Sédiment urinaire. Séminaires aux étudiants

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sédiment urinaire. Séminaires aux étudiants"

Transcription

1 Sédiment urinaire Séminaires aux étudiants

2 Introduction Permet de détecter des pathologies: Néphrologiques Urologiques Comporte un examen: Chimique (bandelette: ph, densité, glucose, leucocytes, nitrites, hémoglobine, protéines, bilirubine, urobilinogène, corps cétoniques) Microscopique

3 Introduction (2) Information Qualitative: Hématies, leucocytes, cylindres, cristaux Semi-quantitative: 1-3+ Nbre d hématies et/ou leucos/hpf HPF= High Power Field= champ à l objectif 400x.

4 Méthodologie 1ères ou 2èmes urines du matin (acides, concentrées) Toilette préalable (femmes), milieu du jet (hommes) Cave: exercice physique (augm prot), règles. Examen dans les 2 heures après le prélèvement Ne pas mettre au frigo car cristallisation.

5 Facteurs influençant la coloration Facteurs endogènes Hémoglobine Myoglobine Bilirubine Chylurie Pyurie Facteurs exogènes Pigments alimentaires Médicaments (rifampicine orange, propofol vert) Substances végétales (betterave, rhubarbe, carotène)

6 Bandelette ph: (augm si uréase (p.e. proteus), acidose mét) Densité: (reflet osmolalité) Protéines (CAVE faux nég: BJ, micro-alb) Glucose (fction rénale N: >10mmol/l) Corps cétoniques (jeûn/dm/oh) Bilirubine (augm BC) Urobilinogène: 0,1-2mg/dl (augm BNC) Hémoglobine (Hème CAVE faux +) Nitrite (gram-) Leucocytes

7 Eléments du sédiment Cellules: GR (iso-, dysmorphiques) Leucos (neutros, éosinos, lymphos) Pavimenteuses (voies uro-génitales ext) Tubulaires (rondes, ovales, polygonales) Transitionnelles (couches superficielles ou profondes, p.ex SUAD)

8 Erythrocytes Diamètre variable (moy 6 um) Morphologie variable (iso ou dysmorphique) Non-glomérulaires si >80% isomorphiques Glomérulaires si >80% dysmporphiques Mixte (50%-50%) Valeurs normales: Glomérulaires: 0-9/champ Non-glomérulaires: 0/champ

9

10 Erythrocytes nonglomérulaires

11 Hématies glomérulaires

12 Leucocytes Valeurs normales: 5-6 leuco/champ Neutro les plus fréquents, diamètre 10 um (infections urinaires, GN, NIA, urolithiase, CA, annexite) Eosino: en rose sur coloration de Hansel (NIA, prostatite, Shönlein-Henoch, embols de cholestérol) Lympho: rejet cellulaire aigu (sens 80-90%).

13 Cellules tubulaires Valeurs normales: <1/champ Techniques spéciales selon les segments (diff. T. coll/t. prox.) Cellules dégénérées, en aggrégats ou inclus dans des cylindres (NIA, NTA, rejet aigu, GN prolif active, syndr néphrotique, infections virales, médicaments néphrotoxiques)

14 Cellules tubulaires rénales

15 Lipides Valeurs normales: 0 Gouttelettes lipidiques libres, corps ovalaires graisseux, cristaux de cholestérol. (s. néphrotique, protéinurie non néphrotique, polykystose)

16 Cylindres Valeurs normales = 0 sauf pour les cylindres hyalins (0 à +) Matrice de protéine (Tamm-Horsfall sécrétée par TD + anse de Henlé) Formation dans TD + TC Agrégation de fibrilles (fact favorisant: ph<6.5, osmolarité élevée, BJ, Stase)

17 Cylindres hyalins Sans atteinte rénale (sujet normal, furosémide, exercice, fièvre, déshydratation, IC congestive) Avec atteinte rénale: seuls ou avec d autres types de cylindres Surface lisse en ME

18 Cylindre hyalin

19 Cylindres granuleux Surface couverte de granules Fins, grossiers, clairs ou foncés Granules avec protéines en IF Formés de débris cellulaires Signe non spécifique de néphropathie mais implique une dégénérescence cellulaire

20 Cylindres granuleux

21 Cylindres cellulaires C. érythrocytaires Dégradation des GR dans cylindre: c. hémoglobiniques Glomérulopathies (spéc 98%, mais sens 30%) C. leucocytaires PNA, NIA, néphrite lupique active, GN post-infectieuse Spéc 80%, sens 80% C. cellules tubulaires NIA, S. néphrotique, NTA

22 Cylindre érythrocytaire

23 Cylindre leucocytaire

24 Cylindre cellules tubulaires

25 Acide urique Urines acides (ph <5,5) Augm production (goutte, Sy myéloprolif) Occ chez sujet normal Urolithiase acide urique Cylindres ou cristallurie Cristaux

26 Cristaux Oxalates de calcium: ph< , gén<6 Sujet normal Intoxication éthylène glycol, augm calciurie, augm oxalurie (déf B6, augm abs int)

27 Cristaux Triple phosphate (=Mg ammonium phosphate= struvite) ph alcalin, infection par des germes uréase+

28 Cristaux Origine médicamenteuse: Cristallisation intra-tubulaire si: Surdosage Déshydratation Hypoalbuminémie Indinavir (cristallurie asymptomatique, uropathie obstructive, calculs, IRA) Triamtérène (CA, IRA) Sulfadiazine (CA, UO, IRA) Vitamine C (IRA)

29 Unité Valeurs Résultats Réf./Seuil EXAMEN CHIMIQUE ph DENSITE PROTEINES + Glucose CORPS CETONIQUE Bilirubine NEG NEG NEG UROBILINOGENE mg/dl HEMOGLOBINE +++ Nitrite POS Leucocytes +++ Leucocytes/microlitre Hématies/microlitre Type non-glomérulaire PRE Cylindre leucocytaire ++

30 Unité Valeurs Réf./Seuil Résultats EXAMEN CHIMIQUE ph DENSITE PROTEINES + Glucose NEG CORPS CETONIQUE NEG Bilirubine + UROBILINOGENE mg/dl HEMOGLOBINE +++ Nitrite NEG Leucocytes ++ LeucHema Leucocytes/microlitre Hématies/microlitre Type non-glomérulaire PRE EXAMEN MICROSCOPIQUE Cellules urothéliales + Cyl hyalins +

31 Unité Valeurs Réf./Seuil Résultats EXAMEN CHIMIQUE ph DENSITE PROTEINES Glucose NEG NEG CORPS CETONIQUE NEG Bilirubine + UROBILINOGENE mg/dl HEMOGLOBINE +++ Nitrite NEG Leucocytes NEG LeucHema Leucocytes/microlitre Hématies/microlitre

32 Unité Valeurs Réf./Seuil Résultats EXAMEN CHIMIQUE ph DENSITE PROTEINES Glucose NEG NEG CORPS CETONIQUE NEG Bilirubine + UROBILINOGENE mg/dl HEMOGLOBINE + Nitrite NEG Leucocytes ++ LeucHema Leucocytes/microlitre Hématies/microlitre Récolte d urine de 24h: Quantité 1,8l, protéines 2,3gr/l

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013

L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

Isolé : 2,20 % du PASS (54 /mois) Isolé : 2,69 % du PASS (67 /mois) Famille : 5,46 % du PASS (135 /mois) Famille : 6.54 % du PASS (162 /mois)

Isolé : 2,20 % du PASS (54 /mois) Isolé : 2,69 % du PASS (67 /mois) Famille : 5,46 % du PASS (135 /mois) Famille : 6.54 % du PASS (162 /mois) PLAN PROFESSIONS LIBERALES (SOUSCRIT EN COMPLEMENT DU CONTRAT LA RETRAITE / SCENARIO RETRAITE) Type de contrat Cotisations Garanties Capital décès / IAD Rente d éducation Rente de conjoint Régime de Prévoyance

Plus en détail

PLAN EXPERT TNS. Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties, de 1 à 4 plafonds annuels de la Sécurité Sociale

PLAN EXPERT TNS. Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties, de 1 à 4 plafonds annuels de la Sécurité Sociale PLAN EXPERT TNS Type de contrat Cotisations et assiette de prestations Garanties Capital décès / PTIA Prévoyance complémentaire des Experts Partenaires Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties,

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL D ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES 2005 DU COMITÉ

RAPPORT ANNUEL D ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES 2005 DU COMITÉ RAPPORT ANNUEL D ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES 2005 DU COMITÉ D ASSURANCE QUALITÉ EN BIOCHIMIE LABORATOIRE DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC MARS 2006 AUTEUR Comité d assurance qualité en biochimie MEMBRES DU COMITÉ

Plus en détail

LA RETRAITE Loi Madelin (R94)

LA RETRAITE Loi Madelin (R94) LA RETRAITE Loi Madelin (R94) Type de contrat Age de l assuré Garanties en cas de vie Rente viagère différée (destinée aux professions non salariées non agricoles) L âge de l assuré, déterminé en nombre

Plus en détail

DECES OU INVALIDITE PERMANENTE ET TOTALE Tout assuré Majoration par enfant à charge DECES SIMULTANE- DECES ou INVALIDITE ABSOLUE et DEFINITIVE

DECES OU INVALIDITE PERMANENTE ET TOTALE Tout assuré Majoration par enfant à charge DECES SIMULTANE- DECES ou INVALIDITE ABSOLUE et DEFINITIVE PLAN GERANTS MAJORITAIRES (SOUSCRIT EN COMPLEMENT DU CONTRAT LA RETRAITE / SCENARIO RETRAITE) Type de contrat Cotisations Garanties Régime de Prévoyance des Gérants Majoritaires Prévoyance : en pourcentage

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

TNS. Vous recherchez des garanties de prévoyance souples et complètes, parfaitement adaptées à votre situation

TNS. Vous recherchez des garanties de prévoyance souples et complètes, parfaitement adaptées à votre situation P A R T I C U L I E R TNS? Vous recherchez des garanties de prévoyance souples et complètes, parfaitement adaptées à votre situation Parce que protéger l existence est essentiel Vous avez choisi une solution

Plus en détail

M me Emma Thurie voit rouge!

M me Emma Thurie voit rouge! L hématurie démasquée M me Emma Thurie voit rouge! Nancy Nadeau et Anne-Patricia Prévost 1 Vous recevez M me Emma Thurie,une Sénégalaise de 34 ans immigrée au Québec il y a dix ans.elle vous consulte parce

Plus en détail

Conférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure

Conférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

En option : il est possible d augmenter le capital de base (l augmentation ne s applique pas à la majoration enfant à charge).

En option : il est possible d augmenter le capital de base (l augmentation ne s applique pas à la majoration enfant à charge). Type de contrat Cotisations Garanties PLAN GERANTS MAJORITAIRES (SOUSCRIT EN COMPLEMENT DU CONTRAT LA RETRAITE 2013) Régime de Prévoyance des Gérants Majoritaires Prévoyance : en pourcentage de la base

Plus en détail

Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer

Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer H A B I T A T Assurance de Prêt ( AdP ) Solution Risques spéciaux Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer Vos Garanties - 2005/2006 Une tarification sur mesure pour : les maladies aggravées,

Plus en détail

Ageas Sérénité Manager

Ageas Sérénité Manager Ageas Sérénité Manager Adaptez votre contrat de prévoyance au développement de votre entreprise Assurance Homme clé I Protection Associés I Couverture d emprunt I Prévoyance familiale Une solution simple,

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme

Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

Dossier de presse. L Anses lance son nouveau site Internet

Dossier de presse. L Anses lance son nouveau site Internet Dossier de presse L Anses lance son nouveau site Internet Diffuser-Expliquer-Partager www.anses.fr Contact presse : Elena Séité 01 49 77 27 80 elena.seite@anses.fr www.anses.fr Sommaire : L Anses lance

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

FONC N T C IONN N E N L E S

FONC N T C IONN N E N L E S BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif

Plus en détail

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?» Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée

L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée Un constat En France Si les Français déclarent user 1,5 6 brosses à 4,4 dents et 22 tubes de dentifrice par an, Journée CCLIN Paris Nord ARELIN NPC 10

Plus en détail

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?

Plus en détail

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011 Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

GLUCOMÈTRES POUR CONTRÔLE QUOTIDIEN DU DIABÈTE LANCETTES ET STYLOS PIQUEURS LANCETTES AUTOMATIQUES DE SÉCURITÉ TAMPONS À L ALCOOL

GLUCOMÈTRES POUR CONTRÔLE QUOTIDIEN DU DIABÈTE LANCETTES ET STYLOS PIQUEURS LANCETTES AUTOMATIQUES DE SÉCURITÉ TAMPONS À L ALCOOL GLUCOMÈTRES POUR CONTRÔLE QUOTIDIEN DU DIABÈTE Glucomètres de pointe. Disponibles seuls ou en kit complet. Le kit comprend: 10 bandelettes, puce d'étalonnage, solution témoin, 10 lancettes stériles, stylo

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments

Plus en détail

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie. WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Prise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter

Prise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité

Plus en détail

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe 1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le directeur général Maisons-Alfort, le 22 juillet 2011 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la pertinence des travaux menés par

Plus en détail

Effet systémique d un complément alimentaire sur la plaque dentaire. et les dépôts de tartre

Effet systémique d un complément alimentaire sur la plaque dentaire. et les dépôts de tartre Effet systémique d un complément alimentaire sur la plaque dentaire et les dépôts de tartre Sune Wikner 1, Christina Timander 2, Jan Bergström 3 1. SweDenCare AB, Umea, Suède 2. Cabinet dentaire, Stockholm,

Plus en détail

L anémie hémolytique auto-immune

L anémie hémolytique auto-immune L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail

Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens

Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros

L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques

Plus en détail

Information transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé

Information transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors

Plus en détail

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre

Plus en détail

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène

Plus en détail

HACCP et hygiène. Titre du cours/durée Date N o groupe Lieu. 22 octobre 2011 5 mars 2012. La Pocatière. 22 et 29 octobre 2011 5 et 6 mars 2012

HACCP et hygiène. Titre du cours/durée Date N o groupe Lieu. 22 octobre 2011 5 mars 2012. La Pocatière. 22 et 29 octobre 2011 5 et 6 mars 2012 Hygiène et salubrité alimentaires pour manipulateurs d aliments 6 heures Cette formation mène à l obtention du certificat délivré par le MAPAQ. 22 octobre 2011 5 mars 2012 212024 212052 La Pocatière Hygiène

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

sporozoïtes Oocystes* Schizontes* ookinètes mérozoites zygotes Développement : Durée de la sporogonie (à 28 C, en jours)

sporozoïtes Oocystes* Schizontes* ookinètes mérozoites zygotes Développement : Durée de la sporogonie (à 28 C, en jours) 500 Nombre de cas de paludisme diagnostiqué en Belgique LA MALARIA : Nombre de cas 400 300 200 100 0 Méthodes diagnostiques 1984 1986 1988 1990 1992 1994 Année 1996 1998 2000 2002 LA MALARIA fr 2006 ver

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE

NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :

Plus en détail

Notes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux

Notes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte

Plus en détail

Fiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine

Fiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique Dans toutes les situations Privilégiez la phase de découverte Savoir comment le patient et/ou l accompagnant perçoivent le diabète. Permettre

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Interpréter un résultat d hémogramme

Interpréter un résultat d hémogramme Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers

Plus en détail

BULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien- être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida Mars 2012

BULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien- être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida Mars 2012 BULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien- être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida Mars 2012 COMPRENDRE VOS RÉSULTATS DE TESTS SANGUINS: LA CONNAISSANCE DE VOTRE SANTÉ Fonda7on

Plus en détail

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Géométris ) (Artisans / Commerçants /

Géométris ) (Artisans / Commerçants / P R É V O Y A N C E P r é v o y a n c e Géométris ) (Artisans / Commerçants / Exploitants Agricoles Une solution globale et flexible pour les professionnels indépendants V o s G a r a n t i e s - 2 0 0

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

points Les actes de biologie médicale : analyse des dépenses en 2008 et 2009

points Les actes de biologie médicale : analyse des dépenses en 2008 et 2009 d é c e m b r e 2 0 1 0 - n u m é r o 3 3 points de r e p e r e Le suivi du codage des actes de biologie médicale, qui permet de connaître la structure des dépenses de biologie pour les actes réalisés

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Bien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste

Bien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Bien manger pour mieux vieillir Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Manger «Manger c est l acte social par excellence» «Non seulement nous sommes ce que nous mangeons, mais ce que nous avons mangé» (Richard

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Acidozol 10 mg, gélules gastro-résistantes Oméprazole

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Acidozol 10 mg, gélules gastro-résistantes Oméprazole La notice, 1/4/2014 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Acidozol 10 mg, gélules gastro-résistantes Oméprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient

Plus en détail

Les NOACs en situation de crise

Les NOACs en situation de crise Les NOACs en situation de crise Vanderhofstadt Quentin Stagiaire en médecine interne (CHHF) Février 2013 Supervision : Dr Guillen 1 Les NOACs en situation de crise Pourquoi un staff à ce sujet R/ de plus

Plus en détail

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

Conduite à tenir devant une hypercalcémie

Conduite à tenir devant une hypercalcémie L MC HRPUQU BRRY COLL. R. Berrady, W. Bono ervice de Médecine nterne, CHU Hassan, Fès, Maroc Plan ntroduction. éfinition Biologique. ntérêt Classification Pathogénie de l hypercalcémie iagnostic: Circonstances

Plus en détail

NOTICE : INFORMATIONS DE L'UTILISATEUR. PANTOZOL Control 20 mg, comprimé gastrorésistant Pantoprazole

NOTICE : INFORMATIONS DE L'UTILISATEUR. PANTOZOL Control 20 mg, comprimé gastrorésistant Pantoprazole NOTICE : INFORMATIONS DE L'UTILISATEUR PANTOZOL Control 20 mg, comprimé gastrorésistant Pantoprazole Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice car elle contient des informations importantes

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

Intoxication par le plomb physiopathologie, épidémiologie, diagnostic V. Danel - 1997

Intoxication par le plomb physiopathologie, épidémiologie, diagnostic V. Danel - 1997 Intoxication par le plomb physiopathologie, épidémiologie, diagnostic V. Danel - 1997 1. Introduction Première maladie reconnue d'origine professionnelle en France (tableau n 1 du régime général), l'intoxication

Plus en détail