Le fonctionnalisme (II) Ce que penser veut dire séance 7
|
|
- Germaine Clementine Duquette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le fonctionnalisme (II) Ce que penser veut dire séance 7 M. Cozic
2 2. La pensée et l ordinateur
3
4 pour repartir du bon pied... contre qui est adressé l argument de la réalisabilité multiple? en quoi consiste-t-il? donnez un exemple de concept fonctionnel. Que sont, en général, les concepts fonctionnels? qu est-ce qu un état mental pour un fonctionnaliste? qu est, par exemple, la douleur?
5 Previously on Ce que penser veut dire nous avons vu l idée centrale du fonctionnalisme nous avons vu également que le fonctionnalisme semblait neutre du point de vue ontologique: en général on considère qu il n implique pas le physicalisme on peut toutefois vouloir que le fonctionnalisme soit au moins compatible avec le physicalisme: que les relations causales qui caractérisent l ensemble de nos états mentaux soient réalisables par un système physique c est ici qu entre en scène le fonctionnalisme computationnel
6 2.1. Introduction au fonctionnalisme computationnel
7 le fonctionnalisme computationnel (FC) le fonctionnalisme computationnel (FC) est une version très influente du fonctionnalisme élaborée initialement à la fin des années 1960 par le philosophe américain Hilary Putnam on parle également de fonctionnalisme des machines ou fonctionnalisme de l ordinateur: dans tous les cas, il s agit de mettre en avant le fait que, à un certain niveau d abstraction, le calcul ou l ordinateur servent de modèle pour caractériser l esprit
8 le FC Putnam propose le FC non pas comme une analyse de la signification des termes mentaux (comme une analyse sémantique), mais comme une hypothèse empirique plausible sur la nature des états mentaux Putnam (1975): Je propose l hypothèse que la douleur est un état fonctionnel d un organisme tout entier Chaque organisme capable d éprouver de la douleur possède au moins une description d une certaine espèce (c est-à-dire que chaque organisme capable d éprouver de la douleur possède une espèce appropriée d organisation fonctionnelle)."
9 2.2. Les machines de Turing
10 machines de Turing depuis des millénaires, les hommes calculent algorithme: méthode pour calculer une opération déterminée exemple: nous avons appris à l école un algorithme pour déterminer la somme de deux nombres quelconques développement des machines à calculer les ordinateurs ne sont que des machines à calculer très puissantes
11 machines de Turing question: qu est-ce que c est, en général, qu une méthode de calcul? qu est-ce que c est qu un calcul? pour répondre à cette question, on a fourni (dans les années 1930 principalement) des modèles (mathématiques) généraux de ce que c est que calculer les machine de Turing sont les plus célèbres de ces modèles de calcul, dûes à A. Turing ( )
12 Alan Turing ( )
13 machines de Turing composants d une machine de Turing: (1) une bande de papier (de longueur infinie à droite) découpée en cases... (2) dans chaque case peut se trouver un symbole parmi une liste finie
14 machines de Turing (3) une tête de lecture/écriture qui peut se déplacer le long de la bande (4) des instructions pour la tête de lecture/écriture qui disent à chaque instant quoi faire à la tête de lecture
15 états internes d une machines de Turing à chaque instant, une machine de Turing est dans un certain état interne ou état computationnel q i la façon dont la machine réagit à ce qu elle lit dépend de son état interne: c est ce qui permet à une machine d avoir un comportement complexe la machine réagit en (i) écrivant quelque chose sur la bande, (ii) déplaçant (ou non) sa tête de lecture et (iii) changeant (ou pas) d état interne
16 instructions d une machines de Turing les instructions disent donc (1) en fonction (i) de ce qui est inscrit sur la case de la bande et (ii) de l état interne initial (2) (i) ce que la tête doit écrire, (ii) où elle doit aller et (iii) quel doit être le nouvel état interne les instructions peuvent donc être vues comme une liste (finie) du genre: si tu lis s i et te trouves dans l état q i, écris s j, va dans la direction g et passe à l état q j on appelle l ensemble des instructions la fonction de transition, qui peut être représentée sous forme de tableau (voir plus loin)
17 MT +: une machine à additionner idée: la tête se déplace vers la droite et réécrit des "1" sur des "1". Une fois arrivée au "+", la tête inscrit un "1" à la place. La tête continue à aller vers la droite en écrivant des "1" sur les "1". Au premier "0" qu elle rencontre, elle revient à gauche, écrit un "0" sur le "1" et s arrête la table machine pour MT + qui résume les instructions: q i q 1 1 (1, q i, d) (0, q f, g) 0 (0, q 1, g) y + (1, q i, d) x
18 MT + calcule q i
19 MT + calcule q i
20 MT + calcule q i
21 MT + calcule q i
22 MT + calcule q i
23 MT + calcule q i
24 MT + calcule q i
25 MT + calcule q 1
26 MT + calcule q f
27 commentaires sur MT + MT + est une méthode ou algorithme pour l addition étant donné certaines conventions pour représenter les nombres entiers, MT + permet, pour n importe quelle paire d entiers, de calculer leur somme on peut définir d autres machines de Turing qui permettent également d additionner des entiers: ces machines sont d autres méthodes pour calculer l addition
28 commentaires sur MT + quand on parle couramment de machines à calculer, on désigne certains systèmes physiques comme la calculatrice qui est sur mon bureau une machine de Turing se situe à un niveau plus abstrait. Un système physique (telle ou telle calculatrice électronique) peut (ou non) se conformer à une machine de Turing quand il y a conformité entre système physique S et machine MT, on dit que S réalise MT des systèmes physiques très différents peuvent réaliser la même MT : opérations sur un boulier, trous dans du papier épais, dispositif électronique, etc
29 réalisation d une machine de Turing il y a realisation de MT par S quand les relations causales entre les propriétés du système S reflètent les transitions computationnelles (les instructions) de MT deux systèmes S 1 et S 2 qui réalisent la même machine de Turing MT peuvent être conçus comme des systèmes qui ont la même organisation fonctionnelle
30 2.3. Exposition du fonctionnalisme computationnel
31 machines de Turing généralisées Putnam suppose que l on peut généraliser les machines de Turing pour les rendre aptes à la description psychologique: de telles machines de Turing généralisées (MTG) auraient pour entrées" des stimuli sensoriels (au lieu d une suite de symboles sur la bande) pour sorties" des comportements (idem) FC : un organisme o est capable d éprouver de la douleur (est capable d avoir un état mental M) s il réalise une MTG d un certain type. être capable d éprouver de la douleur, c est avoir une certaine organisation fonctionnelle. Pourquoi? Et qu est-ce que cela signifie?
32 exemple: la douleur un exemple issu de Block (1980). Supposons pour simplifier que ressentir de la douleur est un état interne (-) causé par l entrée" environnementale constituée par une piqûre de guêpe (-) qui fait passer à un autre état interne, disons un état de stress (-) qui induit comme sortie" comportementale le cri Aïe"
33 exemple: la douleur Ressentir une douleur = Etre dans le premier de deux états qui est relié aux entrées, aux sorties et au second état de la manière suivante : l état de douleur est causé par une piqûre de guêpe, cause la transition au second état et induit la sortie comportementale "Aïe".
34 commentaires un organisme o est dans un état mental M ssi il réalise une MTG appropriée où (a) M est un état interne de cette MTG et que (b) o est dans l état physique qui correspond à M il est dans la nature même des états mentaux que ceux qui les possèdent réalisent une MTG appropriée où M est un état interne et qu ils sont dans un état physique qui correspond à M
35 Kim sur le FC J. Kim (1998), p. 91 Un organisme, ou un système, a une psychologie - c est-à-dire a la mentalité - quand il réalise une machine de Turing appropriée. Ce n est pas seulement que tout ce qui a la mentalité a une description appropriée en termes de machines: le fonctionnalisme computationnel affirme la thèse plus forte selon laquelle pouvoir être décrit par une machine d un genre approprié est constitutif de la mentalité. C est une thèse philosophique sur la nature de la mentalité: la mentalité, ou le fait d avoir un esprit, consiste à réaliser une machine de Turing appropriée.
36 commentaires, suite la nature d un état mental est déterminée par le fait qu il est causé par certaines entrées sensorielles, qu il cause à son tour certaines sorties comportementales et certains autres états mentaux attention : dans une MTG, les états internes sont des états totaux de l organisme. C est l état mental total d un individu qui s identifie à l état interne d une MTG Putnam dit que les états internes d une machine de Turing sont implicitement spécifiés" par la table de machine. Cela signifie qu ils sont spécifiés par leur rôle computationnel, et notamment par les relations qu ils entretiennent entre eux.
37 le retour du chauvinisme? conséquence du FC: puisque les états internes d une machine de Turing sont spécifiés relationnellement, pour que deux organismes o 1 et o 2 aient le même état mental M, il faut qu ils réalisent la même machine de Turing, autrement dit qu ils aient la même psychologie Kim (1988) Selon le FC, pour que deux sujets psychologiques partagent ne serait-ce qu un seul état mental, leurs psychologies complètes doivent être isomorphes l une à l autre. Souvenons-nous de l objection de Putnam contre la théorie de l identité: cette théorie rend impossible que des humains et des pieuvres ressentent de la douleur à moins qu ils soient dans le même état cérébral, une éventualité peu probable.
38 le retour du chauvinisme? Kim (1988) Mais il semble que le FC rencontre un problème exactement analogue: pour qu une pieuvre et un humain soit dans le même état de douleur, ils doivent avoir des psychologies isomorphes - une éventualité peu probable, pour le moins! Et pour que deux humains partagent un seul état mental, ils doivent avoir exactement la même psychologie complète. Cette conséquence du FC va clairement à l encontre de nos attentes.
39 l esprit comme logiciel du cerveau un slogan qui résume les idées ontologiques (et les implications méthodologiques, voir ci-après) du FC: l esprit est le logiciel (software) du cerveau (hardware)
40 les espoirs placés dans le FC Searle (2001), p. 66 Avec le modèle computationnel de l esprit, il semblait qu enfin nous avions une solution aux problèmes qui avait préoccupés Descartes, et à vrai dire à des problèmes qui remontaient aux philosophes de la Grèce ancienne, 2500 ans plus tôt. Il semblait en particulier que nous avions une solution parfaite au problème traditionnel du corps et de l esprit. La relation entre l esprit et le corps semblait mystérieuse, mais la relation entre le programme et le matériel (hardware) d un ordinateur, la relation du logiciel (software) à sa réalisation physique, n est pas la moins du monde mystérieuse.
41 les processus mentaux comme calculs du point de vue du FC, - les états mentaux sont des états computationnels et - les processus mentaux sont des processus computationnels certaines versions du FC poussent plus loin l assimilation aux ordinateurs: l esprit fonctionne par des opérations sur des symboles en étant sensible non pas au contenu ou sémantique des symboles (ce qu ils représentent/signifient) mais à leur forme ou syntaxe penser, c est manipuler des symboles; les relations causales entre symboles reflètent les relations sémantiques un engin syntaxique qui conduit un engin sémantique
42 2.4. FC et la méthodologie de la psychologie
43 la psychologie du point de vue du FC le FC se présente avant tout comme une thèse sur la nature des états mentaux ou états psychologiques. Mais il a des prolongements intéressants pour l étude des états et processus mentaux, c est-à-dire pour la psychologie le FC fournit un schéma général pour les théories psychologiques. On peut considérer qu une théorie psychologique doit (au moins) rendre compte des corrélations entre stimuli sensoriels et réponses comportementales des individus. Le FC propose d en rendre compte en termes de MTG.
44 la psychologie du point de vue du FC Putnam (1975) "...explorer [l hypothèse fonctionnaliste], ce n est rien d autre que tenter d élaborer des modèles "mécaniques" des organismes ; or n est-ce pas là, d une certaine manière, précisément l objet de la psychologie? "
45 c est à la science empirique (la psychologie) de dire exactement ce qu est un état mental comme la douleur. Cela revient à dire quel état interne il est dans quelle machine de Turing. les transitions computationnelles liées à M sont à découvrir empiriquement, elles ne sont pas données a priori. la méthodologie "classique" des sciences cognitives, si elle n est pas "dérivée" du fonctionnalisme TP, prend également l ordinateur comme modèle de la mentalité
46 les niveaux d étude d une capacité cognitive C selon Marr (1982) (i) le niveau computationnel: qu effectue la capacité C? (ii) le niveau algorithmique : par quel algorithme la capacité C effectue-t-elle les tâches qu elle effectue? (iii) le niveau de la réalisation ou de l implémentation : par quel mécanisme physiques S réalise-t-il l algorithme de C?
47 les niveaux d étude d une capacité cognitive C selon Marr (1982) Les deux premiers niveaux correspondent (grossièrement) au travail du psychologue ; le troisième au travail du neurologue autonomie des niveaux: Chacun de ces trois niveaux de description aura sa place dans la compréhension ultime du traitement de l information perceptuelle, et bien sûr ils sont logiquement et causalement reliés. Mais il est important de noter que puisque ces trois niveaux sont seulement reliés de manière lâche, certains phénomènes peuvent n être expliqués qu à un ou deux niveaux (Marr, 1982)
48 FC et autonomie de la psychologie ce que fait valoir Marr, et c est une idée encore une fois répandue dans la méthodologie classique des sciences cognitives, c est qu il y a une certaine autonomie entre les niveaux. on peut étudier l organisation fonctionnelle d une faculté sans savoir exactement comment cette organisation fonctionnelle est physiquement réalisée
Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailIntelligence Artificielle et Robotique
Intelligence Artificielle et Robotique Introduction à l intelligence artificielle David Janiszek david.janiszek@parisdescartes.fr http://www.math-info.univ-paris5.fr/~janiszek/ PRES Sorbonne Paris Cité
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailCours 1 : La compilation
/38 Interprétation des programmes Cours 1 : La compilation Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 2/38 Qu est-ce que la compilation? Vous avez tous déjà
Plus en détailLa Menace du Stéréotype
La Menace du Stéréotype Fabrice GABARROT Bureau M6158 - Uni Mail Université de Genève 40, Bld du Pont d'arve CH-1205 Genève SUISSE Courriel : Fabrice.Gabarrot@pse.unige.ch Les stéréotypes sont, pour simplifier,
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détail1/24. I passer d un problème exprimé en français à la réalisation d un. I expressions arithmétiques. I structures de contrôle (tests, boucles)
1/4 Objectif de ce cours /4 Objectifs de ce cours Introduction au langage C - Cours Girardot/Roelens Septembre 013 Du problème au programme I passer d un problème exprimé en français à la réalisation d
Plus en détailIndications pour une progression au CM1 et au CM2
Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir
Plus en détailLa NP-complétude. Johanne Cohen. PRISM/CNRS, Versailles, France.
La NP-complétude Johanne Cohen PRISM/CNRS, Versailles, France. Références 1. Algorithm Design, Jon Kleinberg, Eva Tardos, Addison-Wesley, 2006. 2. Computers and Intractability : A Guide to the Theory of
Plus en détailTux Paint. 1. Informations générales sur le logiciel. Auteur : Bill Kendrick et l équipe de développement de New Breed Software
1. Informations générales sur le logiciel Auteur : Bill Kendrick et l équipe de développement de New Breed Software Version : 0.9.13 Licence : GPL Date de parution : octobre 2004 Environnement requis :
Plus en détailSTAGE IREM 0- Premiers pas en Python
Université de Bordeaux 16-18 Février 2014/2015 STAGE IREM 0- Premiers pas en Python IREM de Bordeaux Affectation et expressions Le langage python permet tout d abord de faire des calculs. On peut évaluer
Plus en détail«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris
«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-
Plus en détailÉléments d informatique Cours 3 La programmation structurée en langage C L instruction de contrôle if
Éléments d informatique Cours 3 La programmation structurée en langage C L instruction de contrôle if Pierre Boudes 28 septembre 2011 This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailMachines virtuelles Cours 1 : Introduction
Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Pierre Letouzey 1 pierre.letouzey@inria.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 janvier 2012 1. Merci à Y. Régis-Gianas pour les transparents Qu est-ce qu une
Plus en détailTravaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation
Université de Savoie Module ETRS711 Travaux pratiques Compression en codage de Huffman 1. Organisation du projet 1.1. Objectifs Le but de ce projet est d'écrire un programme permettant de compresser des
Plus en détailCarré parfait et son côté
LE NOMBRE Carré parfait et son côté Résultat d apprentissage Description 8 e année, Le nombre, n 1 Démontrer une compréhension des carrés parfaits et des racines carrées (se limitant aux nombres entiers
Plus en détailExemples de problèmes et d applications. INF6953 Exemples de problèmes 1
Exemples de problèmes et d applications INF6953 Exemples de problèmes Sommaire Quelques domaines d application Quelques problèmes réels Allocation de fréquences dans les réseaux radio-mobiles Affectation
Plus en détailLes troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailMIS 102 Initiation à l Informatique
MIS 102 Initiation à l Informatique Responsables et cours : Cyril Gavoille Catherine Pannier Matthias Robine Marc Zeitoun Planning : 6 séances de cours 5 séances de TD (2h40) 4 séances de TP (2h40) + environ
Plus en détailCours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions
Cours d introduction à l informatique Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Qu est-ce qu un Une recette de cuisine algorithme? Protocole expérimental
Plus en détail«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables
Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du
Plus en détailPuissances d un nombre relatif
Puissances d un nombre relatif Activités 1. Puissances d un entier relatif 1. Diffusion d information (Activité avec un tableur) Stéphane vient d apprendre à 10h, la sortie d une nouvelle console de jeu.
Plus en détailModèles à Événements Discrets. Réseaux de Petri Stochastiques
Modèles à Événements Discrets Réseaux de Petri Stochastiques Table des matières 1 Chaînes de Markov Définition formelle Idée générale Discrete Time Markov Chains Continuous Time Markov Chains Propriétés
Plus en détailTP1 : Initiation à Java et Eclipse
TP1 : Initiation à Java et Eclipse 1 TP1 : Initiation à Java et Eclipse Systèmes d Exploitation Avancés I. Objectifs du TP Ce TP est une introduction au langage Java. Il vous permettra de comprendre les
Plus en détailGlossaire des nombres
Glossaire des nombres Numérisation et sens du nombre (4-6) Imprimeur de la Reine pour l'ontario, 008 Nombre : Objet mathématique qui représente une valeur numérique. Le chiffre est le symbole utilisé pour
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailGestion des sauvegardes
Gestion des sauvegardes Penser qu un système nouvellement mis en place ou qui tourne depuis longtemps ne nécessite aucune attention est illusoire. En effet, nul ne peut se prémunir d événements inattendus
Plus en détailLes nombres entiers. Durée suggérée: 3 semaines
Les nombres entiers Durée suggérée: 3 semaines Aperçu du module Orientation et contexte Pourquoi est-ce important? Dans le présent module, les élèves multiplieront et diviseront des nombres entiers concrètement,
Plus en détailProgrammation Par Contraintes
Programmation Par Contraintes Cours 2 - Arc-Consistance et autres amusettes David Savourey CNRS, École Polytechnique Séance 2 inspiré des cours de Philippe Baptiste, Ruslan Sadykov et de la thèse d Hadrien
Plus en détailDéroulement. Evaluation. Préambule. Définition. Définition. Algorithmes et structures de données 28/09/2009
Déroulement Algorithmes et structures de données Cours 1 et 2 Patrick Reuter http://www.labri.fr/~preuter/asd2009 CM mercredi de 8h00 à 9h00 (Amphi Bât. E, 3 ème étage) ED - Groupe 3 : mercredi, 10h30
Plus en détailPetit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007
Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailCours 1 : Qu est-ce que la programmation?
1/65 Introduction à la programmation Cours 1 : Qu est-ce que la programmation? Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr Université Paris Diderot Paris 7 2/65 1. Sortez un appareil qui peut se rendre
Plus en détailConception des systèmes répartis
Conception des systèmes répartis Principes et concepts Gérard Padiou Département Informatique et Mathématiques appliquées ENSEEIHT Octobre 2012 Gérard Padiou Conception des systèmes répartis 1 / 37 plan
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détaille «Yoga psychologique», créé par Nicolas Bornemisza.
MÉTHODE IT Libérations des Images intérieures - Images de Transformation Présentation de la méthode de Nicolas Bornemisza La méthode IT a été co- créée par Marie Lise Labonté et Nicolas Bornemisza. Elle
Plus en détailUniversité de Bangui. Modélisons en UML
Université de Bangui CRM Modélisons en UML Ce cours a été possible grâce à l initiative d Apollinaire MOLAYE qui m a contacté pour vous faire bénéficier de mes connaissances en nouvelles technologies et
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailGOL502 Industries de services
GOL502 Industries de services Conception d un service Partie IIb Version 2013 Introduction Conception d un service partie IIb Nous verrons dans ce chapitre Modélisation d un service; Langage de modélisation
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailArithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot
Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,
Plus en détailUEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.
UEO11 COURS/TD 1 Contenu du semestre Cours et TDs sont intégrés L objectif de ce cours équivalent a 6h de cours, 10h de TD et 8h de TP est le suivant : - initiation à l algorithmique - notions de bases
Plus en détailProgrammation C++ (débutant)/instructions for, while et do...while
Programmation C++ (débutant)/instructions for, while et do...while 1 Programmation C++ (débutant)/instructions for, while et do...while Le cours du chapitre 4 : le for, while et do...while La notion de
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailTP1 : Initiation à Java et Eclipse
TP1 : Initiation à Java et Eclipse 1 I. Objectif du TP TP1 : Initiation à Java et Eclipse Programmation Mobile Initiation à l environnement Eclipse et aux notions de base du langage Java. II. Environnement
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailChapitre 10 Arithmétique réelle
Chapitre 10 Arithmétique réelle Jean Privat Université du Québec à Montréal INF2170 Organisation des ordinateurs et assembleur Automne 2013 Jean Privat (UQAM) 10 Arithmétique réelle INF2170 Automne 2013
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPlan du cours 2014-2015. Cours théoriques. 29 septembre 2014
numériques et Institut d Astrophysique et de Géophysique (Bât. B5c) Bureau 0/13 email:.@ulg.ac.be Tél.: 04-3669771 29 septembre 2014 Plan du cours 2014-2015 Cours théoriques 16-09-2014 numériques pour
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailPERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE
GOBERT 1 PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE 1. Perception et perception sociale Perception = processus par lequel l individu organise et interprète ses impressions sensorielles de façon à donner un sens
Plus en détail1 Définition et premières propriétés des congruences
Université Paris 13, Institut Galilée Département de Mathématiques Licence 2ème année Informatique 2013-2014 Cours de Mathématiques pour l Informatique Des nombres aux structures Sylviane R. Schwer Leçon
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailChapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION
Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous
Plus en détailAlgorithmique et Programmation, IMA
Algorithmique et Programmation, IMA Cours 2 : C Premier Niveau / Algorithmique Université Lille 1 - Polytech Lille Notations, identificateurs Variables et Types de base Expressions Constantes Instructions
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailTP 1 Prise en main de l environnement Unix
Introduction aux systèmes d exploitation (IS1) TP 1 Prise en main de l environnement Unix Le but de ce premier TP est de commencer à vous familiariser avec l environnement Unix. 1 Ouverture de session
Plus en détailTitle Text. Gestion de données de mobilité Mobility data management
Title Text Gestion de données de mobilité Mobility data management Contenu de la présentation Content Entrepôt de données de mobilité et exportation Automatisation de la génération d objets dynamiques
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailInformation utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/
Systèmes de gestion de bases de données Introduction Université d Evry Val d Essonne, IBISC utiles email : cinzia.digiusto@gmail.com webpage : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Google+ : https://plus.google.com/u/0/b/103572780965897723237/
Plus en détailWix : mettre en place un site d e commerce
Wix : mettre en place un site d e commerce I Préambule Wix (http://fr.wix.com/) est un application web de création de sites web en ligne (mode SaaS Software As A Service). Très puissant, il permet de créer
Plus en détailbasée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML
basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML http://olivier-augereau.com Sommaire Introduction I) Les bases II) Les diagrammes
Plus en détailLogiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel
Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel Stefano Zacchiroli zack@pps.univ-paris-diderot.fr Laboratoire PPS, Université Paris Diderot 2013 2014 URL http://upsilon.cc/zack/teaching/1314/freesoftware/
Plus en détailALGORITHMIQUE ET PROGRAMMATION En C
Objectifs ALGORITHMIQUE ET PROGRAMMATION Une façon de raisonner Automatiser la résolution de problèmes Maîtriser les concepts de l algorithmique Pas faire des spécialistes d un langage Pierre TELLIER 2
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailFiche PanaMaths Calculs avec les fonctions sous Xcas
Fiche PanaMaths Calculs avec les fonctions sous Xcas Cette fiche destinée aux élèves des classes de Terminale requiert un premier niveau de connaissance du logiciel Xcas. Définition d une fonction Fonctions
Plus en détailÉvaluation et implémentation des langages
Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1
TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une
Plus en détailINF 232: Langages et Automates. Travaux Dirigés. Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies
INF 232: Langages et Automates Travaux Dirigés Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies Année Académique 2013-2014 Année Académique 2013-2014 UNIVERSITÉ JOSEPH
Plus en détailLes structures. Chapitre 3
Chapitre 3 Les structures Nous continuons notre étude des structures de données qui sont prédéfinies dans la plupart des langages informatiques. La structure de tableau permet de regrouper un certain nombre
Plus en détailAlgorithme. Table des matières
1 Algorithme Table des matières 1 Codage 2 1.1 Système binaire.............................. 2 1.2 La numérotation de position en base décimale............ 2 1.3 La numérotation de position en base binaire..............
Plus en détailÉvaluation expérimentale de l application de la théorie «Vision-Compréhension» aux patrons de conception
Évaluation expérimentale de l application de la théorie «Vision-Compréhension» aux patrons de conception Bertrand Van den Plas Faculté d Informatique Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix 21 septembre
Plus en détailRéalisabilité et extraction de programmes
Mercredi 9 mars 2005 Extraction de programme: qu'est-ce que c'est? Extraire à partir d'une preuve un entier x N tel que A(x). π x N A(x) (un témoin) (En fait, on n'extrait pas un entier, mais un programme
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailTP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile
TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile Dans ce TP, vous apprendrez à définir le type abstrait Pile, à le programmer en Java à l aide d une interface
Plus en détailInfo0101 Intro. à l'algorithmique et à la programmation. Cours 3. Le langage Java
Info0101 Intro. à l'algorithmique et à la programmation Cours 3 Le langage Java Pierre Delisle, Cyril Rabat et Christophe Jaillet Université de Reims Champagne-Ardenne Département de Mathématiques et Informatique
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détailObjectifs du cours d aujourd hui. Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet. Complexité d un problème (2)
Objectifs du cours d aujourd hui Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet Complexité des problèmes Introduire la notion de complexité d un problème Présenter
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailPRIME D UNE OPTION D ACHAT OU DE VENTE
Université Paris VII - Agrégation de Mathématiques François Delarue) PRIME D UNE OPTION D ACHAT OU DE VENTE Ce texte vise à modéliser de façon simple l évolution d un actif financier à risque, et à introduire,
Plus en détailUML (Diagramme de classes) Unified Modeling Language
UML (Diagramme de classes) Unified Modeling Language Sommaire Introduction Objectifs Diagramme de classes Classe (Nom, attribut, opération) Visibilité et portée des constituants d une classe Association
Plus en détailTP1 - Prise en main de l environnement Unix.
Mise à niveau UNIX Licence Bio-informatique TP1 - Prise en main de l environnement Unix. Les sujets de TP sont disponibles à l adresse http://www.pps.jussieu.fr/~tasson/enseignement/bioinfo/ Les documents
Plus en détailIntroduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée
Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités
Plus en détailOrganigramme / Algorigramme Dossier élève 1 SI
Organigramme / Algorigramme Dossier élève 1 SI CI 10, I11 ; CI 11, I10 C24 Algorithmique 8 février 2009 (13:47) 1. Introduction Un organigramme (ou algorigramme, lorsqu il est plus particulièrement appliqué
Plus en détailLes équations différentielles
Les équations différentielles Equations différentielles du premier ordre avec second membre Ce cours porte exclusivement sur la résolution des équations différentielles du premier ordre avec second membre
Plus en détailCours Informatique Master STEP
Cours Informatique Master STEP Bases de la programmation: Compilateurs/logiciels Algorithmique et structure d'un programme Programmation en langage structuré (Fortran 90) Variables, expressions, instructions
Plus en détailTP3 : Manipulation et implantation de systèmes de fichiers 1
École Normale Supérieure Systèmes et réseaux Année 2012-2013 TP3 : Manipulation et implantation de systèmes de fichiers 1 1 Répertoire de travail courant Le but de l exercice est d écrire une commande
Plus en détailLe développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget
Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant
Plus en détailINITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP
COURS PROGRAMMATION INITIATION AU LANGAGE C SUR MICROCONTROLEUR PIC page 1 / 7 INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP I. Historique du langage C 1972 : naissance du C dans les laboratoires BELL par
Plus en détail