SERVICE "GENIE ELECTRIQUE" (J.C. MAUN) SUJETS DE TRAVAUX DE FIN D'ETUDES 2004/2005
|
|
- Bruno Dussault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES Faculté des Sciences Appliquées SERVICE "GENIE ELECTRIQUE" (J.C. MAUN) SUJETS DE TRAVAUX DE FIN D'ETUDES 2004/2005 Pour les électromécaniciens, des stages peuvent être proposés chez A.B.B. Jumet et TRACTEBEL. Un support peut être fourni pour la recherche de stages dans le secteur électrique (ELECTRABEL ELIA Bel Engineering) 1. GENERATION DES SIGNAUX TRANSITOIRES ELECTRIQUES POUR LES TESTS DE RELAIS DE PROTECTION DE ELIA ET LES ESSAIS D ALGORITHMES DE SIEMENS On souhaite générer des signaux de tension et de courant par la simulation de configurations typiques de réseaux électriques (ligne - ligne double ; alternateur sur réseau infini). On s appuiera sur le programme EMTP (Electromagnetic Transient Program), qui fait référence en la matière. La création des signaux doit être automatisée. Les modèles seront de complexité variable. L architecture du système sera modulable et inclura un pré-processeur spécialisé et un post-processeur assurant des fonctions de traitement des signaux et préparant leur restitution sous forme analogique. Il permettra de piloter le système de test CMC56 de OMICRON et l installation d essai ELIA, le gestionnaire du réseau électrique belge. Mots clés : modélisation des transitoires des réseaux électriques utilisation et maîtrise de EMTP conception de tests de relais 2. ELECTRE-NT@WEB Le sujet du TFE porte sur l utilisation du logiciel ELECTRE_NT sur Internet. ELECTRE_NT est un logiciel CAO destiné aux applications industrielles de schématique électrique et de câblage. Le sujet de ce travail est en cours d élaboration avec ELSYS, la firme qui développe ELECTRE_NT L encadrement technique sera assuré par Jacques GOLDSTEIN de la société ELSYS. 1
2 Mots clés : CAO Internet ingénierie collaborative 3. Détection de défauts internes aux moteurs asynchrones par le suivi d'observables attachés au défaut. Une des approches utilisées pour détecter l'apparition de défauts internes (courts-circuits, barres cassées, excentricités,..) dans les machines asynchrones est la génération de signaux sensibles aux défauts et faiblement affectés par les perturbations telles que l'alimentation non sinusoïdale de la machine ou l'oscillation du couple résistant. De telles grandeurs sont appelées résidus. On les engendre en concevant des filtres basés sur un modèle de la machine. Il s'agit de trouver un modèle d'une complexité suffisante pour reproduire raisonnablement le comportement nominal de la machine et ses comportements défectueux tout en limitant la complexité de manière à pouvoir évaluer les résidus en temps réel. Le travail consistera à concevoir différents générateurs de résidus basés sur des modèles plus ou moins complexes, à comparer leurs performances et à retenir ceux qui permettent le diagnostic des défauts envisagés. Mots-clés : Machines asynchrones Modèles temporels Identification de paramètres Modes observables et modes communs Génération de résidus 4. Analyse technico-économique comparée des installations de production de froid utilisant l électricité d une part, le gaz naturel d autre part, comme source principale d énergie Contexte : La libéralisation des secteurs gaz et électricité implique une scission nécessaire des métiers de gestion des réseaux d une part, de production et de vente d énergie d autre part. La gestion des réseaux, raison d être de Sibelga pour la Région de Bruxelles-Capitale, demeure une activité de type monopolistique, mais le rôle des régulateurs, fédéral et régionaux, se traduira dans les prochaines années par une pression accrue sur les coûts (certainement) couplée à des exigences accrues en matière de qualité et de continuité de service (probablement). En outre les régulateurs opéreront par benchmarking, c est-à-dire par comparaison entre les différents 2
3 gestionnaires de réseau, en Belgique, mais aussi par rapport à nos pays voisins, ce qui se traduira par des objectifs d alignement sur «le 1 er de classe». Un moyen de diminuer les coûts sans entraver la qualité du service fourni est d améliorer l utilisation des réseaux : les réseaux sont dimensionnés pour véhiculer des puissances et des débits en situation de pointe alors qu une partie importante de la tarification de ces réseaux se fait au prorata de l énergie consommée par le clientèle. L utilisation annuelle (énergie annuelle consommée / pointe annuelle de puissance) du réseau gaz de Sibelga est très faible. Ceci s explique par l absence quasi complète d industrie lourde en Région de Bruxelles-Capitale ; le gaz naturel est de ce fait quasi intégralement consommé pour le chauffage et pour la production d eau chaude sanitaire. La consommation est donc fortement dépendante de la température extérieure, avec une pointe hivernale et une consommation «résiduelle» en été. L utilisation annuelle du réseau électricité de Sibelga est beaucoup plus importante (de l ordre de 5500h). Selon les quartiers, la charge alimentée est soit de type résidentielle, soit de type professionnelle tertiaire. La pointe est observée dans le premier cas en début de soirée et en hiver (influence de l éclairage et présence de chauffage électrique d appoint) ; certains immeubles résidentiels sont par ailleurs équipés de chauffage électrique à accumulation et présentent une pointe assez marquée au début de la période d heures creuses (22 ou 23heures). En ce qui concerne les consommations professionnelles, la pointe est observée aux alentours de midi en hiver, mais nous observons une nette inversion de tendance dans les quartiers de construction récente pour lesquels la pointe est significativement plus élevée en été, en raison de la généralisation de l air conditionné. De ce constat, il appert que, du point de vue du gestionnaire de réseaux gaz et électricité, il serait profitable de limiter autant que faire se peut les charges électriques fonction de la température (chauffage & air conditionné), et de promouvoir l utilisation du gaz naturel pour ces usages. Ceci peut paraître saugrenu, mais il faut savoir que les installations de climatisation utilisant le gaz naturel sont déjà largement répandues au Japon. Le point de vue du gestionnaire du réseau ne doit pas éluder d autres considérations : Le coût d investissement / exploitation / maintenance pour l utilisateur Les bilans écologique et énergétique (rendement, bilan CO 2 notamment) Travail proposé Sibelga souhaite obtenir une analyse comparative fouillée des installations de climatisation utilisant l électricité d une part, le gaz naturel d autre part, comme source d énergie. Cette analyse doit conclure à l opportunité ou non de promouvoir, en Région de Bruxelles-Capitale, les installations de climatisation utilisant de l eau glacée produite au moyen du gaz naturel. L analyse portera sur : 1. La description des différents systèmes de climatisation disponibles aujourd hui. 3
4 2. L évaluation de ces systèmes sous les angles énergétique, économique et écologique pour l usage domestique / petit professionnel d une part, pour l équipements de grands immeubles tertiaires d autre part. 3. L estimation des coûts évités en développement / renforcement du réseau électrique par le gestionnaire du réseau grâce à la promotion de la climatisation au gaz naturel (à exprimer en / kw d air co installé) Un bilan chiffré global, prenant en compte les résultats du point 3, conclura l analyse et devra déboucher sur une orientation en faveur ou en défaveur du gaz naturel. Sibelga est d avis que ce travail peut constituer un sujet intéressant de mémoire de fin d étude. Il serait même possible de confier les analyses gaz et électricité à deux étudiants distincts, à charge pour eux de s accorder sur la conclusion. Opportunité Sibelga est une entreprise très jeune et dynamique, occupant une trentaine d agents dont trois ingénieurs (ce nombre devrait croître dans un avenir proche). Elle est confrontée à des défis importants (donc exaltants) dans un secteur stratégique, celui de l énergie. Le ou les étudiants qui seront retenus pour le travail proposé, tout en bénéficiant d un encadrement professionnel de qualité, auront une opportunité unique d observer de près les moments clé de la libéralisation des marchés du gaz et de l énergie en Région de Bruxelles- Capitale. 5. LOCALISATION DES DEFAUTS DANS LES RESEAUX URBAINS La localisation des défauts dans les réseaux urbains se doit de résoudre des problèmes particuliers En effet, une modélisation grossière des sections de câbles entraîne des erreurs par trop importantes pour être satisfaisante. De plus, ces réseaux sont généralement exploités en boucle fermée, rendant possible après synchronisation des mesures, une méthode de localisation basée sur les mesures aux deux extrémités, plus précise que des méthodes simple extrémité. Une application envisagée serait la localisation de défaut ayant eu lieu sur le réseau de distribution bruxellois à partir de perturbographies prises par des relais de distance. Mots clés : localisateur de défaut modélisation de câbles électriques perturbographies 4
5 6. IMPACT D ACTIONS DE MAINTENANCE PREVENTIVE SUR LA DEGRADATION D EQUIPEMENTS DU RESEAU ELECTRIQUE (en collaboration étroite avec le service de Gestion de la Maintenance d Elia) Promoteurs : P-E. Labeau J.C. Maun Contexte Les équipements industriels vieillissent, ce qui augmente leur propension à tomber en panne et diminue conjointement leur niveau de performance. La maintenance préventive a pour objet de rajeunir un composant vieillissant, afin d en réduire les risques de panne, et s effectue généralement de manière périodique, ou plus vraisemblablement sur la base d inspections périodiques de l état du composant. Il est cependant difficile d exprimer, dans le cadre d une modélisation hors ligne d un planning de maintenance, dans quel état se trouve un composant, alors qu une telle information est plutôt du ressort de la surveillance en ligne ou de la mesure d une quantité physique (p.ex. un niveau d huile) permettant d extrapoler cet état. Les instants auxquels des interventions de maintenance préventive doivent s effectuer peuvent en tout cas difficilement être considérés comme liés de manière déterministe à l âge (effectif) du composant. Ils seront plus vraisemblablement fonction d un niveau de dégradation ou d usure atteint par l équipement en question et relevé lors d une inspection. Impact de la maintenance préventive Supposons qu un processus stochastique décrive l évolution au cours du temps d une variable de dégradation. Celle-ci se poursuit jusqu à ce qu un seuil de dégradation soit atteint, celui-ci correspondant à la défaillance du composant. À cette dégradation s ajoute une probabilité de panne directe du composant. Les paramètres de ce double processus (dégradation + panne directe) doivent être déterminés afin de donner une distribution du temps de défaillance cohérente avec les hypothèses du problème (p. ex. une Weibull). Les opérations de maintenance peuvent être planifiées chaque fois qu un seuil d alerte sur la dégradation est franchi, ou plus précisément chaque fois que ce franchissement est détecté au cours d une inspection. Les performances d une politique de maintenance préventive peuvent donc être estimées en simulant au cours du temps l évolution de la dégradation et en tenant compte du rajeunissement obtenu à chaque intervention. Ce dernier phénomène se caractérise par une réduction de la dégradation du composant. Cette réduction est liée à l augmentation de vie résiduelle moyenne apportée au composant, et est d autant moins importante que le nombre d interventions préalables de maintenance préventive est élevé. L évolution d un tel facteur de réduction avec le nombre d interventions peut être considérée comme connue, sur la base de cette augmentation de vie résiduelle. Le problème pratique auquel on est confronté est le volume de calcul requis pour introduire une simulation continue de la dégradation dans un modèle de maintenance sur un intervalle de temps long, avec de multiples équipements en interaction. Il est dès lors souhaitable de disposer d un outil plus efficace en termes de temps de calcul, basé p. ex. sur l approche suivante : une maintenance est programmée chaque fois que l âge effectif du composant excède une valeur donnée, mais la réduction d âge effectif obtenue est une variable aléatoire, croissante en moyenne avec le nombre d interventions déjà effectuées. 5
6 Une piste de travail consisterait donc à traduire la courbe déterministe de réduction de la dégradation obéissant à un processus aléatoire en des distributions de probabilité pour les coefficients de réduction de l âge effectif, au fur et à mesure des interventions de maintenance effectuées. Cette traduction devrait se faire en conservant le plus possible un certain nombre de caractéristiques du composant. Une telle correspondance serait d abord réalisée pour un seul composant soumis à un seul type de maintenance. Elle pourrait être étendue à des processus mélangeant les interventions de maintenances mineure et majeure. Une autre extension concernerait un ensemble de composants présentant des dégradations corrélées (par un environnement partagé et des conditions d exploitation communes). Ceci conduirait potentiellement à des âges effectifs différents pour des composants inspectés simultanément, avec une décision à prendre sur la maintenance conjointe d équipements dont certains n ont pas atteint l âge effectif requis. 7. EXPLOITATION DU RETOUR D EXPERIENCE SUR LE RESEAU ELECTRIQUE POUR L OPTIMISATION DE SA POLITIQUE DE MAINTENANCE (en collaboration étroite avec le service de Gestion de la Maintenance d Elia) Promoteurs : P-E. Labeau J.C. Maun Elia est entré dans le processus de définition de banque de données de retour d expérience destinée à être utilisée dans le processus d optimisation de sa politique de maintenance. Le but de ce travail consiste à estimer les lois de comportement du matériel sur base de ce retour d expérience. Il faudra tenir compte de l effet de la maintenance qui entache la mesure des taux de défaillance. La définition précise de ce travail est en cours d élaboration avec Elia. Les informations de base disponibles comprennent : - Le retour d expérience de la maintenance : coût de la maintenance, durée de la maintenance, historique des entretiens, avis de pannes, age réel des équipements, - Le retour d expérience de l analyse d incident: probabilités d apparition d un défaut, probabilités de défaillances de matériel, statistiques d incidents, performances des appareils, - Le retour d expérience de l exploitation : coût de l exploitation des lignes et des transformateurs, coût d une coupure planifiée, coût des coupures non planifiées - Le retour d expérience des experts et des constructeurs : durée de vie estimée des équipements, fiabilité, MTTF, MTBF, 8. Etude du comportement de la machine asynchrone à double alimentation face à des perturbations asymétriques. Le propos de ce projet est d étudier et compléter le modèle dynamique de la machine asynchrone à double alimentation en cas de perturbation asymétrique. La machine à double alimentation comporte un redresseur et onduleur à IGBTs au rotor pour augmenter les performances d une 6
7 machine classique pour la génération d énergie éolienne (contrôle de vitesse et de tension). Différentes stratégies de contrôle du convertisseur de puissance devront être modélisées et évaluées dans le but d étudier leur impact sur le comportement de la machine. Les perturbations à simuler comporteront des défauts asymétriques et différents niveaux de déséquilibre de la tension de phase. Le support utilisé sera Matlab. Mots clés : Energie Eolienne Machine à double alimentation Défauts asymétriques Matlab 9. Analyse des caractéristiques de production électrique d une petite éolienne prototype de Turbowinds (Collaboration avec le Prof M. Huart et M. Overdick de Turbowinds) La commission électrotechnique international (CEI) a initié la standardisation sur la qualité de la puissance fournie par les turbines eoliennes en Le premier draft a été publié par le CEI vers la fin de 1998 : le standard IEC Power Quality Requirements for Grid Connected Wind Turbines. Un travail a été effectué dans le Service de Génie électrique pour implémenter les procédures proposées par le groupe chargé de la qualité de puissance dans le projet European Wind Turbine Testing Procedure Developments dans le cadre du programme SMT de la UE. L objectif de ce travail est de vérifier les procédures existantes sur un prototype de génératrice éolienne à cage d écureuil de petite taille du constructeur belge Turbowinds. Les supports utilisés seront : Labview pour la partie acquisition de données et Matlab pour le traitement de données. Mots clés: Qualité de puissance Norme International Eolienne Monitoring Labview 10. Analyse énergétique d un système solaire photovoltaïque connecté au réseau électrique belge (1 kw à Ittre) (Collaboration avec Prof M. Huart) Depuis le 27 février de 2004, une installation photovoltaïque (10 m² de modules solaires photovoltaïques) est couplée au réseau public d'électricité à Ittre. Dès lors, 20 à 25% de la consommation domestique d'électricité sera dorénavant couverte par cette production, et ce, de manière non polluante, silencieuse et pratiquement sans entretien. L objectif du projet porte sur un monitoring de la qualité de la puissance et une analyse du fonctionnement in situ. Le support utilisé sera Labview. Mots clés Modules photovoltaïques 7
8 Qualité de puissance Monitoring Labview 11. Analyse de la power quality aux bornes d un parc éolien La commission électrotechnique international (CEI) a initié la standardisation sur la qualité de la puissance fournie par les turbines eoliennes en Le premier draft a été publié par le CEI vers la fin de 1998 : le standard IEC Power Quality Requirements for Grid Connected Wind Turbines. Un travail a été effectué dans le Service de Génie électrique pour implémenter les procédures proposées par le groupe chargé de la qualité de puissance dans le projet European Wind Turbine Testing Procedure Developments dans le cadre du programme SMT de la UE. L objectif de ce travail est de vérifier les procédures existantes sur une génératrice éolienne à double alimentation appartenant au parc éolien de Gembloux, de 2MW du constructeur GE. Les supports utilisés seront : Labview pour la partie acquisition de données et Matlab pour le traitement de données. Mots clés: Qualité de puissance Norme International Eolienne Monitoring Labview 8
Gestion et entretien des Installations Electriques BT
Durée : 5 jours Gestion et entretien des Installations Electriques BT Réf : (TECH.01) ² Connaître les paramètres d une installation basse tension, apprendre les bonnes méthodes de gestion et entretien
Plus en détail«L apport des réseaux électriques intelligents»
ENR et intermittence : l intégration dans les réseaux de distribution en France 18 avril 2013 Michèle Bellon, Présidente du directoire d ERDF «L apport des réseaux électriques intelligents» Les réseaux
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détailV112-3,0 MW. Un monde, une éolienne. vestas.com
V112-3,0 MW Un monde, une éolienne vestas.com NOUS TENONS LES PROMESSES DE L ÉNERGIE ÉOLIENNE UNE ÉOLIENNE FIABLE ET PERFORMANTE POUR LE MONDE ENTIER Fiabilité et performances La V112-3,0 MW est une
Plus en détailPRESENTATION PRODUITS
CONNAISSANCES FORMATION SÉCURITÉ PRESENTATION PRODUITS ÉVALUATION DES CONDITIONS COLLABORATION COMITÉS ANALYSE TECHNOLOGIE NORMALISATION La connaissance, instantanément Des solutions modernes, basées sur
Plus en détailLA MESURE INDUSTRIELLE
E02 LA MESURE INDUSTRIELLE 20 Heures Technicien responsable de la maintenance Approfondir les techniques de mesure; Prendre en compte l aspect métrologie. Connaître les limites et les facteurs d influences
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014
ERDF et la Transition Energétique CESE Nice le 23 avril 2014 1. ERDF et la distribution d électricité en France 2. La transition énergétique 3. ERDF dans la transition énergétique 4. En synthèse 1 ERDF
Plus en détailFICHE PRODUIT CSI 6500 Machinery Health TM Monitor
? TM Suite FICHE PRODUIT CSI 6500 Machinery Health TM Monitor Protection et surveillance vibratoire des machines tournantes critiques de l usine Information de surveillance vibratoire temps réel des machines
Plus en détailMonitoring THPE. Soutien au projet. Présentation du projet
Monitoring THPE Le projet Monitoring THPE a donné lieu à l un des premiers systèmes innovants de suivi des performances énergétiques et de confort des bâtiments. Informations générales Localisation : Région
Plus en détailExemple de réalisation dans le cas de projets pilotes Smart Grids. sociétaux» 13 juin, Laas-CNRS Toulouse Jean Wild
Exemple de réalisation dans le cas de projets pilotes Smart Grids «Smart grids au carrefour des enjeux technologiques et sociétaux» 13 juin, Laas-CNRS Toulouse Jean Wild l'essentiel Milliards d euros de
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailSmart Energy Day 2013 Les expériences réseaux d un distributeur suisse
Smart Energy Day 2013 Les expériences réseaux d un distributeur suisse BKW Energie SA Alain Schenk Chef Asset Management Réseaux Sion, 6 septembre 2013 Sommaire 1. Groupe et réseau BKW 2. Signification
Plus en détail1. Smart Energy Management System (SEMS)
Stignergy SA Y-Parc Swiss Technopole Rue Galilée 7 CH 1400 Yverdon-les-Bains +41 76 223 53 15 +41 24 504 15 68 contact@stignergy.ch www.stignergy.ch 1. Smart Energy Management System (SEMS) La facturation
Plus en détailServices Facilitateur Energie Secteur Tertiaire et aides financières pour le secteur tertiaire en Région bruxelloise
Services Facilitateur Energie Secteur Tertiaire et aides financières pour le secteur tertiaire en Région bruxelloise Horia Bali Bruxelles, le 7 octobre 2009 Aperçu des aides disponibles en RBC Les services
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailERDF prend le virage technologique des Smart Grids
Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détailDATA CENTER. Règles d'ingénierie du Data Center DATA CENTER
Règles d'ingénierie du Data Center SOMMAIRE La problématique La climatisation Les planchers techniques L énergie L urbanisation L industrialisation Conclusion LA PROBLEMATIQUE Rappel sur les Tiers Chaque
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailAQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw
COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de
Plus en détailProgramme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme
Plus en détailGénie Industriel et Maintenance
Génie Industriel et Maintenance Pour qu aucun de ces systèmes ne tombe en panne. Plan de la visite 1 2 3 6 4 5 Guide visite du département Génie Industriel et Maintenance 1 Salles Informatiques Utilisation
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailLe turbo met les gaz. Les turbines en équation
Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailLe réseau Offshore Le Supergrid
Le réseau Offshore Le Supergrid Sommaire: Editorial, Frédéric Dunon, Elia Collaborative Offshore Grid Development in the Northern Seas, F. Georges, Elia Grid Development, Brussels, J. Hensmans, FPS Economy,
Plus en détailTechnique de pointe. Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire
Technique de pointe Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire Concernant les installations photovoltaïques destinées aux particuliers, jusqu à présent il n a pas été fait de distinction en
Plus en détailLes tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales
Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence
Plus en détailPerformances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.
Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et
Plus en détailLeader belge en énergies renouvelables. Etudes de financement, conception, installation, exploitation et maintenance
Leader belge en énergies renouvelables Etudes de financement, conception, installation, exploitation et maintenance Structure de GDF SUEZ Energie Services BU Power & Gas Companies BU Tractebel Engineering
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailFormacode 11.0 Thésaurus de l offre de formation
Thésaurus de l offre de formation Champs sémantiques Listes annexes Des types de certifications/diplômes/titres Des pays Des logiciels Des publics Des mots-outils Correspondances Formacode Formacode Présentation
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailOUI OUI NON. Principalement circulateur de chauffage avec variateur de vitesse IEE 0,23 des logements individuels.
PRIME ÉNERGIE E5 VARIATEUR DE FRÉQUENCE (dont circulateur de chauffage IEE 0,23) Décision du 11 décembre 2014 du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale d approbation du programme d exécution relatif
Plus en détailLES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE
LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE Thomas VILLARD Directeur de projets Systèmes Electriques Intelligents Anne CHATILLON Chef de projets Ville Durable Sommaire
Plus en détailTP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites
TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailL efficience énergétique...
......Une technique intelligente de régulation au service Edgar Mayer Product Manager CentraLine c/o Honeywell GmbH 02 I 2009 Grâce aux techniques de régulation intelligentes d aujourd hui, il est possible
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailMINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT
Aménagement, nature MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Direction de l habitat, de l urbanisme et des paysages MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté
Plus en détail3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet
3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet Table des matières 07 3CB : une centrale nouvelle génération développée et exploitée par Alpiq 09 Historique du projet 11 Le cycle combiné : une technologie moderne,
Plus en détailSOMMAIRE. 1. Architecture proposée. 2. Constituants de la solution. 3. Supervision DATA CENTER OPTION SERVICE
SOMMAIRE DATA CENTER OPTION SERVICE 1. Architecture proposée 2. Constituants de la solution 3. Supervision 1 1 ARCHITECTURE GENERALE 2 Implantation Plan du site et localisation de la salle informatique
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailAMENAGEMENT DE PARIS SACLAY
AMENAGEMENT DE PARIS SACLAY Paris Saclay, un territoire du Grand Paris Paris Saclay, état initial de la frange sud du Plateau de Saclay N 1 km SACLAY CEA SAINT- AUBIN Soleil Supélec Danone Thales IOGS
Plus en détailLes types et niveaux de maintenance
Les types et niveaux de maintenance Les types de maintenance La maintenance des équipements constitue une contrainte réglementaire pour les entreprises possédant des matériels sur lesquels travaillent
Plus en détailAMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE
AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE Le test statique est un moyen très connu pour évaluer les moteurs électriques. Cependant, si un moteur ne peut pas être arreté,
Plus en détailModélisation aléatoire en fiabilité des logiciels
collection Méthodes stochastiques appliquées dirigée par Nikolaos Limnios et Jacques Janssen La sûreté de fonctionnement des systèmes informatiques est aujourd hui un enjeu économique et sociétal majeur.
Plus en détailStratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030
Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030 Mai 2014 Introduction 03 Diagnostic pour l année 2010 04 Paramètres d influence 05 Actions visant à réduire les émissions 06 Modélisation 07 Scénarios
Plus en détailRÉFÉRENTIEL TECHNIQUE
SYSTÈMES ÉNERGÉTIQUES INSULAIRES RÉFÉRENTIEL TECHNIQUE CONTRÔLES DES PERFORMANCES AVANT LA MISE EN EXPLOITATION DEFINITIVE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION D ÉNERGIE ÉLECTRIQUE RACCORDÉES EN HTB DANS LES
Plus en détailAutoconsommation d énergie photovoltaïque
Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires
Plus en détailPrésentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC
Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température
Plus en détailRAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS
RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailRésultat des discussions du groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge
26/01/10 Résultat des discussions du groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge Le groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge des véhicules électriques
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailUnités de mesure de l énergie Septembre 2009
Unités de mesure de l énergie Septembre 2009 Lorsque l on parle d installation en Energies Renouvelables on entend parler d unités de mesure telles que les Volts, les Ampères, les kilovolts-ampères, les
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détail1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE
CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel
Plus en détailDESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS
DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique
Plus en détailHealth Monitoring pour la Maintenance Prévisionnelle, Modélisation de la Dégradation
Health Monitoring pour la Maintenance Prévisionnelle, Modélisation de la Dégradation Laurent Denis STATXPERT Journée technologique "Solutions de maintenance prévisionnelle adaptées à la production" FIGEAC,
Plus en détailLe bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise. Solutions STIBIL et GILIF
Le bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise Solutions STIBIL et GILIF Un immeuble tertiaire à réinventer Les entreprises sont régulièrement confrontées à de profonds changements de leur
Plus en détailArrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre
Plus en détailVITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl
bien plus que la chaleur VITODATA VITOCOM Internet TeleControl Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet Viessmann S.A. Z.I. - B.P. 59-57380 Faulquemont Tél. : 03 87 29
Plus en détailSaisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique
Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENSEIGNEMENTS TECHNOLOGIQUES TRANSVERSAUX
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENSEIGNEMENTS TECHNOLOGIQUES TRANSVERSAUX Coefficient 8 Durée 4 heures Aucun document autorisé Calculatrice
Plus en détail1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS
Fontenay-aux-Roses, le 9 juillet 2014 Monsieur le président de l Autorité de sûreté nucléaire Avis/IRSN N 2014-00265 Objet : Réacteurs électronucléaires EDF - Réacteur EPR de Flamanville 3 Conception détaillée
Plus en détailNOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES
NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES HYDRAULIQUE MOBILE 5 Stages de 4 jours ----- HM1 HM2 HM3 HM4 HM5 2 Stages SAUER DANFOSS de 2 jours ----- PVG 32 ----- POMPE 90 MOTEUR 51 ELECTRONIQUE EMBARQUEE
Plus en détailNO-BREAK KS. Système UPS dynamique PRÉSENTATION
NO-BREAK KS Système UPS dynamique PRÉSENTATION Table des matières Chapitre 1 : Description du système No-Break KS...3 Chapitre 2 : Fonctionnement lorsque le réseau est présent...4 Chapitre 3 : Fonctionnement
Plus en détailOutils de planification et gestion pour datacentres
ACT-MG-v2 Outils de planification et gestion pour datacentres Alain BIDAUD - CRIHAN TutoJRES 17 Outils de planification et gestion Agenda Pourquoi planifier? l écosystème du datacentre Les outils DCIM
Plus en détailStockage ou pas stockage?
Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations
Plus en détailContrôle de l utilisation de l énergie électrique Maison 8 pièces, chauffage électrique
Contrôle de l utilisation de l énergie électrique Maison 8 pièces, chauffage électrique Après l isolation de la maison, l ECS solaire, la production photovoltaïque, la ventilation double flux, le split
Plus en détailMODELES DE DUREE DE VIE
MODELES DE DUREE DE VIE Cours 1 : Introduction I- Contexte et définitions II- Les données III- Caractéristiques d intérêt IV- Evènements non renouvelables/renouvelables (unique/répété) I- Contexte et définitions
Plus en détailSCIENCES TECHNOLOGIES
R essources MICHEL WAUTELET SCIENCES TECHNOLOGIES et SOCIÉTÉ Questions et réponses pour illustrer les cours de sciences De Boeck Introduction générale 5 Sciences, technologies, société 1. Quels sont les
Plus en détailVendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE
2011 Vendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE TABLE DES MATIÈRES Le cas de la France... 3 Le mix électrique en 2010... 3
Plus en détailClassification des actions d efficacité énergétique
Gestion active des bâtiments Classification des actions d efficacité énergétique dans le cadre de la rénovation des bâtiments existants Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d énergie
Plus en détailFiche d application. 7 octobre 2013 1.0
MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre
Plus en détailInfrastructures de recharge EVlink Le plein d intelligence pour la mobilité électrique
Dossier de presse Infrastructures de recharge EVlink Le plein d intelligence pour la mobilité électrique Contact Presse : Schneider Electric France Jean-Pierre Gherardi Tél. : +33 (0)4 76 60 50 24 jean-pierre.gherardi@schneider-electric.com
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailLa solution éco performante pour la sécurisation de l alimentation électrique des Datacenters à haut niveau de disponibilité
La solution éco performante pour la sécurisation de l alimentation électrique des Datacenters à haut niveau de disponibilité Alimentation Sans Interruption en liaison avec : Les échanges et besoins en
Plus en détailRobert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008
Robert Guichet Conférence DERBI Juin 2008 Plan de l exposé 1) Introduction le bâtiment et l énergie les enjeux 2) Le projet Monitoring THPE les partenaires la réglementation l indicateur de performance
Plus en détailstation service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility
station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility Infrastructure de chargement La borne Green up Pour des véhicules éléctro et hybrid Les particuliers, entreprises et fournisseurs
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailInfrastructures de recharge pour véhicules électriques
Infrastructures de recharge pour véhicules électriques (irve) recueil pratique éditorial Ce recueil a été rédigé par les professionnels de la filière électrique, pour aider les installateurs à proposer
Plus en détailEnergies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables
REFERENCES : Entreprise : ELEC-EAU 47 Rue de la petite vitesse 72300 Sablé sur Sarthe Tél. : 02 43 95 07 22 Effectif : 11 salariés Activité : Electricité, plomberie, chauffage et climatisation Energies
Plus en détailSystème ASC unitaire triphasé. PowerScale 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec PowerScale
Système ASC unitaire triphasé 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec Protection de première qualité est un système ASC triphasé de taille moyenne qui offre une protection électrique remarquable pour
Plus en détailThermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau. La solution compacte & économique
Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau La solution compacte & économique Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 Eau Easitemp définit un nouveau standard pour les thermorégulateurs. Un concept innovant,
Plus en détailGrenoble ZAC de Bonne
Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En
Plus en détailEn recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles
Intérêt de la simulation En recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles En développement : Aide à la prise de décision Comparer des solutions Optimiser
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailGIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE
GIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE Résumé La Girafe est un Carport hybride prêt pour fournir de l électricité à votre véhicule ou à votre maison juste en capturant
Plus en détailPrenez part au changement. Opérateur d électricité et de gaz
Prenez part au changement Opérateur d électricité et de gaz Edito Après 60 ans de monopole, vous êtes désormais libre de choisir votre opérateur d énergie. Accrédité par le Ministère de l Economie, des
Plus en détailRéduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture
Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,
Plus en détailSwisscom centre de calcul Wankdorf
Swisscom SA Centre de calcul Wankdorf Stauffacherstrasse 59 3015 Berne www.swisscom.ch Swisscom centre de calcul Wankdorf L avenir sous le signe de la réussite Le centre de calcul de Swisscom au Wankdorf
Plus en détailLTE dans les transports: Au service de nouveaux services
LTE dans les transports: Au service de nouveaux services 1 LTE dans les transports: Au service de nouveaux services Dr. Cédric LÉVY-BENCHETON Expert Télécom, Egis Rail cedric.levy-bencheton@egis.fr Résumé
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailEfficacité énergétique pour les particuliers : une solution pour le monitoring énergétique
Efficacité énergétique pour les particuliers : une solution pour le monitoring énergétique Orange Labs Jérôme Descos, Recherche & Développement 13 mars 2012, présentation au Colloque Energ&TIC² travaux
Plus en détail