Réseau des experts du Sud-est européen sur le patrimoine culturel immatériel 4 ème séminaire annuel (Râmnicu-Vâlcea, Roumanie, 3-7 Mai 2010)
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1 Ministry of Culture and National Heritage Réseau des experts du Sud-est européen sur le patrimoine culturel immatériel 4 ème séminaire annuel (Râmnicu-Vâlcea, Roumanie, 3-7 Mai 2010) COMPTE RENDU FINAL DES DISCUSSION Nous, les participants au quatrième séminaire régional du Réseau d experts du Sud-est européen sur le patrimoine culturel immatériel (Râmnicu-Vâlcea, 3-7 Mai 2010), ci-après nommé «le Réseau», représentant nos pays respectifs de la région du Sud-est européen, remercions l UNESCO et tout particulièrement son Bureau de Venise pour la Science et la Culture en Europe (BRESCE), Section pour la Culture, d avoir apporté son soutien à l organisation de ce séminaire. Nous sommes aussi très reconnaissants envers le pays hôte, la Roumanie, pour son hospitalité et son généreux accueil dans la ville de Râmnicu- Vâlcea. Nous tenons à souligner que cette rencontre, qui fait suite aux réunions organisées à Arbanassi, Bulgarie, en juin 2007, à Safranbolu, Turquie, en mai 2008, et à Zagreb, Croatie, en avril 2009, a représenté une étape nouvelle importante pour favoriser une compréhension partagée des enjeux et défis liés aux politiques de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à l échelle de la région, tels que : les politiques nationales d inventaires, les processus de revitalisation du patrimoine culturel immatériel, la gestion d un tourisme culturel durable, le rôle et l implication des communautés locales, les dimensions transnationales du patrimoine culturel immatériel. SPO/IT/2010/ME/PI/6 1
2 Au cours de nos travaux, nos principales constatations ont été les suivantes : - De grands progrès ont été accomplis par les pays de la région dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel : ratification de la Convention de 2003 par tous les pays de la région, ouverture du Centre régional de catégorie II sur le patrimoine culturel immatériel à Sofia, Bulgarie, création d agences nationales ou de départements spécialisés sur le patrimoine culturel immatériel auprès des ministères de la Culture, création de réseaux nationaux d experts, développement d inventaires nationaux, adoption de nouvelles lois sur le patrimoine tenant compte des objectifs de la Convention de 2003 ; - Dans le processus de mise en œuvre de la Convention, les pays de la région, malgré des situations très contrastées, connaissent des préoccupations communes : continuer à systématiser les politiques d inventaires et de numérisation du patrimoine culturel immatériel, mettre un accent renouvelé sur les éléments du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente, réfléchir davantage sur l implication systématique et durable des communautés locales et acteurs du patrimoine culturel immatériel dans les programmes de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, ainsi que dans les processus d inscription sur les Listes prévues au titre de la Convention de 2003, apporter une attention nouvelle aux transformations du patrimoine culturel immatériel par le jeu de la mondialisation, des mouvements migratoires et des «identités multiples» au sein des communautés; - La mise en œuvre effective de la Convention fait émerger des risques et dangers distincts auxquels les experts, à des titres divers, sont confrontés : usages parfois politiques des politiques de sauvegarde et de promotion du patrimoine culturel immatériel, folklorisation de la culture, muséification possible des traditions vivantes; - Les pays de la région éprouvent le besoin d une coopération régionale et sousrégionale renforcée, rendue exemplaire par les réunions du Réseau, notamment dans le cadre des projets de numérisation du patrimoine culturel immatériel, ainsi que pour favoriser l émergence rapide et nécessaire de projets transnationaux de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, y compris par le biais de 2
3 candidatures multinationales aux Listes prévues au titre de la Convention de Dans ce contexte, les experts prennent note avec intérêt des nouvelles initiatives conjointes par les pays de la région, tels que le projet sur la musique traditionnelle (Bulgarie-Turquie), ou sur les pratiques culinaires (Turquie et Ancienne République Yougoslave de Macédoine); - L organisation de réunions régulières d experts de la région pour échanger des expériences et bonnes pratiques et pour discuter des problèmes émergents liés à la mise en œuvre de la Convention du 2003, s avère d une importance capitale pour chaque pays et pour la région dans son ensemble : à cet égard, les experts soulignent le rôle essentiel que sera amené à jouer le Centre régional sur le patrimoine culturel immatériel situé à Sofia, notamment en matière d échange d informations et de formation ; - La mise en œuvre plus coordonnée et harmonieuse des conventions de 1972, 2003 et 2005 doit servir les objectifs de la région en matière de promotion de la diversité culturelle, dans le respect des droits et intérêts des communautés locales concernées. Dans le cadre de nos discussions, nous avons pu remarquer que, afin d assurer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, l appui de l UNESCO ainsi que des autorités des pays concernés est particulièrement important. Cet appui s exprime par : - Une gestion coordonnée des bases de données relatives au patrimoine culturel immatériel (liste d experts, registre de bonnes pratiques, politiques nationales et régionales de numérisation, accès au bases de données) ; - Des projets et programmes adaptés de renforcement des capacités, avec un accent prioritaire sur les questions de formation aux politiques de gestion culturelle ; - Le développement de nouveaux réseaux professionnels spécialisés, tel qu un réseau des musées de la région du Sud-est européen responsables des collections (ethnographiques, musicologiques, etc.) liés au patrimoine culturel immatériel ; - Une coordination entre les différentes institutions administratives, culturelles et scientifiques qui s intéressent au patrimoine culturel immatériel, et aussi entre les 3
4 communautés et les détenteurs des traditions, et les ONG, tant au niveau national que local ; - Un appui à la mise en œuvre de plans d actions intégrés tenant compte des objectifs interdépendants des Conventions de 1972, 2003 et Pendant nos échanges, des sujets d intérêt communs se sont dégagés et notamment : a) la revitalisation du patrimoine culturel immatériel : 1. Tout processus de revitalisation est inséparable d un travail sur les processus de transmission des cultures vivantes aux générations futures, y compris par le biais d une éducation formelle et non formelle de qualité ; 2. Tout projet de revitalisation doit tenir compte de la nature évolutive du patrimoine culturel immatériel, de la diversité des contextes culturels et sociaux, ainsi que du caractère dynamique, non homogène, stratifié et discontinu des cultures; 3. La revitalisation doit tenir compte de la réinvention permanente par les acteurs du patrimoine culturel immatériel de leurs pratiques sociales et culturelles, ainsi que de leur rapport évolutif à la nature, à la culture, au temps et à l histoire ; 4. La revitalisation, pour éviter toute reconstruction artificielle (folklorisation, réification, interprétations abusives), doit s accompagner préalablement d une recherche scientifique systématique de qualité (inventaires, bases de données, enregistrements), conduite de façon responsable et éthique, dans le respect de l intégrité des acteurs du patrimoine culturel immatériel (confidentialité, droits de propriété intellectuelle, dignité). b) Le rôle et l inclusion des communautés locales : 1. L implication constante, la participation et le libre consentement des communautés locales et détenteurs de traditions, est un élément clé de tout processus de sauvegarde et promotion du patrimoine culturel immatériel; 2. La valorisation des savoirs locaux, nécessaires pour assurer la viabilité des éléments liés au patrimoine culturel immatériel, doit se faire de façon inclusive, 4
5 en concertation étroite avec les communautés locales, et en prenant pleinement en compte la protection des droits et des intérêts des communautés et des individus concernés. c) Une mise en œuvre effective de la Convention de 2003 mettant l accent sur : 1. La priorité à la Liste de sauvegarde urgente, afin de prendre les mesures appropriées de sauvegarde en faveur des expressions du patrimoine culturel immatériel des communautés locales dont la viabilité recréation ou transmission- est menacée ; 2. La préparation prioritaire de dossiers de candidatures multinationales aux Listes prévues au titre de la Convention de 2003 ; 3. La mise en œuvre de politiques nationales et régionales portant sur les inventaires du patrimoine culturel immatériel. d) Une gestion éthique, responsable, inclusive et durable du tourisme culturel lié au patrimoine culturel immatériel 1. Les experts considèrent qu il est un impératif éthique de placer les communautés locales (leurs savoirs et savoir-faire, leurs connaissances, leurs compétences) au cœur des politiques de tourisme culturel lié à la promotion du patrimoine culturel immatériel ; 2. Tout tourisme culturel lié à la promotion du patrimoine culturel immatériel doit s ancrer dans une conception d un développement durable, respectueux des contextes locaux, de l intégrité des acteurs du patrimoine culturel immatériel, ainsi que de leur responsabilité au niveau de la communauté ; 3. Une politique de tourisme culturel doit encourager les potentialités économiques du patrimoine culturel immatériel, tout en protégeant, par des programmes de recherche, les valeurs et les caractères historiques de ce patrimoine. e) Une nouvelle vision holistique des politiques du patrimoine culturel 5
6 1. Les experts reconnaissent l importance pour les pays de la région d intégrer les dimensions complémentaires du patrimoine matériel et immatériel dans leurs politiques et plans de gestion du patrimoine culturel ; 2. Ce faisant, il est indispensable que toute politique de gestion intégrée du patrimoine culturel mette un accent primordial sur le rôle des individus, groupes et communautés locales ; 3. Les experts prennent note avec intérêt des nouvelles initiatives prises par les pays de la région pour promouvoir une vision intégrée du patrimoine culturel (célébration de la Journée du patrimoine intégrant à la fois le patrimoine matériel et immatériel). 6
7 CONCLUSIONS FINALES Nous, les participants au quatrième Séminaire régional des experts du Sud-est européen organisé à Râmnicu-Vâlcea, du 3 au 7 Mai 2010, sur la base de nos discussions et de l analyse comparée de la situation dans les divers pays du Sud-est européen, exprimons notre satisfaction quant au fait que la Convention UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003 soit à présent ratifiée par l ensemble des Etats de la région. De nos débats et discussions, nous avons dégagé les positions communes suivantes: 1. Afin de parvenir à une coopération régionale efficace dans le Sud-est européen dans le domaine de la mise en œuvre de la Convention du 2003, et en raison de l'impact profond que ce processus peut engendrer au niveau local, national et international, les initiatives suivantes seront à encourager et à poursuivre : a) Nous demandons aux gouvernements des pays respectifs ainsi qu au Bureau de l UNESCO de Venise de continuer à soutenir l existence et les activités du Réseau ; b) Nous nous engageons à promouvoir le questionnaire préparé par la Commission nationale italienne pour l UNESCO visant à rassembler sur le site internet du Bureau de l UNESCO de Venise les informations disponibles et utiles sur l expertise du Sud-est européen en matière de patrimoine culturel immatériel et les bonnes pratiques des Etats de la région relatives aux inventaires, aux mesures et politiques de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ; c) Nous soutenons le lancement de nouveaux réseaux d expertise, tels que celui proposé par la Grèce sur les musées et autres institutions travaillant sur les questions du patrimoine culturel immatériel ; 7
8 d) Nous recommandons la mise en place de stratégies et plans d action sur la promotion du patrimoine culturel immatériel par le biais d un tourisme culturel durable, respectueux de l intégrité des communautés locales ; e) Nous convenons d apporter, de concert avec les autorités nationales et les institutions académiques concernées, une attention prioritaire à la dimension transnationale du patrimoine culturel immatériel. A cet égard, nous nous félicitons des conclusions adoptées dans ce sens lors de la table ronde des Ministres de la Culture sur le patrimoine culturel immatériel tenue à Konya, Turquie, le 17 décembre Nous nous félicitons de la création d un Centre régional de catégorie II pour le patrimoine culturel immatériel sous l égide de l UNESCO à Sofia, en Bulgarie, et souhaitons qu il puisse tenir le rôle de point focal et de pôle d expertise régionale, notamment en matière de formation, d information, d échange et de sensibilisation aux politiques de gestion culturelle, et se déclarent prêts à coopérer à la mise en œuvre de son futur plan d action. 3. Nous soulignons la nécessité de renforcer les institutions de formation déjà existantes et/ou la création de Chaires UNESCO pour l étude, l enseignement, la recherche en matière de patrimoine culturel immatériel, dans le but de développer la mise en réseau des universités entre institutions d'enseignement supérieur à l'échelle internationale, régionale et sous-régionale. 4. Constatant l importance du rôle complémentaire des trois Conventions de l UNESCO de 1972, 2003 et 2005 : a) Nous demandons aux gouvernements respectifs des Etats membres de la région et aux ministères de la culture concernés de prendre en compte cette étroite complémentarité dans la mise en œuvre des Conventions, ainsi que dans les stratégies et plans d action relatifs aux politiques de sauvegarde du patrimoine culturel ; 8
9 b) Nous nous engageons à partager au travers du Réseau nos expériences et connaissances sur les bonnes pratiques de terrain fondées sur une mise en œuvre harmonieuse des trois conventions ; c) Nous recommandons de sensibiliser le grand public et les communautés locales, y compris par des campagnes d informations, aux objectifs et principes des trois conventions, afin de leur donner une plus grande visibilité. 5. Nous demandons à l UNESCO, et notamment au Bureau de l UNESCO de Venise - Bureau régional de l UNESCO pour la Science et la Culture en Europe Section pour la Culture : a) de poursuivre ses efforts pour développer des activités de soutien institutionnel, de promotion, d information et de sensibilisation pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans le Sud-est européen; b) de faire en sorte que le nouveau centre régional spécialisé sur la numérisation du patrimoine culturel, créée avec le soutien de l UNESCO à Skopje, intègre le patrimoine culturel immatériel; c) de prévoir prochainement l organisation, en coopération avec le Centre régional sur le patrimoine culturel immatériel de Sofia, une réunion régionale sur les défis posés par les dimensions transnationales du patrimoine culturel immatériel (inventaires, préparation de dossiers d inscriptions, bonnes pratiques) ; d) de continuer à soutenir l organisation de séminaires d experts du patrimoine culturel immatériel du Sud-est européen et de veiller à la stabilité de la composition des membres du Réseau. 6. Nous remercions vivement la Serbie de sa proposition d accueillir la prochaine réunion du Réseau en 2011, qui portera notamment sur les questions relatives aux législations nationales sur le patrimoine culturel immatériel, et encourageons la Grèce à envisager la possibilité d accueillir la réunion du Réseau en
10 7. Nous remercions la Roumanie pour sa généreuse hospitalité et la prions de bien vouloir informer l Assemblée générale des Etats Parties lors de sa prochaine session (Paris, Juin 2010), des recommandations élaborées par ce Réseau. 8. Nous nous engageons à transmettre, par l intermédiaire de nos Gouvernements respectifs, les recommandations de ce séminaire à la prochaine réunion des Ministres de la culture du Sud-est européen, prévue en Serbie en 2011, ainsi qu au Forum des chefs d'etat du Sud-est européen qui aura lieu à Istanbul, Turquie, au mois de Juin 2010, les invitant à prendre les mesures nécessaires à leur mise en œuvre, pour faire du patrimoine culturel immatériel un instrument de dialogue interculturel placé au service de la cohésion sociale et du développement durable. Râmnicu-Vâlcea, Roumanie, le 7 mai
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