L ALCESDAM (1) Vingt ans d expériences pour la restauration des oasis du sud marocain

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1 L ALCESDAM (1) Vingt ans d expériences pour la restauration des oasis du sud marocain L ALCESDAM est une ONG de droit marocain créée en 1985 ayant son siège à CASABLANCA. Depuis 1986, ses activités ont été essentiellement localisées dans la Province de TATA, province située au-delà de l Anti-Atlas en bordure des zones sahariennes. Les objectifs de l ONG peuvent être définis comme suit : L amélioration de ressources en eau et de leur efficience dans les oasis de la Province ; La lutte contre le déclin des palmeraies et l avancée de la désertification ; L amélioration du revenu agricole des paysans oasiens ; La lutte contre la pauvreté en milieu oasien et le frein à l émigration des jeunes ruraux. Pour atteindre ces objectifs, l ALCESDAM dés les premières années de son intervention, a élaboré, un partenariat avec les acteurs locaux : La Direction Provinciale de l Agriculture (DPA), les Autorités locales et les Associations d agriculteurs, des programmes d action, divisées en projets. Les projets émanent de la base, c'est-à-dire sont proposés à l ALCESDAM par les associations. Le Chef des Projets de l ONG, en concertation avec les responsables de la DPA et les représentants de l association, élabore une fiche projet qui doit justifier de l opportunité et de la faisabilité des aménagements à mettre en œuvre. Le Coordinateur et le Chef des Projets établissent un devis détaillé des travaux à exécuter en y mentionnant la participation financière et en main d œuvre qui sera à la charge de l association, ainsi que la part financière qui sera proposée au bailleur de fonds. A l aide de ces documents, l ALCESDAM établie une demande de co-financement, qu elle proposera à un bailleur de fonds potentiel. Depuis 1986, les principaux programmes d action ont concerné : L amélioration des ressources hydriques ; La mise en valeur des palmeraies ; L appui à l émergence des associations féminines rurales ; La formation et la vulgarisation ; La réhabilitation des palmeraies abandonnées. (1) ALCESDAM : Association pour la Lutte Contre l Érosion, la Désertification et la Sécheresse au Maroc 1

2 1- Programme d amélioration des ressources hydriques Depuis les années 1970, la sécheresse qui a touché toute la région a entraîné une diminution des ressources hydriques ayant en pour conséquence un rabattement des nappes phréatiques entraînant un tarissement des Khettaras et une diminution du pompage des puits. Face à une telle situation, l ALCESDAM a jugé prioritaire son intervention dans le domaine de l amélioration des ressources hydriques. Les activités déployées par l ONG peuvent être résumées comme suit : Le curage et la réhabilitation des Khettaras ; L aménagement et le bétonnage du réseau de séguias, ainsi que la mise en terre de conduites en P.V.C ; La construction de bassins d accumulation des eaux d irrigation. 2- Programme participatif de mise en valeur des palmeraies Ce vaste programme initié dés 1986 concerne plusieurs activités : L aide à la plantation de rejets de palmiers ; L aide à l amélioration des productions végétales sous palmiers ; L aide au développement des petits élevages familiaux ; L aide à la valorisation des dattes et de leurs sous-produits L aide à la plantation de rejets de palmiers-dattiers Afin de contrer le déclin des palmeraies dû aux sécheresses successives survenues depuis les années 1970/80 et à la progression de la maladie du Bayoud, l ALCESDAM a entrepris à partir des années 1990, un vaste programme de plantation de palmiers-dattiers à partir de rejets prélever sur des variétés de pieds femelles sains et bonne qualité dattière comme BOUFFEGOUS, JIHEL, BOUSKRI, BOUITTOB et SAÏR LAYALET (ces deux dernières variétés étant originaires de la région de TATA). Pour assurer une bonne reprise des rejets, seules les associations ayant des disponibilités suffisantes en eau étaient retenues pour ce programme. Le prix d un rejet de palmier étant évalué à 50,00 DH, l ALCESDAM accordait une subvention de 25,00 DH (50%) par rejet à l association bénéficiaire. De plus, l ALCESDAM approvisionne ces associations en engrais de fond (engrais phosphaté et potassique) et de couverture (engrais azoté) afin d assurer une bonne croissance des plants. De leur côté les agriculteurs s engagent à prélever les rejets sur les variétés pieds mères de leur choix, de creuser les trous de plantation en respectant d une part un certain alignement des plants et des distances adéquates de plantation (au minimum 6m x 7m soit moins de 250 pieds/ha). Depuis 1990, date de démarrage de ce programme, l ALCESDAM a aidé à la plantation de quelques palmiers-dattiers en partenariat avec une trentaine d associations paysannes de la Province de TATA. 2

3 2-2- L aide à l amélioration des productions végétales sous palmiers Ce programme a démarré dés 1986 avec les associations bénéficiaires des premiers aménagements de petite hydraulique. A travers ce programme d aide, les objectifs de l ALCESDAM étaient de promouvoir l utilisation de semences maraîchères et fourragères plus performantes que les semences locales et de vulgariser également de nouvelles techniques de culture en milieu oasien. Au cours de cette période, l ALCESDAM a diffusé 15 espèces de semences maraîchères améliorées (carottes, navets, oignons, pomme de terre ) et 3 espèces de semences fourragères (maïs, sorgho, luzerne dont la variété Moapa qui permet en milieu oasien, de réaliser jusqu à 12 coupes annuelles de fourrage). Des plants fruitiers ont également introduits dans les oasis : abricotiers, figuiers, grenadiers, amandiers, vigne à raisin de tables ainsi que des plants de verveine. En ce qui concerne les semences maraîchères et fourragères, les associations bénéficiaires de ce programme s engageaient à participer à hauteur de 50% à l achat des commandes. L ALCESDAM fournissant gratuitement les engrais (N P K) et ce en fonction des livraisons de semences. Une trentaine d associations ont participé à ce programme, ce qui leur a permis d améliorer les productions sous palmiers en premier lieu pour les besoins familiaux et en deuxième lieu en vendant aux souks locaux les surplus de production. On estime que 30% de l approvisionnement en légumes du souk journalier de TATA proviennent des oasis péri-urbaines de la ville, alors que dans les années 80 ce souk était approvisionné à 100% par les fournisseurs de la région d Agadir L aide à l amélioration des petits élevages familiaux Ce programme initié dés les années 1990 entre dans le cadre de la création d activités génératrices de revenus au profit des familles rurales oasiennes. Les efforts de l ALCESDAM ont principalement porté sur la fourniture, aux adhérents des associations partenaires, d ovins de race D MAN à partir d introductions de son berceau d origine, le TAFILALET. Ces ovins étaient constitués en unité familiale : 3 brebis et 1 bélier. A la fin des années 90, compte-tenu de la demande croissante en ovins D MAN, l ALCESDAM a encouragé la construction et la création de bergeries pépinières en fournissant aux associations d élevage les unités de base. Actuellement 22 bergeries totalisant 1300 ovins sont fonctionnelles dans la région de FOUM-ZGUID. Ces bergeries sont maintenant encadrées par des techniciens de l Office Régional de Mise en Valeur Agricole (ORMVA) de OUARZAZATE et l Association Nationale Ovine et Caprine (ANOC). 3

4 Depuis 5 ans, ces bergeries permettent l approvisionnement en ovins des souks de la Province, alors qu auparavant il fallait se déplacer au TAFILALET pour y effectuer ces achats, de ce fait commerce a pu se développer à l intérieur de la Province. L introduction et la diffusion de cette race D MAN, reconnue pour sa haute prolificité (2 agnelages par an avec en moyenne 2,7 agneaux) a également permis l amélioration de la race locale suite à des croisements dits d absorption. L ALCESDAM a également participé au développement des petits élevages caprins en faveur d associations féminines locales. De même elle a aidé 2 associations agricoles à reconstituer leurs ruchers suite aux dommages indirectes causés lors des luttes antiacridiennes. Enfin, entre 1995 et 2000 l ALCESDAM a approvisionné en certain médicament la pharmacie du Docteur Vétérinaire de la DPA de TATA L aide à la valorisation des dattes et de leurs sous produits La valorisation des dattes Dés la fin des années 80, W. GONET, alors Président de l ALCESDAM, a conçu une étuve de traitement des dattes afin de tuer les œufs pondus sur les fruits par une pyrale (Myeloïs) responsable du développement de vers dans les fruits. Traités par la chaleur (température comprise entre 60 et 70 C durant 2 heures), les fruits sont ensuite conditionnés sous vide partiel en sachets plastiques de 1 ou 2 kg offrant ainsi une garantie de conservation d une année sans risque de nouvelles contaminations. Commercialisés sous cette forme, les agriculteurs pouvaient apporter à leur production une valeur ajoutée bien supérieure aux fruits commercialisés en vrac dans les souks locaux. Actuellement on estime à une trentaine le nombre d étuves en fonctionnement non seulement dans la Province de TATA mais aussi dans les provinces avoisinantes du TAFILALET, de OUARZAZATE et de ZAGORA. La valorisation des déchets de dattes Afin de valoriser les dattes de qualité médiocre ainsi que les noyaux de dattes, des broyeurs ont été conçus afin de réduire en farine grossière ces sous-produits. Cet aliment est utilisé par les éleveurs oasiens comme complément alimentaire de la ration animale (1 Kg de farine est l équivalent énergétique de 1 kg d orge soit une Unité Fourragère) La pollinisation mécanique Devant les difficultés rencontrées et la pénibilité de la fécondation manuelle des palmiers femelles, W. GONET a conçu un pollinisateur mécanique à perche télescopique permettant de polliniser les inflorescences femelles jusqu à 12 mètres de hauteur. 4

5 Toutes ces nouvelles techniques ont été largement diffusées auprès des associations de la Province et des Provinces voisines afin d améliorer la qualité des productions dattières. 3- Programme d appui à l émergence des associations féminines rurales Les objectifs visés par ce programme peuvent être énoncés comme suit : Création d un espace social de rencontre ; Aide à la création d activités génératrices de revenus ; Autonomisation financière des adhérents ; Insertion de la femme rurale dans le tissu social et économique du douar ; Alphabétisation et sensibilisation des femmes aux problèmes de santé et d hygiène ; Initiation des jeunes enfants en âge pré-scolaire (3 à 5 ans) aux premiers pas de la scolarisation par la création de garderies. L ensemble de ces objectifs a pour but d intégrer la femme rurale dans la vie communautaire du douar et sa reconnaissance en tant qu acteur du développement rural. Pour atteindre ces objectifs, l ALCESDAM a participé financièrement à : La construction et à l équipement de 7 foyers de femmes rurales ; L organisation d ateliers et de voyages d études pour le renforcement des capacités techniques des adhérentes (artisanat, petits élevages) ; La création d un fonds de roulement devant conduire à l autofinancement de l association ; L achat d unités familiales ovines et caprines pour la création d activités génératrices de revenus 4- Programme d aide à la formation des agriculteurs Soucieux d améliorer le niveau technique des agriculteurs partenaires, l ALCESDAM a développé les actions suivantes : Organisation de voyages d études dans les provinces phoenicicoles limitrophes où grâce aux efforts des ingénieurs et des techniciens des Offices Régionaux de Mise en Valeur Agricole de TAFILALET et de OUARZAZATE, les paysans oasiens de ces régions ont amélioré leurs pratiques ancestrales de culture. Depuis les années 1990, l ALCESDAM a organisé une quinzaine de voyages d études d une durée chacun d une semaine au profit de 150 agriculteurs. C est en partie grâce à ces voyages qu a pu se développer dans la Province de TATA, les bergeries - élevages d ovins de race D MAN. Organisation de rencontres et d échanges inter associations entre les associations paysannes de TATA, de AKKA et de FOUM-ZGUID 5

6 Edition en langue arabe par l ALCESDAM de 17 fiches de culture et d élevage afin d améliorer à la fois les pratiques culturales sous palmiers et la conduite de petits élevages familiaux. 5- Programme participatif de mise en valeur des palmeraies 5-1- Généralités Afin de répondre à la demande d associations et compte-tenu de l expérience acquise par l ONG depuis une vingtaine d années, l ALCESDAM a initiée, à l automne 2003 son premier programme de réhabilitation de palmeraies. Cette réhabilitation est en fait une synthèse des divers programmes d activités que l ALCESDAM a développée depuis ses premières interventions dans la Province de TATA à savoir : L amélioration des ressources en eau ; La plantation de rejets de palmiers en variétés nobles ; L amélioration et la diversification des cultures sous palmiers ; Le développement des techniques de valorisation des dattes et de leurs sous produits ; L encouragement au développement des petits élevages familiaux ; L appui à l émergence des associations féminines rurales ; La formation des agriculteurs et la vulgarisation des techniques de l agronomie oasienne. Toutes ces activités, concentrées sur une même palmeraie, constituent en fait un véritable programme intégré de développement durable. Les palmeraies faisant l objet de ce programme sont constituées de terres nues, autrefois cultivées, que les années successives de sécheresse, depuis plusieurs décennies, ont rendu stériles à toute culture. La raréfaction des ressources en eau ayant entraîné un rabattement des nappes phréatiques, les Khettaras et les sources qui alimentent les sols se sont taries, ce qui a contraint les paysans a abandonné leurs terres. Le parcellaire anciennement cultivé est encore visible, seuls subsistent quelques palmiers improductifs, trop clairsemés pour assurer "l effet oasis" qui permet le développement des cultures sous palmiers. En général, les palmeraies à réhabiliter sont localisées au pourtour des oasis actuelles qui sont elles-mêmes en danger de déclin Elaboration du projet L ALCESDAM n intervient dans ce processus de réhabilitation que sur proposition de l association des agriculteurs concernés par cet aménagement comme précédemment mentionnée, le Chef de Projets de l ALCESDAM, en concertation avec la Direction Provinciale de l Agriculture, élaborent avec les responsables de l association une fiche projet qui doit justifier l opportunité et la faisabilité des aménagements à mettre en œuvre. Le Coordinateur et le Chef de Projets établissent un devis détaillé des travaux à entreprendre en y 6

7 mentionnant la participation financière et en main d œuvre qui sera à la charge de l association ainsi que la part financière qui sera proposée au bailleur de fonds. À l aide de ces documents, l ALCESDAM établie une demande de co-financement qu elle proposera à un bailleur de fonds potentiel. Les objectifs attendus peuvent être résumés comme suit : Mise en valeur par l eau d irrigation des terres abandonnées ; Amélioration du revenu agricole ; Fixation de la population rurale et frein à l émigration des jeunes ; Création d emploi. Protection environnementale des palmeraies en production et frein à la désertification. Actuellement deux partenaires financiers accompagnent l ALCESDAM dans ces programmes de réhabilitation : La Principauté de MONACO et ses organismes associés ; L Eglise protestante française des LONDRES Réalisation Deux palmeraies situées en zone préi-urbaine de la ville de TATA ont été réhabilitées (TALDNOUNT et BOUMAZIR). Les terres abandonnées depuis plusieurs décennies, dont la superficie est estimée à prés de 100 hectares sont actuellement l objet d une remise en valeur par les associations des douars concernés. Deux autres palmeraies (TIGUISSELT et BOUDANE) sont en cours de réhabilitation. Cet important programme de réhabilitation s appui sur l expérience acquise depuis 20 ans par l ALCESDAM, ainsi que sur la confiance réciproque établie au fil des ans entre l ONG et ses partenaires associatifs. Conclusion Toutes les activités déployées par l ALCESDAM depuis 20 ans dans la Province de TATA sont le fruit d un partenariat exemplaire que l ONG a développé avec tous acteurs locaux du développement rural et en particulier avec la Direction Provinciale de l Agriculture dont le Chef de Projets de l ALCESDAM est aussi le Technicien de la DPA. Cette collaboration étroite a permis à l ONG de développer le suivi rigoureux des projets et ce en complémentarité des actions conduites par le DPA. Il faut également souligner la confiance réciproque qui s est établie au cours de ces vingt années passées entre l ALCESDAM et ses partenaires associatifs : les paysans oasiens. 7

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