Face au bilan de la dernière programmation concernant la protection de l environnement et notamment de la ressource en eau, il est urgent de limiter l impact de l agriculture sur les écosystèmes. L agriculture biologique répond à cet enjeu : - Maintien et augmentation de la fertilité des sols qui participe à la lutte contre l érosion - Amélioration de la qualité de l eau (absence d utilisation de pesticides et d engrais chimiques de synthèse) - Préservation de la biodiversité par le maintien de prairies 1. Développement de l agriculture biologique. 2. Maintenir et augmenter les surfaces des prairies (perm et tempo) et arbres (forêt, agroforesterie, bocage, haies). 3. Préserver la biodiversité aquatique. 4. Maintenir les variétés et races rustiques et locales 5. Lutter contre la baisse des insectes pollinisateurs, dont les abeilles. 6. Favoriser les observatoires quantitatifs et qualitatifs Art 24 Art 34 (bien-être animal) Art 29, 30, 31 Les montants des MAE-Bio doivent être incitatifs (significativement supérieurs aux autres MAE) et correspondre aux montants maximums accessibles (les pratiques biologiques étant les plus abouties dans le cadre de la préservation des écosystèmes) Art 45 (frais d animation) Cumul possible des aides à la bio avec les MAEC à enjeux localisés.
9 DP 4b Améliorer la gestion de l'eau Protéger la ressource en eau en développant des pratiques adaptées (agriculture biologique) et des actions préventives Harmoniser le territoire comme zone prioritaire pour la préservation de la ressource en eau (protection des eaux souterraines et superficielles en lien avec la DCE) permanentes (elles représentent 40% de la SAU des exploitations en agriculture biologique (observatoire normand de la bio 2011) et par la remise en herbe (les surfaces fourragères représentent 67% de la SAU des exploitations en agriculture biologique) C est pourquoi des mesures incitatives et majorées doivent être mises en place pour soutenir et développer l agriculture biologique (mesures spécifiques sur les zones à enjeux cumulables avec les MAE-Bio) 1. Développer l agriculture biologique. 2. Soutenir d avantage les pratiques préventives et notamment l agriculture biologique 3. Equilibrer les montants d aide sur les BAC et hors BAC pour éviter la sensation de stigmatisation de certains agriculteurs et étendre la prise de conscience collective sur les enjeux de la protection de la ressource en eau 4. Renforcer les aides aux structures d accompagnement, d e conseil et Art 29, 30, 31 (même remarque que précédemment sur les montants et le cumul) Art 18 (priorité à la lutte contre les pollutions diffuses pour les aides aux investissements et majoration des aides dans le cas d exploitations bio) Art 15 (démonstrations de matériel, transfert de connaissances et de pratiques) Art 16 (aide à la prise de décision : diagnostics de conversion à l agriculture biologique) Art 17 Art 45 d animation avec des objectifs de résultats pour les agriculteurs accompagnés 5. Créer des mesures avec des objectifs de résultats
10 2. Développer 4c Améliorer la gestion des sols Valoriser les pratiques agronomiques économes qui favorisent la conservation des sols. l agriculture biologique. 3. Développer la connaissance des sols des exploitations, 4. Lutte contre la perte de la qualité des sols, 5. Soutenir les techniques culturales simplifiées. 6. Soutenir les Art 16 Art 29 Art 30 Art 18 (aide majorée dans le cas d investissements dans une exploitation en AB) Art 15 (formations et transfert de connaissances) Art 17 systèmes herbagers 5a Développer l utilisation efficace de l eau par l agriculture Remarque : de quelle priorité relèvent les aides pour le goutte à goutte (cultures légumières). 5-Promouvoir l utilisation efficace des ressources et soutenir la transition vers une économie à faibles émissions de CO2 et résiliente face au changement climatique dans les secteurs agricole et alimentaire, ainsi que dans le secteur de la foresterie 5b Développer l'utilisation efficace de l'énergie dans l'agriculture et la transformation Alimentaire Remarque concernant le Bilan Concernant les émissions de gaz à effet de serre, on sait que : - 57 % des émissions de la chaîne alimentaire sont liés à la phase de production (Commissariat général 1. Encourager des systèmes d échanges de matières premières entre producteurs. 2. Soutenir des modes de production autonomes et/ou diversifiés (notamment Art 16 Art 18 Art 29 Art 30 Art 36 Art 17
11 d étape : Remplacer le terme «fourrager» par «herbager» ou «fourrager hors production de maïs ensilage» au développement durable «le point sur» n 158 de mars 2013) - La fabrication et l agriculture biologique) 3. Diminuer la dépendance aux intrants de synthèse. 5c Faciliter l approvisionnement et l utilisation de sources d énergies renouvelables, de sousproduits, de déchets, de résidus ou tout autre matière première non alimentaires aux fins de la bio économie l épandage des engrais chimiques représentent 70 à 80 % des émissions totales des exploitations en grandes cultures. Les systèmes en polyculture élevage en agriculture biologique tendent vers l autosuffisance. Les émissions de gaz à effet de serre sont fortement limitées du fait de la quasi-absence d intrants. 1. Améliorer la connaissance des agriculteurs sur la gestion des sources d énergie 2. Soutenir les initiatives de valorisation des bois et taillis non valorisés aujourd hui. 3. Favoriser la replantation des haies. 4. Evaluer la pertinence du maintien des unités de méthanisation (lien à établir avec le maintien de la qualité de sols) Art 29 Art 18 Art 15 Les financements doivent être liés à la preuve de l absence de conflits d usages (c est-à-dire, favoriser uniquement les matières premières nonalimentaire, ex : boues industrielles et collectives ) 5d Réduire les émissions d'oxyde d'azote et de méthane provenant de l'agriculture. Remarque concernant le Bilan d étape : qu est-ce qu une agriculture à bas niveau d intrants? Il n existe aucun cahier des charges, aucune référence En outre, plus un système intègre des prairies et des haies, plus la compensation des émissions de gaz à effet 1. Développer l agriculture biologique. 2. Soutenir le compostage (réduction des oxydes d azote objectif transversal à Art 15 Art 16 Art 18 Art 30
12 de serre, liée à l'effet lier à d autres «puits de carbone» est mesures : érosion des importante. sols, etc.). 5e Promouvoir (exemple système laitier -14 % des émissions totales/1000 l en système herbage Les essentiels du Réseau agriculture durable «Emission de gaz à effet de serre et bovins lait herbagers») 3. Améliorer et renforcer l acquisition des références 1. Développement de l agriculture biologique 2. Valoriser les haies et la création des l'utilisation efficace des filières. ressources et soutenir la transition vers une économie à faibles émissions de CO2 et résiliente face au changement climatique. 3. Inciter à la remise en herbe et à l agroforesterie. 4. Relier l exploitation forestière et la valorisation des Art 30 Art 24 Art 16 Art 29 sous-produits par les agriculteurs. Ex : bois secondaires compostés pour épandage 6-Promouvoir l'inclusion sociale, la réduction de la pauvreté et le développement économique dans les zones rurales 6a Faciliter la diversification, la création de nouvelles petites entreprises et la création d emplois. En matière d emploi, les exploitations biologiques contribuent au renforcement du salariat agricole : 42 % de la composition du 1. Développement de l agriculture et de l élevage biologique, maraîchage bio (créateurs d emploi), arboriculture Art 17 (démarches de qualité certifiées) Art 20: Aide à quantifier selon les cas pour pallier les déséquilibres du 1er pilier, liés à la surface
13 travail est représentée par des salariés (contre seulement 23 % en conventionnel). De façon générale l agriculture biologique utilise plus de main d œuvre à l hectare et contribue plus fortement à maintenir une activité humaine au sein des campagnes. De plus, l agriculture biologique laisse la place à des systèmes de production demandeurs d emploi : le maraîchage qui emploie 35 fois plus à surface équivalente grandes cultures et les productions de fruits et petits élevages qui emploient 7 à 8 fois plus à surfaces équivalentes grandes cultures. biologique 2. Soutenir les installations et les porteurs de projet hors cadre familial. 3. Favoriser la création de groupements des producteurs 4. Encourager les initiatives de développement des circuits de commercialisation courts et de proximité en favorisant les démarches de qualité certifiées. 5. Soutenir les initiatives d ateliers de transformation collectifs (notamment pour les exploitations maraîchères) Art 28 Art 30 Art 18 Art 36 6b Favoriser le développement local dans les zones rurales
14 6c Améliorer l accessibilité, l utilisation et la qualité de l information et les technologies de communication (NTIC) dans les zones rurales
Afin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées :
D A MIXTE D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DU PAYS DE BRAY Contribution à l élaboration de la stratégie régionale du futur programme opérationnel et du futur programme de développement rural de la Haute-Normandie.
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailService de l agriculture
Yves Brunelli (Y.B.) Service de l agriculture Département de l économie, de l énergie et du territoire Service de l agriculture Departement für Volkswirtschaft, Energie und Raumentwicklung Dienststelle
Plus en détailPour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie
Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailAgriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général
Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général 10 propositions du réseau FNAB pour une nouvelle politique de l eau (2013-2018) Cahier propositionnel du réseau FNAB dans le cadre
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailPrésentation de la réforme de la PAC 2014-2020
Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailAnalyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique
Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailTitre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de
Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailAction 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales
Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailRéforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014
Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailLes formations agroalimentaires dans la Loire
Les formations agroalimentaires dans la Loire INFOS PRATIQUES FORMATIONS CENTRES DE FORMATION petit mémorendum des métiers d avenir édition 2010 production, fabrication, conditionnement, maintenance, vente,
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailRestauration collective
Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailUNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A :
UNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A : Cette charte est le résultat de trois années de travaux de consultations nationales et locales menées en région Rhône-Alpes, visant à identifier et adapter les principes
Plus en détailDirection régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012
Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailFormulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailUne démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand
Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailEn adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités.
cultures. Par exemple, des producteurs biologiques installent des bandes de phacélie en bordure de parcelles de blé ou de choux pour favoriser les auxiliaires aphidiphages (qui consomment des pucerons)
Plus en détailMETTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :
METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS
LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE les programmes européens LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT AU SERVICE DE LA STRATÉGIE EUROPE 2020 Stratégie
Plus en détailLes principaux thèmes liés à cette cause sont :
S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailProjet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)
Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détail23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)
23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailAtelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation?
Efficacité de REDD+ et le rôle des PSE Atelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation? Thomas Sembres, Facilité
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailLa filière de l élevage du cheval de trait dans son. contexte français et européen. Evolution et attentes
1 La filière de l élevage du cheval de trait dans son contexte français et européen. Evolution et attentes Septembre 2011 I. Contexte et structuration de la filière du cheval de trait en France a. Quelques
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailRésumé du rapport final du Projet ECDD
Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS
LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS 1 Les objectifs opérationnels de la Trame Verte et Bleue Connaître Observer Evaluer Restaurer, préserver et gérer les cœurs de nature La Trame Verte et Bleue,
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailEtude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny
Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailDes arbres en agriculture
La Société Botanique de France et l'association Française d'agroforesterie présentent Des arbres en agriculture L'agroforesterie au coeur des enjeux contemporains Photo : Afaf vendredi 20 mars 2015 samedi
Plus en détailDes territoires laitiers contrastés
Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations
Plus en détailCompte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)
Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailCadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale
Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,
Plus en détailProgramme de Développement Rural régional "Centre" (2014-2020)
Programme de Développement Rural régional "Centre" (2014-2020) Version 3 provisoire du 24 février 2014 1 1.1 Etat Membre et région administrative... 4 1.2 Zone géographique couverte par le programme...
Plus en détail17 Mai 2011. Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie
Commission régionale de l économie agricole et du monde rural 17 Mai 2011 Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie Ordre du jour COREAM 17 mai 2011 Volet agricole et forestier
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détail