Rapport annuel d'activité, année Laboratoire National de Référence. Mycoplasmoses aviaires

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rapport annuel d'activité, année Laboratoire National de Référence. Mycoplasmoses aviaires"

Transcription

1 Rapport annuel d'activité, année 214 Laboratoire National de Référence Mycoplasmoses aviaires Nom du responsable du LNR Bouchardon Anne Nom de l'unité où l'activité du LNR est mise en œuvre Unité de Mycoplasmologie - Bactériologie Nom du laboratoire où l'activité du LNR est mise en œuvre Laboratoire de Ploufragan Nombre de laboratoires agréés et/ou reconnus dans le réseau Précisez la catégorisation du danger (en SA) sinon la justification de l'existence du mandat de LNR Mycoplasma gallisepticum chez la poule et la dinde, et Mycoplasma meleagridis chez la dinde, sont des maladies qui font l objet de mesures de contrôle (dépistage et suivi des élevages de sélection et de reproduction) nécessitant le support d un LNR. 1

2 Introduction Les faits marquants de l'année L année 214 a été marquée essentiellement, comme les années précédentes, par les problèmes dus à Mycoplasma synoviae dans les élevages : - syndrome des œufs à extrémités de verre chez les poules pondeuses, qui entraine des pertes importantes dans les élevages (œufs cassés, fêlés ou déclassés, nettoyage des lignes de ramassage des œufs et des centres de conditionnement) - synovite infectieuse chez les poulets et les dindes de chair, avec de forts taux de saisie à l abattoir. Une souche de Mycoplasma gallisepticum (espèce rarement retrouvée sur le terrain du fait des programmes de contrôle) et trois souches de Mycoplasma iowae ont été isolées. Cette année a également été marquée par l'obtention de résultats encourageants pour la détection des différentes espèces de mycoplasmes aviaires par la technique Maldi-Tof, dans le cadre d'un stage de deuxième année d'iut effectué en collaboration avec le Laboratoire Labocea de Ploufragan. 1. Méthodes développées ou révisées Nombre de méthodes développées ou révisées proposées à l autorité compétente Donner le nom et une brève description de chacune de ces méthodes Différentes méthodes sont utilisées au sein de l UMB pour isoler, identifier et caractériser les mycoplasmes aviaires : - culture sur milieux spécifiques (liquide ou gélosé) pour isoler les souches de mycoplasmes ; ces cultures sont principalement réalisées à partir d écouvillonnages (trachée, sacs aériens, cloaque, liquide synovial), mais peuvent également être effectuées à partir de tissus (fragments de trachée, vitellus ou albumen des œufs) ; la mise en culture s effectue par dilutions de raison 1 dans des milieux très riches et supplémentés avec des antibiotiques pour limiter les contaminations éventuelles ; les tubes ou les géloses ensemencées sont incubées pendant plusieurs jours à plusieurs semaines, du fait de la croissance très lente des mycoplasmes par rapport à des bactéries «classiques» ; la culture est également utilisée pour titrer les suspensions mycoplasmiques aliquotées et conservées à une température <-65 C. - observation des colonies de mycoplasmes sous loupe binoculaire pour vérifier leur aspect et la pureté des suspensions. - identification par amplification génique (PCR) : l UMB a développé ou adapté différentes méthodes PCR afin de détecter et d identifier les mycoplasmes aviaires : - PCR spécifique de M. gallisepticum, développée au sein de l UMB, 2

3 - PCR spécifique de M. synoviae, adaptée à partir d une méthode publiée, - PCR spécifique de M. iowae, développée au sein de l UMB, - PCR spécifique de M. meleagridis, développée au sein de l UMB, - PCR spécifique de la Classe des Mollicutes (genres Mycoplasma, Ureaplasma, Spiroplasma et Acholeplasma), adaptée à partir d une méthode publiée : cette PCR permet, lorsque les autres PCR sont négatives, de détecter la présence d autres espèces de mycoplasmes et elle peut servir de base pour une identification de l espèce par séquençage. - détection d anticorps spécifiques de M. gallisepticum et M. synoviae dans les sérums de poules et de dindes, et de M. meleagridis dans les sérums de dindes par la méthode d agglutination rapide sur lame (ARL). Le laboratoire est accrédité par le COFRAC (n 1-225) pour ces techniques depuis détection d anticorps spécifiques de M. synoviae dans les sérums de poules et de dindes par la méthode ELISA (kit commercial). Nombre de méthodes développées ou révisées qui sont susceptibles d être prêtes pour être proposées à l autorité compétente au cours de l année N+1 1 Donner le nom et une brève description de chacune de ces méthodes Une collaboration a été mise en place avec le Laboratoire Labocea en 213 et 214 pour tester la possibilité d identifier les mycoplasmes aviaires par la technique de spectrométrie de masse Maldi-Tof. Les résultats obtenus au cours de l'année 214 semblent encourageants et la technique pourra sans doute être validée au cours de l année 215 pour les espèces les plus courantes. 2. Matériels biologiques ou chimiques, matériaux de référence et échantillons et souches d'intérêt Décrire ici les collections d'échantillons biologiques ou d'autre nature (environnement, aliment...) conservés par le LNR; indiquer les méthodes de conservation, la température, le nombre de "repositories", le nombre d'échantillons par souche, l'enregistrement associé...). o Nombre de souches/échantillons reçu(e)s et mises en collection dans l année : - Au cours de l année 214, 339 échantillons (écouvillonnages trachéaux, écouvillonnages cloacaux, écouvillonnages d oviductes, écouvillonnages d articulations, organes, œufs, sérums) ont été reçus de différents élevages ou laboratoires, dont 254 échantillons (sérums, œufs ou écouvillonnages trachéaux) provenant d élevages de poules pondeuses atteints du syndrome des œufs à extrémité de verre (recherche de M. synoviae par culture et PCR ou par sérologie). Les suspensions initiales issues de ces échantillons, ou les sérums, ont été 3

4 conservés à une température <-65 C (1 à 2 aliquotes par prélèvement). En fonction des résultats obtenus par culture / PCR, certains échantillons ont été éliminés ou le seront au cours des prochaines années afin de ne conserver que les cultures positives ou les souches isolées à partir de ces prélèvements et quelques échantillons négatifs (pour validation de méthodes de détection). - trois souches ont été reçues pour identification et/ou conservation : il s agissait d une souche isolée d une canard (souche de M. imitans) et d une souche isolée d un faisan (identification de l espèce à effectuer au cours de l année 214) ; les souches ont été mises en conservation à <-65 C dans du milieu contenant 2% de glycérol (2 à 5 aliquotes de 1 ml par souche). - Au total, 41, 5, 3 et 1 cultures respectivement positives vis-à-vis de M. synoviae, M. iowae, M. gallisepticum et M. imitans ont été mises en conservation cette année à <-65 C dans du milieu contenant 2% de glycérol (2 aliquotes par culture). - Dans le cadre de la surveillance du statut des troupeaux de poules et de dindes EOPS du laboratoire de Ploufragan, 179 échantillons de sang (373 sangs de dindes et 136 sangs de poules) ont été reçus au laboratoire. Quelques dizaines de sérums ont été conservés à <-18 C. o Nombre de souches/échantillons maintenus au total : - Souches de référence pour différentes espèces de mycoplasmes aviaires (dont trois souches de référence M. gallisepticum, trois M. iowae, une M. synoviae et une M. meleagridis) ; - Autres souches : M. gallisepticum (3), M. synoviae (162), M. meleagridis (15), M. iowae (45), M. imitans (5), autres souches isolées du terrain et identifiées (M. gallinarum, M. anatis, M. glycophilum) ou à identifier plus précisément (par séquençage par exemple, 52 souches) ; - «Mutants» de M. gallisepticum, M. synoviae et M. iowae obtenus par sélection en milieu contenant des concentrations subinhibitrices d antibiotiques (fluoroquinolones, macrolides) : au minimum 2 «mutants» par espèce et par antibiotique ; Toutes les souches citées ci-dessus sont conservées à <-65 C dans du milieu contenant 2% de glycérol (2 à 5 aliquotes de 1 ml par souche). - Sérums de référence : le LNR fourni des sérums de référence des espèces poule et dinde pour la technique d ARL (sérums négatifs, sérums positifs pour M. gallisepticum, M. synoviae ou M. meleagridis) ; ces sérums sont conservés en pool à <-18 C, puis en aliquotes de 1 ml lyophilisées (pour utilisation et expédition vers les laboratoires d analyse) et conservées à 5 C ± 3 C. Au cours de l année 214, un nouveau stock de sérum de référence positif vis-à-vis de M.meleagridis a été produit sur dindes EOPS. Nombre de souches/échantillons reçu(e)s et mis(es) en collection dans l'année 5 Nombre de souches/échantillons maintenu(e)s au total 12 4

5 3. Activités d'analyse 3.1 Analyses officielles de première intention Nombre d'analyses de première intention réalisées dans l'année (de biotypie, sérotypie, caractérisation moléculaire...) 5398 Détaillez ici par type d'analyse de première intention Le LNR effectue essentiellement des diagnostics de première intention pour le suivi sanitaire des troupeaux EOPS (poules et dindes) du Laboratoire de Ploufragan : en tout, 491 ARL, une mise en culture et deux réactions de PCR ont été réalisées en 214 pour ces troupeaux. De plus, dans le cadre de la production d'un nouveau sérum de référence, 66 analyses ont été réalisées sur les sérums des animaux inoculés. En tout, 339 prélèvements non liés au suivi des troupeaux EOPS ont été reçus et ont donné lieu à 1241 analyses de première intention (mise en culture et PCR, ARL ou ELISA en fonction des prélèvements) au cours de l année 214 (prélèvements provenant essentiellement de troupeaux de dindes ou de poules pondeuses). Ces derniers chiffres sont en légère diminution par rapport à l'année 213, en partie à cause de l'absence des deux principales personnes en charge du LNR en fin d'année Analyses officielles de confirmation Nombre d'analyses de seconde intention réalisées dans l'année (de biotypie, sérotypie, caractérisation moléculaire...) 3 Détaillez ici par type d'analyse de confirmation Au cours de l année 214, trois échantillons (cultures) provenant d un laboratoire d analyse ont été envoyés au LNR pour confirmer la présence de mycoplasmes et pour identifier, le cas échéant, l espèce du mycoplasme isolé. Ces échantillons ont été mis en culture, clonés, et des PCR spécifiques des principales espèces de mycoplasmes aviaires pathogènes ont été effectuées. Des essais d'identification par spectrométrie de masse MALDI-TOF et par séquençage seront réalisés au cours de l'année 215 car ces souches, reconnues par la PCR spécifique des mycoplasmes, n'ont pas été identifiées avec les différents tests de PCR spécifiques des quatres principales espèces de mycoplasmes aviaires pathogènes. 5

6 Taux de confirmations par type d'analyse (= nombre de résultats confirmés / nombre d'analyses officielles de seconde intention réalisées) 3/ Autres analyses Nombre estimé d'autres analyses (non officielles) réalisées dans l'année en lien avec le mandat de LNR 4. Activités de production et de contrôle de matériaux de référence et de réactifs biologiques Le LNR produit-il et fournit-il des réactifs? Non Le LNR fournit-il des matériaux de référence? Oui Cette activité est-elle une obligation découlant de textes réglementaires, normatifs ou infra-réglementaires (notes de service). Si oui, lesquels? Mycoplasma gallisepticum chez la poule et la dinde, et Mycoplasma meleagridis chez la dinde, provoquent des infections et des maladies qui font l objet de mesures de contrôle (dépistage et suivi obligatoire des élevages de sélection et de reproduction) : DGAL/SDSPA/N2-859 et 86. Le LNR fourni des sérums de référence (positifs et négatifs) pour la méthode ARL, norme NFU Quels sont les types de matériaux de référence (MRE, MRI, contrôles positifs ou négatifs, autre) produits et fournis? Sérums de poules ou de dindes EOPS (contrôles négatifs pour la méthode ARL) Sérums de poules positifs pour M. gallisepticum ou M. synoviae (contrôles positifs pour la méthode ARL) Sérums de dindes positifs pour M. gallisepticum, M. synoviae ou M. meleagridis (contrôles positifs pour la méthode ARL) 6

7 Quel est le format (sérum, souche, produit chimique, autre) de ces matériaux de référence? Sérums sous forme lyophilisée Quel est le nombre de lots produits et fournis par an? (moyenne sur les 5 dernières années) 1 Quelles sont les quantités produites/fournies par lot? (moyenne sur les 5 dernières années) 5 Analyse de l'évolution (augmentation, diminution) des tendances en termes d'activité sur les 5 dernières années Cette activité est restée stable sur ces cinq dernières années Le LNR réalise-t-il des contrôles de réactifs commerciaux? Oui Cette activité est-elle une obligation découlant de textes réglementaires, normatifs ou infra-réglementaires (notes de service). Si oui, lesquels? Le LNR contrôle les antigènes qu'il utilise pour ses essais ARL. Dans le cadre de l'edqm, un contrôle de vaccin atténué contre M. synoviae (vaccin MS-H) a également été effectué en Quelles sont les modalités de contrôle (initiaux, répétitifs, lot par lot)? Les trois antigènes utilisés dans les ARL font l'objet de contrôles initiaux puis lot par lot. leur spécificité, sensibilité et stabilité dans le temps sont ensuite contrôlées régulièrement aux cours des essais réalisés au sein du LNR. Quel est le nombre de contrôles - ou de lots contrôlés - par an? (moyenne sur les 5 dernières années) 3 7

8 Analyse de l'évolution (augmentation, diminution) des tendances en termes d'activité sur les 5 dernières années L'activité est restée stable sur ces cinq dernières années. 5. Activités d'expertise scientifique et technique 5.1. Demandes d expertise scientifique et technique du ministère (chargé de l agriculture, santé, etc ) ou d instances communautaires et internationales qui concernent votre domaine de compétence Nombre de rapports d'est rendus dans l'année 5.2. Autres expertises Les membres de l'équipe du LNR peuvent avoir des activités d'expertise (internes: CES, GT ou externe: EFSA...) ou des activités auprès de commissions de normalisation (Afnor...). Détaillez ici ces activités et estimez le temps qui y est consacré. Les membres du LNR n ont pas eu d activités d expertise ou de normalisation au cours de l année 214. Anne Bouchardon a été sollicitée par des journaux pour la relecture d articles scientifiques (traitant des mycoplasmes aviaires ou de la résistance des mycoplasmes aux antibiotiques) avant publication. Ces activités, réalisées intuitu personae, ne sont cependant pas considérées comme un travail du LNR proprement dit Dossiers de demande d'agrément Nombre de dossiers de demande d'agrément étudiés dans l'année 5.4. Activités de conseil aux professionnels Détaillez ici ces activités et estimez le temps qui y est consacré Les appels et messages sont essentiellement reçus et gérés par la responsable du LNR. Une boîte aux lettres spécifique au LNR est consultable par toutes les personnes impliquées dans le LNR : lnr.mycoaviaires@anses.fr. Cette boîte aux lettres fonctionne et est utilisée 8

9 depuis le deuxième semestre 212. Beaucoup de professionnels continuent néanmoins à contacter directement la responsable du LNR sur sa boîte professionnelle. Le LNR reçoit en moyenne cinq appels ou messages par semaine de la part de laboratoires départementaux ou privés, de vétérinaires, ou de techniciens pour : - des demandes de renseignements sur la méthode ARL, la culture des mycoplasmes (composition des milieux de culture, méthodes d isolement par culture), les prélèvements à privilégier pour permettre l isolement des mycoplasmes, etc. ; - des demandes de renseignements généraux sur les modes de transmission des mycoplasmes aviaires, les moyens de lutte (protection, prévention, antibiothérapie, vaccins disponibles) ; Cette activité de conseil peut être estimée à environ ½ journée par semaine en moyenne. 6. Animation du réseau de laboratoires officiels 6.1. Organisation d'eila Précisez ici le nombre d'eila organisés par le LNR au cours de l année N Nom (s) et nombre(s) d'eila que vous prévoyez d'organiser au cours de l année N+1 Sans objet Précisez le nombre d'eil (hors EILA - dont EILV en lien avec méthodes en cours de validation telles que précisées dans le paragraphe 1) organisés par le LNR au cours de l année N Détaillez ici le nombre de laboratoires ayant participé pour chaque EIL (hors EILA) Précisez le nombre d'eil (hors EILA) que vous prévoyez d'organiser au cours de l année N Formation, organisation d'ateliers, accueil de stagiaires Nombre de journées d'échange et de restitution rassemblant les laboratoires agréés du réseau, organisées dans l'année 9

10 Nombre de sessions de formation des personnels des laboratoires agréés aux méthodes utilisées pour les contrôles officiels, organisées dans l'année 6.3. EILA auxquels le LNR a participé dans l'année Détaillez les EILA auxquels le LNR a participé dans l'année, dans le cadre : National; UE ( EILA organisé par le LRUE); International Pour la technique ARL, un EILA européen est organisé par le laboratoire GD B.V. Animal Health (Deventer, Pays-Bas) tous les ans. Le LNR y participe tous les ans, au printemps, afin de valider ses essais réalisés sous logo COFRAC. Les résultats obtenus en 214 par le LNR ont été satisfaisants. 7. Participation aux activités de surveillance 7.1 PS/PC Existe-t-il un ou plusieurs PS/PC élaboré(s) par l'autorité sanitaire dans le champ du LNR? non 7.2 Activités de surveillance hors PS/PC Dispositif(s) hors PS/PC Indiquer si le LNR est intégré à un (ou des) dispositif(s) de surveillance (hors PS/PC)? Non 8. Activités de recherche en lien avec l activité de référence 8.1. Recherches méthodologiques pour la référence Détaillez ici les recherches méthodologiques que vous avez réalisées dans l'année : objectifs, partenariats, apports du LNR, projets retenus dans le cadre d'appels à projets... Une collaboration a été mise en place avec Labocea en 213 afin d étudier la possibilité d une identification des espèces de mycoplasmes aviaires et porcins par spectrométrie de 1

11 masse (Maldi-Tof) : culture et préparation des souches de mycoplasmes au sein du LNR, analyse des souches avec le biotyper (Maldi-Tof de Brücker) disponible au Labocea. Différents spectres de référence ont été créés et testés avec des souches des mêmes espèces. Les premiers résultats obtenus en fin d année 213, essentiellement sur des souches porcines de mycoplasmes, étaient encourageants. L étude s'est poursuivie en 214, avec la validation de différents spectres de référence de plusieurs espèces de mycoplasmes aviaires, notamment pour les principales espèces pathogènes (M. gallisepticum, M. synoviae, M. iowae et M. meleagridis. Cette recherche méthodologique va se poursuivre pour des espèces moins fréquemment isolées ou isolées d espèces animales mineures (gibiers, canards ), pour lesquelles une étape de séquençage est nécessaire pour le moment afin de les identifier, car aucun test PCR n'est disponible. Le facteur limitant pour la validation des spectres de référence de ces espèces moins fréquemment rencontrées reste le nombre de souches disponibles au sein de la souchothèque du LNR et de Labocea. Cette technique s'est avérée également très utile pour mettre en évidence des mélanges d'espèces mycoplasmiques dans certaines préparations, mélanges qui n'étaient que très rarement détectés auparavant par culture ou tests moléculaires Recherches associées pour la référence Détaillez ici les recherches associées auxquelles vous avez participé dans l'année (participations à des études cliniques, études d'incidences, modèles d'infections expérimentales, études toxicologiques, essais vaccinaux...): objectifs, partenariats, apports du LNR, projets retenus dans le cadre d'appels à projets... Au cours des années précédentes, en collaboration avec des professionnels de la filière (vétérinaires et éleveurs), des prélèvements ont été réalisées dans différents élevages de poules pondeuses positives pour M. synoviae présentant le syndrome des œufs à extrémité de verre. Des analyses (mise en culture, PCR, ARL, ELISA) ont été effectuées à partir des prélèvements réalisés par les vétérinaires et/ou techniciens d élevage. Une discordance a été mise en évidence entre les résultats obtenus par ARL et ceux obtenus par ELISA, PCR ou culture : seulement 3 à 13% des sérums ont été détectés positifs vis-à-vis de M. synoviae par la technique ARL alors que 88 à 1% des poules étaient positives par ELISA, PCR ou culture. Des essais complémentaires, en utilisant différentes techniques sérologiques de détection des anticorps dirigés contre M. synoviae ont été utilisées au cours de l année 213 : l ELISA, la technique ARL classique (dilution au 1/5 et décomplémentation des seuls sérums qui s avèrent positifs lorsque non dilués), et une technique ARL modifiée (dilution au 1/5 et décomplémentation systématique de tous les sérums). La comparaison des résultats obtenus avec ces trois techniques a mis en évidence des différences très significatives entre la technique ARL classique et la technique ARL modifiée ou l ELISA. Les différences observées entre les techniques ARL classique et modifiée suggèrent un effet prozone, caractérisé par un excès d anticorps, qui empêche l observation d une réaction d agglutination normale. Ces résultats ont été confirmés au cours de l'année 214, sur de nouveaux prélèvements effectués dans des élevages de poules pondeuses. 11

12 Ces différents travaux montrent l importance de la nature des prélèvements et des techniques de diagnostic utilisées pour dépister l infection par M. synoviae chez les poules pondeuses. Des laboratoires vétérinaires de diagnostic seront contactés en 215 pour prolonger ces travaux et vérifier si ces résultats préliminaires justifient d envisager une modification de la technique normalisée de dépistage sérologique. Le rapporteur de la norme NFU47-12 (technique ARL) a été contacté et des discussions ont été engagées. 9. Relations avec le CNR Existence d'un CNR Non 1. Autres mandats Le LNR détient-il d'autres mandats de référence dans le même domaine de compétences Non 12

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

CODE DE PROCEDURE POUR L IMPORTATION DE POUSSINS D UN JOUR ET DES OEUFS A COUVER DE L ESPECE DINDE

CODE DE PROCEDURE POUR L IMPORTATION DE POUSSINS D UN JOUR ET DES OEUFS A COUVER DE L ESPECE DINDE ROYAUME DU MAROC *************** MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL **************** DIRECTION DE l'elevage N 10/DE/DSA Rabat le 10 Février 2004 CODE DE PROCEDURE POUR L IMPORTATION DE

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la

Plus en détail

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les

Plus en détail

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR

BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR Ph. Biol. Jean Darimont Pharmalouvain mars 2011 BIOLOGIE CLINIQUE 1. Technique 2. Organisation 3. Economique La Biologie Clinique est impliquée dans

Plus en détail

12.12.2008 Journal officiel de l Union européenne L 334/7

12.12.2008 Journal officiel de l Union européenne L 334/7 12.12.2008 Journal officiel de l Union européenne L 334/7 RÈGLEMENT (CE) N o 1234/2008 DE LA COMMISSION du 24 novembre 2008 concernant l examen des modifications des termes d une autorisation de mise sur

Plus en détail

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair

Plus en détail

Registres de fermentation lente. Critères d inspection

Registres de fermentation lente. Critères d inspection Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon

Plus en détail

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)67 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Laboratoire National de Référence. Fièvre catarrhale ovine : diagnostique virologique. Rapport annuel d'activité, année 2013

Laboratoire National de Référence. Fièvre catarrhale ovine : diagnostique virologique. Rapport annuel d'activité, année 2013 Laboratoire National de Référence Fièvre catarrhale ovine : diagnostique virologique Rapport annuel d'activité, année 213 A. Introduction Précisez la catégorisation du danger (en SA) sinon la justification

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705

RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705 356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE. Chapitre II. Lutte contre le dopage. Section 3. Agissements interdits et contrôles

TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE. Chapitre II. Lutte contre le dopage. Section 3. Agissements interdits et contrôles TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE Chapitre II Lutte contre le dopage Section 3 Agissements interdits et contrôles Sous-section 1 Organisation des contrôles Paragraphe 2 Examens et

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Service de Biothérapies

Service de Biothérapies AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

Etat des lieux et perspectives

Etat des lieux et perspectives Etat des lieux et perspectives du secteur de l accouvage en France 1. Méthodologie 1.1. Analyse bibliographique Un important travail bibliographique a permis de recenser l ensemble des données statistiques

Plus en détail

Rapport d activités du 1 novembre 2009 au 31 octobre 2010

Rapport d activités du 1 novembre 2009 au 31 octobre 2010 Rapport d activités du 1 novembre 2009 au 31 octobre 2010 Conseil d administration, comité exécutif et comité consultatif Conseil d administration Pour la dernière année d activités, les membres du conseil

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

22/12/11. Plan de la présentation

22/12/11. Plan de la présentation http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» 1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence

Plus en détail

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol. PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com

Plus en détail

DOSSIER D'INSCRIPTION

DOSSIER D'INSCRIPTION CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Comité de consultation du 30/11/2011 Objectifs stratégiques 2 16% 9% 29% 46%

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Master Développement et Immunologie

Master Développement et Immunologie Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 4 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 89 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale

Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale gence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale Référence PCCB/S1/JPM/912984 Date 18/02/2014 Version

Plus en détail

THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX

THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX UFR SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES COURS DE GESTION ANNEE SCOLAIRE 2013-2014 INTERVENANT : Isabelle Kei Boguinard THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX SENS ET PORTEE DE L ETUDE : Assimiler

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI REGLEMENT INTERIEUR Document GEN REF 02 Révision 04- juin 2012 SOMMAIRE ARTICLE 1 - OBJET... 3 ARTICLE 2 MEMBRES DE L ASSOCIATION... 3 ARTICLE 3 - ASSEMBLEE GENERALE... 3 ARTICLE 4 - ADMINISTRATEURS...

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

25 février 2005 Vol. 18 N o 8. Sommaire

25 février 2005 Vol. 18 N o 8. Sommaire ISSN 1012-5310 25 février 2005 Vol. 18 N o 8 Sommaire Stomatite vésiculeuse en Bolivie 67 Influenza aviaire hautement pathogène en Thaïlande : rapport de suivi nº 46 69 Influenza aviaire hautement pathogène

Plus en détail

Master 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu

Master 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Master 2 Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Université Claude Bernard Lyon I Établissements cohabilités (spécialités 1,2,4) : INSA VetAgro

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600

APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Microgenics Corporation Entreprise de Thermo Fisher Scientific APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Réf. 0373910 Destiné

Plus en détail

Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales

Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire

Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire Autres services Clean Cells met également en œuvre son expertise dans des programmes : d'ingénierie pour la conception de laboratoires, d'accompagnement

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Annonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :

Annonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION : Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé

Plus en détail

Destinataires d'exécution

Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Service des actions sanitaires en production primaire Sous-direction de la santé et de protection animales Bureau de la santé animale 251 rue de Vaugirard

Plus en détail

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL (2 ème année)

MASTER PROFESSIONNEL (2 ème année) C U R R I C U L U M 04-05 MASTER PROFESSIONNEL ( ème année) Domaine : Sciences Technologies Santé Mention : Sciences de la Vie et de la Santé Spécialité : Produits de Santé : développement et distribution

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

MASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie

MASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie S3 Spécialité : Recherches en psychologie UE OBLIGATOIRES UE 1 : Epistémologie et méthodes de recherche en psychologie Ce séminaire aborde plusieurs aspects de la recherche en psychologie. Il présente

Plus en détail

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

TITRE : On est tous séropositif!

TITRE : On est tous séropositif! PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.

Plus en détail

RÔLE DES AUTORITÉS OFFICIELLES DANS LA RÉGLEMENTATION INTERNATIONALE DES PRODUITS BIOLOGIQUES

RÔLE DES AUTORITÉS OFFICIELLES DANS LA RÉGLEMENTATION INTERNATIONALE DES PRODUITS BIOLOGIQUES CHAPITRE 1.1.11. RÔLE DES AUTORITÉS OFFICIELLES DANS LA RÉGLEMENTATION INTERNATIONALE DES PRODUITS BIOLOGIQUES À USAGE VÉTÉRINAIRE RÉSUMÉ Le contrôle officiel des produits biologiques vétérinaires est

Plus en détail

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master

Plus en détail