DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION DE LA STATION D ÉPURATION DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU PAYS DE FONTAINEBLEAU VENDREDI 14 DÉCEMBRE 2012

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1 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION DE LA STATION D ÉPURATION DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU PAYS DE FONTAINEBLEAU VENDREDI 14 DÉCEMBRE 2012 CONTACTS PRESSE COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU PAYS DE FONTAINEBLEAU (CCPF) Cécile CARBONNAU celine.carbonnau@pays-fontainebleau.fr DEGRÉMONT Elodie MARCHAND elodie.marchand@degremont.com

2 LA STATION D EPURATION DU PAYS DE FONTAINEBLEAU LA CCPF INAUGURE SA NOUVELLE STATION D EPURATION La reconstruction de la station de traitement des eaux usées s inscrit dans le cadre d une mise en conformité globale du système d assainissement de la Communauté de Communes du Pays de Fontainebleau (CCPF) et du respect des normes DERU (Directive Européenne sur les Rejets Urbains). Elle vise à garantir la bonne préservation du milieu naturel, situé dans un cadre exceptionnel entre les bords de la Seine et la forêt de Fontainebleau. Du fait de l augmentation de la population, surcharges de pollutions à traiter par temps de pluie, le dimensionnement des ouvrages de l ancienne station ne permettait plus de traiter de façon satisfaisante les effluents de l agglomération de Fontainebleau-Avon. La CCPF a ainsi confié en décembre 2009 les travaux de construction d une nouvelle usine au groupement constitué par les entreprises Degrémont (filiale de SUEZ ENVIRONNEMENT) pour les filières de traitement, Sobea Environnement et Botte Fondations (filiales de VINCI CONSTRUCTION FRANCE) pour le génie-civil et les fondations. Cette coopération réussie a permis une réalisation exemplaire dans le strict respect d'un délai ambitieux malgré les intempéries de l'hiver La pose de la 1ère pierre de la nouvelle station a eu lieu en avril 2010, la mise en eau en janvier 2012 et la réception partielle de la station en novembre Ce projet, d un montant total de près de 24,3 millions d euros, a été cofinancé par la CCPF, l Agence de l Eau Seine-Normandie, la région Île-de-France et le Conseil Général de Seine-et- Marne. La CCPF a privilégié un coût de fonctionnement minimisé, afin de mieux maîtriser le prix de l eau payé par l usager. UNE USINE INTEGREE DANS UN SITE REMARQUABLE La station d épuration de la Communauté de Communes du Pays de Fontainebleau a été construite sur un site délimité par la forêt domaniale de Fontainebleau (classée «Réserve de Biosphère» par l UNESCO) d un côté et la Seine de l autre. Cette implantation particulière et les dimensions de la parcelle ont nécessité la création d une station étendue en longueur et limitée en largeur. Pour répondre aux contraintes d espace ainsi imposées par le terrain, Degrémont a fait le choix d un traitement par son bioréacteur à membranes l Ultrafor, qui combine épuration biologique par boues activées et clarification sur membranes d ultrafiltration dans un ouvrage compact. Cette solution a permis de libérer du terrain pour la création d une aire écologique de biodiversité alimentée par l eau de sortie, liaison harmonieuse entre l usine, la Seine et la forêt. Cette aire est constituée de différents habitats humides (cascade, lagunes plantées de végétaux locaux, roselière ) pour favoriser la biodiversité, les processus épuratoires, et la dynamique avec la faune et la flore locale et faciliter la réappropriation des bords de Seine par les riverains. Le projet architectural et paysager de cette usine évoque la poésie du site et rappelle la vocation fluviale et nautique de son environnement proche. Vue depuis la rive opposée, sur laquelle se présente le village du Bas-Samoreau, l esthétique de l ouvrage rappelle une péniche amarrée en bordure de Seine. 2

3 LA STATION D EPURATION DU PAYS DE FONTAINEBLEAU La volonté de la CCPF est de faire partager cette vitrine environnementale au plus grand nombre : l ouvrage est visitable afin de développer un projet pédagogique sur le Développement Durable. Après l accueil des visiteurs dans un bâtiment convivial, avec espace café et auditorium, ceux-ci peuvent suivre un circuit de visite pédagogique via une passerelle coursive, le long des ouvrages de traitement jusqu à l aire écologique de biodiversité. UNE QUALITÉ DE REJET DANS LE MILIEU NATUREL QUI ANTICIPE LA DIRECTIVE CADRE EUROPÉENNE VISANT AU BON ÉTAT ÉCOLOGIQUE DES MASSES D EAU Le traitement membranaire Ultrafor permet une dépollution poussée des eaux usées dans un ouvrage compact ainsi qu une véritable maîtrise du risque sanitaire. La qualité du rejet est supérieure aux exigences prévues pour les zones sensibles. La CCPF anticipe ainsi la réglementation européenne qui vise au bon état écologique des masses d eau à l horizon 2015 et protège efficacement la faune et la flore de la Seine grâce à l obtention d une qualité d eau type «Eaux de Baignade». LE RÉACTEUR MEMBRANAIRE : UNE BARRIÈRE PHYSIQUE CONTRE LES POLLUTIONS PRÉSENTES DANS LES EAUX USÉES La technologie du réacteur membranaire biologique met en œuvre un procédé biologique de traitement des Eaux Résiduaires Urbaines (ERU) dans lequel la clarification conventionnelle est remplacée par de l ultrafiltration. Ce procédé offre une combinaison performante de deux technologies : le traitement biologique et la filtration par membranes. L Ultrafor se compose d un bassin d aération et d un système membranaire. Les membranes, disposées en modules, sont immergées directement dans le bassin ou dans une cuve annexe. 3

4 LA STATION D EPURATION DU PAYS DE FONTAINEBLEAU L eau brute, après une étape de prétraitement est introduite dans le bassin biologique aéré où sont éliminées les pollutions carbonée, azotée et phosphorée. La filtration membranaire permet de séparer l eau épurée et les boues produites dans le bassin d aération. L eau traitée est aspirée par des pompes et les boues en excès sont extraites du bassin puis déshydratées. Le maintien de la perméabilité des membranes est maîtrisé en combinant et en adaptant les opérations d aération cyclique, de rétrolavage, et de lavage de maintenance et de régénération. Les réactifs de lavage sont choisis en fonction de la nature de l eau à traiter. Au cœur du fonctionnement du bioréacteur, le procédé d ultrafiltration consiste à filtrer à travers des membranes organiques les eaux usées. Les membranes constituent une barrière physique permettant l élimination des bactéries, des œufs d helminthes et une réduction des coliformes fécaux. La qualité de l eau traitée est excellente en termes de matières en suspension et turbidité. L'eau circule à l'intérieur de la fibre dont la paroi est faite de pores fois plus petits que ceux de la peau. L excellente résistance mécanique de ces fibres confère aux membranes une grande longévité et permet la réalisation de différents types de rétrolavages, ce qui limite les fréquences de renouvellement et donc les coûts d exploitation. UNE USINE CONÇUE POUR ETRE EVOLUTIVE ET LIMITER LES CONSOMMATIONS ENERGETIQUES La station d épuration de la CCPF a été conçue dans une logique d anticipation des évolutions futures de charges entrantes. Elle dispose aujourd hui de 30% d espace de réserve pour des membranes supplémentaires au niveau du traitement biologique mais également de m 2 de terrain à l extrémité du site (dont une partie accueille l aire écologique) pour son extension. D un point de vue énergétique, la décantation primaire sans réactif permet d éliminer une partie de la pollution sans électricité (20% d économie d énergie par rapport à une solution sans décantation primaire) et de produire des boues à 27% de siccité au lieu de 20%. Cette augmentation de la siccité a deux avantages. Elle permet d augmenter le PCI (Pouvoir Calorifique Inférieur) des boues, ce qui limite à hauteur de 20% la consommation de gaz naturel nécessaire à leur incinération et permet d envisager l installation future d une digestion, pour la production de biogaz valorisable sous forme de chaleur ou d électricité. La station est également équipée de moteurs à hauts rendement sur les postes énergivores, d un système d éclairage basse consommation à l intérieur des locaux et de lampadaires photovoltaïques pour l éclairage de la voirie d accès. Par ailleurs, le bâtiment administratif a été conçu en respectant les principes de la Haute Qualité Environnementale (HQE) qui entre autre, permet la maîtrise du chauffage des locaux grâce à une double isolation des façades. 4

5 LES ETAPES DU TRAITEMENT DES EAUX USEES La station d épuration de la CCPF combine technologies de pointe et empreinte environnementale réduite. Les procédés mis en place par Degrémont garantissent une très haute qualité de traitement des eaux usées avant leur rejet en Seine (qualité «Eau de Baignade»). La station d épuration traite les eaux usées de la CCPF et a une capacité de pointe de équivalents-habitants, pour un débit de référence journalier de m 3 /jour. FILIÈRE EAU Prétraitements Décantation primaire Tamisage BRM* Zone de biodiversité Seine * Bioréacteur à membranes Compostage FILIÈRE BOUES Déshydratation Incinération 5

6 PRETRAITEMENTS DEGRILLAGE ET RELEVAGE DES EAUX USEES FONCTIONS Retenir les déchets les plus grossiers présents dans les eaux usées arrivant sur la station (cailloux, bouteilles, plastiques, papiers ) pour protéger les équipements de traitement en aval tels que les pompes, des éventuels bouchages et colmatages. Comme son nom l indique, le dégrilleur est composé de grilles plus ou moins espacées constituant un maillage fin ou grossier. Ce dernier permet de laisser passer l eau et de retenir les éléments dont le diamètre est supérieur à la maille fixée. Les déchets retenus par les dégrilleurs appelés refus de dégrillage, sont compactés et ensachés automatiquement. Relever les eaux en début de station à un niveau suffisant pour que les traitements en aval puissent s effectuer de manière gravitaire et réduire ainsi les consommations énergétiques par la suppression de pompages intermédiaires. QUELQUES CHIFFRES 3 dégrilleurs grossiers : maille de 20 mm, débit unitaire de m 3 /h 2 dégrilleurs fins : maille de 10 mm, débit unitaire de m 3 /h 4 pompes de relevage : débit unitaire de 850 m 3 /h Arrivée des eaux en début de station à 4 mètres en-dessous du sol et relevage à 5 mètres audessus du sol. Débits de référence et moyen de temps sec : m3/j et 458 m3/h 6

7 PRETRAITEMENTS DESSABLAGE ET DEGRAISSAGE FONCTION Séparer à faible vitesse les sables et graisses présents dans les eaux usées dans un même ouvrage, par décantation naturelle pour les sables et par insufflation d air pour les graisses et flottants. Le dessablage permet de protéger les équipements de traitement contre l abrasion et le dégraissage de limiter les quantités de flottants susceptibles de perturber le traitement biologique ainsi que le traitement des boues. Les sables sont lavés avant évacuation vers une filière de valorisation et les graisses sont éliminées sur le site par traitement biologique (digestion des graisses par des bactéries). QUELQUES CHIFFRES 2 dessableurs/dégraisseurs rectangulaires (2 x 56 m 2 ) Débit traité : m 3 /h par temps sec et m 3 /h par temps de pluie 7

8 BASSIN DE STOCKAGE FONCTION Accueillir les eaux excédentaires par temps de pluie pour soulager la station d épuration. Le bassin de stockage est alimenté par les eaux prétraitées au-delà de m 3 /h et par les eaux en sortie des dessableurs/dégraisseurs au-delà de m 3 /h. Les effluents stockés sont renvoyés progressivement en amont des dessableurs/dégraisseurs. QUELQUES CHIFFRES Bassin tampon d une capacité de m 3 2 pompes de vidange : débit unitaire de 200 m 3 /h 8

9 DECANTATION PRIMAIRE FONCTIONS Séparer à moindre coût énergétique une part importante des matières en suspension de l eau brute par décantation, pour notamment réduire la charge de pollution à l entrée du traitement biologique. Épaissir les boues ainsi formées par la décantation des matières en suspension accumulées en fond d ouvrage. Le choix de Degrémont, le SEDIPAQ D, un ouvrage 3 fois plus petit qu un décanteur primaire non lamellaire conventionnel, pour une décantation rapide sans ajout de réactif et une rétention des flottants non éliminés par le prétraitement. Les boues primaires sont envoyées vers une bâche de stockage pour être déshydratées en même temps que les boues biologiques. QUELQUES CHIFFRES 2 SEDIPAC D (2 x 25 m 2 ) Débit traité : m 3 /h 30% de la pollution carbonée retenue 9

10 TAMISAGE FONCTION Retenir les «fillasses» non retenues par les dégrilleurs pour garantir l intégrité du traitement biologique. Les refus de tamisage sont compactés et ensachés automatiquement. QUELQUES CHIFFRES 3 tamiseurs : maille de 2 mm, débit unitaire de 500 m 3 /h 10

11 TRAITEMENT BIOLOGIQUE PAR BIOREACTEURS A MEMBRANES FONCTIONS Traiter par un processus biologique la pollution carbonée et azotée et traiter la pollution phosphorée par ajout de Chlorure Ferrique pour un niveau de rejet conforme à la réglementation vis-à-vis des zones sensibles. Séparer au moyen de membranes de filtration, les boues biologiques de l eau traitée en lieu et place de la clarification conventionnelle. Le choix de Degrémont, l Ultrafor qui permet : de réduire l emprise au sol de 50% par rapport à une boue activée conventionnelle, d atteindre un niveau de traitement poussé par l élimination de la quasi-totalité des matières en suspension, des bactéries, des germes et une grande partie des virus, de simplifier la filière de traitement en regroupant l étape de clarification, de filtration et de désinfection. Les boues biologiques excédentaires sont envoyées vers l étape de déshydratation. QUELQUES CHIFFRES 2 bassins biologiques comprenant chacun une zone anoxique (1 700 m 3 ) et une zone aérée (4 300 m 3 ) 6 lignes de filtration membranaire contenant chacune 3 cassettes de membranes Zenon soit plus de m 2 de surface totale filtrante 11

12 DESHYDRATATION DES BOUES PRIMAIRES ET BIOLOGIQUES FONCTION Séparer l eau des boues par centrifugation afin d augmenter la siccité de ces dernières. La siccité est le pourcentage de matière sèche présente dans la boue. Une boue ayant une siccité de 30% est donc constituée de 70% d eau. Une boue ayant une siccité élevée présente deux avantages. Elle permet de limiter les volumes à transporter et de limiter les consommations d énergie fossile qu il convient d injecter dans les fours lorsque l incinération est la voie d élimination/valorisation retenue. Les boues déshydratées sont incinérées dans un four dédié aux boues sur une autre installation. Lors des périodes de maintenance des fours, les boues sont envoyées vers une plateforme de compostage. QUELQUES CHIFFRES 2 centrifugeuses d une capacité totale de kg MS/h Production de boues déshydratées : kg MS/j Siccité des boues déshydratées : 27% 12

13 TRAITEMENT DES APPORTS EXTERIEURS FONCTION Réceptionner les matières de vidanges, les graisses et les sables extérieurs pour un traitement sur site. Les graisses et sables une fois dépotés sur le site rejoignent les chaines de traitement dédiées aux sables et graisses des dessableurs/dégraisseurs. Les matières de vidanges sont prétraitées et envoyées en amont des dessableurs/dégraisseurs. QUELQUES CHIFFRES Laveur à sable : maille de 10 mm, capacité de 30 m 3 /h Traitement des graisses : débit de 4,12 m 3 /j 13

14 VENTILATION ET DESODORISATION FONCTIONS Renouveler l air à l intérieur des locaux pour maîtriser les problèmes de condensation et les risques de corrosion et capter les polluants des locaux à l origine d odeurs via un réseau d'extraction de l'air vicié. Traiter l air vicié avant son rejet dans l atmosphère par un lavage chimique dans 2 tours installées en série. L air vicié circule dans une solution d acide (tour 1) puis dans des solutions de javel et de soude (tour 2) afin que les composés odorants aboutissent à des formes chimiquement stables et dénuées d odeurs. QUELQUES CHIFFRES Débit d air traité : Nm 3 /h 14

15 INTERVENANTS ET FINANCEMENTS MAITRE D OUVRAGE FINANCEMENTS GROUPEMENT DE MAITRISE D ŒUVRE GROUPEMENT D ENTREPRISES 15

16 ANNEXES I. LE BIORÉACTEUR MEMBRANAIRE II. L ULTRAFOR III. DEGRÉMONT IV. SOBEA ENVIRONNEMENT & BOTTE FONDATIONS

17 I. LE BIOREACTEUR MEMBRANAIRE CLARIFICATION PAR MEMBRANE EN EAUX RÉSIDUAIRES URBAINES Tout comme dans le domaine du traitement des eaux pour la production d eau potable, la technique de séparation membranaire dans le traitement des eaux résiduaires urbaines constitue une véritable barrière physique aux impuretés et germes pathogènes. Pour un même objectif de qualité d eau, les membranes permettent de remplacer plusieurs étapes de traitement conventionnel. La compacité des procédés membranaires permet de réaliser des stations avec une faible emprise au sol et les procédés modulaires peuvent être installés sur un très large éventail de tailles de stations. Prétraitements Traitement biologique Clarification Filtration sur sable Désinfection Tamisage fin Prétraitements Traitement biologique & filtration membranaire Ultrafiltration LES MEMBRANES D ULTRAFILTRATION Est appelée membrane tout matériau qui, mis sous la forme de films minces (0,05 mm à 2 mm), a la propriété d opposer une résistance sélective au transfert des différents constituants d un fluide liquide ou gazeux, et donc de permettre la séparation de certains des éléments (particules, solutés ou solvants) composant ce fluide. Les membranes d ultrafiltration, dont la taille des pores est comprise entre 1 et 100 nm, laissent passer les sels minéraux et les molécules organiques de faible poids moléculaire ; elles n arrêtent que les solutés les plus gros (macromolécules) et les éléments particulaires tels que virus, bactéries, colloïdes Elles assurent l élimination totale des matières en suspension (MES) responsables de la turbidité sans modifier la composition saline de l eau. 17

18 LE BIOREACTEUR MEMBRANAIRE Les niveaux de rejet obtenus sont très poussés et satisfont aux exigences règlementaires les plus strictes, notamment «eaux de baignade» (Directive Européenne), et permettent d anticiper les évolutions futures. La barrière physique qu elles constituent permet de maîtriser la filtration et la qualité des rejets en MES (matières en suspension), contrairement à une séparation dynamique en bassin de clarification avec lequel une «fuite» de MES est toujours possible, entraînant un risque de dénitrification. Par ailleurs, la qualité de l eau traitée est indépendante des variations de charges hydrauliques. Lors de la clarification par membranes, à concentration et pression constantes, on constate une baisse du flux au cours du temps, pouvant aller jusqu à un blocage complet de la membrane : c est le phénomène de colmatage. Le colmatage est dû à la formation d un dépôt de colloïdes à la surface de la membrane, à l adsorption de solutés variés dans les pores, mais aussi à la formation de précipités sur la membrane (sulfate ferrique par exemple). Le premier phénomène est essentiellement réversible par rétro lavage (opération qui consiste à inverser les pressions pour renvoyer l eau produite au travers de la membrane et ainsi décoller le dépôt), ou par balayage («relaxation») de la surface membranaire sans filtration. Au contraire, l adsorption ou la formation de précipités sont très souvent insensibles au rétro lavage, ou à une augmentation de vitesse de balayage ; seul un traitement chimique approprié permet alors de «nettoyer» la membrane. STRUCTURE DES MEMBRANES Dans le domaine de la séparation par membrane d ultrafiltration, les appareils unitaires de séparation appelés «modules», mettant en œuvre les membranes, sont conçus de façon à atteindre deux objectifs essentiels : rassembler les membranes en modules compacts, c est-à-dire présentant un maximum de surface d échange par unité de volume ; assurer au niveau de la membrane une circulation suffisante du liquide à traiter pour limiter les dépôts de particules. Dans le cas de la clarification des eaux résiduaires, on distingue deux grands types de modules. MODULES À MEMBRANES FIBRES CREUSES Les fibres creuses, de diamètre 0,6 à 2 mm, sont produites par extrusion du matériau membranaire au travers de filières annulaires. Leur structure leur permet de résister à des pressions internes ou externes suffisantes pour leur emploi. Ces fibres ont ensuite regroupées en modules faciles à rétrolaver. En traitement des eaux résiduaires, la circulation du fluide à traiter se fait à l extérieur des fibres et la collecte du perméat à l une ou aux deux extrémités des fibres. Les modules sont directement immergés dans l eau à traiter, le filtrat étant aspiré au travers de la fibre par mise sous vide partiel de celle-ci. 18

19 LE BIOREACTEUR MEMBRANAIRE MODULES À MEMBRANES PLAQUES Dans ce cas, la membrane s appuie sur les deux faces d une structure plane servant de support central. Le fluide à traiter circule entre les membranes de deux plaques adjacentes. L épaisseur de la lame liquide entre les plaques est de l ordre de 7 mm. Le perméat est collecté sous vide dans les rainures des plaques. Ces plaques assurent en même temps le soutien mécanique des membranes et le drainage du perméat. Les plaques supportant les membranes sont également assemblées en modules compactes. L agencement des modules permet de réaliser des circulations en parallèle. Des ensembles unitaires allant jusqu à 140 m² de surface peuvent être ainsi constitués. MISE EN ŒUVRE DES BIO REACTEURS A MEMBRANES (BRM) Les membranes d ultrafiltration peuvent se substituer aux clarificateurs des cultures libres ou mixtes, aérobie ou anaérobie pour séparer flocs et bactéries non floculées de l eau traitée. La mise en œuvre de Bio Réacteurs à Membranes permet de combiner la dégradation de la pollution par l activité biologique et la filtration poussée dans des ouvrages compacts. La forte compacité des BRM constitue, outre la qualité exceptionnelle des rejets, un avantage indéniable de cette technologie, notamment lorsque les problématiques d implantation et de génie civil sont prépondérantes. La clarification par BRM présente les avantages suivants : la certitude d obtenir une clarification parfaite quels que soient l état de la boue et son indice de boue puisque les membranes peuvent retenir même les bactéries non floculées et produire un effluent sans matières en suspension (turbidité < 1-2 NTU) ; la désinfection de l effluent (absence de pathogènes tels que œufs d helminthes, bactéries et certains virus ; la possible augmentation de la concentration de la biomasse épuratrice entre 6 et 12 g/l (puisque l on s est affranchi du clarificateur). Ceci entraîne donc à charge massique équivalente, la possibilité de réduire l aérateur d un facteur 2 à 4 par rapport à un aérateur en boues activées classique ; l absence de clarificateur et un aérateur de volume réduit signifient un coût de génie civil et une emprise au sol nettement moindres ; la membrane permet de ne pas laisser passer certains métabolites macromoléculaires et de les dégrader peu à peu, il en résulte une DCO finale plus basse que celle atteinte en boues activées classiques. 19

20 II. L ULTRAFOR PRESENTATION DU PROCEDE ULTRAFOR L Ultrafor est un procédé Degrémont de traitement des eaux usées qui combine la dégradation de la pollution par l activité biologique et une clarification par membranes fibres creuses d ultrafiltration. Après un tamisage fin, les eaux à épurer sont envoyées dans un réacteur où elles sont mises en contact avec une masse bactérienne épuratrice. Les membranes sont immergées au sein de la liqueur biologique dans un bassin séparé. La liqueur biologique est filtrée par aspiration au travers des membranes d ultrafiltration à l aide d une pompe ou grâce à la simple charge hydraulique sur la membrane. Les membranes remplacent ainsi la clarification traditionnelle et la filtration tertiaire éventuelle. Une recirculation de la liqueur biologique est prévue entre les deux bassins. Ultrafor fonctionne par cycles de filtration/relaxation. Les membranes de l Ultrafor ont un seuil de coupure de 0,04 µm, ce qui en fait donc une véritable barrière physique permettant l élimination des bactéries, des œufs d helminthes et une réduction des coliformes fécaux. La qualité de l eau traitée est excellente en termes de matières en suspension et turbidité. MEMBRANE FIBRE CREUSE Les membranes utilisées dans ce procédé sont des membranes fibres creuses fabriquées par la société GE MODULE DE FILTRATION Elles sont assemblées en modules. La filtration via la membrane se fait de l extérieur de la fibre vers l intérieur de la fibre (filtration Out/In) CASSETTE DE FILTRATION Les modules sont assemblés dans des racks de filtration appelés «cassettes» qui sont ensuite immergées dans la liqueur mixte La filtration se fait par succion, sous l action d une pression transmembranaire inférieure à 0,2 bar. Une aération continue (fonction «air membrane») crée un flux d air ascendant le long des fibres, et génère un courant de la liqueur mixte à leur voisinage. Les membranes sont lavées automatiquement 2 fois par semaine et régénérées 2 fois par an par un lavage de régénération. Ce dernier consiste à injecter dans la poche membranaire une solution chimique qu on laisse agir 2 à 4 heures, la membrane est ensuite rincée par filtration. 20

21 L ULTRAFOR MISE EN OEUVRE Ultrafor, comme la plupart des bioréacteurs à membranes, se distingue essentiellement par : une concentration élevée de la liqueur mixte de 6 à 12 g/l, ce qui permet un gain important de volume de réacteur ; la présence de membranes immergées au sein de la liqueur mixte. Ces spécificités imposent certaines précautions et/ou contraintes dans la conception et le dimensionnement de ce genre d installations. PRÉTRAITEMENT C est une étape fondamentale pour le bon fonctionnement de l unité de filtration. En complément d un dessablage-dégraissage soigné, un tamisage efficace est impératif. Le minimum exigé est une filtration sur maille de diamètre hydraulique 1 mm. RÉACTEUR BIOLOGIQUE La configuration des réacteurs demeure à quelques exceptions près, similaire à un traitement par boues activées classique. Le bassin de boues activées génère un effluent propice à la filtration sur membrane. La concentration en boue plus élevée et l utilisation de membranes introduit cependant des différences notables en termes de dimensionnement : afin d obtenir une eau interstitielle de bonne filtrabilité, le dimensionnement du réacteur doit assurer une élimination totale de la DCO interstitielle dans les conditions les plus contraignantes de charges et de température. En revanche, sauf norme imposée en azote total, la dénitrification est facultative du fait de l absence de risque de remontée de boue en clarification, à la différence d un schéma conventionnel. Comparé à une boue activée classique, le volume de réacteur nécessaire est divisé par deux au minimum du fait de la concentration élevée en boue ; la concentration élevée en MES a une influence défavorable sur le transfert d oxygène. Ceci conduit à une consommation électrique spécifique, exprimée en kwh/kg DBO, sensiblement supérieure à une boue activée conventionnelle ; au cours de la filtration se produit une surconcentration de la liqueur mixte au sein du bac contenant les modules. Cette dernière doit être maîtrisée par une recirculation continue du bassin où sont immergés les modules vers le bassin aérobie et/ou anoxie. Le débit de recirculation est habituellement fixé entre 200 et 500 % du débit d alimentation. 21

22 L ULTRAFOR PERFORMANCES Le dimensionnement calculé pour assurer une nitrification poussée conduit également à de très faibles concentrations en DCO, DBO et N-NH 4. Dans le tableau ci-après sont résumées les valeurs attendues avec ce genre d installation en eau résiduaire urbaine. Paramètres Concentrations Matières en suspension (mg/l) < 3-5 Turbidité (NTU) < 2 DCO (mg/l) < 50* DBO (mg/l) < 10 NGL (mg/l) < Coliformes fécaux (nombre pour 100 ml) < 100 * dépend de la DCO de l eau brute L Ultrafor est approprié au traitement des eaux résiduaires urbaines et industrielles et permet d obtenir un effluent à même de répondre aux normes de rejets les plus exigeantes, en milieu sensible ou très sensible. D une manière générale Ultrafor garantit le niveau «eaux de baignade» (Directive Européenne). Les effluents peuvent être valorisés pour leur réutilisation. Par ailleurs, grâce à la petite taille de l élément de base constitutif du système membranaire, sa flexibilité et sa modularité, Ultrafor est tout à fait adaptées aux petits terrains et s intègre également facilement dans une station existante. REFERENCES Déjà plus de 40 références dans le monde en traitement membranaires dont : Béziers (34), EH Cannes (06), EH Grasses Roumiguières, EH La Montagne (44), EH La Morée (93), EH Saint Michel Chef Chef (44), EH Petit-Bourg (97), EH Calasparra (Espagne), EH Cubbon Park (Inde), EH Ollainville (91) ; EH 22

23 III. DEGREMONT Filiale à 100% de SUEZ ENVIRONNEMENT, Degrémont est la référence mondiale du traitement de l eau. Degrémont est depuis plus de 70 ans un acteur majeur du développement durable et le spécialiste mondial du traitement des eaux. Degrémont conçoit, construit, équipe, exploite et finance des installations de traitement des eaux et de traitement des boues. Degrémont met en œuvre ses expertises avec la détermination d accompagner ses clients municipaux et industriels en leur proposant les solutions les plus avancées, les plus adaptées aux ressources et aux contextes locaux, les plus fiables et les plus accessibles en termes de coûts collaborateurs répartis dans 70 pays s engagent au quotidien pour l eau, source de vie. 4 METIERS INTEGRES Conception - Construction Exploitation et Services Équipement et Technologies BOT (Build, Operate, Transfer) 5 EXPERTISES EPROUVEES Production d eau potable Dessalement Épuration et réutilisation des eaux résiduaires urbaines Biosolides / Traitement des boues Traitement et production des eaux industrielles CHIFFRES CLES DEGREMONT collaborateurs dans le monde millions d'euros de chiffre d'affaires 14,5 millions d euros consacrés à la recherche et à l innovation sites équipés d une technologie Degrémont 1 milliard d habitants desservis par une installation Degrémont 21,7 millions de personnes alimentées en eau potable par les équipes d exploitation 24,4 millions de personnes bénéficiant du traitement de leurs eaux usées par les équipes d exploitation usines de production d eau potable construites stations d épuration construites 255 usines de dessalement par osmose inverse sites industriels équipés de systèmes de traitement de l eau stations de production d eau de process construites stations de traitement des eaux usées industrielles construites Plus de 50 millions de m³ d eau par an pouvant être traités par nos unités mobiles Plus de 500 technologies brevetées à ce jour 23

24 IV. SOBEA ENVIRONNEMENT & BOTTE FONDATIONS SOBEA ENVIRONNEMENT Filiale de la société VINCI Construction France est une entreprise francilienne spécialisée dans le génie-civil de l eau et de l environnement. Les différents segments de positionnements de SOBEA Environnement sont : Le génie civil du traitement de l eau, (épuration, dépollution, potabilisation) Les ouvrages hydrauliques (bassins, réservoirs, chambres et galeries) Les ordures ménagères Les canalisations. SOBEA Environnement a déjà réalisée en Ile de France les stations d épurations de Meaux, Etampes, Corbeil-Essonnes, Boissettes, Saint-Fargeau Ponthierry, Boissise le Roi, Villepreux, Limay, Cergy-Pontoise, Neuilly sur Marne etc.. BOTTE FONDATIONS Filiale de la société VINCI Construction France est une entreprise francilienne spécialisée dans les fondations profondes. Les différents segments de positionnements de BOTTE FONDATIONS sont : Les pieux Les micro-pieux Les parois moulées Les tirants d ancrage 24

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