L AUDIT EN MATERNITE : la théorie. Dr Anne EGO (Lille)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L AUDIT EN MATERNITE : la théorie. Dr Anne EGO (Lille)"

Transcription

1 L AUDIT EN MATERNITE : la théorie Dr Anne EGO (Lille)

2 Qu est-ce que l audit? ANAES (Agence Nationale d Accréditation et d Evaluation en Santé) Audit clinique = méthode d évaluation qui permet à l aide de critères déterminés de comparer les pratiques des soins à des références admises, en vue de mesurer la qualité de ces pratiques et des résultats des soins, avec l objectif de les améliorer.... c est aussi une méthode d amélioration de la qualité des soins Répond à un besoin puisque : les pratiques sont très variables la mise à jour des connaissances est difficile les technologies médicales progressent de façon constante

3 Qualité = ensemble des propriétés et caractéristiques d un produit ou service qui lui confèrent l aptitude à satisfaire des besoins exprimés ou implicites Joint Commission on Accreditation of Healthcare Organizations (JCAHO) Composantes de la qualité des soins : Sécurité Efficacité Caractère approprié Délivrance au bon moment Continuité Acceptabilité Accessibilité Efficience

4 Audit clinique ou audit médical? Clinique :tous les aspects des soins médicaux et paramédicaux Médical : soins médicaux seulement European association of perinatal medicine (Workshop Florence, Italie, 4-7 novembre 1993) Audit périnatal = analyse critique et systématique de la qualité des soins périnatals, incluant : les mesures de prévention, de diagnostic et de traitement la consommation de ressources et le résultat de ces soins, y compris en terme de qualité de vie pour les femmes et leurs nouveau-nés. Bénéfice pour les patients, les soignants, et les institutions

5 Les différents types d audit RECHERCHE - ACTION Objectifs? améliorer la connaissance d une situation clinique ou d un fonctionnement = audit diagnostique initial ex : audit du dossier patient pour définir un programme d amélioration institutionnel évaluer la conformité d une pratique à un référentiel donné en vue de l améliorer = audit d efficacité ex : audit du lavage des mains, 6 mois après diffusion d une procédure résoudre une situation préoccupante ou un problème à répétition = outil d analyse et de correction des pratiques ex : constat d absence fréquente de vaccination anti-rubéolique en maternité

6 Types d audit? D après l European association of perinatal medicine (Workshop Florence, Italie, 4-7 novembre 1993) basic clinical «audit» = recueil d indicateurs en routine random notes = audit de structure, contrôle qualité, tenue de dossiers médicaux prospective process audit = processus clinique complet avec une check-liste par patient topic audit = mise en évidence d une pratique ou d un résultat préoccupante (évolution, morbidité) adverse event monitoring/sentinel event audit = revue systématique de dossiers à problème, dossiers «near-miss», enquêtes confidentielles avec comité d experts

7 Recueil de données en routine et adverse event monitoring les plus utilisés mais sous-exploités peuvent être à l origine d audit Recueil de données en routine Contrôle qualité des dossiers Analyse de cas cliniques AUDIT DE PRATIQUE AUDIT DE PRISE EN CHARGE

8 Déroulement d un audit Choix d une pratique à évaluer Définition du référentiel et choix des critères Choix du type d étude et de la méthode de mesure Recueil des données Analyse des résultats Élaboration des recommandations et suivi

9 Le cycle de l audit Identification d une pratique ou d un résultat posant problème Suivi de son impact Définition d un standard Proposition d une solution plan d amélioration Comparaison objective avec le standard Identification de la raison du problème

10 Critères de choix du thème Problème significatif : conséquences graves, fréquence importante, évolution inquiétante, pratique hétérogène, coût pratique : dépistage, mesure de prévention, examen diagnostique, traitement résultat : indicateur de mortalité ou morbidité ou satisfaction du patient! mais indicateur de résultat : difficile à comparer à un standard peu de chances de mettre en évidence une évolution Sujet choisi grâce à l évaluation d activité d une maternité, ou identifié par une revue de cas Ex : une étude de dossiers de décès périnatals met en évidence un retard à la réalisation de césariennes, et amène à la réalisation d un audit du délai décisionincision sur l ensemble des césariennes... mais aussi préoccupation évoquée par les usagers ou l institution

11 Sujet bien défini, en accord avec l ensemble des personnes impliquées Existence de références scientifiques, réglementaires ou professionnelles Changements potentiels accessibles Aspects pratiques : consensus, identification de volontaires motivés, définition d un groupe de travail, cahier des charges, réflexion sur les moyens nécessaires, calendrier de travail Désigner l évaluateur : compétences cliniques, attitude neutre, garant du recueil de données Audit interne : évaluateur = un membre de l équipe soignante Audit externe : évaluateur non impliqué, comité d experts

12 Comment définir le standard? Construire le référentiel rechercher dans la littérature dispositions réglementaires conférences de consensus, ou recommandations pour la pratique audits cliniques sur le même thème mises au point des revues professionnelles ou sociétés savantes définir un nombre raisonnable de critères de qualité prendre en compte le contexte local : recrutement, moyens humains médicaux et soignants, logistique, partenaires adapter raisonnablement le référentiel à ce contexte donner aux critères retenus une valeur cible (%, nombre, délai)

13 Les différents types de critère critères de validation : définition de la population sélectionnée ex : chiffre tensionnel pour la prescription d un antihypertenseur critère de conformité : bien-fondé d un comportement ou d une intervention ex : réalisation d une hyperglycémie provoquée par voie orale en cas de test de O Sullivan anormal critère de complication : ex : infection urinaire dans le cadre d un protocole de sondage urinaire critère de résultat : ex : détresse respiratoire dans le cadre du protocole de corticothérapie anténatale

14 Modalités d évaluation Choisir la méthode : recueil de données rétrospectif ou prospectif Avantages Inconvénients Rétrospectif évaluation a posteriori recueil indirect accès facile peu coûteux données manquantes biais mémorisation correspondance soins prescrits et réalisés dossiers introuvables observation directe Prospectif pas d interprétation a posteriori effet positif immédiat = évaluation action coûteux et long difficile en dehors des heures ouvrables biais observation influence mutuelle de l observateur et de l observé

15 En pratique : prospectif : évaluation d une pratique, absence de données fiables / rétrospectif : tenue de dossiers, données existantes satisfaisantes pratique hétérogène taille de l échantillon 6 à 8 semaines maximum dossier papier clinique et administratif, feuille de surveillance, dossier informatisé, recueil de consommables (pharmacie) prospectif : observation directe / interview / autoévaluation

16 Analyser les résultats convertir les réponses en écart par rapport aux valeurs cibles des indicateurs (graphique observé/attendu) 100% 75% 50% 25% Observé Standard 0% Critère 1 Critère 2 Critère 3 Critère 4

17 présenter les résultats à l équipe en préservant l anonymat du personnel et des patients rechercher les raisons de ces écarts : - professionnelles (manque de connaissances) - organisationnelles (défaut de coordination de la prise en charge) - institutionnelles (manque de méthodes, matériels inadéquats) - personnelles (manque de conviction, de motivation)

18 Élaborer un plan d amélioration faire valider les causes des écarts à la pratique recenser les actions possibles : les hiérarchiser en fonction de la facilité et de la rapidité de leur application déterminer le calendrier rédiger un rapport d étude : historique, développement de chaque étape, résultats obtenus, impact de la démarche, difficultés rencontrées fixer la période de réévaluation, souvent 1 an après, et les critères retenus (ensemble des critères ou sélection de quelques-uns) réutiliser le même type de présentation (observé temps t 1, observé temps t 2, standard)

19 L audit en évaluation Essai randomisé ENRICHIR LES CONNAISSANCES EFFICACITE THEORIQUE Nouvelle pratique Diffusion - début Essai randomisé +++ Observation SUIVI DE L UTILISATION Modification de la pratique Pratique établie Diffusion - poursuite Quasi-expérimentation ++ Observation + EFFICACITE en PRATIQUE Méta-analyse SYNTHESE DES CONNAISSANCES AUDIT

20 Par rapport à l épidémiologie : La place de l audit Recherche clinique dont l objectif est cognitif : enrichir les connaissances Évaluation d une intervention (diagnostique, préventive, ou thérapeutique) : examiner procédure et résultats L audit de pratique n a d intérêt que si l évaluation a montré l efficacité de cette procédure Unité statistique de l audit = pratique étudiée, même si souvent c est le patient Le standard ne correspond pas toujours aux données scientifiques de la littérature Seule la méthode est reproductible : à chaque service son audit, pas d extension possible des résultats

21 Confusion audit clinique étude avant / après Similitude avec une enquête quasi-expérimentale : Dans la mise en place : On contrôle la population sur laquelle porte l audit son déroulement et le moment de son introduction les informations à relever Dans l analyse : On compare valeur observée / valeur attendue une première fois, et on recommence à distance Dans l interprétation : On ne peut pas attribuer le résultat de façon certaine à la réalisation de l audit (évolution spontanée de la pratique, effet d autres actions,...)

22 Liée au souhait de répondre à 2 objectifs : modifier les pratiques audit montrer une amélioration de la santé enquête avant / après Indicateurs mesurés : intérêt concentré sur le résultat des soins présentation des résultats intermédiaires négligés si le référentiel est correct, il n est pas nécessaire de refaire la preuve de l efficacité de la pratique Procédures Résultats intermédiaires Résultats AUDIT Mise en œuvre d une réflexion dans le service Changement de comportements

23 Si l audit était une intervention en santé? Audit = intervention pour améliorer la qualité d une pratique Objet d un essai randomisé, d une étude quasi-expérimentale,... Procédures Résultats intermédiaires Résultats EVALUATION D UN AUDIT Mise en œuvre d une réflexion dans le service Changement de pratiques : niveau de connaissance, modifications du comportement Amélioration de l état de santé

24 Exemple 1: Deux exemples de la littérature Using the medical audit cycle to reduce cesarean section rates (Am J Obstet Gynecol 1996; 174 : ) Problème posé à partir de l analyse rétrospective des dossiers obstétricaux Identification de 2 groupes : A-Multipares avec utérus cicatriciel (73,5%) B-Primipares céphaliques à terme (7,5%) qui contribuent respectivement à 28% et 20% de l ensemble des césariennes 1ère indication chez les primipares = dystocie Mise en place de recommandations sur la prise en charge du travail basée sur la littérature : diagnostic d une dystocie et conduite à tenir

25

26 Revue mensuelle des partogrammes des primipares avec l ensemble du service Diffusion des résultats dans le service en reprenant les groupes identifiés Évaluation : taux de césariennes dans le groupe des PP (2,4%) taux de césariennes dans le groupe des MP (55,9%) + taux de transfert et complications néonatales stables Il n est pas fait mention : du choix de critères de jugement et de leur valeur cible de la description des écarts aux recommandations de la proposition de solutions concrètes de la réévaluation à distance Difficultés d interprétation de l efficacité de cet audit?

27 Exemple 2: The use of audit to improve clinical effectiveness in an infrequent obstetric therapy : magnesium sulphate in severe pre-eclampsia (Scot Med J 1998; 43 : ) Pratique mal répandue, avec manque de surveillance (effets toxiques possibles) Novembre 1995 : mise en place d un protocole d administration et de monitoring dans la prééclampsie sévère et l éclampsie dans la maternité. Protocole qui s appuie sur les recommandations du Royal College of Obstetrics ans Gynaecology Novembre 1996 : revue des dossiers sur l année écoulée : 7 cas 5 cas/7 : administration correcte, délai moyen pour atteindre la concentration optimale=8 heures 2 cas/7 : concentration thérapeutique non atteinte Mauvaise surveillance des effets respiratoires et neurologiques

28

29 Décembre 1996 : modification du protocole : consignes de surveillance clinique et biologique, précisions sur l adaptation de la prescription Réunions pour informer et sensibiliser le personnel soignant Nouvel audit 1 an après : 9 cas 9 cas/9 : concentration correcte, atteinte en 4 heures surveillance correcte et indiquée dans les dossiers L article mentionne bien : la description des écarts au protocole les mesures prises la réévaluation à distance Il répond à une question et une seule. Succès sur une pratique qui concerne peu de malades, mais des malades graves

30 Du staff à l audit de pratique... Audit a minima = staff quotidien Avantages : commentaires immédiats diversité des dysfonctionnements implication du service propositions faites par les responsables du service Inconvénients : référence = leader / littérature? pas de thème particulier motivation au cours du temps démarche imposée au service absence de caractère confidentiel

31 Faible développement de l audit Par ignorance méconnaissance de la place de l audit dans l évaluation des pratiques Par la représentation de l évaluation dans le corps médical connaissances médicales privilégiées contrôle de leur application : sujet trivial! médecine infaillible suspicion des médecins vis-à-vis des institutions, d un contrôle médico-économique de leur activité 1990 ANDEM puis ANAES (conférence de consensus, RPC, ) Par l organisation des services Résister aux leaders : (Opinion leaders vs audit and feedback to implement practice guidelines. Delivery after previous cesarean section. JAMA 1991; 265, ) Par la difficulté de pérenniser les effets de l audit

32 Les chances de succès de l audit METHODE: Hawthorne effect : changement de comportement induit par l observation (audit prospectif) Audit interne ELABORATION DU REFERENTIEL Démarche active : motiver médecins et soignants par une discussion ouverte et induire une participation volontaire Centres universitaires : pratique proche des recommandations scientifiques Souplesse des recommandations : appropriées aux ressources et définies à partir des pratiques existantes RECUEIL DE DONNEES Anonymat et confidentialité

33 DIFFUSION DES RESULTATS Support de l information / présentation des résultats / réactivité Proposition de solutions concrètes «active feedback» (Effects of feedback of information on clinical practice : a review. BMJ 1991; 303 : ) CARACTERISTIQUES SOIGNANTS - MALADES Meilleure compliance des soignants pour les malades à risque (Audit of compliance with antenatal protocols. BMJ 1992; 305 : ) Comportements évoluent plus facilement chez les femmes, les sujets jeunes, travaillant en équipe (General practitioners compliance with guidelines for antenatal care. Backe B, Jacobsen G. Scand J Prim Health Care 1994 Jun;12(2) : ) Augmentation des effets de l audit si campagne d information auprès des malades, ou si intérêt institutionnel

34 Les alternatives à l audit Comment sensibiliser aux bonnes pratiques autrement? Enquête de pratiques : Connaissance d une pratique > Modification de comportements Interroger de façon anonyme des professionnels de santé sur une pratique Questionnaire basé sur un référentiel Sensibilisation à un sujet Réponses +/- objectives Enquête épidémiologique : Evaluation l efficacité d une pratique Contribution à promouvoir un traitement, un dépistage Résultats intermédiaires : modification des comportements Courbe d apprentissage observée chez les soignants impliqués dans une étude, respect croissant de la procédure

35 Enquête de satisfaction : Solliciter l avis des usagers Intérêt pour les aspects non techniques des soins Prendre en compte leur avis Démarche en plein développement Plan de formation : Développer les compétences des équipes Demande exprimée par le personnel Etape nécessaire avant de mettre en oeuvre une activité d évaluation Campagne d information et d éducation à la santé : Médecins et patients Nationale, régionale, locale

36 «Compter n est pas assez» Lyons C, Gumprt R. Medical audit data : counting is not enough. Br Med J 1990, 300, Intérêt croissant pour l audit Guides méthodologiques Référentiels de plus en plus nombreux Bonnes publications rares, peu présentées dans les revues médicales Se concentrer sur l observation de la pratique Ne pas céder à la tentation de mesurer trop de résultats sur la santé Si la tentation est trop forte, audit + enquête avant après, mais ce sont 2 étapes différentes Expérience intéressante tant scientifiquement que humainement dans une équipe soignante

Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées

Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers

Plus en détail

Césarienne pour toutes

Césarienne pour toutes Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section

Plus en détail

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,

Plus en détail

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des

Plus en détail

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Qualité des soins Campagne de sensibilisation

Qualité des soins Campagne de sensibilisation Qualité des soins Campagne de sensibilisation INAMI Service des Soins de Santé Direction Recherche, développement et promotion de la qualité Dr Carl Cauwenbergh et Isabelle Collin Carl.cauwenbergh@inami.fgov.be

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

Un logo connu mais des activités mal connues!

Un logo connu mais des activités mal connues! Un logo connu mais des activités mal connues! Association des utilisateurs de dossiers informatisés en obstétrique, pédiatrie et gynécologie Date de création? 1980 Création de l Audipog par le Pr. Claude

Plus en détail

Formation CTOM «Printemps 2013»

Formation CTOM «Printemps 2013» Formation CTOM «Printemps 2013» Formation intensive avec mise en œuvre opérationnelle 105 heures de formation en centre Formation professionnelle qualifiante au métier de Clinical Trials Operations Manager

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA 1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain

Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain Journée de la préventions 2014 Atelier : «Repérer des actions de prévention : l exemple du tabac» Céline DEROCHE, Sandra KERZANET -

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants. cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection

Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants. cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants dans les essais cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection Anne RAISON Chef de l Unité Inspection

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Pharmacovigilance des Essais cliniques

Pharmacovigilance des Essais cliniques Pharmacovigilance des Essais cliniques Edouard LECHAPTOIS DIU FIEC 22 janvier 2013 1 Introduction S o m m a i r e Eléments de réglementation Définitions Responsabilité des investigateurs / promoteurs Organisation

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS 1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse

Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse Faculté de médecine Université de Montréal Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse Fanny Parent Résidente 1, médecine familiale HMR Projet d érudition 30 mai 2014 Introduction

Plus en détail

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,

Plus en détail

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Audit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport

Audit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport Nom de l'établissement (Logo éventuel) Audit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport Nom du Coordonnateur :... Date :... Sommaire [à mettre à jour en fin de rédaction (cliquer dans la table avec le

Plus en détail

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e) OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela

Plus en détail

Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1

Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

3 e symposium international

3 e symposium international 3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination

Plus en détail

ORDONNANCE COLLECTIVE

ORDONNANCE COLLECTIVE ACTIVITÉ(S) RÉSERVÉE(S) Évaluer la condition physique et mentale d une personne symptomatique Administrer et ajuster des médicaments lorsqu ils font l objet d une ordonnance Contribuer au suivi de la grossesse,

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut

Plus en détail

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé

Plus en détail

2. Rechercher les études

2. Rechercher les études Tutoriel «Introduction à l Evidence-based nursing» 1 2. Rechercher les études Objectifs du module Vous devez savoir élaborer une stratégie de recherche bibliographique efficace, en suivant les étapes suivantes

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Pré-diagnostic du Développement Durable

Pré-diagnostic du Développement Durable Pré-diagnostic du Développement Durable à l usage des PME-PMI et Autres Entreprises Le présent questionnaire a été réalisé par le groupe Développement Durable de l AUEG qui comprenait des membres d entreprises,

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation Objectifs de la formation Les métiers Ce Master valide votre qualification professionnelle et votre aptitude à tenir les emplois de cadres et futurs cadres supérieurs dans les professions industrielles

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Description du marché de l interim management

Description du marché de l interim management Description du marché de l interim management en Belgique Etude réalisée à la demande de a division of Septembre 2008 Market Probe Europe guy.morre@askbmi.com Sommaire 1. Objectifs de l étude 2. Méthodologie

Plus en détail

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine Département fédéral de l'intérieur DF) Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Protection des consommateurs Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Plus en détail

CERTIFICATIONS EN SANTE

CERTIFICATIONS EN SANTE CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

L observation des aspects non techniques d une simulation

L observation des aspects non techniques d une simulation L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre

Plus en détail

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

ÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique

ÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

I partie : diagnostic et proposition de solutions

I partie : diagnostic et proposition de solutions Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu

Plus en détail

ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS

ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS REGARDS CROISÉS DES ACTEURS DE LA GOUVERNANCE Administrateurs Présidents de conseil d administration/surveillance

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Modèle pour l auto-évaluation de la promotion et des pratiques d hygiène des mains au niveau de l établissement de soins

Modèle pour l auto-évaluation de la promotion et des pratiques d hygiène des mains au niveau de l établissement de soins Modèle pour l auto-évaluation de la promotion et des pratiques d hygiène des mains au niveau de l établissement de soins Introduction et instructions pour l utilisateur Le Modèle pour l auto-évaluation

Plus en détail

A. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)

A. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française) Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

M.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director

M.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director M.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director Vos Responsabilités en Matière de Pharmacovigilance Notification Spontanée d'événements Indésirables Formation 2 Notification Spontanée d Événement Indésirable

Plus en détail

Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique

Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

UNITE U 6.2 : PROJET TECHNIQUE OBJET DE L'EPREUVE.

UNITE U 6.2 : PROJET TECHNIQUE OBJET DE L'EPREUVE. UNITE U 6.2 : PROJET TECHNIQUE OBJET DE L'EPREUVE. Cette épreuve permet de valider les compétences C1, C2, C3 et T2 du référentiel au travers de la démarche de projet 15 que le candidat aura mis en œuvre.

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC

RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC INTRODUCTION Le présent rapport de transparence est rédigé et publié en application de l article R 823-21 du Code Commerce aux termes duquel «les commissaires aux comptes

Plus en détail

Procédures d enregistrement des médicaments

Procédures d enregistrement des médicaments Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica. Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application

Plus en détail

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

Sécurisation des soins et indicateurs en réanimation : taxonomie générale Safety practice and safety indicators: Definition and terminology

Sécurisation des soins et indicateurs en réanimation : taxonomie générale Safety practice and safety indicators: Definition and terminology Réanimation (2008) 17, 512 516 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ MISE AU POINT Sécurisation des soins et indicateurs en réanimation

Plus en détail

Développement de la pratique infirmière avancée en Romandie

Développement de la pratique infirmière avancée en Romandie SwissANP & ASDSI - 21.10 2011 Développement de la pratique infirmière avancée en Romandie H. Brioschi Levi, Directrice des soins CHUV F. Ninane, Directrice des soins DUMSC-PMU Plan de la présentation Contexte

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

INTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003)

INTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) INTRODUCTION Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) Le cadre d évaluation des données (CEQD) propose une structure qui permet d évaluer la qualité des données en comparant les

Plus en détail

Décret n 2010-1229 du 19 octobre

Décret n 2010-1229 du 19 octobre Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail