Les inégalités scolaires. Pierre FRANCOIS Séminaire de sociologie générale

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1 Les inégalités scolaires Pierre FRANCOIS Séminaire de sociologie générale

2 Inégalités, inégalités Les trois sens des (in)égalités : de quoi parle-t-on? L égalité d accès : qui accède à l école (élémentaire), une fraction ou la totalité d une classe d âge? L égalité des chances : qui accède aux niveaux supérieurs de l enseignement? L école, seule manière acceptable de distribuer justement des individus dans des positions sociales inégales : seul le mérite compte. Cette conception suppose cependant que l école doit être capable de neutraliser les effets des inégalités sociales ; Elle suppose également que les élèves sont seuls responsables de leurs succès et de leurs échecs. L égalité des résultats : quel est le niveau tolérable des écarts entre les gagnants et les perdants? La solution de Rawls : les inégalités issues de la compétition méritocratique sont justes tant qu elles ne dégradent pas le sort des plus faibles.

3 Des inégalités qui s installent tôt, et qui vont croissant : le primaire La réussite pendant les premières années du primaire reste très liée à l origine sociale : 95% des enfants de cadre atteignent le CE2 sans redoubler, contre 82% des enfants dont le père est inactif (enfants entrés en 1997). La réussite scolaire en primaire dépend du niveau d études des parents, et tout particulièrement de celui de la mère. Les enfants appartenant à une famille de taille restreinte ont tendance à mieux réussir et c est dans les milieux populaires que l accroissement de la taille de la famille a le plus d effets négatifs. Il y a enfin une relation positive entre l activité professionnelle de la mère et la réussite scolaire, même quand on contrôle les effets de la taille de la famille (en général plus réduite) et du niveau d études (en général plus élevé).

4 Des inégalités qui s installent tôt, et qui vont croissant : le secondaire L instauration du collège unique a-t-elle permis d égaliser les carrières scolaires? Les carrières scolaires s allongent : parmi les élèves entrées en 6ème en 1995, 97% accèdent à la 3ème (99% pour les enfants de cadre, 95% pour les fils d ouvriers). La nature des inégalités change : Auparavant : aller au lycée ou pas, y rester longtemps ou non. Désormais : redoubler ou non, être orienté vers des cycles technologiques ou pas. Comment expliquer ces écarts? Par le niveau scolaire antérieur, très inégal (les 10% d élèves les plus forts ont des performances 3 fois supérieures à celles des 10% d élèves les plus faibles à l entre en 6ème). Le niveau social est associé à cet écart, sans l expliquer entièrement. Par des effets cumulatifs : la progression des élèves issus de milieu populaire est sensiblement moins rapide que celle des élèves issus de milieu favorisé elle varie, en particulier, en fonction du diplôme des parents, et tout particulièrement en fonction du diplôme de la mère.

5 Des inégalités scolaires qui s installent tôt, et qui vont croissant : le supérieur L accès au baccalauréat : 80% d une classe d âge au bac? Pour les élèves entrés en 6ème en 1989, 90% des enfants de cadre et d enseignants contre 37% des enfants d inactifs. Le bac, quel bac? L écart entre les enfants d enseignants et les enfants d inactif (entrés en 6ème en 1989) est de : 1 à 3,6 pour l obtention d un bac général ou technologique ; 1 à 6 pour l obtention d un bac général ; 1 à 10 pour l obtention d un bac S. L accès au supérieur : Qui est diplômé? Parmi les bacheliers de la fin des années 1990, 80% des enfants de cadre et d enseignants sont diplômés de l enseignement supérieur, moins de 25% des enfants d ouvriers. Quels diplômes? Les enfants de cadre et d enseignants représentent 32,5% des premiers cycles universitaires, 13,5% des BTS, 48,5% des CPGE. Ils représentent 81,5% des élèves des «très grandes écoles» : X, ENA, HEC, les ENS. Parmi les jeunes nés entre 1959 et 1968, 21% des fils de cadres ou d enseignants intègrent une grande école, contre 1% des enfants d ouvriers.

6 D autres inégalités : «l origine nationale», le genre Les inégalités attachées à l origine nationale : Pourquoi il est difficile, en France, de poser la question ; «Toutes choses égales par ailleurs», les enfants issus de l immigration réussissent mieux que les enfants de français «de souche». Les limites du raisonnement «toutes choses égales par ailleurs». Les inégalités de genre : Les filles réussissent mieux dans le primaire : les garçons redoublent plus, et ce d autant plus que le milieu social est modeste. Les écarts se creusent dans le secondaire : Elles continuent de moins redoubler que les garçons ; Mais elles accèdent moins que les garçons aux filières scientifiques : en 2003, elles représentent 84% des effectifs des terminales L, 64,5% de ceux de ES, 44,9% en S. En terme d accès au bac, il y a plus de ressemblances, toutefois, entre filles et garçons d un même milieu qu entre les garçons (ou les filles) situées aux deux extrémités de l échelle sociale.

7 Comprendre les inégalités scolaires : L école reproductrice Bourdieu & Passeron Le constat de départ : l école ne réduit pas les inégalités. La thèse : ce constat n est pas la conséquence d un dysfonctionnement de l école, il est au contraire le résultat d un fonctionnement objectif dont le vrai rôle n est de réduire les inégalités, mais de les produire et de les légitimer. Les élèves sont issus de milieux sociaux hétérogènes, leur habitus entretient donc des relations plus ou moins étroites avec les dispositions que réclame l école par exemple dans la maîtrise de la langue. Or, l école est «indifférente aux différences» : elle traite de la même manière des élèves dotés d habitus foncièrement différents. Par conséquent, l école ne sanctionne pas la compétence de l élève, encore moins son «intelligence», mais la plus ou moins grande distance qui existe entre l habitus de tel ou tel élève et les dispositions que l école valorise. Ce fonctionnement «objectif» est cependant inacceptable, d un point de vue normatif : l école doit donc mentir sur ce qu elle fait, et prétendre mesurer des différences naturelles entre les élèves qu elle classe. En produisant cette croyance dans sa fonction officielle qui est aussi une méconnaissance de son rôle objectif l école naturalise des différences sociales, et devient un opérateur décisif de la violence symbolique.

8 Comprendre les inégalités scolaires : L école comme champ de stratégies Boudon Le constat de départ : l école ne réduit pas les inégalités. La thèse : l école n est pas un espace qui n impose pas sa logique aux acteurs, elle est un champ où ils mettent en œuvre leurs stratégies. La persistance des inégalités scolaires est donc le résultat de la composition des stratégies différenciées d acteurs qui occupent des positions différentes dans l espace social. Un postulat méthodologique : la «société» n existe pas, les régularités sociales ne sont que «la trace laissée à un niveau statistique par la juxtaposition d une myriade de comportements individuels» (Boudon, 1973). Les choix scolaires sont des choix d investissements qui procèdent d une mise en regard des coûts et des avantages attachés aux différentes options. La structure des coûts et des profits dépend de la position occupée par les acteurs dans l espace social : Pour un fils de cadre, l investissement nécessaire à des études longues est (en termes relatifs) moins coûteux que pour un fils d ouvrier, et ses probabilités de réussite sont plus élevées ; Pour un fils d ouvriers, investir sur l école est à la fois coûteux et risqué les chances de réussite sont faibles. Par conséquent, les inégalités scolaires ne sont pas le résultat du fonctionnement de l école, mais des stratégies de ceux qui y passent.

9 Sortir d un débat un peu antique Le débat Boudon/Bourdieu est ancien, et surdéterminé par des considérations épistémologiques et idéologiques. Les travaux empiriques réalisés depuis montrent : Que les inégalités scolaires demeurent, et qu elles sont attachées (bien que non entièrement expliquées) par la position occupée dans le champ social (Duru-Bellat, 2002, e.g.) ; Que les acteurs sociaux interviennent délibéré et de manière réfléchie dans des choix dont ils savent qu ils revêtent une importance décisive pour le destin social de leur enfant : cf. les choix de langue (Caillé, 1996). Que la capacité à faire ces choix (i.e., à maîtriser les critères et les signes qui permettent de les concevoir et à se placer dans un espace où ils ont en effet le choix) est très inégalement distribuée socialement : cf. les choix d habitation et le lien inégalités urbaines/inégalités scolaires (Oberti, 2007) ; Que l école n est pas un espace vide, vierge et indifférent, mais qu y interviennent des enseignants dont le rôle peut être décisif dans la réussite des élèves : c est «l effet Pygmalion». Que la naturalisation des différences sociales que produit l école n est pas un vain mot, et qu elle intervient de manière décisive dans l accès aux positions dominantes et à la «noblesse d Etat» (Bourdieu, 1989).

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