CHANCES ET MALCHANCES DE LA LUTTE CONTRE LE CANCER EN FRANCE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHANCES ET MALCHANCES DE LA LUTTE CONTRE LE CANCER EN FRANCE"

Transcription

1 CHANCES ET MALCHANCES DE LA LUTTE CONTRE LE CANCER EN FRANCE Par M. Gabriel PALLEZ, Président de la Ligue Contre le Cancer L'invitation de l'académie Nationale de Metz me permet de m'interroger, avec vous, sans manichéisme et, je l'espère, avec lucidité, sur la place du cancer dans les problèmes de santé publique. Quelques données chiffrées sont particulièrement éclairantes : Le cancer est en passe de devenir la première cause de mortalité globale en France avec environ décès par an, soit 30 % des décès. D'ores et déjà, cette primauté est constatée chez les hommes et les femmes de moins de 65 ans et chez les hommes tous âges confondus. En France, le nombre annuel de nouveaux cas de cancers est de Le nombre de malades en cours de traitement pour un cancer est actuellement d'environ Ces constatations ont conduit la Ligue Nationale contre le Cancer, dans une lettre ouverte adressée aux Français en octobre dernier, à souligner qu'en l'an 2000, un Français sur trois aura eu ou développera un cancer dans sa vie. Comme on va le voir, malgré des progrès indiscutables obtenus dans certaines localisations tumorales, la mortalité par cancer reste stable et la progression du nombre de cas de cancer n'est pas uniquement liée à l'accroissement numérique de la population et à l'allongement de la durée moyenne de vie. Donc, problème majeur de santé publique, à très forte résonance individuelle et collective, domaine qui fut jusqu'au début du siècle celui d'un mal mystérieux, le plus souvent incurable, que, dans la très grande majorité des cas, seule la chirurgie pourrait éventuellement combattre et plutôt au mieux freiner dans ses développements. 25

2 C'est entre les deux guerres que la lutte contre le cancer commence à s'organiser véritablement autour de deux axes : - La naissance et les progrès de la radiothérapie, née des applications de la radioactivité, et qui devint, pendant plusieurs décennies, le principal adjuvant à la chirurgie. - Un mouvement de solidarité sociale au bénéfice des malades cancéreux et de leurs familles, à une époque marquée par les insuffisances des régimes sociaux. La Ligue contre le Cancer, créée en 1919, a été au confluent de ces deux mouvements. Elle a mobilisé la générosité publique au profit de l'équipement de nombreux centres de radiothérapie et d'unités de radiologie de diagnostic. Elle a mené une politique active d'aide sociale aux malades. Le tout dans un climat de collaboration permanente avec les pouvoirs publics, nationaux ou locaux. La suite des événements relève de l'histoire récente. C'est l'explosion de la biologie moléculaire qui a permis l'apparition et le développement rapide de la chimiothérapie, à partir des années Cette nouvelle méthode de destruction des cellules cancéreuses a pris place à côté de la chirurgie et de la radiothérapie dans la batterie des moyens thérapeutiques à la disposition des médecins. Pendant cette période, sont aussi apparues de nombreuses possibilités nouvelles, offertes par les progrès de l'imagerie médicale (scanographie, I.R.M., radiologie conventionnelle, échographie). Les conditions du diagnostic du cancer ont de ce fait été profondément transformées. Diagnostics plus précoces et plus fiables, association de plus en plus systématique et de plus en plus rigoureuse de la chirurgie, de la radiothérapie et de la chimiothérapie, mise sur le marché de nouveaux médicaments, démonstration de l'efficacité résultant de nouvelles associations de médicaments, tels sont les principaux facteurs qui sont en relation directe avec les progrès thérapeutiques des vingt cinq dernières années. Ces progrès sont incontestables. Aujourd'hui, un cancer sur deux peut être guéri. Mais ce taux est très variable selon les types de cancer. Ainsi, on guérit aujourd'hui 70 % des cancers de l'enfant, 60 % du cancer de la femme et 30 % des cancers de l'homme. 26

3 Plus précisément encore: - La survie moyenne du cancer du sein (1) était inférieure à 50 % il y a 15 ans ; elle peut maintenant atteindre 90 % avec un dépistage précoce et un traitement conservateur. - Le cancer colorectal peut bénéficier, après contrôle endoscopique, de taux de guérison de près de 60 % avec des traitements plus "doux" permettant d'éviter les interventions chirurgicales mutilantes. - La survie moyenne du cancer du col de l'utérus ne dépassait guère 50 % il y a 15 ans ; avec la systématisation des frottis vaginaux, elle atteint des taux de guérison de l'ordre de 90 %. Parallèlement, la qualité de vie des malades a été sensiblement améliorée. Le caractère plus précoce du diagnostic, l'association de toutes les méthodes thérapeutiques disponibles permettent de limiter les interventions chirurgicales mutilantes et leurs séquelles. Pour un cancer sur deux, le nombre des séances de chimiothérapie a été diminué de moitié. Leur agressivité a souvent été réduite. Le traitement de la douleur a pris place dans les préoccupations thérapeutiques, encore insuffisamment disent certains. Faut-il enfin rappeler que la gravité des maladies cancéreuses est correctement prise en compte par les régimes de sécurité sociale et que des efforts sérieux ont été accomplis pour éliminer les discriminations sociales, professionnelles, financières susceptibles d'atteindre les malades cancéreux? Face à ces constatations positives encourageantes, l'objectivité oblige à admettre l'existence de zones d'ombre, à conséquences tragiques pour de nombreux malades. Les progrès diagnostiques et thérapeutiques ont en fait été inégaux selon les types de cancer. Depuis vingt ans les plus spectaculaires d'entre eux ont surtout concerné certains secteurs de la maladie tels que les cancers de l'enfant et les mélanomes, ainsi que des tumeurs relativement rares (cancers des testicules, lymphomes de Hodgkin, certaines leucémies). Parmi les cancers les plus fréquents, les taux de guérison élevés correspondent souvent à la précocité du diagnostic. C'est le cas du cancer colorectal, du cancer du sein. S'agissant en revanche de cancers qu'actuellement on (1 ) Survie moyenne : absence de rechute dans un délai de cinq ans après la fin du traitement. 27

4 ne sait pas diagnostiquer tôt, comme les cancers bronchiques et le cancer du pancréas, le traitement reste malheureusement peu efficace dans de nombreux cas.malgré l'apparition quasi-continue de nouveaux médicaments, malgré la mise au point de procédures thérapeutiques de plus en plus rigoureuse, les Français peuvent avoir le sentiment que les espoirs mis dans le développement de la recherche ont été déçus et que les progrès de l'efficacité des traitements marquent le pas. Dans ce climat de relatif désenchantement, on est en tout cas loin de certaines illusions des années Ainsi de la victoire en cinq ans sur le cancer grâce à un effort financier massif devant permettre la mise au point d'un "traitement miracle", comme le Président Nixon l'avait promis aux Etats-Unis. On a aussi heureusement renoncé à laisser entrevoir fallacieusement la découverte du "vaccin contre le cancer" au sens préventif du terme, ou à préconiser le dépistage pour tous, comme le faisait, il y a quelques années, le président de l'arc, sans apparemment être démenti par le groupe de scientifiques qui l'entourait et au risque d'abuser dangereusement les donateurs qu'il sollicitait. Si l'on avance à pas de géant au plan de la recherche fondamentale, on progresse plus lentement - certains disent à pas de fourmi - dans le domaine des applications cliniques. Si, comme le prouvent tous les sondages, la foi des Français dans le rôle décisif de la recherche dans la lutte contre le cancer reste très grande, leurs espoirs quant à des résultats proches ont fortement diminué. Cette tendance, si elle s'affirmait, pourrait conduire à considérer à nouveau le cancer comme une fatalité. Pour réagir contre ce défaitisme, il faut mettre en évidence de façon intelligible et incontestable les avancées acquises et plausibles de la recherche. La maladie cancéreuse est une maladie génétique, qui entraîne donc une altération des gènes, et non une maladie héréditaire. Le caractère héréditaire du cancer n'est en effet reconnu que dans 5 % à 10 % des cas. Dans la très grande majorité des situations, les altérations des gènes relèvent de causes multifactorielles, parmi lesquelles des mutations dues à des cancérigènes chimiques, des irradiations et des fumées, ainsi qu'à des inflammations chroniques et à des virus. 28

5 Les progrès majeurs et récents de la recherche concernent la connaissance des mécanismes causals des cancers. Ont été ainsi mis en évidence le rôle des oncogènes activés et celui de la perte des anti-oncogènes. Les travaux relatifs à l'oncogenèse permettent une compréhension de plus en plus fine de la transformation maligne progressive due à de multiples atteintes des gènes. Le rôle de certains virus a également été démontré. Ce tableau, évidemment très sommaire, permet de dégager les priorités actuelles et futures de la recherche cancérologique : développement de la génétique et de l'oncogenèse, dont dépend l'efficacité future de la thérapie génique, progrès de l'immunothérapie des cancers vers la mise au point de traitements permettant au malade de se défendre activement contre le cancer en utilisant son propre système immunitaire. Si l'on complète ces orientations par l'encouragement à des recherches cliniques de qualité et à des travaux épidémiologiques encore trop peu développés en France, on retrouve la liste des programmes prioritaires soutenus récemment et pour un avenir proche par la Ligue Contre le Cancer, en accord avec les responsables publics de la recherche scientifique. C'est dans un tel cadre que l'on peut s'assigner à un horizon proche de 2010, l'objectif de la découverte d'un traitement plus spécifique des cellules cancéreuses. Le Haut Comité de Santé Publique, dans son rapport de 1994, a tenu compte de cette perspective dans les objectifs assignés à la lutte contre le cancer. Pour l'année 2010 : - réduction de 15 % du nombre des décès par cancer du poumon ; - réduction de 30 % de ce montant pour les cancers de la bouche, de la gorge et de l'œsophage, et pour les cancers du sein et du col de l'utérus affectant les femmes de 50 à 70 ans ; - stabilisation dès l'an 2000 du taux des décès par cancer colo-rectal et mélanome. Pour être atteints, ces objectifs supposent, non seulement les progrès de la recherche précédemment évoqués et leur exploitation clinique, mais aussi des actions fortes et efficaces dans les domaines de la prévention et du dépistage, domaines abordés jusqu'à présent avec une certaine timidité dans notre pays. 29

6 Ces actions dépendent d'une améliolation de l'éducation sanitaire et d'un véritable éveil de la responsabilité individuelle et collective encore assez défaillante face à des facteurs liés au mode de vie, à l'hygiène et à l'environnement. La prise de conscience du rôle de ces facteurs reste limitée dans les esprits de nos concitoyens. C'est ce que démontre clairement, par exemple, un sondage effectué en 1995 à l'initiative de la Ligue. Dans le classement des actions jugées efficaces dans la lutte contre le cancer, les personnes interrogées ne situent la prévention qu'assez loin après les activités de recherche et les progrès thérapeutiques. L'importance des comportements individuels et collectifs, et donc de la prévention des risques correspondants, est pourtant mis en évidence de plus en plus clairement dans plusieurs domaines, dont le plus significatif concerne évidement le tabac, mais qui, parfois à des degrés moindres, incluent aussi la consommation d'alcool, l'alimentation, l'exposition au soleil et l'influence de l'environnement, notamment professionnel. A titre d'illustration, le rôle particulier du tabagisme doit être souligné. On estime généralement que 25 à 30 % de tous les cancers sont liés à la consommation de tabac dans les pays développés. Il s'agit en particulier des cancers du poumon et des cancers O.R.L., l'association avec l'alcool renforçant ce risque. La nocivité du tabagisme passif est elle aussi maintenant bien reconnue. Pour l'ensemble du monde, l'usage du tabac tue environ 3 millions de personnes chaque année. Sur la totalité de la population mondiale actuelle, on peut estimer que 500 millions de personnes mourront sous l'effet du tabagisme, dont 250 millions prématurément. Pour être efficace, la lutte contre le tabagisme doit s'appuyer d'abord sur un consensus social permettant de faire adopter, puis de maintenir voire d'intensifier des mesures destinées à freiner la consommation de tabac. C'est le cas en France des dispositions prises à l'initiative de Simone Veil puis de Claude Evin, qui ont abouti en 1991 à l'interdiction légale de la publicité en faveur du tabac et de l'alcool et à des restrictions de l'usage du tabac dans les lieux publics, les administrations et les entreprises. Ce dispositif a dans l'ensemble correctement résisté aux multiples assauts qui ont depuis lors tenté de le démanteler. Son efficacité, escomptée en termes de santé publique, ne pourra évidemment être vérifiée qu'après un certain nombre d'années d'application. Il gagnerait à être complété par une politique de prix - donc de taxation - plus sévère qu'à l'heure actuelle. Au plan européen, il est en contradiction avec l'attitude de plusieurs grands pays voisins, la Grande-Bretagne et l'allemagne, encore opposés à l'interdiction de la publicité ainsi qu'avec la politique agricole commune qui, pour des raisons économiques et sociales, subventionne fortement la 30

7 production du tabac en Europe. Le programme européen d'encouragement à la prévention du tabagisme et des autres risques conduisant au cancer (alcool, alimentation, soleil, conditions de travail) ne représente actuellement qu'environ un millième des financements destinés à aider les producteurs de tabac... Plus généralement la prévention du tabagisme suppose une modification des comportements individuels et collectifs qui devrait s'inscrire dans une action systématique en faveur de l'éducation sanitaire, notamment chez les jeunes. De multiples initiatives privées et publiques ont déjà amorcé ce mouvement. Ainsi la Ligue Nationale contre le Cancer regroupe tous les ans environs jeunes de huit à quatorze ans dans des clubs qui essaient de créer durablement des habitudes de remplacement du tabac par des activités ludiques et sportives. Il faut que l'opinion publique se mobilise en faveur d'une véritable formation à la santé dans les établissements scolaires, qui ne s'ouvrent encore qu'insuffisamment à ces préoccupations. Est-il utopique d'espérer que l'évolution des mentalités pourrait favoriser prochainement une telle mutation? Au-delà du tabagisme et de l'alcoolisme dont les responsabilités cancérigènes sont relativement bien établies, beaucoup d'inconnues subsistent dans d'autres domaines l'alimentation, l'exposition au soleil, l'environnement professionnel. Des progrès dans ces domaines supposent un développement de la recherche en prévention, appuyés sur une épidémiologie plus active et donc plus aidée qu'elle ne l'est à l'heure actuelle. Quant au dépistage, qui permet un diagnostic précoce, il ne peut relever de campagnes de masse efficaces et économiquement supportables qu'au prix de conditions très rigoureuses d'organisation, de compétences médicales et de contrôle de qualité. Pour de nombreuses raisons, sociologiques, mentales, médicales, notre pays ne semble pas être le plus doué pour de telles opérations. Un avenir relativement proche nous dira si, dans les deux secteurs de dépistage retenus à titre de priorité -le dépistage du cancer du sein et celui, plus expérimental, du cancer colo-rectal- les résultats sont conformes à des espoirs sérieusement formulés. Dans un ensemble aussi vaste, les associations dont le chef de file est la Ligue Contre le Cancer ont à créer et à entretenir un mouvement de solidarité nationale pour susciter et soutenir les initiatives les plus efficaces. 31

8 Les secteurs de la lutte contre le cancer évoqués ci dessus sont autant de champs d'action : - soutien social aux malades et à leurs familles, au bénéfice des populations défavorisées ou frappées par des phénomènes d'exclusion. - encouragement à l'accès à une plus grande égalité devant les soins, par une meilleure information des patients et le "décloisonnement" des structures médicales. - amélioration de la qualité de vie des malades, grâce notamment à une diffusion plus large des méthodes de lutte contre la douleur. - campagne d'information en faveur de la prévention et de l'éducation à la santé. - aide à des campagnes de dépistage et au fonctionnement des consultations de génétique. En ce qui concerne la recherche médicale, il faut continuer à soutenir l'innovation dans la recherche fondamentale et la recherche clinique, tout en encourageant des actions marquées par la persévérance et la prise en compte des travaux qui ne soient pas limités au seul domaine du cancer. Cette politique d'aide à la recherche doit s'efforcer de refuser la tentation de "modes" scientifiques et s'interdire les promesses fallacieuses. Il est capital qu'à côté des rémunérations des chercheurs qui restent assurées par l'etat et les organismes publics, le financement associatif puisse continuer à supporter un système de bourses et à jouer un rôle incitatif en subventionnant les dépenses de fonctionnement des laboratoires autres que les salaires. Cela suppose le respect d'une déontologie rigoureuse dans les domaines majeurs de fonctionnement des associations : - méthodes d'appel à la générosité publique, - gestion des fonds collectés, - modes de décisions scientifiques. La Ligue répond-elle positivement à de telles exigences? On peut répondre d'abord en rappelant la définition de ses choix scientifiques actuels : priorité à l'oncogenèse, à la génétique, à la thérapie genique, à l'immunothérapie du cancer, à la recherche clinique rigoureuse, à l'épidémiologie. 32

9 Plus généralement l'organisation décentralisée de la Ligue permet, tout en respectant une déontologie rigoureuse dans la gestion, de faire prévaloir un contrôle démocratique interne et de rester à l'écoute de la population, de ses élus et de ses médecins. Demain la Ligue ajoutera sans doute à ces caractéristiques un rôle plus actif et plus direct d'expression des souhaits des patients atteints du cancer. La lenteur des progrès de la recherche médicale, la limitation des moyens de l'etat et des collectivités politiques, l'attention encore insuffisamment accordée à la prévention, le scepticisme et la méfiance engendrés par le scandale de l'arc peuvent certes freiner la lutte contre le cancer. A ces malchances, je vous appelle à opposer les chances d'une véritable mobilisation pour sauvegarder et renforcer le potentiel de la recherche et de la thérapeutique et donner toute sa signification à l'alliance que constitue la Ligue Contre le Cancer. 33

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان http://droitdelhomme.over-blog.com laddhchlef@yahoo.fr laddhchlef@gmail.com http://facebook.com/laddhchlef

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique

Plus en détail

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us? Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris

Plus en détail

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Préambule La quatrième conférence internationale sur la promotion de la santé : "A ère nouvelle, acteurs nouveaux : adapter la promotion

Plus en détail

Recommandations pour le troisième Plan Cancer

Recommandations pour le troisième Plan Cancer RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

Liste des promesses tenues*

Liste des promesses tenues* 331 Culture Démocratiser l'accès au multimédia. I. CHANGEONS LA VIE QUOTIDIENNE DES FRANÇAIS.7. Assurer notre rayonnement culturel.nous porterons le budget de la culture à 1% du budget de l'etat. Nous

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009 Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer Préface 3 Cancer : le Plan de mobilisation nationale 5 Les mesures du Plan Cancer 15 Les chiffres du cancer 43 1 Jean-François Mattei Ministre

Plus en détail

ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013

ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 Cocher la ou les orientations auxquelles répondent votre projet COMMUNICATION GRAND PUBLIC Travailler sur les représentations liées à l'alcool et aux drogues. Comprendre

Plus en détail

Silence, on meurt! 1

Silence, on meurt! 1 Silence, on meurt! 1 Quatre-vingt-quinze pour cent des personnes infectées par le VIH sont toujours privées de traitement 1. Chaque année, lors de la Journée mondiale du sida, il nous faut regarder les

Plus en détail

Principes de liberté d'expression et de respect de la vie privée

Principes de liberté d'expression et de respect de la vie privée L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté

Plus en détail

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES

Plus en détail

Avis sur «Priorité jeunesse : évolution de la carte Région pour la rentrée 2014-2015 et mise en place du Pass Région Santé»

Avis sur «Priorité jeunesse : évolution de la carte Région pour la rentrée 2014-2015 et mise en place du Pass Région Santé» Juin 2014 Avis sur «Priorité jeunesse : évolution de la carte Région pour la rentrée 2014-2015 et mise en place du Pass Région Santé» Résultat du vote : 73 POUR 1 ABSTENTION Rapporteur : M. Gérard GRANIER

Plus en détail

l'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015

l'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015 ANNONCE PRESSE Un donneur pour chaque patient en attente d'une greffe de moelle osseuse, de la chimère à la réalité grâce à la révolution de la greffe haplo mismatch Marseille, le 26 mai 2015. L'Institut

Plus en détail

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent

Plus en détail

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

ASSURANCES. Revue de la littérature

ASSURANCES. Revue de la littérature ASSURANCES Revue de la littérature Il n existe actuellement pas d étude spécifique française sur l impact problématique du cancer au niveau des assurances pour les adolescents et jeunes adultes (AJA, 15/24

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

Inviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture».

Inviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture». Eléments pour une politique en faveur du livre et de la lecture Par Aurélie Filippetti, députée de Moselle, responsable du pôle Culture, audiovisuel, médias dans l équipe de campagne de François Hollande.

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE Par Nabila EL HEDDA, Elyès JOUINI et Denis CHEMILLIER-GENDREAU "Le marché tunisien de l'assurance va connaître, dans les années

Plus en détail

N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992

N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI

Plus en détail

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1 Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée

Plus en détail

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013 2013 : 7 ème vague du baromètre 15 octobre 2013 Contexte, objectifs et méthodologie 2 Objectifs de l étude En 2006, le Groupe Europ Assistance et le Cercle Santé Société lançaient, avec l institut CSA,

Plus en détail

Un test Pap pourrait vous sauver la vie

Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,

Plus en détail

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique

Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Faut-il reculer l âge de la retraite? Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Entretien avec

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Avantages - Voordelen. Organisation - Organisatie. Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319. Rue Douffet, 36 4020 Liège

Avantages - Voordelen. Organisation - Organisatie. Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319. Rue Douffet, 36 4020 Liège Organisation Organisatie Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319 Acupuncture Avantages Voordelen Assistance à l'étanger Biotélévigileance Détails Details Remboursement de 10 par séance,

Plus en détail

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Ministère des sports. Le ministre des sports

Ministère des sports. Le ministre des sports Ministère des sports Direction des sports Mission sport et développement durable Personnes chargées du dossier : Arnaud JEAN Tél. : 01 40 45 96 74 Mel: arnaud.jean@jeunesse-sports.gouv.fr Fabienne COBLENCE

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES

LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de

Plus en détail

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Gestion éthique des banques de recherche

Gestion éthique des banques de recherche Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes

Plus en détail

Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne

Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Ce document illustrera comment cette réussite est arrivée, il est composé des parties suivantes : 1. Qu'est

Plus en détail

Organisation - Organisatie. Avantages - Voordelen Accompagnement des personnes hospitalisées

Organisation - Organisatie. Avantages - Voordelen Accompagnement des personnes hospitalisées Organisation Organisatie Mutualité socialiste de Namur 325 Chaussée de Waterloo 182 5002 NAMUR Tél. : (081) 77 77 77 Fax : (081) 74 25 25 Avantages Voordelen Accompagnement des personnes hospitalisées

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT DÉCLARATION DE PRINCIPES CONCERNANT L'ERGONOMIE ET LA SÉCURITÉ DES SYSTÈMES D'INFORMATION EMBARQUÉS Introduction

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

BIG DATA : PASSER D UNE ANALYSE DE CORRÉLATION

BIG DATA : PASSER D UNE ANALYSE DE CORRÉLATION BIG DATA : PASSER D UNE ANALYSE DE CORRÉLATION À UNE INTERPRÉTATION CAUSALE Arthur Charpentier Professeur d actuariat à l Université du Québec, Montréal Amadou Diogo Barry Chercheur à l Institut de santé

Plus en détail

Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne

Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale Dispositions législatives relatives au chapitre : La protection des droits de la personne Code de la santé publique Dispositions introduites

Plus en détail

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de

Plus en détail

Moniteur des branches Industrie MEM

Moniteur des branches Industrie MEM Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics

Plus en détail

Identification des incontournables à la démarche Lean

Identification des incontournables à la démarche Lean Identification des incontournables à la démarche Lean Analyse des résultats 7/09/2010 Barbara Lyonnet, Laboratoire SYMME, Université de Savoie barbara.lyonnet@univ-savoie.fr 1. Introduction Toute entreprise

Plus en détail

"L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012

L'évolution du marquage CE Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012 "L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012 A l'occasion de son assemblée générale annuelle, le SNITEM (Syndicat National de l'industrie des Technologies Médicales)

Plus en détail