Station urbaine - Lognes. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

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1 Station urbaine - Lognes La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

2 Sommaire 1 Généralités Le réseau de mesure en grande couronne francilienne La qualité de l'air en Seine-et-Marne Dioxyde d'azote Particules PM Particules fines PM Ozone Benzène Benzo(a)pyrène (BaP) Métaux (Plomb, arsenic, cadmium, nickel) Monoxyde de carbone (CO) et dioxyde de soufre (SO 2 ) Bilan de l indice de qualité de l'air Bilan des déclenchements de la procédure d information et d alerte à l échelle de la région Conclusions La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

3 LA QUALITE DE L'AIR EN SEINE-ET-MARNE EN Généralités Les conditions météorologiques de l année 2010 ont été plutôt favorables à la dispersion des polluants. Par rapport à 2009, où les conditions de dispersion étaient un peu moins favorables, les niveaux de pollution ont été légèrement en baisse pour la plupart des polluants. Ils étaient néanmoins supérieurs à ceux de 2008, qui fut une année particulièrement favorable à la dispersion (aucun dépassement de la procédure d information et d alerte n avait été enregistré en 2008). Au regard des normes européennes et françaises de la qualité de l'air, quelques polluants restent problématiques dans certaines zones d Ile-de-France, en raison du dépassement récurrent des seuils fixés par ces normes. Il s agit notamment du dioxyde d'azote, des particules (PM10 et PM2.5), du benzène et de l ozone. Le tableau des normes relatives à la qualité de l'air est présenté en annexe 1. Bilan météorologique de 2010 en Ile-de-France : Les mois d hiver en début et en fin d année 2010 ont été particulièrement froids et marqués par plusieurs épisodes neigeux. Le reste de l année a été relativement conforme aux moyennes saisonnières, en ensoleillement comme en précipitations. Bien que sans excès, l été a été plus chaud et ensoleillé en juin et juillet qu en août, aucun dépassement du seuil d information en ozone n a d ailleurs été enregistré en août. 2 Le réseau de mesure en grande couronne francilienne La carte ci-contre présente l implantation des stations de mesure en grande couronne. Le tableau suivant détaille les paramètres par station dans le département de la Seine-et- Marne, avec leur date d ouverture. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

4 Méthode et fréquence de mesure Station Typologie NOx PM10 PM2.5 O 3 SO 2 Lognes Urbaine 07/01/ /01/ /01/2004 Melun Périurbaine 19/11/ /09/ /04/1999 Zone rurale Sud-Est - Forêt de Fontainebleau Rurale régionale 01/07/ /03/ /06/ /05/2000 Zone rurale Nord-Est - Montgé-en-Goële Rurale régionale 15/05/1993 Zone rurale Est - Saints Rurale régionale 06/01/1999 RN6 Melun Trafic 05/01/ /01/ /01/2011 (1) (1) : paramètre ouvert en janvier Les résultats n'intègrent pas le bilan La définition des typologies des stations est présentée en annexe 2. Polluants mesurés - Dates d'ouverture 3 La qualité de l'air en Seine-et-Marne 3.1 Dioxyde d'azote Les émissions d oxydes d azote apparaissent dans toutes les combustions à haute température de combustibles fossiles (charbon, fuel, pétrole...). En Seine-et-Marne, comme en Ile-de-France, le secteur des transports est à l origine de près de 50% des émissions d oxydes d'azote 1. Les moteurs diesel en émettent davantage que les moteurs à essence catalysés. Le monoxyde d azote (NO) émis par les pots d échappement, oxydé par l ozone et les radicaux libres RO2, se transforme en dioxyde d azote (NO 2 ). Le tableau suivant présente les éléments statistiques pour le NO 2 dans le département de la Seine-et-Marne. Le glossaire est présenté en annexe 3. Concentrations en µg/m 3 POLLUANT DIOXYDE D'AZOTE (NO 2 ) et OXYDES D'AZOTE (NOx) Période Année civile 2010 NOx NO 2 Moy an Nbre D Nbre D STATIONS Date NOx H Moy an Max Date Max Date TR TR début équiv NO 2 H J max J H max H H H J H Directives européennes Niveau critique 30 µg/m3 (protection de la végétation) limite annuelle 40 µg/m3 limite horaire (18 dép.) d'alerte (3 heures. consécutives) Réglementation française Niveau critique 30 µg/m3 (protection de la végétation) limite annuelle 40 µg/m3 (Objectif de qualité 40 µg/m3) En situation de fond, les moyennes annuelles de NO 2 sont de : - 31 µg/m 3 sur la station urbaine de Lognes - 23 µg/m 3 sur la station périurbaine de Melun limite horaire (18 dép.) d'information d'alerte pour le jour J si dépassement 200 µg/m3 à J-1 et risque pour J+1 d'alerte (3 heures. consécutives) Urbaines et périurbaines (P) Lognes (1) 01-janv déc /04 24h % 98% Melun (P) (1) 01-janv déc /03 19h % 98% Moyenne agglomération parisienne NO Moyenne agglomération parisienne NOx Rurales régionales Zone rurale Sud-Est - Forêt de Fontainebleau (1) 01-janv déc 71 27/01 19h % 99% Zone rurale Nord-Est - Montgé-en-Goële Zone rurale Est - Saints Trafic MESURES CONTINUES RN6 Melun (1) 01-janv févr /02 18h % 98% Italique : TR < 90% (directives européennes) nr : TR < 75% ou élément non représentatif (1) : Automatique, horaire. 1 Airparif - Bilan des émissions pour le département de la Seine-et-Marne Rendu 2010 (Données de Base année 2007) Décembre 2010 La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

5 - 11 µg/m 3 sur la station rurale régionale de la forêt de Fontainebleau Elles sont inférieures à la valeur limite annuelle et à l objectif de qualité (40 µg/m 3 en moyenne annuelle). La valeur limite horaire (maximum de 18 dépassements de 200 µg/m 3 en moyenne horaire) a été respectée sur tous les sites de fond du département. Le seuil de 200 µg/m 3 en moyenne horaire, dont le dépassement est autorisé jusqu à 18 fois par an, n a été dépassé sur aucune de ces stations. Les moyennes des stations de fond du département sont inférieures à la moyenne de l ensemble des stations de l agglomération parisienne (33 µg/m 3 ). C est le cas pour l ensemble des départements de grande couronne, alors qu en petite couronne, les moyennes sont plus proches, voire légèrement supérieures à la moyenne de l agglomération. En effet, le dioxyde d'azote est un polluant pour lequel les concentrations ont tendance à diminuer à mesure que l on s éloigne du centre de l agglomération, et lorsque l on s éloigne des axes de trafic routier. En situation de proximité au trafic automobile, le NO 2 est mesuré dans le département sur une station en bordure de la RN6 à Melun (environ véhicules par jour). La moyenne annuelle est de 51 µg/m 3. Elle est supérieure à la valeur limite annuelle et l objectif de qualité (40 µg/m 3 en moyenne annuelle), comme toutes les stations de proximité au trafic automobile de toute la région. Par contre, elle est inférieure à la valeur limite horaire (maximum de 18 dépassements de 200 µg/m 3 en moyenne horaire). Ce seuil, dont le dépassement est autorisé jusqu à 18 fois par an, n a pas été atteint une seule fois en 2010 sur cette station trafic. Pour comparaison, il a été dépassé une dizaine de fois sur certaines stations trafic de Paris, et plus de 300 fois sur la station du boulevard périphérique Auteuil (ce site supporte un trafic de plus de véhicules par jour). En situation de fond, les moyennes annuelles d oxydes d'azote (NOx) sont de 47 µg/m 3 et 32 µg/m 3 à Lognes et à Melun, pour une moyenne de 50 µg/m 3 sur l ensemble de l agglomération. Elle est de 13 µg/m 3 en zone rurale, en forêt de Fontainebleau. Le seuil du niveau critique pour la protection de la végétation (30 µg/m 3 ), qui s applique aux stations en dehors de l agglomération, n est pas dépassé en Seine-et-Marne. En situation de proximité au trafic, la moyenne de NOx en bordure de la RN6 à Melun est de 157 µg/m 3. Les cartes ci-dessous représentent, à l échelle de la grande couronne, la répartition spatiale des concentrations annuelles de NO 2, en µg/m 3 en 2010 et les 3 années précédentes µg/m limite annuelle (40 µg/m 3 ) Il y apparait clairement que les concentrations sont sensiblement plus élevées aux abords des axes de circulation, et que la valeur limite annuelle est fréquemment dépassée près des axes à fort trafic, voire dans certaines zones du centre de l agglomération. Malgré une légère diminution des niveaux, le motif global reste identique d année en année. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

6 Mérthode de mesure 3.2 Particules PM10 Les émetteurs de particules en suspension sont nombreux et variés : transport routier, combustion industrielle, chauffage urbain, incinération des déchets... Certaines particules dites secondaires se forment à partir d'autres polluants. En Ile-de-France, les principaux secteurs d'émission des particules de diamètre inférieur à 10 µm (PM10) sont les secteurs du transport routier, du résidentiel-tertiaire, et de l'industrie, en proportions à peu près équivalentes (25 à 30%). En Seine-et-Marne, les émissions liées à ces secteurs d activité sont respectivement de 12%, 26% et 34%. Le tableau suivant présente les éléments statistiques pour les particules PM10 dans le département de la Seine-et-Marne (glossaire en annexe 3). Concentrations en µg/m 3 POLLUANT PARTICULES : PM10 Période Année civile 2010 Nbre D Nbre D Nbre D STATIONS Date Moy an Max Date Max Date TR TR début H J max J H max H J J J J H Directives européennes limite annuelle 40 µg/m3 limite journalière (35 dep.) Réglementation française limite annuelle 40 µg/m3 Objectif de qualité 30 µg/m3 d'information limite journalière (35 dep.) d'alerte Urbaines et périurbaines (P) Lognes (1) 01-janv janv /01 2h % 96% Melun (P) (2) 01-janv 24 (3) janv /01 18h % 91% Moyenne agglomération parisienne PM Rurales régionales Zone rurale Sud-Est - Forêt de Fontainebleau (2) 01-janv janv /04 11h % 96% Zone rurale Nord-Est - Montgé-en-Goële Zone rurale Est - Saints Trafic RN6 Melun (2) 01-janv févr /02 19h % 93% Italique : TR < 90% (directives européennes) nr : TR < 75% ou élément non représentatif (1) : FDMS (2) : PM10 ajusté (3) : Fermeture du paramètre au 13/12/2010 pour problème d'alimentation électrique. En situation de fond, les moyennes annuelles de particules PM10 sont de : - 23 µg/m 3 sur la station urbaine de Lognes - 24 µg/m 3 sur la station périurbaine de Melun - 22 µg/m 3 sur la station rurale régionale de la forêt de Fontainebleau Elles sont inférieures à la valeur limite annuelle (40 µg/m 3 en moyenne annuelle) et à l objectif de qualité (30 µg/m 3 en moyenne annuelle). Elles sont également très inférieures à la valeur limite journalière (maximum de 35 dépassements de 50 µg/m 3 en moyenne journalière) : le seuil de 50 µg/m 3 en moyenne journalière a été dépassé entre 9 et 13 fois selon les stations. La moyenne de chacune des trois stations est un peu inférieure à celle de l ensemble des stations de l agglomération. On notera que, contrairement au NO 2, essentiellement d origine automobile, les écarts de PM10 sont faibles entre l agglomération et la zone rurale. En effet, la diversité des sources de particules induit un niveau d émissions non négligeable dans ces dernières zones. En situation de proximité au trafic, la moyenne annuelle sur la station RN6 Melun est de 34 µg/m 3 : elle est supérieure à l objectif de qualité (30 µg/m 3 en moyenne annuelle), mais inférieure à la valeur limite annuelle (40 µg/m 3 en moyenne annuelle). Cette dernière est dépassée sur toutes les stations trafic de Paris et petite couronne, plus proches du centre de l agglomération. La valeur limite journalière (maximum de 35 dépassements de 50 µg/m 3 en moyenne journalière) a été dépassée sur la station trafic du département : le La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

7 seuil de 50 µg/m 3 en moyenne journalière a été dépassé 45 fois. Cette valeur limite journalière a été dépassée sur toutes les stations trafic d Ile-de-France. Les cartes ci-dessous représentent, à l échelle de la grande couronne, la répartition spatiale des concentrations annuelles de particules PM10, en µg/m µg/m 3 limite annuelle (40 µg/m 3 ) 2009 Objectif de qualité (30 µg/m 3 ) Les cartes suivantes illustrent, à l échelle de l Ile-de-France, le risque de dépassement de la valeur limite journalière (35 jours dépassant 50 µg/m 3 ) Risque de dépassement des 35 jours supérieurs ou égaux à 50 µg/m 3 en PM10 Dépassement certain Dépassement vraisemblable Dépassement peu probable Aucun risque La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

8 Le tracé des axes à forte circulation apparait clairement sur les cartes. C est aux abords de ces axes que les concentrations sont les plus élevées, et que le dépassement des seuils est le plus fréquent. Des variations interannuelles apparaissent également sur l historique des cartes : au cours des 4 dernières années, les niveaux étaient sensiblement les plus faibles en 2008, et les plus élevés en 2007, en conséquence des variations météorologiques d une année à l autre. En 2010 et en 2008, le risque de dépassement de la valeur limite journalière est vraisemblable à proximité des grands axes du centre de l agglomération, et peu probable sur les grands axes de grande couronne. En 2009, et davantage encore en 2007, le dépassement de la valeur limite journalière est vraisemblable sur un grand nombre d axes de l agglomération parisienne mais aussi en situation de fond dans certaines zones du cœur dense de l agglomération parisienne. 3.3 Particules fines PM2.5 Jusqu en 2010, les stations du département n étaient pas équipées de mesures de PM2.5. Le programme de surveillance de la qualité de l'air 2 prévoit un renforcement de ces mesures au niveau régional. Dans ce cadre, la station de proximité au trafic automobile RN6 Melun est équipée d un analyseur de PM2.5 depuis le 6 janvier Ses résultats n intègrent pas le bilan Une autre station trafic a été équipée le 1 er janvier 2011, en bordure de l autoroute A1 à Saint-Denis (93). Pour information, en situation de fond, la moyenne annuelle de l agglomération, issue des mesures des quatre stations urbaines de Paris et de petite couronne, est de 18 µg/m 3. Ces éléments permettent d estimer que le niveau moyen annuel de PM2.5 en Seine-et-Marne serait du même ordre de grandeur, décroissant légèrement en s éloignant de l agglomération. Par rapport aux normes de qualité de l'air énoncées dans la directive européenne 2008/50/CE du 21 mai 2008, cette moyenne de 18 µg/m 3 est inférieure à la valeur limite annuelle applicable en 2010 (29 µg/m 3 ) et à la valeur cible (25 µg/m 3 ). Par rapport aux normes de qualité de l'air énoncées dans le décret d application du 21 octobre 2010, cette même moyenne est inférieure à la valeur limite annuelle applicable en 2010 (29 µg/m 3 ) et à la valeur cible (20 µg/m 3 ), mais elle est supérieure à l objectif de qualité dont le seuil est fixé à 10 µg/m 3 en moyenne annuelle. En situation de proximité au trafic automobile, il y a en 2010 une station équipée d une mesure de particules PM2.5 en Ile-de-France. Cette station se trouve à Paris en bordure du boulevard périphérique. A titre d information, sa moyenne est de 30 µg/m 3, donc supérieure à tous les seuils de qualité de l'air énoncés cidessus. Dans les départements de petite couronne, où des mesures de PM2.5 sont réalisées, la valeur limite et la valeur cible sont respectées en situation de fond, mais pas en situation de proximité au trafic automobile sur le boulevard périphérique parisien. L objectif de qualité n est pas respecté dans les 2 cas. 2 Airparif Programme de surveillance de la qualité de l'air en Ile-de-France Octobre 2010 La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

9 Les cartes de concentrations ci-dessous, établies à l aide d outils géostatistiques, représentent, à l échelle de la grande couronne, la répartition spatiale des concentrations annuelles de particules PM2.5, en µg/m µg/m 3 limite annuelle 2010 (29 µg/m 3 ) cible 2010 Eu (25 µg/m 3 ) 2010 cible 2010 Fr (20 µg/m 3 ) 2009 Objectif de qualité (10 µg/m 3 ) Ces cartes ont un caractère indicatif ; en effet, en raison du nombre limité de points de mesures de PM2.5, elles sont estimées à partir des cartographies de PM10. La cohérence des résultats est vérifiée par rapport aux observations des points de mesure PM2.5. Elles permettent néanmoins d estimer les niveaux sur l ensemble de la région. C est aux abords des axes de circulation que les concentrations sont les plus élevées. Comme pour les PM10, les niveaux plus faibles au cours de l année 2008 apparaissent clairement sur l historique des cartes. Concernant l objectif de qualité (10 µg/m 3 ), les cartes montrent que ce seuil est dépassé en tout point de la région. 3.4 Ozone L ozone protège les organismes vivants en absorbant une partie des UV dans la haute atmosphère. Mais à basse altitude, ce gaz est nuisible si sa concentration augmente trop fortement. C est le cas suite à des réactions chimiques impliquant le dioxyde d azote et les hydrocarbures (polluants d origine automobile). L ozone est mesuré uniquement en situation de fond, sur des stations de typologie urbaine, périurbaine ou rurale régionale (Cf. typologie des stations de mesure en annexe 2). Sa mesure en situation de proximité est peu utile car il est rapidement consommé par le monoxyde d'azote (NO), polluant primaire émis en quantité importante par le trafic automobile. Les tableaux suivants présentent les éléments statistiques pour l ozone dans le département de la Seine-et- Marne (glossaire en annexe 3). En situation de fond, les moyennes annuelles d ozone sur le département sont de 42 µg/m 3 et 44 µg/m 3 respectivement sur la station urbaine de Lognes et la station périurbaine de Melun. C est plus que La moyenne de l ensemble des stations de l agglomération (41 µg/m 3 ). La moyenne annuelle est encore plus élevée en zone rurale : - 51 µg/m 3 en forêt de Fontainebleau (zone rurale sud-est) - 54 µg/m 3 à Montgé-en-Goële (zone rurale nord-est) La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

10 - 48 µg/m 3 à Saints (zone rurale est) A l inverse des polluants précédents, les concentrations d ozone ont tendance à augmenter à mesure que l on s éloigne du centre de l agglomération (effet de titration par le monoxyde d'azote, fortement émis dans le centre de l agglomération ; temps de formation de l ozone). Concentrations en µg/m 3 POLLUANT OZONE (O 3 ) Période Année civile 2010 Nbre J Nbre J Nbre J Moy AOT40 AOT40 Nbre D Nbre D Nbre D Nbre D avec avec avec TR TR STATIONS Date an AOT40 végétation végétation Max Date H 3H 3H AOT40 AOT40 TR début H forêt H max H H H H H >=180 >=240 >=300 forêt végétation H Directives européennes Objectif à long terme 6000 µg/m3.h cible µg/m3.h (1) d'alerte d'information 3h consécutives Réglementation française Objectif de qualité pour la végétation 6000 µg/m3.h cible pour la végétation µg/m3.h (1) d'information d'alerte 1 3h consécutives d'alerte protection sanitaire 1h d'alerte 2 3h consécutives d'alerte 3 1h Urbaines et périurbaines (P) Lognes 01-janv /7 17h % 98% 99% Melun (P) 01-janv /6 11h % 99% 98% Moyenne agglomération parisienne O Rurales régionales Zone rurale Sud-Est - Forêt de Fontainebleau 01-janv /6 17h % 99% 99% Zone rurale Nord-Est - Montgé-en-Goële 01-janv /7 17h % 99% 99% Zone rurale Est - Saints 01-janv /7 17h % 98% 99% Trafic RN6 Melun Italique : TR < 90% (directives européennes) nr : TR < 75% ou élément non représentatif (1) : En moyenne sur 5 ans Concentrations en µg/m 3 POLLUANT OZONE (O 3 ) Période Année civile 2010 Nbre D avec avec TR TR STATIONS Date Max Date Max Date 120 8H>=120 8H>=120 hiver été TR TR début J max J 8H max 8H 8H H H J 8H Nbre J Nbre J Directives européennes Objectif à long terme (0 j.) cible (25 j.)(1) Réglementation française Objectif de cible pour qualité pour la santé la santé (0 j.) (25 j.)(1) Urbaines et périurbaines (P) Lognes 01-janv juin 179 8/ h % 98% 100% 99% Melun (P) 01-janv juin /6 9-17h % 98% 98% 99% Rurales régionales Zone rurale Sud-Est - Forêt de Fontainebleau 01-janv juin / h % 99% 99% 99% Zone rurale Nord-Est - Montgé-en-Goële 01-janv juil 191 8/ h % 100% 99% 99% Zone rurale Est - Saints 01-janv juin 146 8/ h % 99% 100% 100% Trafic RN6 Melun Italique : TR < 90% (directives européennes) nr : TR < 75% ou élément non représentatif (1) : En moyenne sur 3 ans Les normes de qualité de l'air relatives à l ozone ne s appliquent pas à la moyenne annuelle, mais aux paramètres suivants (Cf. définition des moyennes sur 8 heures et des AOT40 en annexe 3, et normes associées en annexe 1) : La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

11 - Objectif de qualité et valeur cible pour la protection de la santé : o de 120 µg/m 3 en moyenne 8 heures, à ne pas dépasser en cours d année. o de 120 µg/m 3 en moyenne 8 heures, à ne pas dépasser plus de 25 jours en moyenne sur 3 ans. - Objectif de qualité et valeur cible pour la protection de la végétation : o AOT40 végétation (6000 µg/m 3.h), à ne pas dépasser en cours d année. o AOT40 végétation 5 ans (18000 µg/m 3.h en moyenne sur 5 ans), à ne pas dépasser en moyenne sur 5 ans. Pour la protection de la santé, l objectif de qualité (seuil de 120 µg/m 3 en moyenne 8 heures à ne pas dépasser en cours d année) est dépassé sur les 5 stations de fond du département, de même que sur toutes les stations franciliennes. Il est dépassé au cours de 13 à 22 journées selon les stations. Par contre, la valeur cible (seuil de 120 µg/m 3 en moyenne 8 heures, à ne pas dépasser plus de 25 jours en moyenne sur 3 ans) est respectée sur le département, de même que sur l ensemble de la région Ile-de-France : le nombre de jours de dépassement de ce seuil en moyenne sur est de 9 à 16 selon les stations. Pour la végétation, l objectif de qualité (6000 µg/m 3.h) est dépassé sur les 5 stations de fond du département, mais également sur toutes les stations franciliennes. Par contre, la valeur cible (18000 µg/m 3.h en moyenne sur 5 ans) est respectée sur le département, de même que sur l ensemble de la région Ile-de-France. Il y a à l échelle de la région un dépassement récurrent de l objectif de qualité en ozone, tant pour la santé que pour la végétation. Les cartes ci-dessous représentent le nombre de jours de dépassement du seuil de 120 µg/m 3 sur 8 heures (objectif de qualité : seuil à ne pas dépasser en cours d année). Nombre de jours de dépassement de 120 8h La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

12 Les cartes ci-dessous représentent, en moyenne sur 3 ans, le nombre de jours de dépassement du seuil de 120 µg/m 3 sur 8 heures (valeur cible : seuil à ne pas dépasser plus de 25 jours en moyenne sur 3 ans). Nombre de jours de dépassement de 120 8h (moyenne sur 3 ans) cible : 25 jours en moyenne sur 3 ans Benzène Le benzène est un hydrocarbure aromatique monocyclique. C est un des traceurs de la pollution atmosphérique liée aux carburants routiers. Les moteurs à essence en émettent davantage que les moteurs diesel. Son caractère primaire engendre des niveaux en situation de proximité au trafic sensiblement plus importants qu en situation de fond. Compte tenu des faibles niveaux en situation de fond, et du nombre de points de mesure préconisé par la réglementation, plusieurs départements de la grande couronne, dont la Seine-et-Marne, ne sont pas équipés de mesure du benzène. En l absence de site de mesure, la moyenne annuelle peut être estimée en tout point de la région à l aide des cartes de concentrations ci-après, établies à l aide d outils géostatistiques. Ces éléments permettent d estimer que le niveau moyen annuel de benzène en Seine-et-Marne, en situation de fond, est inférieur à la valeur limite annuelle (5 µg/m 3 en moyenne annuelle), et à l objectif de qualité (2 µg/m 3 en moyenne annuelle). Pour information, la moyenne annuelle de l agglomération, issue des mesures des stations de fond existantes, est de 1.3 µg/m 3. En situation de proximité au trafic automobile, les cartes de concentrations annuelles (page suivante) montrent qu à proximité des grands axes de trafic, les moyennes se situent entre l objectif de qualité et la valeur limite. A titre d information, sur le site RN20 Montlhéry (91), la moyenne annuelle est de 2.4 µg/m 3. Elle dépasse l objectif de qualité, mais reste inférieure à la valeur limite annuelle. Les normes européennes et françaises de qualité de l'air relatives au benzène sont respectées en situation de fond. En situation de proximité au trafic automobile, seule la valeur limite annuelle est respectée. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

13 Les cartes ci-dessous représentent, à l échelle de la région, la répartition spatiale des concentrations annuelles de benzène, en µg/m µg/m Objectif de qualité (2 µg/m 3 ) D une manière générale, les concentrations sont plus élevées à proximité des axes de circulation, et plus particulièrement près des axes parisiens où la densité des émissions est plus importante : configuration des axes, congestion du trafic, densité des émissions, proportion de moteurs froids 3.6 Benzo(a)pyrène (BaP) Le benzo(a)pyrène est l un des douze hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) mesurés sur le réseau francilien. Il est utilisé comme traceur du risque cancérogène lié aux HAP. Il est émis entre autres par le goudron de houille et ses dérivés, certains bitumes, la combustion de la biomasse (chauffage au bois notamment). Compte tenu des faibles niveaux de ce polluant en situation de fond, et du nombre de points de mesure préconisé par la réglementation, les départements de la grande couronne ne sont pas équipés de mesure du benzo(a)pyrène. Les mesures en réseau fixe sont complétées par des campagnes de mesures ponctuelles, afin de vérifier les niveaux par rapport aux seuils d évaluation, notamment dans des secteurs où les émissions pourraient potentiellement être supérieures à celles du fond moyen urbain de l agglomération (certaines zones industrielles, zones résidentielles où le chauffage au bois, émetteur de BaP, est couramment utilisé ). Compte tenu des outils actuellement disponibles, les concentrations de BaP ne peuvent pas être cartographiées. Pour information, en situation de fond, la moyenne de l ensemble des stations de l agglomération parisienne est de 0.26 ng/m 3, donc très inférieure à la valeur cible (1 ng/m 3 en moyenne annuelle). En situation de proximité au trafic automobile, le BaP est mesuré sur une station d Ile-de-France, située en bordure du boulevard périphérique, porte d Auteuil. Pour information, la moyenne annuelle sur cette station est de 0.41 ng/m 3, ce qui reste très inférieur à la valeur cible. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

14 3.7 Métaux (Plomb, arsenic, cadmium, nickel) Compte tenu des niveaux moyens des métaux inférieurs au seuil d évaluation minimum, la mesure en station fixe n est plus obligatoire en Ile-de-France. Afin de documenter a minima les niveaux régionaux, la surveillance est assurée à l aide d un site de mesure fixe de référence, et de campagnes de mesure temporaires dans les zones habitées autour des différents sites industriels de la région, potentiellement émetteurs de métaux. Cette démarche permet de s assurer qu il n y a pas de zone où les niveaux seraient supérieurs aux seuils d évaluation. La station de mesure fixe est située au cœur de l agglomération, à Paris centre. Pour information, les moyennes annuelles en 2010 sont : - Plomb : 0.01 µg/m 3 (valeur limite annuelle : 0.5 µg/m 3, objectif de qualité : 0.25 µg/m 3 ) - Arsenic : 0.43 ng/m 3 (valeur cible : 6 ng/m 3 ) - Cadmium : 0.24 ng/m 3 (valeur cible : 5 ng/m 3 ) - Nickel : 2.01 ng/m 3 (valeur cible : 20 ng/m 3 ) Les moyennes annuelles des quatre métaux mesurés sont très inférieures à l objectif de qualité et aux valeurs cibles. 3.8 Monoxyde de carbone (CO) et dioxyde de soufre (SO 2 ) Ces deux polluants, qui affichent des niveaux très faibles en Ile-de-France, sont très inférieurs aux seuils d évaluation fixés par la réglementation. De ce fait, leur mesure n est pas obligatoire. Afin d être documentés a minima, ils sont mesurés sur un nombre très réduit de stations. En Seine-et-Marne, le SO 2 est mesuré sur la station rurale régionale de la forêt de Fontainebleau, dans le cadre de la surveillance visant à la protection de la végétation et des écosystèmes naturels. Concentrations en µg/m 3 POLLUANT DIOXYDE DE SOUFRE (SO 2 ) Période Année civile 2010 Moy Nbre D Nbre D Nbre D Nbre D STATIONS Date an. Max Date Max Date TR TR début H J max J H max H J H H H J H Directives européennes Niveau critique (Protection de la végétation) 20 µg/m3 limite journalière ( 3 dép.) limite horaire (24 dép.) d'alerte (3 heures. consécutives) Réglementation française Urbaines et périurbaines (P) Lognes Melun (P) Objectif de qualité 50 µg/m3 Niveau critique (Protection de la végétation) 20 µg/m3 limite journalière ( 3 dép.) d'information limite horaire (24 dép.) d'alerte (3 heures. consécutives) Moyenne agglomération parisienne SO Rurales régionales Zone rurale Sud-Est - Forêt de Fontainebleau 01-janv mars 14 19/4 11h % 96% Zone rurale Nord-Est - Montgé-en-Goële Zone rurale Est - Saints Trafic RN6 Melun Italique : TR < 90% (directives européennes) nr : TR < 75% ou élément non représentatif La moyenne annuelle de SO 2 en forêt de Fontainebleau est de 1 µg/m 3. L objectif de qualité (50 µg/m 3 en moyenne annuelle) est largement respecté, de même que le niveau critique pour la protection de la végétation (20 µg/m 3 en moyenne annuelle). La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

15 La réglementation définit également pour le SO 2 un niveau critique hivernal pour la protection de la végétation et des écosystèmes (20 µg/m 3 en moyenne hivernale : du 1 er octobre au 31 mars de l année suivante). La moyenne hivernale du 1 er octobre 2009 au 31 mars 2010 a été de 1 µg/m 3, le niveau critique hivernal est donc aussi respecté. Pour information : En proximité au trafic automobile, la moyenne annuelle de SO 2, sur le seul site francilien (boulevard périphérique, Auteuil), est également de 2 µg/m 3. Pour le CO, qui n est pas mesuré dans le département, à l échelle de l agglomération, la moyenne annuelle de fond est de 300 µg/m 3. Le maximum sur 8 heures est en moyenne de 1400 µg/m 3, donc très inférieur à la valeur limite (10000 µg/m 3 en moyenne sur 8 heures). En proximité au trafic automobile, la moyenne annuelle est comprise entre 400 et 800 µg/m 3. Le maximum sur 8 heures est compris entre 1500 et 2300 µg/m 3, donc très inférieur à la valeur limite. 4 Bilan de l indice de qualité de l'air Le graphique suivant représente la répartition de l indice ATMO sur le département de la Seine-et-Marne en La qualité de l'air sur le département a été globalement bonne avec 152 jours d indice 3 et 128 jours d indice 4, soit plus de 75% du temps, et 20 jours d indice 2 (très bon). Les indices 8, 9 et 10 (mauvais à très mauvais) n ont pas été atteints. 10 Très mauvais 9 Mauvais 8 Mauvais 7 Médiocre 6 Médiocre 5 Moyen 4 Bon 3 Bon 2 Très bon 1 Très bon La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

16 Nombre de jours 5 - Bilan des déclenchements de la procédure d information et d alerte à l échelle de la région Du 1er janvier 1998 au 31 décembre 2010 pour NO 2, SO 2 et O 3 (dépassements simulés du 01/01/1998 au 31/07/2005) Du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2010 pour PM10 (dépassements simulés du 01/01/2006 au 31/12/2007) Nombre de jours d'information en Ile-de-France par polluant et par année O3 NO2 SO2 PM En termes de déclenchements de la procédure d information et d alerte en Ile-de-France, l année 2010 a été plutôt moyenne : - Les déclenchements relatifs aux particules ont été 2 à 3 fois moins nombreux qu en 2009, et 4 à 5 fois moins qu en Les déclenchements relatifs au NO 2 et à l ozone sont relativement stables en 2010, 2009 et Rappelons que 2008 a été une année exceptionnelle où aucun des 4 polluants n a dépassé les seuils d information. - Depuis 1998, aucun dépassement pour le SO 2 n a eu lieu en Ile-de-France. En 2010, plusieurs stations de mesure du département de Seine-et-Marne ont dépassé les seuils des polluants de l alerte lors des journées de dépassement, notamment : - Lognes en PM10 les 8 et 27 janvier, en ozone le 8 juillet, - Zone rurale nord-est en ozone le 8 juillet. Les 2 cartes ci-après montrent, pour illustration, la répartition régionale des concentrations en ozone les 7 et 8 juillet, et l augmentation progressive des concentrations d ozone sur le département lors de ces 2 jours. µg/m 3 La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

17 6 Conclusions L année 2010 a été une année moyenne du point de vue de la qualité de l'air, tout comme sur le plan météorologique. A l échelle de l Ile-de-France, le dioxyde d'azote, les particules, le benzène et l ozone dépassent chaque année certains des seuils définis par la réglementation européenne et française. Pour le dioxyde d'azote, les particules et le benzène, les dépassements sont observés essentiellement en situation de proximité au trafic automobile, plus rarement en situation de fond. Les dépassements en ozone, s ils sont généralement plus importants en zone rurale, existent aussi au cœur de l agglomération parisienne. Des polluants comme le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre ne sont plus du tout problématiques en Ile-de-France. Leurs concentrations sont très faibles et les moyennes très inférieures aux seuils réglementaires. En Seine-et-Marne, les mesures des différents polluants en situation de fond sont comparables à celles des autres départements de grande couronne. Les moyennes annuelles de dioxyde d'azote du département (polluant essentiellement lié au trafic routier) sont inférieures à la moyenne de l ensemble des stations de l agglomération parisienne, de même pour les particules et le benzène. A l inverse, les niveaux d ozone sont supérieurs à ceux de l agglomération. Les dépassements des seuils réglementaires annuels (valeurs limites, valeurs cibles, objectifs de qualité) pour les différents polluants sont comparables à ceux des autres départements. Pour les particules et le benzène, les seuils réglementaires ne sont dépassés qu en situation de proximité au trafic, à l exception de l objectif de qualité pour les particules PM2.5, qui est dépassé en trafic et en fond dans toute la région. Les niveaux de SO 2 sont très inférieurs aux seuils réglementaires, comme dans toute l Ile-de-France. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

18 ANNEXE 1 NORMES DE QUALITE DE L'AIR FRANCAISES (F) ET EUROPEENNES (E) applicables pour l'année 2010 Polluant Dioxyde d'azote (NO 2 ) Dioxyde de soufre (SO 2 ) d'information F6, F7, F9, F13, F15 : 200 µg/m3 moyenne horaire F6, F7, F9, F13, F15 : 300 µg/m3 moyenne horaire s d'alerte F7, F9, F13, F15 : 400 µg/m3 moyenne horaire (200 µg/m3 à J E1, E5, F7, F9, F13, F15, : 500 µg/m3 moyenne horaire si dépassement J-1 et risque J+1) (3 heures consécutives) E1, E5, F15 : 400 µg/m3 moyenne horaire (3 heures consécutives) s limites E1, E5, F15 : 200 µg/m3 moyenne horaire (18 dépassements/année civile) E1, E5, F15 : 350 µg/m3 moyenne horaire (24 dépassements/année civile) E1, E5, F7, F15 : 40 µg/m3 moyenne annuelle civile E1, E5, F15 : 125 µg/m3 moyenne journalière (3 dépassements/année civile) F7, E1 : écosystèmes : 20 µg/m3 moyenne année civile et hiver Objectif de qualité (F) F7, F15 : 40 µg/m3 moyenne année civile F7 : 50 µg/m3 moyenne année civile Niveau critique E5, F15 : écosystèmes : 20 µg/m3 moyenne année civile et hiver Polluant limite Niveau critique Oxydes d'azote (NOx) E1, F7 : 30 µg/m3 équivalent NO2 moyenne année civile E5, F15 : 30 µg/m3 équivalent NO2 moyenne année civile Polluant Ozone (O 3 ) Plomb (Pb) d'information E3, E5, F6, F8, F9, F13, F15 : 180 µg/m3 moyenne horaire E3, E5, F15 : 240 µg/m3 moyenne horaire (1) E3, E5 : 240 µg/m3 moyenne horaire (3 heures consécutives) s d'alerte F8, F9, F13, F15 : 1er seuil : 240 µg/m3 moyenne horaire (3 heures consécutives) 2ème seuil : 300 µg/m3 moyenne horaire (3 heures consécutives) 3ème seuil : 360 µg/m3 moyenne horaire limite E5, F7, F15, E1 : 0,5 µg/m3 moyenne année civile s cibles E3, E5, F14, F15 : 120 µg/m3 moyenne 8 heures (santé) à ne pas dépasser plus de 25 jours en moyenne sur 3 années civiles F7 : 0,25 µg/m3 moyenne année civile E3, E5, F14, F15 : AOT40 végétation (mai à juillet) = µg/m3.h calculé en moyenne sur 5 ans Objectifs de qualité (F) F10, F15 : 120 µg/m3 pour le maximum journalier de la moyenne 8 heures, sur une année civile (santé) F15 : 0,25 µg/m3 moyenne année civile F10, F15 : AOT40 végétation = 6000 µg/m3.h calculé sur la période de mai à juillet Objectifs à long terme (E) E3, E5 : 120 µg/m3 moyenne 8 heures (santé) E3, E5 : AOT40 végétation = 6000 µg/m3.h calculé sur la période de mai à juillet Polluant Particules inférieures à 10 µm (PM10) Particules inférieures à 2,5 µm (PM2.5) d'information F11, F13 : 80 µg/m3 en moyenne 24 heures F15 : 50 µg/m3 en moyenne 24 heures (1) d'alerte F11, F13 : 125 µg/m3 en moyenne 24 heures F15 : 80 µg/m3 en moyenne 24 heures (1) s limites E1, E5, F15 : 50 µg/m3 moyenne journalière (35 dépassements/année civile) E5, F15 : 29 µg/m3 moyenne année civile E1, E5, F7, F15 : 40 µg/m3 moyenne année civile 2015 : 25 µg/m3 moyenne année civile 2020 : 20 µg/m3 moyenne année civile s cibles E5 : 25 µg/m3 moyenne année civile F15 : 20 µg/m3 moyenne année civile Objectif de qualité (F) F7, F15 : 30 µg/m3 moyenne année civile F15 : 10 µg/m3 moyenne année civile Obilgation en matière de concentration d'exposition (F) F15 : 2020 : 20 µg/m3 moyenne année civile Polluant Monoxyde de carbone (CO) Benzène limite E2, E5, F7, F15 : µg/m3 moyenne 8 heures E2, E5, F7, F15 : 5 µg/m3 moyenne année civile Objectif de qualité (F) F7, F15 : 2 µg/m3 moyenne année civile Polluant Arsenic (As) Nickel (Ni) cible E4, F14, F15 : 6 ng/m3 moyenne année civile (contenu total de la fraction PM10) E4, F14, F15 : 20 ng/m3 moyenne année civile (contenu total de la fraction PM10) Polluant Cadmium (Cd) Benzo(a)pyrène (BaP) cible E4, F14, F15 : 5 ng/m3 moyenne année civile (contenu total de la fraction PM10) E4, F14, F15 : 1 ng/m3 moyenne année civile (contenu total de la fraction PM10) Année civile = du 1er janvier au 31 décembre Hiver = du 1er octobre au 31 mars Directives de l'union Européenne E1-Directive 1999/30/CE du 22 avril 1999 relative à la fixation de valeurs limites pour l'anhydride sulfureux, le dioxyde d'azote et les oxydes d'azote, les particules et le plomb dans l'air ambiant. (2) E2-Directive 2000/69/CE du 16 novembre 2000 concernant les valeurs limites pour le benzène et le monoxyde de carbone dans l'air ambiant. (2) E3-Directive 2002/3/CE du 12 février 2002 relative à l'ozone dans l'air ambiant. (2) E4-Directive 2004/107/CE du 15 décembre 2004 concernant l'arsenic, le cadmium, le mercure, le nickel et les hydrocarbures aromatiques polycycliques dans l'air ambiant. E5-Directive 2008/50/CE du 21 mai 2008 concernant la qualité de l'air ambiant et un air pur pour l'europe. Réglementation française F6-Arrêté du 17 août 1998 relatif aux seuils de recommandation et aux conditions de déclenchement de la procédure d'alerte. F7-Décret n du 15 février 2002 portant transposition des directives 1999/30/CE du 22 avril 1999 et 2000/69/CE du 16 novembre 2000 et modifiant le décret n du 6 mai F8-Décret n du 12 novembre 2003 portant transposition de la directive 2002/3/CE du 12 février 2002 et modifiant le décret n du 6 mai F9-Circulaire du 18 juin 2004 relative aux procédures d'information et de recommandation et d'alerte et aux mesures d'urgence. F10-Décret n du 12 octobre 2007 relatif à la qualité de l'air et modifiant le code de l'environnement (partie réglementaire). F11-Circulaire du 12 octobre 2007 relative à l'information du public sur les particules en suspension dans l'air ambiant. F12-Arrêté du 25 octobre 2007 modifiant l'arrêté du 17 mars 2003 relatif aux modalités de surveillance de la qualité de l'air et à l'information du public (ajoutant entre autres la référence à la directive européenne 2004/107/CE concernant l'arsenic, le cadmium, le mercure, le nickel et les hydrocarbures aromatiques polycycliques, pas de correspondance aux valeurs cibles). F13-Arrêté n du 3 décembre 2007 relatif à la procédure d'information et d'alerte du public en cas de pointe de pollution atmosphérique en Ile-de-France. F14-Décret n du 7 novembre 2008 relatif à la qualité de l'air. F15-Décret du 21 octobre 2010 relatif à la qualité de l'air F16-Arrêté du 21 octobre 2010 relatif aux modalités de surveillance de la qualité de l'air et à l'information du public. (1) : Ces seuils d'information et d'alerte (pour O3 et PM10) ne sont pas encore transcrits dans l'arrêté interpréfectoral, et donc non encore appliqués. (2) : Ces 3 directives ont été abrogées à partir du 11 juin Certains points restent applicables jusqu'au 31 décembre La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

19 ANNEXE 2 TYPOLOGIE DES STATIONS DE MESURE Stations urbaines et périurbaines Ces stations ne sont pas directement influencées par une source locale identifiée. Elles permettent une mesure d'ambiance générale de la pollution urbaine, dite de fond, représentative d'un large secteur géographique autour d'elles. Les stations urbaines sont situées dans l'agglomération, les stations périurbaines à sa périphérie. Stations rurales régionales Ces stations ne sont pas directement influencées par une source locale identifiée. Elles caractérisent l'ambiance de la pollution de fond des zones rurales distantes de l'agglomération. Elles sont parfois sous l'influence des transferts de polluants de l'agglomération (pollution photochimique). Stations trafic Ces stations mesurent la pollution dans des lieux proches des voies de circulation (voies rapides, carrefours, routes nationales,...). Les niveaux mesurés sur ces sites correspondent au risque d'exposition maximum pour le piéton, le cycliste ou l'automobiliste. La représentativité des mesures est locale et diffère selon la configuration topographique et la nature du trafic. Stations d'observation Ces stations représentent des situations particulières d'exposition, le plus souvent à vocation d'étude (ex : Tour Eiffel). La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

20 ANNEXE 3 GLOSSAIRE Moy an H Moy hiver H Moy an J Moyenne agglomération parisienne Rapport NO/NO 2 Eléments statistiques Moyenne annuelle calculée à partir des mesures horaires Moyenne hivernale calculée à partir des mesures horaires Moyenne annuelle calculée à partir des mesures journalières Moyenne de l'ensemble des sites urbains et périurbains de l'agglomération parisienne (définition INSEE 1999), ayant un taux de représentativité supérieur ou égal à 75% Rapport de la moyenne annuelle de NO (ppb) sur moyenne annuelle de NO 2 (ppb) Moy an NOx H équiv. NO 2 Moyenne annuelle des mesures horaires de (NO + NO 2 ), exprimée en µg/m 3 de NO 2 Max H Mesure horaire la plus élevée Max J Mesure journalière la plus élevée Max 8 H Moyenne glissante heure par heure calculée sur 8 heures consécutives la plus élevée Date max J Date (jour/mois) à laquelle a été relevé le Max J Date max 8 H Date (jour/mois/période horaire) à laquelle a été relevé le Max 8 H Nbre D XX H Nombre de mesures horaires supérieures ou égales à XX µg/m 3 Nbre D XX J Nombre de mesures journalières supérieures ou égales à XX µg/m 3 Nbre D XX 8 H Nbre J avec 1 H >= XX Nbre J avec 3 H >= XX Nbre J avec 8 H >= XX Nbre J avec 8 H >= XX (a-2) - a AOT 40 - Forêt AOT 40 - Végétation AOT 40 - Végétation (a-4) - a Durée et fréquence de mesure TR H TR J TR 8 H TR 1J/3 TR AOT 40 Tous les dépassements sont calculés seuils inclus. Nombre de moyennes glissantes heure par heure calculées sur 8 heures consécutives supérieures ou égales à XX µg/m 3 Nombre de jours où l'on a observé au moins une mesure horaire supérieure ou égale à XX µg/m 3 Nombre de jours où l'on a observé au moins 3 mesures horaires consécutives supérieures ou égales à XX µg/m 3 Nombre de jours où l'on a observé au moins une moyenne glissante heure par heure sur 8 heures consécutives supérieure ou égale à XX µg/m 3 sur l'année considérée (a) Moyenne, sur les 3 dernières années, du nombre de jours où l'on a observé au moins une moyenne glissante heure par heure sur 8 heures consécutives supérieure ou égale à XX µg/m 3. Cette moyenne est valide s'il y a une valeur valide individuellement sur chacune des 3 dernières années L'AOT40 - Forêt correspond à la somme des différences entre les mesures horaires d'ozone supérieures à 80 µg/m 3 et la valeur de 80 µg/m 3, relevées entre 8 et 20h (en heure de l'europe Centrale - CET -, soit heure TU+1), du 1er avril au 30 septembre de l'année considérée (a). Dans le cas où toutes les données mesurées ne sont pas disponibles, les AOT sont calculés à l'aide du facteur suivant : AOT40 [estim ation] = AOT 40 m esurées x (nb total d'h possible / nb de valeurs h m esurées) L'AOT40 - Végétation correspond à la somme des différences entre les mesures horaires d'ozone supérieures à 80 µg/m 3 et la valeur de 80 µg/m 3, relevées entre 8 et 20h (en heure de l'europe Centrale - CET -, soit heure TU+1), du 1er mai au 31 juillet de l'année considérée (a). Dans le cas où toutes les données mesurées ne sont pas disponibles, les AOT sont calculés à l'aide du facteur suivant : AOT40 [estim ation] = AOT 40 m esurées x (nb total d'h possible / nb de valeurs h m esurées) Moyenne sur les 5 dernières années de l'aot 40 - Végétation. Cette moyenne est valide si au moins 4 des 5 valeurs d'aot sont valides Hebdo continu : durée d'échantillonnage de 7 jours consécutifs, toutes les semaines de l'année. Hebdo discontinu : durée d'échantillonnage de 7 jours consécutifs, pendant 14 semaines réparties sur l'année, choisies aléatoirement. Taux de représentativité des mesures horaires (rapport du nombre de mesures horaires valides sur nombre théorique d'heures de mesures de la période) (ex : une année = 365 jours théoriques = 8760 heures théoriques) Taux de représentativité des mesures journalières (rapport du nombre de mesures journalières valides sur nombre théorique de jours de mesures de la période) (ex : une année = 365 jours théoriques) Taux de représentativité des mesures 8 heures (rapport du nombre de mesures 8 heures valides sur nombre théorique de moyennes sur 8 heures de la période) (ex : une année = 365 jours = 8760 périodes de 8 heures glissantes heure par heure) Taux de représentativité des mesures 1 jour sur 3 (rapport du nombre de mesures 1 J/3 valides sur l'année sur nombre théorique de périodes de 3 jours sur l'année) (ex : une année = 365 jours = 122 périodes de 3 jours) Taux de représentativité de l'aot 40 (rapport du nombre de mesures sur 1 heure valides mesurées pendant la période définie pour le calcul de la valeur AOT sur nombre théorique de moyennes sur 1 heure de la période) (ex : une période AOT 40 forêt, du 1er avril au 30 septembre entre 8h et 20h CET = 183 jours pendant 12 heures = 2196 heures théoriques). Les concentrations (moyennes, maximums, pencentiles) sont exprimées en microgrammes de polluant par mètre cube d'air (µg/m 3 ) pour tous les polluants, sauf pour les hydrocarbures aromatiques polycycliques, l'arsenic, le cadmium et le nickel : pour ces polluants, les concentrations sont exprimées en nanogrammes de polluant par mètre cube d'air (ng/m 3 ). 1 microgramme = 10-6 gramme = 1 millionième de gramme ; 1 nanogramme = 10-9 gramme = 1 milliardième de gramme. De même, l'unité "ppb" (partie par billion) correspond à un millimètre cube de polluant par mètre cube d'air.. Toutes les heures sont exprimées en heures TU : heure légale d'hiver -1 : du 1er janvier au 27 mars 2010 et du 31 octobre au 31 décembre 2010 heure légale d'été -2 : du 28 mars au 30 octobre La représentativité est considérée comme satisfaisante si le TR est supérieur ou égal à 90 %. Sauf cas particulier, les statistiques pour les paramètres ayant un taux de représentativité horaire, journalier, 8 heures et/ou hebdomadaire inférieur à 75 % ne sont pas calculées et sont indiquées "nr" (non représentatif) La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

21 ANNEXE 4 Polluant Norme AFNOR Méthode de mesure CO Monoxyde de carbone NF EN Absorption infra-rouge NO Monoxyde d'azote NF EN Chimiluminescence NO 2 NOx Dioxyde d'azote Oxydes d'azote MATERIEL DE MESURE - NORMES AFNOR NF EN Réduction catalytique et chimiluminescence (mesures horaires automatiques) Echantillonnage par diffusion, suivi d'une analyse par désorption liquide et spectrophotométrie dans le visible (mesures hebdomadaires par tubes passifs) O 3 Ozone NF EN Photométrie ultra-violet SO 2 Dioxyde de soufre NF EN Fluorescence ultra-violet FN Fumées noires NF X Réflectométrie (analyseur séquentiel automatique) PM 10 Particules < 10 µm - Mesure par TEOM-FDMS sur 7 sites du réseau (1), dont 2 (2) constituent un référent pour la détermination d'un facteur d'ajustement applicable aux autres sites du réseau, équipés de TEOM (mesurage par pesée à l'aide d'une balance inertielle). L'équivalence TEOM-FDMS à la méthode de référence a été prouvée par des essais in situ PM 2,5 Particules < 2,5 µm - BEN NF EN NF EN NF EN Pour le site trafic du boulevard périphérique Auteuil : mesurage par TEOM, application d'un facteur correctif déterminé à l'aide du référent utilisé pour les PM10. Pour les 4 sites de fond : mesure par TEOM-FDMS Echantillonnage par pompage, suivi d'une analyse par désorption thermique et chromatographie en phase gazeuse Prélèvement par pompage automatique, et analyse par chromatographie en phase gazeuse sur site Echantillonnage par diffusion, suivi d'une analyse par désorption thermique et chromatographie en phase gazeuse Pb Plomb NF EN Spectrométrie d'absorption atomique (analyse) Pb, Cd, As, Ni Plomb, cadmium, arsenic, nickel NF EN BaP Benzo(a)pyrène NF EN Mesure de la fraction PM10 de la matière particulaire en suspension Dosage par chromatographie liquide haute performance et chromatographie gazeuse (1) : Paris 1er Les Halles, Paris 18ème, Gennevilliers, Bobigny, Nogent-sur-Marne, Lognes et Zone rurale Nord-Ouest - Frémainville. Benzène (2) : Paris 18ème et Gennevilliers sont équipées des deux méthodes (TEOM-FDMS et TEOM) en parallèle pour la détermination d'un facteur correctif en temps réel. La qualité de l'air dans le département de la Seine-et-Marne Année

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