Mot du Président. Le Président, Docteur G. VIGEANT

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1 2014

2 Mt du Président Nus vici a l'épque des bilans, je vais laisser les chiffres, les cnstats et les statistiques a beaucup plus cmpétent que mi et en vus parlant d'un passé récent, je vudrais essayer d'envisager l avenir. Ce début d'année a été riche pur ntre Assciatin. Les changements multiples au niveau des services vnt nus impser une chésin encre plus grande. C'est la faveur que je vus demande à tus! Nus évluns dans un mnde ù la vilence et l'hrreur ne semblent plus avir de limites. Cela cmplique cnsidérablement la visin que nus purrins avir d'un avenir de prgrès et de paix. Il nus faut dnc nus arc-buter sur ces valeurs qui snt les fndements de ntre sciété : la liberté, l égalité et la Fraternité. Il nus faut résister à cette terreur qui prétend impser aux autres une transcendance macabre et myenâgeuse ; et il nus faut aussi lutter cntre ntre tendance naturelle au repli sur si. Car, le seul espace qui nus reste ffert pur exalter ntre humanité est celui de la slidarité, de la prise en charge des exclus et des blessés de la vie. L Autre étant la seule issue valrisante nus permettant d échapper à la sinistrse envirnnante et par là justifiant l ensemble de ns effrts à tus! Saint-Exupéry va m aider à cnclure en rappelant «que l n est respnsable de ceux que l n a apprivisé» et que «pur ce qui est de l avenir, il ne s agit pas de le prévir mais, de le rendre pssible» Le Président, Dcteur G. VIGEANT Page1

3 Intrductin 2014 au SAFED Pur nus, il n y a jamais recmmencement mais pursuite de ntre actin auprès des familles en difficultés et chacun à ntre place, avns vulu dnner ce sens à ntre vie : au travers de l engagement assciatif que nus syns bénévles u prfessinnels. Même si ntre actin pur une sciété plus duce et égalitaire est certes un peu l inaccessible étile, que certains qualifiernt d utpie, cet engagement est ntre ciment et la chaine que nus frmns est de plus en plus slide. A l heure de dresser le bilan de 2014, frce est de cnstater qu il est très psitif, cmme les années passées. Le SAFED, ce snt 8 établissements et services. Au travers ses 8 établissements et services : MJPM, CHRS, Ilt Femmes, Maisn relais, Santé, Frmatin et préventin, PRE, Siège Le SAFED, ce snt quelques 65 salariés prfessinnels de l actin sciale, de l administratif, du financier et de la lgistique. Si l assciatin, cette chaine d humanité s agrandit de slide maillns, c est certainement parce que bien évidemment, la situatin sci-écnmique se dégrade et laisse derrière elle de plus en plus d exclus mais, c est aussi et plus surement, à l heure ù de nmbreuses assciatins du scial snt en difficultés, que la répnse sciale apprtée dans ns accmpagnements est de qualité. Page2

4 Par la gestin cmplexe mais pertinente mise en œuvre par le Siège les évlutins tant législatives qu pératinnelles et financières snt intégrées, la veille sciale permanente nus permet aussi la réactivité nécessaire à l inscriptin dans de nmbreux prjets. Le siège, c est aussi, une équipe d interventin efficace et présente sur les lcaux (tant bureaux qu hébergements) afin d ffrir cnfrt et sécurité. Le SAFED, ce snt quelques 2000 usagers. Parce que nus smmes en capacité de savir nus adapter aux changements et aux évlutins sciétales et aux prblématiques rencntrées par ns usagers, ns files actives snt en cnstante prgressin. L bjet central de ntre assciatin est la réinsertin sus tutes ses frmes et nus pruvns jurs après jurs ntre efficience qui est recnnue par l Etat et les cllectivités. Le SAFED, c est un label de qualité. Les établissements nt mené à bien leur audit. L enjeu partagé qu est la certificatin ISO 9001 et au-delà de ce label, l inscriptin dans une démarche cntinue d améliratin nus permet un questinnement de ns rganisatins et prcédures au regard des missins qui nus snt imparties. La qualité de ns prestatins est aussi mesurée auprès de ns usagers et partenaires. Cette année encre, ce snt quelques 465 questinnaires qui nt été explités. Je tenais particulièrement à remercier tut un chacun, salariés et bénévles sans ublier ns partenaires, pur cet engagement frt, qutidien et permanent. Pur nus, salariés SAFED, sachns prter à l extérieur les valeurs qui nus animent, qui animent le SAFED, car c est bien le prjet de tute l actin sciale que nus prtns avec fierté et déterminatin. La Directrice, Marie Christine FOUDRAL. Page3

5 Cartgraphie... p. 05 Hébergement... p CHRS... p Pôle Urgence p Bail glissant... p Maisn Relais Féneln... p. 31 MJPM... p. 42 Santé FSE... p. 55 Frmatins... p. 68 Îlt Femmes... p. 77 Prgramme Réussite Educative... p. 87 Qualité... p. 91 Ressurces Humaines... p. 95 Perspectives p. 101 Page4

6 Cartgraphie Page5

7 Hébergement Le Centre d Hébergement et de Réinsertin Sciale (CHRS) Le CHRS prpse 23 lgements, entièrement indépendants, meublés et équipés : 13 appartements (2 T2, 7 T3 et 3 T4, 1 T5) snt répartis dans la ville et sur l agglmératin de Périgueux. 10 appartements (8 studis, 2 duplex) 2 studis et 1 T1 duplex snt réservés pur l accueil d urgence de femmes victimes de vilences cnjugale et 2 studis pur l accueil d urgence «tut public». Ils snt situés au CHRS, 8 Curs Féneln à Périgueux. I- L EVOLUTION DE L ACTIVITE Le CHRS a cnnu une augmentatin tujurs cnstante mais très significative cette année de la fréquentatin, tant dans le cadre de l insertin que dans le cadre de l urgence Nuitées CHRS Nuitées chambres d urgence TOTAL La prprtin des familles avec enfants vire familles nmbreuses et très nmbreuses est imprtante. Nus avns hébergés en effet 84 enfants Nmbre de Ménages Persnnes % Hmme seul Femme seule Femme avec enfants (+63 enfants) 59 Cuple avec enfants 7 7 (+21 enfants) 16 Cuple sans enfant Ttal La ppulatin accueillie est largement féminine du fait du nmbre de places réservées aux femmes victimes de vilence. S E X E D E S R É S I D A N T S ( A D U L T E S ) 29% F M 71% Page6

8 La ppulatin est majritairement très jeune du fait de la présence imprtante d enfants, tutefis, la tranche 25/35 ans est la plus représentative pur les ppulatins adultes. A G E D E S R É S I D A N T S E N % 2% 1% 8% - de 3 ans de 3 à 18 ans de 18 à 25 ans 16% 12% 50% de 25 à 35 ans de 35 à 45 ans de 45 à 55 ans de 55 à 65 ans + de 65 ans Quatrze natinalités snt présentes au CHRS en 2014, tutefis les persnnes de natinalités françaises représentent la majrité des persnnes accueillies : 2014 Ttal % Albanaise 2 1 Algérienne 1 1 Anglaise 3 2 Arménienne 4 3 Cmrienne 1 1 Cnglaise 3 2 Française Guinéenne 1 1 Haïtienne 3 2 Ksvare 2 1 Marcaine 10 7 Rumaine 6 4 Serbe 5 4 Surinamienne 1 1 Les usagers prviennent pur 70 % d entre eux de Périgueux et de sn agglmératin. Les usagers snt très peu mbiles, 18 snt titulaires du permis de cnduire et 10 pssèdent un véhicule Ttal % Périgueux cmmune Agglmératin de Périgueux Département Autres régins Régin Aquitaine 11 8 Hrs Unin Eurpéenne 6 4 Ttal Page7

9 Situatin à l entrée : 78 % des Résidants étaient sans empli à leur entrée au CHRS et ce, malgré un niveau de qualificatin de 8% Niveau III et 17% Niveau V. E M P L O I À L ' E N T R É E 2% 8% activité d'insertin 2% 2% 6% 2% CDD CDI frmatin 78% Intérim petits bults sans empli Q U A L I F I C A T I O N P R O F E S S I O N N E L L E 18% 8% 10% Niveau III Niveau IV 29% 17% Niveau V Niveau V bis Niveau VI 18% sans Il est à nter que les persnnes sans ressurces snt plus nmbreuses qu en 2013 (21%) et représentent cette année 41% des persnnes accueillies. R E S S O U R C E S À L ' E N T R É E 2% 2% 4% 2% 8% 2% 13% 41% 12% 6% 4% 2% 2% ASS assedic intérim nn Prestatins CAF Prestatins CAF+RSA RSA salaire Salaire + Prestatins CAF salaire+rsa sans Prestatins CAF+rente salaire+prestatins CAF Page8

10 Les femmes victimes de vilences snt les plus représentatives avec 55% alrs que les places réservées représentent 45 % de l agrément. PRINCIPAL MOTIF DE L'ACCUEIL 115 absence de lgement 21% 3% 9% 5% 4% absence de ressurces expulsin lgement fin de prise en charge au CADA lgement de stabilisatin 1% 4% 6% 4% 3% rupture familiale srtie de prisn 11% vilences cnjugales vilences intra-familiales 28% 1% rupture familial fin de prise en charge du Centre Maternel vilences cnjugales Situatin à la srtie : Nmbre de srtie % Parc Public DOMO France 01 Parc Public Drdgne Habitat 04 Parc Public Périgueux Habitat 21 Parc Privé 32 Ttal Lgement rdinaire Hébergement précaire (famille/amis/115) 16 MAISON RELAIS 01 Incnnu 04 Retur au pays 03 Ttal autre Lgement persnnes sit 25 ménages 100 Le lgement rdinaire est l bjectif primrdial en matière de lgement. L autnmie dans ce type de lgement cncerne 71% des ménages en fin d accmpagnement. L accès aux drits et à tute frme de slvabilité snt un axe de travail imprtant, ainsi, même si 16 % restent sans ressurces à la srties (persnnes sans papier), l ensemble des résidents snt slvables à la srtie du CHRS, cnditin sine qua nn pur intégrer un lgement. A nter que 32% des résidents srtants du CHRS snt en situatin d empli. Page9

11 R E S S O U R C E S À L A S O R T I E Assedic 3% 7% 3% 3% 10% Prestatins CAF RSA 19% 7% 19% 13% Salaire sans Prestatins CAF+RSA Prestatins CAF+Salaire Assedic + indemnités de frmatin Prestatins CAF+Assedic 16% Prestatins CAF+RSA+indémnités frmatin 45 % des Résidants restent sur Périgueux et l Agglmératin à leur srtie du CHRS et 14 % restent en Drdgne (hrs Périgueux). L I E U G É O G R A P H I Q U E D E S O R T I E 16% 17% département 24 incnnu 6% 6% 10% périgueux agglmératin périgueux cmmune Régin Aquitaine 45% autre régin II - L EVALUATION DE L ACTIVITE Les divers axes du prjet d établissement nt été travaillés en Les éléments qui suivent cnstituent la répnse aux 4 bjectifs majeurs, à savir : Le respect des drits des usagers La persnnalisatin de l accmpagnement en veillant à la singularité du sujet, à sn histire, à ses cmpétences et à ses attentes La qualité de vie et l insertin des publics accueillis La prise en cmpte de leur vulnérabilité. que le CHRS a suhaité mettre en œuvre, afin de mieux répndre à ses missins. Page10

12 Renfrcement de la place de la persnne accueillie par sa participatin afin de prmuvir le respect de ses drits tut en veillant à l améliratin de la qualité de vie dans la structure. Le CHRS n a pas retenu le Cnseil de la Vie Sciale cmme instrument de cncertatin et de participatin des résidents (en raisn de la brièveté des séjurs, la difficulté d installer une représentativité, le turn-ver des résidents...). Il a préféré une participatin directe des résidents, prpsée seln 4 mdalités : réunin d échanges avec les usagers tus les deux mis animée par des membres de l équipe éducative table rnde et recueil d infrmatins auprès des résidents tus les trimestres, animée par le référent qualité et la directin. enquête de satisfactin annuelle et ainsi qu à la srtie de l hébergement. Livre d r Les infrmatins ainsi recueillies fnt l bjet d une analyse pur l améliratin de l accueil, des lgements et des prises en charge. Il ressrt de ces diverses instances et utils une satisfactin des usagers. En ce qui cncerne l accueil, les différentes étapes snt bien adaptées tant à l insertin qu aux accueils en urgence. Les lgements paraissent glbalement très satisfaisants tutefis, l âge et l état du parc HLM ù les lgements snt situés restent un réel prblème malgré l interventin de l équipe d entretien. Pur la prise en charge, les divers référents et leurs activités snt bien intégrés. Accmpagnement de l usager de façn persnnalisée en veillant à la singularité du sujet, à sn histire, à ses cmpétences et à ses attentes pur faciliter sn parcurs d insertin multi dimensinnel. L accmpagnement scial est la mise en œuvre d un ensemble d actins et de myens par un travailleur scial, seul u en cllabratin avec les partenaires, visant l évlutin de persnnes en difficultés (de type scial, écnmique, sci-éducatif, familial u d insertin dans la sciété) u en situatin de fragilité. L accmpagnement débute par un temps d accueil, d écute et par la définitin du cadre d interventin : le prfessinnel aide la persnne à frmuler des bjectifs prpres à sa situatin en tenant cmpte de ses ptentialités, de ses limites ainsi que des limites d actins et de cmpétence du service. Ces bjectifs s inscrivent dans le cadre d un prjet, persnnalisé et délimité dans le temps. Page11

13 Grâce à sn écute, sn sutien, aux cnseils adaptés qui répndent à la demande, le travailleur scial aide la persnne dans ses démarches de vie qutidienne, dans sa prgressin vers ses bjectifs, à sn rythme pur amélirer sa situatin, pur tendre à un sulagement, un mieux-être, un mieux vivre, un épanuissement. Il l aide à se mbiliser pur sa prpre dynamique en vue de sn autnmie. Dans ce cadre, l ensemble des résidents a-t-il bénéficié d un prjet écrit, évaluable dnt les bjectifs snt précis et atteignables et revus mensuellement. Dévelppement de partenariat au service de la qualité de vie et de l insertin des publics accueillis Il est imprtant que dans le cadre de l accmpagnement mis en place, l efficacité du réseau pluridisciplinaire sit renfrcée. Ceci peut permettre de réduire significativement les délais administratifs de nature à déstabiliser l usager en grande précarité tut en adaptant au mieux les dispsitifs et répnses aux prblématiques rencntrées. Afin d ptimiser le partenariat autur de l empli et de la frmatin, une stagiaire CAFERIUS a travaillé à la frmalisatin d une cnventin passée avec le Pôle empli et à nmmé en interne des référents auprès des assciatins d insertin, de la Missin lcale et de structures de frmatins. Des réunins inter assciatives et inter institutinnelles nt pu être menées à sn initiative. Le taux de retur à l empli (32 %) est favrisé par cette démarche. Une cnventin a été signée avec le CLAT pur la lutte cntre la tuberculse. La cnventin avec la CPAM dans le cadre du bilan de santé est tujurs active. 85% des persnnes accueillies à leur arrivée bénéficiaient d une cuverture sciale. Cet axe est primrdial pur les familles. Ce travail dit être fait en amnt, afin de favriser l insertin sciale et prfessinnelle des usagers. Le bilan de santé est un util précieux pur 77% des persnnes accmpagnées. Il permet d rienter les persnnes vers des médecins spécialistes si besin. Prescripteur, l équipe éducative le prpse systématiquement. De même, les référents s assurent que les résidents aient un médecin traitant au curs de l accmpagnement. Ainsi 92% des persnnes accueillies bénéficient d un médecin traitant. L équipe mbile santé précarité est aussi sllicitée. Un travail avec les autres services du SAFED s est mis en place : service MJPM en particulier. Le service a bénéficié des cnventins de partenariat mises en place par le Siège de l assciatin et le cadre du service MJPM. Un partenariat plus actif est acté avec la Banque alimentaire au travers d ateliers cuisine. La cnventin avec Inf Drit a été recnduite. Page12

14 Dévelppement de l actin cllective pur mieux prendre en cmpte la vulnérabilité des usagers En 2014, 99 ateliers cllectifs nt été réalisés, ce nmbre représente envirn 8 ateliers par mis sur l année. Le taux de participatin glbal des résidants est de 78%. Il y a en myenne entre 6 et 7 persnnes par activités cllectives. Nmbre d ateliers : 99 dnt 13 annulés. 6 annulés pur des raisns institutinnelles u métérlgiques. 7 annulés parce qu il n y avait pas assez de participants. Entre 8 et 9 par mis Nmbre de persnnes inscrites : 776 Nmbre de persnnes présentes : 602 Nmbre de persnnes excusées : 122 Nmbre de persnnes nn-excusées : 73 Taux de participatin : 78% Entre 6 et 7 persnnes par atelier La fréquentatin des ateliers varie en fnctin des pérides de l année et des prirités des usagers. Ces ateliers snt animés par une prfessinnelle de l écnmie sciale qui travaille sur les cmpétences et centres d intérêt des usagers. Ces ateliers fnt l bjet d une évaluatin mensuelle de l équipe et la participatin à ceux-ci est actée dans le prjet individuel des usagers, s ils snt nécessaires à leur accmpagnement vers l insertin. Page13

15 EMPLOI Objectifs Permettre un accmpagnement vers l empli plus efficace par la stimulatin du grupe d actins cllectives Permettre le dévelppement du lien scial Travailler à l autnmie du sujet face à la questin de l empli u de la frmatin Permettre la mutualisatin du savir par la dynamique de grupe Indicateurs Nature des actins : Travail sur la rédactin du CV et de la lettre de mtivatin. Recherche d ffre d empli sur internet. Simulatin d entretien d embauche. Orientatin sur les frums Nmbre d actins cllectives : 12 (dnt 1 annulée pur des raisns institutinnelles et 1 annulée car il n y avait pas de persnnes présentes). Nmbre de persnnes inscrites : 41 Nmbre de persnnes présentes : 27 Nmbre de persnnes excusées : 11 Nmbre de persnnes nn-excusées : 3 Analyse glbale La fréquence sur les ateliers empli varie en fnctin des pérides de l année et des priri tés des usagers. La salle de cnvivialité de la Maisn Relais est un lieu très agréable, qui dispse du matériel nécessaire pur cet atelier. Les ateliers empli permettent aux résidants de cmmencer les démarches de recherches d empli avant qu ils sient suivis par le Pôle Empli u la Missin Lcale. Pur les persnnes qui n nt pas de démarches prfessinnelles à faire, elles peuvent apprendre à se servir d un rdinateur pendant ces temps-là. Page14

16 LOISIR- CULTURE- DECOUVERTE DE L ENVIRONNEMENT Objectifs Permettre un accmpagnement vers le lisir et la culture, faire décuvrir l envirnnement, renfrcer la fnctin parentale Valriser les savirs faire et l expressin artistique Permettre le dévelppement du lien scial Indicateurs Nature des actins : Jardinage, Randnnée : 10 Srties estivales + Srties culturelles : 6 Safed-débat : 2 Esthétique : 2 Art-thérapie + Lisirs créatifs + Ecriture : 14 Nmbre d actins cllectives : 34 (dnt 2 annulées à cause de la mété et 2 annulées car trp peu de persnnes présentes). Nmbre de persnnes inscrites : 270 Nmbre de persnnes présentes : 220 Nmbre de persnnes excusées : 32 Analyse glbale Jardin, Randnnée : La mété n a pas permis l accès au jardin autant qu n l aurait suhaité. Nus avns pu y aller pur ramasser les légumes de temps en temps. Les résidants n nt pas pu se saisir de ce lieu par rapprt aux années précédentes. Srties estivales, srties culturelles : Les résidants snt très en demande pur ce genre d activités. Ces temps snt imprtants pur les familles hébergées, car elles n nt pas la pssibilité de se déplacer facilement. Safed-débat : CF Bilan d activité Maisn Relais. Esthétique : Les activités esthétiques nt très bien fnctinné. Les résidants nt participé au maquillage et aux sins prpsés. Les échanges nt été nmbreux. Des cnseils nt été partagé en ce qui cncerne les sins mais aussi les enfants, car deux d entre elles venaient d être maman pur la première fis. Art-thérapie + lisirs créatifs + Ecriture : Ces différents ateliers nt permis aux résidants de décuvrir des activités qu ils ne cnnaissaient pas. L interventin de l art-thérapeute a été très appréciée. Les usagers suhaitent que ces activités se renuvellent aux prchaines vacances d été. Ces activités favrisent les échanges entre les résidants et au sein des familles. Page15

17 CUISINE & DIETETIQUE Objectifs Valriser les savirs faire et les cultures par la cnfectin de repas en cmmun Permettre le dévelppement du lien scial Indicateurs Nature des actins : Préparatin des repas pur le réveilln de Nël Cuisine avec la Banque alimentaire Barbecues Nmbre d actins cllectives : 11 Nmbre de participants : Nmbre de persnnes inscrites : 160 Nmbre de persnnes présentes : 138 Nmbre de persnnes excusées : 21 Nmbre de persnnes nn-excusées : 15 Analyse glbale Les ateliers avec la banque alimentaire : les résidants divent cmpser un repas avec les prduits mis à dispsitin par la BA. Ce principe est intéressant pur les résidants qui n nt pas l habitude de cuisiner avec ce qu ils nt u de cuisiner tut curt. Cependant, la ntin de budget ne peut pas être abrdée, car les prduits snt gratuits et ne crrespndent pas vraiment aux prduits de base (ex : ananas, ). Cette ntin dit, dnc être travaillée en dehrs de ces ateliers. Les repas rganisés autur des fêtes de fin d année nt été mis en place pur que les résidants sient enturés. En effet, c est une péride qui peut être surce d angisse pur des persnnes islées. Cependant, nus avns pu cnstater que la mbilisatin et la participatin étaient difficiles. Les barbecues snt tujurs très appréciés. Le jardin ffre un cadre favrable à un mment de détente. Page16

18 LOGEMENT Objectifs Permettre un accmpagnement vers le lgement plus efficace par la stimulatin du grupe d actins cllectives Permettre le dévelppement du lien scial Travailler à l autnmie du sujet face à la questin du lgement Permettre la mutualisatin du savir par la dynamique de grupe Indicateurs Nature des actins : Travail sur le budget dans une famille u pur une persnne seule. Interventin de la MAE pur expliquer les différents types d assurance (habitatin, RC, sclaire, aut, ). Interventin de la CAP pur sensibiliser les usagers au tri des déchets. Les démarches pur accéder à un lgement autnme. La tenue du lgement et écnmies d énergie. Nmbre d actins cllectives : 11 Nmbre de persnnes inscrites : 73 Nmbre de persnnes présentes : 53 Nmbre de persnnes excusées : 10 Nmbre de persnnes nn-excusées : 10 Analyse glbale Les ateliers lgement se passent très bien. Les résidants snt intéressés dans la mesure ù cela les cncerne directement. Le manque de cnnaissances de certains résidants fait ressrtir le fait qu il faudrait mettre en place des ateliers lgement un peu plus spécifiques, afin qu ils cmprennent mieux les éléments liés au lgement : Les assurances Les dépenses énergétiques Le tri sélectif Le budget L entrée en lgement autnme Pur chaque thème, il est nécessaire de mettre en œuvre une plaquette que les résidants purrnt cnserver. Page17

19 PARENTALITE Objectifs Permettre une meilleure apprche de la fnctin parentale, la dédramatiser Permettre le dévelppement du lien scial Travailler au renfrcement du lien parental Permettre la mutualisatin du savir par la dynamique de grupe Indicateurs Nature des actins : Participatin à 2 gûter-spectacle Travail sur les cahiers de vacances + décuvertes culturelles : 8 Participatin à une chasse aux œufs Visite d une expsitin destinée aux enfants Participatin à des évènements rganisés par la Mairie de Périgueux Fabricatin d bjets de décratin. Nmbre d actins cllectives : 17 (dnt 1 annulé car trp peu de persnnes présentes). Nmbre de persnnes inscrites : 163 Nmbre de persnnes présentes : 123 Nmbre de persnnes excusées : 32 Nmbre de persnnes nn-excusées : 9 Analyse glbale Le travail sur les cahiers de vacances : grâce aux échanges entre les familles, nus avns pu intervenir et travailler la parentalité et la vie qutidienne. On a pu cnstater des besins et surtut des demandes de la part de ces familles. Un réel intérêt des familles pur cette activité qui est bien repérée pur tus les usagers. Les mêmes familles étaient présentes sur tut l été. Nus puvns cnstater que, dans certaines familles, les rôles peuvent être inversés, les enfants snt libres de faire ce qu ils veulent. Les mères de familles célibataires nus nt parfis exprimé leur détresse. Il faudrait, dnc, imaginer une nuvelle apprche pur parler d éducatin. La barrière de la langue u les lacunes sclaires des parents créent un frein pur l aide aux devirs des enfants. En effet, certaines familles ne peuvent pas suivre le travail sclaire de leurs enfants dans la mesure ù ils ne savent pas lire. Les enfants snt dnc livrés à eux-mêmes. Page18

20 JURIDIQUE Objectifs Infrmer Renseigner Orienter Indicateurs Nature des actins : Drits et devirs des lcataires Les différents types d unin (mariage, PACS, ) L autrité parentale Législatin au travail Les risques des réseaux sciaux 2 ateliers sur la cityenneté Nmbre d actins cllectives : 10 dnt une annulée pur des raisns institutinnelles et 2 annulées car il n y avait pas assez de persnnes présentes. Nmbre de participants : Nmbre de persnnes cnvquées : 46 Nmbre de persnnes présentes : 30 Nmbre de persnnes excusées : 7 Nmbre de persnnes nn-excusées : 10 Analyse glbale Les résidants suhaitent une dcumentatin permettant de garder une trace de ce qui a été dit. Par ailleurs, snt sulignés la richesse des échanges et le dynamisme de l intervenante d inf-drit. Les ateliers cllectifs permettent aux persnnes un peu réticentes d avir un premier cntact avec la juriste qu ils purrnt rencntrer plus tard sur les permanences. Les permanences juridiques qui avaient lieu l après-midi à la suite des ateliers n nt pas été très utilisées. Il était difficile de prévir les besins des résidants. Page19

21 SANTE Objectifs Permettre une meilleure apprche de la santé Permettre le dévelppement du lien scial Permettre la mutualisatin du savir par la dynamique de grupe Indicateurs Nature des actins : Jeu sur l équilibre alimentaire Accmpagnement aux curses pur apprendre à bien s alimenter en respectant le budget de la famille. Curs de Yga avec l aide d une intervenante Nmbre d actins cllectives : 4 (dnt 1 annulé parce qu il n y avait pas assez de persnnes présentes). Nmbre de persnnes inscrites : 23 Nmbre de persnnes présentes : 11 Nmbre de persnnes excusées : 9 Nmbre de persnnes nn-excusées : 2 Analyse glbale L atelier Yga n a pas fnctinné, les résidants n étant pas nmbreux à vulir venir. De plus, les usagers présents n nt pas suhaité revenir. Cette activité demandait un travail physique trp imprtant pur des persnnes qui ne snt pas à l aise avec leur crps. Les ateliers «santé» liés à l alimentatin nt bien fnctinné. Ce sujet cncerne tut le mnde, même les enfants, qui (si les parents le suhaitent) purraient participer. De nmbreuses mères vulaient des cnseils sur l alimentatin des enfants. Les autres thèmes liés à la santé n nt pas été abrdés cette année, par manque de temps. Mais il serait intéressant de refaire un atelier «santé» généraliste en 2015 ù les thèmes cmme le smmeil, la sexualité, l hygiène, les addictins, purrnt être discutés. Nus puvns remarquer que l alimentatin est un sujet facile à abrder avec les usagers, c est purqui il serait judicieux de se servir de ce thème cmme prte d entrée pur abrder le sprt, l hygiène u autres. En 2015, nus allns mettre en place des ateliers sur la nutritin et l estime de si. Ce prjet se fera en partenariat avec la Maisn Relais. Page20

22 Renfrcement de la prfessinnalisatin Outre la supervisin et l analyse des pratiques, tus les mis, les salariés du CHRS nt suivi des frmatins : préventin du suicide psychpathlgies vieillissement des ppulatins Démarche qualité et évaluatin Le CHRS à l instar des autres structures est dans une démarche d améliratin cntinue. Le service a bénéficié en mai 2014 d un d audit crisé et en décembre 2014 d un audit de certificatin. Tut au lng de l année, l équipe questinne les prcédures avec la Chargée de qualité. III PERSPECTIVES 2015 Le prjet d établissement cuvre la péride 2010 à A partir de l évaluatin des actins menées et de l analyse des évlutins du public, le CHRS devra revisiter et réécrire sn prjet 2015/2019. Page21

23 PÔLE URGENCE Dans le cadre de ses missins relatives à l urgence sciale, le SAFED assure la gestin du numér d urgence pur les sans abris, le 115, en cllabratin avec l Assciatin de Sutien de la Drdgne (ASD), ainsi que l accueil et l accmpagnement de persnnes en difficulté, lgées dans l un des cinq studis réservés à l hébergement d urgence. L accueil d urgence dispse de 5 lgements, auxquels s ajute la chambre des veilleurs, qui est mise à dispsitin en péride hivernale lrs du passage éventuel en plan grand frid. Tris lgements snt réservés exclusivement à des femmes victimes de vilences, avec u sans enfants. Les deux autres lgements snt qualifiés de studis «tut public», sur lesquels nus accueillns aussi des femmes victimes, mais également tute persnne qui se retruve sans slutin d hébergement, et cntacte le 115 pur une mise à l abri. En 2014, 80 persnnes nt été accueillies sur les 5 studis, dnt 25 enfants. Sur ces 80 persnnes, 75% snt des femmes et enfants victimes de vilences. L activité téléphnique du 115 a encre «explsé» en 2014, avec un accrissement de 49% du nmbre d appels par rapprt à l année précédente (4665 appels en 2013, et 6963 en 2014). Dans le même temps, tute l équipe du 115 (2 écutants, 2 veilleurs, 4 remplaçants, 1 secrétaire, 1 référent) s est attachée à se perfectinner dans le maniement du lgiciel PrGdis, qui est, entre autre, la base de dnnées départementale des persnnes faisant appel au 115. Le SAFED a renuvelé sa participatin aux turnées estivales et hivernales du SAMU Scial (Maraudes), ainsi que sa participatin à l Accueil De Jur (ADJ), et s inscrit dnc pleinement dans le dispsitif de veille scial. I. L ACTIVITE 115 Le SAFED assure plus de 84% du temps annuel d écute sur le 115, qui est dispnible 24h/24, 365 j/an. Cette présence représente envirn 60% de l activité glbale du 115. Page22

24 L une des particularités du SAFED est ntamment d intervenir sur des plages hraires difficiles, lrsque les services sciaux snt fermés, que les bus ne rulent plus, que les cllègues de travail snt tus rentrés chez eux, autrement-dit à des mments ù l écutant/veilleur ne peut s en remettre qu à lui-même, u presque. Une autre particularité du SAFED, liée à ses hraires d interventin et au vlume de sn activité, est le nmbre très imprtant d intervenants puisque ce snt pas mins de 15 persnnes qui snt amenées à intervenir sur le 115, à des degrés divers. En 2014, l équipe 115 du SAFED a traité 6963 appels directs, à cmparer aux 4665 appels de 2013, et 3149 appels de 2012, sit une augmentatin de 49% entre 2013 et 2014, et 121% entre 2012 et 2014! En règle générale, l appel d un usager en demande d hébergement dnne lieu à un, deux, tris, u quatre appels cnnexes, qui ne snt pas cmptabilisés. L appel d une persnne (particulier, intervenant scial, service public...) sur la ligne 115 dnnant lieu à une répnse de ntre part est un appel direct, par ppsitin aux appels cnnexes et appels plluants. Les appels dits «plluants», autrement-dit les erreurs de numér u les «blagues», snt cmptabilisés au niveau départemental ; Leur nmbre varie entre 1500 et 2000 appels annuels pur le SAFED seul. En 2014, le 115 Drdgne a réceptinné 977 demandes prvenant de femmes victimes de vilences (673 en 2013), sit une augmentatin de 45%. Ce chiffre crrespnd à 318 femmes (237 en 2013), sit une augmentatin de 34%. Les réunins de tute l équipe 115 permettent de cnslider la chésin du grupe, de faire circuler l infrmatin, de redéfinir clairement les mdalités de ntre travail, mais aussi d exprimer les difficultés que chacun est amené à rencntrer. La missin de l écutant est parfis cmpliquée, et surce de stress lrsque l n se retruve seul, en sirée u la nuit, pur gérer des situatins difficiles et cmplexes. D ù la nécessité de prévir des instances d échanges et de cmmunicatin, mais aussi de s inscrire dans une démarche de prfessinnalisatin du persnnel, via la frmatin. II. L ACCUEIL D URGENCE En 2014, le SAFED a hébergé 55 adultes (75 en 2013) et 25 enfants (22 en 2013), dans les 5 studis d urgence du 8 Curs Féneln, sit 80 persnnes au ttal, cntre 97 en Page23

25 La baisse du nmbre d accueil en 2014 par rapprt à 2013 s explique en partie par le fait que la chambre veilleur mise à dispsitin par grand frid n a pas été autant réquisitinnée, du fait d un hiver plus clément. Sur cet effectif, nus avns accueillis 35 femmes victimes de vilences (33 en 2013), accmpagnées de 25 enfants, sit 75% des persnnes hébergées. La prise en charge des femmes victimes de vilences a prfndément changé ntre manière d appréhender et de mettre en œuvre l accueil et l accmpagnement des persnnes hébergées en urgence. Tut d abrd en termes de durée d accueil. Accueillir une Femme victime c est aussi s engager à accmpagner la persnne jusqu à ce qu une slutin acceptable sit truvée. La vulnérabilité d une femme victime de vilences, qui quitte tut pur se mettre à l abri et prtéger la vie de ses enfants ainsi que sa prpre vie, justifie seln nus le fait de pratiquer ce que l n appelle la cntinuité de l accueil, autrement-dit n ne met fin à l hébergement que lrsqu une slutin d hébergement plus durable a été truvée. La durée myenne d accueil s est dnc allngée de manière significative. Nus smmes passés d un accueil fficiel de 7 jurs à un accueil de 21 jurs, sachant que ce délai, beaucup trp curt, n est pas tenu dans les faits. En 2014, sur les 55 adultes accueillis, nus cmptabilisns 23 séjurs de plus de 30 jurs, 9 de plus de 60 jurs, et 3 de plus de 90 jurs. Ce snt autant de lgements blqués durant plusieurs mis, mais aussi autant de srties «psitives», dnc des srties vers du mieux, des srties chisies, même si certaines femmes nt chisi de quitter le SAFED pur returner au dmicile cnjugal (14% des femmes accueillies). Cncernant l accueil d urgence, nus cnstatns cette année encre un nmbre imprtant de situatins incluant une prblématique avérée d rdre psychiatrique. Nus chiffrns la prprtin à 30% des accueils réalisés en 2014 sur l hébergement d urgence. C est une cnstante depuis plusieurs années. Page24

26 Les situatins snt nmbreuses et les pathlgies de plus en plus lurdes. Cet état de fait qui nus cnfrnte aux limites du système de sins psychiatriques en France, participe bien sûr à l augmentatin de la durée myenne de l accueil, à frtiri lrsque la pathlgie mentale tuche une femme victime de vilences. Les difficultés que nus rencntrns avec ce type d accmpagnement démntrent la nécessité de travailler en réseau, et d œuvrer au dévelppement de ce réseau. Nus puvns nter, par exemple, le travail partenarial qui s est mis en place avec l Équipe Mbile Précarité et Psychiatrie (EMPP), qui a vu le jur en 2012 à Périgueux, ainsi qu avec la Permanence d Accès aux Sins de Santé (PASS) de l hôpital. Le SAFED est de mieux en mieux identifié cmme étant l acteur central lrsqu il est questin des vilences faites aux femmes en Drdgne. Ainsi, si l accueil d urgence se fait essentiellement via le 115, il arrive de plus en plus fréquemment que des partenaires et autres institutins nus cntactent directement au CHRS afin de slliciter un accueil en urgence u un rendez-vus pur évaluer la situatin d une femme victime de vilences. Certains accueils snt planifiés et réalisés avec l Ilt Femmes, qui interpelle directement le Service d Urgence du SAFED lrsqu une prise en charge rapide dit être prpsée. III. A PROPOS DES FEMMES VICTIMES ACCUEILLIES AU SAFED EN 2014 : Cncernant les vilences faites aux femmes, certains cnstats snt maintenant psés de manière précise : Les vilences nt un cût pur la sciété estimé à 2,5 milliards d eurs. Les tentatives de suicide snt 5 fis plus élevées chez les femmes victimes. La cnsmmatin de psychtrpes est multipliée par 5. L espérance de vie est diminuée de 1 à 4 ans. La préventin des vilences est une pririté de santé publique, cmpte-tenu des lurdes cnséquences sanitaires, psychlgiques, écnmiques et sciales qu elles engendrent. La vlnté inscrite dans le 4ème plan interministériel est ntamment de mderniser la prise en charge, en l adaptant aux cnnaissances cntempraines du phénmène des vilences, et de leurs cnséquences sur la santé. Page25

27 Ainsi, si l apprche des vilences est aujurd hui essentiellement répressive et judiciaire (la plainte est l élément central du parcurs, l imprtance des jurs d ITT, réquisitin du juge bligatire pur mbiliser l unité médic-judiciaire, etc...), le plan déplace le curseur et prpse de mieux impliquer et respnsabiliser les prfessinnels de santé, de même que les acteurs de l accmpagnement scial. L idée est de détecter les vilences de manière plus précce, de faciliter et crdnner la prise en charge, sans ruptures, et surtut que celle-ci s rganise de manière pluridisciplinaire. Caractéristiques des femmes victimes de vilences accueillies au SAFED en 2014 (78% des accueils), nus ntns les éléments suivants : 43% snt sans ressurces à leur arrivée (45% en 2013) 27% snt bénéficiaires du RSA (21% en 2013) 14% snt bénéficiaires de l AAH (15% en 2013) 2% snt bénéficiaires de l ASS (0% en 2013) Au ttal, ce snt dnc 43% qui snt bénéficiaires de minimas sciaux (36% en 2013) 14% nt un salaire (18% en 2013) Lgiquement, les femmes sans ressurces à leur arrivée au SAFED snt sit des femmes de natinalité étrangère qui n nt pas accès à l aide sciale, sit des jeunes femmes qui ne peuvent prétendre ni au RSA, ni au chômage. Pur 65% des femmes accueillies il s agit d un premier hébergement en structure, et presque tujurs d un premier départ du dmicile (certaines femmes ayant déjà tenté de quitter le dmicile en se réfugiant chez des amis, cnnaissances, famille). Pur les autres femmes (35%), elles nt déjà transité par l hébergement d urgence, et certaines nt déjà séjurné au SAFED. Nus savns que plusieurs tentatives d élignement snt parfis nécessaires avant le vrai départ et la rupture définitive avec le cnjint vilent. 62% des femmes accueillies en 2014 snt de natinalité Française (70% en 2013). Cncernant les srties du dispsitif, elles se répartissent cmme suit : 32% nt été accueillis en CHRS 18% snt returnés au dmicile cnjugal 15% nt été rientés vers une structure d accueil d urgence 12% nt accédés à un lgement autnme 12% snt partis chez des tiers 11% snt partis vers un lieu incnnu Page26

28 Le frt accrissement de ntre activité va aussi de pair avec un climat scial tendu, et dans les plus grandes villes il est maintenant curant que des familles restent à la rue. La Drdgne est encre préservée, pas un enfant n a passé la mindre nuit dehrs chez nus, mais la situatin évlue rapidement. De plus en plus de persnnes/familles débutées du drit d asile fnt appel au 115 ; Une immigratin plutôt écnmique arrive jusqu en Drdgne, alrs qu elle cncerne traditinnellement les grandes agglmératins ; Des «Eurpéens inactifs» (c est la dénminatin utilisée par la CAF) snt aussi de plus en plus nmbreux à arriver dans ntre département, sans cmpter certaines filières d immigratin qui nt désrmais la Drdgne cmme destinatin ptentielle. Ce climat plus tendu se ressent bien évidemment dans ntre qutidien prfessinnel. Il peut être questin de la difficulté d avir à répndre négativement à une persnne qui nus sllicite pur une mise à l abri, u bien faire face à des parles blessantes, agressives... Pur l année 2015, nus suhaitns bien entendu préserver la qualité des cnditins d accueil au SAFED, mais aussi pursuivre ns effrts de frmatin et de spécialisatin, ntamment en ce qui cncerne la prblématique des vilences cnjugales. Page27

29 LE BAIL GLISSANT I. PREAMBULE Seln les recmmandatins de la FNARS, le bail glissant a pur bjectif de «favriser l accès au lgement de persnnes en vie d insertin», en accrdant à l ccupant du lgement le statut de suslcataire pendant une péride transitire avant de devenir lcataire en titre. Le terme «bail glissant» ne fait partie d aucune définitin règlementaire, il s agit d un terme issu de la pratique mais ce dispsitif nécessite tutefis un partenariat structuré entre le bailleur, l assciatin et le sus-lcataire. L assciatin SAFED dispse de 3 mesures «bail glissant». Nus travaillns en lien avec l Office public d HLM Périgueux Habitat pur la mise en œuvre des de ces mesures. II. LE BAIL GLISSANT, UNE INSERTION EN DEUX ETAPES Après l rientatin par un travailleur scial du SAFED d un ménage sur le bail glissant, un cntrat de lcatin est signé entre Périgueux Habitat et l assciatin SAFED. Dans un même temps, le SAFED fait signer au ménage un cntrat de sus-lcatin avec bjectif de glissement de bail. Une cnventin tri partite entre le bailleur scial, l assciatin SAFED et le ménage dit être mise en place afin de préciser les engagements réciprques des 3 parties pur cntribuer au glissement du bail. Le cntrat de sus-lcatin prend effet à la signature du bail et dure 6 mis. Il cmprend deux axes : prpser au ménage un accès à un lgement qui a vcatin à devenir le sien au terme du cntrat de sus lcatin et bénéficier d un accmpagnement scial rassurer le bailleur scial puisque le SAFED se prte garant des bligatins lcatives. Durant les 6 mis d accmpagnement scial, le travail d insertin réalisé en amnt lrs de l hébergement à la Maisn Relais u au CHRS, en cllectif u en individuel est mis en applicatin. Le sus-lcataire, accmpagné par le référent rempli les bligatins lcatives classiques (paiement régulier du lyer, suscriptin une assurance habitatin, uverture de l accès aux énergies, absences de trubles de visinage.). Le diagnstic scial remis à l accmpagnant, lui permet d adapter un prjet persnnalisé avec le ménage pur travailler à la réalisatin des bjectifs d insertin et faire glisser le bail. Page28

30 Ce dispsitif cnstitue dnc une phase transitire à un accès direct au lgement. Lrsque l accmpagnement arrive à sn terme et que les bjectifs d insertin snt atteints, le glissement peut s effectuer. Le sus-lcataire prcède alrs à une demande de lgement auprès du bailleur scial afin de vérifier l éligibilité de ce dernier appuyé par un bilan réalisé par le référent bail glissant. Le dssier passe ensuite en CAL dans les meilleurs délais. La cmmissin étudie le dssier et présente une répnse au sus-lcataire et au SAFED. L acceptatin est cnfirmée par la signature d un nuveau bail entre le sus-lcataire qui devient lcataire de plein titre et le bailleur scial. Un état des lieux est alrs réalisé pur décharger le lcataire de ses bligatins avec le SAFED. La CAL peut également statuer sur un refus mais dit le justifier. Si tute fis les bjectifs ne snt pas atteints plusieurs ptins snt pssibles : une prlngatin du cntrat de lcatin sus-lcatin, demande qui dit être adressée au Cnseil Général. La délivrance d un cngé par le SAFED au sus-lcataire en prpsant le cas échéant un relgement crrespndant à ces besins (pertes de revenus ), au bailleur scial pur se libérer des bligatins qui ne snt pas assumé par le sus-lcataire. III. LE BILAN ANNUEL DES BAUX GLISSANTS 2014 Durant l année 2014, l Assciatin SAFED a mis en place 3 baux glissants : Une famille cmpsée d une femme et sn petit-fils. Une demande de bail glissant avait été frmulée en Juin 2014, mais la prblématique sciale de madame n avait pas permis d aller au but de cette démarche. Un travail de revalrisatin a alrs été entamé par la Maisn Relais ce qui a permis à cette famille d accéder à un lgement T3 par le biais de Périgueux Habitat le 1er ctbre L accmpagnement est tujurs en curs jusqu au 1er avril Une dame enceinte de jumeaux qui a dispsé un lgement T4 attribué par Périgueux Habitat au 15 janvier Les démarches ayant été réalisées durant la fin d année 2014, ce bail glissant cnstitue la deuxième mesure de l année bien qu il n ait cmmencé que le 15 janvier L accmpagnement est tujurs en curs jusqu au 15 juillet Le dernier accmpagnement a été validé par le Cnseil Général pur 2014 mais nus smmes tujurs en attente d une attributin d un lgement par Périgueux Habitat. Il cncerne une femme et sa fille. Cette famille a refusé deux lgements prpsés par Périgueux habitat pur des raisns de santé. Nus avns alrs refait un pint avec Périgueux Habitat mais les seuls lgements dispnibles snt en travaux et nus smmes tujurs en attente d une attributin. Page29

31 Mesure nn abutie pur l année 2014 : Une femme seule sus tutelle devait être rientée sur le dispsitif bail glissant mais de nuveaux éléments financiers nt retardé la mise en place de cette mesure. En effet, la persnne a dépsé un dssier de surendettement ce qui ne lui permet pas aujurd hui de bénéficier de finances nécessaires pur s apprprier un lgement dans de bnnes cnditins. Cette infrmatin nus est apparue alrs que nus avins entamé les démarches auprès de l ffice HLM et du Cnseil Général. Un entretien est prévu avec sa tutrice pur redéfinir le prjet d insertin de madame pur le premier semestre Sur l année 2014, 7 persnnes nt été accmpagnées dans le dispsitif bail glissant. 1 persnne supplémentaire a été accmpagnée mais la demande n a pu abutir. La plupart de ces familles snt bénéficiaires de prestatins CAF et/u minima sciaux. Les mesures ayant été mises en place en fin d année il est difficile d avir du recul pur les analyser. La famille entrée en ctbre s est apprpriée le lgement et l accmpagnement scial lui permet de prendre cnfiance en elle et effectuer les démarches administratives qui lui psaient prblème auparavant. Elle n a fait remnter aucun prblème de visinage. Page30

32 MAISON RELAIS FENELON La Maisn Relais Féneln prpse 24 lgements indépendants : 16 T1, 5 T1 pur des cuples et 3 T2 pur de petites familles. Elle est d une capacité de 34 places. Ces lgements snt meublés et équipé. Ils uvrent drit à l APL versée directement à l assciatin SAFED. La redevance mensuelle cmprend le lyer et les charges (seuls l assurance respnsabilité civile, l abnnement d électricité et la cnsmmatin snt à la charge du résidant). I. L EVOLUTION DE L ACTIVITE Les demandeurs Les demandes de lgement snt en diminutin, largement impactées par l actin du SIAO qui précnise les rientatins mieux adaptées. Vingt persnnes nt effectué une demande u nt été rientées. La ppulatin en demande est essentiellement masculine et islée. P R O F I L D E S D E M A N D E U R S 15% Femme Hmme 85% 20% S I T U A T I O N F A M I L I A L E D E S D E M A N D E U R S 5% 75% Célibataire Divrcé Veuf L âge des demandeurs évlue alrs que la tranche des 26/ 45 ans représentait 54 % en 2013, cette tranche passe à 75 %, traduisant la précarité u la désaffiliatin d une ppulatin plus jeune, en âge de travailler. La tranche d âge des plus de 56 ans quant à elle passe de 12 % à 5 %, cnfirmant la tendance lurde. La tranche des 18/25 ans reste stable. Page31

33 A G E D E S D E M A N D E U R S 5% 5% 15% de 18 à 25 ans de 26 à 35 ans de 36 à 45 ans 35% de 46 à 55 ans 40% de 56 à 65 ans La ppulatin des demandeurs est bénéficiaire de minimas sciaux, seuls 5 % snt en curs de frmatin. 70 % n nt pur seules ressurces que l AAH u le RSA, le taux est sensiblement cnstant avec celui de % perçivent l ASSEDIC. Ils étaient 13 % l an passé. Le dispsitif largement recnnu et sllicité par les partenaires assciatifs, était aussi, jusqu à 2013 sllicité par vie directe par les usagers en recherche de lgement. Aujurd hui, cette démarche est peu curante. Demandeurs et assciatins snt redirigés vers le SIAO. R E F E R E N T D E S D E M A N D E U R S 15% Assciatin 5% Fyer Lakanal 5% 20% 45% Pas renseigné SAFED CHRS SAFED Tutelles 10% SIAO Les demandeurs snt essentiellement basés sur Périgueux (65 %), 5 % des demandes prviennent de l extérieur du département. L bjet de la demande de relgement en Maisn relais est essentiellement le défaut de lgement u la déchabitatin. Par cntre, il est à nter une baisse des demandes prvenant d un établissement spécialisé (CHRS, Maisn d arrêt, hôpital) qui s élevaient à 41 % en Page32

34 O B J E T P R I N C I P A L D E L A D E M A N D E Fin accmpagnement 5% 5% 10% 5% 30% Hébergement ami Pas de lgement Pas renseigné 35% 10% SAFED CHRS SDF Srtie hspitalisatin Les résidants Mis Janv Fév Mars Avril Mai Juin Juill. Aût Sept. Oct. Nv. Déc. Ttal Entrées Nuitées ménages représentants 35 persnnes nt été lgés à la Maisn Relais en Nus enregistrns une prgressin du nmbre de nuitées de 4,15% par rapprt à Le taux d ccupatin myen est de 76 %. Il est en prgressin mais est tributaire de l islement des usagers qui ccupent des T2 malgré la cmpsitin familiale. Sur l année 2014, nus avns eu pur 432,86 de nn lué sur l ensemble des lgements sit un mis de vacance sur l ensemble de la résidence. P R O F I L D E S R E S I D A N T S S I T U A T I O N D E S R E S I D A N T S 68% 9% 23% 3% 11% Enfant Femme 17% Hmme 69% célibataire divrcé mariée séparé Le prfil des résidants reste majritairement masculin et islé. La part des célibataires est plus élevée qu en 2013 ù n ntait 57 % de persnnes célibataires. Page33

35 A G E D E S R E S I D A N T S 3% 9% 14% 14% 20% 26% 14% de 0 à 17 ans de 18 à 25 ans de 26 à 35 ans de 36 à 45 ans de 46 à 55 ans de 56 à 65 ans + de 66 ans Un tranche se démarque précisément : 26 % des résidants nt entre 26 et 35 ans, quiqu il en sit, les tendances snt tujurs sensiblement les mêmes que les années précédentes. Les résidants snt majritairement de Périgueux (68 %), seuls 9 % snt hrs département. 45% srtent d institutins u de structures d hébergement d urgence u inadaptées à la prblématique des persnnes. O B J E T D E L A D E M A N D E Hebergement famille, ami 26% 40% hébergement précaire Lgement insalubre 3% 3% SDF 28% Srtie établissement Au niveau sci prfessinnel, les chiffres de 2013 faisaient apparaitre une équité entre bénéficiaires de l AAH et bénéficiaires du RSA. En 2014, les usagers snt largement bénéficiaires du RSA. S I T U A T I O N S O C I O - P R O F E S S I O N N E L L E D E S R E S I D A N T S AAH 3% 8% 26% ASSEDIC Frmatin Pensin invalidité 6% Retraite RSA 48% 3% Sans ressurce 3% 3% Sclarisé Page34

36 R E F E R E N T S D E S R E S I D A N T S 3% 11% 20% Administratin Assciatin Famille, ami 9% 57% Services sciaux SIAO En 2014, le nuvel interlcuteur référent est le SIAO. Les référents accmpagnant les bénéficiaires avant leur entrée en maisn relais restent des interlcuteurs incnturnables. Les srties L année 2014 cmptabilise 8 srties. La durée myenne de prise en charge crrespnd à 490 jurs, sient 16 mis (deux mis de plus/2013). S I T U A T I O N S O C I A L E A L A S O R T I E ATA Décédé 25% 12% 12% Empli Frmatin AFPA 13% 12% Pas renseigné 13% 13% Retraite RSA L O G E M E N T A L A S O R T I E 13% 12% 12% Bail glissant Décédé Hébergement famille 38% 13% 12% Hébergement précaire Parc privé Retur famille 38 % des ménages qui nt quitté la Maisn Relais Féneln nt pu accéder à un lgement rdinaire sur Périgueux u la cmmunauté d agglmératin. 25 % des résidants srtants snt titulaires du RSA. 13% snt des persnnes retraitées. Il apparait que la Maisn relais est pur quelques usagers le lieu ù ils suhaitent s installer définitivement. Nus avns eu cmme chaque année à déplrer un décès. Page35

37 II. L EVOLUTION DE L ACTIVITE Gestin lcative Le mntant de la garantie de lyer est resté inchangé cette année. Il reste bien inférieur à l équivalent d un lyer pur un T1. Le mntant demandé en 2014 est de 200,00. Il y a eu cette année 589, 24 d impayés de redevance répartis sur 5 lgements Bilan des réparatins et travaux Rentrer dans un lgement équipé en bn état général, permet d anticiper le travail à mener autur de l apprpriatin du lgement. La crdinatin efficace de ces réparatins par l équipe lgistique encadrée par un uvrier hautement qualifié permet de réaliser les travaux suivants dans les délais impartis. 6 Kits kitchenettes nt été installés cette année 4 Appartements nt été entièrement repeints. Actins spécifiques santé Actin santé de la CRAMA (Caisse Réginale d Assurance Aquitaine) L interventin de deux assistantes sciales s est pursuivie en Les deux temps d interventin nt été maintenus : Un temps d apprche le matin : prise de cntact, aller au-devant du résidant quel que sit le lieu (hall d entrée, appartement, pallier L interventin ayant débuté il y a 8 ans, les assistantes sciales snt maintenant suvent attendues par les résidents, avertis par une affiche réalisée de manière attractive par l équipe éducative. Nmbre de séances : 14 Nmbre de participants : 121 Nmbre myen de participants rencntrés par matinée : 8 Ce temps de rencntre individuelle est indispensable, il permet d abrder avec chacun ses préccupatins du mment plus particulièrement la prise en charge de leur santé. Page36

38 Un mment et un espace d échange et de bien être l après-midi : en cmplémentarité, est tujurs prpsé à ce temps du matin, un mment et un espace d échange et de bien être l après-midi. Dans ce grupe, les assistantes sciales snt garantes du bn fnctinnement qui repse sur le respect mutuel, la circulatin de la parle de chacun, la nn cnsmmatin de prduits txiques. Les activités snt suvent envisagées au dernier mment en fnctin des envies du plus grand nmbre. Il est tutefis à cnstater un écart entre les envies exprimées le matin même et celles de l après-midi. Bilan santé CPAM La cnventin signée entre le SAFED et Centre d examen de santé permet un travail renfrcé vers la santé. Cette année encre : 12 persnnes inscrites 8 nt été en capacité de réaliser le «bilan santé» 4 nt estimé ne pas être encre prêtes pur cette démarche, surce de grande angisse. Effectuer un bilan de santé n est pas un acte andin pur un public fragilisé qui peut avir un vécu traumatisant du rapprt à la maladie u de ses cnséquences. Le sutien auprès de ce public est maintenu en parallèle à l accmpagnement de l équipe éducative cnsécutif au bilan de santé. Cette actin devrait être recnduite en 2015 pur permettre de s rienter pur certains vers une démarche de sins. Actin CAARUD (Centre d Accueil et d Accmpagnement à la Réductin des Risques des Usagers de Drgue). Cette interventin est pératinnelle depuis le mis de juin Les bjectifs définis snt les suivants : Créer du lien Préventin Réductin des risques Orientatin Un Lcal est mis à dispsitin par la Maisn Relais: la salle de cnvivialité. L infrmatin est relayée par vie d affichage dans le hall de la Maisn Relais. Les permanences snt tujurs assurées par la même infirmière pur ffrir un meilleur repérage auprès des résidants, faciliter une prise de cntact dans la cnfiance. Page37

39 La péridicité est mensuelle et la permanence se tient le vendredi de 14h à 16h. sur 2014, 11 permanences nt été assurées. Nmbre de persnnes rencntrées : 27 Nmbre d entretiens individuels : 3 Thèmes abrdés : Les thèmes snt abrdés lrs d une discussin et chisit par les participants présents. Chacun peut s exprimer, les représentatins snt abrdées. Utilisatin de supprt (ex : quizz sur les addictins) qui permet les échanges. Les thèmes abrdés snt les suivants : Tabac Alcl Cannabis Traitement de substitutin JHA (jeux de hasard et d argent) La dépendance Le bilan est psitif et la présence des résidants est un peu mins aléatire. Cette année, tris résidents nt suhaité bénéficier d entretien individuel. Le facteur temps est essentiel pur tisser les liens de cnfiance et favriser des rencntres individuelles pur un accmpagnement au plus près, décliné dans une relatin de travail persnnalisée. Actins pérennisées SAFEDEBAT Cette activité mutualisée avec le CHRS depuis deux ans est bien repérée par les résidents. Mutualisée avec le CHRS, cette activité favrise la prise de parle au sein d un grupe restreint. Les résidents snt invités à y participer par vie d affiches et invitatin persnnelles lrs des entretiens. Cette activité se dérule en sirée et les résidents snt cnviés à passer un mment ensemble pur échanger au curs d un débat «dinatire», sur le principe de la «table espagnle». Cet espace cnvivial pse les cnditins nécessaires et prpices à la circulatin de la parle entre résidants. Nmbre de manifestatin : 2 Nmbre de participants : 12 dnt 6 par ateliers Thèmes abrdés : Parentalité et relatins familiales, la vie en sciété Page38

40 Faites vs curses L atelier faites vs curses prpse aux résidents qui le suhaitent un accmpagnement dans les magasins discunt et les znes cmmerciales pur faire des achats de nurriture réfléchis, en lien avec les budgets de chacun. Péridicité : 12 (1fis par mis en général, après le 6 en raisn du versement des minima sciaux) Nmbre de participants : 36 dnt 3 par srties Cette activité est en lien avec l interventin des assistantes sciales de la CARSAT amenées à travailler avec les résidents autur des ntins de «l estime de si» du «prendre sin». Presse Café L actin hebdmadaire «Presse Café» se perpétue depuis Un lieu d échanges institutinnalisé attendu, réunissant les usagers de la maisn Relais autur d un café pur créer u recréer du lien scial. Pur échanger, discuter autur de divers thèmes prpsés par les résidents, cnsulter la presse lcale, quelques magazines. C est un temps cityen, ù l n peut abrder cllégialement le fnctinnement de la Maisn Relais, prpser des aménagements, des suggestins d activités pur amélirer le «vivre ensemble» au sein de la structure, créer du lien scial. Le Presse Café est animé tus les lundis et jeudis matin de 9h à 11h par l accmpagnatrice sciale, réunissant en myenne 7 résidants et/u anciens résidants. Cette année, divers thèmes nt été abrdés par les résidents : Les électins municipales, (cnseillers cmmunautaires, les eurpéennes (représentants Parlement Eurpéen), sénatriales. La gestin du budget, les relatins avec les banques, démarches administratives La santé mentale suite à des prblèmes de cmprtement de certains résidents L hygiène, la tenue du lgement La maladie, la mrt (suite au décès d un résident) La sclarité. L échec sclaire Remplacement des persnnels éducatifs Les srties rganisées (Mer...) L actualité Atelier jardin Page39

41 Actins spécifiques réalisées en 2014 Réflexin et créatin d un espace multiple d expressin et de créatin Cet espace vise à la réhabilitatin du lien scial et à la revalrisatin individuelle. Les résidants snt glbalement en déficit relatinnel avec l extérieur et au sein même de la résidence. Pur la majrité des persnnes accueillies, le seul lien peut se résumer à celui entretenu avec l équipe éducative. A partir de ce cnstat, le prjet de mise en place d ateliers dans un espace extramurs permettra de travailler sur les dmaines suivants : A dévelpper la capacité à prendre sin de si A établir des relatins durables A se frmer et à assurer une activité A se maintenir dans un lgement L équipe éducative a répndu à un appel à prjet FILE qui a permis la réhabilitatin du lcal de Champcevinel. Cet espace à vcatin à devenir un lieu de rembilisatin pur les résidents en ffrant différents espaces : cuisine, cnvivialité, petit briclage, expressin artistique. Les résidants se snt assciés à sn aménagement. Nmbre d ateliers sur site : 24 Nmbre de persnnes mbilisées : 72 dnt en myenne 3 persnnes par atelier Mutualisatin Les veilleurs du CHRS prennent en charge la sécurité de la structure de 17h à 8h. Ils assurent la permanence téléphnique auprès des résidants, effectuent une rnde dans les étages tutes les nuits entre 22h30 et 00h00. Les équipes éducatives du CHRS et de la Maisn Relais travaillent tute l année en cllabratin sur la mise en place de divers ateliers et srties. Un lien est fait sur les prises en charge des résidants. Travail éducatif et pédaggique mené avec le sutien de «Finances et Pédaggie» Face au cnstat de difficultés de gestin récurrentes pur les usagers liées tant au fait des minimas sciaux perçus qu à la cmplexité administrative, l atelier a été mis en place afin de : Page40

42 Cmprendre la nécessité d engager une réflexin cllective sur la gestin du budget. Changer sn regard sur la banque par l analyse des prduits que l n utilise vraiment et ceux dnt n est dté par le cmmercial bancaire. Cnnaitre la réglementatin en curs pur la prtectin et le suivi de chaque client (drits et devirs du banquier, drits et devirs de l usager). Nmbre d ateliers : 4 Nmbre de participants: 24 dnt 6 participants par atelier III. LES PERSPECTIVES POUR 2015 Cnsidérant que le prfil des ppulatins accueillies évlue, l équipe de la Maisn relais travaillera à l écriture de sn prjet d établissement. En effet, les persnnes accueillies présentent suvent des fragilités psychiques que nus retruvns dans les dmaines de la vie curante. Difficultés à habiter, image de si détérirée, manque de lien scial, islement familial, vieillissement prématuré, pli pathlgies, snt autant de facteurs qui sus-tendent la durée de séjur à la Maisn relais. La réflexin menée cllectivement vise à identifier les répnses puvant être apprtées et qui visent ntamment à répndre aux prblématiques suivantes : Cntribuer à restaurer pur les persnnes accueillies, l estime de si, suvent mise à mal en raisn d une disqualificatin de si-même. Lutter cntre l islement et la ntin d enfermement des persnnes en prpsant des activités ccupatinnelles de rembilisatin ù la créatin permettra de prmuvir les capacités et cmpétences des persnnes. Prendre en cmpte le vieillissement en Maisn relais. Inscrite dans la démarche d améliratin cntinue, certifiée Is 9001, la Maisn relais, à travers la mise à jur de sn prjet se dtera de nuvelles prcédures. Page41

43 MJPM Service Mandataires Judiciaires à la Prtectin des Majeurs D une part, sur désignatin du juge des tutelles (dans le cadre des rdnnances de changement de mandataire) u du tribunal d instance (dans le cadre des jugements prnnçant u renuvelant la nécessité d une mesure de prtectin juridique) le service MJPM du SAFED exerce des mesures de tutelle, curatelle, mandats spéciaux (prnncés dans le cadre de la sauvegarde de justice) prnncées au prfit de persnnes majeures vulnérables dnt la prtectin ne peut être assurée par un prche. D autre part, le service exerce des mandats dits ad hc prnncés par le juge des enfants dans le cadre d actins civiles u d actins pénales engagées dans l intérêt de mineurs lrsque ceux-ci ne peuvent bénéficier de la prtectin pleine et entière de leurs parents. L activité du service MJPM se situe dans la mise en œuvre de ces deux types de mandats judiciaires. Nus apprécierns le travail effectué cette année par le service à travers : l évlutin (I) et l évaluatin de l activité (II), les ressurces humaines (III) et le partenariat du service (IV) pur enfin envisager les perspectives pur l année 2015 (V). I. L EVOLUTION DE L ACTIVITE Le nmbre de mesures exercées au 31/12/2014 : 776 Ce nmbre se décmpse cmme suit : 750 mesures civiles (mandats spéciaux, curatelles et tutelles cnfndus) prnncées au prfit de persnnes majeures 26 mandats ad hc prnncés au prfit de persnnes mineures Vlume d activité en termes d accueil du public Les persnnes suivies au SAFED nt la pssibilité de nus cntacter sit en se rendant dans ns lcaux sit en nus appelant par téléphne. accueil physique : Les lcaux de Périgueux snt uverts au public tus les jurs. Deux assistantes dédiées à cette missin assurent le premier cntact avec les persnnes (majeurs prtégés, partenaires, familles ), répndent à leurs demandes u les rientent vers le prfessinnel du service plus à même d apprter une répnse : Page42

44 Les lundis, mardis, jeudis de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 Les mercredis de 9h00 à 12h00 Et les vendredis de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 16h00 Près de 300 persnnes snt accueillies chaque mis dans les lcaux de Périgueux. Il cnvient également d ajuter à cet accueil sur Périgueux des permanences physiques assurées le jeudi dans les lcaux du CCAS de SARLAT. Dans un suci de prximité avec le public suivi et au regard de l expérience cncluante sur la cmmune de SARLAT, d autres lieux d accueil sernt recherchés au curs de l année 2015 pur assurer des permanences hebdmadaires. accueil téléphnique : plus de 2850 appels snt réceptinnés par mis. La réceptin des appels téléphnique est assurée par deux assistantes d accueil qui, sit snt en mesure de traiter la demande, sit rientent la persnne vers le mandataire u l assistante référents. Ces types de rencntres avec les majeurs prtégés ne snt pas exclusifs puisque des visites régulières snt faites au dmicile des persnnes par les mandataires du service. Nmbre myen de suivis par mandataire judiciaire délégué à la prtectin des majeurs Au 31/12/2014 le nmbre myen de suivis assurés par mandataire est de 57,46. Ce nmbre était de 55,6 au 31/12/2013 et de 51,23 au 31/12/2012. Le nmbre de nuvelles mesures cnfiées au service au 31/12/2014 : 86 mesures civiles 8 mesures ad hc Depuis ctbre, la première rencntre avec le majeur prtégé est effectuée par les mandataires accmpagnés de l assistante avec laquelle il cllabre habituellement. Page43

45 Préalablement à l attributin du suivi de la mesure, une cnsultatin du dssier au tribunal est systématiquement faite avec recueil d infrmatins par le Chef de service. Ces nuvelles mdalités de fnctinnement fernt l bjet en début d année 2015 d un retur d expérience pur évaluer la pertinence et le caractère pérant de ce dispsitif. Le nmbre de fin de mesures au 31/12/2014 : 81 mesures civiles nt pris fin : En purcentage : C L Ô T U R E D E M E S U R E S Décès Dessaissement Mainlevée Caducité 14% 1% 21% 64% pur 1 d entre elles du fait de la caducité de la mesure, pur 54 d entre elles du fait du décès de la persnne (dnt 18 décès en décembre), En purcentage : 0% 9% 3% E N C A S D E D É C È S 88% Nmbre de Situatins u le Ntaire est Désigné par la Famille Nmbre de Situatins u le Ntaire est Désigné par le Prcureur de la République Nmbre de Situatins u la Famille fait le Chix de ne pas Désigner de Ntaire Page44

46 On cnstate que majritairement les héritiers désignent eux même un ntaire aux fins de règlement de la successin du majeur prtégé. pur 16 d entre elles du fait de ntre décharge au prfit d un autre mandataire u d un prche de la persnne, En purcentage : E N C A S D E D É C H A R G E A U P R O F I T D ' U N A U T R E M A N D A T A I R E O U M E M B R E D E L A F A M I L L E 24% 55% 16% 5% Nmbre de Décharges au Prfit d'un autre Mandataire Prfessinnel Nmbre de Décharges au Prfit d'un Membre de la Famille Nmbre de Décharges pur Cause de Déménagement Nmbre de Décharges pur tute autre Raisn (Difficultés dans le Dssier ) On cnstate une majrité de décharges au prfit d un autre mandataire extérieur à la famille, la raisn principale du changement de mandataire étant mtivée par un déménagement du majeur prtégé. pur 10 d entre elles du fait du prnncé de la mainlevée de la mesure. Il y a ainsi 11 % des mesures exercées qui prennent fin pur les raisns indiquées ci-dessus, purcentage cnstant par rapprt aux années 2012 et La prise en charge des dssiers dits «cls» (infrmatin auprès des institutins et partenaires, transmissin des dcuments administratifs et financiers seln les cas au majeur prtégé, à sa famille, au ntaire u à un nuveau «représentant légal») est assurée par une assistante du service (dans le délai de 45 jurs pur les décès, dans le délai de 15 jurs dans les autres cas). Page45

47 Prgressin de l activité par rapprt à l année 2013 : - 34,35 % pur les mesures civiles + 33 % pur les mesures ad hc Alrs que l activité avait prgressé entre 2012 et 2013 de 23,5 % pur les mesures civile et de 200 % pur les mesures ad hc. Cette évlutin peut s expliquer : pur les mesures civiles par l absence de désignatin du service pendant 6 mis par le TI de Périgueux, cnséquence directe de la caducité de 8 mesures de prtectin en 2013, pur les mesures ad hc par une prise en charge plus cmplète des situatins (frmatin d un mandataire dédié ) Typlgie des persnnes suivies au 31/12/2014 Répartitin par type de résidence : pur les mesures civiles 485 persnnes résident dans un lgement dit autnme sit près de 65 % des persnnes suivies. Et 265 persnnes résident en structures d hébergement pur persnnes âgées u handicapées sit un peu plus 35 % des persnnes suivies. pur les mesures ad hc 21 mineurs résident dans leur fyer familial sit plus de 80 % des persnnes suivies. Et 5 mineurs résident en établissement sit mins de 20 % des persnnes suivies. Répartitin par type de mesures prnncées : Sur le ttal des mesures exercées, 2,5 % snt des mandats spéciaux prnncés dans le cadre d une sauvegarde de justice (sit 20 mesures), 5 % snt des curatelles simples (sit 39 mesures), 2 % snt des curatelles simples aménagées (sit 17 mesures), 53,7 % snt des curatelles renfrcées aux biens et à la persnne (sit 417 mesures), 0,25 % snt des curatelles renfrcées aux biens (sit 2 mesures), 31,5 % snt des tutelles aux biens et à la persnne (sit 245 mesures), 0,75 % snt des tutelles aux biens (sit 6 mesures), 0,15 % snt des tutelles exercées cnjintement avec un autre tuteur (sit 1 mesure), 3,35 % snt des mesures ad hc (administratin légale sus cntrôle judiciaire, curateur ad hc u tutelle ad hc) prnncées au prfit de mineurs (sit 26 mesures). Page46

48 Une majrité (plus de 50 % des mesures cnfiées au service) est cnstituée de curatelles renfrcées aux biens et à la persnne. Ce qui crrespnd aux chiffres natinaux établis dans le cadre des enquêtes menées par le DGCS en 2011 (50,4 % des mesures prnncées et cnfiées aux mandataires extérieurs à la famille). On peut également déplrer assez peu de mesures aménagées ce qui va un peu à l encntre de la vlnté du législateur de persnnaliser le suivi au plus juste des besins et des capacités de la persnne prtégée. Répartitin par âge et par sexe : TRANCHE D AGE FEMME % HOMME % ans 3 0,8 1 0, , , , , , , , ,3 - - On cnstate que jusqu à l âge de la retraite une majrité d hmmes est sus mesure de prtectin alrs qu après 60 ans ce snt les femmes qui snt majritairement suivies par le service, les femmes étant sur le plan natinal et mndial plus nmbreuses à vivre plus lngtemps. Répartitin par situatin de famille : Nmbre de dssiers % célibataire ,93 Veuf (ve) ,4 Divrcé(e) ,13 Marié 63 8,4 Cncubinage 16 2,13 Séparé de fait 8 1,07 Séparé de crps 4 0,53 Instance de divrce 2 0,27 Pacsé 1 0,13 Page47

49 On remarque une majrité de persnnes vivants seules ce qui vient renfrcer le cnstat d islement des majeurs prtégés suivis par des mandataires extérieurs à la famille. Répartitin par niveau de ressurces: Dans le cadre des mesures prnncées au prfit de persnnes majeures, un peu plus de 50 % des majeurs prtégés perçit des revenus inférieurs au mntant de l AAH, un peu plus de 39 % des majeurs prtégés perçit des revenus dnt le mntant est cmpris entre le mntant de l AAH et le mntant du SMIC, et un peu plus de 9 % des majeurs prtégés perçit des revenus dnt le mntant est cmpris entre le mntant de l AAH et 1,2 à 4 fis le mntant du SMIC. Sur le plan patrimnial, nus n avns pas encre de dnnées chiffrées permettant de mesurer la répartitin par niveau de richesses mais au 31/12/2014 le mntant ttal des avirs financiers (r cntrats d assurancevie) détenus par l ensemble des majeurs prtégés suivis par le service était de près de 11 millins d eurs. De même, plus de 100 biens immbiliers snt actuellement détenus par les majeurs prtégés suivis par le service que ce sit en pleine prpriété, en indivisin u dans le cadre d un démembrement du drit de prpriété (usufruit nue-prpriété). Dans les cadres des mesures ad hc aucun mineur suivi ne perçit des revenus d activité u de prestatins sciales. Leurs revenus ne snt cnstitués que par les intérêts de leurs placements financiers. Aucun de ces mineurs n est prpriétaire de biens immbiliers sauf, le cas échéant, dans le cadre de successin en curs. Les révisins de mesures Le nmbre ttal de mesures révisées (à échéance du terme u avant le terme de la mesure prnncée) : 125 Les mesures renuvelées (mesure cnstante) : 51 Le nmbre de changements de mesure : 64 Les aggravatins de mesures : 56 Les allègements : 5 Les aménagements : 3 Le nmbre de mainlevées prnncées : 10 Page48

50 On cnstate, par rapprt au nmbre de révisin à mesures cnstantes un nmbre légèrement plus imprtant de mdificatins de la nature des mesures révisées et parmi elles une majrité d aggravatin de mesures. Il est difficile d en tirer des cnclusins mais le vieillissement de la ppulatin et dnc l aggravatin de l état de santé des persnnes en curs de suivi peut expliquer cette évlutin. Bilan de l activité cmptable Appuis techniques auprès des mandataires, tris cmptables assurent les règlements des factures à payer au nm et pur le cmpte des majeurs prtégés dnt a la charge le service, le calcul et le versement de la cntributin due par les majeurs prtégés bénéficiaires de l aide sciale, l établissement des cmptes rendus annuels de gestin. Règlements des factures : en myenne 2000 à 3000 factures snt traitées mensuellement. Calculs des reversements au titre de l aide sciale : 110 dssiers traités pur des majeurs prtégés bénéficiaires de la prise en charge de leurs frais d hébergement au titre de l aide sciale. Cmptes Rendus de Gestin : 482 CRG nt été faits cette année avec un effrt imprtant réalisé en fin d année pur satisfaire aux demandes du TI de Périgueux. Effrt qui se pursuivra en 2015 Bilan de l activité juridique Appui technique auprès des mandataires le service juridique cnstitué d un pste a traité des situatins suivantes : Ventes : 22 Successins: 34 Dnatins : 3 Prcédures civiles devant le tribunal d instance u le tribunal de grande instance : 6 Prcédures devant le juge aux affaires familiales : 12 Recurs aide sciale devant la cmmissin departementale d aide sciale : 3 Prcedures disslutin scietes : 1 Prcedures indemnisatin assurances : 5 Prcedures d executin / recuvrement avec huissier : 3 Divrce / partage de cmmunaute : 6 Prcedures penales : 5 Page49

51 Outre le traitement des situatins en direct u en cllabratin avec les mandataires, le service juridique a prcédé à la vérificatin d actes juridiques (exemple : les cntrats d hébergement cnclus au nm et pur le cmpte des majeurs prtégés), effectué des recherches sur la législatin applicable au secteur, prcédé à la rédactin de fiches d infrmatin juridiques et de curriers cmplexes. II. L EVALUATION DE L ACTIVITE Ntre activité est inscrite depuis 2009 dans une lgique d évaluatins (interne et externe) et depuis 2012 dans une démarche d améliratin cntinue de la qualité de ns prestatins. L évaluatin interne Depuis l évaluatin interne qui s est dérulée en fin d année 2013, le service s effrce de maintenir ses pints frts (bn usage des utils de la li de 2002, bnne cnnaissance des prcédures et prcessus de mise en œuvre des mesures de prtectin, bnne maîtrise du lgiciel UNIT, la cmmunicatin interne ) et de mettre en œuvre le plan d améliratin cntinue de la qualité ntamment sur la questin du partenariat et de la cmmunicatin externe, de la frmatin prfessinnelle, du management à travers la réécriture du prjet de service, de l explitatin du lgiciel UNIT tut ceci en prévisin de l évaluatin externe qui aura lieu en d année La certificatin ISO 9001 L examen de la qualité des prestatins servies par le SAFED en vue de la recnduite de la certificatin ISO 9001 a été passé avec succès en nvembre. III. LE SERVICE MJPM EN TERMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE Les frmatins prfessinnelles suivies cette année Nmbre de CNC btenus cette année : 2 mandataires supplémentaires nt btenus avec succès le CNC mentin MJPM. L ensemble des mandataires judiciaires délégués à la prtectin des majeurs du service est désrmais certifié sera l ccasin pur les mandataires qui n nt pas encre été cnvqués pur cela de prêter serment devant le tribunal de plice cmme les dispsitins de la réfrme de 2007 les y bligent. Page50

52 Frmatins effectuées cette année : une frmatin sur la préventin du suicide effectuée par plusieurs mandataires et assistantes, une frmatin sur les psychpathlgies effectuée par plusieurs mandataires et assistantes, une frmatin sur le thème du vieillissement des ppulatins en EHPAD, une frmatin d assistante tutélaire débutée en 2014 par une assistante, une frmatin sur l aide sciale et l bligatin alimentaire effectuée par la juriste et un cmptable du service une frmatin sur le mdule budget du lgiciel UNIT effectuée par l ensemble des salariés du service IV. LE PARTENARIAT DU SERVICE Les grupements de cpératin Le SIDOT (Sutien Infrmatique D Organismes Tutélaires) Le GSMSO : réseau d échanges de chefs de service et des directeurs de services MJPM. Plusieurs fis par an les chefs de service d assciatins du sud-uest se rencntrent pur échanger sur les pratiques prfessinnelles de leur service sur des thèmes variés (les DIPM, l accueil décentralisé, la respnsabilité prfessinnelle ). Il en va de même pur les directeurs. Ces rencntres effectuées en 2014 se pursuivrnt en L adhésin à la FNAT. L assciatin a adhéré cette année à la Fédératin Natinale des Assciatins Tutélaires. En fin d année le service a été sllicité pur répndre à un questinnaire sur l éthique prfessinnelle auquel nus avns répndu. La cmmunicatin externe En plus du travail partenarial effectué qutidiennement par les prfessinnels dans une lgique d exercice ptimal des mesures de prtectin tant avec les bénévles et prfessinnels du secteur scial et médicscial (hôpitaux, établissements d accueil, CCAS ) qu avec des rganismes privés (banques, prestataires de services ) Page51

53 Le service s est inscrit dans une démarche de prises de cntacts et d échanges réguliers avec des partenaires institutinnels dans le but d amélirer ns relatins et ntre travail avec ces institutins. Ainsi nus avns rencntrés au sein du Cnseil Général de Drdgne des respnsables de services en Septembre et une nuvelle rencntre est prévue curant 2015 au SAFED. D autres institutins sernt également cntactées tut au lng de l année prchaine (le centre des impôts de Périgueux, EDF et GDF slidarité par exemple). Nus répndns également autant que faire se peut aux invitatins de ns partenaires. Exemple : inauguratin du GEM de Sarlat le 19 nvembre. Rencntres avec les juges des tutelles : Répndant à leur invitatin nus avns rencntré les juges du TI de Périgueux le 03/09/2014 au sein de leur juridictin pur faire un pint avec l ensemble des assciatins mandataires sur l activité tutélaire Nus avns également rencntré le juge du TI de Sarlat le 29/09/2014 lrs de sn installatin dans sa juridictin. Une rencntre avec l ensemble des assciatins est également envisagée pur 2015 Une visite du juge du TI de BERGERAC dans le service est prévue curant 2015 En plus du cnseil et des infrmatins délivrés pnctuellement auprès de familles en situatin de demander une mesure de prtectin pur un prche, le service prpse régulièrement de dispenser des infrmatins sur les mesures de prtectin juridique auprès de prfessinnels du secteur scial et médic-scial. Pur 2015 une interventin du service est prévue en janvier pur les bénévles et prfessinnels du «pint passerelle» du Crédit Agricle de Charente-Périgrd, et en juin au SAFED pur des travailleurs sciaux du département. Enfin l assciatin a signé une cnventin de partenariat avec le Crédit Agricle (télétransmissin et uverture de cmptes de fnctinnement). Page52

54 V. LES PERSPECTIVES POUR 2015 L actualisatin du prjet de service La méthde suivie pur actualiser le prjet de service : Le «cup d envi» de cette démarche a été lancé en septembre avec cnstitutin d un grupe de travail pilte (cpil) chargé de réfléchir aux rientatins du service pur les 5 années à venir et de crdnner les grupes de travail qui sernt cnstitués, le tut à échéance du 31 mars En fin d année 2014 le plan détaillé du nuveau prjet de service était élabré et plusieurs grupes de travail étaient cnstitués («interventin psy pur analyses de pratiques», «l usager et sn enturage», «la parle de l usager», «les valeurs assciatives») et devaient se réunir en début d année Le questinnement éthique A la demande des salariés, manifestée ntamment au curt de l évaluatin interne de 2013, le service a engagé en 2014 une démarche sur le questinnement éthique dans ns pratiques et ns pstures prfessinnelles. Afin d appréhender le cncept et une méthdlgie de travail et d apprche une frmatin est prévue en janvier et février 2015 (centre de frmatin de l assciatin française des aidants). Il est prévu ensuite de cnstituer un grupe de réflexin sur l élabratin et la mise en place du questinnement éthique au sein du service Dans le cadre de ntre adhésin à la FNAT qui a également engagé une démarche de réflexin sur cette questin le Chef de service participera, à partir de Février, au grupe de travail mis en place à Paris par la Fédératin pur traiter de ce sujet Réflexins autur de l OF Depuis que l assciatin est agrée rganisme de frmatin, plusieurs pistes snt à l étude pur dispenser des infrmatins/frmatins sur le métier de mandataire judiciaire à la prtectin des majeurs et plus largement sur l exercice des mesures de prtectin juridique. Des frmatins de «frmateur» sernt suivies en 2015 par plusieurs salariés du service (mandataires, juriste, assistantes et cmptable) Page53

55 La révisin des utils de la li de 2002 Cette questin de la révisin des utils de la li de 2002 revient suvent essentiellement autur du «questinnaire à destinatin des majeurs prtégés» qui semble peu apprprié même si nus cnstatns un bn purcentage de répnses. Enfin le grupe de travail sur «la parle de l usager» (dans le cadre de l actualisatin du prjet de service) a cnclu au maintien des utils existants mais à une réécriture des questins psées (avec répnses plus simple) pur qu elles sient plus adaptées au public. Signature de cnventin de partenariat Avec» le pint passerelle» du Crédit Agricle, permettant ainsi le cas échéant de faire bénéficier les persnnes suivies du dispsitif «micr-crédit», Avec le Crédit Cpératif (télétransmissin et uverture de cmptes de fnctinnement). L expérimentatin de nuveaux pints d accueil physique Au CCAS de TERRASSON Au CCAS de BERGERAC. L année 2015 sera l ccasin pur le service de tester de nuveaux pints d accueil dans des lcaux prêtés par les CCAS et, dans l hypthèse d expériences cncluantes, de signer une cnventin avec ces partenaires incnturnables. Page54

56 FSE La Santé au Service de l Insertin Prfessinnelle I. UN PROCESSUS D INSERTION SOCIOPROFESSIONNELLE DANS LE PARCOURS DE SANTE Le Service Santé de l assciatin Service d Accmpagnement aux Familles en Difficulté (SAFED) prpse un accmpagnement individuel des persnnes bénéficiant du RSA/RMI. Le service existant depuis 1991 rénve sn actin médic-sciale en fnctin des cnstats bservés chaque année. L interventin passe par le biais du référent insertin (Cnseil Général 24) qui sllicite le service, lrsqu il est bservé une prblématique de santé faisant bstacle à l insertin sciale et prfessinnelle des persnnes. A la crisée du sanitaire et du scial, les infirmières de ce service infrment, éduquent, accmpagnent, prmeuvent la santé auprès des persnnes fragilisées et cnfrntées aux inégalités d accès aux sins en Drdgne. La prise en charge ne se réalise qu avec l adhésin des persnnes au dispsitif prpsé, qui a pur finalité de les amener vers des sins primaires, de les rendre vigilants à leur crps et à leur envirnnement, tut en les rembilisant à travers le sutien relatinnel apprté. Entre 2010 et , un cnstat est réalisé en Aquitaine pintant une pauvreté qui s accentue avec une augmentatin des allcataires du revenu de slidarité active (RSA) : la Drdgne faisant partie des départements les plus tuchés par une précarité grandissante. L actin santé cnfrntée alrs à des bstacles freinant une prise en charge adaptée aux besins des persnnes, fait l bjet en 2014 d une actin supplémentaire intitulée «la santé au service de l insertin prfessinnelle» et ce dans le cadre d un c-financement FSE/CG. Dans ce cntexte et en tenant cmpte des directives départementales et eurpéennes, l équipe s étffe d une chargée d insertin (0,5 ETP cuvrant les secteurs de Sarlat et Ribérac) et d une psychlgue clinicienne (1 ETP cuvrant tut le Département) renfrçant des bjectifs finaux de réinsertin sciprfessinnelle. 1 Surce : S.Hilarin. Carte de la pauvreté en Aquitaine : ù habitent les bénéficiaires RSA? Publicatin Sud-Ouest ; Cnfère Annexes Page55

57 Entrée de la persnne dans le dispsitif - Demande émanant du référent insertin CG 24 - Présentatin du service et des prestatins - Infrmatin sur les règles : engagement, rendez-vus et secret prfessinnel. Accmpagnement Santé par l'infirmière - Evaluer l'existence de freins de santé à l'insertin sciprfessinnelle - Accmpagner et insérer la persnne dans un parcurs de sins chérent, de prximité et référencé - Orienter la persnne en fnctin de la situatin de santé glbale. Interventin de la psychlgue - Evaluatin du fnctinnement psychpathlgique de la persnne - retur d'évaluatin à l'infirmière et au référent d'insertin - Réflexin pluridisciplinaire sur l'rientatin du patient en crrélatin avec le cntexte physique, psychique, scial, familial, écnmique et prfessinnel de la persnne -Sutien psychlgique pur accmpagner la persnne dans l apprpriatin de sn parcurs de réinsertin. Interventin de la chargée d'insertin (O,5 ETP) - Evaluatin de la mtivatin, de l'intérêt de la persnne pur le dmaine sciprfessinnel tut en prenant en cmpte ses freins et ses ressurces - Retur d'évaluatin à l'infirmière et au référent d'insertin - Réflexin pluridisciplinaire sur la prise en charge à effectuer - Accmpagnement de la persnne dans un parcurs de réinsertin sci prfessinnelle - Orientatin vers les dispsitifs et institutins en crrélatin avec les prblématiques de la persnne. Figure 1: Prcessus d'insertin sciprfessinnelle dans le parcurs santé. Page56

58 II. DES PROFILS DE SANTE 2 DETERMINANT LES ACTIONS MENEES PAR LE SERVICE SANTE Les persnnes nécessitant une inclusin rapide dans un parcurs de sins Il s agit de persnnes ayant rapidement verbalisé au sein des services médic-sciaux un frein de santé à leur insertin. Le référent d insertin saisi rapidement l accmpagnement santé avec, en demande initiale une évaluatin de la situatin de santé. Les persnnes présentant une suffrance psych-sciale en lien avec la précarité Il s agit de persnnes très islées scialement et familialement, avec un risque de dépersnnificatin par absence de rôle scial. Elles peuvent présenter des pathlgies cmrbides de la situatin de précarité : bésité mrbide et pathlgies assciées, pathlgies addictives, pathlgies psychiatriques. Les persnnes présentant des ply pathlgies invalidantes Il s agit de persnnes présentant un état de santé glbalement dégradé avec multiples pathlgies dnt le parcurs de sins nn crdnné, ne permet pas une prise en charge glbale et efficace de la situatin de santé limitant par cnséquent la réinsertin sciprfessinnelle. L interventin psychmédicsciale en 2014 a mis l accent sur deux nuveaux publics: Les persnnes nn diagnstiquées- nn suivies Il s agit de persnnes présentant des trubles psychiques et/ u du cmprtement récurrents, repérés par les services médic-sciaux et psant des difficultés d accueil et d rientatin au sein même de ces services. Ici, l accmpagnement et l rientatin est difficile ; les cmrbidités rganiques aggravant encre une situatin glbale de santé suvent dégradée. Les persnnes précaires/ fragiles mais rembilisables vers une insertin sciprfessinnelle avec un accmpagnement renfrcé Il s agit de persnnes fragilisées par des évènements de vie et ayant nécessité un accmpagnement santé. Après des démarches de sins, ces persnnes snt alrs rembilisables sur un plan sciprfessinnel. L étayage et l accmpagnement de la chargée d insertin dans un parcurs de réinsertin sciprfessinnelle se met alrs en œuvre pur favriser l apprpriatin de ce parcurs. 2 La santé seln l O.M.S se définit cmme «un état de bien-être physique, psychique et scial». Dès que cet équilibre est rmpu, c est «L Etre dans tute sn intégrité qui est atteint». Le service santé intervient en référence éthique à ces ntins. Page57

59 III. OBJECTIFS DES ACTIONS MENEES PAR LE SERVIE SANTE EN 2014 Evaluer l existence de freins de santé à l insertin sci-prfessinnelle Evaluer la situatin de santé au regard des éléments médicaux dispnibles avant la mise en place du parcurs santé (prim-évaluatin réalisée par les infirmières) Pser des bjectifs pur aiguiller le parcurs de sins Insérer la persnne dans un parcurs de sin chérent, de prximité et référencé Accmpagnement vers les sins médicaux nécessaires Préventin/prmtin de la santé (mise en place d une culture de l accès aux sins préventifs et curatifs) Observance des traitements et suivis médicaux (mise en place d une régularité dans la prise des traitements médicamenteux et des cnsultatins médicales et/u paramédicales) Sutien relatinnel favrisant l implicatin de la persnne dans le parcurs de sins Evaluer le fnctinnement psychpathlgique de la persnne et ses capacités de rembilisatin Evaluer le fnctinnement psychique et psychpathlgique des persnnes. A savir, investiguer les freins mais aussi les capacités mbilisables de la persnne quant à une réinsertin sciprfessinnelle Prpser des pistes de prises en charge en adéquatin avec des handicaps/ des difficultés qu ils sient psychiques u physiques Elabrer un prjet en équipe interdisciplinaire en adéquatin avec les besins glbaux de la persnne Prpser un sutien psychlgique aux persnnes les plus fragilisées Accmpagner la persnne en suffrance dans un cheminement sur sn histire de vie et sa situatin. La finalité étant l apprpriatin de sn parcurs de réinsertin, et la mise en œuvre de prjets sciprfessinnels Accmpagner «la persnne rembilisable» dans un parcurs d insertin sci-prfessinnelle Assurer le suivi individuel, scial et prfessinnel Mettre en œuvre des dispsitifs d infrmatin dans le cadre de l insertin u de la réinsertin, afin de limiter le prcessus d exclusin Effectuer des évaluatins cncernant les centres d intérêts et les cmpétences prfessinnelles, la mtivatin, l implicatin et l adaptatin de chacune des persnnes durant le suivi Intervenir in situ (pôle empli, accmpagnement en ESAT, Assciatins d insertins lcales, UDAF, S.A.V.S, et tut partenaire lcal ) dans le but d aider la persnne à cnstruire sn prjet sciprfessinnel et à se mettre en lien avec les différents acteurs du territire Page58

60 Orienter la persnne en fnctin de la situatin de santé glbale Après évaluatin, cntribuer à rienter la persnne vers les dispsitifs adéquats en fnctin de ses prblématiques et ses besins recensés. IV. ETAT DES LIEUX DE L ACTION 2014 «LA SANTE AU SERVICE DE L INSERTION PROFESSIONNELLE» : INDICATEURS PREVISIONNELS Le bilan fait apparaître une file active de 220 situatins prises en charge par le service santé sur l année La répartitin par secteur 3 cuvert par les infirmières du SAFED se décupe ainsi : 63 situatins accmpagnées sur l Unité Territriale de Ribérac, 78 situatins accmpagnées sur les Unités Territriales de Périgueux, Ribérac, 63 situatins accmpagnées sur l Unité Territriale de Sarlat, NB : A ces chiffres s ajutent 16 situatins évaluées/accmpagnées par la psychlgue sur les secteurs des infirmières CG (Unités Territriales d Hautefrt/Nntrn, de Mussidan et de Bergerac). A. Les prfils de l interventin psychmédicsciale en ) L accès au parcurs santé : Une égalité entre les hmmes et les femmes G E N R E 46% 54% F H Ntre bilan met évidence une égalité hmme-femme dans les situatins accmpagnées par le service santé, sans discriminatin de genre. 3 Les secteurs snt définis en référence au décupage départemental du Cnseil Général 24. Nus parlns d Unité Territriale. Page59

61 2) Prfil scilgique des situatins : les persnnes seules plus vulnérables S I T U A T I O N F A M I L I A L E MARIE EN COUPLE 11% VEUVAGE 3% CELIBATAIRE 52% DIVORCE SEPARE 34% Ce bilan pinte une précarité qui tuche les persnnes seules (célibataires, persnnes séparées u divrcées, veuvage) qui apparaissent davantage tuchées par la précarité et les difficultés psychsciales. En effet, les situatins de slitude semblent être des facteurs aggravants de vulnérabilité. 3) Statut des persnnes en référence au marché de l empli : Un public très éligné de la sphère prfessinnelle S T A T U T S U R L E M A R C H É D E L ' E M P L O I AA = actifs nn indépendants AF 0% AA 4% AB 1% AC 2% AB = actifs indépendants AC = chômeurs (hrs lngue durée -12 mis) AD = chômeurs (lngue durée +12 mis) AE = inactifs AF = inactifs en frmatin AD 33% AE 60% Page60

62 Les persnnes prises en charge par le service santé snt élignées du marché de l empli dans lequel elles ne semblent pas truver leur place. Le paysage prfessinnel est en mutatin et en crise depuis plusieurs années renfrçant les difficultés d insertin vire l exclusin des persnnes qui ne parviennent à redéfinir leur identité prfessinnelle. Le chômage s installe et la durée de l inactivité s allnge cmme en témigne le graphique ci-dessus. 4) Prfil d âge des persnnes accmpagnées par le service santé : le large spectre de la précarité BB = de 15 à 24 ans BC = de 25 à 44 ans BD = de 45 à 54 ans BE = de 55 à 64 ans T R A N C H E S D ' A G E BE 14% BB 1% BC 45% BD 40% L accmpagnement santé cncerne un public large allant de 25 à 54 ans témignant d une précarité sanitaire s élargissant et tuchant tute catégrie d âge. 5) Prfil de grupes vulnérables : La slitude physique et psychique ; facteurs aggravants G R O U P E S V U L N E R A B L E S CA 18% CA = migrants CB = minrités CC = persnnes handicapées CD = autres défavrisés CB 7% CD 65% CC 10% Ce graphique fait éch au graphique de la situatin familiale faisant apparaître la vulnérabilité des persnnes seules (familles mnparentales-persnnes séparées ). Il fait aussi apparaître un accmpagnement crissant auprès de persnnes présentant un handicap psychique et/u une cnduite addictive renfrçant la marginalisatin et l élignement de ce public vers une insertin sciprfessinnelle. Page61

63 6) Niveau d instructin des persnnes accmpagnées : le manque de bagages facteur de vulnérabilité N I V E A U D ' I N S T R U C T I O N DD 8% DE 4% DF 2% DC 9% DA 46% DA = VI (6è à 4è u frmatin pr.) DB 31% DB = VBIS (3è u 4è u frmatin pr.) DC = V (abandn avant terminale, terminale de 2nd cycle) DD = IV (classe terminale, abandn pst bac, niveau bac) DE = III (diplôme bac+2) DF = II & I (diplôme supérieur au bac +2) Le faible niveau de frmatin que l n mesure à travers le niveau de diplôme devient une variable discriminante sur le marché du travail. Un faible niveau sclaire (DA +DB) surexpse les persnnes à une situatin de précarité et à une désinsertin sciprfessinnelle. 7) Le milieu rural : un facteur d islement sciprfessinnel Certains facteurs de précarité et d exclusin snt spécifiques au milieu rural et renfrcent l élignement quant à une insertin sciprfessinnelle. Parmi les facteurs recensés par ns prfessinnels nus puvns citer l élignement gégraphique des structures de sins et d aide au retur à l empli, l islement, les lgements insalubres aggravant la précarité, la nn mbilité des persnnes et l absence de transprt en cmmun, les cmpétences de main d œuvre agricle nn adaptables au marché de l empli actuel pur certains secteurs Les répnses apprtées au plan lcal snt variables ce qui témigne de l inégalité des territires mais aussi par cnséquent de l inégalité quant à l accès aux sins fragilisant d autant plus un éventuel retur vers l empli. Page62

64 B. Fcus sur l interventin des deux prfessinnels mis en place sur l année ) L interventin Psychlgique 29% 11% 7% 16% 20% 18% sutien psy rient mdph empli adapté empli rdinaire pursuite parcurs abandn Figure 2: Orientatins travaillées après l'évaluatin psychlgique L interventin du psychlgue sur l année 2014 s est axée principalement sur l expertise psychlgique c est-à-dire le fait d apprter une réflexin et un regard clinique sur les situatins estimées cmplexes et suscitant des questinnements quant aux interventins et accmpagnements des prfessinnels infirmières/référents insertin Cnseil Général. Sn actin prfessinnelle s est réalisée sur l ensemble de la Drdgne à savir : les unités territriales de : Ribérac- Nntrn- Mussidan- Périgueux- Bergerac Est/Ouest- Sarlat- Hautefrt. L évaluatin psychclinique en 2014 a permis d investiguer les difficultés mais aussi les ressurces mbilisables en perspective d une rientatin en crrélatin avec le cntexte physique, psychique, scial, familial, écnmique et prfessinnel de la persnne. Le travail du bilan rendait cmpte d une réflexin apprfndie sur le fnctinnement psychique du sujet par une apprche intégrative, cnsistant à prendre en cmpte à la fis des dnnées cliniques subjectives et bjectives. En utre, pur 11% des persnnes, un sutien psychlgique pnctuel (lrsque des besins nt été recensés par les acteurs du prjet et avec un caractère exceptinnel) a pu être prpsé pur les accmpagner dans l apprpriatin de leur parcurs de réinsertin. L évaluatin a permis pur certaines de ces persnnes d accéder à un prcessus de verbalisatin de traumatismes psychlgiques et/u d évènements les limitant dans des prjectins. Page63

65 Le bilan de l interventin du psychlgue permet également de mettre en exergue des rientatins pstévaluatin essentiellement centrées sur l étayage de dssier type Allcatin Adulte Handicapée (près de 30% des persnnes nt été rientées vers la MDPH pur prétendre à une AAH). Cette bservatin pinte le fait qu une partie de la ppulatin accmpagnée par le service santé présente une précarité glbale ayant des répercussins sur une rembilisatin vers la sphère prfessinnelle. Ainsi, cumulant de nmbreux freins multifactriels ces persnnes ne crrespndent pas au prfil prpsé par le cadre du RSA. Parfis, ils ne crrespndent pas nn plus au parcurs prpsé par la MDPH ; ils se retruvent alrs dans «un entredeux» ù les prpsitins faites ne snt pas en crrélatin avec leurs besins ce qui accrit le prcessus d exclusin et d islement en œuvre. 20% des persnnes pursuivent des démarches de sins physiques et psychlgiques, accmpagnées par les infirmières. Enfin, il semble nn négligeable de relever les 18% d abandns parmi lesquels nus recensns : 1 refus de l interventin psychlgique, des situatins srties du dispsitif psychlgique suite à un nmbre d absences trp imprtant mais aussi une interventin psychlgique finalement jugée nn pertinente par l équipe après rencntre avec la persnne. Glbalement l actin psychlgique a été accueillie avec beaucup d intérêt par les différents acteurs territriaux mais aussi par les persnnes qui dans un premier temps puvaient paraître réfractaires. L étendue gégraphique de l interventin a cependant limité les pssibilités de prises en charges et la capacité à répndre aux diverses sllicitatins dans le temps imparti. 2) L interventin du chargé d insertin SITUATIONS D'INSERTION rdinaire 6% mdph 6% en curs 44% adapté 38% abandn 6% 0% 10% 20% 30% 40% 50% Figure 3: Orientatins travaillées par la chargée d'insertin Page64

66 La chargée d insertin a exercé sn activité à mi-temps sur un périmètre défini, à savir, les secteurs de l unité territriale de Ribérac et de l unité territriale de Sarlat. L unité territriale de Périgueux ayant décliné sn interventin car les myens à leur dispsitin étaient estimés suffisants. En 2014, la chargée d insertin a eu une actin cmplémentaire à celle du référent d insertin, en cela, qu elle dispsait d une plus grande dispnibilité et de myens techniques plus étffés pur faire un accmpagnement persnnalisé in situ et ce, en cncertatin avec les différents prfessinnels médicsciaux. Elle a ntamment accmpagné individuellement les persnnes pur les visites, les réunins d infrmatin (avant immersin) et les réunins de bilan (après immersin) des ESAT u autres structures. Ainsi, la prise en charge par la chargée d insertin a été déterminante pur guider et accmpagner les persnnes vers une rembilisatin et une apprpriatin du parcurs prpsé. Près de 38% nt pu ainsi se réinscrire dans une sphère prfessinnelle adaptée à leurs handicaps physiques et/u intellectuels. Près de 44% des persnnes snt tujurs accmpagnées dans la réflexin quant à leur parcurs d insertin avec des perspectives de prjets sciprfessinnels u snt en situatin de sutien. 6% des persnnes ayant bénéficié de cet accmpagnement santé/insertin nt été rérientées vers le milieu prfessinnel rdinaire après un travail permettant la réflexin sur les intérêts et la mtivatin quant à un empli. 6% des persnnes snt actuellement en attente de décisin quant à leur dssier MDPH (AAH / RTH) en vue d une rientatin adaptée. Seulement 6% nt abandnné pur se recentrer sur des démarches persnnelles. La dispnibilité de la chargée insertin a permis d intensifier le relatinnel avec les différents acteurs sciprfessinnels, ainsi que la mbilisatin des usagers parfis démunis face aux différentes démarches à mettre en œuvre. L interventin de la chargée d insertin a mis plus de temps à démarrer mais aujurd hui les répercussins psitives quant à cette actin nécessitent de réévaluer le temps ctryé à ses missins. Page65

67 V. BILAN DE L ACTION FSE 2014 «LA SANTE AU SERVICE DE L INSERTION PROFESSIONNELLE» Le service santé a atteint les bjectifs fixés dans le cadre de l actin FSE/CG. Ainsi 220 persnnes nt bénéficié d un accmpagnement plurifcale permettant ainsi une meilleure inclusin dans un parcurs de sins mais aussi dans un parcurs d insertin sciprfessinnelle. La rénvatin du service santé a permis en 2014 d intégrer les prises en charge dans une réflexin pluridisciplinaire. Ainsi des rientatins adaptées au prfil des persnnes nt pu être pensées en équipe afin de limiter le prcessus d exclusin auquel snt en pries les persnnes accmpagnées. Dans cette perspective d interventin pluridisciplinaire : 45 situatins nt bénéficié d une prise en charge par la psychlgue et 16 situatins nt été accmpagnées par la chargée insertin du service santé afin de tendre vers une rembilisatin prgressive. Actuellement 55% des situatins snt encre inclues dans le dispsitif «la santé au service de l insertin prfessinnelle». Nus puvns cnstater que pur 23% des persnnes l accmpagnement santé a abuti à une srtie dite psitive à savir une réinsertin vers un milieu rdinaire u adapté, u pur une majrité, une prise en charge de type MDPH (AAH) crrespndant à la situatin de Handicap des persnnes. Tutefis, 15% des persnnes rencntrées ne snt pas parvenues à adhérer au dispsitif d accmpagnement prpsé et en snt srties par abandn. S O R T I E S D U D I S P O S I T I F GA 1% GB 0% GC 0% GI 23% NON 55% GJ 15% GK 6% GC = accès cntrat aidé GI = autres types de srties psitives (AAH - RTH u de nature nn précisée) GJ = rupture abandn GK = autres srties de nature nn déterminée NON = en curs Page66

68 VI. CONCLUSION Il ressrt d une manière générale que, malgré tutes ces interventins mises en œuvre en 2014 et la mutualisatin de divers myens, des limites snt encre présentes ce qui nus empêche de puvir répndre en partie à l intitulé «la santé au service de l insertin prfessinnelle». Le bilan de ntre actin nus permet de faire des bservatins : La présence d une précarisatin glbale et crissante tuchant tus les dmaines de vie de l individu ainsi que ses rôles, ses cmpétences l amenant vers un sentiment glbal de mal-être et de suffrance, La prie à un sentiment de slitude (physique et psychique) prégnant et la sensatin d être incmpris par les milieux institutinnels, Le délitement du lien scial et l islement grandissant des persnnes accmpagnées, Les prblématiques psychiques de plus en plus fréquentes et freinant la pssibilité d une réinsertin sciprfessinnelle, La difficulté vire l incapacité des persnnes à se prjeter renfrçant la prblématique de rembilisatin et la nn adhésin à ce qui est prpsé par les prfessinnels, L inégalité du dévelppement territrial et des ressurces présentes par secteur rendant cmplexe l interventin medic-psych-sciale. Ce cnstat est le même partut et pur tus que ce sit au niveau des secteurs travaillés (UT), qu au niveau des intervenants prfessinnels (service santé Safed, référents d insertin du CG, infirmières du CG). Les UT ayant pris cnnaissance de ntre nuveau mde d interventin, nus sllicitent de plus en plus, d ù la nécessité de nuveaux myens matériels et humains afin de puvir répndre à ce surcrît de sllicitatins territriales et d apprter une répnse cnstruite efficace et pensée pur les bénéficiaires. Un cnstat en amenant un autre, il faut repenser une actin au plus près des prblèmes multifactriels faisant bstacle à l insertin sciale et prfessinnelle des bénéficiaires. Pur la plupart, malgré les actins entreprises et les suivis, il y a peu de débuchés et ils restent marginalisés. Page67

69 Frmatins Prgramme Préventin Suicide Aquitaine Drdgne LES FORMATIONS 113 prfessinnels frmés sur 11 frmatins TYPOLOGIE DES FONCTIONS % FONCTIONS NOMBRE MEDICO-SOCIAL/SOCIAL 60% AIDE A DOMICILE 2 ANIMATEUR 1 ASSISTANTE SOCIALE 6 ASSISTANTE SOCIALE SCOLAIRE 3 SALARIE CASSIOPEA 31 CESF 2 CONSEILLER MISSION LOCALE 4 EDUCATEUR ASS 3 EDUCATEUR SPECIALISE 2 ECOUTANTE ILOT FEMME 1 MANDATAIRE JUDICIAIRE 2 ASSISTANTE MJPM 3 ANIMATEUR PRE 1 PSYCHOLOGUE 2 REFERENTE INSERTION 1 CHARGE INSERTION 1 STAGIAIRE ES 1 TOTAL 66 MEDICAL / PARAMEDICAL 34% AIDE SOIGNANTE 6 CADRE DE SANTE 2 DIRECTRICE EHPAD 1 INFIRMIER 23 IDE COORDINATRICE 2 IDE SCOLAIRE 2 MERM 1 PPH 1 TOTAL 38 ACCUEIL PUBLIC 6% CHARGEE ACCUEIL / STANDARD 2 BENEVOLE ECOUTANT 1 COORDINATEUR CORG 1 OPERATEUR CORG 2 SECRETAIRE DE MAIRIE 1 TOTAL 7 Page68

70 60% de prfessinnels médic-sciaux et sciaux 34% de prfessinnels sanitaire (médicaux / paramédicaux) 6% accueil public (accueil physique u téléphnique) 22 institutins participantes 11 frmatins de 2 jurs sit 154h de frmatin INSTITUTIONS NOMBRE DE PARTICIPANTS ADIL 24 1 ANPAA 2 CASSIOPEA 32 CENTRE SOCIAL 1 CG 24 6 CENTRE HOSPITALIER PERIGUEUX 17 CHS VAUCLAIRE 9 CIAS DRONNE ET BELLE BRANTOME 2 CODERPA 1 EDUCATION NATIONALE 5 FONDATION JOHN BOST 1 GENDARMERIE 3 INFIRMIERE LIBERALE 4 LES CHENES VERTS 1 LYCEE AGRICOLE 1 MAIRIE DE ROCHEBEAUCOURT 1 MISSION LOCALE 5 POLYCLINIQUE FRANCHEVILLE 1 SAFED 13 SSIAD 1 SSIAD BRANTOME 2 TGI PERIGUEUX 3 TOTAL 113 Cadre des exercices : 4 frmatins se snt dérulées dans le cadre de l Organisme Frmateur (frmatin de la structure CASSIOPEA). 3 frmatins nt bénéficiés du label ODPC (Centres Hspitaliers de Périgueux, de Vauclaire et dans le cadre du CLS Nrd Drdgne la frmatin de Thiviers), sans impact financier. Page69

71 Mise en pratique du prtcle de repérage, d évaluatin et d rientatin, utilisatin de la fiche de renseignement. A ce jur, 2 institutins nt accepté la mise en place des utils élabrés et dnc des suivis de frmatin : Le SAFED et le Centre Hspitalier de Périgueux. Au ttal, 46 prfessinnels, à ce jur, snt en capacité de renseigner les fiches d infrmatins (18 prfessinnels sentinelles et 28 prfessinnels frmés). EXTRACTION DES FICHES D INFORMATIONS Cette première extractin est faite sur 20 questinnaires cmplétés depuis septembre Le nmbre de fiche recueillies n est pas assez imprtant pur prétendre à une analyse pertinente des infrmatins. Les chiffres snt dnc livrés brut et fernt l bjet d une étude spécifique ultérieurement. 76% des fiches nt été renseigné par des prfessinnels sentinelles, 24% par des prfessinnels frmés. Dans 57% des situatins, l entretien se fait à l initiative de l intervenant. Prfil des persnnes en crises repérées : Sexe 47% snt des hmmes, 53% des femmes Ages Tranche d âges -18 ans % Lieu de vie 23% vivent en zne urbaine / périurbaine, 77% vient en zne rurale Situatin maritale 76% de célibataires, 14% de séparé / divrcés et 9% en cuple, mais 62% ne vivent pas seul (29% des persnnes snt mineures et vivent au dmicile familial) Page70

72 Situatin au regard de l activité Type d activité % Sclaire/étudiant 38 empli 14 Sans empli/ demandeur 19 Arrêt de travail / incapacité/ AAH 14 Retraite 14 Raisn d inclusin Critères d inclusin % Verbalisatin directes des idées suicidaires 33 Verbalisatin indirect des idées suicidaires 52 Décisin d interventin sur d autres critères 15 Dans les autres critères nus retruvns 2 passages à l acte par prise médicamenteuse sur l établissement sclaire. Facteurs de fragilités repérés lrs de l entretien Facteurs de fragilité physique : F A C T E U R D E F R A G I L I T É P H Y S I Q U E Pathlgie physique lngue durée Algies persistantes Handicap Aucun Dans 66% des situatins, aucun facteur de fragilité physique n est relevé. Lrsqu ils snt relevés, ils snt de l rdre des algies persistantes (20%) et de la pathlgie lngue durée (20%). Page71

73 Facteurs de fragilité psychlgique : FACTEURS DE FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE Aucun. Autres Secret de famille / nn dits Orientatin sexuelle mal vécue / victime d'hmphbie. Diminutin des résultats (sclaires / prfessinels). Sentiment d'injustice. Sentiment de culpabilité. Sentiment de clère. Sentiment de hnte. Antécédent de tentative de suicide. Addictin. Antécédent de pathlgie psychiatrique. Vilences subies. Crise de l'identité. Evenement grave /traumatisant récent Facteurs de fragilité sciale FACTEUR DE FRAGILITÉ SOCIALE Autres Aucun. Sentiment de difficulté dans le rôle parental Idées de vilence envers les autres u vilence envers les Harcèlement / mquerie/ pressins. Déracinement Nn appartenance au grupe de pairs Prblèmes financiers Prblèmes judiciaires Arrêt de travail / absentéisme Slitude Islement scial Islement familial Dans près de 50% des situatins n retruve un islement familial, scial accmpagné d un sentiment de slitude. Viennent ensuite les prblèmes financiers (38%), et la nn appartenance au grupe de pair, qui peut être mis en parallèle avec le sentiment de slitude. Page72

74 Facteurs prtecteurs FACTEURS PROTECTEURS Autre 3 Aucun 0 Capacité à demander de l'aide. 13 Résilience / capacité à la réslutin de prblème Culture sanctinnant le suicide. 1 1 Frte cryance religieuse 0 Intégratin au sein de la cmmunauté 4 Enfants vivants au dmicile 1 Grssesse 0 Présence d'un prche ( cnjint / cnfident...) 9 Relatins sciales /amicales 7 Sutien familial 15 Dans plus de 71% des situatins, n retruve le sutien familial en principal facteur de prtectin. Viennent ensuite la capacité à demander de l aide (62%) et la présence d un prche (42%). Orientatins ORIENTATIONS Autres 2 Aucune 0 Prpsitin de recntact 15 Hspitalisatin SPDRE Hspitalisatin SPDT 0 0 Hspitalisatin libre 6 Suppressin du myen létal 2 Orientatin différée vers un prfessinnel de santé 10 Orientatin immédiate vers un prfessinnel de 4 Mbilisatin des prfessinnels sciaux / médic- 12 Mbilisatin du réseau scial 5 Mbilisatin du réseau amical 2 Mbilisatin du réseau familial 6 Page73

75 La prpsitin de recntacter la persnne est faite dans 70% des situatins. La mbilisatin des prfessinnels sciaux / médic-sciaux est mise en œuvre dans 57% des situatins. Il y a rientatin différée vers un prfessinnel de santé dans 47% des situatins. A nter qu une hspitalisatin libre est prpsée dans 29% des cas. Evaluatin de la situatin à 6 semaines Sur les 20 situatins rencntrées, n cnstate un décès, à priri par suicide mais qui a été déclaré cmme accident de la vie publique. En effet, le scénari décrit par le patient en amnt crrespnd à l accident qui a entrainé le décès. Une étude écrite de la situatin telle que rapprté par la prfessinnelle sentinelle sera transmisse ultérieurement. Dans les autres situatins, il n y a pas de tentative de suicide, ni de suicide. Les freins rencntrés en termes d rientatin snt peu nmbreux. La prpsitin de recntacte est tujurs acceptée. Les rientatins prpsées snt mises en œuvre. Le seul frein rencntré a été la mise en œuvre d une hspitalisatin : le service d urgence puvait accueillir l usager mais avec un délai d attente imprtant qui n était pas supprtable pur lui. Il a dnc été rienté vers sn médecin généraliste «en urgence», ce qui a permis une prise en charge efficace de sa suffrance. Page74

76 Lt et Garnne CONGRES AUPA /SAFED 416 persnnes nt émargées. Les statistiques snt faites sur un échantilln de 156 persnnes ayant répndues au questinnaire. Prfil prfessinnel : 47% de prfessin médicale/paramédicale 25% de prfessin sciale 7% de prfessin médic-sciale 21% autres prfessins Les pratiques prfessinnelles cncernant le risque suicidaire : Rencntre avec des persnnes à risque Très suvent Suvent Peu suvent Rarement jamais Sans répnse % Savir repérer les persnnes à risque Très suvent Suvent Peu suvent Rarement jamais Sans répnse % Savir évaluer le risque suicidaire Très suvent Suvent Peu suvent Rarement jamais Sans répnse % Glbalement, les prfessinnels présents snt régulièrement cnfrntés à des publics à risque (dans 64% des cas). Pur presque la mitié (45%), ils disent savir repérer ces persnnes à risques, mais les chiffres diminuent lrsqu il s agit d évaluer le risque suicidaire (42% disent savir évaluer). Suite au cngrès, 67% des participants pensent que leur apprche de la prblématique suicidaire a été mdifiée. Evaluatin des méthdes de cmmunicatin du cngrès 46% des participants au cngrès nt reçus l infrmatin par mail, 24% par vies d affichage, 30% par un autre myen. Le mailing reste le myen le plus efficace de sensibiliser les prfessinnels sur un tel évènement. Page75

77 Evaluatin de la satisfactin cncernant le cntenu 97% des participants pensent que le prgramme a été respecté. 93% pensent que les infrmatins apprtées répndent à leurs attentes, et pur 92% que les supprts utilisés snt pertinents. 42% des participants nt laissés des cmmentaires : 64% des cmmentaires psitifs (remerciement, certaines interventins mises en avant ), 36% nt laissé un cmmentaire psitif mais avec un u plusieurs bémls (tel u tel prblématique nn traitée, certains sujets pas assez apprfndis et le manque de mixité prfessinnelle dans les intervenants est suvent suligné). 2 persnnes nt laissés des cmmentaires relatant leur histire persnnelle et leur rapprt au suicide. Suite au cngrès, 128 prfessinnels se snt inscrits à la suite du prgramme. D autres inscriptins, émanant des structures participantes au cmité de piltage, viennent augmenter le nmbre de participants. MISE EN PLACE DES CONFERENCES/DEBATS 3 jurnées fernt suite sur le 1er trimestre 2015, avec en myenne 50 persnnes / jurnée. Au vue du faible nmbre d inscriptin sur les secteurs gégraphique hrs Agen, il a été décidé d assurer les 3 jurnées sur Agen. Le Cnseil Général met à dispsitin tute l infrastructure de la salle du cnseil à dispsitin sur les 3 jurs. M. POMMEREAU animera ces jurnées, avec interventin d un prfessinnel frmateur du département de la Drdgne en partage d expérience. Page76

78 L îlt Femmes I. L ACTIVITE ET LA FREQUENTATION A L ACCUEIL DE JOUR 1.1 Activité de l accueil de jur Depuis le 1 er Janvier 2014, l activité de l accueil de jur enregistre 574 cntacts de femmes sit 341 cntacts et/u entretiens téléphniques et 233 visites et entretiens physiques à l îlt femmes. C O N T A C T S À L ' I L O T F E M M E S Cntacts Téléphniques Visites et entretiens à l'ilt TOTAL 1.2 Fréquentatin de l accueil de jur En 2014, l îlt femmes a reçu 113 femmes, Nus ntns le dévelppement de suivi régulier. En effet, 38 persnnes snt suivies régulièrement par téléphne mais aussi au sein de l ilt femmes. F R É Q U E N T A T I O N I L O T F E M M E S 53% 24% 10% 13% Suivi téléphnique Persnne venue une fis Persnne venue deux fis Suivi physique régulier Page77

79 1.3 Les différents types de demande L îlt femmes accueille tutes les femmes et en pririté celles victimes de vilences cnjugales. C est principalement un lieu d écute puisque 50% du public accueilli recherche un espace de parle et d attentin. C est également un lieu d rientatin vers de nmbreux partenaires, CARSAT, CIDFF, ADAVIP, accueil psychlgique, etc. Ainsi, n cnstate que 38% des demandes snt liées à du cnseil juridique, aux frmalités administratives et à l infrmatin en matière de santé. Les demandes d hébergement ne représentent que 12 %. L E S D I F F É R E N T S T Y P E S D E D E M A N D E S 12% Hébergement (infs, rientatins) Infs Administratifs 50% 16% 7% Infs Santé Infs Juridiques 15% Ecute 1.4 Les permanences à l îlt femmes Sur les 113 persnnes reçues à l ilt femmes 73% nt été reçues par la psychlgue et 27 % par les partenaires scijuridiques tels que le CIDFF 24, l ADAVIP et la CARSAT. L E S R E N D E Z V O U S S U R L E S P E R M A N E N C E S P A R T E N A I R E S Permanences Partenaires (CIDFF, ADAVIP, INFOS DROIT ) Psychlgue rendez vus 27% 73% Page78

80 1.5 Orientatin du public 7% 2% 1% O R I E N T A T I O N D E S P E R S O N N E S V E R S L ' I L O T F E M M E S 30% 60% Partenaires Persnne elle-même Famille Amis Autre 60% des femmes accueillies nt été dirigées par ns partenaires situés sur Périgueux, mais également sur tut le département. L Ilt est dnc recnnu au niveau des divers prfessinnels travaillant dans le secteur de la santé, du scial, de l éducatin natinale, des cllectivités territriales ainsi que dans le mnde assciatif. II. PROFIL ET SITUATION DES PERSONNES ACCUEILLIES A L ILOT 2.1 Prfil des femmes qui fréquentent l Îlt Tranches d âges des femmes accueillies T R A N C H E D ' A G E S 10% 28% 30% 32% Mins de 25ans Entre 25 et 35ans Entre 36ans et 45ans 45ans et plus Page79

81 O R I G I N E G E O G R A P H I Q U E S Périgueux et ses alenturs Département Hrs département 4% 42% 54% 42% des persnnes accueillies viennent de tut le département et 4% viennent des départements limitrphes, vire élignés de la Drdgne. Situatins familiales des femmes accueillies à L îlt : Majrité de femmes avec enfants 3% S I T U A T I O N F A M I L I A L E 25% Sans enfants Avec enfants Enceinte 73% Les situatins cnjugales des femmes accueillies à L îlt : une majrité de femmes mariées S I U T A T I O N C O N J U G A L E S 8% Célibataire 19% 42% Mariée Cncubine 12% Divrcée 18% Séparée/Dépascée Page80

82 Situatins prfessinnelles des persnnes accueillies à l ilt SITUATION PROFESSIONNELLE Ne sait pas Retraite Sans empli Etudiant Chmage frmatin Interim Activité libérale Artisans/Explitants Empli (CDD, CDI) 2% 2% 0% 1% 3% 3% 6% 7% 30% 47% Ce ne snt pas seulement des femmes en situatins précaires qui fnt appel à l ilt femmes, la majrité d entre elles ccupe un empli u snt en activité en lien avec l empli. Les myens de lcmtin MOYENS DE LOCOMOTION Ne sait pas 14% Nn 19% Oui 68% Il nus semblait imprtant de demander aux femmes qui snt en situatin de vilences si elles ne rencntraient pas de difficultés liées à la mbilité. Même si pur la plupart d entre elles, elles nt une viture u les transprts en cmmuns à dispsitin, 27% d entre elles restent sans myens de lcmtin (pas de viture, pas de permis, pas de transprts en cmmun u pas de ticket de transprt) ce qui empêche tutes démarches, tutes vlntés de départ pur certaines d entre elles. Page81

83 2.2 Les femmes victimes de vilences cnjugales Nus accueillns tutes les femmes, néanmins, nus cnstatns que la majrité des persnnes reçues se truvent expsées à de la vilence. Les vilences subies par les femmes L E S D I F F É R E N T S T Y P E S D E V I O L E N C E S Intrafamiliales Cnjugales Autres 26% 4% 70% Ce snt les vilences de types psychlgiques qui nus snt le plus relatées. Elles se traduisent par du harcèlement mral u physique, insultes, menaces, dévalrisatin de si, séquestratin, etc Ce type d actes reste malgré tut difficile à pruver u est difficilement pris en cnsidératin, même s il est recnnu par la Li. L E S V I O L E N C E S C O N J U G A L E S 57% 30% 6% 8% Physiques Psychlgiques Sexuelles Sci-Ecnmiques Le rôle de l Ilt Femmes cnsiste également à faire prendre cnscience aux victimes qu il est indispensable de dépser plainte u de faire une main curante auprès des services de plice u de gendarmerie. Il est primrdial de lutter cntre la banalisatin des faits de vilence. Page82

84 D E P O T D E M A I N C O U R A N T E 81% 13% 6% Oui Nn Ne sait pas D E P O T D E P L A I N T E 66% 27% 7% Oui Nn Ne sait pas III. EVOLUTIONS ET COMPARATIF 3.1 Activité de l accueil de jur en augmentatin En 2014, nus ntns une augmentatin de la fréquentatin de la structure puisque nus avns pu enregistrer 251 cntacts de plus par rapprt à En utre, les demandes de suivis augmentent elles aussi. Page83

85 Activité de l'accueil de jur CONTACTS TÉLÉPHONIQUES VISITE ET ENTRETIENS PHYSIQUES TOTAL Nmbre 2013 Nmbre 2014 Fréquentatin NOMBRE 2013 NOMBRE 2014 Femmes reçues à l'ilt durant l'année Femmes suivies regulièrement 3.2 Médiatisatin de la structure 14 % de persnnes en plus nt été rientées vers le service par les partenaires. Ntre campagne d infrmatin prte ses fruits, mais nus devns persévérer au niveau de ntre visibilité. 3.3 Les infrmatins santé : une demande en expansin La demande essentielle est tujurs l écute et la prise d infrmatins scijuridiques. Néanmins, accueillant des persnnes en grande précarité, nus avns reçu une demande plus frte cncernant l rientatin vers des lieux de sins gratuits. 3.4 Les permanences à l îlt femmes La permanence psychlgique enregistre une frte demande. En effet, n peut nter 56 rendez-vus en 2013 et 103 rendez-vus en En revanche n cnstate une diminutin des suivies de la psychlgue car ces derniers demandent une prise en charge beaucup plus lngue. Page84

86 Permanence de la psychlgue Rendez vus 2013 Rendez vus 2014 Psychlgue rendez vus Psychlgue suivis 3.5 Prfil des femmes qui fréquentent l Îlt Augmentatin de la fréquentatin des 36/45 ans et des persnnes habitant en dehrs de l agglmératin périgurdine. Nus avns pu cnstater que les femmes qui viennent à l ilt ne résident pas seulement sur Périgueux et ses alenturs mais viennent de tut le département de la Drdgne. 3.6 La vilence cnjugale On cnstate une augmentatin de la fréquentatin par les prches qui se sentent démunis pur venir en aide aux femmes victimes de vilence. On nte également une augmentatin de 18% des persnnes qui subissent des vilences psychlgiques. IV. ACTIVITES A L ILOT FEMMES 4.1 Un grupe de parle pur les femmes victimes de vilences cnjugales Nus avns, suite à une demande de certaines femmes accueillies au sein de l îlt, mis en place début juin 2014 un grupe de parle, animé par une des écutantes et la psychlgue. Il se dérule sur deux lundis par mis de 17h30 à 18h30, permettant aux femmes qui nt un empli de puvir se jindre à ce grupe. C est un grupe uvert, accessible même aux femmes qui ne snt pas encre venues à l îlt femmes. Ce grupe de parle a pur bjectif de prpser une prise en charge grupale gratuite et cnfidentielle pur les femmes victimes de vilences cnjugales, de favriser les rencntres entre les femmes elles-mêmes et permettre l expressin en cmmun des faits que chacune a subi, de rmpre l islement et aider à prendre cnscience que l n n est pas seule à avir subi les mêmes vilences, d aider à retruver l estime de si et /u à décuvrir l autnmie. Aujurd hui les cntraintes des différentes participantes (hraires, élignement, manque de transprts, etc...), nus permet d envisager un nuveaux prjet. La mutualisatin de ns myens, par la créatin d un grupe de parle cmmun avec les partenaires de l ilt femmes, (CIDFF et ADAVIP) afin de se rapprcher de Périgueux, mais également d envisager d inclure les prches des femmes victimes. Page85

87 4.2 La Médiatin Familiale Nus recevns également des demandes de médiatin familiale. En effet, certaines persnnes en prie à des cnflits avec leurs prches, suhaitent renuer le dialgue par l intermédiaire de la médiatin afin de faciliter la séparatin dans l intérêt des enfants, et de désamrcer une éventuelle vilence naissante. 4.3 Interventin «sensibilisatins aux vilences» au CFA A la demande du CFA de Bulazac, nus avns mené plusieurs interventins en partenariat avec le CIDFF auprès de jeunes élèves de 17/22ans, afin, de les interpeller, permettre la cnnaissance du phénmène de vilence cnjugale. Mais également, de mesurer l'ampleur, le prcessus et les cnséquences. 4.4 La jurnée internatinale des vilences faites aux femmes L îlt femmes a participé à la JOURNEE INTERNATIONALE POUR L ELIMINATION DES VIOLENCES A L EGARD DES FEMMES, le 25 Nvembre 2014 à Périgueux. Cette actin rganisée en partenariat avec plusieurs autres assciatins ainsi qu avec la Mairie, s est illustrée par une expsitin nmmée «Vilences, elles disent nn» de l assciatin Femmes Slidaires, suivit de la diffusin du film «Philmena» u les prfits nt été reversés à l ilt femmes. V. CONCLUSION Nus puvns cnstater que l accueil de jur tient un rôle imprtant sur le département en termes d écute et d infrmatins sciales et juridiques. De plus en plus de femmes venant de milieux sciaux différents, suvent tuchées par la précarité, victimes de vilences cnjugales sent venir en parler à l îlt. Certaines entament suite à leur venue des démarches (ntamment demande d hébergement, dépôt de plainte, cntacts avec avcat, prise de décisin de séparatin ), néanmins peu d entre elles nus infrment de leurs situatins après leur passage à l îlt. L actin de la psychlgue au sein de l accueil de jur est aussi imprtante. Il serait suhaitable de puvir pérenniser ce pste et de le dévelpper. Nus rappelns que le pste de la psychlgue dépend de financement FIPD qui ne sera pas frcément renuvelé. Page86

88 PRE Le Prgramme de réussite éducative Le PRE au niveau natinal : «Créés en 2005, les prgrammes de réussite éducative (PRE) repsent sur une apprche glbale des prblèmes d enfants vulnérables repérés ntamment dans le cadre sclaire, depuis l écle maternelle jusqu au secndaire et qui se vient prpser un suivi spécifique. Les PRE partent du repérage des difficultés des enfants (de 2 à 16 ans) et débuchent sur un suivi individualisé, en accrd avec les familles et en relatin avec tus les prfessinnels cncernés : enseignants, crdnnateurs des réseaux ambitin réussite et des réseaux de réussite sclaire, éducateurs, animateurs, travailleurs sciaux, psychlgues (u pédpsychiatres), médecins, nutritinnistes, ainsi que des intervenants assciatifs, sprtifs et culturels. Les équipes pluridisciplinaires de sutien réunissent plus de prfessinnels. Un référent de parcurs assure le suivi individuel et le relais avec les familles. Ces parcurs ne se limitent dnc pas à l accmpagnement sclaire mais visent à prpser des slutins adaptées à chaque enfant, via des actins de natures très différentes : suivi scial et/u médical, activités culturelles u sprtives, ateliers d expressin u dialgue parents/écle.»4 Le PRE à Périgueux : 1 - L bjectif du Prgramme de Réussite Educative Le prgramme de réussite éducative mis en place en 2006 dans le cadre du plan de chésin sciale, vise à favriser «l égalité des chances» des enfants et jeunes âgés entre 3 et 18 ans, issus des quartiers identifiés cmme les «quartiers priritaires plitique de la Ville», présentant des signes de fragilités et ne bénéficiant pas d un envirnnement familial, scial favrable à leur dévelppement. 4 Surce ussiteeducative Page87

89 2 - Un accmpagnement sur mesure Le PRE se définit par un accmpagnement individualisé prenant en cmpte l enfant dans sa glbalité ainsi que sa famille. Il prpse également un sutien envers les familles sur l exercice de leurs missins et sur leurs rôles éducatifs. Les actins du dispsitif se cncentrent essentiellement sur les difficultés et besins que rencntre l enfant au niveau sclaire, au niveau de l accès à la culture et aux lisirs, de l insertin sciale et l accès à la santé. Au travers de ces actins, la parentalité est également travaillée avec les familles, particulièrement l autnmie et l engagement des parents. Différentes actins snt ainsi prpsées à la famille ntamment l accmpagnement vers différents rganismes culturels et de lisirs ainsi que des rganismes de santé. Les familles snt également invitées à participer à différents évènements culturels u à des srties familles individualisées et accmpagnées par le référent PRE. L accmpagnement PRE peut servir de relais entre la famille et les différentes structures existantes sur le territire, mais il peut également tenir un rôle de médiateur et servir de lien pur des familles en rupture avec les institutins sciales et éducatives. 3 - Orientatin PRE et cnfidentialité Le Prgramme de réussite Educative se met en place sur accrd des familles repérées. Les prescriptins PRE se fnt par le biais de différents rganismes sanitaires et sciaux, sclaires et assciatifs (CHRS, CADA, Centre Scial, Educatin Natinale, Service Scial Cnseil Général). Il se met alrs en place une équipe pluridisciplinaire cmpsée d acteurs sciaux et éducatifs, qui cnnaissent la famille, afin d échanger sur sa situatin. La cmpsitin de cette équipe pluridisciplinaire se fait en accrd avec la famille et l échange des infrmatins reste cnfidentiel. Les bilans et autres infrmatins transmises à la hiérarchie se fnt de manières annymes. Partenaires privilégiés du PRE, il est imprtant de dire qu aujurd hui l accmpagnement PRE fnctinne en étrite cllabratin avec l éducatin natinale (écle, AS,...) et les Assistantes Sciales du cnseil général présents sur les quartiers priritaires u en veille. Page88

90 4 Nmbre de familles bénéficiaires en 2014 : L actin a cntribué à la mise en œuvre d un accmpagnement persnnalisé pur les familles fragilisées des quartiers priritaires de Périgueux (accmpagnement dans les démarches administratives, sclarité, santé rientatin et accmpagnement vers le drit cmmun, inscriptins des parents et des enfants dans les actins plitique de la ville prpsés sur le territire, sclarité, travail sur la parentalité, aide aux vacances, accès aux lisirs et à la culture, aux dispsitifs ville cmme l Odyssée, le Palace, le Sans-Réserve, les musées ) 33 familles nt bénéficié d un accmpagnement individualisé en 2014 sit 87 enfants dnt 5 adlescents et 1 enfant pur désclarisatin u nn sclarisatin. 5 - Actins cllectives/partenariale : Quatre familles nt participé à une actin en partenariat avec le CMS et le centre scial du gur de l arche sur la préparatin (cmment être public) de la pièce de théâtre «Album de famille». Neuf familles snt venues au spectacle. Cette actin et l accueil mis en place à la Fabrique (transprt, garde d enfant et atelier sur place, guter ) avaient été réfléchis au préalable par les partenaires participant. Cinq familles nt participé pendant les vacances d été à des ateliers parentalité en partenariat avec le CHRS du SAFED: il s agissait de favriser le lien scial, dévelpper la cmmunicatin au sein des familles et impliquer les parents dans la sclarité de leurs enfants. Huit enfants nt participé aux ateliers de créatins de vidé avec ciné-cinéma (CUCS). L bjectif de cette actin est d btenir un scénari à plusieurs mains ù la diversité des persnnages créés retranscrit celle du qutidien des enfants. Après avir décuvert les phases d écriture et de turnage, la finalité est un petit film d envirn 5 minutes qui sera prjeté au cinéma à l ccasin d un ciné-guter. La thématique de cette année 2014 était «le sexisme, filles-garçns, casser les préjugés». Le prgramme de réussite éducative s inscrit aussi dans une instance nmmée «la santé dans ns écles», ù, en partenariat avec le Grand Périgueux et l éducatin natinale, ainsi que les dispsitifs PRE de Culunieix-Chamiers et Bulazac, nus réfléchissns à amélirer la cmmunicatin entre les différents secteurs afin de faciliter les actins en terme de préventin du décrchage sclaire, de raccrchage sclaire, de lien famille-écle, etc. Page89

91 6 - Les axes d accmpagnements Parentalité (être parent au qutidien, favriser des mments «famille», écute, démarches au qutidien ) Sclarité (accmpagnement dans le lien parfis difficile avec l écle : rdv parent/instit, pint partenaire, recherche de slutin pur faciliter la sclarité ) Santé (accmpagnement dans la prise de rdv et accmpagnement physique) Sciabilisatins (rientatin structure pur les enfants cmme pur les parents : ludthèque, centre scial ; srties culturelles : cinéma, spectacle, musées, ) Aide accès aux lisirs culture sprt (permettre à l enfant de dévelpper sn libre arbitre, se défuler, srtir de l écle, ) Axes de travail à dévelpper : «Officialiser» le travail en partenariat Prcédure à mdifier? (cntrat ) Mise en place de temps parent/enfants autur des devirs Page90

92 QUALITÉ La Démarche Qualité Actins et suivi des actins : Nus avns effectué durant l année 2014 : une revue de directin une revue de prcessus le suivi de ns furnisseurs des audits internes des services, réalisés sur deux pérides : le 12 mai, pur les établissements : CHRS Maisn Relais MJPM le 3 juin, pur les établissements : Ilt femmes - Santé Siège scial Cette année pur le nuvel audit de certificatin, nus avns inscrit le service Ilt femmes dans ntre cartgraphie. Ont été relevés sur l ensemble des services : 6 actins crrectives 2 pints sensibles (réexamen lrs du prchain audit interne) 31 prpsitins d améliratins 19 pints frts 3 ntes u remarques Durant l année 2014, les réunins de services, fiches d améliratins, audits internes, revue de directin et de prcessus, nt généré : 1 actin curative 16 actins crrectives 62 actins préventives Les taux de réalisatin des mises en œuvre dans les délais snt cmpris entre 33% et 100%, suivant les mis ; le taux myen annuel est de 65%. Page91

93 Enquêtes de satisfactin : Les usagers du service Ilt femmes nt à dispsitin au sein du service, un questinnaire de satisfactin nus permettant de les interrger sur l accueil et la prise en charge par ntre service, qu elles u ils peuvent dépser annymement dans une bîte aux lettres. Cependant, à ce jur, nus n avns eu aucun retur, ce qui nus amène à repenser ce mde de questinnement. Questinnaires adressés aux usagers On cnstate des écarts imprtants dans les taux de participatin des usagers, suivant les services. Les returs de questinnaires snt de : 31% pur le CHRS 12,50% pur la Maisn Relais 50,58% pur les majeurs hrs établissement 61,22% pur les majeurs en établissement : même si le questinnaire n a été envyé qu à 44% des majeurs (persnnes en capacité de répndre), le taux de participatin est très imprtant. 33,82% pur le service santé La satisfactin des usagers se retruve sur l ensemble des services, aussi bien en ce qui cncerne la qualité de l hébergement u des prises en charges, que pur le suivi par la persnne référente. Dans l ensemble le taux glbal de satisfactin est de 85% à 90%. Les persnnes référentes, que ce sient les persnnels éducatifs du CHRS u de la Maisn Relais, les mandataires judiciaires, snt glbalement perçues cmme bienveillantes, respectueuses, discrètes et dispnibles. Les assistantes des mandataires, les persnnels à l accueil snt perçues cmme accueillantes, plies, respectueuses, efficaces et dispnibles. On nte également une plus grande satisfactin des usagers cncernant l attente téléphnique. Tutefis, quelques suggestins u réflexins des usagers nus amènent à réfléchir sur ns pratiques et à nus amélirer pur l année à venir, en mettant en place des actins crrectives u préventives. Page92

94 Questinnaire adressé aux salariés 38,24% de returs cette année, sit une baisse de 12% par rapprt au dernier questinnaire Les utils du système de management par la qualité nt été apprpriés pur 88% des salariés. L util interne EXTRANET est utilisé majritairement pur cnsulter les infrmatins internes ainsi que l ensemble des dcuments mis en cmmuns sur les services, y cmpris ceux inhérents à la démarche qualité. Pur les salariés du SAFED, les utils qui amélirent les pratiques au qutidien snt priritairement : l util EXTRANET, les réunins trimestrielles «Petits déjeuners SAFED» qui snt un temps bligatire de réunin ù snt abrdés les pints financiers sur les services, ù snt présentées en détail certaines actins des services, et ù nus recevns régulièrement des intervenants extérieurs la démarche qualité les réunins de services Cncernant la démarche qualité, certaines améliratins snt à prévir, ntamment l interventin de la respnsable qualité lrs de réunins dédiées. Questinnaire adressé aux partenaires 53,40% de retur sit une augmentatin de 7% L enquête de satisfactin s est faite via un questinnaire en ligne. Nus avns sllicité près de 300 partenaires, mais certaines adresses mails, malheureusement nt rejeté le lien que nus avins envyé et seulement 206 adresses nt pu recevir ntre lien et 110 persnnes nt répndu au questinnaire. Glbalement les activités les plus cnnues de ntre assciatin snt celles des services : MJPM CHRS 115/Hébergement, puis viennent la Maisn relais, le service Santé, puis le siège scial, l îlt femmes et le tut nuveau service Frmatin. 23% des persnnes interrgées nt dit suhaiter une présentatin de ns missins au sein de leurs services. L ensemble de ns missins snt cncernées. Page93

95 8% seulement de ns partenaires disent cnnaître ntre site internet. Cet util de cmmunicatin a été créé début Cncernant la qualité de ns prestatins, 50% des partenaires n nt pas répndu, près de 20% nt répndu «ne sait pas», les autres snt satisfait vire très satisfait. Mais le purcentage de répnses reste faible. 27% des persnnes interrgées suhaitent mettre en place des partenariats avec le SAFED et 18% suhaitent acter ce partenariat par une cnventin. 11% de ns partenaires suhaitent nus vir apprter des améliratins dans ns fnctinnements u dans le dmaine de l infrmatin sur ns différents services. Suite à l étude de cette enquête de satisfactin, nus allns réfléchir sur ntre cmmunicatin externe et les myens à mettre en œuvre. Audit externe : Aucune actin n a été requise suite à l audit externe. Le résumé analytique du rapprt d audit indique que : Le management et les audits internes snt crrects Les actins crrectives, l améliratin cntinue, la maîtrise pératinnelle, les ressurces snt matures Le respnsable d audit externe a indiqué que le système de management est cnfrme aux critères d audits. Il peut être cnsidéré cmme efficace pur permettre d atteindre les bjectifs. Le maintien de la certificatin est dnc recmmandé. Page94

96 R.H Les Ressurces Humaines Le SAFED cmptaient, au 31 décembre 2014, 64 salariés, dnt 18 hmmes et 46 femmes, répartis sur l'ensemble de ses 6 établissements CHRS 8 2 MAISON RELAIS 3 0 ILOT FEMMES 3 6 MJPM 5 6 Hmmes Femmes 0 2 SANTE SIEGE L'effectif mensuel myen en 2014 est de 63 persnnes. Il était de 58 en 2012 et 61 en Le rapprt hmmes/femmes est sensiblement le même que les années précédentes : 72% de femmes pur 28% d'hmmes. Nus avns recruté sur 2014, 12 nuveaux salariés 4 salariés en CAE - dnt 2 temps partiels 5 salariés en CDD - dnt 2 temps partiels 3 salariés en CDI 6 salariés en CDI nt quitté le SAFED durant l année 2014 : 1 pur un pste de directin dans un autre département 3 pur rapprchement de cnjint 1 pur changement d rientatin prfessinnelle 1 après licenciement pur inaptitude Page95

97 Au 31 décembre 2014, nus cmptns : 48 salariés en CDI 8 salariés en CAE 8 salariés en CDD Répartitin des salariés présents en ETP par établissements au Siège 7.99 CHRS Santé 4.06 Maisn relais 3.26 Ilt femmes 1.64 MJPM L'ETP (équivalent temps plein) au est de dnt : 46 femmes représentant ETP 18 hmmes représentant ETP CHRS MAISON RELAIS ILOT FEMMES MJPM SANTE SIEGE Hmmes Femmes Page96

98 REPARTITION DES POSTES en ETP Cadres : 3 Administratif : 18 Educatif : Services généraux : 8.25 Paramédical : 4.63 Paramédicaux 4.63 Cadres 3 Services Généraux 8.25 Administratifs 18 Educatifs 22.6 Répartitin par sexe en ETP Cadres Administratifs Educatifs H 4.19 Services généraux 0 Paramédicaux F Page97

99 TRANCHE D'AGE Cmparatif sur les 3 dernières années Péride ans ans + 55 ans % 81.67% 11.67% % 84.75% 11.86% % % % On peut bserver également un équilibre entre les et les + de 40 ans, même si les + de 55 ans prgressent. 61 et et + SIEGE SANTE MJPM ILOT M.RELAIS CHRS Page98

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