Moctar TOURE Président de la Commission de Régulation de l Electricité et de l Eau

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Moctar TOURE Président de la Commission de Régulation de l Electricité et de l Eau"

Transcription

1 MULTI-YEAR EXPERT MEETING ON SERVICES, DEVELOPMENT AND TRADE: THE REGULATORY AND INSTITUTIONAL DIMENSION Geneva, 6-8 April 2011 LE SECTEUR DE L ELECTRICITE AU : QUELQUES ASPECTS INSTITUTIONNELS ET REGLEMENTAIRES par Moctar TOURE Président de la Commission de Régulation de l Electricité et de l Eau

2 LE SECTEUR DE L ELECTRICITE AU : QUELQUES ASPECTS INSTITUTIONNELS ET REGLEMENTAIRES Présenté par Moctar TOURE Président de la Commission de Régulation de l Electricité et de l Eau 1

3 SOMMAIRE POTENTIEL EN ELECTRICITE OBJECTIFS DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR AXES STRATEGIQUES DE DEVELOPEMENT REFORMES OPEREES DANS LE SECTEUR 2

4 LE CAPITALE Bamako POPULATION 15 millions hbts SUPERFICIE Km2 DENSITE 8,87 hbts/km2 PIB 6,5 milliards $US PIB/HBT 440 $US/hbt/an CONS.D ENERGIE3,5 millions tep BIOMASSE 78% PRODUIT PETROLIER 18% 3

5 POTENTIEL ENERGETIQUE Le Mali, dispose d un potentiel important en hydroélectricité et en électricité d origine solaire et éolienne, actuellement très sous exploité. Une vingtaine de sites hydroélectriques identifiés d une puissance totale d équipement d environ 1150 MW pour un productible annuel moyen d environ GWh, dont seulement 21% exploités; L irradiation solaire bien repartie sur le territoire : 5 à 7 kwh/m 2 /jour ; La vitesse du vent, sur une superficie de plus de km2: 3 à 7 m/s en moyenne annuelle. 4

6 OBJECTIFS DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR ELECTRICITE Taux d électrification - urbain+rural : de 25% en 2008 à plus de 55% en 2020; - rural : de moins de 10% en 2008 à 55% en 2020; Demande d électricité : 925 GWH (2008) à 2327 GWH (2020) - 45% pour la demande Basse Tension ou BT - 41 % pour la demande Moyenne Tension MT - 14% pour la demande Haute Tension HT Investissements optimaux : 961 millions d euros (2008 à 2020) millions d euros pour les moyens de production d électricité ; millions d euros pour les moyens de transport d électricité; millions d euros pour les réseaux de distribution d électricité 5

7 AXES STRATEGIQUES DE DEVELOPEMENT 14 principaux axes dont : Développement de l interconnexion du réseau électrique national avec ceux des pays de la sous région (OMVS, WAPP); Développement de l Electrification Rurale notamment par les technologies d énergie renouvelable et l extension de réseau ; Mobilisation des financements concessionnels pour la réalisation des gros ouvrages de production et de transport d énergie électrique ; Etablissement de dispositifs contractuels clairs, précis, et cohérents ; Institution de label de qualité pour les différentes catégories de services électriques ; Renforcement des mesures de protection des usagers et de l environnement ; 6

8 AXES STRATEGIQUES DE DEVELOPEMENT (Suite) Renforcement du cadre réglementaire et normatif du secteur de l électricité ; Etablissement de régimes fiscal et douanier propices au développement rapide et durable des services électriques ; Développement des capacités des intervenants notamment pour le suivi et l exploitation des installations ; Renforcement de la Coopération avec d autres pays et Organismes et participation aux Programmes Energétiques Communautaires, dans le domaine de l électricité (WAPP, OMVS, UEMOA). 7

9 PROMOTION DES ENERGIES RENOUVELABLES : PRINCIPAUX AXES STRATEGIQUES Promotion de l installation massive des équipements d énergie solaire dans les centres communautaires ruraux, d éoliennes de pompage d eau et d aérogénérateurs ; Promotion de l association systématique des activités génératrices de revenus aux projets et programmes d énergie renouvelable ; Amélioration de l accès des promoteurs des énergies renouvelables aux systèmes bancaires et autres institutions financières ; 8

10 PROMOTION DES ENERGIES RENOUVELABLES : PRINCIPAUX AXES STRATEGIQUES (Suite) Formation massive des groupes d artisans et des promoteurs de petites et moyennes entreprises du sous secteur des énergies renouvelables ; Promotion de la décentralisation territoriale des structures assurant la vente et le service après vente des équipements d énergie renouvelable ; Etablissement d un régime fiscal et douanier suffisamment incitatif ; Encouragement des échanges d expériences 9

11 REFORMES OPEREES DANS LE SECTEUR Pour renforcer et adapter le cadre législatif et réglementaire aux besoins de développement rapide du secteur, le Gouvernement du Mali a opéré à partir de 2000 une profonde réforme du secteur de l électricité et procédé à la privatisation de la société Energie du Mali (entreprise historique concessionnaire du service public de l électricité). A cet effet, plusieurs textes législatifs et réglementaires ont été adoptés. Il s agit notamment de: -l Ordonnance n /P-RM du 15 mars 2000 portant organisation du secteur de l électricité et son Décret d application n /P-RM du 14 avril 2000; - l ordonnance n 00-21:P-RM du 15 mars 2000 portant création, organisation de la Commission de Régulation de l Electricité et de l Eau et son Décret d application n 185/P-RM du 14 avril 2000; Ces textes consacrent entre autres, le désengagement de l Etat des activités opérationnelles de l industrie électrique et la libéralisation du secteur (la fin du monopole de gestion public de l Etat). 10

12 La Direction nationale de l él énergie La Direction Nationale de l Energie s est vu confier comme mission l élaboration des éléments de la politique nationale en matière d énergie, la coordination et le contrôle technique des services nationaux et régionaux qui concourent à la mise en œuvre de ladite politique. A ce titre, elle est chargée de : évaluer le potentiel des ressources énergétiques et veiller à leur mise en valeur ; étudier, contrôler et superviser les travaux de réalisation des ouvrages énergétiques et veiller au respect des prescriptions techniques et des normes de sécurité ; participer aux actions de coopération dans le domaine énergétique. 11

13 l Agence Malienne pour le Développement D de l él énergie Domestique et de l Electrification l Rurale (AMADER) Outre la CREE, le cadre institutionnel du secteur de l électricité a été renforcé par la création de l AMADER qui a pour missions essentielles le développement de l accès des populations à l électricité en milieu rural et périurbain. A cet titre, elle est chargée notamment de : promouvoir l électrification rurale en servant d interface entre les villages, les communes et les operateurs techniques et financiers ; organiser et renforcer les capacités d étude, de réalisation et de gestion en matière d électrification rurale ; assurer le transfert de la maitrise d ouvrage de l Etat vers les collectivités ; suivre l exécution des programmes d électrification rurale ; apporter une assistance technique et/ou financière pour les études et investissement relatif à l électrification rurale ; réguler et contrôler le développement de l activité d électrification rurale. 12

14 INNOVATIONS MAJEURES DE LA REFORME Ces textes pris en 2000 consacrent, clarifient et/ou précisent notamment : l ouverture du secteur de l électricité au privé et la consécration du principe partenariat public-privé; la rationalisation en vue d une plus grande transparence, des appels d offre dans le secteur; la consécration d un arbitre indépendant en vue de la bonne gouvernance du secteur; les rôles, compétences et prérogatives des principaux acteurs ; les conditions de délégation du service public de l électricité ; le régime de propriété des installations du service public de l électricité ainsi que les régimes généraux des autorisations; les conditions d exercice de la maitrise d ouvrage du service public par l Etat ; les principes tarifaires et comptables ; les modalités de contrôle et de sanction des operateurs ; les conditions d accès des tiers au réseau. 13

15 REGIMES DE LA CONCESSION ET DE L AUTORISATION Tout service public de l électricité est assuré à travers une concession ou une autorisation sur un périmètre bien circonscrit. Sont placés sous le régime de la concession: l établissement et l exploitation de toute installation de production hydroélectrique ; l établissement et l exploitation des installations de production thermique de puissance installée supérieure à 250 KW ; l établissement et l exploitation de toute installation de transport ; l établissement et l exploitation d installation de distribution dès que celleci nécessite des installations moyenne tension. Sont placés sous le régime de l autorisation : l établissement et l exploitation d installation de production thermique d une puissance installée comprise entre 50 et 250 KW l établissement et l exploitation d installation de distribution basse tension à partir d un ou plusieurs points de transformation moyenne tension/basse tension. 14

16 REFORME INSTITUTIONNELLE RECENTE Suite à une étude institutionnelle, le Gouvernement du Mali a adopté en 2009 un nouveau Schéma pour la Gestion des Services de l Electricité et de l Eau Potable (SORGEE) : Une société de patrimoine de l Eau Potable (SOMAPEP) et une société de Gestion de l Eau Potable (SOMAGEP) ont été créées en 2010 ; Une société de patrimoine de l électricité sera mise en place avant le 31 Juin 2011 ; Une société fermière chargée de l exploitation dans le secteur de l électricité sera créée avant le 31 Décembre 2011 ; Une société commune pour la facturation de l eau et de l électricité sera éventuellement mise en place. 15

17 MISSIONS GENERALES DE LA COMMISSION DE RÉGULATION DE L ELECTRICITL ELECTRICITÉ ET DE L EAUL : La CREE, organe de régulation du secteur de l électricité et de l eau potable, indépendant tant des opérateurs que du Gouvernement, dotée de la personnalité juridique et de l autonomie financière. L ordonnance n /P-RM du 15 mars 2000, lui confère les compétences suivantes : Soutenir le développement du service public de l électricité et de l eau ; Défendre les intérêts des usagers et la qualité du service public ; Promouvoir et organiser la concurrence entre les opérateurs. Concernant les opérateurs et les exploitants, son champ d intervention s étend aux : Concessionnaires d électricité, en ce comprises les transactions passées par ceux-ci avec les permissionnaires et les auto-producteurs d électricité; Gestionnaires délégués du service public de l eau potable dans les centres urbains dénommés «opérateurs du secteur» ou «opérateurs» dans le cadre de la présente ordonnance. 16

18 MISSIONS SPECIFIQUES DE LA COMMISSION DE RÉGULATION DE L ELECTRICITL ELECTRICITÉ ET DE L EAUL : En plus des missions générales, l article 4 de l ordonnance a prévu 7 missions spécifiques qui sont : Assistance à l élaboration de la politique de développement sectoriel Contrôle des appels d offre et de l octroi de concessions et de délégation de gestion ; Approbation et contrôle des tarifs : Contrôle et suivi des conventions : Suivi des transactions entre opérateurs dans le secteur de l électricité ;: Arbitrage des conflits entre opérateurs et Maître d Ouvrage ; Défense des intérêts des usagers. 17

19 OBJECTIFS RÉGULATOIRESR Les principaux objectifs regulatoires d un système tarifaire du service public de l électricité visent de manière générale les suivants : Viabilité à long terme ; Efficience productive ; Efficience allocative ; Equité ; Protection des usagers et de l environnement. 18

20 Principes tarifaires Les PRINCIPES de TARIFICATION du service public de l électricité sont énoncés dans l Ordonnances n /P-RM du 15 mars Les tarifs réglementés sont des prix plafonds définis sur la base des principes suivants : Ils sont basés sur les coûts budgétisés Ils comprennent un taux de rentabilité adéquat Ils incluent des coefficients d ajustement des prix des principaux composants des coûts Ils sont conformes à la politique énergétique du Gouvernement et ils visent à stimuler l efficacité dans l utilisation de l énergie électrique et à optimiser l utilisation des capacités de production, de transport et de distribution. Ils sont non discriminatoires 19

21 OUTILS RÉGULATOIRES Les principaux outils regulatoires dont disposent la Commission de Régulation sont notamment les suivants : Le modèle de simulation économique et financière ; La comptabilité regulatoire ; Les 12 directives complétant le cadre réglementaire et législatif ; La formule d indexation tarifaire. 20

22 LES 12 DIRECTIVES Les 12 directives complétant le cadre législatif et réglementaire des services publics de l électricité et de l eau potable sont les suivantes : Convention type des prestations fournies par les gestionnaires délégués aux services d assainissement ; Conditions de revente de l eau potable par les abonnés et modalités de recours du gestionnaire délégué à la sous- traitance ; Conditions dans lesquelles une entreprise est considérée comme liée à l acheteur central ; Modalités de la procédure d appel d offre pour l attribution des concessions ; Procédures de résiliation des concessions et des autorisations des permissionnaires ; Définition des ratios de gestion technique et financière devant être produits par les operateurs dans les domaines de l eau potable et de l électricité ; Modalités de répartition des coûts de raccordement au réseau de nouveaux opérateurs dans le secteur de l électricité ; Définition d obligations minimales de maitrise d ouvrage en matière de service universel de l eau potable ainsi qu à la définition d obligations rattachées à la fourniture de service universel par le gestionnaire délégué. 21

23 ATOUTS D appréciables atouts existent au Mali pour le développement du secteur de l Electricité, notamment : Un cadre réglementaire favorable aux investissements directs étrangers: (la lois permet les IPP et les Pratiques d Appels à Concurrence sont souples) Une fiscalité attrayante garantie par le Code des Investissements La stabilité du pays et une économie en croissance constante (5% par an depuis 15 ans) Un fort potentiel de développement du marché électrique (25% de taux d électrification) Des opportunités d interconnexion du réseau électrique national avec ceux des pays voisins Un taux de rentabilité interne fluctuant entre 15 et 20% La convertibilité et la stabilité de la monnaie Un mécanisme d arbitrage accessible 22

24 Performances enregistrés Les efforts fournis ont permis d atteindre d appréciables résultats qui se présentent comme suit : Energie produite (GWh) Réseau de distribution (km) Nombre d abonnés Taux de croissance (%) ,40% ,38% ,77% 23

25 Au niveau PARTENARIAT PUBLIC-PRIVE La libéralisation du secteur et notamment l ouverture de la production et l accès future des tiers au réseau ont favorisé la participation de certains investisseurs au développement du secteur. En 2007, l Etat du Mali a conclu avec la société SOPAM (un IPP) un contrat de concession pour le financement, la construction, l exploitation d une centrale au fuel lourd d une capacité totale de 56 MW. Le coût total du projet est estimé à 35 millions d euros, entièrement financé par les banques locales du pays. La durée du contrat est de 5 ans, après la mise en service des installations. Un contrat d achat a été conclu entre la société Energie du Mali et le promoteur SOPAM au terme duquel celui-ci s engage à fournir à EDM-SA 350 GWH par an à 4 c$us/kwh (hors combustible) et à garantir une puissance de 40 MW. La centrale est opérationnelle depuis En 2010, un autre operateur privé (Albatros-Energie) a conclu avec l Etat du Mali pour une durée de 10 ans une convention de concession pour la réalisation en BOOT d une centrale thermique de capacité totale 70 MW et de puissance garantie 51 MW. La société envisage de produire et vendre environ 447 GWH d électricité à EDM-SA,. Le coût total du projet est estimé à 43,3 millions d euros.

26 CONTRAINTES Les contraintes suivantes identifiées pourraient entraver fortement le développement du secteur : les difficultés à mobiliser le financement (rareté et cherté des financements accessibles) ; la forte tension de trésorerie de la société EDM-SA pour faire face à ses obligations de continuité du service public de l électricité ; La cherté des tarifs d électricité au regard de la capacité contributive des consommateurs ; Le renchérissement du coût des combustibles pour les centrales thermiques; Le renchérissement des coûts d investissement et d exploitation des interconnexions avec les réseaux des pays voisins notamment du fait des pertes en lignes et de la nécessité de maintenir une partie de la production locale pour soutenir les plans de tension locaux. 25

27 ENJEUX ET DÉFIS DE LA RÉGULATION Equilibre offre demande ; Accès des tiers au réseau ; Tarification HT Harmonisation des tarifs urbains et ruraux ; Renforcement de la Protection et de l Indépendance des Régulateurs (Capacités et Légitimité) Coopération transfrontalière et l intégration régionale du Marché de l électricité, avec le cheminement du cadre réglementaire afin d assurer la transition vers ce Marché sous régional;(innovations institutionnelles) Suivi et Contrôle de nouveaux acteurs du marché ; Communication entre gestionnaire de réseau et producteurs ; Harmonisation et Collecte des informations sur le marché de l électricité en termes de prix d équilibre du marché, de prévisions de charge et de la configuration du réseau, d anticipation des congestions, des quantités d énergie dispatchées par unité de production, 26

28 ENJEUX ET DÉFIS DE LA RÉGULATION (suite) monitoring et contrôle des échanges d énergie, les statistiques du marché et le programme de développement des infrastructures électriques nationale et sous régionale ; rôle d operateur de réseau et de dispatching en termes de placement optimal des unités de production suivant le coût marginal, de réserve de puissance et de règlement financier ; service auxiliaire avec l analyse des différents mécanismes de services annexes en fonction des contextes de marché (normes assignées, rémunération, responsabilité) ; notion de réseau intelligent ou «smart grid» pour assurer de manière dynamique et en temps réel le niveau de réserve requis et optimiser les coûts. 27

29 MERCI DE VOTRE ATTENTION 28

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE MINISTERE DE L ENERGIE ET REPUBLIQUE DU MALI DE L HYDRAULIQUE Un Peuple Un But Une Foi ***** ***** DIRECTION NATIONALE DE L ENERGIE ***** PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A

Plus en détail

Electrification Rurale au Mali. Technologies et financement

Electrification Rurale au Mali. Technologies et financement Electrification Rurale au Mali Technologies et financement Meeting of the SREP Pilot Countries Kenya 05 mar s 2012 Electrification rurale au Mali Plan de présentation le concept institutionnel le concept

Plus en détail

ERDF prend le virage technologique des Smart Grids

ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film

Plus en détail

Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays

Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays Office National de l Electricité et de l Eau Potable (ONEE) Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays Novembre 2014 PARC DE PRODUCTION DIVERSIFIE Tiers nationaux

Plus en détail

«L initiative 1000 MW» un projet qui vise la réalisation de 14 sites de production de l électricité à partir des énergies éoliennes.

«L initiative 1000 MW» un projet qui vise la réalisation de 14 sites de production de l électricité à partir des énergies éoliennes. Totalement propre et indéfiniment renouvelable, l'énergie éolienne constitue aujourd hui une importante source de production d'électricité permettant de concilier croissance économique et respect de l

Plus en détail

«L apport des réseaux électriques intelligents»

«L apport des réseaux électriques intelligents» ENR et intermittence : l intégration dans les réseaux de distribution en France 18 avril 2013 Michèle Bellon, Présidente du directoire d ERDF «L apport des réseaux électriques intelligents» Les réseaux

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005 République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie

Plus en détail

la séparation totale des activités des postes et télécommunications;

la séparation totale des activités des postes et télécommunications; LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,

Plus en détail

ERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014

ERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014 ERDF et la Transition Energétique CESE Nice le 23 avril 2014 1. ERDF et la distribution d électricité en France 2. La transition énergétique 3. ERDF dans la transition énergétique 4. En synthèse 1 ERDF

Plus en détail

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission

Plus en détail

L ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne

L ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par

Plus en détail

ERDF au service de la Transition Energétique en NPDC

ERDF au service de la Transition Energétique en NPDC ERDF au service de la Transition Energétique en NPDC Organisation territoriale Eléments clés du réseau de distribution du Nord-Pas de Calais (31/12/2012) Calais Saint Martin Boulogne Boulogne-sur-Mer Saint

Plus en détail

Les engagements d'electricité de France, en tant que producteur et distributeur

Les engagements d'electricité de France, en tant que producteur et distributeur MINISTÈRE DE L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L ENVIRONNEMENT MINISTERE DELEGUE A L INDUSTRIE, AUX PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, AU COMMERCE, A L ARTISANAT ET A LA CONSOMMATION CONTRAT DE SERVICE PUBLIC

Plus en détail

Position du secteur électrique français

Position du secteur électrique français 16 novembre 2010 ENERGIE 2020 Position du secteur électrique français L UFE, Union Française de l Electricité, est l association professionnelle du secteur de l électricité. Elle représente les employeurs

Plus en détail

LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011

LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 SOMMAIRE 01. Les enjeux du marché de électricité 02. L ouverture du marché de l électricité en Europe 03. Le

Plus en détail

LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE

LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE Thomas VILLARD Directeur de projets Systèmes Electriques Intelligents Anne CHATILLON Chef de projets Ville Durable Sommaire

Plus en détail

LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur

LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès

Plus en détail

CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS,

CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS, CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS, ( Le système ÉLECTRIQUE français Le nouveau groupe de production qui serait implanté à Flamanville s inscrit dans l ensemble du système électrique français dont

Plus en détail

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013 PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais Réunion Publique du 27/06/2013 1 Sa durée est de 3 ans de Juin 2013 à Mai 2016. Le périmètre de l opération concerne les 10

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA REGLEMENTATION ET DE LA LIBERALISATION DES TELECOMMUNICATIONS AU BURUNDI. I. Réglementation des Télécommunications au Burundi

ETAT DES LIEUX DE LA REGLEMENTATION ET DE LA LIBERALISATION DES TELECOMMUNICATIONS AU BURUNDI. I. Réglementation des Télécommunications au Burundi ETAT DES LIEUX DE LA REGLEMENTATION ET DE LA LIBERALISATION DES TELECOMMUNICATIONS AU BURUNDI Pourquoi réglementer? I. Réglementation des Télécommunications au Burundi 1. Le décret-loi n 1/011 du 04 septembre

Plus en détail

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1 FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en

Plus en détail

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011 PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans

Plus en détail

Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014

Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014 Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014 Sommaire I. Présentation de la société CEEG. Spa II. Présentation des Projets EnR réalisés 2/25 I. Présentation de la société

Plus en détail

Ateliers 2011. Energie et territoires Vers des réseaux intelligents?

Ateliers 2011. Energie et territoires Vers des réseaux intelligents? Ateliers 2011 Energie et territoires Vers des réseaux intelligents? ENERGIE ET TERRITOIRES : VERS DES RESEAUX INTELLIGENTS? Atelier Promotion 2011 - IHEDATE CONTEXTE : Dérèglements climatiques et énergie

Plus en détail

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003 RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES

Plus en détail

THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY

THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY SOLUTION INTELLIGENTE POUR STOCKAGE DE L ENERGIE SOLAIRE Engagement total en faveur de l autonomie énergétique L AUTO- CONSOMMATION EST RENTABLE. En France, les

Plus en détail

14. Le secteur électrique

14. Le secteur électrique 14. Le secteur électrique I. Résumé et Vision 2024 La vision pour Madagascar à l horizon 2024 serait l accroissement significatif du taux d accès au service de l électricité et l augmentation de la part

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL

Plus en détail

Smart Energy Day 2013 Les expériences réseaux d un distributeur suisse

Smart Energy Day 2013 Les expériences réseaux d un distributeur suisse Smart Energy Day 2013 Les expériences réseaux d un distributeur suisse BKW Energie SA Alain Schenk Chef Asset Management Réseaux Sion, 6 septembre 2013 Sommaire 1. Groupe et réseau BKW 2. Signification

Plus en détail

16/05/2012. 15 et 16 mai 2012

16/05/2012. 15 et 16 mai 2012 15 et 16 mai 212 Le monitoring i centralisé Par Michel Morin Coordonnateur à l énergie et à l entretien de la Commission scolaire des Samares Plan de la présentation Le monitoring énergétique? Une solution

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

GUIDE MÉTHODOLOGIQUE DES PROJETS D ALIMENTATION EN EAU POTABLE ET TEXTES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES

GUIDE MÉTHODOLOGIQUE DES PROJETS D ALIMENTATION EN EAU POTABLE ET TEXTES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES REPUBLIQUE DU MALI ------------- MINISTERE DES MINES, DE L ÉNERGIE ET DE L EAU --------------------------- DIRECTION NATIONALE DE L'HYDRAULIQUE Sur un financement : Coopération Française (SCAC) Coopération

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

Aperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013

Aperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013 Aperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013 Roman Buss, Renewables Academy (RENAC) AG Voyage d affaires de la CCI allemande Energies renouvelables pour la consommation propre dans

Plus en détail

ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z

ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT

Plus en détail

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets

Plus en détail

L électricité hors-réseau

L électricité hors-réseau L électricité hors-réseau L énergie est là 02 03 Une énergie accessible en zone isolée Notre motivation Environ 1,6 milliard de personnes dans le monde n ont pas accès à l électricité. La majorité vit

Plus en détail

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans

Plus en détail

- EXPOSE PREALABLE - Les parties se sont en conséquence rapprochées et, ont arrêté et convenu ce qui suit.

- EXPOSE PREALABLE - Les parties se sont en conséquence rapprochées et, ont arrêté et convenu ce qui suit. ENTRE LES SOUSSIGNES Raison sociale.. Dont le siège social est.... N SIRET : Représentée par... Agissant en qualité de... Tél :.Fax :... E-mail :.. Ci-après désignée «Le mandant» D UNE PART ET MÉDÈS INTERMÉDIAIRE

Plus en détail

Rapport pour la commission permanente du conseil régional. Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france

Rapport pour la commission permanente du conseil régional. Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france Rapport pour la commission permanente du conseil régional AVRIL 2013 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france CONTRAT DE LIVRAISON DIRECT DU GAZ NATUREL AVEC

Plus en détail

LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE

LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE MARDI 15 OCTOBRE 2013 DOSSIER DE PRESSE CONTACTS PRESSE POUR EN SAVOIR PLUS Jeanne DEPERROIS 03 83 92 89 71 06 28 92 26 20 jeanne.deperrois@rte-france.com

Plus en détail

DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA

DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA MODIFICATION DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 9 FEVRIER 2012 6 E-4-12

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 9 FEVRIER 2012 6 E-4-12 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 9 FEVRIER 2012 6 E-4-12 COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTEE DES ENTREPRISES. CONDITIONS GENERALES D APPLICATION. (C.G.I., art. 1586 ter à 1586 nonies)

Plus en détail

Se raccorder à un réseau de chaleur

Se raccorder à un réseau de chaleur L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE

Plus en détail

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2 Initiative du CICM Proposition au Sommet de la GR "Green Deal en vue d une politique énergétique et climatique efficiente dans la GR en coopération avec les PME de l artisanat" L Artisanat de la Grande

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

Programme national «très haut débit»

Programme national «très haut débit» Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

Gaz naturel, électricité et services

Gaz naturel, électricité et services Panorama édition 2013 Gaz naturel, électricité et services Enovos, plein d énergie Enovos est le plus important fournisseur d énergie d une région située au cœur de l Europe industrielle qui regroupe autour

Plus en détail

Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504

Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504 N de saisine : 480718-170856752 / YM Date de la saisine : 11 juin 2008 Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504 Consommateur: Mme H. Fournisseur(s)

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée

Plus en détail

PLAN DE LA PRESENTATION

PLAN DE LA PRESENTATION Présenté par: MAILELE Djibril Amadou, Directeur Production & Transport - NIGELEC PLAN DE LA PRESENTATION 1. CONTEXTE 2. AVENNEMENT DE LA PANNE 3. CONSEQUENCES DE LA PANNE 4. SOLUTION DU DEPANNAGE DEFINITIF

Plus en détail

Quels sont les premiers retours d expériences sur l accès aux réseaux depuis juillet 2004?

Quels sont les premiers retours d expériences sur l accès aux réseaux depuis juillet 2004? 6 ème Assises de l énergie - atelier 6 Quels sont les premiers retours d expériences sur l accès aux réseaux depuis juillet 2004? L expérience du distributeur dans le nouveau contexte OLIVIER COURSIMAULT

Plus en détail

La construction métropolitaine en Ile-de-France

La construction métropolitaine en Ile-de-France 1 La construction métropolitaine en Ile-de-France Eléments d actualité: La réforme territoriale Le devenir du Grand Paris 29 Novembre 2012 Intercommunalité et Métropolisation en Ile-de-France 2 Eléments

Plus en détail

CONDITIONS STANDARD DE LIVRAISON CONDITIONS ST AN DAR D DE LIVRAISO N

CONDITIONS STANDARD DE LIVRAISON CONDITIONS ST AN DAR D DE LIVRAISO N CONDITIONS ST AN DAR D DE LIVRAISO N DEFINITIONS Lorsque leurs initiales sont en majuscules, les termes des présentes Conditions standard de livraison sont définis ci-dessous, au singulier comme au pluriel.

Plus en détail

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction

Plus en détail

Mission d Observation de la Biomasse

Mission d Observation de la Biomasse Les synthèses de l AREC Mission d Observation de la Biomasse ENQUETE REGIONALE SUR LES CHAUFFERIES COLLECTIVES A BOIS DECHIQUETE (Saison de chauffe 2008-2009) 2009) Chiffres clés 114 chaufferies collectives

Plus en détail

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique MECANISME DE CAPACITE Guide pratique SOMMAIRE 1 Principes... 4 2 Les acteurs du mécanisme... 5 2.1 Les acteurs obligés... 5 2.2 Les exploitants de capacité... 5 2.3 Le Responsable de périmètre de certification...

Plus en détail

Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène

Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène HYBSEN - HYdrogène en Bretagne pour le Stockage d ENergie Renouvelable Le stockage de l énergie: 2 ème pilier de la troisième révolution

Plus en détail

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations Turquie Traduction non officielle 1 de la Loi n o 5710 2 relative à la construction et à l exploitation de centrales nucléaires et à la vente de l énergie produite par ces centrales Date d adoption de

Plus en détail

CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX

CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX La présente convention de mutualisation de services communs et de mise à disposition de locaux est passée entre: d une

Plus en détail

ASSEMBLAGE DE NOEUDS SOCIO-ÉNERGÉTIQUES : CHAINES DE DÉCISIONS ET APPROCHES EXTRA- ELECTRIQUES

ASSEMBLAGE DE NOEUDS SOCIO-ÉNERGÉTIQUES : CHAINES DE DÉCISIONS ET APPROCHES EXTRA- ELECTRIQUES ASSEMBLAGE DE NOEUDS SOCIO-ÉNERGÉTIQUES : CHAINES DE DÉCISIONS ET APPROCHES EXTRA- ELECTRIQUES PCEHT Séance 3 Gilles Debizet Université de Grenoble 1 UMR PACTE (CNRS, IEP, UPMF, UJF) 16/04/13 DEBIZET PCEHT

Plus en détail

ERDF & Les entreprises Les professionnels

ERDF & Les entreprises Les professionnels CATALOGUE DES PRESTATIONS ERDF & Les entreprises Les professionnels PRODUCTEURS D ÉLECTRICITÉ CONSOMMATEURS & FOURNISSEURS D ÉLECTRICITÉ www.erdf.fr CATALOGUE DES PRESTATIONS ERDF & Les entreprises Les

Plus en détail

Augmentation de l efficience

Augmentation de l efficience SENEGALAISE DES EAUX Augmentation de l efficience Affermage de l eau au Sénégal Par Mamadou DIA Dakar 7 Juin 2012 L ENTREPRISE SDE Filiale de FINAGESTION (57%), créée en 1995, 33% privés sénégalais, 5%

Plus en détail

RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE

RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.

Plus en détail

Grenoble EcoCité SmartGrid for green cities

Grenoble EcoCité SmartGrid for green cities Grenoble EcoCité SmartGrid for green cities Grenoble EcoCité Une stratégie énergétique locale Grenoble Ecocité & Fonds Ville de Demain Grenoble Presqu ile Démonstrateur de l EcoCité 250 ha pour la recherche

Plus en détail

LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004

LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004 LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004 CHAPITRE PREMIER - DEFINITION ET COMPOSITION DU DOMAINE FONCIER RURAL Section première

Plus en détail

La gestion déléguée. l expérience de la LYDEC

La gestion déléguée. l expérience de la LYDEC NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD Partenariat Public-Privé Privé pour le développement du secteur énergétique en Afrique Vendredi 30 avril 2004 - Marrakech La gestion déléguée de la distribution de l'électricité

Plus en détail

POLITIQUE SECTORIELLE DE L ENERGIE 2014-2025

POLITIQUE SECTORIELLE DE L ENERGIE 2014-2025 Burkina Faso ------------ Unité Progrès Justice Ministère des Mines et de l Energie POLITIQUE SECTORIELLE DE L ENERGIE 2014-2025 Mai 2013 AVANT PROPOS La politique sectorielle de l énergie est un instrument

Plus en détail

LE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER. Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM

LE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER. Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM LE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM SOMMAIRE I- LE CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE MINIER EN MAURITANIE I-A. ÉLÉMENTS

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Depuis la campagne 2012-2013, l Etat de Côte d Ivoire a engagé une réforme de la filière café-cacao

Plus en détail

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre

Plus en détail

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du

Plus en détail

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE

FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24

Plus en détail

Les EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités

Les EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités Fiche B2 juin 2013 CETE Nord Picardie Connaître les acteurs du foncier Les établissements publics fonciers locaux (EPFL) Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les EPFL sont des établissements publics dont la mission

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

Le stockage de l'énergie : des nouvelles perspectives de performance énergétique pour les industriels?

Le stockage de l'énergie : des nouvelles perspectives de performance énergétique pour les industriels? Le stockage de l'énergie : des nouvelles perspectives de performance énergétique pour les industriels? Usine + 13 et 14 Novembre 2014 Francois Borghese - Prosumer marketing director Francois2.borghese@schneider-electric.com

Plus en détail

LES INDUSTRIES EXTRACTIVES

LES INDUSTRIES EXTRACTIVES LES INDUSTRIES EXTRACTIVES 1. Les mesures pratiques qui ont été prises et les progrès réalisés dans leur mise en œuvre Depuis son accession à l indépendance, le Mali, à travers ses différents plans de

Plus en détail

Présentation du projet Smart Electric Lyon

Présentation du projet Smart Electric Lyon . Présentation du projet Smart Electric Lyon 4/03/2014 EDF Les réseaux électriques deviendraient-ils intelligents? Décembre 2012 2 Consommation par marché et usages 2/3 pour le spécifique (Éclairage et

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

LE MARCHE DE L ENERGIE ELECTRIQUE AU MAROC

LE MARCHE DE L ENERGIE ELECTRIQUE AU MAROC LE MARCHE DE L ENERGIE ELECTRIQUE AU MAROC L ONEE BRANCHE ELECTRICITE EN CHIFFRES 2012 Collaborateurs 8 700 Clients 4,7 millions Chiffre d affaire 24 milliards DH Investissements 4,6 milliards DH Puissance

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES "E14 V0"

CONDITIONS GENERALES E14 V0 Contrat conforme au modèle approuvé par le ministre chargé de l'énergie le 30 juillet 2014 Page 1 sur 17 CONTRAT D'ACHAT DE L'ENERGIE ELECTRIQUE PRODUITE PAR LES INSTALLATIONS UTILISANT L ENERGIE MECANIQUE

Plus en détail

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,

Plus en détail

E-SER : Electricité produite à partir de sources d énergie renouvelables

E-SER : Electricité produite à partir de sources d énergie renouvelables E-SER : Electricité produite à partir de sources d énergie renouvelables Systèmes de production d électricité à partir de SER Motivations au développement de l E-SER Mécanismes de soutien Marché des certificats

Plus en détail

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Prenez part au changement. Opérateur d électricité et de gaz

Prenez part au changement. Opérateur d électricité et de gaz Prenez part au changement Opérateur d électricité et de gaz Edito Après 60 ans de monopole, vous êtes désormais libre de choisir votre opérateur d énergie. Accrédité par le Ministère de l Economie, des

Plus en détail

L attractivité de PACA pour le développement des smart grids

L attractivité de PACA pour le développement des smart grids L attractivité de PACA pour le développement des smart grids FORUM OCOVA 16 septembre 2014 Page 1 Les smart grids : une ambition pour la France Objectifs de la feuille de route du plan industriel Consolider

Plus en détail

Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire

Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire Village de Lakoulé, Commune rurale de Koréra-Koré, Cercle de Nioro-du-Sahel, Mali Rapport d avancement n 4 au 20/08/2013 Ce rapport conclut la

Plus en détail

GUIDE DES PROCEDURES DU DISPOSITIF DE CREATION DE NOUVELLES EXPLOITATIONS AGRICOLES ET D ELEVAGE

GUIDE DES PROCEDURES DU DISPOSITIF DE CREATION DE NOUVELLES EXPLOITATIONS AGRICOLES ET D ELEVAGE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL GUIDE DES PROCEDURES DU DISPOSITIF DE CREATION DE NOUVELLES EXPLOITATIONS AGRICOLES ET D ELEVAGE - Circulaire

Plus en détail

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES

Plus en détail

MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES

MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES Société Anonyme d Economie Mixte Locale BP 237 20294 BASTIA : 04.95.32.80.55 : 04.95.34.01.14 MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)

Plus en détail

L'ouverture à la concurrence

L'ouverture à la concurrence [Extrait] CONSOMMATION ET CONCURRENCE RÉGLEMENTATION Services en réseaux L'ouverture à la concurrence Article du bureau Économie des réseaux, de la direction de la Prévision et de l analyse économique.

Plus en détail

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

ClaraExchange 2010 Description des services

ClaraExchange 2010 Description des services Solution ClaraExchange ClaraExchange 2010 Description des services Solution ClaraExchange 2010 2 CLARAEXCHANGE 2010... 1 1. INTRODUCTION... 3 2. LA SOLUTIONS PROPOSEE... 3 3. LES ENGAGEMENTS... 4 4. ENVIRONNEMENT

Plus en détail