1.1 Vocabulaire à apprendre à maîtriser dans ce chapitre

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1.1 Vocabulaire à apprendre à maîtriser dans ce chapitre"

Transcription

1 1.1 Vocabulaire à apprendre à maîtriser dans ce chapitre La matière et ses états matière masse état de la matière solide liquide gaz ; gazeux plasma Les mélanges et leurs méthodes de séparation mélange hétérogène homogène alliage propriété (physique) corps pur tamisage densité masse volumique triage magnétique aimant particules dissolution filtration filtre filtrat centrifugation centrifugeuse décantation miscible non miscible entonnoir à robinet ou à décantation soluble solvant solution évaporation résidu précipitation cristal/cristaux cristallisation distillation (fractionnée) Les corps purs transformation changement d état fusion solidification liquéfaction vaporisation sublimation condensation ébullition point d ébullition point de fusion molécule thermolyse/pyrolyse électrolyse élément chimique atome symbole tableau périodique corps pur simple corps pur composé formule brute 1.2 Compétences à acquérir au cours de ce chapitre A la fin de ce chapitre vous devrez être capable de Distinguer, l un de l autre, deux types de mélanges. Distinguer un mélange, d un corps pur, d un élément. D associer chaque type de mélange avec ses méthodes de séparation. Décrire le principe de chaque méthode séparation. D appliquer une méthode ou une succession de méthodes de séparation pour isoler le ou les corps purs composant(s) un mélange. Reconnaître et d interpréter le graphique d une distillation. Définir ce qu est un corps pur.

2 Citer les différents noms des changements d état physique des corps purs. D associer les noms des changements d états des corps purs, aux états physiques correspondants. D associer les changements d état physique des corps purs, aux représentations graphiques correspondantes. Citer et décrire les différentes méthodes de décomposition des corps purs. Restituer la schématisation de la décomposition de l eau par électrolyse (démonstration). Différencier et définir les termes : évaporation, ébullition et vaporisation. Trouver, utiliser et changer les unités des constantes physico-chimiques des corps purs, associées aux méthodes de séparation ou aux changements d états, dans la table CRM. Différencier et définir les termes : corps purs, molécule et éléments. Lire/décoder la formule brute d une molécule. Identifier les corps purs simples et les corps purs composés d après leur formule brute. Représenter de façon simpliste (élément = disque) les molécules à partir de leur formule brute. 1.3 La matière La matière est tout ce qui occupe un espace. L eau, la poussière de même que les plantes, les animaux, les planètes du système solaire sont faits de matière. Toute matière à une masse, c est en quelque sorte la quantité de matière (atomes et molécules) qui la constitue. 1.4 Les états de la matière La matière peut prendre des formes très variées, mais elle se présente sous 4 états principaux : Sur la Terre : Solide (S) Liquide (L) Gaz (G) 1.5 Les mélanges Au cœur des étoiles: Plasma= fluide gazeux d une température de 10'000'000 C. Remarque : dans l Univers, la plus grande partie de la matière se trouve à l état de plasma. La matière brute, telle que nous la trouvons dans la nature, se présente souvent sous forme de mélanges de diverses substances Un mélange est formé de plusieurs constituants qui peuvent être solides, liquides ou gazeux et qui conservent leurs propriétés. L'observation des mélanges, à l œil ou l'aide d'un microscope, permet de les classer en deux catégories : La matière dans tous ces états 2

3 A) Mélanges hétérogènes : au sein desquels, on peut distinguer, à l œil ou à l'aide d'un microscope, des parties ayant des aspects différents. Exemples : sable, bois, béton, plante, eau naturelle non filtrée, sauce à salade, etc.. B) Mélanges homogènes : qui ont le même aspect (mêmes propriétés) en tous leurs points et au sein desquels, il est impossible de discerner plusieurs constituants. Exemples : eau salée ou sucrée (solutions), air, acier (alliages), vin, etc Les méthodes de séparation des constituants d un mélange La première étape de l analyse de la matière consiste à séparer les mélanges pour obtenir des corps purs, c est-à-dire à «trier» les constituants du mélange selon leurs propriétés physiques (aspect, taille, densité, température d ébullition ) sans changer la nature chimique de la substance. Le choix de la méthode de séparation va dépendre de la nature hétérogène ou homogène du mélange. Nous décrivons ici quelques méthodes de séparation utilisées fréquemment au laboratoire (voir expériences) Séparation des mélanges hétérogènes Mélange Solide-Solide Le tamisage Le tamisage permet de séparer des solides dont les particules sont de dimensions différentes. Si les particules des divers constituants sont de densités différentes, elles peuvent être séparées soit par un courant d air (ventilation), soit par un courant d eau (lévigation ou flottation). Le triage magnétique Si l un des solides contient du fer, on pourra le séparer à l aide d un aimant. La dissolution : Enfin, si l un des constituants est soluble dans l eau ou un autre liquide, on effectuera la séparation par dissolution du constituant soluble dans le liquide (solvant) approprié Mélange Liquide-Solide La filtration La filtration permet de séparer facilement le liquide et les particules solides. Le mélange est versé sur un filtre (papier ou une autre matière) qui laisse passer le liquide (filtrat) et retient les particules solides. La matière dans tous ces états 3

4 La décantation Dans la majorité des cas, si on laisse reposer un mélange solide-liquide, la séparation se fait spontanément car les particules solides se déposent au fond du récipient. Une fois les particules solides déposées, on peut prélever le liquide, qui surmonte le dépôt solide. n dit alors que l on décante. La centrifugation Lorsque la décantation ou la filtration sont difficiles à réaliser, la technique la plus simple pour séparer un mélange solide-liquide est la centrifugation. Les centrifugeuses sont des appareils comprenant un moteur permettant de soumettre à un mouvement de rotation rapide, autour d'un axe, des tubes à centrifuger contenant le mélange à séparer. Le dépôt de la phase solide est considérablement accéléré sous l'action de la force centrifuge (100 à 1000 fois plus grande que celle due à la pesanteur) Mélange de plusieurs liquides non miscibles Entonnoir à robinet Des liquides non miscibles sont des liquides qui ne se mélangent pas, comme l eau et l huile. La décantation Si on laisse au repos un mélange de un ou plusieurs liquides non miscibles, on obtient généralement une séparation de ces liquides. Ceux-ci se répartissent dans le récipient en couches superposées par ordre de leur masse volumique. n peut alors facilement séparer les diverses couches en employant un entonnoir à robinet ou à décantation. Liquide le plus dense Séparation des mélanges homogènes La séparation des mélanges homogènes s effectue par des méthodes spécifiques nécessitant souvent de l énergie sous forme de chaleur Les solutions Une solution est un ou plusieurs solide(s), gaz ou liquide(s) qui est(sont) dissout(s) dans un liquide. L évaporation L évaporation est utilisée lorsque la solution est composée d un solide dissout dans un liquide. Si le liquide de la solution est volatil, l eau, l alcool par exemple, on élimine le liquide en chauffant la solution. n peut ainsi recueillir le corps solide, résidu de l évaporation totale du liquide. Dans cette opération, le liquide de la solution est perdu. La matière dans tous ces états 4

5 n peut aussi effectuer une évaporation partielle du liquide. Lors de cette opération, on arrête l évaporation du liquide lorsque le solide ne peut plus rester dissout dans le liquide (on parle de solution saturée). Le solide se séparera du liquide de lui-même sous forme d une poudre, c est la précipitation ou sous forme de cristaux: c est la cristallisation. La chromatographie La chromatographie est utilisée pour séparer une solution composée d au moins deux composés solides ou liquides, dissout dans un liquide. Il existe plusieurs types de chromatographie, mais dans tous les cas le principe est le même : La solution est déposée sur un support solide (papier, gélatine, silice (Si 2 ), polymère, silice greffée), puis le liquide qui sert à la dissolution est évaporé. Le mélange est ensuite entraîné par un courant de liquide (sur le dessin appelé solvant) ou de gaz n appartenant pas à la solution initiale, le long du support solide. Chaque composé du mélange se déplace à une vitesse qui dépendant de ses propriétés physiques, de celles du support solide et de celles du liquide ou du gaz entraîneur. Les différents corps purs du mélange ne déplaçant à des vitesses différentes, ils peuvent être ainsi séparés puis récupérés Mélange homogène de plusieurs liquides thermomètre réfrigérant Eau froide La distillation La distillation est basée sur le fait que les différents liquides n'ont pas la même température d'ébullition. n chauffe le mélange dans un ballon. La substance la plus volatile s'échappe et est récupérée dans le condenseur (réfrigérant) qui refroidit la vapeur et la liquéfie (distillat). distillat La matière dans tous ces états 5

6 Si les liquides ont des températures d ébullition suffisamment différentes, on peut, en recueillant les fractions successives de la distillation, séparer les divers liquides (distillation fractionnée). Résumé : Lorsque les constituants d'un mélange obtenus après utilisation des méthodes de séparation, sont formés d une seule substance, ils s appellent des corps purs. Mélange En fonction de la nature homogène ou hétérogène des mélanges, diverses méthodes de séparation pourront être utilisées. Corps purs Après séparation, les composés obtenus sont sous forme de corps purs, c est-à-dire constitués d une seule substance. 1.7 Les corps purs Un corps pur est une substance qui résiste à tous les essais de séparation par des méthodes physiques. En pratique, il est souvent difficile de dire à première, vue si un échantillon de matière est un mélange ou un corps pur. C'est l'observation minutieuse des propriétés physiques de la substance qui permettra de conclure. Contrairement aux mélanges, les corps purs sont caractérisés par des propriétés physiques qui constituent sa carte d'identité. Les principales propriétés physiques utilisées sont - la masse volumique (kg/m 3 ou g/cm 3 ), - la température de fusion, - la température d ébullition. Important : Ces données se trouvent dans votre table CRMPC. La matière dans tous ces états 6

7 1.7.1 Les changements d état des corps purs n appelle changement d état (ou transition de phase), la transformation au cours de laquelle, la pression étant maintenue constante, la matière passe de l un des 3 états physiques à un autre. Il y a 6 changements d états possibles pour un corps pur, que l on peut résumer par le schéma suivant : Sublimation inverse Vaporisation Pendant toute la durée d un changement d état, les deux états physiques impliqués coexistent. Lors d un changement d état d un corps pur, la température reste constante tant que les deux états physiques impliqués coexistent. Evaporation, ébullition ou vaporisation? Le passage d un corps pur de l état liquide à l état gazeux, à n importe quelle température, est appelé vaporisation. L expérience montre que quelques gouttes d alcool étalées sur une plaque de verre, disparaissent peu à peu. n dit que l alcool s est évaporé. Celui s est transformé en vapeur, à température ambiante. De même, l eau qui recouvre la chaussée après la pluie, disparaît peu à peu, dans l air, sous forme de vapeur d eau. Dans un système ouvert, comme dans le cas de la pluie, l évaporation du liquide peut être totale. Dans un système fermé (et étanche), comme un verre d eau avec un couvercle, l évaporation du liquide a lieu mais seulement jusqu à un certain point. Dans ce cas, il restera toujours du liquide et la quantité de liquide qui s évapora dépendra de la température. L évaporation a lieu à la surface du liquide, à une température inférieure à la température d ébullition. Le point ou la température d ébullition est a) La température maximale qu un liquide peut atteindre, pour une pression donnée, car ensuite le liquide change forcément d état pour devenir gazeux. n parle alors La matière dans tous ces états 7

8 d ébullition s il s agit d un corps pur. b) La température minimale qu un gaz peut atteindre, pour une pression donnée, car ensuite le gaz change forcément d état pour devenir liquide. n parle alors de liquéfaction s il s agit d un corps pur. Vaporisation Ebullition = Vaporisation à la température d'ébullition Evaporation = Vaporisation à une température plus basse que la température d'ébullition Le point ou la température de fusion est a) La température maximale qu un solide peut atteindre, pour une pression donnée, car ensuite le solide change forcément d état pour devenir liquide. n parle alors de fusion s il s agit d un corps pur. b) La température minimale qu un liquide peut atteindre, pour une pression donnée, car ensuite le liquide change forcément d état pour devenir solide. n parle alors de solidification s il s agit d un corps pur Décomposition d un corps pur Un corps pur est formé d une énorme quantité de constituants identiques que l on appelle molécules. La molécule est la plus petite fraction d'un corps pur, qui puisse exister à l'état libre, tout en conservant les propriétés du corps pur. n connaît actuellement plusieurs millions de corps purs, et donc de molécules, différents et chaque jour de nouveaux corps sont fabriqués. La majorité des corps purs peuvent encore être décomposés par des procédés chimiques tels que : La thermolyse ou pyrolyse : décomposition d une substance par la chaleur. L'électrolyse: décomposition d une substance par le courant électrique. Les molécules sont elles-mêmes formées d éléments. La thermolyse ou l électrolyse sépare les éléments d un corps pur pour les recombiner de manière différente. Remarque : Molécule Elément chimique L application d une méthode de séparation sur un mélange ne modifie pas les propriétés des corps purs qui composent le mélange, alors que la décomposition d un corps pur détruit ce corps pur pour former de nouveaux corps purs qui n existaient pas avant la décomposition. La matière dans tous ces états 8

9 L'électrolyse de l'eau a) Complétez le dessin du montage de l expérience. b) Représentez à l aide du modèle moléculaire (en dessinant les atomes et les molécules) la décomposition de l eau par électrolyse. electrolyse Les éléments Les éléments sont les constituants des molécules. Les éléments sont regroupés dans le tableau périodique des éléments. Actuellement, il existe plus de 109 éléments différents, dont 92 sont des éléments naturels (présents dans la nature). Chaque élément est représenté par un symbole. Le symbole est constitué soit d une seule lettre qui est une majuscule soit de deux lettres, une majuscule suivie d une minuscule. Ce formalisme doit être strictement respecté sous peine de mélanger les éléments entre eux. Exemple : Co = cobalt, alors que C = carbone + oxygène Lecture et décodage de la formule brute d une molécule La formule brute d une molécule contient - le symbole de chacune des sortes d éléments qui la compose. - des indices numériques qui suivent chaque symbole. Exemples : N 2 ; Al 2 3 La matière dans tous ces états 9

10 Lorsqu un symbole n est suivi d aucun indice numérique, ce dernier vaut par défaut 1. Exemple : Na 2 C 3 Na 2 C 1 3 Rappel : Un symbole est formé ou commence par une lettre majuscule. n change donc de symbole chaque fois qu apparaît une lettre majuscule dans la formule brute. L indice numérique indique le nombre de fois qu apparaît l élément dont le symbole précède l indice, dans la molécule. Exemple : Na 2 C 3 Na 2 : la molécule contient 2 éléments sodium C= C 1 : la molécule contient 1 élément carbone 3 : la molécule contient 3 éléments oxygène Corps purs simples et corps purs composés Un corps purs simple est composé de molécules qui ne contiennent qu'une seule sorte d élément. Un corps pur composé est composé de molécules qui contiennent plusieurs sortes d éléments. La décomposition d un corps pur composé conduit à la formation de plusieurs corps purs simples. Exemples Molécules de corps purs simples le gaz hydrogène : Molécule Formule brute le gaz oxygène : l ozone : Molécules de corps purs composés l eau : H H le gaz carbonique : C l alcool : La matière dans tous ces états 10

11 n peut résumer toutes ces notions par le schéma suivant : Mélanges Méthodes de séparation physique Corps purs simples Electrolyse ou pyrolyse Corps purs composés Eléments Tableau périodique La matière dans tous ces états 11

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE

TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE La synthèse organique suit en général le schéma suivant : Synthèse Séparation des produits Caractérisation du produit Pur? Oui Fin. Evaluation du rendement Non Purification

Plus en détail

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU

EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Suivi d une réaction lente par chromatographie

Suivi d une réaction lente par chromatographie TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence

Plus en détail

Guide du bon contrôle de fuite

Guide du bon contrôle de fuite Projet ZERO émissions et fuite de fluide frigorigène Guide du bon contrôle de fuite Traduit et adapté à la France par l www.afce.asso.fr Page 0 Guide du bon contrôle de fuite L Institut de Réfrigération

Plus en détail

Matériel de laboratoire

Matériel de laboratoire Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.

Plus en détail

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Notice technique La filtration sur terre

Notice technique La filtration sur terre Notice technique La filtration sur terre 1 PRINCIPES ET DEFINITIONS La filtration du vin est une pratique très ancienne. Le mot lui même est un dérivé de «filtrum», le feutre qui était alors utilisé pour

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

La Vinification en Alsace

La Vinification en Alsace La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

Savoir écouter, assimiler : s approprier

Savoir écouter, assimiler : s approprier PCSI TP-DI Chimie organique INITIATION A LA CHIMIE ORGANIQUE Travail élève : savoirs et actions Compétences attendues Au début du TP, quelques explications orales sur le déroulement de la séance, sur le

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

TP n 1: Initiation au laboratoire

TP n 1: Initiation au laboratoire Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire

Plus en détail

Feuille de garde contenant les suppléments nationaux à la feuille des données de sécurités UE OLDO AKTIV OX

Feuille de garde contenant les suppléments nationaux à la feuille des données de sécurités UE OLDO AKTIV OX Version 002 Révisée le: 26.03.1997 Feuille de garde contenant les suppléments nationaux à la feuille des données de sécurités UE OLDO AKTIV OX Total de pages (la feuille de garde inclus) : 5 1. IDENTIFICATON

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

MICROTRON MB 550 / MB 800

MICROTRON MB 550 / MB 800 MICROTRON MB 550 / MB 800 Mélangeur de laboratoire TECHNIQUE D HOMOGÉNÉISATION ET DE MÉLANGE AU LABORATOIRE POUR DES ECHANTILLONS SÉCABLES ET LIQUIDES MICROTRON - Mélangeur de laboratoire Lors de la préparation

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013 La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste

Plus en détail

Exercices sur le thème II : Les savons

Exercices sur le thème II : Les savons Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide

Plus en détail

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du

Plus en détail

Sommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2

Sommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 Sommaire La pression des gaz Séance 1 Comprimer de l air Séance 2 Mesurer la pression d un gaz Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 24 Cned, Physique - Chimie

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Mesure des caractéristiques des combustibles bois

Mesure des caractéristiques des combustibles bois Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée

Plus en détail

Puissant et écologique à la fois

Puissant et écologique à la fois Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

Des molécules hydrophobes dans l eau

Des molécules hydrophobes dans l eau Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.

Plus en détail

Q U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie

Q U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 1 Q U E S T I O N S 1/ Le soleil est : Une étoile Une planète 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 3/ Le soleil tourne-t-il

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

Séparateurs d huile/eau

Séparateurs d huile/eau Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles

Plus en détail

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005

SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005 SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005 1 / 13 SOMMAIRE CLASSIFICATION DES APPAREILS 3 TUYAUTERIE 4 ACCESSOIRES ET ROBINETTERIE 5 APPAREILS DE SEPARATION 6 COLONNES ET REACTEURS 7 ECHANGEURS DE CHALEUR 8 MANUTENTION

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

Introduction générale aux nanomatériaux

Introduction générale aux nanomatériaux Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

Animations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde

Animations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde Animations Physique Chimie Seconde Extraction de l'eugénol La nature inspire les hommes Identification de principes actifs Identification d'une espèce chimique Support de l'exercice - Colorants alimentaires

Plus en détail

1. Identification de la substance / préparation et de la société / entreprise. Peinture Aimant

1. Identification de la substance / préparation et de la société / entreprise. Peinture Aimant Page: 1 de 6 1. Identification de la substance / préparation et de la société / entreprise. Nom du produit: Utilisations: Identification de l'entreprise: Peinture dispersion à base d'eau pour l'usage intérieur.

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Comment assurer la sécurité d un laboratoire utilisant des nanoparticules et des substances hautement actives?

Comment assurer la sécurité d un laboratoire utilisant des nanoparticules et des substances hautement actives? Comment assurer la sécurité d un laboratoire utilisant des nanoparticules et des substances hautement actives? Adrien Bisel Institut Suisse de Promotion de la Sécurité, WRO-1055.5.51, CH-4002 Bâle adrien.bisel@swissi.ch;

Plus en détail

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence. Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas

Plus en détail