Le rayonnement solaire (1) CO1 Climatologie et hydrologie
|
|
- Louis Bastien
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le rayonnement solaire (1) CO1 Climatologie et hydrologie
2 Le programme du semestre TD 1 : Le rayonnement solaire (1) TD 2 : Le rayonnement solaire (2) TD 3 : Le rayonnement tellurique et atmosphérique, l effet de serre TD 4 : Les bilans énergétiques (1) TD 5 : Les bilans énergétiques (2) TD 6 : Cycle de l eau et circulation océanique TD 7 : Les fondements de la circulation atmosphérique : la pression et le géopotentiel TD 8 : Les mouvements verticaux de l atmosphère TD 9 : Les mouvements horizontaux de l atmosphère TD 10 : Les perturbations tempérées TD 11 : La mousson indienne (un exemple de variabilité saisonnière)
3 Le plan du TD Définition du climat Météo vs Climato Le système climatique Les éléments internes du SC Le rayonnement solaire L intensité du rayonnement Le domaine spectral Interface RS - Terre La constante solaire Le RS au somment de l atmosphère Le RS incident en surface L albédo Le RS absorbé en surface A retenir
4 Définition du climat o Définition du Larousse = ensemble des éléments qui caractérisent l état moyen de l atmosphère dans une région déterminée o La climatologie est donc un concept abstrait qui procède d une généralisation et d une intégration des conditions du temps. Les données quotidiennes (précipitations, température, pression, géopotentiel, vent, humidité ) sont agrégées dans le temps afin d analyser les tendances sur un espace donnée et à une certaine période de l âge de la Terre o L objectif de la climatologie est de comprendre et de quantifier les transferts d énergie sous l influence des paramètres internes (océan + atmsophère et éventuellement le volcanisme) et externes de la Terre (obliquité de la Terre, paramètres astronomiques, précéssion des équinoxes )
5 Météorologie vs Climatologie o Météorologie: analyse des conditions atmosphériques sur une échéance de quelques jours. Les principales variables météorologiques étudiées sont: - la température - l humidité - les précipitations - la pression (en surface et en altitude) - le rayonnement - le vent - dans le but de fournir des prévisions à court-moyen terme (la limite de prédictabilité de l atmosphère étant bornée à nos latitudes à environ 10 jours
6 Météorologie vs Climatologie o La climatologie procède a un diagnostique statistique de ces variables - Moyennes - Fréquences - Extrêmes - Structures spatiales types - Oscillation sur le moyen-long terme o Les prédictions climatologiques ont pour objectif de décrire l état moyen de l atmosphère sur un espace donné de l échelle saisonnière à l échelle séculaire. o Les mécanismes physiques sont bien entendu les mêmes que ceux de la météorologie.
7 Météorologie vs Climatologie o L agrégation temporelle lisse les variations spatiales de phénomènes localisées dans l espace à l échelle quotidienne o La météorologie représente le temps quasi-instantané que nous percevons (le climat ne se ressent pas directement) o Le climat est donc une abstraction qui peut être perçu par des intégrateurs naturels comme la végétation. La différence météo vs climato réside donc dans la duré. o Climatologie = agrégation d échelles quotidiennes sur environ 30 ans qui nous renseigne sur la fréquence moyenne des combinaisons typiques
8 Quelques dates 1500s-1700s 1800s s 1950s invention des thermomètres avec apparition des premiers enrgistrements - premières cartes (structures spatiales climatiques) - Arrenhius (calcul de l élévation de la T moyenne planétaire en réponse à un doublement du CO2) - théorie norvégienne du front polaire (description et explication du temps aux latitudes tempérées) - premiers radio-sondages - satellites - découverte du trou dans la couche d ozone + travaux sur le changement climatique - Protocole de Kyoto - Conférence à Copenhague
9 Le système climatique Forçages extra-terrestres Forcage solaire Géométrie Terre-Soleil Vent solaire Volcanisme Orographie Climat de la Terre Chimie atmosphérique Filtrage atmosphérique Dérive continentale Échanges énergétiques (OCA) Nature du substrat Forçages atmosphérique, océanique et continental
10 Les éléments internes Atmosphère = enveloppe gazeuse formant la limite du SC avec le reste de l univers Biosphère = ensemble du monde vivant (incluant l homme) Océan = 97% de l eau terrestre Cryosphère = glace marine (banquise) et terrestre (calotte) Ces éléments aux propriétés physicochimiques différentes sont alimentés en énergie de façon quasi-exclusive par l e r a y o n n e m e n t solaire Continent Biosphère Atmosphère Cryosphère Océan
11 Le rayonnement solaire o RS = 1er apport de chaleur au sein du système climatique (99,9%), le reste provient de l énergie géothermique o Composition du soleil = 74% d hydrogène et 24% d hélium (l hydrogène est convertie en hélium lors de la fusion thermonucléaire qui est à l origine du rayonnement) o Situé à environ km de la Terre, il produit ^26 W ou j/s soit l équivalent de l explosion de ^15 tonnes de TNT o Le rayonnement se caractérise par son intensité et son domaine spectral o L intensité : plus un corps est chaud (> 0 K) plus il émet un rayonnement intense o La T de surface du soleil (5800 K) émet donc des ondes électromagnétique (chaque surface dont la T excède le zéro absolu est capable d émettre un rayonnement)
12 L intensité du rayonnement o L intensité du RS se définit de la façon suivante: Epsilon = coefficent d émissivité (compris entre 0.9 et 0.99 en fonction de la surface émettrice Sigma = constante de Stefan-Boltzman T = température du corps émetteur (en K) o On obtient donc le RS (en faisant abstraction d epslion) par: et la température du corps émetteur par:
13 Le domaine spectral (1) o Tout corps dont l agitation moléculaire est > 0 K -> rayonnement électromagnétique (REM) o Le REM (flux de photons) se caractérise par un champ électrique et un champ magnétique qui se déplacent à km/s) o Plus un corps est chaud, plus il émet proportionnelement de courtes longueurs d ondes (et inversement)
14 Le domaine spectral (2) o Selon la loi de Wien, l émissivité rayonnante max se situe à la longueur d onde de : en µm (0.001 mm) o La couleur jaune du soleil est à 570 nm tandis que le max d émission du soleil se situe vers 500 nm (l oeil humain effectue un léger décalage dans le spectre) o Un corps dont la T est de 37.6 C émettra principalement vers 9.3µm (proche infrarouge) o La couleur est donc une mesure directe de l albédo dans le visible
15 Interface RS - Terre o Que ce passe t il une fois qu un corps a absorbé du RS? - élévation de la température (augmentation de l énergie thermique) - élévation en altitude pour une parcelle d air (augmentation de l énergie potentielle) - évaporation de l eau ou fusion/sublimation de la glace o La confrontation entre le rayonnement solaire et les élements du système climatique s effectue à travers 4 étapes: 1/ le RS intercepté à l extérieur de l atmosphère par un disque de même rayon que la Terre (= constante solaire d environ 1365 W/m^2) 2/ le RS au sommet de l atmosphère terrestre 3/ le RS incident en surface (après filtrage atmosphérique) 4/ le RS absorbé par la surface (mesure de la fraction de RS absorbé par un corps par rapport au rayonnement reçu)
16 La constante solaire (1) o Conservation de l énergie entre ce qui émit par le soleil et ce qui est intercepté par la Terre : Calcul de l énergie solaire: avec Rs le rayon du soleil en mètre, sigma la constante de Stefan-Boltzman et Ts la T de surface Calcul de la constante solaire: Distance Terre/Soleil (d) = ^11 m La constante solaire correspond à ce qui est intercepté par un disque fictif de 6378 km de rayon
17 La constante solaire (2) Surface du disque = pi r^2 Surface de la sphère 4 pi r^2
18 La constante solaire (3) o L irradiance solaire fluctue toutefois légèrement à l échelle décennale (entre 1364 et 1368 W/m^2) o Analyse spectrale des taches solaires depuis 1750 jusqu à 2000 montre un pic de fréquence à 11 ans (la variabilité de ce flux ne sera toutefois pas abordé lors de ce TD)
19 La rayonnement solaire au sommet de l atmosphère o L énergie n est pas absorbé de la même façon à l équateur qu aux pôles (la quantité de RS disponible par unité de surface décroît à mesure que l on se dirige vers les pôles en raison de la géométrie sphérique de la Terre o Gradient pôles équateur avec décroissance latitudinale des valeurs o Zone Inter-Tropicale (ZIT) intercepte 2 fois plus de RS (> 400) que les pôles (< 200) o Explication : absorption latitdinale différencié du RS induite par la rotondité de la Terre; les RS sont de plus en plus inclinés à mesure que l on se rapproche des pôles
20 Le rayonnement solaire au sommet de l atmosphère o Le RS incident incident peut être estimé jusqu à de latitude par RS incident (lat) = cos (lat) RS incident à l équateur o La sphéricité de la Terre contrôle donc l intensité du RS en fonction de la latitude o Cette absorption différencié du RS est à l origine des différences latitudinales de T qui vont à leur tour initier les mouvements atmosphériques RS Basses latitudes Hautes latitudes
21 Le rayonnement solaire incident en surface o Géographie zonale (+ de 200 W/m^2 dans la ZIT et minimum absolu de 100 W/ m^2 aux pôles o Moyenne de la carte = 210 soit environ 60% des 342 au sommet de l atm. o Minimum relatif à l équateur et aux latitudes sub-polaires des océans o Maximum absolu sur les zones tropicales continentales et minimas des pôles sur les zones océaniques (pourtour arctique et antarctique o Explication : filtrage atmosphérique et couverture nuageuse. Le RS est filtré durant la traversée de l atm. (20% est absorbé et 20% est réfléchit) avec toutes choses égales par ailleurs un filtrage + important aux pôles
22 L albédo o L albédo est la fraction de RS reçu par un corps et réfléchi sans être absorbé par le corps o Il varie de 0 à 1 et constitue k étape intermédiaire entre le RS incident en surface et le RS aborbé o Les océans ont l albédo le plus faible (< de 15%) et la neige a le pouvoir rélfecteur le plus fort (de 75 à 90%). 20% pour une forêt et environ 40% pour le sable
23 Le rayonnement solaire absorbé en surface o La moyenne de la carte est de 170 W/m^2 soit environ 50% des 342 W/ m^2 au sommet de l atm. o Le max est maintenant sur les secteurs océaniques tropicaux (SW du Pacifique) et le min relatif équatorial s estompe légèrement par rapport au RS incident en surface et le min absolu est désormais sur les zones polaires o L écart pôles-équateur qui était d un facteur 2 pour le RS au sommet de l atm. est maintenant d un facteur 6 (de 40 à 240) o Explication : illustration du rôle de l albédo. Tous ces facteurs amplifient le déséquilibre énergétique entre Pôles et Equateur instauré au départ par la rotondité
24 À retenir o Le rayonnement est un phénomène de transfert d énergie via des ondes électromagnétiques o L énergie solaire apporte + de 99.9% de l énergie totale utilisée par le climat o La quantité de RS interceptée à l extérieure de l atm. par le disque planétaire s appelle la constante solaire o L atm. absorbe 20% du RS incident et la surface terrestre les 50% restants o La rotondité est le facteur de zonalité le plus important des températures moyennes o La différence entre RS incident au sommet de l atm. et RS incident en surface réside dans le filtrage atmosphérique ainsi que dans la réflexion de la couverture nuageuse o Le RS absorbé en surface est contrôlé par la nature du substrat o L équateur absorbe 6 fosi plus de RS que les pôles o L excédent énergétique de la ZIT doit combler le déficit des pôles ; c est le fondement dela circulation atmosphérique et océanique à l échelle globale o Cette configuration subit toutefois des variations saisonnières qui seront abordées dans le second TD
25 Exercices (1) Quel est le facteur principal de la diminution latitudinale du RS incident en haute atmosphère et en surface? Quels peuvent être les facteurs expliquant les différence entre le RS absorbé (en surface) par le bassin amazonien et par le Pacifique équatorial oriental (cf. fig. 5)? Est-ce que la rotondité de la terre joue dans ce cas? Quels facteurs expliquent le minimum de RS absorbé en Antarctique et en Arctique? Classez les facteurs dans l ordre décroissant d importance. Calculez l intensité et le maximum d émission de rayonnement émis par une surface théorique d émissivité maximale (e=1) dont la température est de 20 C, -10 C, 0 C, 10 C, 20 C, 30 C, 40 C? Calculez la constante solaire de Mars, en sachant que sa distance au soleil est de de km.
26 Exercices (2) Proportion de RS absorbé en surface par rapport au RS incident (moyenne annuelle)
Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailL éclairage naturel première partie : Principes de base
Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux
Plus en détailaoût La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel
août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel Bienvenue Tribond - La danse de la pluie L oeil dans la météo A yous que la météo fit dans mon programme Météo everywhere
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détail3 - Description et orbite d'un satellite d'observation
Introduction à la télédétection 3 - Description et orbite d'un satellite d'observation OLIVIER DE JOINVILLE Table des matières I - Description d'un satellite d'observation 5 A. Schéma d'un satellite...5
Plus en détailLa Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.
La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailDocument d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001)
Document d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001) 1. Présentation du GPS Le GPS (Global Positionning System=système de positionnement
Plus en détailReal-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA)
Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) R. Roehrig 1,*, F. Couvreux 1, E. Poan 1, P. Peyrillé 1, J.-P. Lafore 1, O. Ndiaye 2, A. Diongue-Niang 2, F. Favot 1,
Plus en détailLe four solaire modèle BISS
Réchou Léopold 1 ère S-SVT Touchard Léo Tanghe Maxime Le four solaire modèle BISS Comment tout est mis en œuvre dans un four solaire pour atteindre une température optimale? Lycée Jacques de Vaucanson
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailLe projet DRIAS : premières études et documents
Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailPrincipe et fonctionnement des bombes atomiques
Principe et fonctionnement des bombes atomiques Ouvrage collectif Aurélien Croc Fabien Salicis Loïc Bleibel http ://www.groupe-apc.fr.fm/sciences/bombe_atomique/ Avril 2001 Table des matières Introduction
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailLes stations météo Vantage Pro2.
Les stations météo Vantage Pro2. La précision et la grande variété des mesures à un prix abordable par tous. Nos stations météo Vantage Pro sont de très bonne qualité, polyvalentes et évolutives. Elles
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailLE CORPS NOIR (basé sur Astrophysique sur Mesure / Observatoire de Paris : http://media4.obspm.fr/public/fsu/temperature/rayonnement/)
LE CORPS NOIR (basé sur Astrophysique sur Mesure / Observatoire de Paris : http://media4.obspm.fr/public/fsu/temperature/rayonnement/) Le corps noir est... noir D'où vient le terme corps noir? Notons tout
Plus en détailTraitement bas-niveau
Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailVI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)
Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailTHEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.
THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailDéveloppement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques
Développement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques Motivations : Augmenter la confiance dans les prévision du changement climatique. 1. nécessite d'utiliser les modèles le plus "physiques"
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailChapitre 15 - Champs et forces
Choix pédagogiques Chapitre 15 - Champs et forces Manuel pages 252 à 273 Après avoir étudié les interactions entre deux corps en s appuyant sur les lois de Coulomb et de Newton, c est un nouveau cadre
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailFormation Bâtiment durable-energie Cycle 2013
Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013 Production d'électricité renouvelable : énergie solaire photovoltaïque et éolienne Ing. Jérémie DE CLERCK Service du Facilitateur Bâtiment Durable Spécialiste
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailDURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE
DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailLA TÉLÉDÉTECTION AÉRO-SPATIALE : UNE INTRODUCTION
Claude Kergomard Professeur Ecole Normale Supérieure Paris LA TÉLÉDÉTECTION AÉRO-SPATIALE : UNE INTRODUCTION Cliquez sur les images pour entrer dans le cours Le cours est au format.pdf lisible avec Acrobat
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détail