Le réseau de chaleur Bellevue SAISON 2011 (du 01/01/2011 au 31/12/2011) Commission des usagers
|
|
- Mathilde Hélène Guertin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 S U I V I D E X P L O I T A T I O N Le réseau de chaleur Bellevue SAISON 2011 (du 01/01/2011 au 31/12/2011) Commission des usagers Nantes-métropole Gestion Equipements/ exercice
2 SOMMAIRE Présentation succincte du réseau Contexte contractuel Bilan 2011 Consommation en combustible du site Energie thermique produite par le site Consommation des abonnés Rendement du réseau CO2 : gestion des quotas Révision du tarif Redevance annuelle Lexique 2
3 Présentation succincte du réseau Le site de production Une chaufferie centrale d une puissance totale installée de 57,2 MW Th composée de 3 générateurs mixtes (gaz/fl/fod): 1 chaudière de 17 MW Th fonctionnant au gaz / fioul lourd; 1 chaudière de 30,7 MW Th fonctionnant au Gaz; 1 chaudière de 7 MW Th fonctionnant au Gaz; Unité de cogénération de 7,7 MW él assurant une production de 8 MW Th ; Puissance totale du site de production : 63,1 MW Th. 3
4 Le réseau de distribution Un réseau de distribution à eau surchauffée (HP) et une extension à basse température (BP) : Température du réseau de 120 C à 160 C à 15 bars de pression ; 10 km de réseau (aller & retour) ; 67 sous stations HP alimentant en chauffage équivalents logements au 31 décembre 2011 ; 1 sous-station HP/BP ZAC des Tilleuls. 9 sous-stations BP ZAC des Tilleuls. 4
5 Contexte contractuel 29 janvier 1999 : Prise d effet du contrat de DSP pour une durée de 24 années; date de fin de DSP le 29 janvier janvier 2000 : Avenant 1, régularise le déraccordement de 16 abonnés, représentant logements, soit le tiers des abonnés d alors. Il garantit également le niveau de prix du réseau et ajuste le programme des travaux à réaliser sur le réseau. 11 octobre 2000 : Avenant 2, précise la nouvelle formule de révision du terme R1, suite au passage du tarif gaz TEP au tarif S2S niveau décembre 2005 : Avenant 3, précise la modification de la formule de révision du terme R2 suite à l arrêt de publication de l indice PsdC, le substituant par l indice Fsd2 à compter du 1 er juillet er mars 2006 : Avenant 4, régularise de l extension du réseau de C.U. sur la Zac des Tilleuls, et définition de la part de financement à la charge de Nantes Métropole (3 nouveaux raccordements effectués en 2009) En février 2011 : Avenant 5, définit les conditions d exploitation du fait de l extension du réseau et de l utilisation nouvelle d énergies renouvelables, et définit la refonte du contrat d achat EDF après 2012 pour l unité de cogénération conformément aux dispositions de la Convention En octobre 2011 : Avenant n 6, précise le montage financier et juridique, les modalités de réalisation des travaux issus de l avenant n 5, les nouvelles formules d indexation des tarifs R1 et R2 pour prendre en compte les transformations techniques du réseau (utilisation de la biomasse prévue en janvier 2013). 5
6 BILAN 2011 Préambule La rigueur climatique sur 2011 a été de 1540 Dju contre 2350 Dju sur la saison 2010, soit une baisse d environ 34 %. La période de chauffe a correspondu en moyenne à 197 jours de chauffe en 2011 contre 216 jours en 2010, soit une baisse d environ 9 %. Faits marquants Fuites réseau : 14 fuites réseau ont été signalées (dont 3 sur un même tronçon) en 2011 (entre 6 et 24 heures d arrêt). L impact de ces fuites a été plus fort chez les usagers équipés de convecteurs ou de radiateurs, en revanche il a été faible chez les usagers équipés de plancher chauffant (inertie thermique). Raccordement de deux nouvelles sous-stations (409 kw au total). Principaux «gros» travaux : Entretien limité des chaudières existantes en vue de leur remplacement en été 2012 Réfection des canalisations lors des fuites 6
7 Consommation en combustible du site Ce tableau indique la consommation en combustible du site (gaz et fioul) de 2004 à Nette baisse de la consommation d énergie (-15,7%) entre 2010 et 2011 liée à une rigueur climatique plus douce en Remarque : le recours à l énergie fioul n a pas eu lieu pour cette saison. 7
8 Energie thermique produite par le site Energie thermique sortie chaufferie MWh % DJU chaleur cogénération gaz chaufferie FL2 DJU 0 Sur l année civile 2011, compte tenue de la rigueur hivernale plus douce, la production d énergie des chaudières gaz a chuté. En revanche la chaleur issue de la centrale cogénération est restée relativement stable étant donné que l appoint en énergie est principalement réalisé par les chaudières gaz. 8
9 Consommation des «abonnés» MWh Consommation des abonnés (compteur sous station) logement tertiaire Total Sur l année 2011, l énergie transportée par le réseau de chaleur et consommée par les abonnés a été de MWh contre MWh en 2010 ( 31 %), en raison de la baisse de la rigueur climatique, et malgré l extension du réseau (nouveaux raccordements de la ZAC des Tilleuls). 9
10 Rendement du réseau Le rendement global du réseau de chaleur NADIC en 2011 est de 86,1 % (il était de 87 % en 2010), Un rendement de cogénération global de 72,2% en 2011 contre 72,1% en 2010 (revente électrique incluse). Température minimale atteinte le 31 janvier 2011 à 6 C (température moyenne de la journée à 3 C) 10
11 CO 2 : gestion des quotas Quotas CO 2 NADIC 1 ère et 2 ème période 1 ère période 2 ème période tonnes de CO solde solde cumulé Quotas CO2 Emissions CO2 déclarées Rappel : Le système de vente de quotas a pour principal but d inciter les exploitants avant tout à moderniser les installations dans un souci de maitrise des rejets de C02 ; la période à venir ( ) sera encore très certainement plus restrictive en terme de quotas alloués. En 2011, les émissions comptabilisées par la NADIC ont été de tonnes de CO 2 (contre t en 2010). Le quota annuel alloué est de t de CO 2 / an. La baisse des quantités de CO2 émises en 2011 s explique par le fonctionnement moins important des chaudières gaz. Concernant l excédent de quota de 2011 (527 tonnes), la NADIC a eu le choix soit de les conserver, soit de les vendre au prix du marché (entre 10 et 15 /t). 11
12 Evolution des tarifs Evolution du tarif R1 (en /MWh) 49,50 56,04 /MWh TVA R1 R1 HT Evolution du tarif R2 (en /kw) 24,86 25,59 /kw TVA R2 R2 HT
13 Coût moyen au MWh en TTC/MWh évolution Tarif pour les équipements et le tertiaire 78,7 96,8 23% Tarif pour le résidentiel 72,3 89,5 24% Tarif pour les bailleurs sociaux 69,8 87,7 26% Coût moyen du réseau 71,9 89,8 25% Consommation global du réseau en MWh/an: % Le tarif moyen rapporté à la consommation de l exercice a augmenté de 25 % en raison de la plus faible consommation de chaleur (part fixe de la tarification divisée par une valeur plus faible). On note une disparité du tarif en fonction de la catégorie des abonnés. 13
14 Redevances annuelles pour un logement type 600 Evolution du coût moyen au logement TTC/an/logt MWh/an Coût R1 en TTC Coût R2 en TTC Consommation des abonnés logements En 2011, le coût annuel moyen pour un logement type est en baisse de 15,8% par rapport à 2010, principalement en raison de la baisse des consommations de chaleur (rigueur climatique plus douce en 2011), compensée en partie par la hausse du tarif R1. 14
15 Lexique MW : mégawatt (unité de puissance) ; MWh : mégawatt-heure (unité de l énergie ou chaleur) ; Th : abréviation du mot thermique ; él. : abréviation du mot électrique ; HP, BP : haute pression, basse pression ; Bars : unité de pression ; DSP : délégation de service public ; TEP : tarif à effacement programmé ; R1 : redevance liée au coût de l énergie ; R2 : redevance liée au coût d exploitation (conduite, maintenance et travaux) ; Dju : degrés jours unifiés (mesure de la sévérité du climat selon une température de référence) ; 15
TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN
TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la
Plus en détailLes coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois
Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission
Plus en détailLES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP
LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée
Plus en détailL ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne
Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par
Plus en détailRéseau de chaleur de Beauvais
Réseau de chaleur de Beauvais Témoignage d un d abonné Gabriel CANTEINS Chargé de mission développement durable 22/11/2010 (v2) 1/13 Réseau de chaleur de Beauvais (témoignage) Rendez-vous de l ADEME 25
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailguide de l usager Tout savoir sur le réseau de chauffage urbain L énergie est notre avenir, économisons-la!
guide de l usager Tout savoir sur le réseau de chauffage urbain L énergie est notre avenir, économisons-la! Le mot du Président Madame, Monsieur Le Grenelle de l environnement a fixé des objectifs ambitieux
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -
CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle
Plus en détailRésidence des Badinières
Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)
Plus en détailLa filière bois énergie en Bretagne
La filière bois énergie en Bretagne 2012 En Bretagne, une ressource àla fois abondante et limitée Total : 3.8 millions de tep la ressource en bois couvre entre 5 et 10% des besoins actuels en énergie :
Plus en détailContrat d'exploitation d'installation de chauffage et climatisation. Le contrat de chauffage
Contrat d'exploitation d'installation de chauffage et climatisation Le contrat de chauffage L exploitation des installations de chauffage comprend les prestations suivantes : - P1 = fourniture de combustible
Plus en détailQuestions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage
Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage Le contrat d exploitation de chauffage en copropriété La lecture d un contrat d exploitation de chauffage reste un exercice
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING Formation Réseau De Chaleur - ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détailGUIDE DE L USAGER. Tout savoir. sur le réseau de chauffage urbain. L énergie est notre avenir, économisons-la!
GUIDE DE L USAGER Tout savoir sur le réseau de chauffage urbain L énergie est notre avenir, économisons-la! Le mot du président de la Compagnie de Chauffage et du vice-président transition énergétique
Plus en détailQuelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec :
Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? UN OUTIL pour la maîtrise des charges locatives
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailwww.lacentraledupoele.com Auteur: Christian MARTENOT cmt@sas-lcdp.com
www.lacentraledupoele.com Auteur: Christian MARTENOT cmt@sas-lcdp.com 1 ère partie : Qui sommes-nous? Nos activités Se chauffer avec du granulé : Qu est-ce que le granulé? Pourquoi utiliser du granulé
Plus en détailCONVENTION DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC CHAUFFAGE URBAIN DE BELLEVUE NANTES-SAINT HERBLAIN AVENANT N 8
CONVENTION DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC CHAUFFAGE URBAIN DE BELLEVUE NANTES-SAINT HERBLAIN AVENANT N 8 ENTRE LES SOUSSIGNES La Métropole, Dénommée «Nantes Métropole»Dont le siège est situé 2 Cour du
Plus en détailMission d Observation de la Biomasse
Les synthèses de l AREC Mission d Observation de la Biomasse ENQUETE REGIONALE SUR LES CHAUFFERIES COLLECTIVES A BOIS DECHIQUETE (Saison de chauffe 2008-2009) 2009) Chiffres clés 114 chaufferies collectives
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailSe raccorder à un réseau de chaleur
L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE
Plus en détailCRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?
Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur
Plus en détailMUNICIPALITE DE GLAND
MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers
Plus en détailENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013
ENQUÊTE Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011 Série Économique Réalisé avec le soutien technique et financier de RCE 15 Février 2013 AMORCE/ADEME SOMMAIRE Prix de vente
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailUn projet Bois Energie Citoyen?
Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique
Plus en détailGuide d utilisation. Partie VIII - Module DPE
Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3
Plus en détailCOMPTE RENDU 13/12/12
LE PRESENT COMPTE-RENDU, REDIGE PAR LE BUREAU SETEC NOVAE, REND COMPTE DES ECHANGES PRINCIPAUX TENUS LORS DE LA RENCONTRE SANS AVOIR LA PRETENTION DE LE FAIRE DE MANIERE EXHAUSTIVE Rédacteur : LH Visa
Plus en détailFiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT
Fiche commerciale Pompes à chaleur Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010 bi-bloc MT INNOVATION 2010 Communiqué de presse Arcoa Nouvelle gamme de pompes à chaleur bi-bloc Des
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailCONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH
CONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH DEMANDEUR DE LA PRE-ETUDE Commune de Breitenbach 4, place de l église 67220 BREITENBACH Tél
Plus en détailTout savoir. sur lechauffage
Tout savoir sur lechauffage Tout savoir sur lechauffage guide? Pourquoi un Sous les rues de Choisy et Vitry, déjà 37,5 km de canalisations souterraines desservent en chaleur 22 000 équivalents logements
Plus en détailla micro-cogénération au bois sort de l ombre
Références Biomasse : la micro-cogénération au bois sort de l ombre Le contexte énergétique actuel, favorable aux énergies renouvelables, amène un regain d intérêt pour le bois-énergie, comme en témoigne
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailAQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw
COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détailGuide de l usager du chauffage urbain
Guide de l usager du chauffage urbain www.viaseva.org www.ademe.fr Pourquoi ce guide? Dans quel contexte s inscrit ce guide? Les effets du changement climatique nous poussent à réduire fortement les émissions
Plus en détailClassification des actions d efficacité énergétique
Gestion active des bâtiments Classification des actions d efficacité énergétique dans le cadre de la rénovation des bâtiments existants Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d énergie
Plus en détailMARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES. VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES
MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES ENTRETIEN DES INSTALLATIONS DE CHAUFFAGE ET DE PRODUCTION
Plus en détailGrenoble ZAC de Bonne
Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En
Plus en détailSéminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques»
Monitoring Energétique Gestion de sites à distance Séminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques» JP Puissant, 28 mai 2015 Jean-Pierre Puissant 0492/73 36 74 Enersolutions sprl 2011 Expertise
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailLe choix du système de chauffage dans les logements neufs
Le choix du système de chauffage dans les logements neufs Constats et propositions Octobre 2007 D après une enquête conduite par Batim-Etudes auprès des maîtres d ouvrages (particuliers et professionnels)
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailGuide pratique. CONTRATS D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE EN COPROPRIÉTÉS Avoir un contrat adapté à ses besoins pour faire des économies
Guide pratique CONTRATS D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE EN COPROPRIÉTÉS Avoir un contrat adapté à ses besoins pour faire des économies Sommaire 1 Introduction 1 LES CONTRATS D EXPLOITATION 1.1 Pourquoi un
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailLe miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014
Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques
Plus en détailFideloConso. Tout savoir sur l offre DolceVita. GDF SUEZ DolceVita à votre écoute! Contactez votre conseiller. FideloConso. www.gdfsuez-dolcevita.
GDF SUEZ DolceVita à votre écoute! Contactez votre conseiller FideloConso 09 69 32 70 00 (appel non surtaxé depuis un poste fi xe) du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 15 Vous avez des questions? Adressez-nous
Plus en détailChaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000
Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Chaudières et chaufferies fioul basse température 2 Chaudières et chaufferies fioul basse température Olio 1500 F. La qualité et la robustesse au meilleur prix. Les chaudières
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailExemples en tertiaire
Exemples en tertiaire Tours (37) - 12 % Durée : 12 ans 33 bâtiments communaux écoles, gymnases, mairie, logements Rénovation des chaufferies : production et distribution Mise en place de chaudières à
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailEXIGENCES COMPLÉMENTAIRES POUR L ATTRIBUTION ET LE SUIVI D UNE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE D ENTREPRISE DANS L ACTIVITÉ :
1/6 EXIGENCES COMPLÉMENTAIRES POUR L ATTRIBUTION ET LE SUIVI D UNE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE D ENTREPRISE DANS L ACTIVITÉ : INSTALLATIONS THERMIQUES DE GÉNIE CLIMATIQUE Date d application : 12 avril
Plus en détailJ économise mon énergie CHAUFFAGE. HABITER DURABLE - Edition n 0 1 - mise à jour septembre 2014 (nouvelle collection)
J économise mon énergie CHAUFFAGE HABITER DURABLE - Edition n 0 1 - mise à jour septembre 2014 (nouvelle collection) Je m informe DÉFINITIONS Energie primaire, énergie fi nale L énergie primaire est l
Plus en détailFinancez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro
Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à
Plus en détailPour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie
Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013
Plus en détailLA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o
LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe
Plus en détailFILIÈRE BIOMASSE ÉNERGIE
Fédération des Services Énergie Environnement FILIÈRE BIOMASSE ÉNERGIE des exemples concrets sur le territoire La chaleur renouvelable au cœur de la transition énergétique Fédération des Services Énergie
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailConseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w
Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour
Plus en détailBabcock Wanson. Bienvenue. L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie
Babcock Wanson Bienvenue L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie BABCOCK WANSON INTERNATIONAL L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie Le Groupe
Plus en détailFICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»
FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en
Plus en détailCONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION
CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.
Plus en détailTABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE
TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailÉTUDE. Compréhension de la chaîne de facturation du chauffage d un logement raccordé à un réseau de chaleur: du Délégataire à l usager final
ÉTUDE Compréhension de la chaîne de facturation du chauffage d un logement raccordé à un réseau de chaleur: du Délégataire à l usager final et comparaison avec les autres modes de chauffage Série Économique
Plus en détailIndividualisation des frais de chauffage
Individualisation des frais de chauffage Gérer l eau et l énergie en copropriété D après une étude menée conjointement par l Ademe, le Syndicat de la Mesure et le COSTIC, l individualisation des frais
Plus en détailOFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593
Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr
Plus en détailSaisie et optimisation des réseaux de distribution de chauffage et d eau chaude sanitaire en résidentiel. Guide pratique
Saisie et optimisation des réseaux de distribution de chauffage et d eau chaude sanitaire en résidentiel Guide pratique RT 2012 La polyvalence du système de chauffage à eau chaude Le système de chauffage
Plus en détailAnimation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets.
Le Bois Énergie Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr Animation du sur les Pyrénées Orientales Animation, Information Conseils et accompagnement des projets Réalisation de pré-diagnostics tecnico-économiques
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailLe monitoring. Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith. André Servais, Stadtwerke St-Vith
Le monitoring Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith André Servais, Stadtwerke St-Vith SITUATION DE DEPART 5 biens fonciers: o Puissance totale installée: o Consommation annuelle: 4.950 kw / 12 chaudières
Plus en détailDIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES
DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES Sommaire INTRODUCTION...5 I. CONSOMMATIONS ENERGETIQUES...6 Industrie...6 Agricole...7 Transports...7 Résidentiel
Plus en détailAperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013
Aperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013 Roman Buss, Renewables Academy (RENAC) AG Voyage d affaires de la CCI allemande Energies renouvelables pour la consommation propre dans
Plus en détailTravaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire
Réhabilitation énergétique des copropriétés normandes construites entre 1948 et 1974 Travaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire Situation existante et enjeux Les différents diagnostics
Plus en détailAide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009
Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale
Plus en détailENQUÊTE. Performances et recettes des. Unités de valorisation énergétique. des ordures ménagères (UVE) Série Economique RCE 13. Série Technique DT 40
ENQUÊTE Performances et recettes des Unités de valorisation énergétique des ordures ménagères (UVE) Série Economique RCE 13 et Série Technique DT 40 Réalisé avec le soutien technique et financier de Oct.
Plus en détailPrésentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique
Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique Salon Best 19 octobre 2013 Situation en Région wallonne Coût d achat du courant
Plus en détailBase de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie
Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE 600 550 500 450 400 350 300 En euros constants indice base 100 en 1973 PRIX DES ÉNERGIES Prix du pétrole
Plus en détailCamfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001
FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailSALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO
SALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd expérience sur les cogénérations du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO GEG Profil d entreprise Une société anonyme d économie mixte locale
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailComment? chez le particulier ou en collectivité
Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER
Plus en détail