Réunion des acteurs de la coopération transfrontalière de la CEDEAO. Commission de la CEDEAO, Abuja (Nigeria), mai 2009
|
|
- Édouard Ricard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Communication du CSAO Réunion des acteurs de la coopération transfrontalière de la CEDEAO Commission de la CEDEAO, Abuja (Nigeria), mai LA CONSTRUCTION DE PARTENARIATS ET L IMPLICATION DES POPULATIONS FRONTALIÈRES LES INSTITUTIONS RÉGIONALES AFRICAINES ET LA COOPÉRATION FRONTALIÈRE LA MOBILISATION DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE LA VALEUR AJOUTÉE DE LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE LE CHEMINEMENT EUROPÉEN LÉGISLATIF POUR LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE D INITIATIVE LOCALE Rappel du processus Exemple : le groupement européen de coopération territoriale PROCHAINS TRAVAUX ENGAGÉS PAR LE CSAO-OCDE : MANUEL DE LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE: QUELLES PERSPECTIVES OUEST-AFRICAINES? CONCLUSIONS ET PISTE POUR LE PROCESSUS AFRICAIN... 7 CSAO/OCDE, mai P a g e
2 1. LA CONSTRUCTION DE PARTENARIATS ET L IMPLICATION DES POPULATIONS FRONTALIÈRES En mars 2002, le gouvernement du Mali organise à Sikasso, la première réunion ouest africaine sur le Concept de pays frontière avec l appui du CSAO. Cette réunion permet notamment de donner une définition partagé au concept : «un espace géographique à cheval sur les lignes de partage de deux ou plusieurs États Limitrophes où vivent des populations liées par des rapports socioéconomiques ou culturels». En mai 2002, le CSAO organise à Accra une rencontre intitulée «Pour une meilleure approche régionale du développement en Afrique de l'ouest». Elle conclut que «le concept de «pays frontière» permet d accomplir une mutation salutaire des logiques strictement bilatérales actuelles vers la reconnaissance d un espace régional porté par les populations aux différents niveaux de gouvernance et qui doit être désormais considéré comme objet et sujet de coopération à part entière et non plus seulement à la marge». Le colloque d Accra donne l impulsion initiale à un processus ambitieux. Le CSAO en collaboration avec le gouvernement du Mali et de l ONG ENDA-Diapol, lancent en juillet 2003 l initiative Frontières et Intégrations en Afrique de l'ouest (West African Borders and Integration). L objectif de WABI est de favoriser la mise en oeuvre de programmes de coopération transfrontalière et d opérations pilotes sur le terrain, de développer les synergies, de partager les expériences, de communiquer sur la coopération transfrontalière. Ces supports de communication sont le site et «Les Chroniques frontalières» coordonnées par Michel Bolouvi. Des missions préparatoires sont menées sur plusieurs terrains transfrontaliers ; des acteurs porteurs d initiatives sont identifiés. Ces acteurs de terrain sont accueillis à Abuja en octobre 2004 par la CEDEAO à l occasion d un atelier WABI. Les débats permettent d esquisser des opérations pilotes. En écho, le Secrétariat Exécutif de la CEDEAO annonce le lancement d un Programme d Initiatives Transfrontalières (P.I.T) et demande au CSAO d en accompagner la mise en oeuvre. Dès 2004, le CSAO noue des contacts avec l Association des Régions Frontalières Européennes (ARFE) qui réunit plus de 100 régions européennes. L ARFE est le pilier de la coopération transfrontalière européenne est une initiative majeure de l Union Européenne. Le budget communautaire consacré à la coopération transfrontalière pour la période a été fixé à 7.75 milliards d Euros, soit plus de milliards de francs CFA. Les nombreuses discussions avec les responsables de régions frontalières et transfrontalières européennes ont produit une idée nouvelle : celle de créer des liens de coopération technique et financière entre les régions frontalières européennes et les régions frontalières ouest africaines. Le site internet de WABI s élargit vers d autres horizons. Les opérations pilotes sont lancées par les opérateurs de terrain impliqués depuis des années dans le développement transfrontalier. Elles sont en charge de la coordination et promotion locale des activités transfrontalières : 2 P a g e
3 Le PDM pour la zone Sikasso Korhogo-Bobo Enda Diapol pour la Sénégambie méridionale Le GRDR pour le Bassin du Karakoro Fewsnet et le CSAO pour l espace de Kano-Katsina-Maradi La force de ce réseau repose sur la complémentarité de ces membres entre les opérateurs techniques, le lobbying politique assuré par les Etats et la CEDEAO, le réseautage entre les opérateurs et les institutions, entre les expériences du Sud et du Nord et la communication assurés par le CSAO et M. Bolouvi. Un certain nombre de partenaires dont certains sont présents aujourd hui ont financé en partie les lancements des opérations et certaines des activités. 2. LES INSTITUTIONS RÉGIONALES AFRICAINES ET LA COOPÉRATION FRONTALIÈRE Cet élan à la base va remporter l adhésion des institutions régionales et des Etats. Aujourd'hui, un grand nombre de pays de l Afrique de l'ouest prônent le recours à la coopération transfrontalière pour accélérer le processus d intégration régionale. Le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, Le Niger et le Nigeria soutiennent officiellement des opérations pilotes. La CEDEAO: lancement du Programme d Initiatives transfrontalières en 2005 et Convention sur la coopération transfrontalière soumise en décembre 2008 au sommet des Chefs d Etat Le Programme d Initiatives Transfrontalières (P.I.T) est adopté en janvier 2005 par la CEDEAO d un mémorandum intitulé «Le concept de pays-frontière ou l intégration de proximité». Il s agit d accélérer le processus d intégration régionale en favorisant la multiplication de projets transfrontaliers d initiative locale. Depuis 2007, la coopération transfrontalière est inscrite dans l organigramme de la CEDEAO. Sa mise en œuvre relève de la Direction de la Libre circulation des personnes. Une directive juridique régionale sur la coopération frontalière sera soumise au prochain sommet des Chefs d Etat en fin d année. Le plan stratégique approuvé par les chefs d État des États membres en juin 2007 prévoit la mise en œuvre d une stratégie régionale d appui à la coopération transfrontalière (objectif n C-TCTMoPIM O2 EO2 A2.3). Cette stratégie s appuie sur le P.I.T. L UEMOA : intégration de la coopération transfrontalière dans sa stratégie d intégration régionale en 2004, de même que le CILSS. L UEMOA inscrit la coopération frontalière dans l Acte portant adoption de la Politique d'aménagement du Territoire. A l article 4 relatif au développement de la solidarité communautaire, l organisation veille à organiser des programmes de coopération transfrontalière et intercommunale pour soutenir, renforcer et encourager la décentralisation et le développement local. 3 P a g e
4 L Union africaine : Lancement du programme Frontière en juin 2007 En octobre 2006, la Commission de l Union Africaine lance, avec l appui du CSAO membre du steering committee, la formulation d un «programme frontière» panafricain s inspirant en partie de l initiative ouest-africaine. En juin 2007, à Addis Abeba, une conférence des ministres africains en charge de l intégration régionale avalise le programme frontière de l Union Africaine. 3. LA MOBILISATION DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE Un certain nombre d agences de coopération ont accepté d accompagner la naissance ou la mise en œuvre des opérations pilotes décrites plus haut : ACDI, Coopération Autrichienne, PNUD, Union Européenne, GTZ, SIDA, etc. Le financement de la coopération transfrontalière pose des problèmes techniques à beaucoup d agences de coopération dans la mesure où les projets de terrain relèvent à la fois d une démarche de développement local participatif et d une démarche de coopération régionale. Il existe aujourd'hui peut d outils de financement adaptés à cette configuration. Le CSAO a proposé une approche originale dite des «projets jumeaux» qui a été testée grâce aux bureaux du PNUD de Bamako et Ouagadougou dans la zone de Sikasso Bobo Dioulasso. Une autre piste consiste à recourir à des fonds régionaux gérés par les Bailleurs de Fonds. Cette approche a été testée pour la Sénégambie méridionale : une requête unique a été adressée à un guichet régional du PNUD. La condition était que la CEDEAO agisse en tant que «demandeur» et assure le suivi du dossier d instruction du projet. Il est apparu que le secrétariat exécutif n a pas les moyens humains et administratifs de gérer ce type de démarche, surtout si l on imagine qu à moyen terme des dizaines voire des centaines de projets transfrontaliers pourraient voir le jour. Il est aujourd'hui acquis que la coopération transfrontalière tiendra une place de choix dans la programmation du Xème FED régional Afrique de l'ouest. 4. LA VALEUR AJOUTÉE DE LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE La coopération transfrontalière et inter-territoriale (y compris la coopération des régions et des villes) a une longue tradition populaire en Afrique de l Ouest. Elle est depuis peu reconnue par les Institutions régionales africaines et leur vision comme un élément crucial pour parvenir à un espace africain «sans frontière». La coopération transfrontalière offre une valeur ajoutée forte pour l Institution (au sens UA et CEDEAO) et pour le citoyen, à plusieurs niveaux : Une valeur ajoutée politique (contribution à l'intégration de l UA ou de la CEDEAO, convergence entre les CERs si l on se place du point de vue de l espace Afrique, construction de la confiance et d un climat de stabilité, mise en œuvre de la subsidiarité et du partenariat) ; 4 P a g e
5 Une valeur ajoutée institutionnelle (familiarisation avec les diverses structures et compétences administratives, concrétisation de la subsidiarité et des partenariats, partenariat actif vertical et horizontal en dépit de compétences et de structures différentes ; Une valeur ajoutée économique (revitalisation d'espaces économiques régionaux traditionnels divisés par des frontières nationales; infrastructures communes; renforcement des potentialités spécifiques de la région; la participation d acteurs économiques et sociaux type chambres de commerce, associations, entreprises; des améliorations durables en matière d aménagement du territoire, de transport et de politique régionale. Cette valeur ajoutée est porteuse au niveau local d une stabilité et d une prévention face aux tensions locales liées au vol de bétail, au foncier ou encore à la présence de réfugiés ; Une valeur ajoutée socioculturelle (échanges et/ou homogénéité linguistiques, tolérance à l'égard d'autres cultures, minorités). Celle-ci doit être relayée par des acteurs locaux engagés considérés comme des multiplicateurs : écoles, associations de jeunes, chefs traditionnels, médias d où la création de réseaux transfrontaliers de radios communautaires dans certaines des initiatives soutenues par le CSAO, Enda Diapol ou le PDM. Ce n est que via la coopération socioculturelle qu émergera un espace transfrontalier fonctionnel propre à accueillir l économie, le commerce et les services dimensions d où l effort à faire en termes de communication et d échanges d informations. 5. LE CHEMINEMENT EUROPÉEN LÉGISLATIF POUR LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE D INITIATIVE LOCALE 5.1 Rappel du processus En Europe, de nombreuses coopérations ont été et sont menées de manière informelle. Elles reposent sur une coordination des actions des acteurs de part et d autre de la frontière. Les collectivités ne sont liées que par un accord de principe. Cette forme de coopération est souvent utilisée en l absence d un cadre juridique permettant aux autorités locales de formaliser leur coopération. La coopération transfrontalière, soutenue par la politique de cohésion communautaire, constitue l une des plus grandes réussites de l action de l Union européenne. Néanmoins, il est apparu qu un cadre légal était nécessaire afin de la structurer et d en améliorer les effets positifs. Le Conseil de l Europe a adopté dès 1980 la Convention-cadre de Madrid sur la coopération transfrontalière entre les collectivités et autorités locales (également appelée Convention de Madrid), amendée par des protocoles additionnels. L adaptation du cadre juridique aux spécificités de la coopération transfrontalière reste toutefois de la compétence de chaque État et de sa volonté politique de promouvoir et de faciliter la coopération transfrontalière, via la ratification de la Convention de Madrid et la conclusion d accords interétatiques. 5 P a g e
6 La mise en œuvre de la convention a donné lieu à la signature d accords bilatéraux et multilatéraux qui définissent, frontière par frontière, les modalités particulières de coopération transfrontalière pour certaines collectivités et acteurs publics locaux situés de part et d autre de la frontière. Par exemple, le Traité de Valence, conclu entre l Espagne et le Portugal en 2003, autorise les acteurs concernés à créer des structures sans personnalité juridique (communautés de travail ou groupes de travail) et des organismes dotés de la personnalité juridique tel le consorcio de droit espagnol. La Commission européenne a, de son côté, proposé pour la période de programmation de la politique de cohésion une solution innovante: la possibilité de créer des organismes dotés de la personnalité juridique afin de faciliter leurs démarches de coopération: le groupement européen de coopération territoriale (GECT). 5.2 Exemple : le groupement européen de coopération territoriale Le GECT adopté en 2006 fournit une base légale aux activités externes des autorités locales et régionales. Il permet de créer un groupement d organismes issus d États membres différents afin de mettre en oeuvre des activités transfrontalières, transnationales et interrégionales avec ou sans le soutien de financements européens. Son objectif est de promouvoir les démarches de coopération transfrontalière, mais également transnationale et interrégionale menées sur les frontières internes et externes du territoire de l Union européenne, afin de renforcer la cohésion économique et sociale. Le GECT fonctionne selon un principe de subsidiarité : le règlement définit une base commune et renvoie pour de nombreux points aux droits internes des membres du GECT. Le GECT ne se substitue pas aux outils existants mais les complète. Il s inscrit dans une «boîte à outils juridiques» composée de l ensemble des instruments juridiques utilisables dans les droits internes (conventions, associations...), les accords internationaux (groupement local de coopération transfrontalière ou GLCT) et le droit communautaire (groupement européen d intérêt économique ou GEIE...). Le recours au GECT est facultatif, Le GECT a la personnalité juridique : il a la capacité d agir au nom et pour le compte de ses membres ; il peut passer des contrats, employer du personnel et acquérir des biens mobiliers ou immobiliers, Le règlement renvoie, par défaut, à l application du droit du lieu du siège du GECT, Le GECT intervient dans les domaines communs de compétences de ses membres, à l exception de leurs pouvoirs de police et de réglementation. Le GECT peut avoir une durée de vie illimitée allant au-delà de la période de cofinancement du projet par des fonds communautaires. Il permet ainsi d assurer une pérennité à des démarches de coopération bénéficiant d autres sources de financements. 6 P a g e
7 6. PROCHAINS TRAVAUX ENGAGÉS PAR LE CSAO-OCDE : MANUEL DE LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE: QUELLES PERSPECTIVES OUEST-AFRICAINES? L objectif est de produire un manuel de la coopération transfrontalière, mettant à disposition des acteurs de terrain, des opérateurs qui les accompagnent (principalement des ONG), des gouvernements, des organisations régionales, des bailleurs de fonds : 1. La présentation des frontières et des espaces frontaliers ouest-africains ; y compris la carte des groupes ethnolinguistiques transfrontaliers. Le statut des différentes frontières ouestafricaines (délimitées, délimitées et démarquées, non délimitées, etc.) ; ce statut conditionne en partie de développement de la coopération transfrontalière. Présentation des entités administratives frontalières ou des villes frontalières. 2. Les principes généraux de la coopération transfrontalière, notions de base, définitions, valeur ajoutée. 3. Le cadre juridique communautaire de la coopération transfrontalière et les cadres juridiques nationaux au regard de la coopération transfrontalière. La présentation des accords et structures bilatéraux de coopération entre les pays de la région (Commissions mixtes..). 4. Les différentes formes de montage financier et juridiques existant (en Afrique et ailleurs) pour des projets de coopération transfrontalière. 5. Des méthodes participatives de concertation au niveau local. A partir des expériences en cours en Afrique de l'ouest. 6. D autres exemples venus d autres parties du continent africain, de zones en développement d Amérique latine ou d Asie ; des enseignements issus de l expérience européenne. 7. CONCLUSIONS ET PISTE POUR LE PROCESSUS AFRICAIN Il semble nécessaire de concilier capacité juridique et capacité financière. La question du financement des projets transfrontaliers est au cœur des préoccupations des opérateurs de terrain ou autorités locales. La capacité juridique à engager une action transfrontalière ne confère pas pour autant aux autorités locales la capacité financière de réaliser cette action. Les différents niveaux doivent donc être mobilisés étatiques, régionaux ou internationaux. Cette démarche suppose toutefois que les paramètres opérationnels du projet (objet, mission, actions, porteurs du projet, durée, coût) soit suffisamment définis et fassent l objet d un consensus. Une fois les cadres définis en fonction des pouvoirs décisionnels attribués par le droit interne aux collectivités, plusieurs types de financements sont possibles. L attribution de ces financements dépendra des conditions requises par les fonds et fixées lors de l élaboration des mécanismes de financements (conditions d éligibilité, mode d attribution, délais, nombre de pays frontaliers impliqués). En supposant qu un mécanisme de fonds soit mis en place au niveau régional par la CEDEAO, il semble au préalable que plusieurs conditions soient réunies : 7 P a g e
8 L existence d une capacité juridique sur laquelle semble s être engagée l UA et d une cohérence des droits régionaux et internes sur ces questions. Une définition précise du jargon transfrontalier permettant l application des législations et cadres juridiques. Une coordination régulière entre les institutions afin de respecter un calendrier logique entre les études de faisabilité menées par chacun (sur les capacités juridiques et financières par exemple). Ceci supposerait à l avance la définition d une capacité à même de diffuser l information et de faire le lien entre l ensemble des études engagées. Le recours à des experts juridiques africains et par exemple européens pour valider la parfaite cohérence entre l ensemble des montages. Les relations avec un certain nombre d acteurs européens (CE, ARFE, MOT et autres) laissent penser qu il s agit d une piste constructive de collaboration. Une mise en réseau ou plutôt une réactivation du réseau mettant en valeur la complémentarité de chaque type d acteurs présents aujourd hui et la nécessaire synergie. Ceci permettrait la définition et proposition aux bailleurs d un projet complet de coopération transfrontalier articulé autour des volets : poursuite et renforcement des activités de terrain à partir des expériences des opérateurs techniques, valorisation et réactivation de la communication entre institutions, acteurs frontaliers, opérateurs de terrain, Nord et Sud. Une étude lancée rapidement sur la faisabilité simple de financements transfrontaliers en attendant la mise en œuvre des conventions et mécanismes de financements de la coopération transfrontalière. Des pistes peuvent déjà être proposées avec les discussions à suivre des partenaires au développement déjà engagés. Il conviendrait également de se renseigner sur les types de contrats à trois signatures (UE, CEDEAO, Opérateurs) utilisées par l Union européenne qui permettraient l affectation de fonds directs du bailleur à l opérateur technique avec un droit de regard de la CEDEAO sur l avancée des activités. 8 P a g e
Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre
Plus en détailLe cadre institutionnel transfrontalier du Grand Genève
Le cadre institutionnel transfrontalier du Grand Genève Nicolas LEVRAT Professeur à la Faculté de droit et directeur du Global studies Institute de l Université de Genève 1 L évolution des fonctions des
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailProtocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE
CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE 1,._.1... _._~--~------ / Les Etats Africains Sahélo- sahariens soussignés, Burkina Faso; La République de Djibouti; L'Etat
Plus en détailrapport annuel D activites 2011
73 OBJECTIF OPÉRATIONNEL 3 ASSURER EFFICACEMENT LE SUIVI DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS INTERNATIONALES ET ORGANISMES DE COOPÉRATION A CARACTÈRE ÉCONOMIQUE ET FINANCIER & & & Le dispositif de suivi
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détailTermes de Référence. Pour un Consultant Chargé d une «étude ex ante sur l impact socioéconomique et environnemental des OGM en Afrique de l Ouest»
CED EAO Co mmunau t é Économiq u e de s Ét ats d Af r iq u e d e l O u es t Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles ECOWAS Econo m ic Co mmunit y of West Af r ica
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailAppels à Investissement:
Africa Label Group S.A Faire mieux. Donner plus. Appels à Investissement: ALG Academy (E-learning): $ 150,000 ImaginAfrica (Solutions TIC): $ 50, 000 Investir dans un groupe en pleine expansion. Des secteurs
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailwww.iavs-energie.org
Notes de recherche de l IAVS www.iavs-energie.org ---------------- administration@iavs-energie.org iavsmail@gmail.com ---------------- Cadre de référence indicatif pour la promotion de l efficacité énergétique
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailLe HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification
Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailCOMPTE RENDU DES TRAVAUX DE LA QUATRIEME REUNION DU COMITE DIRECTEUR REGIONAL DU PROGRAMME PREDAS
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL PERMANENT INTERSTATE COMMITTEE FOR DROUGHT CONTROL IN THE SAHEL SECRETARIAT EXECUTIF PRA-SA/LCD/POP/DEV PROGRAMME REGIONAL DE PROMOTION
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailETUDE SUR L AGENCE REGIONALE
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS D AFRIQUE DE L OUEST UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ETUDE SUR L AGENCE REGIONALE POUR L ACCES A L'ÉNERGIE VERSION PROVISOIRE FINALE JUIN 2007 ----------------
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailPROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009
Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -
Plus en détailStratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe
Page 1 NOTE DE SYNTHESE N 24 Réalisée par Djenno Ngoua Melissa Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Le Traité d Abuja instituant en 1991 la Communauté
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailCLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM)
Club de Réflexion sur le Mali (CRM) En collaboration avec Enda Tiers Monde et Institut Panafricain de Stratégies (IPS) Organise le Forum sur la crise malienne et ses répercussions sur la stabilité, la
Plus en détailEUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie
Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailAGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA
NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA
Plus en détailSéminaire sur la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020
Les opportunités 2014/2020 des programmes INTERREG pour les acteurs du Nord Pas de Calais Les 1ères rencontres de la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020 Séminaire sur la Coopération Territoriale
Plus en détail2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)
DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des
Plus en détailMISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA
MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détailCe guide se veut évolutif et dynamique. Actualisé mensuellement, il recueillera les appels à projets qui Il est votre outil et notre lien.
Mesdames et Messieurs, Le P total) afin de relever le défi de la compétitivité et de faire émerger un nouveau modèle de croissance, en finançant des projets innovants et exemplaires, rigoureusement sélectionnés.
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailAssurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT
Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation
Plus en détailDECLARATION SUR LA PROPOSITION DE REGLEMENT DU PARLEMENT EUROPEEN ET DU CONSEIL
Európai Határ Menti Régiók Szövetsége (EHMRS) AGEG c/o EUREGIO Enscheder Str. 362 D-48599 Gronau DECLARATION SUR LA PROPOSITION DE REGLEMENT DU PARLEMENT EUROPEEN ET DU CONSEIL sur des dispositions spécifiques
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailFacilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit
Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit LES CONVENTIONS INTERNATIONALES, RÉGIONALES ET SOUS RÉGIONALES : CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA NON MISE EN ŒUVRE IDOINE EN AFRIQUE Par:
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailDocument de synthèse
Document de synthèse Réalisation d une plateforme financière novatrice pour la canalisation et la valorisation des remises d argent à travers les Institutions de Micro finance dans le couloir Italie-Sénégal
Plus en détailAPPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT RECRUTEMENT D
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailwith the support of EFMET cooperation partners:
Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailPrésentation de la Carte Brune
SYSTÈME CARTE BRUNE D ASSURANCE CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l Afrique de l Ouest) ----------------- XV CONGRES AVUS-GROUP Vienne -Autriche : 23-24 septembre 2010 ---------- Présentation
Plus en détailSEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs
SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor
Plus en détailProgramme d achat groupé haut débit
Programme d achat groupé haut débit Hutchison Global Communications est fier d annoncer que 9 nouveaux pays d Afrique de l Ouest ont rejoint son programme d achat groupé haut débit. Ces nouvelles recrues
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailLe soutien financier des projets sur les budgets prévention des conflits et diplomatie préventive
Service Consolidation de la Paix (S3.1) Le soutien financier des projets sur les budgets prévention des conflits et diplomatie préventive Introduction Pour exécuter et renforcer la politique étrangère,
Plus en détailla Stratégie nationale d extension de la couverture maladie du Mali Comment le Rwanda a informé Health Economics and Policy Association (AfHEA)
2 nd Conference of the African Health Economics and Policy Association (AfHEA) 2 eme Conférence de l Association Africaine d Economie et de Politique de la Santé (AfHEA) Comment le Rwanda a informé la
Plus en détailEdy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL
PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailMANUEL DES PROCEDURES DE GESTION DES PROGRAMMES
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles/ West and Central African Council for Agricultural Research and Development CORAF/WECARD MANUEL DES PROCEDURES DE GESTION
Plus en détailVision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement
Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,
Plus en détailConférence-débats sur le TEC CEDEAO: menaces et opportunités pour l économie du Bénin
Conférence-débats sur le TEC CEDEAO: menaces et opportunités pour l économie du Bénin Cotonou 27 aout 2013 Salifou TIEMTORE Directeur des Douanes pi RAPPELS L article 3 du Traité Révisé fait de la création
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailLa situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO).
La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). La CEDEAO La CEDEAO est un sous groupement qui avait en son sein
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailDr Ndèye Arame Boye FAYE
Dr Ndèye Arame Boye FAYE Introduction I Plan Contexte historique de la coopération scientifique entre l Europe et l Afrique II Instruments actuels de la coopération Europe-Afrique III II. 1 Les Accords
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailTITRE: CENTRE PANAFRICAIN D INTERPRETARIAT ET DE TRADUCTION
TITRE: CENTRE PANAFRICAIN D INTERPRETARIAT ET DE TRADUCTION LIEU: BAMAKO- MALI CONTEXTE ET JUSTIFICATION Les OMD pour un pour un Développement Humain Durable L EPT L avènement de l Union Africaine, Le
Plus en détailParce que vous faire grandir, c est grandir ensemble Notre succès repose sur notre capital humain evenir un hub pour les opérations économiques mondiales, tel est le défi à relever par le Maroc les prochaines
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailAGENCE DE COORDINATION ET DE PLANIFICATION DU NEPAD
AGENCE DE COORDINATION ET DE PLANIFICATION DU NEPAD Termes de référence pour le recrutement d'un expert spécialiste des infrastructures de transport 1. TITRE DU POSTE: Expert en infrastructures de transport
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailLes membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles.
COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIÈRES Assurance MARKT/2519/02 FR Orig. EN Bruxelles, le 27 septembre 2002 MARKT/C2/MAAT D(2002) NOTE AUX MEMBRES DU SOUS-COMITE SOLVABILITE
Plus en détailRedressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance
Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015
DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailMASTER EN SCIENCES SOCIALES DES RELIGIONS
MASTER EN SCIENCES SOCIALES DES RELIGIONS UFR CRAC CENTRE D ETUDE DES RELIGIONS Table des matières I. Contexte... 2 II. Offre de formation... 2 III. Présentation des débouchés... 2 IV. Organisation...
Plus en détailArgumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger
Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article
Plus en détail