CONCOURS EXTERNE SPECIAL 2012 POUR LE RECRUTEMENT D ELEVES INGENIEUR DES TRAVAUX DE LA METEOROLOGIE
|
|
- Heloïse Petit
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONCOURS EXTERNE SPECIAL 2012 POUR LE RECRUTEMENT D ELEVES INGENIEUR DES TRAVAUX DE LA METEOROLOGIE ET D ELEVES INGENIEUR DE L ECOLE NATIONALE DE LA METEOROLOGIE ************************************************************************************** EPREUVE DE METEOROLOGIE Durée : 4 heures Coefficient : 6 Cette épreuve comporte trois parties indépendantes pouvant être traitées séparément : I II III METEOROLOGIE GENERALE (7 points) METEOROLOGIE DYNAMIQUE (7 points) COUCHE LIMITE (6 points) Le candidat doit traiter toutes les parties. La clarté des réponses et le soin apporté à la rédaction seront pris en compte dans la notation. NOTA : CHACUNE DES PARTIE I, II et III DOIT ETRE REDIGEE SUR UNE COPIE SEPAREE. Pour tout document annexe (émagramme) rendu avec la copie, le candidat portera sur celui-ci le nom du centre d examen où ils passent l épreuve et le numéro de place, à l exclusion de toute autre information. L utilisation d une calculatrice de poche, standard, programmable, alphanumérique ou à écran graphique est autorisée, à condition que son fonctionnement soit autonome et qu il ne soit pas fait usage d imprimante, ni de dispositif externe de stockage d information (cartes, clés USB, etc. ). L utilisation de toute autre documentation sur support papier ou électronique est strictement interdite. Ce document comporte 10 pages. Ecole Nationale de la Météorologie Page 1 sur 10
2 PARTIE I METEOROLOGIE GENERALE (7 points) Pièce jointe : un émagramme, à rendre avec la copie Données : Constante universelle des Gaz Parfaits : R* = 8,314 J.mole -1.K -1 Constante spécifique de l air sec : Ra = 287 J.kg-1.K -1 Accélération de la pesanteur : g = 9,8 m.s -2 Constante de la loi de Wien : 2898 x 10-6 m.k Constante de la loi de Stefan-Boltzmann : 5,67 x 10-8 W.m -2.K -4 Si on note c p la chaleur massique à pression constante, c v la chaleur massique à volume c p 5 constant, alors pour un Gaz Parfait monoatomiqueγ = = cv 3 On rappelle la loi de Mayer des Gaz Parfaits : c c R, constante spécifique du gaz. p v = La loi de Joule pour les Gaz Parfaits : du=m c v dt, où U est l énergie interne, m la masse et T la température. Chaque thème A, B, C ou D peut être traité indépendamment des autres. A) L équilibre vertical dans l atmosphère 1) a] Etablir l équation du mouvement vertical d une particule d air ; on fera pour cela l approximation de la pellicule mince, et on négligera les termes de frottement et de Coriolis. b] En déduire l expression de l équilibre hydrostatique ; préciser pour quelles échelles horizontales l hydrostatisme s applique. Quantifier la validité de l hydrostatisme à l échelle synoptique. c] Déduire de l hydrostatisme la relation de Laplace des épaisseurs, en précisant les hypothèses faites pour établir cette relation. d] Considérons une situation météorologique pour laquelle les champs de pression et de température sont en phase (anticyclone/haut géopotentiel dans l air chaud, dépression/bas géopotentiel dans l air froid). Une zone de bas géopotentiel aura-t-elle tendance à se creuser ou à se combler avec l'altitude? Et une zone de haut géopotentiel? Justifier la réponse. Ecole Nationale de la Météorologie Page 2 sur 10
3 e] Qu est-ce qu une dépression thermique? Quelles sont les conditions météorologiques favorables à l apparition d une telle structure? Citer au moins un exemple de dépression thermique fréquemment présente dans l hémisphère Nord. Toujours dans l hémisphère Nord, comment varie le tourbillon relatif sur la verticale dans une telle dépression? 2) On rappelle qu un émagramme est un diagramme thermodynamique caractérisé par les relations : 1000 y = k y log P x = y + k xt où y et x sont les coordonnées d un point, P(hPa) et T( C) désignent la pression et la température de la particule que ce point d état représente ; k x et k y sont des constantes positives. a] A partir de la relation établie au 1) a], établir l expression ci-après de l accélération verticale d une particule d air, en fonction de sa température virtuelle T vp et de la température virtuelle de son environnement, notée T v. dw dt Tvp T = g Tv Pour cela, on se placera dans le cadre très simple du modèle de la particule où on suppose que la particule se déplace au sein d un environnement au repos, et que la pression de la particule reste égale à celle de son environnement. v b] On assimilera ici la température virtuelle à la température. Montrer que la variation d énergie cinétique verticale d une particule initialement à l équilibre au niveau P 0, et animée d un mouvement vertical entre le niveau de pression P et le niveau P+dP, est proportionnelle à l aire ds hachurée sur le schéma, comprise sur un émagramme entre la courbe d état et la courbe décrivant la transformation subie par la particule. Courbe décrivant la transformation de la particule Courbe d état c] Expliquer les notions de CAPE et de CIN, en illustrant l explication d un schéma. Quelle est l unité de ces grandeurs? Quelle est leur utilité dans l aide à la prévision du risque d orage? Quelles surfaces sur l émagramme matérialisent la CAPE et la CIN respectivement? Ecole Nationale de la Météorologie Page 3 sur 10
4 B) Circulation générale de l atmosphère Représenter une coupe verticale (entre le sol et 20 km environ), avec la latitude en abscisse (du pôle nord au pôle sud) et l altitude en ordonnée, sur laquelle figurera l allure en moyenne annuelle des isentropes (c est-à-dire des isolignes de température potentielle). Positionner ensuite sur le même schéma les jets d ouest. C) Rayonnement 1) Calculer la puissance émise par unité de surface, par la Terre et par le Soleil respectivement, en supposant que ce sont des corps noirs à températures respectives de 290 K et 6000 K 2) Pour quelle longueur d onde se fait le maximum d émission pour la Terre? Pour le Soleil? 3) Qu est-ce que la fenêtre de transparence atmosphérique? Cette fenêtre a-t-elle une importance pratique en météorologie? Expliquer votre réponse. D) Exercices de thermodynamique Les trois exercices sont indépendants Exercice n 1 : gradient autoconvectif Pour cet exercice, on négligera la différence entre la température virtuelle et la température d état T. a] On considère une atmosphère fictive homogène (c est-à-dire telle que la masse volumique ρ est uniforme : en particulier, ρ ne dépend pas de l altitude) ; on suppose vérifiés dans cette atmosphère l équilibre hydrostatique et la relation d état des gaz parfaits. Montrer que cette atmosphère homogène a une épaisseur H finie qui dépend seulement de la température au niveau de la mer (z=0). Calculer l épaisseur d une telle atmosphère avec une température au niveau z=0 de 15 C. b] Calculer le gradient vertical de température Γ auto = dans l atmosphère homogène. T (appelé gradient autoconvectif) c] Caractériser le profil vertical de masse volumique que l on observerait dans une couche T d atmosphère où on aurait = Γ<0, avec Γ > Γauto. Ce type de stratification pourrait-il se maintenir durablement? Justifier votre réponse. Ecole Nationale de la Météorologie Page 4 sur 10
5 Exercice n 2 : panache d air chaud et humide Cet exercice sera traité à l aide de l émagramme fourni en pièce jointe. Une tour de refroidissement rejette de l air chaud et humide au niveau 850 hpa. Le profil de température de l environnement est isotherme avec T = 5 C. L air rejeté au sommet de la tour a une température de 30 C et un rapport de mélange de 25 g.kg -1. a] Déterminer : sa température du point de rosée ; r son humidité relative, en prenant comme approximation de cette grandeur, rw ( P, T ) où r est le rapport de mélange et r w (P,T) le rapport de mélange saturant à la pression P, température T ; sa température potentielle, et sa température pseudo-adiabatique potentielle du thermomètre mouillé. b] Un nuage signalant la présence d eau condensée se formera-t-il au-dessus de la tour de refroidissement? Si oui, déterminer la base et le sommet de ce nuage. Exercice n 3 : cycle d un gaz parfait Dans cet exercice, les transformations sont représentées en coordonnées de Clapeyron, avec le volume V en abscisse et la pression P en ordonnée. a] Quel est le signe du travail des forces de pression reçu par un gaz parfait qui subit un cycle de transformation réversible, le cycle tournant dans le sens des aiguilles d une montre en coordonnées de Clapeyron? Justifier votre réponse. P b] Par échange de chaleur et de travail des forces de pression, on fait subir à une mole d'un gaz parfait monoatomique un cycle réversible A B C D A. On donne : V A = V B = 22,4 x 10-3 m 3 ; V C = V D = 44,8 x 10-3 m 3 P A = P D = 1,013 x 10 5 Pa ; P B = P C = 5 x 1,013 x 10 5 Pa Calculer : Les températures aux points A, B, C, D. La quantité de chaleur reçue par le gaz au cours du cycle. La variation d'énergie interne entre les états A et C : U C - U A. La quantité de chaleur reçue par le gaz dans la transformation B C. P B. A..C.D V V Ecole Nationale de la Météorologie Page 5 sur 10
6 PARTIE II METEOROLOGIE DYNAMIQUE (7points) On considère un point O, origine du repère local, situé au sol, à la latitude +45. On estime que le paramètre de Coriolis noté f vaut 10-4 s -1 en O. Enfin, l accélération de la pesanteur g est supposée constante et égale à 9,8 m.s -2. Soit quatre points au sol A, B, C, D de coordonnées dans le même repère : A(-L, 0) B(0, L) C(L, 0) D(0, -L) On donne : L = 100 km On considère les cinq points A, B, C, D, O situés à la verticale des cinq points A, B, C, D, O précédents sur la surface isobare 500 hpa. Leurs altitudes respectives sont : z A = 5560 m z B = 5560 m z C = 5590 m z D = 5590 m z O = 5573 m A ce même niveau de pression de 500 hpa, on observe les températures : T A = -20 C T B = -22 C T C = -22 C T D = -20 C T O = -21 C On considère que l air est sec. On donne la valeur de la constante spécifique de l air sec : R a = 287 J.K -1.kg -1 La capacité calorifique à pression constante vaut, pour l air sec : c Pa = 1004 J.K -1.kg -1 1) On se place sur la surface 500 hpa en O. On assimile cette surface à un plan et on approche les dérivées spatiales premières par une discrétisation du premier ordre. a] Evaluer la plus grande pente de cette surface en O. b] En déduire les composantes de la force horizontale de pression exercée sur une particule d air de masse unité située en O. c] Evaluer les composantes du gradient isobare de température en O. d] Définir le vent géostrophique et préciser les hypothèses utilisées pour en obtenir la formulation. Indiquer une estimation du chiffrage de sa validité à l échelle synoptique et aux latitudes moyennes. Evaluer le vent géostrophique V g en O. 2) a] Donner la définition d une advection de température. Evaluer l évolution de la température en 3 heures sous l effet de l advection au point O. b] Rappeler l équation d évolution de la température établie en coordonnées pression. Montrer que l évolution locale de la température peut s exprimer comme somme de trois termes : l advection isobare de température, un terme faisant intervenir la vitesse verticale généralisée en coordonnée pression ω, un terme de chauffage diabatique. Ecole Nationale de la Météorologie Page 6 sur 10
7 Montrer que le terme faisant intervenir ω comporte un coefficient multiplicatif s qu on appellera terme de stabilité et que l on explicitera. Etablir que s peut s exprimer en faisant intervenir le gradient vertical de température potentielle et justifier ainsi son appellation. c] On suppose que le gradient vertical de la température en O est de 0,0065 K.m -1. Calculer le paramètre de stabilité. En déduire le gradient vertical de température potentielle en O en coordonnées pression. d] On néglige les apports de chaleur. En déduire ω en O, exprimée en hpa par 3 heures, qui serait nécessaire pour que la variation thermique en O soit nulle. Commenter ce résultat en explicitant le rôle des mouvements verticaux dans l atmosphère par rapport aux éventuelles anomalies de température. e] Dans le cas d une atmosphère humide quels pourraient être les impacts des apports de chaleur respectifs de la condensation et de l évaporation sur les mouvements verticaux dans l atmosphère. 3) a] Définir les tourbillons relatif et absolu. b] Etablir la formule approchée de la composante verticale du tourbillon relatif en fonction de l accélération de la pesanteur g, du paramètre de Coriolis f et des altitudes des points A, B, C, D et O. Calculer les composantes verticales ζ et ζ a des tourbillons relatif et absolu en O en négligeant les variations méridiennes du paramètre de Coriolis. Rappeler l expression du tourbillon potentiel d Ertel en coordonnées pression. Calculer sa valeur approchée en O. 4) a] Définir le vent thermique d une couche d air atmosphérique comprise entre deux niveaux de pression P B et P S. Déterminer le vent thermique correspondant à la couche [700, 500 hpa] à la verticale de O en estimant que le gradient isobare de température à 500 hpa est représentatif de celui moyenné sur la couche. b] En déduire le vent géostrophique à la verticale de O à 700 hpa. c] Evaluer l advection horizontale de température au niveau 700 hpa et la comparer à celle calculée en O en 2)a]. Commenter ce résultat. 5) a] Exprimer le cisaillement vertical du vent géostrophique en coordonnées V g pression en fonction de la pression P et du gradient de température à pression constante. P Montrer que le cisaillement du vent géostrophique en coordonnées z s exprime en fonction de la température T et du gradient isobare de T. L évaluer à 500 hpa à la verticale de O. b] Montrer que l advection de température par le vent géostrophique en O s exprime en fonction du cisaillement du vent. Ecole Nationale de la Météorologie Page 7 sur 10
8 c] En déduire une correspondance entre le signe de l advection thermique et l hodographe du vent. Appliquer ce résultat général à la verticale de O entre les deux niveaux 700 et 500 hpa. d] On désigne par A(z) l aire délimitée sur un graphe en coordonnées u, v par le vent géostrophique au sol V 0 (z), le vent géostrophique V g (z) au niveau d altitude z et l hodographe du vent entre ces deux niveaux (Cf. figure). v (z) V g Soit : A (z) = A(z) V 0 (z) z 0 hodographe u 1 k V d 2 g V g Etablir que l advection thermique horizontale à un niveau donné est fonction du gradient vertical de A. Rappeler la définition de la fréquence de Brunt-Väisälä N. En exprimant la dérivée eulérienne de N 2, montrer comment une variation de la stabilité dans le temps peut être conditionnée par le gradient vertical de l advection isobare de température. Ecole Nationale de la Météorologie Page 8 sur 10
9 PARTIE III COUCHE LIMITE (6 points) Exercice n 1 On considère que l équation d évolution de la concentration q (en kg par kg d air) d un polluant passif à l échelle du continuum s écrit : dq =ν q q dt où ν q est le coefficient de diffusion moléculaire, supposé constant. 1) On se place dans la couche limite atmosphérique (CLA) où on suppose que la divergence du vent horizontal est nulle. a] Pourquoi l étude de la CLA nécessite-t-elle de traiter les paramètres moyens? b] Rappeler les axiomes de Reynolds. c] Etablir l équation d évolution de la concentration moyenne q dans la CLA. 2) On se place dans le plan (O,x,z), Oz étant l axe vertical. On néglige la diffusion moléculaire devant la diffusion turbulente. Le vent est supposé constant et parallèle à l axe Ox : u = (U,0). Enfin, la diffusion turbulente selon Ox est négligeable devant le terme de transport par le vent moyen. a] Que devient l équation obtenue en 1.c, dans le cas stationnaire? On exprimera le flux turbulent de polluant suivant Oz en introduisant le coefficient d échanges K. b] On suppose que K est constant, trouver la relation que doit vérifier σ (x), fonction de x uniquement, pour que q s écrive : 2 A ( z h) q( x, z) = exp 2 σ ( x) 2σ ( x) c] Le polluant est émis en x = 0 depuis une cheminée de hauteur z = h. On se donne les conditions à la limite suivantes : lim( q( x, h)) = + et x 0 lim( q( x, z)) = 0, z h. 0 x Montrer que σ ( 0) = 0. d] On se place suivant Ox à 100 mètres de la cheminée. Donner l allure de la courbe q( 100, z) et calculer la variation relative de q entre h et le sol. Application numérique avec U = 3m.s -1, K = 5 m 2.s -1 et h = 30 m. Ecole Nationale de la Météorologie Page 9 sur 10
10 Exercice n 2 Dans la couche limite atmosphérique (CLA) homogène horizontalement, les termes de production dynamique et thermique P D et P T intervenant dans l équation d évolution de l énergie cinétique turbulente s écrivent : ' ' u ' ' v g ' ' P D = u w v w et P θ w θ T = 0 On introduit les coefficients d échanges K D et K T permettant d exprimer les flux turbulents en fonction des gradients verticaux de vitesse moyenne et de température moyenne. On définit K le nombre de Richardson de gradient D PT Ri = G KT PD 1) Exprimer Ri G en fonction des gradients verticaux de vitesse et température moyennes. 2) On définit le nombre de Richardson moyen de couche Ri B (autrement appelé «Bulk»), pour estimer la stabilité locale d une couche d épaisseur z, en approchant u v θ u v θ les gradients verticaux, et par, et respectivement. Exprimer z z z Ri B en fonction de u, v, θ et z. 3) Calculer pour chaque tranche d atmosphère la valeur de Ri B, en utilisant les mesures des composantes du vent moyen indiquées dans le tableau ci-dessous. On suppose que θ est constant sur toute la couche considérée et vaut 4 x 10-3 K.m -1. On prendra z g = 9,81 m.s -2 et θ 300 K 0 = z (m) u (m.s -1 ) 3,5 4,8 5,6 6,3 7,3 7,8 8,9 v (m.s -1 ) 1,2 1,4 1,6 1,6 1,2 1,3 1,4 4) Discuter l état de stabilité statique et dynamique de l atmosphère pour chaque tranche d altitude. En déduire la nature de l écoulement. Ecole Nationale de la Météorologie Page 10 sur 10
Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détailCirculation générale et météorologie
Circulation générale et météorologie B. Legras, http://www.lmd.ens.fr/legras I Instabilités convectives de l'atmosphère humide (supposés connues: les notions de température potentielle sèche et d'instabilité
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailDEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie.
DEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie. Après parution de mon article sur les modèles numériques dans le «Swiss Glider» d avril, qui parlait entre autres
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailMétéo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n
Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailLA DISPERSION ATMOSPHERIQUE
Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailContrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B
Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,
Plus en détailTS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu
P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailMODULE 2.7A NÉPHANALYSE. Introduction et techniques
MODULE 2.7A NÉPHANALYSE Introduction et techniques 1 INTRODUCTION Une néphanalyse est l une des analyses les plus détaillées que fait régulièrement un météorologiste opérationnel. Elle consiste en une
Plus en détailEtudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes
Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailL'atmosphère est subdivisée en plusieurs couches qui ont pour nom troposphère, stratosphère, mésosphère et thermosphère.
L'ATMOSPHERE N 1 Def : enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres Répartition verticale : Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale de l'atmosphère se
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailFLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles
FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue
Plus en détailChapitre 10 : Mécanique des fluides
Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet
Plus en détail-12. Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul)
Méthodes pour l évaluation et la prévention des risques accidentels (DRA-006) -1 Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul) Ministère de l Ecologie et du Développement Durable Direction
Plus en détailBaccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013
Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailRapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair
N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses
Plus en détail8 Ensemble grand-canonique
Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,
Plus en détailChapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites
I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailCHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté
CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailPhysique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant:
Nom: Prénom: A N ō carte d étudiant: Physique: 1 er Bachelier en Medecine 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h Avant de commencer a repondre aux questions, identiez-vous en haut de cette 1ere page, et
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailPaysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau
Objectif Aider les élèves à identifier certaines caractéristiques des nuages. Permettre aux élèves d observer les nuages, de les décrire avec un vocabulaire simple et de comparer leurs descriptions avec
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailChapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul
DERIVEES ET REGLES DE CALCULS 69 Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul Prérequis: Généralités sur les fonctions, Introduction dérivée Requis pour: Croissance, Optimisation, Études de fct.
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailMesures d antennes en TNT
Mesures d antennes en TNT Ce TP s intéresse aux techniques liées à l installation d un équipement de réception de télévision numérique terrestre. Pour les aspects théoriques, on pourra utilement se référer
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Pour chaque partie, la grille permet d apprécier, selon quatre niveaux, les compétences développées dans le sujet par le candidat. Pour cela, elle s appuie sur des indicateurs traduisant
Plus en détailThe Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE
The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits
Plus en détailMETEO n 1. !"#$%$&$'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( (
n 1 "#%&'()*+,+ L atmosphère "#%&'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( ( *"+,-&&'%(./-&0,1/() Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES
CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailÉclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détail