DIU pathologie moléculaire jan Bordeaux. Tumeurs mélaniques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DIU pathologie moléculaire jan Bordeaux. Tumeurs mélaniques"

Transcription

1 DIU pathologie moléculaire jan Bordeaux Tumeurs mélaniques Cliniciens : Thomas Jouary, M. Beylot-Barry Pathologiste : B. Vergier Biologie des tumeurs : JP Merlio, E. Laharanne et V. Haddad

2 Le mélanome en quelques chiffres... Incidence France : 7300 nouveaux cas / an incidence par sexe : 8 / chez les femmes et 6,4 / chez les hommes - 3 à 5% d augmentation annuelle - un taux de doublement tous les 10 à 15 ans La mortalité estimée due au mélanome est de 2,4 / par an chez les femmes et 3,2 / par an chez les hommes Le pic de fréquence d âge se situe entre 20 et 45 ans avec 50% de mélanomes survenant avant 55 ans dont 30% avant 45 ans (Malher, british 2002)

3 Un peu de clinique Piège diagnostique courant : naevus / mélanome? Mélanome, 0,7mm Nævus pigmentaire atypique Un grand nombre de lésions trompeuses, mimant des naevus : -de Spitz -De Reed -commun (naevocytoïde, nevoid)

4 Traitement de référence MM stades I, II, III = chirurgie Survie 5 ans après chirurgie : - stade II : 70% - stade III : 45% - stade IV : 10% La chirurgie seule ne suffit pas

5 Mélanome métastatique : état des lieux 2000 Survie globale : 5% à 5 ans, soit médiane de survie 7-8 mois (tout site métastatique confondu) Pas de gros progrès thérapeutique jusqu à ASCO 2010

6 Années 2000 : révolution Découverte des voies de signalisation des kinases dans les cancers, mélanome 2 voies principales en cours d évaluation : - Voie 1 : RAS-RAF-MEK-ERK - Voie 2 : PI3K - AKT Curtin, NEJM, 2005

7 Tumeurs mélaniques : utilité des outils moléculaires Aide au diagnostic (bénin vs malin, en particulier dans les tumeurs mélaniques «ambigües») Immunohistochimie FISH CGH autre Aide pour prédire la réponse aux thérapies ciblées (mélanome métastatique) BRAF, C-KIT, NRAS Immunohistochimie, biologie moléculaire

8 Ex : jeune fille 12 ans, lésion 1 cm, dos du pied FISH : cellules anormales présentant gain de CCND1 et de RREB1 Tumeur de Spitz très atypique / Mélanome Spitzoïde (Breslow : 3,7mm) = ré-excision (+/- gg sentinelle?)

9 FISH 4 couleurs, principe V. Haddad

10 VYSIS Melanoma FISH Probe kit Recherche d'un lot de sondes FISH comme outil d aide au diagnostic des lésions mélanocytaires Gerami et al.: Am J Surg Pathol 2009 cibles choisies à partir des études CGH-array sur une cohorte de 186 tumeurs mélaniques ( 132 mélanomes vs. 54 naevi bénins ) (Bastian et al. 2003)

11 VYSIS Melanoma FISH Probe kit tests FISH appliqués sur 3 cohortes (mélanomes vs. naevi) (~ 500 cas au total) choix du lot des sondes les plus pertinentes à l'aide d'un algorithme RREB1 : 6p25 MYB : 6q23 CEP 6 CCDN1 : 11q13

12 VYSIS Melanoma FISH Probe kit RREB1 CEP6 CCDN1 MYB Chr.6 Chr.11

13 Protocole de la FISH dans les lésions mélaniques 1) Préparation des échantillons sur lame de microscopie : coupe 5 µm à partir du tissu fixé en formol (AFA, Bouin, Excell incompatibles) et inclus en paraffine 2) Pré-traitement spécifique (chimique et enzymatique) permettant aux sondes d accéder à l ADN et de diminuer le bruit de fond et l'auto-fluorescence 3) Dénaturation de la cible et de la sonde 4) Hybridation entre la cible et la sonde 5) Lavage post-hybridation et montage de la lame ( milieu de montage contenant l intercalant d ADN ) 6) Observation de la lame et analyse microscopique des signaux fluorescents

14 VYSIS Melanoma FISH Probe kit : exemples de résultats Noyau normal Délétion de MYB Gain de RREB1 2V / 2R / 2J / 2A 2V / 2R / 1J / 2A 2V / 3R / 2J / 2A Gain de RREB1 Gain de CCDN1 et RREB1 + délétion de MYB + délétion MYB Noyau polysomique 2V / 3R / 1J / 2A 3V / 3R / 1J / 2A 4V / 4R / 4J / 4A

15 Noyaux avec le profil normal 2R / 2V / 2J / 2A Image superposée CCDN1 SpectrumGreen RREB1 SpectrumRed 2 2 Contre-coloration DAPI MYB SpectrumGold CEP6 SpectrumAqua 2 2 Coupe 5μm de tissu fixé en formol inclus en paraffine

16 Noyaux avec les profils anormaux Image superposée CCDN1 SpectrumGreen RREB1 SpectrumRed 4 4 Contre-coloration DAPI MYB SpectrumGold CEP6 SpectrumAqua 2 4 Coupe 5μm de tissu fixé en formol inclus en paraffine

17 Recommandations ABBOTT Enregistrer le nombre de signaux RREB1, MYB, CEP6, CCND1 dans 30 noyaux sans chevauchement en les sélectionnant, si possible, dans 3 régions différentes de la lésion Critères de positivité : % gain CCDN1 : + si 38% % gain RREB1 / CEP6 : + si 55% % gain RREB1 : + si 29% % délétion MYB : + si 40% Désigner un échantillon comme mélanome FISH positive si au moins un des critères est satisfait. Désigner un échantillon comme mélanome FISH négative si aucun des critères n est satisfait.

18 Aspects pratiques de la FISH dans les mélanomes repérer avec le pathologiste sur une lame colorée les zones d intérêt (!!! lésions in situ, zones inflammatoires, différentes composantes!!! ) réaliser la FISH en suivant le protocole ( faire de petites séries 4 ou 6 au max pour respecter les temps ) évaluer la qualité des lames +++!!! la qualité des lames est cruciale pour une analyse fiable!!! les signaux doivent être brillants, distincts et facilement déterminables l arrière-plan doit apparaître sombre ou noir et relativement exempt de particules fluorescentes examiner la lésion dans sa totalité négativité vs. positivité présence de plusieurs zones «mélanome FISH positive» enregistrer le nombre de signaux pour 30 noyaux sans chevauchement

19 Ex : repérage Formol Importance de repérer zones à examiner FISH A «l aveugle» : pas connaissance du diagnostic

20 Exemple d'une feuille de comptage RREB1 MYB CCND1 Cep 6 RREB1/CEP 6 % gain % gain % loss % gain SR Sgo SGr SA per cell CCND1 RREB/CEP 6 MYB/CEP 6 RREB ,00 53, , ,

21 Différents seuils publiés Gérami Abbott Melanosite Kerl

22 FISH 4 couleurs, aide au diagnostic? (BV) Rappel : test conçu pour mélanome vs naevus Bastian et al : teste combinaisons de 2,3,4 anomalies récurrentes appliquées à 3 cohortes de patients (mélanome vs. naevus) (~ 500 cas) détermine la combinaison d anomalies chromosomiques qui a la meilleure sensibilité et spécificité pour différencier naevus et mélanome. RREB1 RREB1 : 6p25 MYB : 6q23 CEP 6 CCDN1 : 11q13 Chr.6 CEP6 MYB Chr.11 CCDN1

23 FISH : diagnostic mélanomes «classiques» vs naevus Etudes Rendement Sensibilité Spécificité VPP VPN 2009 Gerami et al, (USA) Am J Surg Path. 83 mélanomes et 86 naevus 2009 A.L. Morey and al. Pathology (Australie) 10 métastases de mélanome 10 mélanomes / 10 naevus 2010 Gerami et al (USA) Arch Dermatol 123 mélanomes / 110 naevus 2011 Vergier et al. Mod Path (lésions ambigües) 23 mélanomes et 21 naevus 2011 Moore and Gasparini (USA), Diagn Pathology 157 naevus, 176 naevus dysplasiques, 167 mélanomes 86,7% 95,4% 90% 95% 83% 94% 91,5% 85% 90% 89,5% 85,7% 83,8% 98% 97,9% 85% Spécificité : capacité à être négative si diagnostic anapath de naevus Sensibilité : capacité à être positive si diagnostic anapath de mélanome

24 FISH et Tumeurs ambigües : étude européenne 6 centres européens: inclusion de tumeurs mélaniques considérées ambigües (plutôt bénignes A- ou malignes A+) B. Vergier, Cerroni (Autriche), D. Massi (Italie), A. de la Fouchardiere (Lyon), U. Wesselmann (Allemagne), A. Karseladze (Russie) Groupe 1 Patients avec métastases régionales (stade 3) métastases à distance (stade 4). 21 Patients (23.4%) Groupe 2 Patients sans évolution avec un recul de 5 ans 69 Patients (76.6%) Relecture (triple aveugle = triple A) Diagnostic histopathologique final : considéré malin si 2 or 3 A+ (A+A+A+) ou (A+A+A-) considéré bénin si 3 A- (A-A-A-) considéré discordant (D) si 2A- et 1A+

25 FISH et Tumeurs ambigües : résultats FISH comparée à l évolution Histopath/ évolution Combinaison des 2 / évolution Sensibilité 43% 95% 57% Spécificité 80% 52% 89% VPP 39% 41% 57% VPN 82% 97% 89% Combinaison de la FISH et du diagnostic AP : spécificité du diagnostic anapath seul nbre faux + (patients diagnostiqués comme A+ et sans métastase / AP seule) FISH negative FISH positive p-value of 0.07

26 FISH 4 couleurs et Spitz 59 tumeurs de Spitz (Bordeaux) A+ ou DA+ A- ou DA- FISH FISH Ambiguë (polysomie) 3 3 Non Interprétable 1 2 Tumeurs de Spitz Sensibilité FISH / au diagnostic AP = 61% Spécificité = 94% VPP = 85% VPN = 81% Mélanome Vs Naevus Sensibilité : 85-90% Spécificité : 90-95%

27 FISH et tumeurs mélaniques ambigües : comment augmenter la sensibilité?? FISH : ajout de sonde + CGH : pour les cas FISH négatifs et suspect de mélanome

28 FISH et tumeurs mélaniques ambigües : comment augmenter la sensibilité?? B. Gammon et al. Enhanced Detection of Spitzoid Melanomas Using Fluorescence In Situ Hybridization With 9p21 as an Adjunctive Probe Am J Surg Pathol 2011 Ajouter des sondes correspondant à des anomalies retrouvées dans des tumeurs de Spitz : 43 mélanomes spitzoïdes Sensibilité FISH 4 couleurs 70% Perte 9p21 dans 11/27 (41%) des cas dont 7/11 qui étaient FISH négatifs => Sensibilité FISH + 9p21 (homozygote) = 85%

29 Autres outils moléculaires pour améliorer sensibilité? CGH Gaiser et al. Mod Pathol 2010 (Heidelberg, Germany) 22 cas dont 12 ambigües FISH/évolution métastatique : Sensibilité 60% et Spécificité 50% CGH : plus d anomalies chromosomiques dans lésions métastatiques (p<0.01) Ali et al (Gerami) Int J Clin Exp Pathol 2011 : FISH et CGH 8 Naevus de Spitz : 7/8 pas d anomalie et 1/8 gains 7q et 11p (validé par FISH) 1 tumeur de Spitz atypique: gain 19p 1 mélanome spitzoide : amplification 6p (FISH+), 17p et délétion 1p, 15p Raskin et al. Am J Surg Pathol tumeurs de Spitz (8 avec méta et 8 naevus de Spitz par CGH et FISH) 2 cas de mélanomes détectés par CGH et pas par FISH CGH: technique moins facile d utilisation que FISH et cout?? mais intérêt : détection d anomalies plus ciblées Spitz/tumeurs ambigües => mise en place d analyses FISH plus sensibles

30 FISH 4 couleurs : une aide au diagnostic dans les tumeurs mélaniques ambigües? Ex : confirmation mélanome simulant un naevus 33% 33% 34% Aide+ Aide +++ N'aide pas ex : Tumeur de Spitz atypique, épaisse, chez un jeune Ex : mélanome FISHou FISH ambiguë (polysomie)

31 Cas n 1 20D43 Femme, 33 ans, tumeur pigmentée de l épaule, 8 mm de gd axe

32

33 FISH positive : Amplification CCND1 +trisomie 6 associée dans un sous clone

34 Cas n 1: diagnostic Question initiale : tumeur de Spitz atypique? AP : mélanome spitzoïde > naevus Spitz FISH : amplification Cyclin D1 et trisomie 6 dans un sous-clone renforce diagnostic de mélanome (33 ans) Conclusion = mélanome spitzoïde (B=2,85mm)

35 Cas n 2 18B42 Homme, 41 ans, depuis 2 ans lésion pigmentée de la jambe, modification récente

36

37 FISH positive : Gain RREB1

38 Cas n 2 : diagnostic Question initiale : naevus composite ou mélanome simulant naevus? AP : mélanome simulant naevus > naevus composite FISH : Gain RREB1 renforce diagnostic de mélanome (41 ans, B=1,2mm)

39 Cas n 3 18A60 Femme, 66 ans, lésion papuleuse inflammatoire de l abdomen apparue sur cicatrice ancienne

40

41 FISH positive : Délétion de MYB

42 Cas n 3 : diagnostic Question initiale : mélanome simulant naevus (naevocytoide, nevoid)? AP : mélanome simulant naevus FISH : -délétion de MYB -renforce diagnostic de mélanome sur cette petite lésion mimant un naevus

43 Cas n 4 20C20 Homme, 63 ans, lésion de moins de 1 cm, modification récente

44

45 HMB45 Mib1

46 FISH positive : Gain RREB1 et Délétion MYB

47 Cas n 4 : diagnostic Question initiale : comment classer cette lésion? AP : mélanome simulant naevus FISH : délétion MYB et gain RREB1 renforce diagnostic de mélanome sur cette lésion mimant un naevus

48 Attention à la localisation des anomalies!

49 Cas n 5 19C19 Homme, 59 ans, naevus de grande taille, Question : naevus congénital?

50

51 FISH positive : Gain RREB1 Cellules éparses en intraépidermique

52 Cas n 5 : diagnostic Question initiale : naevus congénital? AP : SSM in situ sur naevus congénital? FISH : localisation gain RREB1 au niveau de la composante jonctionnelle confirme ce diagnostic

53 Cas 6 (S ) : Femme, 64 ans, mélanonychie totale

54 Polyploïdie (4 à 6 signaux de CCND1, RREB1,CEP6) + délétion MYB (0-2 signaux) noyau avec un profil normal noyau avec un profil anormal

55 Take home message Tumeur mélanique ambigüe plutôt malin histopathologie douteux plutôt bénin FISH FISH FISH Positive Négative Positive Négative Positive Négative renforce malignité ne change pas le traitement en faveur de la malignité reste douteux Attention Super! Résultat FISH à comparer tjs avec le diagnostic AP

56 Arbre décisionnel ambigüe Tumeur mélanique ambiguë (bénin ou malin?) Mince : intraépidermique pure ou épaisseur < 0,75 mm Epais : > 0,75 mm Pas de conséquence majeure Reprise si doute fort mélanome Bien communiquer FISH non utile (sauf cas exceptionnel) «Doute» FISH +/- CGH Consultation 2 avis «Certain» (naevus ou mélanome) FISH +/- CGH si jeune Anomalies cytogénétiques Prise en charge type mélanome Pas d anomalies Discussion Exérèse complète RCP

57 FISH : difficultés Techniques Ne pas mettre entre toutes les mains Bien corréler avec la morphologie : Sélection de zone Définir problématique Tableau excel pas forcément utile car si + bien visible et critères positifs Analyse longue si négatif Problème polyploïdie : signification? Ajout 9p21 : valeur si délétion homozygote

58 FISH : difficultés Financières Non pris en charge par CPAM sauf «accord» Cout CGH se rapproche de la FISH mais pas même information

59 Tumeurs mélaniques : utilité des outils moléculaires Aide au diagnostic (bénin vs malin, en particulier dans les tumeurs mélaniques «ambigües») Immunohistochimie FISH CGH autre Aide pour prédire la réponse aux thérapies ciblées (mélanome métastatique) BRAF, C-KIT, NRAS Immunohistochimie, biologie moléculaire

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire 12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

HMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase (HMB-45+A103+T311)

HMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase (HMB-45+A103+T311) HMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase Identification du Produit Réf. cat. Description 45318 IMPATH HMB-45&MART-1 RTU M (HMB-45&MelanA) Définitions Des Symboles P A E S DOC# DIS prêt à l emploi ascite

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013 MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Mutuelle et Santé HORS SÉRIE. Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL. Le mélanome en question

Mutuelle et Santé HORS SÉRIE. Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL. Le mélanome en question Mutuelle et Santé HORS SÉRIE Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL Le mélanome en question Epidémiologie et facteurs de risques du mélanome Mélanome : prévention et dépistage Lésions mélanocytaires

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Le mélanome. Ce que vous devez savoir

Le mélanome. Ce que vous devez savoir Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer

Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

MYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!

MYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable! MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Méthode de construction du e-learning

Méthode de construction du e-learning SE FORMER MISE AU POINT Création d un site de e-learning sur le mélanome à l intention des médecins généralistes et des dermatologues Hélène AUBERT-WASTIAUX 1, Gaëlle QUEREUX 1, Jean-Pierre BLANCHERE 2,

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente

Plus en détail

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe

Plus en détail

CardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53.

CardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53. CardiOuest Chaque jour en France, environ 200 personnes succombent d'un Arrêt Cardiaque Soudain (ACS). C'est 10 fois plus que le nombre de victime d'accident de la route. Faute d'intervention rapide, le

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par

Plus en détail

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service

Plus en détail

d anatomo-pathologiste

d anatomo-pathologiste Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us? Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

AVENANTS ET DES GARANTIES

AVENANTS ET DES GARANTIES SOMMAIRE DES AVENANTS ET DES GARANTIES COMPLÉMENTAIRES Garanties présentées Décès et mutilation accidentels Protection maladies graves pour enfants Protection vie pour enfants Assurabilité garantie Exonération

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

STRATÉGIE DE DIAGNOSTIC PRÉCOCE DU MÉLANOME RECOMMANDATION EN SANTÉ PUBLIQUE RAPPORT D ÉVALUATION

STRATÉGIE DE DIAGNOSTIC PRÉCOCE DU MÉLANOME RECOMMANDATION EN SANTÉ PUBLIQUE RAPPORT D ÉVALUATION STRATÉGIE DE DIAGNOSTIC PRÉCOCE DU MÉLANOME RECOMMANDATION EN SANTÉ PUBLIQUE RAPPORT D ÉVALUATION Service évaluation médico-économique et santé publique Octobre 2006 SOMMAIRE LISTE DES ABRÉVIATIONS...5

Plus en détail

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL

Plus en détail

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

Principe d un test statistique

Principe d un test statistique Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif

Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif SMART Automation, optimiser la productivité SMART Automation, optimiser la productivité Introduction Depuis plus de

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

Un choc pour une vie!

Un choc pour une vie! www.cardiouest.fr Un choc pour une vie! Spécialiste Défibrillateurs Formations 1ers Secours 6, rue Eugène Quessot 35000 RENNES Tél : 02 30 96 19 53 Mail : info@cardiouest.fr CardiAid est conçu pour rendre

Plus en détail

Assurance-maladie complémentaire (LCA)

Assurance-maladie complémentaire (LCA) CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

Impact de la publicité sur les professionnels

Impact de la publicité sur les professionnels Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie

Plus en détail

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) - Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?

Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale

à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain

Plus en détail

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome

Plus en détail

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action

Plus en détail

Qu est-ce que le mélanome?

Qu est-ce que le mélanome? Cancer de la peau - mélanome Qu est-ce que le mélanome? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail