Pourquoi ont-ils attaqué Charlie-Hebdo?

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1 Pourquoi ont-ils attaqué Charlie-Hebdo? par Jacques LE BOHEC La séquence des attentats à Paris de cette semaine a entraîné des réactions prévisibles emplies d émotion, d apparence, de voyeurisme et de répression. C est ce que l on peut appeler le «premier degré» au sens où l on interprète un propos ironique ou une litote au premier degré, de façon naïve et à côté de la plaque. Cela consiste notamment à privilégier l angle de la religion, musulmane en l espèce, dans les évocations de ces événements tragiques, l endoctrinement étant censé être la raison de cette tuerie. Mais n est-il pas simpliste de croire sur parole les jeunes terroristes lorsqu ils revendiquent leurs actions par une «mission», un téléguidage de ce type conforté par telle ou telle organisation djihadiste, vision que journalistes, politiques et experts s empressent de valider? Mais après la phase de sidération, le risque est d en rester à celle de la réaction apeurée se fiant aux apparences («que faire maintenant?») et donc à réduire celle de la réflexion à la portion congrue au nom de l imminence du danger. CATHARSIS ET MIMESIS Tout d abord le choc émotionnel. On le sait, l émotion et la peur tétanisent, mettent la personne dans tous ses états, rendent fébrile, empêchent de penser sereinement ; il suffit de songer au stress des situations d examen scolaire ou d entretien d embauche. C est ce qu affirmait aussi le sociohistorien Norbert Elias avec sa métaphore des deux pêcheurs pris dans un tourbillon (in Qu est-ce que la sociologie?) : seul celui qui parvient à ne pas se laisser saisir par la peur conserve assez de lucidité pour effectuer une analyse réaliste de la situation et pour finalement découvrir une solution efficace. Médias, experts et politiques s évertuent ces jours-ci à mobiliser autour du «choc» dans un but qui n est éclairant qu en apparence, dans un mélange de catharsis et de mimesis. Thérapie de groupe et sentiment de culpabilité en filigrane : se réconforter, se rassurer, s abonner, donner de l argent, etc. Mais adopter des remèdes sans une anamnèse complète et une analyse lucide peut engendrer des mesures aux effets contre

2 2 performants, donc de nouvelles actions terroristes qui justifieront des tours de vis supplémentaires. On s interroge sur la meilleure façon de s adresser aux enfants pour protéger leur innocence présumée. On assure que la 3 e guerre mondiale est déclarée en citant une confidence du pape François. On parle de «choc» des civilisations et de barbarie (mesurons le chemin parcouru depuis les «sauvageons»). On ne veut pas comprendre les terroristes parce que cela reviendrait à les excuser voire les justifier et on ne les comptabilise pas parmi les morts (17 victimes au moment où nous écrivons). On en appelle à une «union nationale» qui estompe les bisbilles picrocholines entre gauche et droite (soulagement, loi Macron qui passe comme une lettre à la poste, du moins la poste d avant la privatisation). L heure est à resserrer les rangs et à relativiser les querelles intra et inter partisanes. Faire bloc comme pour se rassurer. Même Marine Le Pen (Front national) et Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche) acceptent de participer à l effervescence, même si pour des raisons différentes. L ensemble des chaînes de télévision arbore un signe de deuil sous la forme d un slogan ou d un trait noir sur le logo. Chaque soir sur itélé, le journaliste Claude Askolovitch joue au prédicateur exalté. On fait passer un bandeau où il est écrit «La France en alerte.» De la sorte, la société française est mise sous tension : «La France n en a pas fini avec les menaces», assure François Hollande. On certifie qu il va falloir colmater les failles des services de renseignement, comme s il était possible d éliminer toute initiative illégale dans un pays à condition de bien s y prendre. La panique collective est assumée et célébrée pour dramatiser au maximum la situation créée par quelques individus motivés qui ont dû mettre des années pour constituer leur panoplie. Cependant, plusieurs experts, à la télévision, donc Jean- Philippe Merchet («C dans l air», France 5, 15 janvier), ont pointé les limites inévitables du contrôle policier, y compris dans les pays les plus totalitaires (ex Allemagne de l est, Chine, Russie). Le risque zéro est un fantasme. La paranoïa et les solutions adoptées par le gouvernement des États-Unis sont montrées en exemple (habituel complexe d infériorité des journalistes dominants). Bref, il y a lieu de se demander si on ne se rapproche pas, avec les mesures répressives adoptées, d une société de type orwellien où l obéissance et la surveillance sont requises et justifiées par la réalité de menaces. On dirait qu on ne cherche pas vraiment à éradiquer sinon on prendrait les choses à la racine en évitant la misère, la ghettoïsation et le désespoir dans les classes populaires urbaines. A contrario, les gouvernants, dont l un des automatismes de pensée consiste à croire dans la

3 3 persuasion des discours (des leurs notamment...), estiment qu il faut combattre le prosélytisme en prison, élaborer une contre-argumentation ou imposer des leçons de morale républicaine dans les écoles. Ils se fourvoient, comme bien des choses en matière diplomatique ces dernières années. Estce un hasard si c est dans les écoles de relégation scolaire (lycées professionnels) que sont repérées nombre de manifestations de défi envers «Je suis Charlie» lors de la minute de silence? Auxquelles la ministre n a qu une seule réponse : les poursuites judiciaires pour apologie. Plutôt que d augmenter drastiquement les moyens des écoles publiques pour qu ils aident les enfants des classes populaires à réussir, on préfère augmenter le budget des armées et des polices. Peu de gouvernants semblent comprendre que c est le fait même d être incarcéré (sentiment de rejet, sentiment d injustice) qui déclenche le besoin de sublimer son malaise personnel par de vagues slogans religieux. UNE ORTHODOXIE PARADOXALE L un des écueils les plus épineux est la lutte contre les idées haineuses par la censure (des réseaux sociaux ou de l internet, par exemple), ce qui engendre immédiatement, parmi une population qui n est pas nécessairement de culture musulmane, une certaine déconsidération du grand principe de liberté sur lequel on s arc-boute. Parions que les millions de manifestants de dimanche sont la partie émergée de la population la mieux intégrée socialement et la plus satisfaite de son sort. Une partie en mesure d imposer une sorte d opinion dominante, d orthodoxie paradoxale. D après l avocat de Charlie-Hebdo, Richard Malka («C à vous», France 5, 14 janvier), «il ne faut plus permettre» que des gens qui «ne sont pas Charlie» puissent s exprimer. Un appel à la censure en surfant sur l émotion collective. Carrément. Face à lui, Patrick Cohen (France-inter) abonde : «Il y a des sites importants qui l ont laissé [arretsurimage NdA], moi je ne suis pas Charlie, Charlie, c était islamophobe, vous l avez vu, ça.» D après lui il ne faudrait pas critiquer P. Val car sans lui «il n y aurait plus de Charlie- Hebdo». Mais ne serait-il pas baroque et cocasse d accepter une injonction de sanctification et de sanctuarisation ad vitam aeternam, autrement dit d adopter une attitude religieuse à l égard de Charlie-Hebdo alors qu il se targue de laïcité et de liberté? Dans ce genre de conjoncture unanimiste et vertueuse, l analyse distanciée et l humour noir sont illico et fatalement perçus comme inacceptables voire complices des exactions commises. On sait que toute personne qui vient de

4 4 mourir bénéficie d une bienveillance de circonstance (éloge nécrologique) et qu il est malvenu de se distancier d un drame avant un «délai de décence» que les humoristes connaissent bien. On sait aussi que les familles des victimes sont souvent vindicatives et hypersensibles, exigent que l on trouve rapidement des coupables identifiés, espèrent des punitions exemplaires, ce qui pousse parfois gendarmes, policiers, juges et journalistes à des erreurs irréparables (affaire Grégory Villemin). Mais n est-ce pas justement dans ces conjonctures où la passion prime et trompe que le regard clinique proposé par les sciences sociales est indispensable? En effet, il ne faudrait pas pour négliger que ces dérives sectaires et violentes ne sont pas des générations spontanées. Elles sont un produit social qui ne doit pas échapper par principe aux velléités explicatives. Notre hypothèse est qu elles résultent de multiples mauvaises décisions gouvernementales prises depuis des décennies et qui affectent durement les classes populaires, les poussant au désespoir. Elles relèvent du désengagement de l État, de services publics sous financés et privatisés, d élus locaux clientélistes, de tolérance envers les pratiques racistes des employeurs et des propriétaires de logement, des restrictions d aides au pauvres décrits comme des assistés et des fraudeurs, de contournement de la carte scolaire, etc. Jour après jour, les souffrances occasionnées produisent, non pas des dizaines, mais des dizaines de milliers de personnes qui se sentent rejetées et qui n ont rien à perdre car ils sont en situation de mort sociale et symbolique. Il semblerait que le refus de l administration pénitentiaire d accorder une permission à Amédy Coulibaly pour qu il puisse à l enterrement de son père ait constitué un moment de bascule. Certains jeunes (25-35) peuvent se sentir acculés au point de basculer vers le djihadisme. Impossible de détecter des futurs terroristes dans ces conditions. Si l on ne prend pas les bonnes décisions, tout suggère que les actions terroristes vont se poursuivre et que des jeunes convertis sans éducation musulmane, encore plus difficiles à repérer, s y mettront aussi. Compte tenu des coupes sombres dans les dépenses de l État social, il faut s attendre à d autres événements de ce genre car les viviers sont quasiment inépuisables et les réponses strictement policières seront comme cautères sur jambes de bois. Au mieux car l argent dépensé dans l action policière ou militaire a toutes les chances de manquer ailleurs où il serait plus utile, dans une prévention indirecte tous azimuts qui supposerait que l on abandonne la politique austéritaire en place depuis , ce qu ils ne veulent pas contre toute raison (échec patent). Le caractère énergique de la réponse policière forte probabilité d être «neutralisés» dans le jargon

5 5 euphémistique indigène risque fort de ne pas être dissuasif et d être voué à guérir plutôt qu à prévenir, à sévir plutôt qu à empêcher. Certes, tous les pauvres ne deviennent pas des islamistes fanatisés, loin de là. Mais il y a 5 à 6 millions de chômeurs avec de multiples familles où l image du père est dégradée par son statut de chômeur. Des milliers d adultes et d enfants vivent sans chauffage dans des logements insalubres, chez des marchands de sommeil, dehors, dans des squats, des voitures, des bidonvilles, ou en caravane. Et on se dit que la société est décidément très calme par rapport aux innombrables et intenses souffrances occasionnées par la misère et par la certitude que les choses ne sont pas s améliorer. Ballottés de foyer en foyer par la DDASS, les frères Kouachi étaient orphelins. Qu il s agisse de Khaled Kelkal, de Mohamed Merah, de Mehdi Nemmouche ou d autres, ces actions meurtrières sont-elles autre chose que des suicides spectaculaires transcendés par des slogans religieux, de jeunes qui préfèrent partir en tuant plutôt que de se supprimer discrètement, d où la volonté de mourir en martyrs? Les bribes de conversation recueillis vont dans cette direction : A. Coulibaly savait qu il n avait comme alternative que la mort ou quarante ans de prison ; les frères Kouachi ont choisi de sortir du local en espérant tuer quelques gendarmes avant d être abattus. Les policiers tués ont reçu des hommages appuyés, parfois ovationnés, mais très peu les victimes non journalistes non policiers ; l époque est à la glorification des policiers en uniforme sacrifiés («bleus»), en première ligne (de front). On veut nous convaincre qu on est en guerre contre un ennemi extérieur et intérieur à la fois. On envisage de colmater les brèches dans les services de renseignement et de surveillance. Le plan Vigipirate est renforcé comme jamais dans les lieux publics, avec cette double absurdité qui consiste à se demander comment protéger les commissariats de police et à appeler les Français à la «vigilance» (F. Hollande dans son allocution du vendredi 9 soir). Qu est-ce que cela veut-il dire? Revient-il aux habitants d être «vigilants»? Ne paie-t-on pas des impôts pour cela? Les habitants doivent-ils encore plus qu avant se méfier d autrui et détruire encore plus les liens qui se tissent entre les gens dans les immeubles, les quartiers, les villages et les campagnes? On sait qu un voleur motivé peut entrer à peu près partout. On a vu qu un tueur motivé peut commencer par zigouiller un planton armé ou un garde du corps. S agit-il d un appel à la délation envers tout voisin qui leur semble bizarre? Les barbus de tous poils doivent-il désormais raser les murs? Tout cela ne favorise-t-il pas le repli sur soi, les firmes de télésurveillance, les fabricants de portes sécurisées, les assureurs

6 6 privés, une vision du monde sociale favorable au Front national sur le mode de «Jean-Marie Le Pen l avait dit avant tout le monde», etc.? LES GARGARISMES MÉDIATIQUES Les médias ont fait leurs gorges chaudes de ces événements sanglants. Les chaînes dites d information se sont mobilisées durant cinq jours consécutifs, mais aussi les deux chaînes principales (TF1 et France 2) avec des éditions et des émissions spéciales. En plus de l habituel réflexe corporatiste («Même pas peur» est le titre du communiqué des Sociétés de journalistes), ils ont participé à la chasse à l homme en gênant le travail de la police en dévoilant l identité des frères Kouachi trop tôt (le CSA s est saisi). La rédaction de BFM-TV est allée jusqu à en interviewer deux (A. Coulibaly et Chérif Kouachi), sans diffuser l enregistrement avant la fin de la traque mais en le transmettant tout de suite à la police. Question : est-ce leur rôle d être des auxiliaires de police? Ils ont posté des caméras dans les rues et aux abords, récupéré des captures de portables prises par des voisins, interviewé des témoins plus ou moins directs, multiplié les duplex face cam. Ils ont invité en plateau une pléthore d anciens policiers qui viennent pour certains faire la promotion de leurs sociétés de sécurité privées ; on peut tabler qu elles vont être encore plus juteuses dans l avenir et que c est le moment d y investir... Les rédactions ont passé les mêmes images et les mêmes résumés en boucle. Ils se sont repus d images de véhicules d intervention et de personnes en train de pleurer ; pourquoi David Pujadas a-t-il invité dans le journal de 20 heures du jeudi (France 2) Patrick Pelloux, médecin urgentiste et rédacteur de Charlie-Hebdo, la mine défaite, inconsolable, qui avait pleuré la veille sur itélé, sinon pour l exhiber et susciter un pathos larmoyant et racoleur? Ce voyeurisme se situe fort loin des ambitions de compréhension et d analyse qu il ose parfois arguer sans vergogne. Certains des dessinateurs morts étaient connus du grand public et depuis longtemps (Wolinski, Cabu), comme des membres de la famille. Cela ne peut que provoquer l incrédulité, la tristesse et la colère. Ils étaient connus personnellement d une grande partie des politiques et des journalistes dominants. Le 29 septembre dernier, ils ont par exemple été reçus à L Élysée par le Président de la République en personne alors qu ils venaient de lancer une souscription. Le rédacteur en chef, Charb (alias Stéphane Charbonnier), aurait été le compagnon de Jeannette Bougrab (UMP) et la soupçonnait «d être une communiste sans le savoir» (sic) d après une confidence de celle-ci sur le plateau de BFM-TV? Force est donc

7 7 de constater la grande proximité sociale entre Charlie-Hebdo et les journalistes et les politiques dominants. De fait, les images de reportage et de documentaire ne manquent pas. M. Houellebecq, qui a stoppé sa «tournée des popotes» de lancement de son livre islamophobe, avait le même agent artistique que Bernard Maris («Oncle Bernard»), à savoir François Samuelson (aux côtés d Antoine de Caunes, de Fred Vargas, de Bernard- Henri Lévy, de Michel Onfray, de Benoît Magimel, etc.). B. Maris avait d ailleurs publié un livre intitulé Michel Houellebecq économiste! Anciennement professeur d économie, il gagnait plus d argent dans les médias (voir son duo de claquettes avec l économiste ultralibéral Philippe Chalmain sur itélé) ; il fut aussi candidat de la CFDT à la CCIJP, dite Commission de la carte (de presse). Soucieux de ne pas voir son client accusé de responsabilité morale dans cette tuerie, F. Samuelson, interviewé sur Canal +, tente le cordon sanitaire et déclare : «Je pense qu il n y a aucun lien entre les événements et l œuvre de Michel Houellebecq.» Ces affinités expliquent en grande partie «l émotion» des journalistes et des politiques, qui ressemble à la peur panique d être eux aussi une cible, rassurés à moitié par les rassemblements de rue. Mais les plus de 500 personnes par an qui meurent au travail, pour des raisons qui tiennent à 80% au non respect du Code du travail, n entraînent pas une couverture médiatique et une mobilisation politique proportionnelle. Cela fait pourtant deux personnes tuées par jour, 14 par semaine, 60 par mois, et ce n est pas «la faute à pas de chance»... Pourquoi les rédactions de LCI, de BFM-TV et d itélé ne dépêchent-elles pas des équipes pour raconter et filmer les familles éplorées, s interroger sur les responsabilités? Pourquoi le ou la Ministre des affaires sociales ne se déplace-t-il/elle pas, à la manière de son collègue de la place Beauvau lorsqu un policier ou un pompier décède dans l exercice de ses fonctions? Cette double mobilisation ne serait-elle pas bénéfique pour faire diminuer ce chiffre de 500 personnes mortes d être allées au boulot et pour attirer des avocats talentueux? Ces personnes ne sont pourtant pas moins mortes que celles qui sont tuées par des braqueurs, des psychopathes, des terroristes, des ex jaloux, des serial killers, des tsunamis ou des crashes d avion. De cette sur-médiatisation il résulte un choc émotionnel qui s est exprimé par des manifestations spontanées et plus massives que jamais (3,7 millions!) arborant la défense de grands principes vertueux comme les libertés d expression et de la presse et la démocratie. Avec l omniprésence du slogan «Je suis Charlie» en lettres blanches sur fond noir à l instar des calicots djihadistes. D après la journaliste et militante altermondialiste canadienne Naomi Klein, ce genre de chocs émotionnels collectifs sert aux

8 8 dominants pour faire passer subrepticement des mesures qui seraient bloquées sinon. L ubiquité médiatique du Président de la République, du Premier ministre, du Ministre de l intérieur et de certains experts en sécurité et en islam va dans cette même direction. Aux États-Unis, ils ont même réussi après le 11 septembre à faire voter une loi liberticide (Patriot Act) au nom de la défense des libertés... Fortiche. N en doutons pas, certaines gens y songent, Manuel Valls dans une interview par exemple, et les «criminologues» dans son sillage. Le paradoxe est qu on va sauver un journal peu inspiré et en quasi faillite alors que bien des journaux alternatifs et critiques, plus libres dans leurs têtes que Charlie-Hebdo, se battent pour leur survie, se voient refuser des aides et sont harcelés par le fisc ; euros ont en effet été débloqués en un claquement de doigts alors qu on nous serine qu il n y a pas d argent dans les caisses... On est sidéré de voir que le responsable de la collecte de dons via l association «presse et pluralisme» est un dirigeant de Valeurs actuelles, le fameux magazine islamophobe, François d Orcival, journaliste à la mise impeccable mais néanmoins proche la mouvance d extrême droite depuis sa jeunesse (Algérie française). UNE LIGNE ÉDITORIALE AMBIGUË Cela fait belle lurette que Charlie-Hebdo n était plus subversif et il est cocasse de le dépeindre en hérault de la liberté d expression. Il convient de ne pas confondre ton débridé en matière de religion et de sexe et critique sociale et politique dérangeante. Il ne faut pas confondre Charlie 1, issu de Hara-kiri, et Charlie 2, celui de Philippe Val auteur de chansons ami de Carla Bruni-Sarkozy, dans lequel Cavanna et Wolinski ont accepté de se laisser embringués dans une entreprise longtemps rentable, au contraire du Professeur Choron, spolié comme l a signalé Pierre Carles dans un documentaire intitulé Choron dernière (2009). B. Maris était un économiste qui avait viré sa cuti à force de côtoyer les dominants qui hantent les médias. CH2 n est pas si loin que cela de la ligne du Point ou de Valeurs actuelles, celle d une islamophobie obsessionnelle mâtinée de quelques relents de gauche. Ce n est pas un hasard si les dominants viennent aujourd hui à son secours et assurent qu il doit continuer sur la même ligne éditoriale (dixit R. Malka et Gérard Biard), avec une masse de personnes qui ne l achetaient pas ou plus, las des stéréotypes éculés, des provocations islamophobes ambiguës et de l humour balourd et routinier. «Quel besoin a-t-il eu d entraîner l équipe dans la surenchère?» demande le dessinateur Delfeil de Ton (dans L Obs), ancien de Hara-kiri et de

9 9 Charlie-Hebdo qui était parti après quatre mois de compagnie de P. Val, évoquant le numéro «Charia-Hebdo» qui avait publié les caricatures de Mahomet controversées. Citant Wolinski en 2011 : «Je crois que nous sommes des inconscients et des imbéciles qui avons pris un risque inutile. C est tout. On se croit invulnérables. Pendant des années, des dizaines d années même, on fait de la provocation et puis un jour la provocation se retourne contre nous [cocktails Molotov ayant occasionné un incendie]. Il fallait pas le faire.» Delfeil n était pas le seul à reprocher à P. Val une ligne éditoriale qualifiée de «sioniste-islamophobe» qui s est révélée qui plus est une étroite niche commerciale. «Charb n est pas enterré que L Obs ne trouve rien de mieux à faire que de publier un papier polémique et fielleux», déclare R. Malka, l un des maîtres d œuvre de cette ligne sulfureuse, qui refuse évidemment d être accusé d avoir joué avec les allumettes. «Dans un numéro sur la liberté d expression, il m aurait semblé gênant de censurer une voix, quand bien même elle serait discordante», se défend Matthieu Croissandeau. P. Val est le vrai patron de CH2, remplacé par Charb quand il a été nommé à la direction de France-inter. En service commandé et de façon vindicative et mesquine, P. Val a viré de l antenne en juillet 2008, non seulement les humoristes Didier Porte et Stéphane Guillon, mais aussi le titulaire de la revue de presse, Frédéric Pommier, qui avait osé citer l hebdomadaire satirique rival, Siné-Hebdo, créé par un dessinateur licencié par P. Val car il avait ironisé sur le mariage heureux d un des fils Sarkozy avec une riche héritière. Pour faire bonne mesure, il l avait accusé d antisémitisme (qui veut noyer son chien l accuse de la rage...), ce qui était un fort mauvais service rendu à la nécessaire lutte contre ce fléau. Voici donc l attitude exemplaire d un patron de journal qui défend mordicus la liberté d expression. Lorsque Siné-Hebdo a dû s arrêter, aucun gouvernant ne s est alarmé pour débloquer autant d argent. Le numéro de la semaine «post» va être tiré à plusieurs millions d exemplaires et mis en kiosque pendant un mois. Un million d euros de dons au moins ont été réunis. Jackpot assuré. Charlie-Hebdo version Val est un journal qui ne va donc pas mourir de sa belle mort, ce qui aurait été logique en raison des ventes de plus en plus faibles, sauvé qui plus est par des gens qui ressassent à longueur d année le refrain des vertus inouïes du marché et de l entreprise privée! Le fait que David Cameron, Angela Merkel, Mariano Rajoy, Matteo Renzi et tant d autres dirigeants ultra-libéraux (= opposés aux interventions non régaliennes de l État) participent à la marche organisée dimanche 11 janvier laisse rêveur. Quel intérêt ont-ils donc à défendre ce journal «iconoclaste» et à «manifester» leur solidarité avec la France? Quelle hypocrisie de voir

10 10 défiler des gouvernants dont certains ne respectent guère la liberté de la presse dans leurs pays respectifs? Les grands principes ont bon dos. La vérité est que CH2 n est en rien dangereux pour ces gens. Au contraire. C est une publication dont l objectif est d accentuer les différences sociales sur une base confessionnelle et communautaire, d attiser les braises, de faire diversion et de provoquer des événements confirmatoires. Pour ce faire, il s arc-boute sur une obsession suspecte des religions, engendrant une vision du monde qui les place au centre de l attention (plutôt que les inégalités de classe) et les fait subsister malgré une société fortement sécularisée. Ils instaurent une interdépendance ambivalente avec les porte-parole religieux, qui sautent sur chaque occasion pour se faire mousser dans les médias. Les journalistes de CH2 se protègent derrière l argument massue de la liberté sans entraves et la laïcité : on doit pouvoir se moquer de toutes les religions, y compris de l islam. Certes, mais cette obsession engendre une vision identitaire des populations assez délétère car elle cristallise les différences sur une base fallacieuse. Les vraies différences sont d ordre socio-économique, mais CH2 persiste à tronçonner la société en «communautés» juxtaposées les juifs, les musulmans, les catholiques, les protestants, les francs-maçons, les laïcs, les LGBG, les femmes, les hommes, les séniors, les Roms, etc. chacune étant supposée homogène et dotée de porte-parole représentatifs. PRENDRE LES CHOSES PAR LE BON BOUT Tout cela revient à prendre la proie pour l ombre alors qu il faudrait prendre les choses par le bon bout de la logique... Mais il est primordial pour les élites de faire perdurer et de récompenser ce journal satirique germanopratin et sédentaire qui orchestre une fausse subversion et une vraie propagande communautariste alors que le racolage des Unes avait fait long feu et qu il était au bord du dépôt de bilan. Les responsables de la rédaction déclarent vouloir continuer sur cette ligne, ce qui est logique puisque c est elle qui est appréciée en haut lieu. De Daumier à Nono et à Forattini (Konk est en général laissé de côté), la caricature de presse a une noblesse professionnelle incontestable, mais c est un modèle de journalisme déductif, interprétatif, subjectif, artistique, qui ne produit pas d informations par lui-même. Pourquoi ne pas sauver dare-dare le mensuel satirique marseillais Le Ravi, qui publie non seulement des caricatures mais aussi des enquêtes de terrain menées en région PACA, tant qu on y est? Plus inductif, le fameux grand reporter Albert Londres, à la question de savoir quelle était

11 11 sa «ligne», répondait par une boutade que c était celle du chemin de fer... Il invitait à se déplacer et à faire des reportages sur place plutôt que de suivre une ligne a priori et de rester dans Paris intra-muros devant sa table de travail. On savait que des gens pour qui la société se divise en croyants et en mécréants voulaient châtier un journal qui avait publié des caricatures de Mahomet qui relevaient plus de l islamophobie teigneuse que de l humour potache ou subtil dans un journal danois conservateur (Jyllands-Posten). Charlie-Hebdo version Val avait voulu faire un coup en les publiant, ce qui était réussi (avec procès et documentaire afférents). Mais les médias font partie intégrante du réel ; les journalistes avaient été menacés de mort et leurs locaux précédents avaient été incendiés. Ils étaient clairement les plus ciblés. On peut se demander en conséquence, en parallèle du constat de la férocité et de l insensibilité des assaillants, si la protection policière était à la hauteur (un seul garde du corps, Franck Brinsolaro, qui n a rien pu faire), s il n était pas un peu trop facile de rentrer dans la rédaction de ceux qui sont devenus des martyrs de la liberté de la presse. Bizarre, surtout quand un journaliste de BFM-TV (Thierry Arnaud) raconte que des «hauts responsables politiques français» lui ont confié qu ils s attendaient à des événements de ce genre. Mais alors, pourquoi le planton au bas de l immeuble venait-il d être supprimé? Ces jeunes terroristes sont en fait grugés et happés par les pièges grossiers du communautarisme et de la provocation. Ils se font avoir autant par des prédicateurs qui profitent de leurs fragilités que par les journalistes, les politiques et les intellectuels qui se gargarisent de menace islamique à longueur d année. Ils croient avoir choisi la bonne cause et le bon moyen, mais ils ne se rendent pas compte que, ce faisant, ils concourent au travail de masquage des véritables problèmes qui les affectent, à commencer par les diversions. Au final, les choses vont sans doute s aggraver pour les jeunes comme eux (discriminations, aides sociales en baisse, etc.). En résumé, ils n ont aucun sens social ou politique, se laissent porter par les apparences, cèdent à leurs impressions et à leurs émotions. Ils manquent de connaissances et de compréhension de leur propre situation. Ils réagissent de façon épidermique aux provocations gratuites de tous ceux qui promeuvent cyniquement une vision communautariste de la société et qui cherchent à simplifier à outrance les situations de conflit à l étranger, tels Éric Zemmour, Dieudonné M bala M bala, Robert Ménard, Philippe Tesson, Élisabeth Lévy, Alain Finkielkraut et Michel Houellebecq. Ce n est pas un hasard si la Une du Charlie-Hebdo de la semaine sanglante était consacrée au livre de ce dernier, avec une manchette peu critique : «Les prédictions du

12 12 mage Houellebecq». Tout cela va de concert sans être obligatoirement concerté ni conscient de la part des protagonistes. On a le sentiment rétrospectif que ce sont des lampistes qui ont pris la foudre, exagérément et imprudemment exposés dans des locaux faciles à trouver et sans sas, comme par défi crâne face au danger. Il y a en France tellement d agents sociaux précaires, pauvres, marginalisés, fragiles, ignorants, influençables, stigmatisés, victimes de racisme dans la recherche de logement ou d emploi, vivotant, traficotant, sans perspective d évolution, qu il se trouvera encore bien d autres jeunes Français en déshérence pour qui la perspective de mourir avec éclat pour une cause qui donnera un sens à leur existence personnelle frustrante et fantomatique leur semblera moins cruelle que de continuer à végéter et à galérer ; A. Coulibaly disposait, comme M. Merah, d une caméra GoPro. Les violences systémique et symbolique sont terribles et peuvent provoquer des réactions insensées. Il est rare que des gens bien insérés et reconnus s adonnent au terrorisme. On pourrait également émettre l hypothèse de l anomie durkheimienne ; n est-ce pas au moment de la rentrée et des soldes qu ils ont choisi d intervenir? Peu importe de voir révélée son identité (oubli incroyable de la carte d identité dans la voiture comme acte manqué...) et de mourir quand seule la mort devant les télés en direct est susceptible de donner un sens à sa vie et une notoriété (la gloire aux yeux de certains) posthume. Si l on retient cette hypothèse comme valide, cela veut dire que la surréaction, avec 3,5 millions de personnes dans les rues et la présence de 50 chefs d État et de gouvernement, accroît la probabilité que des apprentis terroristes calculent qu un passage à l action directe ne sera pas vain, qu il occasionnera avec une quasi certitude un ramdam de grande ampleur ; A. Coulibaly suivait BFM-TV dans le supermarché cacher une vidéo de revendication a été mise en ligne après sa mort. Dès lors qu on admet ce constat voire ces constatations, on se rend compte combien une réponse politique ou médiatique focalisée sur l accès de violence et les slogans religieux ne peut que tomber à côté. Au contraire de films de science-fiction, il est très difficile de détecter un futur passage à l acte. Les choses se répétant, on peut se demander si les décideurs visent réellement l efficience et la résorption des problèmes tellement les réflexes policiers (la surveillance et la répression comme déformations professionnelles) favorisent la mise en œuvre du remplacement progressif de l État social par une gestion exclusivement sécuritaire des classes populaires ; les zones urbaines «sensibles» (ZUS) sont ainsi définies par des critères de niveau socio-économique. La baisse des dotations financières pour les collectivités locales, qui gèrent des milliards d euros d aides via par

13 13 exemple les CCAS, ne va-t-elle pas dans cette direction? La France était l une des exceptions et elle est en train de rentrer dans le rang. Dès qu un intervenant à la télévision (expert en police, en terrorisme ou en islam) exprime une idée qui déroge à l orthodoxie en place depuis le 7 janvier, ce qui arrive parfois malgré le tri sélectif effectué en amont, il est interrompu par le journaliste qui attribue les temps de parole. Alors qu on devrait se demander pourquoi ces jeunes n ont rien à perdre, il paraît plus important et opportun, pour des dirigeants politiques qui s échinent à favoriser les intérêts des classes supérieures, de surjouer le choc émotionnel et l unité nationale, d en rajouter, de négliger le regard clinique et la distanciation des sciences sociales pourtant salutaire et porteuses de solutions plus efficaces mais qui sont en porte-à-faux avec leurs présupposés idéologiques, intérêts de classe/caste et réflexes professionnels. Comme par exemple (1) imaginer des effets d annonce tonitruants, (2) adopter une énième loi anti-terroriste inefficace et (3) trouver des mesurettes qui donnent l impression qu on prend le problème à bras-le-corps. La précipitation irréfléchie conduit à imaginer des choses à efficacité cosmétique : isoler les salafistes dans les prisons, priver de la nationalité française, imposer des programmes de déradicalisation, bombarder encore plus en Syrie et en Irak, mieux contrôler les frontières, censurer l internet, placer des plantons devant certains bâtiments, accentuer les leçons de morale civique dans les écoles. Ainsi, demander aux enseignants des écoles primaires et secondaires d imposer des «valeurs» à leurs élèves tout en ne permettant pas à ces écoles de faire réussir les plus défavorisés en termes de capitaux économiques, culturels et relationnels ne revient-il pas à exposer ces enseignants à des violences vindicatives? Cette adhésion aux valeurs républicaines ne devrait-elle pas être naturelle et spontanée parce que justifiée par les bienfaits que l État apporte aux populations, plutôt que par des leçons de morale forcées, puritaines et décalées au nom d une liberté d expression refusée aux élèves? N entretient-on pas, par ce genre de maladresses, le phénomène que l on prétend éradiquer, quitte à s en désoler par la suite à la façon d un pompier pyromane qui s ignore? De fait, on ne parle de sociologie que pour s excuser d en parler en minimisant son intérêt, comme si l explication sociologique avait quelque chose d obscène et d impoli, comme une faute de goût à l heure où l ignorance et la médiocrité sont étalés dans maints programmes de télévision abrutissants : «sociologie à deux sous» dit un ancien gradé de la police à la télévision, sans doute pour éviter la formule maladroite de sociologie «à deux balles»... Il est vrai que les acquis des sciences sociales sont si peu diffusés dans les

14 14 médias grand public qu il n est pas étonnant que la plupart des gens, y compris les décideurs politiques, ne soient pas en mesure de les intégrer.

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