Usages et aménagements des cours d eau à l époque préindustrielle. Raphaël Morera CNRS - CERHIO
|
|
- Élodie Pinard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Usages et aménagements des cours d eau à l époque préindustrielle Raphaël Morera CNRS - CERHIO
2 La question des usages de l eau au cours de l époque moderne peut être posée sous un double patronage : André Guillerme (Les temps de l eau, 1983) défend la thèse d un lent endormissement des cours d eau dans le cadre urbain. Serge Benoît montre quant à lui que l énergie hydraulique a été centrale dans le processus de révolution industrielle du XIXe siècle.
3 Si les deux thèses semblent s opposer, elles renvoient toutes deux à un héritage hydraulique multiséculaire Entre la fin du Moyen Age et le XIXe siècle, l eau est au cœur de l économie. Meunerie Drainage Navigation
4 Cette contradiction apparente invite à déplacer le regard en s interrogeant non seulement sur les aménagements des cours d eau mais aussi sur leurs usages et leur entretien. On verra ainsi que la quête de l eau vive a été un élément fondamental de la construction des paysages et de l environnement. a paradoxalement induit l organisation du stockage
5 1/ Le flux structurant La meunerie Les moulins participent de tous les secteurs d activité (agriculture, métallurgie, textile ) Les moulins sont d abord localisés en tête de bassin Les petits cours d eau sont privilégiés Au cours de l Epoque moderne, la taille des moulins s accroît
6 Les impératifs du transport Le transport par eau est privilégié pour des raisons De coût D efficacité La navigation est d abord fluviale, et dans ce cas les rives sont aménagées Mais elle a aussi suscité la construction de canaux dédiés
7 Le drainage Les zones humides sont fortement convoitées au cours de l Epoque moderne. Poursuivant, une pratique médiévale, les assèchements modifient les usages des rivières : On doit faire s écouler les eaux stagnantes Protéger les zones conquises des crues Amener vers la rivière des eaux superflues
8
9
10
11
12
13
14 2/ Le flux menacé et menaçant Entre croissance et décroissance Les usages et aménagements des cours d eau dépendent fortement des contextes économiques et démographiques En période de croissance, l abondance de bras disponibles et de bouches à nourrir encourage les aménagements En période de recul, les aménagements les plus exigeants sont les plus rapidement abandonnés
15 Au cours de la période pré-industrielle, les usages de l eau entrent de plus en plus en concurrence les uns avec les autres, surtout à proximité des centres urbains : L irrigation La meunerie Les différentes usages industriels Le développement des jardins d agrément La conjonction de ces différents facteurs menacent partout le flux des rivières
16 Exemple de la Bièvre à Paris Jusqu au XVIe siècle 22 moulins sur tout son cours Installation progressive des tanneries et teintureries, encouragées à partir de 1577 Au XVIIe siècle Apparition des premiers dysfonctionnements Multiplication des installations Multiplication des usages Agrément Blanchisserie Brasserie La rivière n est plus utilisable
17 Sédimentation et énergie Dans les zones intensément cultivées, l érosion est intense et provoque une forte sédimentation dans les cours d eau. En zone urbaine, ce processus se conjugue avec les mésusages, notamment la pratique de déposer ses déchets industriels dans les cours d eau L exhaussement des cours d eau représentent ainsi une gêne constante
18 De la crue à l inondation L étiage est un problème considérable, mais les crues sont dévastatrices : elles provoquent toujours d importantes destructions Tout au long des grands fleuves, les sociétés se sont ainsi protégées contre les débordements Les levées de la Loire Les palières du Rhône La nécessaire protection a contribué de manière déterminante à construire les paysages
19 Les crues destructrices sont très fréquentes : Bièvre : 1570, 1625, 1665 La Vilaine (bien nommée) détruit régulièrement les installations qui la bordent Le Drac à Grenoble (Denis Cœur).
20 3/ Le flux entretenu et contrôlé Une question de droit L eau est une servitude : elle est possédée dans la mesure où l on possède le fond sur lequel elle s écoule On ne peut la retenir ni en amont, ni en aval. De ce fait, l entretien des cours d eau incombe aux propriétaires riverains
21 La responsabilisation du propriétaire Le curage des cours d eau est une obligation des propriétaires Au XVIIIe siècle, pour résoudre des problèmes d engorgement des méthodes de gestion inclusives La notion de propriétaire recouvre cependant des réalités très diverses à l époque
22 De multiples organisations La gestion communale Les cours d eau, surtout leurs rives, sont conçues comme des propriétés communes. Dans ce cas les communes prennent en charge l entretien des aménagements Très fort dans le Sud de la France Par ailleurs, on sait très peu de chose sur la question
23 Si les cours d eau sont navigables et/ou flottables ils sont la propriété du roi (Edit de Moulins, 1566). Il doit donc : Les entretenir Veiller à ce que les propriétaires riverains n entravent pas la circulation Au XVIIIe siècle, ses représentants font appliquer ces règles Intendance de Bretagne au XVIIIe siècle : ordonnance annuelle de curage de la Loire financé par un fond spécialement doté Intendance de Lille, curage de la Marcq
24 Dans les autres cas, l entretien des cours d eau est une obligation «légale» pour les propriétaires Curage en droit soi Il ne faut pas perturber les usages des voisins Cette logique pose cependant problème Très fort aléa moral Quel mécanisme de sanction en cas de non respect des obligations?
25 La mise en place d une gouvernance originales sur la Bièvre Règne de Louis XIV : les querelles de juridiction rendent la rivière inutilisables La situation est simplifiée sous la Régence 1732 : adoption d un arrêt de règlement déléguant la gestion de la rivière à un syndic Création d un rôle et d un mécanisme de surveillance pointilleux
26 On trouve une logique comparable dans les marais asséchés Un directeur ou un syndic Un règlement Des cotisations Obligations et sanctions Les premiers règlements de marais apparaissent en Hollande au début du XVIIe siècle.
27 Le flux contrôlé (canaux) Pour s affranchir des aléas de la nature, les aménageurs se sont attachés à artificialiser les cours d eau Mise au point de l écluse à sas (Italie, Pays-Bas) De manière paradoxale, on rend l eau «stagnante» pour en faciliter l usage
28
29
30 Le flux contrôlé (meunerie) Développement de la pratique du stockage de l eau pour en disposer en quantité souhaitée au moment souhaitée Aménagement de grands étangs alimentant des moulins aménagées en contrebas
31 Le flux optimisé L usage de l eau a été optimisé par l innovation techniques Projet CREERAI
32 Conclusion Je n ai pas parlé de la pêche La circulation de l eau a été un souci constant pour les sociétés On observe une dialectique homme / milieu sur une chronologie de long terme Il s agit de tendances qui se cristallisent au XIXe siècle
Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles
Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles Check-list à l'attention des chargés d'étude réalisant le Porter à Connaissance Cocher les lignes si le territoire
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailMOBILITY HELP DESK FOR APPRENTICES AND TEACHERS. Les apprentis peuvent effectuer des périodes de formation dans des entreprises européennes.
MOBILITY HELP DESK FOR APPRENTICES AND TEACHERS Qui peut participer? Les apprentis peuvent effectuer des périodes de formation dans des entreprises européennes. Ce dispositif est réservé aux jeunes des
Plus en détailLa menace des ruptures de digues
CTC Rhône moyen 3 mai 2010 Fiabilisation des digues sur le Rhône moyen La menace des ruptures de digues Plusieurs brèches apparues dans les digues de Camargue lors des crues de 1993, 1994, 2002 et 2003
Plus en détailCOMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»
COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailAtelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8
Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a
Plus en détailLaisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi
Laisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi Le canal du Midi, un patrimoine exceptionnel Une vitrine. L inscription par l Unesco en 1996 sur la liste du patrimoine
Plus en détailM&S Automation. Analyse Statistiques Qualité. Ingénierie de l information. acquisition et stockage des données. analyse des données
M&S Automation Ingénierie de l information Analyse Statistiques Qualité acquisition et stockage des données analyse des données maîtrise statistique des procédés gestion de la qualité et traçabilité Une
Plus en détailContrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT
Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailL eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011
L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailConcours interne d ingénieur des systèmes d information et de communication. «Session 2010» Meilleure copie "étude de cas architecture et systèmes"
Concours interne d ingénieur des systèmes d information et de communication «Session 2010» Meilleure copie "étude de cas architecture et systèmes" Note obtenue : 14,75/20 HEBERGE-TOUT Le 25 mars 2010 A
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailLes transformations de l espace productif et décisionnel en France
Les transformations de l espace productif et décisionnel en France Introduction La France est la 6 ème puissance économique mondiale (en PIB). Mais depuis 50 ans, son système productif et décisionnel connait
Plus en détaildocument de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité
document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes
Plus en détailSéance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE. Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques - Allemagne
Conférence Internationale : «La gestion de risques et de crises dans l assurance agraire» Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques
Plus en détailSynthèse sur l investissement participatif dans les parcs éoliens en France
Synthèse sur l investissement participatif dans les parcs éoliens en France Cette étude a été réalisée par le Syndicat des énergies renouvelables et sa branche éolienne France Energie Eolienne Juin 2010
Plus en détailPréfixe "MA" ALVEOLE VI
Préfixe "MA" ALVEOLE VI VI-A-00 : Tirés-à-part VI-A-8 : Atlas des villes VI-E-7/8 : Atlas VI-T-0/1 : Bibliographie de l'histoire de France 100 : Histoire urbaine 101 : Généralités, urbanisation 102 : Atlas
Plus en détailPREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE
λ siège Alpes du Nord : P arc Pré Millet 38330 M ONTB ONNO T tél 04 76 52 41 20 fax. 04 76 52 49 09 E m ail = i m s @ i m s r n. c o m agence Alpes du Sud Nice : tél. 04 92 29 11 10 fax. 04 92 29 11 20
Plus en détailAgenda 21, charte de développement durable et gestion du risque inondation Nicolas Bauduceau CEPRI
Agenda 21, charte de développement durable et gestion du risque inondation Nicolas Bauduceau CEPRI Aux origines de l analyse : un double constat La prise en compte du risque d inondation dans l aménagement
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailL ARTISANAT EN REGION CENTRE
L ARTISANAT EN REGION CENTRE 1 842 communes 2 457 516 habitants (est. 1.1.2) 32 813 entreprises artisanales employant 9 113 salariés (eff. moyen : 2,7) Dreux Nogent le Rotrou CHARTRES Châteaudun Pithiviers
Plus en détailLa gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies
La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale
Plus en détailEnsemble, renouvelons la puissance hydroélectrique française
Ensemble, renouvelons la puissance hydroélectrique française 2 Corbara, Italie L hydroélectricité en France une énergie décisive 2 e source de production d électricité après le nucléaire 14 % de la production
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailProjet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures
Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures Titre 1 : Bâtiments et urbanisme Chapitre 1 : amélioration de la performance énergétique des bâtiments
Plus en détailANALYSE SPATIALE, MODELISATION DES DYNAMIQUES DE PEUPLEMENT ET DE GESTION DE L ESPACE DU PLATEAU DE SACLAY DE LA PROTOHISTOIRE A L EPOQUE MEDIEVALE.
Résumé : ANALYSE SPATIALE, MODELISATION DES DYNAMIQUES DE PEUPLEMENT ET DE GESTION DE L ESPACE DU PLATEAU DE SACLAY DE LA PROTOHISTOIRE A L EPOQUE MEDIEVALE. Doctorante à Paris I - UMR 4586 Laboratoire
Plus en détailun lieu d exception pour goûter l art de vivre en bretagne
un lieu d exception pour goûter l art de vivre en bretagne le château du grand val accueille séminaires et incentives haut de gamme Le Château du Grand Val, dont les origines remontent au XVème siècle,
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailHABITATS PARTICIPATIFS
HABITATS PARTICIPATIFS habitats participatifs et coopératifs : de quoi parle t-on? CAUE 92-31.03.15 1. LES COOPERATIVES D HLM Un peu d histoire Une des trois familles composant le mouvement Hlm, issue
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailLOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage
LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détail«Et puis, lorsque tu vois des gens pêcher, tu es certain d être au bon endroit.» Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève
Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève - 2011 «Et il vient d où, ce ruisseau? j ai demandé. Du Colorado, m a-t-il dit. Nous l avons déménagé avec beaucoup de soin. Nous n avons encore jamais endommagé
Plus en détailAccueil COMMISSION MARKETING/COMMUNICATION TOURISME D AFFAIRES AXES DE DÉVELOPPEMENT 2010
Accueil COMMISSION MARKETING/COMMUNICATION TOURISME D AFFAIRES AXES DE DÉVELOPPEMENT 2010 LE CONVENTION BUREAU : RAPPEL DES MISSIONS QUATRE PERSONNES DONT DEUX CHEFS DE MARCHÉS 1. Promouvoir La destination
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailDe la qualité des milieux aquatiques dépendent de nombreux services rendus à la société
Pourquoi restaurer? 2 De la qualité des milieux aquatiques dépendent de nombreux services rendus à la société L essentiel Les sociétés dépendent des fleuves et des rivières en bon état pour assurer leur
Plus en détailCi-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.
Masters culture Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture. activités culturelles anthropologie métiers
Plus en détailLes bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003
La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailLA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel
Certu Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT Principes, méthodes et outils pour une meilleure intégration dans le cycle
Plus en détailConnaissance des Métiers d Art 2014-2015. Parc de VERSAILLES Métier : Fontainier
Connaissance des Métiers d Art 2014-2015 vendredi 7 novembre Parc de VERSAILLES Métier : Fontainier En ce lieu, 13 fontainiers entretiennent donc, assurent la maintenance et restaurent l'ensemble des fontaines
Plus en détailCONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION
ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA
Plus en détailRapport national d enquête Pays: France
RESPONS Responsible Skills Alliance for Sustainable Management of Small Hotels and Restaurants 539920-LLP-1-2013-1-BG-LEONARDO-LMP Rapport national d enquête Pays: France SOMMAIRE : Chapitre 1 : la base
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détail2-1 ére partie : Les Deux Vallées : leur histoire et environnement proche et lointain
un 2-1 ére partie : Les Deux Vallées : leur histoire et proche et lointain 2.1 Les Deux Vallées : une histoire 2.2 Les Deux Vallées : un Schéma de Cohérence Territoriale des Deux Vallées Rapport de présentation
Plus en détailLa Thérouanne. à Etrepilly. La Thérouanne en terre de mémoire La Thérouanne introuvable L eau n appartient à personne
à Etrepilly La Thérouanne La Thérouanne en terre de mémoire La Thérouanne introuvable L eau n appartient à personne Congis-sur-Thérouanne Etrépilly Trocy-en-Multien 27 La Thérouanne en terre de mémoire
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailAIDE A LA TRANSMISSION DES SAVOIR- FAIRE
FONDATION VMF 93 rue de l Université 75007 PARIS www.fondationvmf.org PAYS : DÉPARTEMENT (si France) : RÉGION (si étranger) : AIDE A LA TRANSMISSION DES SAVOIR- FAIRE NOM DE L ORGANISME PRÉSENTÉ : xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. www.eterritoire.fr
DOSSIER DE PRESSE www.eterritoire.fr SOMMAIRE LA MOBILITÉ DES CITOYENS, L ATTRACTIVITÉ DES TERRITOIRES RURAUX ET LE DÉVELOPPEMENT DU NUMÉRIQUE > La mobilité des citoyens > Des campagnes en mal d attractivité
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailIntroduction. 1. Les engagements de McGill
Introduction L Université McGill remercie le Conseil municipal et l Office de consultation publique de Montréal de tenir des consultations publiques sur le projet du Plan de protection et de mise en valeur
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailImmeuble collectif AQC
AQC Immeuble collectif Comment bien utiliser votre assurance construction «Dommages-Ouvrage»? Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité
Plus en détailDirection de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010. C est quoi la HQE et le BBC?
Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010 C est quoi la HQE et le BBC? VILLE DE CHOLET Eco construction 1- Relation du bâtiment avec son environnement
Plus en détailPascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais
Pascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais Bandes riveraines restreintes, beaucoup de stabilisation Rivière Yamachiche: champ de maïs sans bande riveraine Rivière
Plus en détail«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées
INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE. «MED LINK PORTS» : le port de Marseille Fos et 8 plateformes multimodales concluent un partenariat de promotion
Avec le soutien de COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le mercredi 3 décembre 2008 «MED LINK PORTS» : le port de Marseille Fos et 8 plateformes multimodales concluent un partenariat de promotion Dans le cadre
Plus en détailContact presse Ingrid Cadoret, Agence Hexagramm, ingrid.cadoret@hexagramm.fr - 09 51 51 14 71
Contact presse Ingrid Cadoret, Agence Hexagramm, ingrid.cadoret@hexagramm.fr - 09 51 51 14 71 dossier de presse 2013 sommaire page 3 page 4 page 5 page 6 page 7 page 9 page 10 Présentation Rewild, mode
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailReprésenter un pays : la carte de France
séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,
Plus en détailLa Girandière. Mulhouse (68) Résidences avec services pour seniors
La Girandière du PARC Mulhouse (68) Résidences avec services pour seniors L ART DE VIVRE AUX GIRANDIèRES À la Girandière du Parc, les résidents organisent leur vie comme ils le souhaitent. Les invités
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailLa Loire et nous : rêve d acteur NGE. Envoyé le 05/02/15
La Loire et nous : rêve d acteur NGE Envoyé le 05/02/15 NGE est une société d économie mixte locale dont les actionnaires majoritaires sont la Métropole de Nantes et la Ville, aux côtés d'actionnaires
Plus en détailIntroduction : du management au e-management.
Introduction : du management au e-management. Henri Isaac, Université Paris dauphine, Observatoire du e-management Dauphine-Cegos. L émergence du terme e-management a suscité de nombreuses interrogations
Plus en détailLa Drize COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU GENEVOIS
V I L L E D E La Drize Grange -Collomb COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU GENEVOIS Contrat de rivières transfrontalier entre Arve et Rhône V I L L E D E Protection et aménagement des rives RENATURATION DES COURS
Plus en détailÉtat de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central
État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central Situation en Languedoc-Roussillon Aubrac Espèces Maculinea alcon Maculinea rebeli Maculinea arion autres espèces de papillons Méjean Montagne
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailJour 1. Origines et évolution du marketing
Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,
Plus en détailAchats en ligne. et conversion. Le marketing à la performance, du premier affichage au dernier clic. tradedoubler.com
Achats en ligne et conversion Le marketing à la performance, du premier affichage au dernier clic tradedoubler.com Lorsqu il s agit de choisir une marque ou un produit à acheter, les consommateurs européens
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailLa région Nord-Pas-de-Calais
La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailGlobal Monitoring Emergency Services
Global Monitoring Emergency Services Christelle BOSC Olivier POCHARD 22/05/2012 Pôle Applications Satellitaires et Télécommunicaton CETE Sud-Ou LE PROGRAMME GMES Global Monitoring for Environment and Security
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailSommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22
Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs
Plus en détailAtelier-débats Le jeudi 26 mars 2015, à 19h Mairie du 12 ème arrondissement
Atelier-débats Le jeudi 26 mars 2015, à 19h Mairie du 12 ème arrondissement 2 Catherine Baratti-Elbaz Maire du 12 e arrondissement 3 Christophe Najdovski Adjoint chargé des transports, de la voirie, des
Plus en détailContact presse Virginie Rochette, Grande Traversée des Alpes virginie.rochette@grande-traversee-alpes.com 04 58 00 11 73
Contact presse Virginie Rochette, Grande Traversée des Alpes virginie.rochette@grande-traversee-alpes.com 04 58 00 11 73 dossier de presse 2015 sommaire page 3 page 4 page 5 page 6 page 7 page 9 page 10
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailLe partenaire incontournable de vos événements professionnels!
Le partenaire incontournable de vos événements professionnels! 2 VOTRE SEJOUR EN NARBONNAIS Faites appel à nous pour vos séminaires, congrès, meetings, incentives. Depuis l Antiquité, Narbonne constitue
Plus en détailLes mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France
Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailPASS_Compagnia. Dommages et Vie LE CHOIX DE L INNOVATION. Étude de cas HDI Assicurazioni
PASS_Compagnia Dommages et Vie LE CHOIX DE L INNOVATION Étude de cas HDI Assicurazioni Index 1. PASS_COMPAGNIA DOMMAGES ET VIE... 3 1.1 Sommaire... 3 1.2 Le scénario... 4 1.3 La solution de RGI... 5 1.3.1
Plus en détail